Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Khaléo

Pages: [1] 2 3 ... 41
1
Vous nous quittez déjà ? / Absence du gros taré.
« le: mercredi 29 juin 2011, 16:32:20 »
Bon, je suis désolé pour mes partenaires RP mais en ce moment j'ai pas mal d'opportunités professionnelles qui me tombent en rafale sur le coin de la gueule et je dois taffer dur pour ça surtout qu'il s'agit de ma passion, alors je vais pas pouvoir rp pendant un bon moment, je suis vraiment désolé mon temps est fort "pris" et je suis overbooké.

Bisoux quand même à tout le monde !

2

"Oh ... Et bien ... On ne sait jamais ce qui peut arriver. Si ça se trouve, on tombera, par hasard, sur la côte, là où ton navire pourrait avoir accosté."

"-Oh, ce serait tout à fait possible, mon second, wedge, à tout du parfait incompétent, d'ailleurs il ne sait même pas tenir une barre, un cap, lire une carte et encore moins la carte étoilée du ciel pour maintenir un cap, seul Biggs pourrait peut être le seconder à son tour mais ce duo de tire au flanc pourrait très bien arriver à faire s'échouer mon navire où pire, l'envoyer par le fond, plus le temps passe et plus je m'en inquiète, assurément..."

Il secoua nonchalement la tête, laissant son tricorne se baisser pour cacher la ligne de ses yeux, le jeu nerveux de ses phalanges s'emperlificotant les unes au dessus des autres ainsi que le tapotement régulier et irritant d'un de ses pieds par terre prouvaient toute la réalité de l'anxiété que le fait d'évoquer son navire, et surtout, l'état dans lequel il le retrouverait l'imiscait donc dans une inquiétude qu'il espère non fondée...

"Je ... Hum ... Je pensais à un bain ... Ou des sources chaudes, mais j'pensais pas que le compas ... réagirait ..."

Lorsque Shylee baissa les yeux, Khaléo fit de même, s'approchant du compas par la même occasion, il était temps de... hmmm... Lui reprendre l'engin, on ne sait jamais, d'ailleurs aussi rapide qu'un pique poquet il l'en déssaisit sans qu'elle ne puisse raffermir sa poigne dessus, l'air bien content d'avoir récupéré son bien, finalement, faisant tourner la boite sur le bout de sa griffe un peu comme on le ferait avec un ballon de basquet.

"-Des sources chaudes... Eh bien, après la trépidante journée que nous avons eu hier et cette nuit ... heu... "éprouvante" n'est ce pas... Je pense que j'ai besoin de me détendre, j'ai des courbatures un peu partout à force de vous sauver la vie, Shylee."


Dit il en passant juste devant toi, il fera sauter la boite de sa boussole par dessus ta tête et une fois qu'il aura dépassé ton niveau, ses affaires contenues dans une grosse besace tenue par sa main gauche par dessus son épaule, il récupère la boite qui termina sa trajectoire arquée par dessus tes couettes.

"Une baignade ?"

"-Allons y, mais je dois vous prévenir..."

Il disparait soudainement, enfin, il ne disparait pas réellement il se met à courir dans la direction indiquée par le compas précédemment en criant :

"-...Le dernier arrivé sera de corvée de lessive et passera la serpillère dans la calle ! "

3
Hmmmrr ♥ Cette créature entreprenante avait trouvé un répondant encore plus audacieux que le sien, après tout, elle l'avait cherché en se jetant dans ses bras, et lui pelotant les couilles, un soir de pleine lune à l'aura sanglante, ma garce, t'étais pas au bout de tes surprises, il se délecta des soupirs de cette créature, de la peau chaude contre ses lèvres fraîches, de quelques regards échangés entre un baiser, une caresse et la remontée inéluctable de son énorme poutre de chair entre les globes, contre la raie, de cette belle salope qui en redemandait, qui ne... possédait rien sous les deux languettes de cuir de son pagne, hmmrrr, sensation extrêmement plaisante pour son mandrin et ses lèvres qui s'entrecarressaient déjà l'une l'autre, les lèvres massées, écartelées par le passage répétitif et vibratoire de ses pointes de chair nerveuses, le tout accompagné de cette même nervosité "sportive" sauvage, vrombissante dans le fond de sa poitrine oscillant contre les seins écrasés, par ses ronronnements bestiaux, puissants, comme de nombreux coups de basses répétés provenant d'un énorme caisson comme ceux qu'on trouve dans un concert de métalleux, vous transperçant le corps jusqu'aux organes en vous donnant l'impression que votre coeur à raté un battement où, que cet organe vibre et s'essouffle étrangement.

Lorsqu'il quitta enfin ses lèvres pour déguster un de ses seins, dont il ne laissa pas l'homologue devenir jaloux, mordillant, léchant et pressurisant ces belles rondeurs à leur base pour leur faire découvrir les joies d'une hypersensibilité due à une contrition sanguine, il put l'entendre répondre :

Me supplicier de longues heures? T'as intérêt, mon gros matou! Mais n'espère pas que je te demande d'arrêter. Si tu n'y vas pas assez fort, je pourrai bien sévir...

Ma capuche tomba, mais si d'habitude j'aurai été très... gêné par cette soudaine découverte, préférant à la limite que mon visage reste plongé dans le noir pour qu'elle ne pose pas ses yeux dessus, ici, j'étais déjà en plein "travail", tant pis si elle n'aimait pas la gueule que j'avais, un visage assez fin pourtant, bien mélangé de toutes les saloperies qui me composaient, les traits affinés par les origines asiatiques de ma mère, une largeur et hauteur de cou ainsi qu'une musuclature développée grâce aux gênes du padré, un vieux nordique descendant d'une lignée aussi noble que maudite, le tout subtilement estompé par un degré de félinité englobant le reste.

De nombreuses, très nombreuses cicatrices me hachurent le coin des joues, dont deux qui, passent en bié par mes arcades sourcillières, tranchant presque mes paupières, certaines sont anciennes, d'autres plus récentes, formant un véritable damier d'escarres estompées parfois, comme s'il on avait passé une "gomme" sur leurs traits, cicatrices superposées aussi qui forment donc de véritables "hachures" soulignant l'os de ma mâchoire et du menton, il y en avait bien d'autres encore qui longeaient mon cou, et qui étaient encore plus nombreuses sur le reste de mon corps, dont certaines n'étaient pas seulement le produit de nombreux siècles et époques passées à travers les guerres mais aussi la résultante de plusieurs décénies passées dans les cachots de créatures sadiques et perverses, dont la cruauté n'a pas de limite ni de frontière imaginable par un esprit humain "lambda" en matière de créativité lorsqu'il s'agit de torturer quelqu'un.

Malgré le fait que la capuche de la créature tombe, appréciant autant son allure "monstrueuse" qu'il peut en avoir une à ses yeux, après tout il n'est pas raciste ni regardant à ce propos puisqu'il se considère lui même comme une erreur de la nature, son regard redoubla même d'intensité à la vue de ton visage, et de ta chevelure blanche, serpentant autour de ton visage comme autant de cou d'une hydre dont on a coupé les trops nombreuses têtes pour former une chevelure envoûtante, hmmrr, ton apparence atypique plut d'emblée a ce bon salaud qui, racla tes seins de ses dents, laissant trainer quelques sillons légèrement rouges à la surface de ton sein, recommençant, depuis la presque base de ton sein jusqu'a la fin de la pointe, refermant ses dents, sa mâchoire, avec précision, sans pour autant les "blesser", une racle semi douloureuse, semi chatouilleuse, qui tirait ta poitrine vers lui avec la force appréciable de sa mâchoire, cette foutue langue continuant d'irriter la surface rose de tes tétons virant doucement au rouge, gorgée de sang, tes seins quand à eux se voyaient parcouru, petit à petit, de petites veines sur les bords des endroits où ils étaient serrés par cette douce et ferme queue féline, qui semblait les "étrangler" de mieux en mieux à chaque passage, qui, s'amusait à "glisser" de toute sa longueur en huit, comme une courroie roulant sur sa poulie, autour de tes seins dont la base allait également rougir par friction répétée.

Il lâcha ton sein, surpris, quand il sentit un courrant d'air chaud lui masser ses énormes bourses, d'énormes bourses bien hautes, pleines, grosses comme de petits melons d'eau bien remplis, pressurisés au point tel qu'il est presque difficile de les malaxer, une peau fine mais pourtant dure et lisse comme un bon cuir, couplé au massage expert empli de désir sur ses pectoraux se striant et tressautant de plaisir sous cette caresse inattendue, ses tétons s'excitant significativement à leur tour, il ronronna de satisfaction ses lèvres humides à quelques centimètres à peine de tes lèvres, les effleurant, les chatouillant des mouvements balançés de son cou et sa tête impatient... de te ravager la gorge de fond en comble avec cette satanée langue qu'il possèdes...

