Le palais d'ivoire / Re : Le plus lâche des assassins, c'est celui qui a des remords || Logan De Barentorn
« le: mercredi 12 décembre 2012, 16:30:10 »Inutile de dire que les autres demoiselles s'échangeaient des regards brillants à l'idée de ce genre de paiement. Oui mais l'or ? Elle pourraient d'offrir de l'équipements et de nouveaux vêtements alors... que faire ? Elles n'avaient pas des heures pour réfléchir comme leur spécifia Logan. Ce fut donc vers Abby que les regards se tournèrent, comme des enfants qui fixent leur mère en attendant avec impatience son consentement. L'assassin se leva alors lentement pur prendre la parole, regardant le Maître de maison droit dans les yeux.
- Nous avons besoin d'or, c'est incontestable.
- Oh Abby s'il te plaie ! Supplia Cléo.
- Par ailleurs, nous ne sommes pas venue pour prendre du bon temps et même s'il nous arrive d'apprécier ce genre de petite gâterie, notre travail reste notre priorité et passe avant toute chose.
- Mais nous..., commença Gwen.
- Cependant, la coupa la jeune femme, les filles ont fait du très bon boulot et se sont entraînées très dur ces derniers temps et je pense qu'elles méritent d'être entendue... et surtout bien traitée. J'ignore comment vous comptez vous y prendre pour satisfaire ces cinq brûlantes jeunes femmes mais cela ne devient plus mon problème. Si vous n'y voyez pas d'inconvénient, je propose une première partie du paiement dès maintenant et l'autre moitié à notre retour, une fois la mission effectuée. En revanche, nous seront trois à ne pas participer à cette délicieuse orgie, je veux donc que ce point soit pris en compte et qu'une partie du paiement nous sois versée en pièces d'or. Est-ce que cela vous convient, Monsieur ?
Au fur et à mesure du petit discours de leur chef, les demoiselles souriaient de plus en plus, alléchée à l'idée de cette affaire. Holly, Diane et Abby perdaient vraiment quelque chose ! Enfin... tant pis pour elles !
L'assassin décida qu'il était temps pour elle de quitter la salle pour aller préparer leur mission avec les deux autres. Elle prit donc respectueusement congé de leur commanditaire et quitta la salle accompagnée de la brune et la jeune rouquine. Ne restaient plus que cinq adorables créatures au regard pétillant de malice. Bryseïs se leva la première et approcha du bureau, effectuant une magnifique révérence avant de se présenter.
- Je suis Bryseïs Des Hellènes, Princesse de Grèce et fille du Roi Constantin II de Grèce sur Terre. Moi aussi j'ai connu la richesse et l'or et les bijoux commencent à me faire bien moins d'effet que certaines caresses. Vous permettez ?
Elle commença à défaire le long manteau blanc qu'elle portait pour afficher une tenue des plus... légère (http://img15.hostingpics.net/pics/919625Princesse.png). Elle grimpa sur le bureau avec des gestes presque félins et approcha son visage très près de celui du Maître De Barentorn. Elle glissa un doigt sous sa mâchoire, lorgna un regard sur ses lèvres, puis plongea son regard vert dans le sien.
- Avec une telle puissance et une telle beauté vous devez avoir toutes les femmes à vos pieds...
Elle ouvrit ses lèvres comme pour l'embrasser mais laissa simplement son souffle glisser sur celles de l'homme. Elle sourit avec un air provocateur et glissa sa bouche jusque dans le cou de l'homme pour y déposer quelques baisers sensuels.
Les autres jeunes femmes regardaient la scène avec intérêt. Elle se levèrent tour à tour et se débarrassèrent elles-aussi des vêtements superflus pour laisser voir leurs formes superbes et leurs atouts significatifs. Elles s'approchèrent un peu plus de lui et Bryseïs lui souffla d'une voix pleine d'excitations à l'oreille :
-Comment désirez-vous que l'on vous comble Monseigneur ? Nous sommes à votre entière disposition pour assouvir la moindre de vos envies et vos fantasmes les plus enfouis...
Cléo et Flora s’essayèrent sur le bureau, non loin des deux jeunes gens, fixant Logan avec gourmandise et intérêt. Quant à Eloïss et Gwen, la première vint glisser ses mains sur les cuisses de l'homme et la seconde glissèrent sur son torse. Elles attendaient avec impatience d'entendre ce que désirait le Maître.