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« le: mardi 14 juin 2011, 08:14:34 »
Une furie, et un soir de pleine à aura sanglante comme celle-ci, j'étais particulièrement en "forme" les gerbes d'étincelles provoquées à chaque rencontre des deux armes, énormes, effectuaient un jeu de lumière stroboscopique qui durait, l'instant d'une ou une demie seconde, éclairant pour une fraction d'un temps précieux et salutaire pour la prochaine parade, la ruelle d'un éclat vif, laissant apparaître sur ce court laps de temps, la dernière position de chaque adversaire lors de la fin de l'impact, jusqu'a ce que nous soyons à nouveau plongé dans le noir, et ainsi de suite, jusqu'à la prochaine parade, jusqu'au prochain coup, la ruelle était presqu'étroite pour des armes de cette taille, il nous arrivait de toucher de l'extrêmité de nos lames, les murs, ajoutant d'autres courts éclats lumineux éclairant la ruelle tel l'éclair fendant le ciel, elle m'était tombée dessus juste au moment où j'avais posé les yeux sur un massacre qui me laissa son lot de frissons dans le dos, pas tant par le massacre qui avait été perpétré, j'ai été habitué à pire, mais de part le... professionnalisme un peu trop "zélé" de la créature ayant fait ça, qui, visiblement, y avait pris un malin plaisir.
Le vent portait ses coups, mais dans une ruelle aussi serrée et sombre, les fluctuations et engoufrements étaient loin d'être suffisantes pour lui permettre d'aller assez vite et pour dévier cette lourde lame, de revers, en coups latéraux et transversaux, de taille, de tranche et parfois, coup de bluff plus dangereux, estoque longue glissée de ses griffes d'orteil métalliques sur le sol humide de la ruelle, pour le moment aucunes faille à déceler dans la garde où l'endurance de son agresseur, l'air effectuait d'étranges "compressions" sonores autour de lui, compressions et contractions venteuses qu'il s'arrangeait à rompre dans le passage de sa lame pour amorçer le prochain coup, ces formations d'air hautement comprimées en stationnement fixe dans l'air ne lui disait rien de bon, c'est pourquoi lorsqu'elle semblait concentrée dans la création de ces élémentaires qui diminuait une partie de sa concentration et de son ardeur à la faux, l'ancien mercenaire explosait chaque volute venteuse condensée avant qu'elle n'arrive à maturité et ne produise son lot de dégats.
Fallait être rapide pour faire ça et, il l'était, l'oeil vif, le réflexe fulgurant, l'air était écrasé sur son énorme épée, déchirant et déplaçant le vent plus violemment encore qu'une pale d'hélicoptère, il ne laissera pas le temps a l'air, et au vent, de croitre pour lui permettre de le blesser, devinant qu'aux coups de la faux, l'air était parfois si rapide autour de l'arme qu'il formait presque une double lame.
Alors que j'étais occupé, et bien occupé avec ses compressions d'air, je fus particulièrement... heh... surpris d'avoir l'impression qu'on venait de me caresser l'entrejambe d'un courrant d'air, définissant et caressant chaque parcelle de l'autre "poutre", de chair celle là, et malgré sa position au repos, elle était déjà d'une belle taille, Khaléo serres les dents, il n'avait pas prévu de se faire agresser sexuellement en cours de combat, ni attoucher sexuellement de la sorte, c'était déroutant de mêler deux choses à proprement complétement opposées, guerre, violence, et... sexe ?
Elle n'était pas nette celle là, et de façon étrange, ce soir, ça lui plaisait beaucoup, tout du moins, assez pour que lorsqu'elle vienne finalement se coller a la créature encapuchonnée qui lui faisait face, elle le sente entrer en érection sous cette main caressante, Khaléo sous la pression de ses muscles déjà solicités, et d'un coeur puissant, sauvage, battant comme des coups de basse sourd dans sa propre poitrine, pouvant être ressentis directement par la poitrine de l'audacieuse créature qui s'était allongée sur sa musculature saillante, bien, si bien enserrée dans ses bandages de rétention musculaire et cartilagineuse, l'aidant dans tous ses mouvements avec cette énorme lame pour éviter de s'auto détruire les os et les ligaments, qu'elle pouvait en ressentir la moindre parcelle, le moindre "rebond" depuis ses hanches serrées bien compressées par ses muscles fessiers et hanchiaux compacts, lisses et ronds, muscles de sa taille enchassant comme il faut la puissance de ses plate abdominales enchevêtrées de haut en bas dans un escalier s'élargissant en "v" jusqu'aux pectoraux.
