Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Hikari Harigato

Pages: [1] 2 3 ... 5
1
Qui aurait cru que les choses puissent dégénérer ainsi ? Que la belle Hikari, si sage, si calme, si professionnelle, se retrouve dans un entrepôt crasseux en pleine nuit à sodomiser l’une de ses élèves dans une tenue moulante en latex ? Tout ça ressemblait à une mauvaise plaisanterie, à un rêve invraisemblable, ce genre d’histoires folles que tout producteur de films refuserait en lisant la première page du script, et en s’interrogeant sur la santé mentale du scénariste. Pourtant… Pourtant, c’était ce qui se passait. Ce qui s’était rompu dans l’esprit d’Hikari avait continué à s’élargir, comme une brèche se transformant progressivement, à force d’érosion, en une fissure béante, en un trou profond dans lequel on ne pouvait que tomber, sans pouvoir se raccrocher à quoi que ce soit. Hikari avait sombré, et elle était maintenant entraînée dans une spirale infernale, sans fin, continuant encore à tomber. Chaque seconde qui passait était pour elle l’occasion de chuter davantage.

Elle se retrouvait donc là, à sodomiser Alice, à faire hurler la jeune Princesse, sans prendre conscience qu’elle ne sodomisait pas une simple élève, mais une femme au sang bleu. Alice hurlait son plaisir, et Hikari également, enfonçant sa verge artificielle dans son corps, tout en la giflant, la fessant violemment, témoignant d’une poigne insoupçonnable. Le démon soufflait dans son sang, stimulant ce dernier, excitant furieusement Hikari. La professeur y allait franchement, n’épargnant rien à la jeune femme, lui arrachant des cris de plaisir, sous le regard admiratif et pervers de leur Maîtresse. Nanami se régalait, évidemment ! Et, somme toute, c’était bien là le plus important, que leur Maîtresse apprécie le spectacle que ses esclaves étaient en train de lui offrir.

« Haaaaa… Hmmmmm… !! A-Alice, haaaaannn… !! »

Parler devenait de plus en plus compliqué pour Hikari, tant celle-ci était transportée par ce qu’elle faisait, tant le plaisir se diluait en elle, explosant dans ses veines, remontant dans tout son corps. Elle la prenait, sentant la douleur pointer en elle, et ce même si elle ne portait qu’un gode. Le plaisir éclatait également, car le vibromasseur remuait en elle à chaque coup. La mouille dégoulinait le long de ses cuisses, tant et si bien qu’Hikari finit par franchir le point de non-retour… Et se mit copieusement à jouir.

« HAAAAAAAAAAAAAAA… !! »

Un ultime cri scella cette séance, et elle se relâcha contre sa culotte, tandis qu’Alice jouissait également, goûtant aux joies de l’orgasme anal. Les deux femmes se calmèrent ensuite, Hikari titubant un peu, ivre de plaisir. Nanami les regardait, visiblement très heureuse, tandis qu’Hikari, tout en reprenant son souffle, s’agenouilla instinctivement et respectueusement devant elle. Son esprit avait cessé d’essayer de lutter contre cette femme, contre sa Maîtresse. Elle comblait le vide affectif qui constituait sa vie, elle était là pour elle, et le plus cher désir d’Hikari était de la servir, en n’importe quelle circonstance, en n’importe quelle situation… Être là pour elle, encore et toujours, sans réfléchir outre mesure, mais avec l’envie de la servir, une envie simple et intuitive.

Hikari reprit donc son souffle, tandis que Nanami leur indiqua que la séance était terminée… Ce qui amena Alice à embrasser brusquement Hikari sur la joue.

« Ne m’en veux pas, Hikari-chan, je t’ai un peu titillé… »

Hikari la regarda alors, et lui sourit brièvement, semblant retrouver son calme.

« Je… Ce n’est rien, vraiment… »

Alice l’embrassa alors. Hikari frémit doucement, répondant naturellement à ce baiser. Difficile de se dire que, sous peu, elle allait revoir Alice dans sa salle de cours, dans son sailor fuku, et qu’elle serait sa professeur. C’était un véritable jeu d’illusionnistes !

« Je suis toujours prête à aller plus loin, Maîtresse, indiqua alors Alice, mais je pense aussi que, pour une première fois, c’est… »

Hikari se pinça alors les lèvres, et demanda alors, crispant ses mains sur ses hanches :

« Je… Pourriez-vous me… Me pénétrer, Maî-Maîtresse… ? »

Demander quelque chose à sa Maîtresse, c’était sans doute faire preuve d’insubordination… Mais, d’un autre côté, terminer cette soirée sans que sa Maîtresse ne lui fasse l’amour, ce serait vraiment du gâchis pour Hikari ! Restait dès lors à Nanami le soin de décider si elle pouvait offrir ce privilège à son esclave maintenant… Ou la punir pour son audace.

2
Hikari était lâchée, tout simplement. Méconnaissable. Comme un barrage qui avait cédé, la gentille professeur laissait libre cours à toute cette partie d’elle-même qu’elle avait longuement enterrée. La sage et gentille femme devenait une perverse redoutable, et Alice avait visiblement eu raison de la provoquer ainsi. En la poussant dans ses derniers retranchements, elle avait finalement amené Hikari, non pas à se refréner, mais à se laisser aller. Elle sodomisait maintenant la jeune femme, pinçant sa chair, sentant les godes vibrer en elle, aussi bien dans sa chatte que dans son fessier. Une culotte qu’Alice avait souvent l’habitude de porter, car Mélinda avait beaucoup d’exemplaires de ce type, et la vampire aimait les enfiler sur ses amies et esclaves au lycée. Il y avait aussi un modèle pour les garçons, avec un vibreur qui permettait de masturber leur sexe. Enfin, Hikari adorait ça, et mouillait sur place, tout en enculant Alice, gémissant sur place, la tenant par les hanches, giflant parfois ses fesses.

