Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Etyhs Inoru

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- Oh! Han! Oh oui! OH OUI! OH OUI!

Des gémissements forts et audibles, je me laisse aller à crier sans ne plus pouvoir parvenir à garder le contrôle de moi-même, lorsque la créature virile m'attrape les deux flancs avec ses grosses mains. Le dos maintenant relevé et forcé d'être courbé pour lui apporter encore plus de puissance, j'arrive maintenant à entrevoir son pénis imposant qui entre et qui ressort de mon vagin étroit et brûlant de désir. Avec mon sexe qui se fait encore d'avantage presser par ses assauts de plus en plus virils, j'entends la créature gémir avec moi. Son souffle était rauque et saccadé. Sa délicieuse langue ne voulait pas non plus lâcher le bout de la mienne.

Dans ses claquements de bassin résonnants, j'entendais de plus en plus régulièrement des bruits spongieux, à chaque fois que je recevais son puissant membre au fond de moi. Son sexe allait de plus en plus vite et fort dans le mien. Mon corps s'affolait autant que ma tête. Mon intimité brûlait et elle n'attendait plus que de recevoir sa jouissance tout au fond. Mais je trouvais ça tellement bon! C'était tellement délicieux de s'accoupler avec un être tel que lui! Il me prenait si bien, que je finis par craquer. Mon clitoris qui s'est enflammé depuis un bon moment, finit par plier face à ses coups de bassins fougueux et volumineux. Mon entre-jambe paraît comme être submergé par un raz-de-marrée intérieur. Je jouissais!

- Aaaanh! AAAAAAANH! AAANH! OH MON DIEU!

Je jouis intensément pendant qu'il continue de me prendre avec passion. Lorsque je crie, je grimace et je me contorsionne dans un langoureux plaisir, en m'abandonnant à lui charnellement au plus haut degrés. Tout mon bien-être se déverse sur sa verge qui se lubrifie encore plus, pendant que mon vagin se faisait pilonner en continu. J'étais prête à recevoir toute sa jouissance jusqu'au fond de mon intimité qui n'attendait plus que ça!

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Une fois la remise en ordre du magasin terminée après fermé celui-ci, je quitte la boutique elle-même pour rejoindre l'escalier de bois qui conduit à mes appartements. Dans mon petit deux pièces, mes quartiers intimes que je retrouve comme à peu près chaque soir, je me mets à mon aise et je fais un petit brin de toilette, avant d'aller me faire à manger. Après avoir fais la vaisselle et un peu de rangement, je termine généralement la soirée soit en essayant de continuer de me formaliser avec l'ordinateur, soit avec un livre avant d'aller dormir. Et étrangement lorsqu'il est un peu plus de 22 heures, j'entends que l'on se met à toquer à la porte d'en bas. J'étais naturellement méfiante et je savais qu'il y avait parfois des rôdeurs qui essayaient d'entrer. Donc je n'ouvrais généralement pas, sauf si j'attendais quelqu'un en particulier. mais lorsque je crois reconnaitre la voix de mon fils qui m'appelle, je me précipite dans le couloir et je descends les escaliers aussi vite que je peux.

Arrivée au seuil de la porte verrouillée avec ma nuisette blanche, je reconnais immédiatement Tetyhs et... Malkio? Je ne savais pas ce qu'il faisait avec lui, mais j'avais récemment rencontré cet étonnant garçon à ma boutique. Nous avions passés depuis mon petit service "extra", un service sexuel que je propose pour pouvoir m'aider à arrondir mon chiffre d'affaires, un moment plus que torride. Ce garçon avait quelque chose qui m'avait perturbée dès l'instant où il était entrée dans ma boutique. Et le revoir ce soir en la compagnie de mon fils, me rendait encore une fois confuse. Surprise de les voir arriver à l'improviste, je les regarde tour à tour avec étonnement pendant que j'ouvre rapidement la porte. Mais lorsque je les regarde de nouveau pendant un court instant et que mes yeux passent de l'un à l'autre, je ressentais chez eux comme quelque chose d'assez étrange...

- Tetyhs? Malkio? Qu'est-ce que vous faites là? Tout va bien?...