...Il sourit, un large sourire, sardonique, amusé, lorsqu'il sentit son pantalon glisser le long de ses grandes jambes musclées, suivre la courbe galbée de ses cuisses habituées à la course, au sprint en pleine forêt et au poids conséquent de son équipement, des jambes dont quelques veines discrètes logées dans l'intercuisse haute près de l'aine ou sur le grand muscle arrière, haut, près des fesses. Il sentit donc le pantalon arriver jusqu'a ses bottines d'assaut, et pris lentement le temps d' en sortir les pieds, te donnant le loisir de chavirer sur chaque relèvement de ses jambes et hanches, la jambe droite se lèves doucement et t'emportes un peu en bié sur la gauche, te soulevant sur son vit dressé, puis, pareil avec sa jambe gauche, raclant finalement le sol avec ses griffes métalliques au bout de ses orteils pour faire glisser son pantalon un peu plus loin pour qu'il ne le gêne pas en dessous des la plante de ses pieds.

Une de ses mains, curieuse, exploratrice, passe dans ta chevelure blanche, appréciant les ondulations qui coulissent entre ses phalanges, il appose ses griffes finement sorties de ses doigts pour frictionner la peau de ton crâne, en petits... tout petits cercles concentriques sur le cuir chevelu, avant de te surprendre d'un baiser plus fougeux et sauvage que les précédents, hmmrr, de la bave, ou plutôt, de la "lave" en fusion, chaude comme le nil en été, abondante, envahit ta bouche et ta gorge, une sécrétion aphrodisiaque de ses muqueuses, produite en abondance te coulait doucement dans la bouche, nos langues nageant dans ce liquide, celle du sauvage s'introduisit de toute son épaisseur et impressionnante longueur dans le fond de ta gorge, pénétrant cette fois l'oesophage pour y glisser, et effectuer des allées et venues pour te ramoner les conduits de cette texture semi râpeuse, il prenait bien son temps et son pied, apparemment, sa bouche englobant facilement tes lèvres perdues dans les siennes, lèvres qu'il mâchouillait presque avec les siennes également, ton visage forcé, tendu vers lui, vers le haut, d'ou s'écoule, entre nos lèvres plaquées, un trop plein de cette salive aux relans musqués, puissants et entêtants, était en train de s'écouler sur ton menton, ta gorge, ton décoleté pour tomber et goutter sur tes seins, huiler ton corps, en ajoutant encore à la prédation de la créature que tu as osé "défier".

Il n'oubliera pas, non, de faire monter la pression de ses ronronnements d'un cran, alors qu'il s'amuse désormais de ses mains à lubrifier la raie de tes fesses de ses doigts plongés dans cette "salive" huileuse.

Lorsqu'elle fut reposée sur son "engin" elle put en apprécier la "peau" rugueuse, râpeuse, qui en plus de tout ce qu'elle était "déjà" lui promettait milles et un tourments lors d'une baise rapide, abrasive.

Il lui arrivait de lever les yeux au ciel, et quitter ta bouche dans un long filet de salive en râlant de plaisir lorsque le malaxage d'une belle force arrivait à pétrir ses énormes valseuses, qui se parcouraient elles aussi de veines de plaisir à leur surface, venant de gagner en volume suite à ton traitement partiulier, savant, sur leurs glandes, ça en devenait aussi douloureux que plaisant, les sensibilisant, au point où elles en devinrent un peu "bleues" mais ce beau salaud avait l'air de bien apprécier le massage malgré tout, fermant les yeux en laissant pendre sa langue dont le bout te pénétrait les lèvres, rapprochant son visage du tiens en enfonçant sa langue, puis, la ressortant, en ne touchant pas ses lèvres avec les tiennes, juste... cette salope de langue te pénétrant la gorge et t'écartant les lèvres, de bas, en haut, à de lentes et longues reprises, de temps en temps, sa bouche allait plaquer la tienne pour lui permettre de bien "tournoyer", folle, rapide, cette langue qui détaillait, râpait toutes les parois avant de remonter.

Probablement que le traitement imposé à son sexe, du bout de tous ses beaux raisins de chair biseautés en pointes, que ce vent chaud et comprimé aussi agréable que plusieurs paires de mains lui branlant la "bête", aurait pu le faire jouir, lancer une lampée bien grasse et épaisse, onctueuse et gluant de son nectar capable de te faire tourner de l'oeil rien qu'à l'odeur, mais non, malgré ses bourses traitées avec la plus délicate et efficace des expertises, et le branlage de sa verge, il était capable de réguler ses souffles, son corps, sa "tension" pour ne pas venir aussi facilement.

Tu la sens, n'est-ce pas? Cette chose inconnue qui vient s'occuper de tes parties, cette sensation nouvelle que nulle part ailleurs tu n'as rencontrée.

C'est vrai qu'elle... était douée, il fallait le reconnaître, et lorsqu'elle commença à s'occuper de la base de sa queue de tigre, il eut un énorme frisson, la chair de poule, qui envahit son corps, quelques sueurs froides coulissant depuis son front, jusqu'a l'arrêtes de son nez, parcourant le coin intérieure de l'arcade, pour s'évanouir sur ses lèvres, les contourner, les humidifier avant de perler au bout de son menton et enfin, mourrir sur le pavé de la ruelle.

Il sentit son corps défaillir, il poussa l'équivalent d'un "miaulement" alors qu'il y a encore quelques secondes il entremêlait ses râles rauques de grognements et ronronnements mêlés, quelque chose le rendait soudainement bien plus sensible à tout ce qu'il ressentait, plus "fragile" aussi, étrange... ses jambes tremblaient, semblant difficilement retenir son poids, puis ses jolies fesses rebondies se mirent à se cambrer, tout en cherchant son équilibre, ou son nouvel équilibre sur ses jambes, son dos s'arque boute souplement en arrière pour cambrer ses fesses, qui servent à "tendre" sa queue de tigre au ciel dans l'espoir d'échapper a cette caresse divine posée sur l'endroit le plus faible, le plus sensible de son corps, un endroit lorsqu'il est touché, caressé ici en l'occurence, lui répandent un foisonnement d'ondes électriques, chatouilleuses, extrêmement chatouilleuses dans tout le corps, un peu lorsqu'on perds ses forces lorsqu'on rit beaucoup trop et qu'on arrives plus à se rattraper, il n'y avait pas de rires, certes, mais quelques hoquetements, semi respirations mal ravalées, et révulsions de l'oeil, s'appuyant sur le corps de la magicienne pour ne pas tomber, son visage se perds sur l'épaule de cette dernière, sa "verge" semble encore prendre quelques centimètres de longueur et d'épaisseur arrivant enfin à son "potentiel" maximum, alors qu'il mordille gentiment ton épaule, en multipliant les gémissements comme une petite salope de chaton pris la main dans le "sac" ♥

"-HAaaawRrrr... Ahh... non ne... tu as raison c'est... je n'ai jamais ressenti de caresses aussi agréables, aussi douces, expertes, pointant sur mes... mes points les plus sensibles à la fois... GRRrrrRaââââ... je t'en pries... a... aaahwrr.. Mrawr... ♥ Arr... Arrêtes... Pas... Pas là... pas là ... si tu me veux... au meilleur de ma forme pour te.... pour te... hnnn... défoncer comme tu le mérites tu... tu dois arrêter de... me caresser... làààà ♥ S... sinon... je ne... peux pas... te... houmrr... te promettre... F...Fuck ! Te promettre de te satisfaire... Ngrhh... ça... ça t'amuses... hein... Meerde... arrêtes... ♥"

4
"-Heeeey !! Mais... Aie ! "

S'exclames t'il en écarquillant grand les yeux quand elle mis à mal la peau de ses fesses avec ses dents, il releva un sourcil d'incompréhension face à cette "attaque" peu conventionnelle, et avec la surface qu'elle venait de "mâchouiller" entre ses dents on peut dire qu'elle en avait eu drôlement envie, non seulement ça mais...

"-Rhâââ... T'y es allée fort quand même ! ça va me laisser une trace..."