« Hi-HIKARI, haaaaa... !! »

La professeur grogna encore, et gifla à nouveau le cul d’Alice. Elle serra la laisse, et tira dessus, redressant le corps de la jeune femme, témoignant au passage d’une force surprenante, et grogna encore. Alice, elle, hurla à son tour, son corps se soulevant, ce qui permit à Hikari de la sodomiser plus profondément encore... Et à Nanami d’avoir de superbes images. Hikari y allait encore, la besognant sèchement, couinant et gémissant, mouillant encore, la prenant depuis des minutes, haletant et respirant lourdement. L’adrénaline qui battait dans ses veines l’empêchait de ressentir la fatigue qui meurtrissait son corps, tandis qu’Alice continuait à gémir.

« Hmmmm... Ggggnnnnhhh... !! »

Hikari n’arrivait même plus à parler. Elle avait pourtant envie de l’insulter, de continuer à se moquer de l’insolence de cette élève, cette blondinette si parfaite ! Mais elle n’y arrivait pas, tant elle se concentrait sur son cul. Son gode avait en effet du mal à s’enfoncer en elle, ce qui faisait qu’elle devait se contrôler. Hikari décrivait ainsi des mouvements amples d’avant en arrière, et tourna alors la tête, pour voir Nanami à côté d’elle, le visage dissimulé par son téléphone portable.

Comprenant qu’elle était filmée, la professeure se mit à rougir encore, se pinça les lèvres... Et reprit ses coups de reins, avec encore plus de ténacité, de force, et d’envie.

« Aaaahh... Haaaaaa... !! »

À ce rythme, les deux femmes approchaient d’un nouvel orgasme. Hikari espérait bien, en tout cas, que sa Maîtresse régalait !

Même si, après coup, la jeune professeur risquait bien de s’effondrer de fatigue...

3
Qui aurait cru qu’elle puisse un jour se retrouver là, dans cette situation, face à une élève ? Hikari avait encore du mal à y croire ! Mais elle était bien là, face à Alice, dans une tenue improbable, extrêmement ravissante, se délectant des multiples crissements qu’elle faisait en serrant les doigts, ou du son agréable de sa cravache martelant les insultantes belles petites fesses de la femme face à elle. Alice l’avait en même temps bien cherché ! Et, loin de gêner Hikari, insulter Alice n’avait fait que la motiver encore plus, déclenchant en elle une sorte de frénésie obsessionnelle, de joie profonde et perverse. Elle l’avait donc fessé à plusieurs reprises avec sa cravache avant de se rapprocher encore, et d’utiliser sa main.

« Vilaine fille... VILAINE ALICE ! VILAINE !! »

Hikari répétait ce mot comme un mantra, faisant preuve d’une énergie débordante, d’un enthousiasme impressionnant, témoignant de la passion virale qu’elle ressentait en ce moment. La femme continua donc son office, faisant couiner Alice, qui était en train de mouiller sur place. En même temps, Alice avait tout fait pour pousser Hikari dans ses derniers retranchements, pour l’amener à être précisément dans cet état. Elle ne pouvait donc qu’être ravie de voir Hikari se relâcher pleinement, abandonner toutes ses réserves, pour endosser son rôle à fond.

Après les gifles, Hikari s’arrêta au bout d’un moment. Elle était en sueur, les joues rouges, et regarda brièvement sa Maîtresse, qui semblait plus ravie qu’autre chose.

« Maîtresse m’a proposé trois options pour te punir, Alice... Mais tu es tellement rebelle que je crois qu’une seule approche ne suffira pas !
 -  Haaa, vraiment ? Tu t’en crois capable, toi, Harigato-san ? »

Nouvelle fessée. Hikari récupéra la laisse qui pendait au collier d’Alice, et tira dessus, arrachant à la femme quelques cris supplémentaires. Elle lui ordonna ensuite de se mettre à quatre pattes, tout en récupérant une ceinture gode. Il y avait deux vibromasseurs orientés vers l’intérieur. Hikari perdit un peu de temps à se mettre en position, et gémit en sentant les appareils s’enfoncer en elle, diffusant dans son corps une dose importante de plaisir dont elle avait bien besoin.

« Bon... À ton tour, sale catin !
 -  Hey ! Non, je n’étais pas d’accord pour ça ! »

Simulait-elle encore ? Hikari sourit nerveusement en posant ses mains sur le bassin d’Alic,e maltraitant ses fesses, puis approcha le gros gode de son cul.

« Il... Il est trop gros, arrête ça !!
 -  Tu l’as bien mérité, SALE PUTE ! »

Comme quoi, quand on disait que l’amour lesbien était tendre et doux... Il fallait remettre cela en perspective, car, quand on voyait l’intensité avec laquelle Hikari se mit à sodomiser Alice, la « douceur » devenait un concept très secondaire.

4
Qu’arrivait-il donc à Hikari pour qu’elle ressente cela envers l’une de ses élèves ? Pourquoi voulait-elle à ce point punir Alice ? Mais il était impossible de nier ce sentiment, qui avait cru dans sa poitrine. Oui, à voir ainsi cette insupportable élève se dandiner contre sa Maîtresse, l’embrasser, rappeler qu’elle l’avait fait jouir (ce qu’Hikari n’avait pas fait), la professeur ne pouvait s’empêcher de ressentir un brin de jalousie. Ces derniers jours avaient été marquants pour Hikari, qui avait presque totalement changé, comme si Nanami avait su taper là où ça faisait mal. Impossible de faire marche arrière après cette soirée... Et elle ne pouvait pas nier ce sentiment qui était en train de la traverser.