Puisqu'elle était entrée dans sa garde lors de cette propulsion en arrière, mettant une grande partie de ce qui lui restait dans ce coup après avoir décelé ce qui lui plaisait chez lui, le mercenaire n'était pas dupe, et aurait tout aussi bien pu lui rabattre le manche de son épée violemment sur l'arrière de la tête, puisqu'elle venait de se glisser entre ses bras tendant sa lame, mais Khaléo gémit d'aise, un long soupir lorsqu'elle posa sa main sur son vit ardent, profitant qu'elle soit entre ses bras pour plaquer le plat large et froid de sa lame contre son dos, et la compresse, de tout son corps contre le sien, là, elle peut ressentir chaque battement de son coeur, un coeur aux battements si puissant qu'on aurait dit qu'il allait percer sa propre poitrine et perforer celle de cette mystérieuse magicienne, elle aussi adepte des sombres capuches cachant en partie son visage.
Le coeur pulsait, et, les pectoraux bien bombés et lisses de la créature striaient, roulaient leurs belles et fines fibres musculeuses sur les seins de cette belle garce prise au piège, lui "pinçant" presque sa poitrine lorsqu'il bougeait les bras, un sourire large, s'étendit sur ses lèvres, affichant doucement l'étendue d'une dentition carnassière, bien faite, bien blanche, mais, qui à force d'élargir ce magnifique sourire, prenait des allures aussi jolies que... dangereuses... dérangeantes... démentes.
Il laissa son épée reposer contre le mur derrière elle, pour se saisir d'autre chose...
A la caresse de ta main sous son menton, il répondit par un léger ronronnement, assez fort cependant pour transmettre une appréciable vibration dans ta poitrine et toute surface touchant son corps, vibrations se répercutant même jusqu'au bout de l'engin que tu caresses, promettant dors et déjà que la hauteur de ses ronronnements feraient vibrer intensément son vit aux proportions minotauriennes, par contre, une lame, une lame courte, bien aiguisée, répondit aussi à cette caresse en t'effleurant le cou, puis descendant jusqu'a ton décolleté pour sectionner d'un coup, d'un seul, la lanière retenant ta poitrine dans son carcan synthétique.
Fini de se battre, c'est ça que je veux. Et ne retiens pas tes coups.
Sa voix, étrange, mêlant les sonorités rallongées en "Rrr" presque grognées, brièvement, et les "Sss" feulés, sur une courte période aussi, donnent à sa voix filtrée en partie par les tissus, et la réverbération interne à sa capuche, un rendu intriguant, aussi glauque, que suave, macchabre que séduisant, "strange" ne laissant pas la crainte comme l'envie indifférents.
"-Tu es sûre de toi, tu sais ce que tu veux, même si j'ai l'impression que tu ne considères pas assez les... conséquences de telles... avances... Ce soir non seulement je ne retiendrai pas mes coups mais mon endurance olympienne léguée par la lune sanglante, risque de t'être fatale ♥ mais à toi qui transpires par tous les pores, le sang de tes victimes encore fraîches jusqu'a ton haleine viciée par la mort que tu charies avec aise, j'ose croire que cette perspective t'excites..."
Il te plaques au mur, non sans pas t'emprisonner les lèvres entre les siennes, un peu plus grandes, englobant sauvagement une bonne partie de ta bouche, une longue et épaisse langue, envahit déjà ta bouche, y allant doucement pour te laisser apprécier une langue lisse et douce dans un sens, s'enroulant autour de la tienne, si longue, si épaisse que tu as l'impression qu'un sexe te pénètres déjà la gorge, sans compter cette texture, qui, si elle est lisse à l'entrée de ta bouche, lorsqu'il retournes vers l'entrée de tes lèvres, inversent le sens des "muqueuses" à la surface de sa langue, et deviennent finement râpeuses, flattant les parois détaillées, analysées, explorées par cette foutue langue, inquisitrice et possessive, qui commençait à s'agiter follement en toi.
Ce à quoi tu ne t'attendais peut être pas c'est, d'être désormais soulevée par l'engin qui se dresse entre ses jambes, le cuir de son pantalon semble d'une excellente facture, bien qu'il soit au bord, ténu de la déchirure, là tu prends la pleine mesure de sa taille érigée, excitée, si au départ le bout énorme, rond, te souleva du sol, pied ne touchant plus le pavé, soulevée en poussant bien fort sur l'entrée de ton vagin, tu as du te faire violence, et puissance pour maintenir ta vulve fermée et glisser sur le sexe aux proportions gargantuesques, qui, lors de cette leeente glissade remontant contre toute la surface de ta raie, te fait prendre conscience cette fois de la "monstruosité" démoniaque de l'engin, qui comporte d'énormes "raisins" de chair biseautés, en pointes arrondies sur leur fin, tu as eu tout le loisir de sentir ton vagin et ton petit "trou" se faire lécher, et rebondir, sur chacunes de ses "pointes" souples et tendres, fermes en leur coeur, érectiles elles aussi.