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Le parc et son sous-bois / Un cauchemar qui recommence [Héraclès]
« le: samedi 15 mai 2021, 23:12:12 »
Journée de dimanche. Lorsque je me lève, je suis encore toute courbaturée. Je m'étire et je fais quelques mouvements avant de me lever et de faire un petit brin de toilette, avant de prendre un petit déjeuner. Malheureusement suite à une série d'événements et en particulier un qui concerne ma fille Setyhs, je ne me sentais pas en forme. J'étais préoccupée et à chaque fois que je la voyais, je devais tout faire pour ne pas le lui montrer. Mais heureusement, mes mots et ma magie semblaient l'aider. Seulement je me sentais lourdement coupable et responsable de ce qui s'était passé, même si elle me disait ne pas m'en vouloir après avoir discuté...

Je décide de me ressaisir et d'essayer de penser à ce que j'allais faire de cette journée. Je profite pour faire un peu nettoyage et de une remise en ordre rapide de la boutique, avant de passer un petit coup de fil à mes enfants pour prendre de leurs nouvelles. Une fois la conversation terminée, je finis de me préparer pour partir dans l'un des plus grands parcs de la ville, qui se trouve en dehors du centre avec un peu de matériel. Tout en profitant pour me détendre, je voulais essayer certains effets magiques sur l'environnement, grâce à la magie blanche. La végétation avait beau ressembler à celle de ma planète comme avec les animaux, elle n'était quand pas exactement pareille dans son fondement.

Je quitte ainsi la boutique vers la fin de la matinée après avoir consulté le plan de la ville et je prends mon vélo pour me rendre dans le parc que j'avais noté. Il faisait plutôt beau et assez bon pour que je puisse me permettre de ne porter qu'une robe une pièce de couleur blanche, avec de jolies grandes fleurs bleues dessinées dessus et sur laquelle était déposée une petite veste à la fois légère et courte comme la robe. J'avais mis une paire de collants aussi blanc que la robe avec des petites chaussures de ville mais suffisamment résistantes pour marcher sur des sentiers délicats. Je salue les quelques personnes du quartier que je pourrais éventuellement reconnaitre, avant de sortir et d'arriver un peu plus tard sur les lieux. Après avoir pris précautionneusement soin de garer et d'attacher mon vélo qui me servait aussi pour mes livraisons en semaine, je m'enfonce dans le parc avec un petit sac bleu sur le dos. Il semble y avoir du monde et l'endroit était relativement bien animé. De temps en temps, pendant que je regardais d'autres personnes en chemin, ma robe se mettait à flotter légèrement au gré d'un petit vent qui pourrait être légèrement frais en l'absence du soleil. C'est apaisée de ressentir cette boule de feu terrienne me caresser les parties visibles de ma peau, comme celles de mon visage, que je décide de me rendre dans les sous-bois après avoir un peu flâné Lorsque je m'enfonce et que je passe à travers les arbres en m'assurant ne pas être suivie, je finis par arriver dans un endroit où les arbres se resserraient encore d'avantage. La lumière baissait délicatement, sans que leurs ombres ne paraissaient oppressantes.

Au bout de peut-être une petite demi-heure de marche, lorsque je suis entièrement certaine que je ne serai vue par personne, je décide déballer les ustensiles et de sortir mes cristaux magiques. Tout en les répartissant à différents endroits, j'illumine par moment mes mains. Parfois elle se faisaient blanches, parfois jaunes ou vertes. Chaque couleur était lié à un attribut directement relié au concept de la magie blanche. Mais alors que je fais quelques tests, que mes tentatives et la nature absorbe toute ma concentration, mes oreilles se dressent lorsque j'entends un bruit. Ma queue se raidit légèrement, lorsque je crois entrevoir une grande ombre mouvante qui se déplace rapidement vers moi...

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Je n'en pouvais déjà plus! J'avais l'impression que c'était la première fois de ma vie que j'avais un rapport sexuel, sans avoir de contraintes imposées. Les effets que je ressentais n'étaient pas tout à fait habituels. Au-delà d'être intenses, ils me paraissaient vrais. J'avais cette curieuse sensation de libération avec lui, que je n'avais jamais vraiment ressentis auparavant. Comme s'il y avait une forme d'authenticité naturelle et communicante qui n'arrêtait pas de me traverser. En attendant ce garçon était adorable et même ses mots crus m'excitaient encore plus! Ils arrivaient à me toucher autant qu'un compliment, tellement j'étais excitée par lui!