Nanami fit signe à Alice de s’écarter. Dans sa superbe robe noire moulante en latex, l’intéressée alla s’asseoir à côté, croisant mensuellement les jambes, faisant crisser sa tenue, et mettant sa magnifique paire de seins en valeur. Pourquoi Hikari était-elle jalouse d’une simple élève ? Alice la faisait languir, et Nanami lui proposa ensuite toutes les idées possibles. Hikari déglutit, tout en comprenant qu’elle n’avait pas le choix, car, autrement, c’était Alice qui lui ferait subir tout ça ! À cette idée, une pointe de colère vint perler dans la poitrine d’Hikari.

*Ah ça non !*

Il était temps qu’elle montre à sa Maîtresse quelle bonne esclave elle pouvait être ! Mais, avant ça, Hikari devait prendre une tenue de circonstance, d’autant que... Elle n’arrivait pas à choisir entre une ou l’autre  option ! Aussi impensable que ce soit, elle avait envie de faire subir les trois à cette blonde à la beauté parfaite, cette esclave qui assumait totalement sa nature servile, y compris la troisième option... Ce qui provoquait d’ailleurs en elle d’étranges frissons.

*Ohlàlà, mais qu’est-ce qui m’arrive ?*

Reprenant ses esprits, Hikari se racla doucement la gorge, avant de réussir à parler. Elle avait la bouche un peu pâteuse, signe de son excitation, et réussit donc à retrouver la force de glisser quelques mots :

« Maîtresse, pourrais-je me changer, et mettre une tenue plus appropriée pour punir Alice ? »

Nanami acquiesça, et la guida jusqu’à un vestiaire. Elle avait fort heureusement une tenue pour elle. Hikari se retrouva donc seule, et, tout en l’enfilant, réfléchit un peu. Il y avait une paire de longs gants en latex, dont le contact ne manqua pas de la faire frémir. La manière dont ce matériau caoutchouteux et brillant se collait à sa peau... Elle frissonnait à ce contact, et s’amusa à serrer ses doigts, faisant ainsi crisser la matière, constatant combien cette dernière adhérait facilement à la peau. Elle enfila ensuite une paire de longs collants fins et soyeux, ainsi qu’un corset moulant en latex.

Hikari s’observa ensuite dans le miroir. Sa tenue lui allait plutôt bien, et elle s’amusa même à caresser avec ses lèvres ses doigts nacrés de latex, glissant sur ses lèvres humides, ce qui lui fit mal aux tétons.

*Bon sang, mais qu’est-ce qui m’arrive ? Je ressemble à uen folle !*

Elle retourna ensuite dans la salle principale... Et sentit le rouge lui monter aux joues en voyant qu’Alice avait profité de son absence pour rouler une longue pelle à sa Maîtresse... Encore ! Hikari se rapprocha alors, et Alice rompit le baiser, continuant à lui sourire malicieusement.

« Oh ! Cette tenue vous va à ravir, senseï ! »

Hikari soupira encore, et croisa les bras.

« Ça suffit, maintenant ! Tu es vraiment une fille très impertinente, Alice ! »

La jeune tête blonde rougit doucement, et, même si Hikari était convaincue que l’élève avait joué ce rôle de provocatrice, elle récupéra la cravache.

« Tourne-toi, et présente-moi tes fesses ! »

Alice obtempéra alors, et posa ses mains sur le rebord, avant de pencher la tête sur le côté, en remuant son postérieur de droite à gauche.

« Vous comptez me punir, senseï ? »

La cravache fusa alors, et frappa le cul d’Alice, qui se pinça les lèvres en gémissant sur place.

« Silence !
 -  Pourquoi je me tairais ? Tu n’es pas ma Maîtresse, et nous ne sommes pas en cours, et je...
 -  SILENCE !! »

Hikari abattit encore la cravache sur les fesses, faisant gémir Alice, qui était en train de mouiller sur place, et poursuivit ses provocations :

« Tu comptes vraiment me punir comme ça ? Je t’ai pissé dans la bouche, tu n’as aucune autorité !
 -  SILENCE, SALE PUTE !! »

Les jurons fusaient, et Hikari abattit la cravache à nouveau, la battant à plusieurs reprises.

Elle commençait en tout cas à y prendre goût, appréciant les hurlements de la Princesse!

5
Hikari avait honte d’elle... Car ce qu’elle ressentait à l’égard d’Alice était effectivement de la jalousie ! Elle, jalouse de son élève... C’était impensable, indigne de son statut, indigne de sa fonction ! Oui, elle aurait dû avoir honte d’elle, mais... En réalité, sa jalousie dominait ! Une jalousie qui remontait progressivement, que ce soit en voyant l’assurance d’Alice, ou la manière dont elle faisait plaisir à leur Maîtresse... Ou même la manière dont sa Maîtresse semblait se désintéresser d’elle ! Qu’arrivait-il donc à Hikari ? Ce soir, elle avait été humiliée, moquée, et, pourtant, tout ce qu’elle voulait, c’était que sa Maîtresse ne l’oublie pas, qu’elle reste près d’elle, et qu’elle fasse attention à elle... Délirant ! Mais Hikari n’arrivait pas à lutter contre ça, contre les pulsions qu’elle ressentait en voyant Alice continuer inlassablement à lécher l’intimité de sa partenaire. Elle mordillait fermement le gag ball, continuant à couiner sur place.

Alice fit alors jouir Nanami, qui avait maintenu sa jupe d’écolière levée, permettant ainsi à Hikari de voir la langue de la jeune adolescente à la longue chevelure blonde s’enfoncer régulièrement dans son intimité, léchant goulûment son sexe, jusqu’à lui faire atteindre le plaisir suprême. Elle entendit alors Nanami gémir de plaisir, bruyamment, avant de se relâcher.

« Hmmm... »

Nanami libéra enfin Hikari, et, tandis que la professeur reprenait ses esprits... Sa Maîtresse la surprit en lui proposant de se venger.

« Mais... »

Surprise, et même indécise, Hikari les observa toutes les deux, sans trop savoir quoi dire, ni même quoi faire. Sa Maîtresse était-elle sérieuse ? Alice laissa planer quelques secondes, avant de se redresser subitement, et se lova alors contre Nanami, posant une main dans le creux de son dos, puis l’embrassa tendrement.