Il se plaira, ça... oui ma belle, il se plaira dans cette longue descente glissée de tes fesses sur son engin, à ronronner à hauteurs différées, différentes, pour que tu comprennes bien, que tu comprennes que non seulement sa bure vibres au gré de la puissance de ses embardées rauques et félines mais que ses ronronnements constituent un véritable "pédalier", accélérateur pour la vitesse de vibration de son corps, hah, si seulement ce n'était que ça, mais chaque pointe de chair semblait vibrer indépendamment d'une autre à une cadence différente suivant sa répartition sur son engin, ce qui semblait leur donner à chaque "raisin" sa vibration bien unique, comme si elles étaient toutes montées sur ressorts giratoires.
Une foreuse, pratiquement ça, une grosse foreuse, qu'il raclait contre l'entrée de tes fesses en jouant de ses ronronnements comme le régime d'un moteur dans lequel on fait entrer plus de mélange, plus de combustible pour l'emballer, puis le laisser s'apaiser, et l'emballer, l'emballer encore, les lèvres de la créature sont fraîche, et quand je dis fraîches, je parle de leur température bien moins élevée que le reste de son corps, exactement comme pour ses narines d'ailleurs, ce sont les deux seules parties de son anatomie qui avoisinnent toujours environ les 18 à 20 degrés, te laissant sur ta peau embrasée, chaude, sur tes lèvres de plus en plus humides à force de se faire happer, encore et encore, l'impression d'un cocktail frais, glacé, après une semaine de canicule, qui allait de paire avec une haleine fruitée, un peu alcoolisée puisqu'il se nourrissait presqu'exclusivement de fruits rouges, cerises, fraises, framboises, groseilles, couleur du jus, et couleur de chair, qui apaisaient la "bête", la tigresse infernale plongée dans les limbes de sa conscience, maintenant ses griffes sur bien des vérités.
Tandis que tu es plaquée au mur et chavirée par les ondulations dansantes, d'un corps puissant et souple à la fois, massée de ton ventre, ta poitrine, pétrie de tes hanches par deux énormes mains aux doigts épais, léonides, qui se plaisent déjà à préparer tes hanches, ton bassin, tes muscles massés, étendus, compressant parfois si bien ton ventre et tes hanches que tu as l'impression, et ce n'est pas qu'une impression ♥ que ta vulve est légèrement gonflée... non... plutôt, presque prolapsée, repoussée hors de sa cavité, de sa "peau" pour que les lèvres gonflées de plaisir se "frottent" encore mieux, épousent la surface du cuir bossellée par ses pointes de chair et t'excites comme une folle, rajoutons à cela, la progression d'une queue, musculeuse, serpentant contre les formes de ton corps depuis la naissance de ton sexe jusqu'a ton nombril, continuant son inquiétante progression contre ta peau, passant entre tes seins pour finalement, s'enrouler autour de ceux ci, ils s'enroulent autour de la base de tes seins qu'il comprime bien comme il faut, la queue se ballade, glisse, et caresse les deux globes de chair tendus, soudainement il quitte tes lèvres pour aller "mordre" des siennes, un de tes seins, léchant, branlant une de tes pointes érigées de la base à la pointe ronde, râpant la surface rose du téton de cette foutue langue qui s'enroules autour d'un téton si bien aspiré et sucé qu'il prends encore un bon centimètre "d'érection" mammaire, là il se plaira à laisser remonter et descendre sa langue serpentine autour du téton comme s'il s'agissait presque d'un "sexe" que l'on masturbes, ses mâchoires puissantes couplées à ses lèvres font des miracles sur une bonne partie de ce sein happé, il te fustiges toujours d'un regard presque glacial, plissé de vice, aux reflets gris argenté aussi froids que les glaciers des pays noriques dont il provient, cette glaciation semble se répandre comme une buée, une lueur glacée dans sa capuche, sa pupille devient plus fine encore, plus tranchante, lubrique, démoniaque, perverse, les reflets de son iris tourne à une aura rosée, diluant la lueur sanglante de la lune dans la couleur qu'elles prennent.
"-J'oses te prévenir... Tu es à moi, pour de looongues heures d'un supplice qui ne fait que commencer, j'oses espérer que tu ne supplieras pas, mais ça arrivera, et lorsque tu me supplieras , que tu me demanderas grâce, pitié, pitié ♥ seigneur, laissez moi respirer, grâce, laissez mes orifices reprendre leur forme d'antan, je me ferai le plus satisfaisant des plaisirs de ne jamais te l'accorder, mieux encore, ce n'est qu'a cet instant, que les choses sérieuses pourront enfin commencer, lorsque tu seras à l'agonie de ton corps au bord de l'abîme, je t'y pousserai jusqu'a ce que tu en perdes la tête... Il se pourrait même que si tu te débrouilles... je t'enfermes dans ma tanière pour prendre bien soin de ce corps pour les siècles à venir..."