Elle y était allée fermement avec ses dents à croire qu'elle voulait emporter un morceau de sa fesse, hmm... c'était donc appétissant à ce point ? Elle profita de son sursaut vif et de sa surprise qui fit rebondir la surface de sa fesse contre le contour de ses lèvres pour se glisser dans un autre sens, enserrant bien fort son corps contre celui de la créature, hnn... cette morsure surprise avait eu le don d'envoyer quelques frissons de plaisir dans son corps qui se traduisirent par quelques impulsions tendant à quelques reprises sa verge, compressée par les mains possessives de la catcheuse.

-- Hé hé hé...

Jusqu'ici il s'était un peu trop laissé faire, et s'était fait surprendre par les attouchements vicieux de la combattante, GRRr... oh cette fois il riposterai avec toute sa force et son agilité, s'il pouvait encore le faire après cette prise dans laquelle il était embarquée, il se sentit soulevé, et il n'était pas léger, son adversaire ne pouvant s'empêcher de lui gueuler dans l'oreille :

-- Yaaaaaaaaaaaaaaaa !!!

Sonné, et comme il n'avait pas l'habitude d'amortir ce genre de choc, n'étant sûrement pas adepte ou professionnel de ce genre de "prises" ni de catch, il n'avait pas les réflexes tels que, de se rentrer la tête avant de heurter le sol, ce qui fait qu'il prit tout sur le haut du crâne, en ayant l'impression de sentir la base de celui ci "rentrer" presque dans sa première cervicale, il fit un "white", c'est à dire, comme si les connections de son cerveau venaient d'être momentanément interrompues avec le reste de son corps, toutes les lumières étaient éteintes, il n'y voyait plus rien et n'avait aucune sensation pour quelques secondes.

pendant ce temps, son corps fut pris de spasmes inquiétants, laissant présager un traumatisme crânien, neurologique, un coup du lapin, quelque chose d'assez inquiétant pour vous mettre la panique dans le corps pour quelques secondes, s'il avait su il se serait méfié et ne lui aurait pas laissé l'opportunité de l'approcher si près, entre ses dents serrées, un peu de mousse salivique s'en échappa, avant qu'enfin, après une dizaine de secondes d'absence, ses yeux vitreux reprennent vie, il voit à nouveau, un peu "flou" ses respirations rauques et lascives sont autant de râles s'échappant difficilement de sa gorge.

-- Ce petit jeu ne m'amuse plus... Passons à autre chose...

A peine fut il sorti de ses vappes qu'elle lui offrit un autre monde de plaisir et de douleur mêlés, le tenant encore en semi prise de soumission en lui offrant de bien douces caresses sur son énorme vit, caresses qui le firent loucher alors que son corps était toujours tendu par cette force essayant de contrer la torsion de ses membres, les perles de transpiration naissantes éclatèrent les unes après les autres pour huiler la surface de sa peau, devenue luisante, huilée, laissant la lumière orange, rouge, des braséros lécher la moindre courbe de son anatomie.

Il planta ses griffes dans le sol, de nouveau, jusqu'a ce qu'elle introduise ce doigt dans son anus en y effectuant quelques allés retours, décidément elle appréciait drôlement martyriser ses globes de chair, ajoutant à sa déconfiture une certaine "honte", un certain jeu de soumission qui lui fit vibrer , frissonner, tout le corps au point de lui donner la chair de poule, un cri de surprise put être entendu lorsqu'elle pénétra son anus lisse et musculeux, pas du tout prêt à ce genre de traitement.

"-Grawr ?!"

-- Alors tu abandonnes ?

"-Il est temps de... de te donner... hmpf... une petite leçon... hahh.."

Puisqu'elle avait usé de langages corporels peu commun aux codes d'un combat loyal, il se servit finalement de sa queue de tigre, qui ira s'introduire entre ses seins, sous sa combinaison, faire le tour d'une épaule avant d'enserrer sa gorge pour une prise d'étranglement et clef d'épaule douloureuse, l'obligeant à lâcher sa jambe, ou au moins, désserer la prise effectuée dessus, ce fut à son tour en se dressant sur ses deux mains, d'enserrer le visage d'Ishikawa entre ses cuisses, remontant sur son corps pour l'étouffer, non seulement du ciseau ferme, tremblant de la galbe et la chair de ses jambes musclées contre son visage pris en étau, tirant de façon telle avec sa queue de tigre pour que son visage se retrouve "plongé" contre ses fesses et ses bourses.

"-Quelle magnifique façon d'étouffer, n'est ce pas ?"

Il resserra l'étreinte, fléchissant les genoux qui iront loger ses mollets croisés derrière sa tête, et refermer l'étau de ses fesses, ses cuisses, ses bourses contre lesquelles son nez était collé, et sa queue de tigre qui se plaisait à serrer son étreinte d'une douce caresse serpentant autour de ta gorge, comme si ça ne suffisait pas, il secouait ses hanches lentement, en petits cercles concentriques, s'amusant à forcer sur une de ses fesses, puis l'autre, qui massaient pratiquement ton visage dans cet exercice de haute voltige.

"-ça te plait ? j'ai pas fini, attends..."

De sa position quasi en poirier, il s'accrocha à ton corps en enserrant ses bras bien gainé et puissants autour de tes cuisses entrouvertes, passant sa tête entre tes jambes pour aller gratouiller du bout, délicat, de ses dents la surface de tes lèvres avant qu'il n'en vienne à embrasser, assez facilement toute la surface de ta vulve, presque "aspirée" entre ses lèvres, un ronronnement de satisfaction s'élevant dans les airs.

"-Hmmm.. te voilà bien prise, et j'adoorres ce nouveau jeu..."

5
Le "combat" si pour autant puissions nous qualifier ça de "combat", venait de se terminer sur l'entrée parfaitement mise en scène d'une créature à l'allure surnaturelle, subjuguante, enfin, pour un tas de monde sûrement, personnellement je la trouvais juste, splendide, bien roulée, mais quelque chose m'a toujours dicté de me méfier des trucs un peu trop jolis à regarder, ça cache souvent les pires des choses sous sa robe, après son petit croches pattes dont elle semble s'amuser, elle s'approches, s'adresse directement au mercenaire :

_ Après une telle démonstration de force,
tu dois sûrement être assoiffé, nooon... ?
Quel est ton nom,
superbe guerrier, hmm... ?


Des ronronnements ? à la fin de ses phrases ? C'était déjà en train de me hérisser le duvet et les rayures, sa voix était envoûtante, invitante et enchanteresque, la mienne par contre avait tout pour faire peur dans le fond de ma capuche, réverbérée sur ses parois, avant de ressortir, des sons en "RRr" rallongés, brièvement comme "ronronnés" et les "Sss" feulés de façon courte également, mais comme c'était filtré par les tissus de ma capuche, c'était rauque, autant que ça paraissait suave et d'une monstruosité à la fois déroutante.

"-Superbe... Attends de voir ma gueule avant d'oser dire des âneries..."
"-Et pour mon nom, tu te contenteras de Léo pour le moment... quand t'auras arrêté d'essayer de flatter l'égo que je peux pas me permettre d'avoir on pourra se parler..."


Ah, oui, il avait un sale caractère et, une carapace au dessus de tout le reste, il posa ses doigts sur la trainée de sang coulant depuis son front, doigts qu'il lécha avec un certain délice à plusieurs reprises, il saignait donc, un peu tardivement après avoir défoncé la table en chêne se trouvant à ses pieds, la magnifique donzelle ne fut même pas décontenancée par son langage châtié, et m'attrapa la main, ma grosse paluche bien musclée, je me suis senti comme un gosse l'instant de deux secondes, et surtout très "con", personne ne me touchait aussi "facilement" sans qu'un rictus de dégout ne lui déforme un peu les babines, j'étais "bloqué" au niveau de l'esprit par cette approche très directe, franche, puis ma main commença à caresser un peu la sienne comme incrédule, n'y croyant pas encore, mon pouce caressa de son duvet fin, aussi doux que la plus fine des soies la peau exceptionnelle aussi de la paume de cette magicienne qui, possédait des mains d'une dextérité, et force étonnante, étonnante pour son accoutrement de "magicienne" où sorcière.

-gigantesque main, puissante...-

J'étais emporté, littéralement à sa table, elle ne me laissa pas le choix, hébété par la force agréable de la poigne de sa main sur la mienne, je lui rendait cette force agréable en maléant sa main avec la mienne, par petite envie de défi, voir provocation gentillette.

"-Votre main aussi est... d'une finesse... et d'une dextérité... incroyable... GRrrRr... Arghrrr... doucement..."