« Ne viens pas nous faire croire que ça ne te fait rien, Hikari... Tu te réfugies encore inconsciemment derrière ton rôle de professeur, mais... Ici, il n’est plus question d’élèves et d’une enseignante, Hikari, nous sommes entre personnes mâtures, entre soumises qui se soumettent volontairement pour les bienfaits de notre Maîtresse... »

Elle continuait à se frotter contre le corps de Nanami, déclenchant une pointe dans le cœur d’Hikari. Elle serra nerveusement ses poings en les observant, résistant à une envie furieuse d’intervenir en personne, d’agir... Mais elle ne savait pas comment faire. Elle déglutit donc, et Alice continua à la provoquer.

« J’ai fait jouir notre Maîtresse, j’ai le goût de sa délicieuse mouille sur les lèvres... Peux-tu seulement imaginer, toi, un meilleur nectar ? »

Hikari se pinça les lèvres... Puis se rapprocha alors, et regarda alors Nanami.

« Je veux que nous la punissions, Maîtresse, mais... Je ne sais pas comment m’y prendre... »

Ce qui est sûr, c’est qu’Alice méritait d’être punie, et que cette idée excitait doucement Hikari, éveillant en elle de biens étranges pulsions !

6
Aussi incroyable que ce puisse sembler, le plan de Nanami fonctionnait. Hikari entendait les gémissements de la femme, ses soupirs... Et réagissait en conséquence. Elle voyait le corps parfait d’Alice, cette blonde arrogante, sanglée dans sa robe en moulante en latex, qui léchait avidement le sexe de sa Maîtresse, goûtant à son intimité, à sa fleur intime, à sa précieuse mouille... Et entendre les soupirs de plaisir de Nanami excitait Hikari, mais elle avait aussi envie d’être à la place d’Alice, d’être celle qui prodiguerait à Nanami du plaisir ! Être cantonnée à ce simple rôle d’observatrice, suspendue à des cordes, était donc frustrant !

*Qu’est-ce qui a bien pu m’arriver pour que je jalouse une élève ?* se demanda-t-elle.

Comment avait-elle pu se transformer à ce point ? Hikari n’arrivait toujours pas à s’expliquer rationnellement ce qui lui arrivait. Les évènements s’étaient enchaînés avec une incroyable précipitation, la mettant dans cette situation inextricable, ce moment où elle était face à une situation confuse. Alice l’avait humilié, torturé, même... Mais Hikari ne ressentait nulle colère envers cela, juste... Juste une profonde excitation, et l’envie de continuer, de sombrer davantage dans le vice, dans la luxure. Était-elle une âme perdue ? Il était loisible de le croire, et, en tout cas, elle rougissait d’impatience, gémissant contre son bâillon, tandis que Nanami félicitait Alice, sa rivale !

Alice, elle, se démenait donc, et, quand Nanami lui conseilla d’utiliser ses mains, elle agit encore. La tête blonde avait effectivement un indéniable talent en la matière, le fruit de sa longue expérience de vice. Ses doigts gantés se déplacèrent donc, et, relevant brièvement le regard, Alice enfonça un doigt dans le fondement de sa Maîtresse. Le contact, surprenant, fit gémir davantage Nanami, et Hikari continua à se tortiller sur place.

*Moi aussi, je peux le faire !*

La belle professeur, qui avait bien trop souvent nié les aspirations de son propre corps, se retrouvait pleinement face à eux. Elle ne pouvait pas lutter, et réalisait que la frustration était une arme terrible, une pulsion qui se retournait contre elle, et qui amenait son corps à la trahir, et à lui faire admettre des fantasmes inavouables, inexplicables. Là, sur place, elle avait tout simplement envie que sa Maîtresse vienne s’occuper d’elle, qu’elle la torture encore... Et, surtout, elle avait envie de lui montrer qu’elle pouvait être une aussi bonne esclave qu’Alice !

Alice, qui, elle, continuait à se régaler de la mouille de sa Maîtresse, goûtant à ce fluide sucré et délicieux, en buvant autant que possible tout en continuant à la lécher et à la doigter. Elle savait que les soupirs de Nanami étaient légèrement exagérés, mais elle-même faisait des bruits assez forts, en se frottant contre les jambes de sa Maîtresse, faisant crisser sa combinaison. Alice avait bien compris que sa Maîtresse voulait rendre jalouse Hikari, la pousser dans ses derniers retranchements...

...Et elle l’aidait bien évidemment en ce sens, car elle savait comment Hikari fonctionnait !

7
Alice avait vraiment osé aller jusqu’au bout avec Hikari. Mais il fallait comprendre d’où elle venait pour avoir les raisons de cette action. Alice savait très bien qu’il était facile d’aller d’un extrême à l’autre, de passer de la jeune sainte nitouche à une nymphomane en puissance. Le désir sexuel était le lot commun de tout le monde, de tous les êtres vivants. Et Hikari lui donnait l’impression d’une digue, d’une écluse prête à céder. Et c’était exactement ce qui se passait. Nanami avait percé les bons torus, ouvert les bonnes vannes, et tout un flot était maintenant en train de se déverser, balayant les résistances de la jeune femme. Il ne fallait pas refréner Hikari dans ses pulsions, mais l’aider, la guider... Ce qui expliquait pourquoi Alice, qui avait été informée des agissements d’Hikari par le biais de Nanami, avait agi ainsi. Somme toute, la jeune blonde était multitâches, pouvant aussi bien être une magnifique soumise qu’une redoutable dominatrice. Et les deux femmes accompagnant Alice en avaient eu la démonstration sous leur nez.

