Hikari se demandait clairement ce que sa Maîtresse avait en tête. Elle était nerveuse, inquiète, autant angoissée qu’excitée, car elle savait de quoi Nanami était capable. Et elle savait aussi que la femme ne l’avait pas emmené ici sans avoir quelque chose de bien précis en tête. Un endroit reculé, isolé, désaffecté, qui devait probablement servir de refuge pour elle et sa bande. Hikari s’était renseignée sur Nanami auprès du secrétariat, et avait appris que la jeune fille avait fait l’objet de plusieurs signalements, non seulement pour son outrage en refusant de porter l’uniforme scolaire, mais aussi parce que certains de ses amis avaient eu des ennuis avec la police. Et Hikari savait que Nanami était derrière tout ça. À sa manière, elle était donc complice, et elle se demandait d’ailleurs si ce n’était pas dans cet entrepôt que Nanami entreposait les objets qu’elle volait.
Entendant du bruit, Hikari sursauta, mais conserva les yeux clos, avant de frémir en sentant les mains de sa Maîtresse sur son corps nu. Cette dernière lui mit autour du corps un vêtement frais et moulant, qu’Hikari analyse comme étant du latex, et commença àa voir chaud entre les cuisses. Ses mains partirent ensuite en arrière, et elle sentit quelque chose s’accrocher, et comprit qu’elle portait un harnais. Un harnais de soumission, et elle frémit, sans que sa Maîtresse ne lui mette un
gag ball. Elle accrocha à une boucle située dans le dos du harnais, au milieu de ses bras, un crochet métallique, qui permit de la soulever. Hikari se mit à gémir. Le harnais comprenait également des liens à hauteur des chevilles, relativement souples, mais qui lui permirent, tout en étant suspendue, de garder les jambes suspendues, sans qu’elles ne pendent et ne lui fassent mal. L’appareil sophistiqué permettait toutefois, en appuyant sur un bouton, de rétracter les cordes maintenant les jambes d’Hikari.
«
Haaaa... »
Une fois suspendue ainsi, Hikari cligna des yeux à plusieurs reprises, sa Maîtresse lui ayant donné l’autorisation de le faire, le cœur tambourinant lentement dans sa poitrine. Elle sentait ses muscles l’étire, et soupira une nouvelle fois, sentant une pointe d’excitation la traverser.
«
Ohh... Maî-Maîtresse... »
Nanami lui avait parlé d’une seconde surprise, et Hikari entendit une porte s’ouvrir à côté d’elle. Difficile de voir d’où cela venait, mais elle entendit des bruits de talons claquant sur le sol, dans son dos. Des mains posèrent alors un collier sur son visage, et elle gémit, ouvrant toutefois la bouche en sentant un
gag ball se poser sur ses lèvres, l’empêchant de parler. Hikari rougit en couinant, et vit ensuite la femme ayant posé le
sex toy la contourner et s’approcher de Nanami, avec une belle chevelure blonde, embrassant tendrement et longuement sa Maîtresse. Elle lui tournait le dos, mais Hikari reconnaissait cette silhouette.
*
Non !*
C’était...
Alice Korvander ! Une élève de sa classe, calme et pudique, très curieuse, et plutôt douée. Hikari n’aurait jamais cru qu’elle puisse être là, portant
une tenue en latex comprenant une robe, des gants et des collants. Dans cet ensemble, elle s’agenouilla alors devant Hikari, et déposa un chaste baiser sur ses lèvres, avant de lever solennellement les mains.
«
Maîtresse... Donnez-moi votre cravache, et autorisez-moi à punir cette professeure catin... »
Hikari déglutit en gémissant, sentant une forte chaleur pointer, bien malgré elle, entre ses cuisses...