Mais comme je ne savais pas trop quoi lui répondre, je laisse donc mon corps s'exprimer à ma place, tout en lui souriant. Soupirs sur soupirs, le jeune garçon continue d'enfoncer sa fougue saillante à travers mes chaires brûlantes et anormalement sensibles, avec toujours plus de motivation. Son pénis me frotte, me traverse, me lime l'intérieur en faisant des bruits spongieux qui se transforment régulièrement en succions passionnées. En expression de notre union charnelle. Ce garçon était en train de me faire perdre le contrôle de moi-même. Au point que je commençais volontiers à fantasmer être de nouveau vierge et découvrir ce que l'on m'avait sauvagement volé sans pitié par le passé.

Pendant que je tressaute face à ses assauts répétés et que mon vagin n'arrête plus de lubrifier son bel engin fougueux, Malkio me demande dans une délicieuse provocation si j'étais prête à recevoir sa jouissance. A accueillir sa semence jusqu'au fond de mon sexe qui n'arrêtait pas de se faire prendre virilement par ce drôle de petit coquin, qui semblait avoir vraiment un besoin urgent de se soulager.

- Oui! Vas-y Malkio! Je te veux! Je... je veux que tu jouisses au fond de moi s'il te plait...

Presque gênée et intimidée, je lui réponds vouloir recevoir sa semence dans mon sexe brûlant. Lui donner mon approbation me renvoie une nouvelle chaleur intense, suivie immédiatement par un courant électrique qui se perd dans mon entre-jambe. Je pose alors mes mains chaudes contre ses épaules avec fébrilité, tout en continuant de serrer bien fort mes cuisses au plus près des siennes. Je le voulais en moi! Je voulais que cet instant d'intimité nous soit entièrement réservé. C'était un garçon talentueux et qui savait parfaitement faire communiquer son corps avec le mien, malgré son âge. C'était vraiment étonnant.

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Les bas fonds / Re : Doux câlins pour un grand et gros héros [Klaus]
« le: samedi 15 mai 2021, 18:14:11 »
Lorsque je m'étire, j'entends l'imposant crocodile se mettre à grogner. Les poses et les différents gémissements que je faisais, semblaient lui faire beaucoup d'effet. Au point que pendant que je ressens sa grosse langue humide et chaude me caresser le visage, qu'il passe son énorme main sous mon dos pour m'aider à accentuer ce mouvement de torsion. Mon sexe se contracte un peu plus fort à ce moment là, pendant qu'il continue de me faire ressentir sa virilité qui n'arrête plus de plonger au fond de mon doux vagin qui fourmille, à chaque instant. Même moi je n'imaginais pas que j'allais trouver ce rapport charnel impromptu aussi agréable.

Tout en exprimant des mots similaires aux précédents, je continue de gémir sans m'arrêter. Je laisse parfois échapper certains couinements un peu plus forts, lorsque je le sens appuyer son gros sexe viril tout au fond de mon intimité. La position de mon dos avait encore accentué cet effet, que j'avais de plus en plus de mal à contrôler. Mais les sensations continuent encore d'affluer, lorsque sa langue se met à toucher la mienne quand j'ouvre la bouche. Elle était bien sûr beaucoup trop grosse pour que je puisse la prendre en moi, mais le peu que je goutais d'elle suffisait à éveiller encore un peu plus mes sens. Sous ses propres soupirs qui ressemblent à des grognements, il se met ensuite à accélérer. La pression dans mon bas-ventre s'amplifie encore une fois et mon sexe se met à fourmiller de plus en plus. Mes cuisses commençaient à trembler, tellement je ressentais l'orgasme monter. Il y avait aussi les bruits que j'entendais à chaque fois qu'il entrait en moi, pendant que mon corps tressautait de plus en plus fort. Il avait un mélange de douceur et de puissance que je trouvais irrésistible.

Et sans arrêter d'ouvrir la bouche et de ressentir sa langue humide caresser le bout de la mienne, je continue d'enserrer ses énormes flancs avec mes cuisses. Avec ce délicieux goût de l'abandon, je l'encourage à continuer et d'aller jusqu'au bout, à travers mes profonds soupirs qui ne s'arrêtaient plus.