Maintenant, Alice repassait en mode soumission, pendant qu’Hikari se dandinait sur place. Elle était encore retenue par les cordes, se remettant de son orgasme fulgurant, et couinait encore, la bouche toujours bloquée par le gag ball. Nanami, elle, avait été une spectatrice silencieuse, elle avait vu son esclave se faire tourmenter par une autre esclave, et, maintenant, Alice était agenouillée devant elle, dans une posture qui appelait à tout, sauf à la retenue. C’est ce qui conduisit Nanami à se dresser devant elle, relevant sa minijupe, dévoilant ainsi son sexe imberbe à la jeune femme, avec un sourire sur le coin des lèvres.

*Elles ne vont pas faire ça dveant moi, quand même...*

Et si ! Alice se pencha en avant, en souriant, et déposa un premier baiser sur le sexe de sa Maîtresse, s’appuyant avec ses mains sur son bassin, puis avança sa langue, et commença à la lécher.

« Hmmm... Maîtresse, haaa... Maîtresse... »

Hikari ferma les yeux pendant quelques secondes, entendant alors les bruits de succion, les bruits de frottement du corps d’Alice contre celui de sa Maîtresse, et les observa encore. Toute concentrée, Alice se dévouait pleinement à sa tâche, poussant de nouveaux soupirs, sans doute un peu exagérés... Mais c’était pour le bien de la cause, pour plaire à leur Maîtresse ! Et Hikari, elle, ne pouvait que saliver sur place, ressentant tout de même une pointe de jalousie en voyant qu’Alice se régalait avec la chatte de sa Maîtresse !

Alice y allait donc, et posa ses mains en appui sur les fesses de Nanami, tout en continuant à la lécher avidement, se régalant au passage de son délicieux nectar sucré.

« Mmmh-mmmhhmm... »

8
Hikari n’avait jamais été aussi loin dans la perversion, et elle ne savait vraiment pas ce qui dominait le plus chez elle. Bien sûr, elle était horrifiée par tout ce qu’elle faisait, mais, en même temps, terriblement excitée aussi. Et tout cela venait de la si innocente Alice ! Hikari avait encore du mal à le croire, pendant qu’elle continuait à boire,  lentement, cette curieuse mixture, tout en étant caressée intimement. Yeux clos, elle gémissait de plaisir, se tortillant sur place, et ouvrit les yeux en voyant sa Maîtresse revenir. Nanami félicita Alice en lui giflant les fesses, faisant glousser l’intéressée.

« Allons, Maîtresse, je ne fais que ce pour quoi vous m’avez invité... » répliqua-t-elle très modestement.

Elle sourit ensuite après la dernière proposition de Nanami, et continua à vider le seau dans la bouche d’Hikari, la poussant finalement à l’orgasme. Hikari gémissait encore, et le plaisir finit par atteindre son paroxysme sous le contact des délicieux doigts gantés de latex de la jeune femme. Alice savait clairement y faire avec le sexe d’une femme, titillant le bourgeon de la femme, jusqu’à la pousser à l’orgasme. Hikari se relâcha dans un long soupir, et Alice s’arrêta là, venant caresser tendrement le ventre de la femme.

« Là, voilà, senseï, reposez-vous bien...
 -  Hmmm...
 -  Mais soyez assurée que votre formation ne fait que commencer ! » s’exclama Alice, avant d’aller embrasser la jeune femme sur la joue.

Hikari soupira doucement, et vit la jeune Alice s’écarter rapidement, chantonnant presque sur place, séduisante et perturbante dans sa tenue en latex. Confuse, Hikari soupira encore, levant les yeux au ciel, avant de voir Alice se rapprocher de leur Maîtresse. Elle s’agenouilla ensuite respectueusement devant Nanami, en position de soumise, gardant la tête baissée, attendant visiblement que Nanami ne lui ordonne de relever la tête.

« Voilà, Maîtresse... Mon corps est à vous, Maîtresse. »

Maîtresse... Ce simple mot faisait encore frissonner Hikari, qui savait que, ce soir, elle avait franchi un nouveau point de non-retour. Elle était désormais définitivement l’esclave de Nanami.

Et cette perspective l’excitait fortement.

9
Centre-ville de Seikusu / Re : Corruption & Tentation [Jeremiah Spencer]
« le: mercredi 08 août 2018, 18:41:21 »
Hikari pianotait sur son téléphone portable, nerveuse, et regardait toutefois autour d’elle, pour s’assurer que ce taré ne la poursuivrait pas. En théorie, encore, elle aurait dû aller porter plainte. Mais combien de femmes victimes d’agressions sexuelles n’allaient pas déposer plainte ? Elle ferait partie du lot, précisément parce qu’elle n’avait pas envie de supporter le regard du policier quand il verrait sa courte minijupe, sentirait son parfum, ou, pire, noterait sur elle l’absence d’une culotte. Mieux valait donc oublier cette histoire. Hikari bondissait sur place, paniquée, regardant encore autour d’elle, réagissant de manière excessive en voyant des clients se rapprocher, persuadée que, là, quelque part, son agresseur était en train de la poursuivre.

*Putain de merde...*

Elle en parlerait à sa Maîtresse. Nanami connaissait la rue, et, s’il y avait bien une personne à qui elle devait parler de ce genre de choses, c’était bien elle. Toutefois... Hikari hésitait encore. Était-il vraiment sage de remuer tout ça ? De parler de cette histoire ? Hikari hésitait vraiment, partagée entre de multiples pensées contradictoires, et des envies divergentes. Elle avait envie de tout abandonner, de partir au loin, de ne rien faire d’autre, de s’enterrer dans un trou.

Le serveur arriva avec une bière, et elle le paya sur place avant d’attraper le verre. Elle avait demandé un alcool fort, et une vive liqueur s’insinua en elle. Elle ferma les yeux, reposa le verre... Et trembla alors sur place en voyant de curieuses images.

