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Les alentours de la ville / Oh, non ! Mes pis sont pleins de lait >w< ! [PV]

« le: mercredi 08 août 2018, 11:22:36 »

Zut ! C'est pas vrai ! L'heure de la traite était déjà passée et Otoosan n'était toujours pas là ! Angoissé, j'attrapai mes gros coussins et les massai avec attention pour tenter d'atténuer la douleur. Il n'était jamais en retard et je ne comprenais pas pourquoi il m'était autant de temps à revenir ! Assise sur une petite botte de paille, j'observai l'entrée de la grange en espérant qu'il fasse son apparition. Mais rien ! Non ! Pas d'Otoosan à l'horizon pour satisfaire sa pauvre petite vachette souffrante.

Une petite moue au visage, je m'allongeai et décidai de compter les moutons pour passer le temps. Un mouton, deux moutons, trois moutons... trois ? Qu'est-ce qu'il y'a après, déjà ? Six ? Je ne sais plus ! Incapable de compter les petits agneaux laineux, j'observai le plafond en remuant doucement la queue. Mes seins lourds continuaient d'enfler et la douleur devint rapidement insupportable. Pourtant, je n'avais pas le choix ! Il m'était strictement interdit de quitter la grange et même de parler à des inconnus. Chaque fois que j'avais demandé pourquoi, Otoosan m'avait répondu que des brigands traînaient dehors et qu'ils s'en prendraient à moi si ils me voyaient.

- Meuuh, quand même... J'ai mal, moi...! dis-je pour moi même, meuglant comme une petite génisse.

Ignorant que je pouvais me traire moi même, je me redressai et décidai d'ouvrir la porte de la grange pour voir si il était revenu. Je passai d'abord le bout du nez puis la tête toute entière ! L'air frais était des plus agréables et je me surpris à me retrouver entièrement dehors, simplement vêtue d'une adorable petite robe à fleurs. Oh non ! Et si Otoosan me voyait ? Craignant de me faire repérer, je m'agenouillai puis me mis à quatre pattes, faisant sonner la belle cloche que j'avais autour du cou.

- Roooh, zut ! Ça fait trop de bruit ce truc...!

Puis, un bruit de pas se fit entendre, me poussant à me cacher derrière un gros buisson. Et si les brigands étaient là pour m'enlever ?! Effrayée, je restai sans bouger alors que mes seins me faisaient toujours souffrir.

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Prélude / "Heureusement que t'as des gros pis, espèce de conne. ♥" [Validémonisée]

« le: jeudi 15 février 2018, 20:22:56 »

Identité : Miruku (qui signifie "lait" en Japonais)
Âge : 19
Sexe : Femelle
Race : Terranide vache
Sexualité : Hétérosexuelle

Physique : Son physique n'est pas ce qui lui fait défaut. Miruku est une adorable petite vachette qui n'est franchement pas désagréable à regarder. Malgré son jeune âge, elle possède quelques atouts notables, surtout au niveau du buste. Puisqu'elle est une Terranide, son physique est un mélange complexe entre l'humain et le boeuf. De ce fait, elle possède quelques caractéristiques propres à chaque espèce. Un corps de femme, des doigts, des pieds... mais une queue et des oreilles de vache. Elle peut donc parler mais aussi meugler.

Il n'y a pas grand chose de frappant chez elle, si ce n'est ces deux grosses pis qu'il suffit de presser pour en extraire le nectar. Son style vestimentaire, quant à lui, est très varié. Il lui arrive de porter de belles robes à fleur mais elle peut tout aussi bien décider de sortir en pyjama. Elle ne porte ni tatouages, ni bijoux, et sa peau délicate est dénuée de toute imperfection. Si vous la regardez avec attention, vous verrez que ses yeux bleus sont légèrement trop grands pour son visage.

Caractère : Nous y voilà. Tout dans le physique, rien dans la tête. Malheureusement, Miruku est une idiote de première classe. Son intelligence est très limitée et il faut parfois lui expliquer les choses plusieurs fois avant qu'elle ne les comprenne réellement. A force de se prendre des réflexions, la petite vachette s'est mise en tête qu'il valait mieux faire semblant. Aussi, très souvent, il lui arrive d'opiner du chef alors qu'elle ne saisit absolument pas ce qu'on lui raconte.  

En dehors de son niveau intellectuel, Miruku est aussi extrêmement naïve. Un rien suffit à la convaincre. Même le plus mauvais menteur serait capable de lui faire avaler n'importe quoi. C'est également une grosse fana de sucreries qui n'hésitera pas à seul instant à suivre quiconque lui en proposera.

Autrement, la gentillesse est l'une de ses principales qualité. Si ce n'est la seule... Soucieuse des autres, elle préférera s'occuper d'autrui plutôt que d'elle même. Elle n'est pas violente pour un sou et donc particulièrement douée pour apaiser les tensions et déstresser. Madame Lait s'entend pratiquement avec tout le monde sauf avec les insectes qu'elle trouve répugnants.

Histoire : Miruku n'a pas connu ses parents et ne se souvient pas de sa petite enfance. Orpheline, donc, elle fut adoptée par une famille de Terranide et élevée dans les terres sauvages. Peu dégourdie, ils comprirent bien vite que la pauvre vachette n'était pas douée pour grand chose. Elle ne pouvait ni chasser, ni travailler... mais leur conscience les empêchaient de s'en débarrasser.

Au fil du temps, ils remarquèrent que la terranide était peut-être douée pour quelque chose. Ses formes se développaient, ainsi que les deux beaux coussins qui semblaient s’alourdir à mesure qu'elle poussait. Elle ne servait à rien... mais pouvait produire du lait. Un lait d'une qualité rare. Puisqu'elle n'était bonne qu'à ça, ils décidèrent d'en tirer profit.

Dès lors, Miruku prit conscience qu'elle avait enfin une utilité. D'abord réticente à l'idée qu'on puisse la traire, elle finit par céder lorsqu'on la convainquit que son lait était capable de soigner les gens. Par ailleurs, c'est à ce moment là qu'elle devint accro aux sucreries. Madame Lait se mit à suivre un régime très particulier, composé de légumes, de fibres, de céréales... et de sucre. Puis, réputée pour son lait onctueux et sucré, elle fit parler d'elle bien au delà des terres sauvages.

C'est alors que sa vie prit un tout autre tournant. Vers ses 14 ans, un marchand originaire de Nexus vint s'emparer de la pauvre petite vachette pour la revendre à un fermier. Heureusement pour elle, celui-ci ne la considérait pas comme une vulgaire machine à profit mais plutôt comme sa fille. Elle n'eut pas le droit au confort de la maison mais, à la place, on lui aménagea une petite étable rien que pour elle.

Rapidement, Miruku devint ami avec le fils du fermier, qui, pourtant, était de 15 ans son aîné. Le considérant comme son onii-chan, elle passa près de 2 ans à ses côtés avant qu'il ne quitte définitivement la demeure pour se marier et fonder sa propre famille.

Aujourd'hui, la terranide a bien grandit. Son corps à atteint l'âge adulte et sa production de lait est au plus haut. Ce n'est malheureusement pas le cas de sa maturité, ni de son cerveau qui ne semble même pas avoir bougé. Elle n'a pas d'amis, ni d'amoureux, mais semble se complaire dans sa petite vie actuelle.

Autre : Il faut la traire quand ses pis lui font mal éwè ...

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