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Plus je soupire et plus j'entends la créature corpulente se mettre à expirer bruyamment. Son pénis s'imposait de plus en plus fort en moi, à chaque fois que mon vagin le recevait tout au fond. Mon clitoris se sensibilise à mesure que ses généreux frottements se répètent continuellement, avec son gros sexe qui entre et qui ressort du mien. Sous les claquements bruyants que faisait son lourd bassin en me touchant, la paille bouge sous mon corps qui se soulève doucement, mais dans une puissance régulière. Je reste bien sûr un peu confuse en repensant à tout ce qui s'était passé avant, en si peu de temps seulement. Mais j'étais convaincue que cette créature méritait que je me donne à elle, en retour de son soutient de tout à l'heure.

- Oh mon Dieu! Continue! Ne t'arrête pas s'il te plait!

Pendant que je laisse volontairement mon corps perdre le contrôle sous les sensations, le crocodile géant vient me lécher le visage avec son énorme langue. Tout en fermant les yeux, je m'étire volontairement en arrière pour continuer de le ressentir en moi, sur moi. Je le laissais me caresser le visage avec excitation. Je faisais tout pour continuer de m'offrir à lui. Je désirais que la créature ressente toute ma soumission. Avec les mains que je garde au-dessus de ma tête, j'ouvre la bouche pour l'inviter à venir me lécher la langue et l'intérieur de mon palais, tout en gémissant sensuellement et en laissant mon partenaire me guider là où il le voudra.

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Pendant que je me fais prendre comme l'esclave sexuelle que j'ai docilement appris à devenir avec le temps, je couine et je souris lorsque je l'entends continuer de me rabaisser sans aucune pitié. "Esclave sexuelle", "trainée", "pute", "salope", "chienne", je retrouve avec lui toute la liste de mots habituels que j'avais l'habitude d'être gratifiée, y compris encore aujourd'hui. Mais en me faisant humilier à la hauteur de mes attentes, comme à l'époque. C'était tellement bon d'être autant rabaissée, que j'en arrivais presque à jouir. Mais je voulais encore attendre un peu. Je voulais surtout jouir au moment où je toucherais complétement le fond. Si possible ce fameux moment où il serait en train de me souiller encore une fois.

- Oh c'est parfait! C'est tellement merveilleux! Avec toi je suis enfin libérée! Merci!

Tout en remerciant mon violeur de m'insulter de manière dégradante et de continuer de me prendre comme une "chienne", je me mets couiner aussi fortement que je peux. A chaque fois que sa belle queue vient lourdement s'enfoncer dans mon pauvre petit derrière. Et pendant que je suis en train de commencer à tirer la langue et à lever les yeux en l'air tellement son traitement me rendait folle, mon violeur m'ordonne de le supplier de recevoir sa semence. Je ne perds donc pas une seconde pour lui obéir encore, alors que la caméra de son téléphone continue toujours de nous filmer.

- Oh oui! Oui! Je veux ton sperme! Viens me remplir encore une fois avec ta semence, mon bel étalon viril! Remplis-moi les fesses comme une catin! Vas-y! Souille-moi s'il te plait! Souille-moi et maltraite-moi jusqu'au bout! Je t'en prie!

Dans mes supplication obscènes et dégradantes de vouloir le voir absolument terminer de me violer en beauté, je tire la langue pendant que mon beau mâle viril vient me prendre encore plus violemment. Je ressens sa queue qui me laboure l'intérieur avec rare sauvagerie et je ressens les puissants claquement qui viennent coquinement me cogner les fesses. C'était douloureux car il y allait particulièrement fort! Mais c'était tellement bon en même temps! Pour moi, c'était ça être une vraie esclave sexuelle. J'étais le jouet qui appartenait aux hommes les plus odieux! Une pauvre femme doublée d'une lâcheté affligeante, qui n'a pas honte de mettre de côté sa dignité pour se mettre sexuellement au service des plus forts avec plaisir.

- Oh! Ooooh! Ah!