*Mais qu’est-ce que...*

Elle se revit dans les toilettes du métro, en train de se faire prendre pour l’homme, et secoua la tête, essayant de chasser ces insipides images, mais sans y parvenir. Elles... Elles persistaient étrangement ! Hikari but encore un peu de sa pinte, espérant, là encore, chasser les images, mais celles-ci insistèrent.

*Mais, mais c’est quoi ce délire, bordel ?!*

L’homme la tirait par les cheveux, lui hurlant dessus en la bourrant sèchement, claquant ses fesses avec une main libre... D’abjectes visions qui se refusaient à partir, et lui donnèrent envie de rejoindre les toilettes... Avant de rejeter cette idée. Hikari se releva brusquement, et se mit à marcher, tenant le verre à la main, et resta debout, buvant de ce dernier, tout en voyant des gens passer. Des adolescents retournant chez eux, des couples en train de flâner, des hommes d’affaires rivés au téléphone.

Et elle, ces images infernales ne voulaient pas disparaître. Elle se mit donc à marcher, quittant la terrasse, afin de chercher quelque chose à voir, sans comprendre pourquoi son cerveau se mettait à fantasmer sur cette scène infernale ! Pour l’heure, elle ignorait totalement où elle devait se rendre, juste... Qu’elle devait marcher vite et loin !

10
Centre-ville de Seikusu / Re : Corruption & Tentation [Jeremiah Spencer]
« le: jeudi 02 août 2018, 10:42:29 »
L’agresseur ne la poursuivit pas, laissant Hikari seule, esseulée, paniquée, désorientée... Et elle s’adossa contre le mur, prenant vaguement conscience que le type avait volé sa culotte. Des larmes roulèrent le long de ses joues. Devait-elle porter plainte ? Oui, sûrement, mais... Elle ignorait qui était ce type. En tout cas, il était impossible que ça vienne de sa Maîtresse, il l’aurait dit, et n’aurait pas fui en courant précipitamment. Hikari s’isola contre un pilier, entendant autour d’elle des bruits de pas. La vie revenait, les gens se rappelaient à elle. Hikari serra sa tête entre ses mains.

*Bon...*

Porter plainte... Elle savait comment ce genre de choses pouvaient être mal interprétés au Japon, surtout quand on avait son passif et sa situation. Avait-elle envie que la police investigue dans sa vie ? Qu’elle donne des informations sur ses liens avec Nanami ? Qu’elle signale qu’elle portait une culotte en latex avec des vibromasseurs plantés en elle ? Hikari ne pouvait pas prendre ce risque. Elle se pinça les lèvres, et, après un moment qui semblait interminable, où elle entendit également des petites-filles en compagnie de leurs mères, sortit finalement.

Nerveuse, elle s’attendait à se faire agresser à nouveau, surtout que ce type lui avait piqué sa culotte. Pourquoi la prendre ? Qu’espérait-il faire ? Qui était-il ?

*Juste un pervers habituel...*

Hikari se redressa donc, et, plutôt que de retourner dans le métro, choisit de sortir à l’air libre. Elle évitait de trop se rapprocher des gens, flottant dans une bulle, une impression d’irréalisme s’emparant d’elle. Tout lui semblait... Très éloigné, très distant. Où était-elle ? Que faisait-elle ici ? Elle préférait ne pas le savoir, et poursuivit sa marche, jusqu’à atteindre la sortie, et se retrouva à l’air libre.

Maintenant, il ne lui restait plus qu’à rentrer chez elle, et se débrouiller pour oublier toute cette histoire...

*Ou boire un coup dans un bar.*

C’est finalement ce qu’elle choisit de faire. La sortie de métro donnait sur une place avec plusieurs terrasses, et elle s’y installa, toujours aussi confuse, et se réfugia sur son téléphone portable...

11
Hikari soupira doucement en sentant le gode s’enfoncer entre ses fesses. Il y a quelques semaines, un tel geste l’aurait assurément horrifié, et elle n’aurait d’ailleurs même pas pu l’envisager. Mais, maintenant, elle fonctionnait différemment. Une vanne avait explosé en elle, un mur s’était affaissé, et elle s’était engloutie sous un véritable raz-de-marée, un torrent ardent contre lequel elle ne pouvait pas lutter. Elle couina donc doucement en fermant les yeux, et sa Maîtresse demanda ensuite à Alice de suivre son idée. Alice sourit doucement, et attrapa la poire. Le tuyau était relié à un seau rempli d’un liquide intime, mélange d’eau, d’urine, et de mouille. Hikari papillonna des yeux en la regardant, croisant son regard avec celui de cette lycéenne. Encore uen fois, Hikari était très surprise de la voir dans cette position, et Alice fit quelques précisions :

« Tu sais, j’ai refoulé pendant longtemps mes pulsions masochistes, moi aussi... Mais toi, tu es plus âgée que moi, alors, maintenant que Maîtresse a percé tes désirs, ceux-ci doivent être particulièrement forts... N’est-ce pas ? »

Rougissant, Hikari couina encore en se dandinant sur place, sentant le vibromasseur remuer dans son cul, ses lèvres intimes s’humidifiant.

« Oh oui, j’imagine toutes les pensées perverses et folles qui te traversent l’esprit... C’est pour ça que j’ai décidé de t’humilier franchement, de te montrer... Le degré du dessus. »

Alice se déplaça doucement, et caressa avec sa main la joue d’Hikari, balayant de ses doigts quelques mèches de cheveux, puis pressa la poire, aspirant du liquide. Hikari sentit ce dernier se déverser dans ses lèvres, et gémit encore, fermant les yeux en se tortillant, affreusement gênée... Mais aussi étrangement très excitée. La Princesse se pinça les lèvres doucement, et déplaça sa main, tout en appuyant encore sur la poire, et la glissa entre ses cuisses, titillant son sexe. Elle la caressa intimement, et gloussa doucement, se pinçant les lèvres.

La mouille glissa le long de ses doigts, et elle observa ensuite ses doigts, souriant malicieusement, et les présenta sous le nez d’Hikari, en appuyant encore sur la pompe.

