37
« le: samedi 08 mai 2021, 21:13:38 »
Pendant que je me fais prendre comme l'esclave sexuelle que j'ai docilement appris à devenir avec le temps, je couine et je souris lorsque je l'entends continuer de me rabaisser sans aucune pitié. "Esclave sexuelle", "trainée", "pute", "salope", "chienne", je retrouve avec lui toute la liste de mots habituels que j'avais l'habitude d'être gratifiée, y compris encore aujourd'hui. Mais en me faisant humilier à la hauteur de mes attentes, comme à l'époque. C'était tellement bon d'être autant rabaissée, que j'en arrivais presque à jouir. Mais je voulais encore attendre un peu. Je voulais surtout jouir au moment où je toucherais complétement le fond. Si possible ce fameux moment où il serait en train de me souiller encore une fois.
- Oh c'est parfait! C'est tellement merveilleux! Avec toi je suis enfin libérée! Merci!
Tout en remerciant mon violeur de m'insulter de manière dégradante et de continuer de me prendre comme une "chienne", je me mets couiner aussi fortement que je peux. A chaque fois que sa belle queue vient lourdement s'enfoncer dans mon pauvre petit derrière. Et pendant que je suis en train de commencer à tirer la langue et à lever les yeux en l'air tellement son traitement me rendait folle, mon violeur m'ordonne de le supplier de recevoir sa semence. Je ne perds donc pas une seconde pour lui obéir encore, alors que la caméra de son téléphone continue toujours de nous filmer.
- Oh oui! Oui! Je veux ton sperme! Viens me remplir encore une fois avec ta semence, mon bel étalon viril! Remplis-moi les fesses comme une catin! Vas-y! Souille-moi s'il te plait! Souille-moi et maltraite-moi jusqu'au bout! Je t'en prie!
Dans mes supplication obscènes et dégradantes de vouloir le voir absolument terminer de me violer en beauté, je tire la langue pendant que mon beau mâle viril vient me prendre encore plus violemment. Je ressens sa queue qui me laboure l'intérieur avec rare sauvagerie et je ressens les puissants claquement qui viennent coquinement me cogner les fesses. C'était douloureux car il y allait particulièrement fort! Mais c'était tellement bon en même temps! Pour moi, c'était ça être une vraie esclave sexuelle. J'étais le jouet qui appartenait aux hommes les plus odieux! Une pauvre femme doublée d'une lâcheté affligeante, qui n'a pas honte de mettre de côté sa dignité pour se mettre sexuellement au service des plus forts avec plaisir.
- Oh! Ooooh! Ah!
Ses derniers coups de reins sont si violents, que je ne peux plus rien faire d'autre que de soupirer de façon étouffée. Je couine malgré tout avec autant d'ardeur, que je reçois avec violence son bel engin tout au fond de mes fesses. J'étais rouge. Mon corps était brûlant et je ressentais avec délice ses doigts qui pénétraient ma chatte, elle-même précédemment souillée par ses fluides de mâle dominant. Mais surtout plus rien ne semblait maintenant avoir d'importance entre nous deux, que de le savoir arriver à ses fins. A se décharger et à se soulager de moi et de mon pauvre corps éternellement au services des hommes de son genre. Et lorsqu'il est prêt à jouir et que mon clitoris semble lui aussi être sur le point de céder comme le sont mes tétons sous l'agression continuelle, j'entends un délicieux bruit visqueux. Un bruit annonciateur de sa nouvelle jouissance, qui s'entremêle avec mes propres fluides et celle sa semence qui continuent à couler de l'autre côté, depuis cette position qui met en valeur toute ma soumission face à sa domination.
Il n'en faut alors pas d'avantage, pour que ce pervers monstrueux arrive enfin à ses fins à force de me sodomiser virilement et continuellement. Pendant qu'il se contracte, il vient m'engorger l'intérieur de mes fesses qui est probablement au moins aussi dilaté que l'épaisseur de sa propre verge. Je l'encourage évidemment encore une fois, histoire de lui donner les meilleurs sensations possibles, pendant qu'il jouit et termine de m'humilier.