Ses derniers coups de reins sont si violents, que je ne peux plus rien faire d'autre que de soupirer de façon étouffée. Je couine malgré tout avec autant d'ardeur, que je reçois avec violence son bel engin tout au fond de mes fesses. J'étais rouge. Mon corps était brûlant et je ressentais avec délice ses doigts qui pénétraient ma chatte, elle-même précédemment souillée par ses fluides de mâle dominant. Mais surtout plus rien ne semblait maintenant avoir d'importance entre nous deux, que de le savoir arriver à ses fins. A se décharger et à se soulager de moi et de mon pauvre corps éternellement au services des hommes de son genre. Et lorsqu'il est prêt à jouir et que mon clitoris semble lui aussi être sur le point de céder comme le sont mes tétons sous l'agression continuelle, j'entends un délicieux bruit visqueux. Un bruit annonciateur de sa nouvelle jouissance, qui s'entremêle avec mes propres fluides et celle sa semence qui continuent à couler de l'autre côté, depuis cette position qui met en valeur toute ma soumission face à sa domination.

Il n'en faut alors pas d'avantage, pour que ce pervers monstrueux arrive enfin à ses fins à force de me sodomiser virilement et continuellement. Pendant qu'il se contracte, il vient m'engorger l'intérieur de mes fesses qui est probablement au moins aussi dilaté que l'épaisseur de sa propre verge. Je l'encourage évidemment encore une fois, histoire de lui donner les meilleurs sensations possibles, pendant qu'il jouit et termine de m'humilier.

- Oh oui! Vas-y remplis-moi! Remplis-moi comme truie! Oh mon Dieu je sens ta semence! Oh mon Dieu!...

Comme en état d'extase et de choc en même temps, j'entends plusieurs fois d'autres clapotements pendant qu'il me remplit par de puissants jets chauds et gras. Avec la jambe bien relevée, je reste ainsi entièrement immobile durant toute la durée où il se termine en moi. Les yeux écartés, la bouche grande ouverte, je respire bruyamment tout en regardant son téléphone avec mon air le plus soumis. Avec presque la même expression que celle d'un animal en détresse. Toute cette situation qui perce à jour ma servilité, suffit enfin à me faire jouir aussi. J'ai alors seulement continué de couiner d'extase, à chaque fois que le garçon venait se contracter en moi.

Alors que mon bas-ventre me tiraille à cause de la sodomie brutale et de ses fluides que je viens tout juste de recevoir encore, il se retire de de mes fesses dans un nouveau clapotement visqueux. Mon violeur qui en avait probablement terminé avec moi, s'allonge à côté tout complimentant mes performances. Encore dans un état second, mon corps et mes lèvres tremblent d'un plaisir à la fois malsain et silencieux, tandis que je ressens sa semence qui commence déjà à ressortir en masse abondante de mon derrière. Epuisée d'avoir été si violemment prise, je le vois se relever. Il me tapote la tête avec satisfaction, tout en me collant sa verge contre mon visage qui avait déjà rapetissé. D'abord surprise de le voir attraper mes deux queues kistunes, je gémis et je glousse une dernière fois, lorsqu'il vient claquer mes fesses noyées dans sa semence.

- Hihi! Merci! Merci beaucoup de m'avoir violé!

Encore enivrée par ce qui représente pour moi le vrai bonheur, le garçon qui m'a plus que prise pour son esclave sexuelle se rhabille et il récupère ses affaires. Il me laisse alors là tout en se moquant de mon sort une dernière fois. Je suis malgré moi parcourue d'un frisson de plaisir, mais aussi de crainte, lorsque je l'entends me dire qu'il pourrait revenir. Le corps déjà lourd, prise par des douleurs qui vont certainement s'accentuer d'ici peu, je le vois sortir de la pièce et j'entends la porte de la boutique claquer.

Quelques instants après, comme si je venais d'être piétinée par un éléphant, je me redresse avec difficulté et je pars venir constater l'ampleur des dégâts, à travers un miroir qui se trouve dans la pièce. J'étais visiblement rouge. J'avais déjà des bleus et j'étais plus ou moins tuméfiée à certains endroits. Quant à mon vagin et à mon entre-jambe qui laissait très visiblement transparaître toute l'étendue de son passage odieux, j'avais subitement l'air de la femme qui s'était faite sauvagement agressée et violée. J'avais aussi comme l'air d'être épuisée et anéantie. J'affichais visiblement dans le miroir, celle que j'étais réellement dans l'âme. J'avais retrouvé l'image que l'on m'avait si souvent donnée, lorsque je me faisais presque chaque jour humilier dans tous les sens du terme, par cette famille sordide quand je vivais encore tout récemment sur ma planète. Mais maintenant que l'acte sexuel était terminé, je commençais déjà à ressentir le douloureux poids du contre-coup. Je me disais que je vivais encore aujourd'hui pour pouvoir ressembler tristement à ça. A cette chose misérable et décadente. A une simple chose sexuelle hors de toute pensée et de toute conscience. Et dans tout ça, je n'avais même pas pensé une seule fois à mes enfants. Et quand bien même, je n'aurai certainement rien fais pour essayer de l'arrêter. De m'arrêter tout simplement de passer pour une... prostituée masochiste.