« Vous voyez, Maîtresse ? Cette petite cochonne mouille férocement... Je vous avais bien dit qu’il ne fallait pas hésiter avec elle.
 -  Hmmm... Hmmmm... !! »

Alice sourit encore, et l’embrassa sur le front.

« Là, là... Laisse-toi aller, petite Hikari, les élèves vont veiller sur le bonheur de leur prof’ salope... Nous allons faire de toi une nymphomane, car c’est ce que tu souhaites... N’est-ce pas ? »

Hikari couina encore... Et finit par hocher la tête de haut en bas, pendant que la poire continuait à être pressée...

12
Il était fréquent que Nanami cherche à jouer avec les nerfs d’Hikari, à la piéger, à la soumettre à des épreuves redoutables. C’était d’ailleurs pour ça qu’Hikari portait ce genre de ceinture, pour s’entraîner, car elle savait que sa Maîtresse voulait qu’elle la porte en cours pendant toute une journée ! Hikari y allait donc progressivement, mais il fallait bien reconnaître que la chose était très difficile. Elle tâchait toutefois d’y arriver, mais rien n’aurait pu la préparer à ce que ce stalker lui tombe dessus. Disposant d’une redoutable force, il la plaqua contre la cabine, et Hikari se débattit encore, avant de le voir récupérer sa culotte en latex.

« Hey ! Lâchez-moi ! Au secours !! »

Personne ne semblait se décider à venir la secourir, et l’homme se livra à un étrange spectacle, suçant ce gode, avant de se coller contre elle. Hikari frémit en sentant son érection.

*Mais qui est ce type ?!*

Nanami avait prévenu Hikari qu’il existait bien des individus dangereux à Seikusu, fort peu recommandables, mais elle n’aurait jamais cru tomber sur un juste en revenant du boulot ! Quelle poisse ! Elle se débattit sur place, et, quand l’homme se rapprocha encore d’elle, la dominant outrageusement, la jeune femme réagit brusquement... En le repoussant d’un coup sec.

L’agresseur heurta l’autre bout de la cabine, et Hikari, sous l’effet de la panique, sortit précipitamment. Elle ouvrit la porte, et se dirigea précipitamment vers la sortie.

« AU SECOURS !! À MOI !! AU SECOURS !! »

Hikari ne réfléchissait plus, elle agissait sous le signe de la panique la plus complète, filant tout droit vers la sortie !

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« Vu ce que vous m’avez dit, Maîtresse, il n’est pas difficile de comprendre. Harigato-sensei a passé toute sa vie en ignorant être frustrée. Une bonne élève, mais quelqu’un l’a forcément noté. Sinon, elle n’aurait pas fini au lycée Mishima. »

Qui mieux qu’une soumise pour en comprendre une autre ? Hikari, toujours silencieuse, car la bouche coincée par le gag ball, salivait sur l’objet. Son ventre était distendu, et elle était effectivement humiliée, humiliée et moquée par ses propres élèves. Il y a encore quelques semaines, elle leur donnait des cours, sans se douter de la réalité des choses. Pour elle, toutes les rumeurs circulant sur le lycée Mishima étaient totalement infondées, reposant sur quelques faits anecdotiques. Après tout, le lycée n’avait jamais été condamné, et avait toujours survécu aux scandales sexuels. Mais la vérité était en réalité encore pire que les rumeurs. Hikari avait été plongée de force dans ce milieu. Sa Maîtresse l’avait forcé à traverser la ville en étant habillée comme une prostituée, et elle avait eu l’occasion de constater que c’était tout un système, une organisation qui ne se limitait pas qu’à quelques élèves pervers, mais impliquait tout le lycée, et peut-être même la ville toute entière. Bien qu’étant un établissement public, Mishima recevait aussi des fonds privés, émanant de la mystérieuse Fondation Mishima. Une fondation fondée au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, et qui existait toujours.

Hikari plongeait là-dedans, et elle ne pouvait pas lutter, car... Eh bien, Alice avait entièrement raison ! Elle avait aimé ce que Nanami lui avait fait subir, et elle était prête à passer un rang au-dessus ! C’était terrible à admettre, mais c’était pourtant l’exacte vérité. Pour elle, il n’y avait plus de marche arrière possible. Elle avait rejoint un autre monde, un autre chapitre de son existence. Hikari en avait pris conscience, et elle l’acceptait... Car elle adorait ça !

Sa Maîtresse présenta deux vibromasseurs, et en trempa un, avant de donner un ordre à Alice. Celle-ci sourit, et Hikari gémit encore, avant de sentir la main d’Alice caresser son visage. La belle blonde se mit devant elle, et lui tourna le dos.

« À vos ordres, Maîtresse ! »

Alice était obéissante, et se pencha en avant, relevant ainsi sa robe, dévoilant son bassin. Hikari soupira en voyant ses délicieuses fesses, et vit la femme abaisser une culotte noire en latex. Elle l’arrêta à hauteur des cuisses, puis approche ensuite le gode violet. Hikari couina, et vit la femme l’enfoncer en elle.

« Hnnn... »

La jeune femme dut titiller un peu la zone, avant de finalement réussir à glisser sans difficulté le gode en elle. Alice se pinça les lèvres en gémissant encore, puis remit ensuite sa culotte en place, le sous-vêtement maintenant ainsi le gode.

« Hmmm... Là, voilà, c’est parfait... »

Alice sourit, et s’adressa ensuite à Nanami :

« Vous ne lui avez pas encore mis une ceinture-godes à porter la journée, n’est-ce pas ? Je ne vous savais pas si gentille, Maîtresse... »

Elle observa ensuite Hikari, avec un nouveau sourire moqueur sur les lèvres :

« Il suffit pourtant de la voir pour constater que Harigato-sensei est une chienne en manque de sexe... »

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Hikari était confuse, incapable de se retenir, de se contrôler. Le désir dominait en elle, dominateur, autoritaire. Dans les toilettes, elle se masturba dans la cabine, enfonçant le vibromasseur en elle, et se mit à jouir au bout de quelques instants. Hikari s’appuya alors contre les toilettes, un long soupir s’échappant de ses lèvres.