J'avais encore mal.

je crevais de mal même, forcé d'avancer en trainant les pieds, j'avais attrapé ma corbeille de fruits rouges avant de me faire embarquer, serrant les dents, les coups de poignards dans le bas du dos, vous vous rappellez ? J'avais l'arrière du pantalon ensanglanté et j'avais rien remarqué jusque là, mais je venais de manger de la viande, alors la blessure se referma assez rapidement, ne laissant plus de sang s'écouler par celle ci, cependant elle se referma qu'une fois arrivé à la table de cette parfaite inconnue, d'ailleurs je lui demandai son nom, par politesse, enfin, je n'eut pas le temps d'émettre la fin de mon "Salutations, enchanté" qu'elle répondait déjà à la question :

_ Mon nom est Maeve...
Je t'en pries, prend un verre...
[/font]
[/quote]

Je m'assois, invitation étrange mais sympathique, je gardes sans cesse cette capuche sur la tête, même à l'intérieur et surtout face à une étrangère, pas envie qu'elle sursaute et m'envoie ballader si vite alors qu'elle m'offre à boire.

"-Je prendrai, une bouteille de liqueur de diabolo rouge... Maeve... C'est joli... C'est de vous qu'on commence à entendre parler un peu partout ? Je suppose que ça fait si longtemps que je n'ai plus guerroyé que vous n'avez pas entendu parler du Chef de la légion du Lion blanc... "

A la mine déconfite de Maeve je devine que non, et soupires.

"-Ce n'est pas grave je ne vais pas vous faire l'affront de vous en parler, vous qui semblez tout rafler sur votre passage, la légende d'un groupe de mercenaires ayant frôlé de leurs lames les dieux, assez pour leur foutre la trouille, ne vous intéressera pas."

"-Alors, Maeve, pourquoi êtes vous venue vous perdre dans le fin fond du trou du monde, on a pas votre "standing" ni votre grâce "divine" par ici."


Il débouches sa bouteille avec ses magnifiques rangées de dents pointues et, en ta présence, s'évitera tout de même de le cracher vulgairement au sol, se redressant un peu sur sa chaise, même si l'idée de croiser ses jambes sur la table lui à traversé l'esprit il se retiendra.

6
Si sa musuclature était puissante elle n'en était pour le moins pas dépourvue d'une bien étrange souplesse en plus d'être d'une certaine "tendresse" de la fibre fine la plus éloignée du centre du "muscle" et plus ferme en revenant vers le coeur, le centre de la strie musuclaire, le Headlock takeover passa, il fut amusé de cette répartie directe, bien pensée sur le dernier mouvement qu'il venait d'entammer, peut être n'aurait il pas du relâcher ta main finalement, car il allait bientôt découvrir que son zèle de fair play allait lui coûter.

Il fut emporté au sol, repassant au dessus de toi durant le "tourniquet" obligatoire imposé par le Headlock takeover* cependant  il s'amortit à l'attérissage en induisant, une impulsion d'une force impressionnante, bien commune aux félins en train de "tomber" dans les airs lorsqu'ils se retrouvent de dos par rapport au sol, une impulsion giratoire du bassin et des épaules très vive, le retournes sur place juste avant qu'il ne touche le sol, finissant en quasi station "pompage", même si tu le serrait à la gorge, il tourna de force contre la friction de ton bras qui lui laissera une marque rouge sur la peau, et, rose donc à la surface de son très fin duvet blanc, s'étant infligé lui même une sacrée "brûlure" de la peau pendant l'acte.

Mais une fois à terre, et s'étant retourné dans les airs de cette manière avant de retomber au sol, il ne se rendit pas compte qu'il venait de te faciliter la "tâche" pour la suite de tes idées, n'ayant pas besoin de le "retourner" donc, puisqu'il est déjà sur le "ventre" enfin, pas tout à fait puisqu'il se tient encore en station pompage au moment ou tu te jettes sur sa jambe, jambe que tu trouveras étonnemment souple, ainsi que son dos, qui, viendra épouser le tiens en l'arquant souplement vers l'arrière, Khaléo ayant vécu une grande partie de son enfance en forêt à effectuer des cabrioles de contorsioniste dans les arbres, ne disposait plus des "canelures" propres aux vertèbres, laissant donc son dos aller bien loin, et les os de ses vertèbres "basses" de son dos épousèrent aussi la courbe de ton arrière train posé dessus, néanmoins... néanmoins il ressentait quand même la douleur, elle, du muscle de sa jambe prise en clef inversée, même si elle allait "loin" en arrière, te collant presque au corps, aux seins sur lesquels tu étais obligée de l'amener pour le courber si fort sous la douleur.

-- Alors, gros malin ? Tu fais quoi maintenant ?

"-Hhh... Rhââah... bien joué... je suis trop bon trop con... ça me perdra... Mais... Mais il faudra... y aller un peu plus fort que... ça si tu veux vraiment me... soumettre..."

Il planta ses griffes dans le sol, on n'était pas sur un ring, et grâce à cette accroche il tira sur ses muscles, assez, pour faire entrer sa propre force en opposition à la tienne, effectuant quelques allées, et venues fléchissant, contractant et décontractant les muscles bien galbés de ses jambes, et de ses fesses rebondies, de là où tu te trouvais tu avais une vue immanquable sur les énormes "bourses" de la créature, soulignant un joli arrière train bien tracé, assise sur une chute de rein puissante qui, en faisaient voir à tes fesses en se contractant et tremblant d'une nervosité "sportive" due à l'étirement de sa jambe.

"-GRrRrrr... Petite gaRrrce... Tu vas me lâcher... Oui ?!"

Il avait bien une ou deux idées derrière la tête, s'interdisant encore d'utiliser sa queue de tigre pour que le "combat" soit équilibré, cherchant le bon moment pour effectuer son "retournement" de situation, mais pour le moment, il se contentait de se "délecter" de ta prise, ta maîtrise, te donnant quand même pas mal de fil à retordre pour le maintenir dans cette position puisqu'il te secouait parfois comme un prunier sur son dos, façon rodéo à force de se cambrer et s'arquer, dans un sens, puis l'autre, commençant à transpirer à petites perles de sueur naissantes un peu partout sur la surface de son corps.

7

"Ton tricorne ? Non, j'pense pas ..."

"-J'vous y prends... Ah ! vous feignez de ne pas y avoir pensé... Mais je vois très clair dans votre jeu !"

Dit il en regardant, à gauche, à droite, de façon quasi paranoiaque comme si quelqu'un pouvait les entendres, les espionnait, épiait, les reluquait en détail, il se déplaça en katimini jusqu'a Shylee en murmurant "shhhhhhht" posant son index sur ses lèvres pour l'inciter à garder le silence...

Il lui montre son doigt, pas réellement gravement blessé, mais une petite goutte de sang y perle, il joues avec l'équilibre de la goutte de sang qui oscille sur le bout de son doigt avant d'être tentée de vasciller, d'un coté, puis de l'autre, elle finir par emprunter le "dos" du doigt, et glisse le long de sa "peau" jusqu'a la bosse de la première phalange du doigt, il se "jette" littéralement dessus avec ses lèvres et la fait disparaître par "magie".

"Je crois que c'est un peu tard. Malgré que le moindre petit bruit me fasse paniquer ou bien hurler, c'est pas trop mal ici. Et puis, je dois dire que la compagnie est loin d'être déplaisante."

"- Aaah... si vous saviez, Shylee... j'en ai rêvé... Vous... et moi... sur le Black Panthéra... Mon navire... haaahh... Dans mes appartements... sur mon grand lit à baldaquin... vous sous moi, ou moi, sous vous..."

Il tires la langue avant de reprendre ses "pitreries" lorsqu'il lui annonce, avec une légère prudence qui appréhende sa réaction, que les ouvertures de failles sont bien instables et disparate à travers le monde...

"J'me doutais un peu de tout ça ... Mais c'est pas pour autant que j'vais baisser les bras."

"-Et... vous avez raison, ça serait stupide de renoncer déjà... Il y a toujours un espoir, et qui sait, peut être... alors... peut être que ma curiosité d'explorateur me poussera à vous suivre..."

"Je ne crois pas qu'on va utiliser le compas aujourd'hui ... Ca serait un coup dans l'eau en quelque sorte. Une idée de la route à prendre ?"

"-Je vous inviterai bien à passer la nuit prochaine dans ma tanière, au nord - nord ouest d'ici, cependant..."

Toi qui avait dit ne pas vouloir utiliser le compas aujourd'hui, le fait que tu penses aussi fort à un bon bain et une source chaude en le tenant, pointes l'aiguille vers l'est, Khaléo le remarque en haussant un sourcil et recourbant l'autre, il se caresse la fin du menton entre son index et son pouce, penchant un peu le corps sur sa droite en observant l'aiguille qui trembles rapidement vers l'est.