Prise d'un dégoût qui ressurgit habituellement une fois ce genre d'actes barbares terminé, je me mets à sangloter. Je suis vraiment une mère indigne et je ne vaux pas mieux que mon propre violeur.

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Les bas fonds / Re : Doux câlins pour un grand et gros héros [Klaus]
« le: samedi 08 mai 2021, 17:14:07 »
Tout en essayant de rester détendue, mes oreilles se mettent à bouger. Elles perçoivent chacun de nos bruits. Chacune de nos respirations. Et pendant que je me prépare pour la première fois de ma vie à me faire pénétrer par une créature au membre si développé, il continue de presser le bout de son sexe contre le mien. Pendant que je reste en position de soumission, mains une nouvelle fois placées au-dessus de la tête, je le ressens rentrer de plus en plus à l'intérieur de mon intimité. Lorsque je ressens l'effet de relâchement, signe caractéristique que mon sexe est en train de céder face au sien, je me mets immédiatement à gémir encore. Je pousse un fort soupir de plaisir, sans même m'en rendre de suite compte. Et pendant que la grosse créature semble grogner de satisfaction, je ressens une pression. Prise en même temps par une bouffée de chaleur, l'imposante créature me regarde, puis elle se met encore une fois à me renifler. Je lui souris timidement tout en le laissant faire. Pendant que je continue de m'offrir à lui, il finit par glisser tout au fond de moi et je gémis encore. Lorsque je le ressens presser de long en large toute mon intimité qui enserre la sienne, ou du moins une partie, je place mes jambes autour de ses flancs massifs. Dès qu'il se met à reculer pour revenir ensuite en moi, je gémis de nouveau. Puis sans attendre, il recommence encore et encore et à chaque fois, je continue de soupirer en rythme. Je me laisse volontiers aller à couiner, à chaque fois qu'il vient plonger virilement son engin dans le fond de ma petite intimité.

- Oh! Oh oui!...

Contrairement à mes craintes, mon vagin parvient à vite se détendre et je reçois beaucoup de plaisir en retour. Je ressens la chaleur de son gros sexe qui se fait enserrer par le mien, à chaque fois qu'il renouvelle ses vas et viens. Et plus il allait et il venait, plus je me laissais aller bien volontiers à soupirer fort.

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Au bout d'un moment, alors que j'ai arrêté de compter les larmes que je versais, je vois le monstre sortir de ma boutique. Prise de dégout, je me relève du banc avec difficulté. Je retraverse péniblement la rue, comme si j'avais subitement vieilli d'un nombre incalculable d'années. En état de choc, je retourne dans le magasin. Dans la boutique elle-même, rien de semblait avoir été saccagé ou renversé comme la dernière fois. Dans un état second, je continue vers la pièce d'à côté. La fameuse chambre où je recevais les clients qui souhaitaient obtenir de moi une faveur sexuelle. Et c'est exactement dans cette même pièce, que j'ai lâchement abandonné ma fille que j'ai laissé entre les mains de ce pervers. Je suis indigne et je ne mérite pas le titre de mère! J'ai tous fais pour que nous nous retrouvions. Que nous vivions ensemble tous les trois heureux et voilà que mes travers parviennent à avoir de très lourdes répercussions sur eux...

- Setyhs!!!

Lorsque je rentre dans la pièce, je crie immédiatement le nom de ma fille en la voyant sur le lit. La peur au ventre, je me précipite vers elle et je constate avec soulagement qu'elle n'est ni gravement blessée ni... Lorsque je réalise la réalité de sa situation et jusqu'où j'ai porté ma responsabilité, je me remets à pleurer. Mais je cesse aussitôt de me lamenter sur mon propre sort, pour faire briller mes mains d'une lueur blanche. Leur douce chaleur finit par rencontrer sa peau, son visage tuméfié que je caresse doucement. Pendant que je caresse la chair de ma chair, ses blessures se referment progressivement, y compris au niveau de son entre-jambe... Même si elle y gardera encore des douleurs pendant un certain temps tout comme moi...