*Damn, il va vraiment falloir que j’apprenne à mieux me contrôler...*

Autant dire qu’Hikari avait encore du chemin à faire ! Elle se redressa lentement, et remit ses cheveux en place. Confuse, elle avait retiré le vibromasseur, sentant bien qu’elle ne serait pas en état de le reprendre. Hikari essayait de s’entraîner pour être au mieux avec Nanami, mais c’était vraiment très extrême ! Épuisée, elle respira lentement, reprenant le contrôle de son corps, et sentit alors une présence autour d’elle. Surprise, elle tourna la tête, mais ne vit personne. Devenait-elle folle ?

Hikari secoua la tête, mettant cela sur le compte du stress, de son anxiété à l’idée de ce qu’elle avait fait... Qu’est-ce qui avait bien pu lui traverser la tête en quittant le boulot ? Elle s’était dit que ce serait un défi original, un bon moyen de voir si elle avait les talents de réussir ce genre de choses ! L’idée, à terme, était de passer une heure de cours avec Nanami en ayant ce truc en elle, et de lui montrer, mais... Le fait est qu’elle en était encore bien loin.

*Quelle conne, sérieusement...*

Elle soupira alors en revoyant l’homme dans le métro... Ce stalker qui l’avait abordé. Il était là, torse nu, et elle, elle... Hikari fronça les sourcils en se voyant danser sur lui, son sexe disparaissant dans son corps. Ses joues s’empourprèrent devant cette vision, et, alors qu’elle continuait à se sermonner, les lumières s’éteignirent brusquement.

« Qu’est-ce que... ?! »

Troublée, elle pivota sur place, et les lumières se rallumèrent brusquement... Sauf qu’elle n’était plus seule. Elle sentit un courant d’air, et, ensuite... L’incompréhension... La stupeur ! Un homme venait d’entrer dans la pièce, l’immobilisant dans son dos, qu’elle reconnut très rapidement. Le stalker du métro ! Hikari se pinça fortement les lèvres, et cligna des yeux.

« Mais... Mais... Lâchez-moi !! »

Elle se débattit alors, paniquée, ne comprenant pas ce qui venait de se passer. Malheureusement, l’homme avait une sacrée poigne, et il était très difficile, en réalité, de le repousser.

« Qu’est-ce que vous me voulez ?!! » s’exclama-t-elle encore.

15
Ce n’était pas de sa faute. Tout ça lui avait totalement échappé, en réalité. Depuis qu’elle avait rencontré Seikyo-sama, Hikari n’était plus la même. Qui aurait cru qu’une simple lycéenne puisse à ce point la perturber ? Hikari n’avait jamais cru aux rumeurs circulant sur Mishima, mais, après sa rencontre avec Seikyo-san, elle s’était renseignée. Elle avait consulté les archives locales, les blogs, et avait découvert que le lycée Mishima était un établissement où les arrêts pour cause de grossesse étaient fréquents, que le lycée disposait d’un avocat et avait évité plusieurs procès par de multiples transactions, les fonds venant d’une obscure fondation locale, la Fondation Mishima. Hikari n’y comprenait pas grand-chose, si ce n’est que les rumeurs circulant sur Mishima semblaient finalement être totalement véridiques. Seikyo-san n’avait jamais été l’exception de ce lycée, c’était elle... Elle qui avait, pendant des années, refoulé ses pulsions, tenté de les enterrer sous une couche de respectabilité. Le vernis avait fondu, il s’était craquelé, et elle s’entraînait maintenant. Ce vibromasseur niché en elle ne visait à rien d’autre que ça. Elle se concentrait donc, mais avait été remarquée par un homme, une sorte de véritable stalker qui, malgré ses injonctions, ne semblait pas décidée à la laisser.

Le métro continuait à filer, et il restait encore plusieurs stations avant la sienne. Elle soupira encore, fermant les yeux, en voyant l’homme feindre de s’écarter, pour mieux revenir. Ses mains se crispaient sur sa jupe. Elle profitait généralement du séjour en métro pour continuer à lire ses romans. Elle en avait toujours un dans son sac, mais, cette fois, elle avait été incapable de se concentrer sur une page. Son esprit embrumé revenait sans cesse aux séances avec Seikyo-san, et tout son corps était en chaleur, se mettant même à lui faire imaginer des choses absolument indécentes, tellement choquantes qu’elle les repoussait furieusement de son esprit... Pour les voir mieux revenir.

Des scènes où l’homme la prenait contre le mur, s’asseyait à côté d’elle, enfonçait sa main dans sa culotte, jouant avec le vibromasseur qui s’était planté dans son intimité...

*Mon Dieu, mais qu’est-ce qui m’arrive ?!*

Très nerveuse, Hikari rougit quand il revint vers lui, lui expliquant tout de goqu’il avait vu son émoi, et l’invitait à sortir à la prochaine station. La jeune femme le regarda en fronçant les sourcils, et, tandis que le train s’arrêtait, elle se releva finalement, et répondit, sur un ton se voulant sec et dissuasif :

« Laissez-moi, Monsieur, ou j’appelle la police, je suis professeur ! »

Elle se dépêcha de sortir, son corps se frottant à d’autres gens, laissant derrière elle quelques gouttes sur le sol. Sa cyprine ! Rejoignant la station, Hikari se dépêcha de filer vers les toilettes, sans s’intéresser à savoir si on la poursuivait ou non. Elle comptait se soulager dans une cabine, afin de se relâcher joyeusement, et pouvoir ensuite reprendre ses esprits.

Mais rien n’allait se passer comme précisé...

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