"-A quoi venez vous de penser si fort au point que que vous ayez réussi à amadouer l'aiguille de ma boussole ? "

8
Alors, c'est pas bien compliqué, après ma diatribe, les cinq mecs assis à leur place se sont levés, l'un souleva une chaise qu'il essaya d'écraser sur moi, en levant le genoux elle explosa sur une genouillère en métal surmontant mes bottines d'assaut, une genouillère de soleret en métal noir, sur laquelle le bois de la chaise explosa littéralement à l'impact, la brisant en deux, le genoux continua sa course à travers ce coup pour s'enfoncer dans la panse à bière de l'individu qui ira valser plus loin, un second s'était saisi d'une bouteille, bouteille que Khaléo n'esquiva pas non plus, se la prenant sur la tête, le gars semblait heureux, comme s'il avait réussi à l'assomer et se réjouissait de sa victoire, si seulement ça se passait comme dans les films ou t'assomes quelqu'un en lui écrasant une bouteille sur la tête, hmm ? Tout au plus, ça faisait légèrement mal, mais jamais au point de tomber dans les vappes et sûrement pas au point de faire ciller l'ancien mercenaire, l'homme finit de rire, doucement, en ne le voyant pas bouger, pour rire jaune puis, se prendre un gantelet en métal dans le visage.

Ca fit un peu pot de fer, son gantelet, contre le pot de terre, sa tête, la force du tigranthrope en plus, et l'homme fit un "soleil" sur place après s'être pris son poing dans le visage, les deux prochains zigotos soulevèrent une grande et épaisse table de la taverne, Khaléo ne bougea pas si ce n'est prendre un grand élan en s'arquant en arrière, surtout la tête, arqué si bien et si fort que lorsqu'ils arrivèrent à sa hauteur ils lui rentrèrent dedans avec la table, qui s'arrêta net, l'instant d'une seconde, il venait d'arrêter la table d'un coup de tête, et bientôt, ce coup de tête brisait la fibre du bois, passant au travers, pour qu'un des deux types s'interroge d'un "Mais ?!" en le voyant littéralement passer au travers d'une grosse table de ce calibre d'un cou pde boule, coup de boule qui continua son chemin pour péter violemment l'arcade de cet autochtone, qui fit lui aussi un demi tour sur lui même sous la puissance de l'impact avant d's'éclater la nuque par terre.

Pas mort, non, mais il se rappellera pas ou il habite ni ce qu'il à bu ce soir pendant un moment, il le secoue du pied mais il réagit encore, il a de la mousse qui lui sort par la bouche, par précaution Khaléo l'écarte du "terrain" de jeu d'une poussette du pied vers l'extérieur de la "piste" de danse.

Ils n'étaient plus que deux, mais pendant ce temps là il n'avait pas vu l'un d'eux profiter de la diversion pour aller se mettre dans son dos, avec un vilain poignard, un poignard qui heurtera, par surprise, sa lame large et longue, dans son dos, une première fois, parce qu'a la seconde reprise il alla plus loin et planta presque sa putain de dague dans ses reins, répétant l'opération à six très rapides reprises avant que Khaléo arrives à réaliser, arrives à respirer et ne comprennes ce qui se passe, celui là, sera servi d'un coup de coude élancé depuis sa position de dos, dans son visage en se retournant sur lui, suivi d'une extension du second bras pour lui exploser les tympans en frappant sa grande main bien à plat sur son visage, une é-no-rme et magistrale baffe dans sa gueule, la plus honteuse et claquante de sa vie, suivie de son homologue, autre main, qui ira écraser elle aussi son visage de l'autre coté.

Sa tronche prise en sandwitch entre ses deux mains, il pouvait presque jouer de l'accordéon avec ses oreilles, qu'il tira pour le soulever par ses dernières, les lui décollant un peu avant de le jeter comme un malpropre de l'autre coté du comptoir.

"-Au suivant ?"

Le dernier à compris la leçon et préfèrera déguerpir en bousculant chaises et tables dans son passage, juste, paniqué.

9
"-Là, là, dans le fond, le mec bizarre qui à l'air de s'prendre pour quelqu'un d'important en gardant sa tête dans l'espèce de sac poubelle bordé d'un pompom blanc qui lui sert de capuche, c'est là qu'il est, tu l'as vu ? dis ?"

C'est comme ça que le désignera un ivrogne, du doigt, n'ayant apparemment pas apprécié que le pied de Khaléo heurte légèrement le pied de sa chaise sur son passage, le mercenaire avait commandé son plateau repas habituel, constitué de côtes d'antilope et entrecôtes de bison, saignantes, il prend toujours sa viande... saignante, et une énorme corbeille de fruits rouges, ça aussi, c'est indissociable de ses repas, le rouge de la chair, du jus de ces fruits, pouvaient sustenter la frustration de la "bête" et la calmer des jours durant avant qu'il n'ait à manger une quelconque chair saignante et fraîche, il est très probable qu'il puisse être encore plus fort physiquement s'il mangeait carrément de la chair humaine, mais c'est une chose qu'il ne ferait pas, du moins, jamais de son plein gré, sauf si on lui donnait une bonne raison, ou bonne occasion pour se défendre, là il n'hésiterait sans doute pas à mordre.

Comme tout en chacun qui posséderait au minimum une tonne de pression dans la mâchoire, je crois que s'ils en avaient l'occasion, ils s'en serviraient pour apprendre aux dépends de leur prochain qu'il ne faut pas vous chercher des problèmes.

La morsure, justement, c'est bien l'acte qui, vous fait passer soudainement de l'état d'humain civilisé à un vicieux sauvageon aux yeux des autres, c'est aussi de cette façon qu'il apprit a un premier type ayant osé approcher ses mains trop près de son plat depuis deux minutes pour chercher à l'énerver, qu'il ne fallait pas approcher un tigre en train de prendre son repas, une belle marque de dents imprimées dans la paume de sa main avait troué la chair de part en part, il venait de cacheter sa main de l'empreinte de ses dents, sans emporter un bout pour autant, toutefois des phalanges et os du poignet de l'humain furent broyés comme du beurre par ses dents lors de la fermeture unique de sa mâchoire sur sa main, il put courrir jusqu'aux toilettes en criant et pleurant de douleur.

Khaléo pouvait donc poursuivre tranquillement, dans le plus grande sérénité son repas, tripotant sa viande avec ses doigts et griffes nues, à pleines mains, il s'en léchait déjà les babines, et, il se planquait toujours à moitié derrière une poutre pour justement cacher a la vue des autres ses manières inciviques, mais tellement bonnes à son coeur et à son âme de tigre, celle de prendre presque sensuellement la chair à pleines mains et dents, de refermer ses mâchoires sur la viande, et, de tirer, de tirer lentement la chair en la sentant se déchirer entre chacune de ses dents, tirer, effectuer des mouvements de balanciers de sa tête induit depuis le déhanchement de sa nuque, un ronronnement léger s'élevait de plus en plus tant il y prenait un plaisir bien bestial, primaire, plissant un regard fauve, prédateur, satisfait en prenant ce premier morceau hors de sa viande.

Les types qui l'observaient depuis qu'il était entré s'étaient déplacés d'une table pour avoir un meilleur angle de vue sur lui, au loin, mais, Khaléo les avait repéré, et accentuait exprès le dégout qu'il pouvait leur faire ressentir face à sa façon incivique de manger, en croisant ses pieds sur la table, suçant ses doigts un par un en terminant de sucer son majeur qui, sortit d'entre ses lèvres, lentement, au bout duquel une griffe finit par sortir, extension d'un majeur levé leur signifiant d'aller se faire...

Et d'une voix haute, claire, passant par dessus toutes les autres conversations, il s'exprimes :

"-Bien le bonsoir, Alors, messieurs, on est venu admirer le spectacle ? J'ose croire que votre curiosité est satisfaite, mais je parles, je parles... Alors que vous désirez danser avec le diable..."


10
Une furie, et un soir de pleine à aura sanglante comme celle-ci, j'étais particulièrement en "forme" les gerbes d'étincelles provoquées à chaque rencontre des deux armes, énormes, effectuaient un jeu de lumière stroboscopique qui durait, l'instant d'une ou une demie seconde, éclairant pour une fraction d'un temps précieux et salutaire pour la prochaine parade, la ruelle d'un éclat vif, laissant apparaître sur ce court laps de temps, la dernière position de chaque adversaire lors de la fin de l'impact, jusqu'a ce que nous soyons à nouveau plongé dans le noir, et ainsi de suite, jusqu'à la prochaine parade, jusqu'au prochain coup, la ruelle était presqu'étroite pour des armes de cette taille, il nous arrivait de toucher de l'extrêmité de nos lames, les murs, ajoutant d'autres courts éclats lumineux éclairant la ruelle tel l'éclair fendant le ciel, elle m'était tombée dessus juste au moment où j'avais posé les yeux sur un massacre qui me laissa son lot de frissons dans le dos, pas tant par le massacre qui avait été perpétré, j'ai été habitué à pire, mais de part le... professionnalisme un peu trop "zélé" de la créature ayant fait ça, qui, visiblement, y avait pris un malin plaisir.