- Oh oui! Vas-y remplis-moi! Remplis-moi comme truie! Oh mon Dieu je sens ta semence! Oh mon Dieu!...
Comme en état d'extase et de choc en même temps, j'entends plusieurs fois d'autres clapotements pendant qu'il me remplit par de puissants jets chauds et gras. Avec la jambe bien relevée, je reste ainsi entièrement immobile durant toute la durée où il se termine en moi. Les yeux écartés, la bouche grande ouverte, je respire bruyamment tout en regardant son téléphone avec mon air le plus soumis. Avec presque la même expression que celle d'un animal en détresse. Toute cette situation qui perce à jour ma servilité, suffit enfin à me faire jouir aussi. J'ai alors seulement continué de couiner d'extase, à chaque fois que le garçon venait se contracter en moi.
Alors que mon bas-ventre me tiraille à cause de la sodomie brutale et de ses fluides que je viens tout juste de recevoir encore, il se retire de de mes fesses dans un nouveau clapotement visqueux. Mon violeur qui en avait probablement terminé avec moi, s'allonge à côté tout complimentant mes performances. Encore dans un état second, mon corps et mes lèvres tremblent d'un plaisir à la fois malsain et silencieux, tandis que je ressens sa semence qui commence déjà à ressortir en masse abondante de mon derrière. Epuisée d'avoir été si violemment prise, je le vois se relever. Il me tapote la tête avec satisfaction, tout en me collant sa verge contre mon visage qui avait déjà rapetissé. D'abord surprise de le voir attraper mes deux queues kistunes, je gémis et je glousse une dernière fois, lorsqu'il vient claquer mes fesses noyées dans sa semence.
- Hihi! Merci! Merci beaucoup de m'avoir violé!
Encore enivrée par ce qui représente pour moi le vrai bonheur, le garçon qui m'a plus que prise pour son esclave sexuelle se rhabille et il récupère ses affaires. Il me laisse alors là tout en se moquant de mon sort une dernière fois. Je suis malgré moi parcourue d'un frisson de plaisir, mais aussi de crainte, lorsque je l'entends me dire qu'il pourrait revenir. Le corps déjà lourd, prise par des douleurs qui vont certainement s'accentuer d'ici peu, je le vois sortir de la pièce et j'entends la porte de la boutique claquer.
Quelques instants après, comme si je venais d'être piétinée par un éléphant, je me redresse avec difficulté et je pars venir constater l'ampleur des dégâts, à travers un miroir qui se trouve dans la pièce. J'étais visiblement rouge. J'avais déjà des bleus et j'étais plus ou moins tuméfiée à certains endroits. Quant à mon vagin et à mon entre-jambe qui laissait très visiblement transparaître toute l'étendue de son passage odieux, j'avais subitement l'air de la femme qui s'était faite sauvagement agressée et violée. J'avais aussi comme l'air d'être épuisée et anéantie. J'affichais visiblement dans le miroir, celle que j'étais réellement dans l'âme. J'avais retrouvé l'image que l'on m'avait si souvent donnée, lorsque je me faisais presque chaque jour humilier dans tous les sens du terme, par cette famille sordide quand je vivais encore tout récemment sur ma planète. Mais maintenant que l'acte sexuel était terminé, je commençais déjà à ressentir le douloureux poids du contre-coup. Je me disais que je vivais encore aujourd'hui pour pouvoir ressembler tristement à ça. A cette chose misérable et décadente. A une simple chose sexuelle hors de toute pensée et de toute conscience. Et dans tout ça, je n'avais même pas pensé une seule fois à mes enfants. Et quand bien même, je n'aurai certainement rien fais pour essayer de l'arrêter. De m'arrêter tout simplement de passer pour une... prostituée masochiste.
Prise d'un dégoût qui ressurgit habituellement une fois ce genre d'actes barbares terminé, je me mets à sangloter. Je suis vraiment une mère indigne et je ne vaux pas mieux que mon propre violeur.