Le vent portait ses coups, mais dans une ruelle aussi serrée et sombre, les fluctuations et engoufrements étaient loin d'être suffisantes pour lui permettre d'aller assez vite et pour dévier cette lourde lame, de revers, en coups latéraux et transversaux, de taille, de tranche et parfois, coup de bluff plus dangereux, estoque longue glissée de ses griffes d'orteil métalliques sur le sol humide de la ruelle, pour le moment aucunes faille à déceler dans la garde où l'endurance de son agresseur, l'air effectuait d'étranges "compressions" sonores autour de lui, compressions et contractions venteuses qu'il s'arrangeait à rompre dans le passage de sa lame pour amorçer le prochain coup, ces formations d'air hautement comprimées en stationnement fixe dans l'air ne lui disait rien de bon, c'est pourquoi lorsqu'elle semblait concentrée dans la création de ces élémentaires qui diminuait une partie de sa concentration et de son ardeur à la faux, l'ancien mercenaire explosait chaque volute venteuse condensée avant qu'elle n'arrive à maturité et ne produise son lot de dégats.

Fallait être rapide pour faire ça et, il l'était, l'oeil vif, le réflexe fulgurant, l'air était écrasé sur son énorme épée, déchirant et déplaçant le vent plus violemment encore qu'une pale d'hélicoptère, il ne laissera pas le temps a l'air, et au vent, de croitre pour lui permettre de le blesser, devinant qu'aux coups de la faux, l'air était parfois si rapide autour de l'arme qu'il formait presque une double lame.

Alors que j'étais occupé, et bien occupé avec ses compressions d'air, je fus particulièrement... heh... surpris d'avoir l'impression qu'on venait de me caresser l'entrejambe d'un courrant d'air, définissant et caressant chaque parcelle de l'autre "poutre", de chair celle là, et malgré sa position au repos, elle était déjà d'une belle taille, Khaléo serres les dents, il n'avait pas prévu de se faire agresser sexuellement en cours de combat, ni attoucher sexuellement de la sorte, c'était déroutant de mêler deux choses à proprement complétement opposées, guerre, violence, et... sexe ?

Elle n'était pas nette celle là, et de façon étrange, ce soir, ça lui plaisait beaucoup, tout du moins, assez pour que lorsqu'elle vienne finalement se coller a la créature encapuchonnée qui lui faisait face, elle le sente entrer en érection sous cette main caressante, Khaléo sous la pression de ses muscles déjà solicités, et d'un coeur puissant, sauvage, battant comme des coups de basse sourd dans sa propre poitrine, pouvant être ressentis directement par la poitrine de l'audacieuse créature qui s'était allongée sur sa musculature saillante, bien, si bien enserrée dans ses bandages de rétention musculaire et cartilagineuse, l'aidant dans tous ses mouvements avec cette énorme lame pour éviter de s'auto détruire les os et les ligaments, qu'elle pouvait en ressentir la moindre parcelle, le moindre "rebond" depuis ses hanches serrées bien compressées par ses muscles fessiers et hanchiaux compacts, lisses et ronds, muscles de sa taille enchassant comme il faut la puissance de ses plate abdominales enchevêtrées de haut en bas dans un escalier s'élargissant en "v" jusqu'aux pectoraux.

Puisqu'elle était entrée dans sa garde lors de cette propulsion en arrière, mettant une grande partie de ce qui lui restait dans ce coup après avoir décelé ce qui lui plaisait chez lui, le mercenaire n'était pas dupe, et aurait tout aussi bien pu lui rabattre le manche de son épée violemment sur l'arrière de la tête, puisqu'elle venait de se glisser entre ses bras tendant sa lame, mais Khaléo gémit d'aise, un long soupir lorsqu'elle posa sa main sur son vit ardent, profitant qu'elle soit entre ses bras pour plaquer le plat large et froid de sa lame contre son dos, et la compresse, de tout son corps contre le sien, là, elle peut ressentir chaque battement de son coeur, un coeur aux battements si puissant qu'on aurait dit qu'il allait percer sa propre poitrine et perforer celle de cette mystérieuse magicienne, elle aussi adepte des sombres capuches cachant en partie son visage.

Le coeur pulsait, et, les pectoraux bien bombés et lisses de la créature striaient, roulaient leurs belles et fines fibres musculeuses sur les seins de cette belle garce prise au piège, lui "pinçant" presque sa poitrine lorsqu'il bougeait les bras, un sourire large, s'étendit sur ses lèvres, affichant doucement l'étendue d'une dentition carnassière, bien faite, bien blanche, mais, qui à force d'élargir ce magnifique sourire, prenait des allures aussi jolies que... dangereuses... dérangeantes... démentes.

Il laissa son épée reposer contre le mur derrière elle, pour se saisir d'autre chose...

A la caresse de ta main sous son menton, il répondit par un léger ronronnement, assez fort cependant pour transmettre une appréciable vibration dans ta poitrine et toute surface touchant son corps, vibrations se répercutant même jusqu'au bout de l'engin que tu caresses, promettant dors et déjà que la hauteur de ses ronronnements feraient vibrer intensément son vit aux proportions minotauriennes, par contre, une lame, une lame courte, bien aiguisée, répondit aussi à cette caresse en t'effleurant le cou, puis descendant jusqu'a ton décolleté pour sectionner d'un coup, d'un seul, la lanière retenant ta poitrine dans son carcan synthétique.

Fini de se battre, c'est ça que je veux. Et ne retiens pas tes coups.

Sa voix, étrange, mêlant les sonorités rallongées en "Rrr" presque grognées, brièvement, et les "Sss" feulés, sur une courte période aussi, donnent à sa voix filtrée en partie par les tissus, et la réverbération interne à sa capuche, un rendu intriguant, aussi glauque, que suave, macchabre que séduisant, "strange" ne laissant pas la crainte comme l'envie indifférents.

"-Tu es sûre de toi, tu sais ce que tu veux, même si j'ai l'impression que tu ne considères pas assez les... conséquences de telles... avances... Ce soir non seulement je ne retiendrai pas mes coups mais mon endurance olympienne léguée par la lune sanglante, risque de t'être fatale ♥ mais à toi qui transpires par tous les pores, le sang de tes victimes encore fraîches jusqu'a ton haleine viciée par la mort que tu charies avec aise, j'ose croire que cette perspective t'excites..."

Il te plaques au mur, non sans pas t'emprisonner les lèvres entre les siennes, un peu plus grandes, englobant sauvagement une bonne partie de ta bouche, une longue et épaisse langue, envahit déjà ta bouche, y allant doucement pour te laisser apprécier une langue lisse et douce dans un sens, s'enroulant autour de la tienne, si longue, si épaisse que tu as l'impression qu'un sexe te pénètres déjà la gorge, sans compter cette texture, qui, si elle est lisse à l'entrée de ta bouche, lorsqu'il retournes vers l'entrée de tes lèvres, inversent le sens des "muqueuses" à la surface de sa langue, et deviennent finement râpeuses, flattant les parois détaillées, analysées, explorées par cette foutue langue, inquisitrice et possessive, qui commençait à s'agiter follement en toi.

Ce à quoi tu ne t'attendais peut être pas c'est, d'être désormais soulevée par l'engin qui se dresse entre ses jambes, le cuir de son pantalon semble d'une excellente facture, bien qu'il soit au bord, ténu de la déchirure, là tu prends la pleine mesure de sa taille érigée, excitée, si au départ le bout énorme, rond, te souleva du sol, pied ne touchant plus le pavé, soulevée en poussant bien fort sur l'entrée de ton vagin, tu as du te faire violence, et puissance pour maintenir ta vulve fermée et glisser sur le sexe aux proportions gargantuesques, qui, lors de cette leeente glissade remontant contre toute la surface de ta raie, te fait prendre conscience cette fois de la "monstruosité" démoniaque de l'engin, qui comporte d'énormes "raisins" de chair biseautés, en pointes arrondies sur leur fin, tu as eu tout le loisir de sentir ton vagin et ton petit "trou" se faire lécher, et rebondir, sur chacunes de ses "pointes" souples et tendres, fermes en leur coeur, érectiles elles aussi.

Il se plaira, ça... oui ma belle, il se plaira dans cette longue descente glissée de tes fesses sur son engin, à ronronner à hauteurs différées, différentes, pour que tu comprennes bien, que tu comprennes que non seulement sa bure vibres au gré de la puissance de ses embardées rauques et félines mais que ses ronronnements constituent un véritable "pédalier", accélérateur pour la vitesse de vibration de son corps, hah, si seulement ce n'était que ça, mais chaque pointe de chair semblait vibrer indépendamment d'une autre à une cadence différente suivant sa répartition sur son engin, ce qui semblait leur donner à chaque "raisin" sa vibration bien unique, comme si elles étaient toutes montées sur ressorts giratoires.

Une foreuse, pratiquement ça, une grosse foreuse, qu'il raclait contre l'entrée de tes fesses en jouant de ses ronronnements comme le régime d'un moteur dans lequel on fait entrer plus de mélange, plus de combustible pour l'emballer, puis le laisser s'apaiser, et l'emballer, l'emballer encore, les lèvres de la créature sont fraîche, et quand je dis fraîches, je parle de leur température bien moins élevée que le reste de son corps, exactement comme pour ses narines d'ailleurs, ce sont les deux seules parties de son anatomie qui avoisinnent toujours environ les 18 à 20 degrés, te laissant sur ta peau embrasée, chaude, sur tes lèvres de plus en plus humides à force de se faire happer, encore et encore, l'impression d'un cocktail frais, glacé, après une semaine de canicule, qui allait de paire avec une haleine fruitée, un peu alcoolisée puisqu'il se nourrissait presqu'exclusivement de fruits rouges, cerises, fraises, framboises, groseilles, couleur du jus, et couleur de chair, qui apaisaient la "bête", la tigresse infernale plongée dans les limbes de sa conscience, maintenant ses griffes sur bien des vérités.

Tandis que tu es plaquée au mur et chavirée par les ondulations dansantes, d'un corps puissant et souple à la fois, massée de ton ventre, ta poitrine, pétrie de tes hanches par deux énormes mains aux doigts épais, léonides, qui se plaisent déjà à préparer tes hanches, ton bassin, tes muscles massés, étendus, compressant parfois si bien ton ventre et tes hanches que tu as l'impression, et ce n'est pas qu'une impression ♥ que ta vulve est légèrement gonflée... non... plutôt, presque prolapsée, repoussée hors de sa cavité, de sa "peau" pour que les lèvres gonflées de plaisir se "frottent" encore mieux, épousent la surface du cuir bossellée par ses pointes de chair et t'excites comme une folle, rajoutons à cela, la progression d'une queue, musculeuse, serpentant contre les formes de ton corps depuis la naissance de ton sexe jusqu'a ton nombril, continuant son inquiétante progression contre ta peau, passant entre tes seins pour finalement, s'enrouler autour de ceux ci, ils s'enroulent autour de la base de tes seins qu'il comprime bien comme il faut, la queue se ballade, glisse, et caresse les deux globes de chair tendus, soudainement il quitte tes lèvres pour aller "mordre" des siennes, un de tes seins, léchant, branlant une de tes pointes érigées de la base à la pointe ronde, râpant la surface rose du téton de cette foutue langue qui s'enroules autour d'un téton si bien aspiré et sucé qu'il prends encore un bon centimètre "d'érection" mammaire, là il se plaira à laisser remonter et descendre sa langue serpentine autour du téton comme s'il s'agissait presque d'un "sexe" que l'on masturbes, ses mâchoires puissantes couplées à ses lèvres font des miracles sur une bonne partie de ce sein happé, il te fustiges toujours d'un regard presque glacial, plissé de vice, aux reflets gris argenté aussi froids que les glaciers des pays noriques dont il provient, cette glaciation semble se répandre comme une buée, une lueur glacée dans sa capuche, sa pupille devient plus fine encore, plus tranchante, lubrique, démoniaque, perverse, les reflets de son iris tourne à une aura rosée, diluant la lueur sanglante de la lune dans la couleur qu'elles prennent.


"-J'oses te prévenir... Tu es à moi, pour de looongues heures d'un supplice qui ne fait que commencer, j'oses espérer que tu ne supplieras pas, mais ça arrivera, et lorsque tu me supplieras , que tu me demanderas grâce, pitié, pitié ♥ seigneur, laissez moi respirer, grâce, laissez mes orifices reprendre leur forme d'antan, je me ferai le plus satisfaisant des plaisirs de ne jamais te l'accorder, mieux encore, ce n'est qu'a cet instant, que les choses sérieuses pourront enfin commencer, lorsque tu seras à l'agonie de ton corps au bord de l'abîme, je t'y pousserai jusqu'a ce que tu en perdes la tête... Il se pourrait même que si tu te débrouilles... je t'enfermes dans ma tanière pour prendre bien soin de ce corps pour les siècles à venir..."

11
Prélude / Re : Maeve, Reine Mythique et Déesse Guerrière [Val.]
« le: mardi 14 juin 2011, 00:10:59 »
Bienvenididoume guerrière ressemblant plutôt à une magicienne.

12
"Oh, je suis désolée ..." avait-elle dit en lâchant du regard le compas. "Je ne pensais pas que tu tomberais."

"-Bien sûr... bien sûr... Et je devrais te croire, je présume ?" -finit il sur un sourire qui coince sa langue entre ses dents, ne prenant pas du tout au sérieux sa propre réplique, puis il n'a pas eu "mal" en tombant, inutile d'en faire toute une histoire, il l'avait bien cherché.

"Ce que je désire le plus ? Je ne sais même pas si rentrer chez moi est ce que je deésire le plus en ce moment."

"-ça peut être mon tricorne, qui sait, vous me suivez pour me le voler depuis le début ! ha ha, je vous ai démasquée, qu'avez vous à dire, pour votre défense, hum ?"

Il tendit le bout de son sabre vers toi, pour jouer, pas pour blesser, bien que s'il fasse une fausse manoeuvre... tiens en y réfléchissant, à ce risque, il retire la pointe de son sabre presqu'immédiatement, faisant semblant de tâter la pointe dans le même mouvement, il se coupe le bout du doigt et saignes, quel idiot, tout ça pour dissimuler son premier geste...

"Tu serais à ma place ... Que ferais-tu ? Chercherais-tu un moyen de rentrer tout de suite ? Ou tu attendrais un peu ?"


"-Je... Si j'étais égoiste, je te dirai de rester ici, avec moi, parce que je ... commences à vous apprécier... à bien vous apprécier... mais si j'étais aussi attaché à ma terre "d'origine" à mes racines, à mon emploi ou, le rôle que j'ai dans une "société", je pense que je serai tenté de dire, que le meilleur choix serait que vous rentriez, au plus vite avant de le regretter, de regretter cet endroit, de vous y attacher... Plus longtemps vous resterez, plus profondément votre esprit sera marqué par les étrangetés, et beautés que renferment terra..."

Khaléo finit de ramasser son paquetage, et sort de l'abri, il piétines le feu à l'entrée pour supprimer toute fumée s'élevant du camp, on ne sait jamais, il ne détruit pas l'abri car...

"-...Si nous tournons en rond, dans cette jungle, on aura toujours un abri sous la main, quelque part... nous seront peut être amené à en construire d'autres... je pense que nous sommes loin du moindre portail ouvert aujourd'hui..."

Il dit ça et pose sa main sur sa bouche juste après, se rendant compte qu'il réduit tes espoirs de rentrer chez toi aujourd'hui, il serre les dents dans une expression qui veut signifier "aie, j'ai fait une gaffe." et s'éloignes d'un pas sauté.

"-Je voulais dire, qu'il était improbable que... que nous trouvions un portail à proximité si tôt après l'ouverture d'une faille... ça arrives bien sûr mais, ça serait presque une exception... le plus probant serait que d'ici deux jours une autre faille s'ouvre dans cette jungle... vous voilà bien avertie... vous... n'allez pas vous évanouir, tout de même ? Shylee ?"


Il rajuste son tricorne un peu de travers et s'approche de toi en penchant la tête, un sourire... incrédule sur les lèvres.

"-Shylee vous êtes là ?"

Demande t'il en secouant sa main devant tes yeux, presques vides d'expression.

"-Elle... s'en remettra... où peut être n'a t'elle pas encore digéré... assimilé... la donnée... Fuyons ?"

13
L'encapuchonné put donc continuer son chemin, raclant la semelle de ses bottines d'assaut sur les marches d'un escalier sur le seuil d'une maison, du sang et quelques dents, aaaah j'étais dans un état de nervosité incroyable, foutue pleine lune, et par chance celà décuplait prodigieusement aussi, mes capacités, autant olfactives, qu'auditives, et propres à ma condition de tigranthrope / semi démon.

Ma vue venait de capter très nettement un mouvement provenant des hauteurs, probablement des toits, je restai donc sur mes gardes, il se pourrait que l'une des personnes ayant participé à la précédente altercation musclée ait la revanche facile, où ait décidé de payer un chasseur de tête ou un hashashin pour me mettre la main dessus au moment le plus improbable, juste après cette bagarre, le plus vite, le mieux sans doute ?

Foutus impatients, mais celui là prenait plus de précautions pour m'approcher, et peut être m'observer prudemment depuis les toits, que faire d'autre sinon que de se fondre dans les ombres, dans les ombres formées par les toitures sur le sol, vêtu presqu'entièrement de noir, seule la lueur de mon regard intense, fendu de mes pupilles tranchantes comme des lames de rasoir, perçantes comme des aiguilles, était encore perceptible dans ces profondeurs néantines.

Ma main se lèves et va presser le cuir, doucement pour une fois, en silence, le cuir enroulé autour du manche de mon effroyable "poutre" d'acier aiguisée, si longue, si épaisse, si lourde qu'elle n'était humainement pas maniable, seule l'hybridation bien particulière de Khaléo lui permettait d'avoir assez de force pour la manier comme une épée batarde classique.

Cette épée de taille monstrueuse, n'était même pas la pour "compenser" qui plus est, la taille de son "couteau", comme tout bon soldat l'a entre les jambes, non, on peut presque dire qu'a proportions inhumaines elles se valent...

Il attendait, il attendrait, qu'il puisse être le premier à déchainer les enfers sur cette petite rue, une de ses mains fourrée dans l'une de ses pochettes en cuir où de la poudre inflammable gisait, chose très utile pour créer un petit mur de flammes si c'est nécessaire.

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...te donnera la migraine le lendemain... [ Reprise, d'un rp inachevé avec un partenaire ne répondant pas. ]

Bah, quoi ? C'était pas à ça que vous vous attendiez ? Bon, je l'admet le titre est pas piqué des vers et, surtout, loin d'être poétique, mais qu'a cela ne tienne, puisque le contenu ne risque sûrement pas de l'être beaucoup plus, étant donné ce qui s'pointe à l'horizon, j'serai vous je décamperai bien vite, c'est encore lui là, le mercenaire encapuchonné, dont la cape hachurée, usée par les siècles, rend imprécis le mouvement des jambes, avançant tel un fantôme sur la brume stagnante à ras de sol, fait pas très chaud ce soir, et, qui plus est, cette foutue pleine lune titille encore les pulsions de l'ancien mercenaire, son sang bout dans ses veines, son dos le picote, ses rayures le grattent, ses cicatrices le rappellent à leurs anciennes douleurs car, comme si l'air comportait un peu trop de sel, on dirait que celui ci à choisi de s'insinuer dans ces dernières pour raviver leur douleur et, leurs très mauvais souvenirs.

Pas temps d'venir faire chier l'ancien homme d'armes, qui fut autrefois chef de sa troupe de mercenaires, réduite à néant par l'un de ses meilleurs amis qu'il pensait fidèle à l'époque, Geiseric, cette enflure... avait sacrifié son armée aux démons en faisant un pacte avec cette connasse de lilith pour qu'il devienne un incube rivalisant avec certaines des plus puissantes créatures infernales, ouais, et ce salaud, il avait relevé MA putain d'ancienne armée contre MOI, j'ai du tailler avec ma poutre d'acier aiguisée dans mes anciens camarades devenu des putains de morbacks, des sans vie, cherchant à m'retirer la mienne.

bon mais si je suis là aujourd'hui c'est que j'y ai survécu non ?

Donc, comme j'disai, ce soir fallait pas venir me faire chier et c'est par le plus grand des hasards qu'un type m'aborde avec son couteau de métal bon marché sous l'pif, ayant apparemment besoin d'me subtiliser de l'argent pour s'payer sa dose de nuke, je lui dit bien poliment avec toute la prestance qui m'est due dans mes jours les plus heureux, d'aller s'faire enculer, ouais, tout sec, comme ça, t'sais moi j'ai pas d'temps à perdre faut que je me rende vite a la guilde des mercenaires avant minuit tappantes en plus d'avoir repéré l'odeur d'un deuxième contrat à remplir sur le chemin, pas loin d'ici, elle doit se dissimuler dans les ténèbres, mais il fallait aussi rentrer mon précédent contrat et recevoir ma paie avant de penser à autre chose...

Mais voilà t'y pas que son pote qui semblait fumer le calumet de la paix approche avec, de bien vilaines intentions, ohlala, et comme d'habitude quand t'ouvres un peu ta gueule pour pas te laisser faire c'est tout d'suite l'engrenage hein, t'en a un, puis l'autre, puis encore un qui s'approche, avec la panoplie de la racaille de petit quartier habituelle, canif, batte à clous, chaines tournoyantes au bout des mains, crètes de punk et sales gueules patibulaires sorties d'un mauvais mad max ou, ken le survivant...

Le premier ramène sa gueule de rigolard patenté violeur de toutes les lois de la nature trop près de la mienne je le vois partir depuis les muscles de sa nuque, pour tenter de me foutre un coup de boule, mais, heh, pas de chance j'ai repéré la manoeuvre bien à temps, et, c'est moi qui contre, rendant exactement l'agression par son exact similitude, un coup de tête qui part, PAN ! je lui laisse pas l'temps de réflechir que mon genoux part dans son entrejambe, en voilà un a terre, par chance j'ai pas mal étudié le kung fu et les prises au corps à corps, j'ai tout le temps pour ça voyez j'aime me perfectionner, surtout que dans mon métier c'est bien utile, y a un style de kung fu qui me correspond parfaitement même si c'est pas le plus efficace, celui du tigre bien évidemment, même si , comme je l'ai dit, je préfères encore les applications plus modernes et efficace qu'on n'enseigne aux forces spéciales de la police sur terre, j'y suis allé faire un p'tit stage, et ajouté ça a ma panoplie de coups retors et vicieux.

Le prochain s'approche, lame en main, très bien, d'habitude, faut pas jouer les héros dans ces moments là, si ça t'arrives réellement et que t'as rien sous la main, préfères quand même foutre le camp hein, parce que, tu sais, des héros y en a plein les cimetierres.

"-Arrête de me foutre ta lame bon marché de contrebande sous le nez, avant que j't'en fasse un suppositoire que t'allumeras pas les naseaux, c'est pas un avertissement c'est une promesse, bleusaille..."

Mais bon moi j'en ai un peu rien à foutre je suis un tigranthrope et même s'il me charcute, comme la, les bandages et les bras quand j'avance sur lui pour le saisir au poignet et, effectuer un Ik-kyo, suivi bien évidemment de son Ni-kyo qui l'oblige à lacher son arme, bon je traduis hein, donc, il s'agit d'une saisie - immobilisation de son bras, torsion du poignet vers l'intérieur lui affaiblissant les tendons de manière a ce que ses doigts soient obligés de lacher prise sur la lame, je sais plus tard que je vais régénérer mes blessures avec de la viande saignante, donc je peux me permettre de foncer dans le tas comme un bourrin.

comme promis je lui retire des mains, et, je lui enfonce dans le rectum, voilà ce qui se passe quand on prend pas mes avertissements au sérieux, connard...

D'un coup ça calme, malgré celà t'en a encore un qui m'fonce dedans, saut chassé en avant avec ses deux godasses, très bien mon gros, j'te le choppe en plein vol dans la poitrine, mais j'ai bien callé mes pieds au sol, si bien que finalement je fais juste deux pas en arrière avec le type raide, droit posé sur mes pecs, je lui chope le tour du corps avec mes bras, et en avant pour un german souplex magistralement exécuté, lui fracassant le crâne sur le pavé, après quoi je me relèves rapidement façon "relevé carpé".

"-C'est qui le prochain qui veut ma main dans la gueule ?"

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Archives / Re : Un p'tit peu de vocabulaire !
« le: lundi 13 juin 2011, 09:00:09 »
4/5 Trompé sur l'agrément !

Eh beh, Akali ! Qu'est ce qui se passe ? Y en avait des évidentes mais qui posaient parfois de faux pièges de par leur simplicité, tu as du chercher midi à quatorze heures en te compliquant la vie hé hé :p

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