Lorsqu'elle apparait être apaisée dans son inconscience, je la regarde en lui caressant les cheveux et les joues. Je me sentais terriblement coupable de l'avoir abandonnée. Je ne saurais dire si elle pourrait me pardonner, mais je me devais peut-être de leur conter à elle et Tetyhs, un peu plus de mon histoire et de ma vie. De leur conter malheureusement les souffrances et les multiples viols que j'ai chaque dus subir durant plus de la moitié de mon existence. D'avoir été rejeté et vendue par une famille qui me détestait, pour la simple raison que j'existais.

- Pardon! Pardon Setyhs! Pardon Tetyhs! Je sais que je ne mérite pas votre amour! J'ai été égoiste en réapparaissant ce jour là devant vous. J'ai voulu que nous soyons tous réunis, alors que je ne suis pas même pas capable de vous protéger. Mais... c'est en pensant à vous chaque jour de ma vie, que je suis parvenue à surmonter toutes les épreuves que j'ai dut subir! J'aimerai tellement pouvoir vous aider! J'aimerai tellement vous montrer que malgré mes erreurs, que rien ne pourra jamais briser l'amour que je vous porte à tous les deux! Je vous aime depuis le premier jour où vous êtes apparus dans mon ventre! Unis tous les deux. Ensemble et en même temps.

Je prends ensuite Setyhs dans mes bras et tout en la berçant doucement, je me remets à pleurer. J'avais la terrible sensation que même l'amour que je leur portais, ne pourrais jamais avoir raison de mon impuissance. Contre la fatalité de ma propre faiblesse, que mes horribles bourreaux ont forgés avec le temps... Mais sachez que je vous aime! Je vous aimerai jusqu'à la fin de mes jours! Quoiqu'il puisse arriver!...

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L'adolescent coquin continue de me pénétrer avec passion et sensualité. Je me laisse aller et mon désir ne cesse de croitre, au fur et à mesure que je m'offre à lui. Pendant que je me fais conquérir par ce joli garçon, je ressens mon sexe qui se contracte lui aussi de plus en plus. Avec son pénis logé au coeur de mon intimité, mon corps se laissait guider par sa fougue passionnée. Mon clitoris se fait délicieusement frotter à chacun de ses passages emportés dans mon entre-jambe. A chaque fois que je le reçois tout au fond, je couine pendant que mon corps tressaute. Ses talents étaient exceptionnels pour quelqu'un d'aussi jeune que lui. Mais nous étions bel et bien deux à nous laisser emporter par le désir pour l'autre. Moi qui le serrais avec mes cuisses, contre mon corps aussi brûlant que mon sexe. Lui qui gémissait avec moi, tout en prenant plaisir à sentir sa virilité confortablement logée dans ma douce intimité toute chaude. Et lorsque ses attentions étaient reportées sur mes tétons durcit par l'excitation, j'en frissonnais. Pendant que je lui offrais ma soumission, les bras écartés sur le matelas du lit qui grinçait en continu, nous continuons régulièrement à nous embrasser. Ma langue dansait fougueusement avec la sienne. Par moment, même mon esprit était comme possédé par ce garçon.

Partis dans ses élans vigoureux, Malkio augmente encore le rythme. Il me pénètre avec encore plus de puissance et je lui réponds par des gémissements encore plus forts. Pendant que mon corps était pris d'assaut, je laissais parfois transparaitre un sourire d'extase. Lorsque je continue de lui en redemander encore, Malkio me faisait savoir qu'il était prêt à exaucer mon souhait. Je ressentais alors comme un bonheur soudain. J'en éprouvais la satisfaction d'avoir avec moi, un garçon qui se préoccupait aussi des mes désirs.

- Oh! Oh! Je vais encore jouir Malkio! Ne t'arrêtes pas s'il te plait! Toi aussi tu es tellement divin!

En perte de contrôle de mon propre corps, je couine très fortement à chaque fois que je me faisais transpercer par sa jolie verge. Je ressentais son pénis qui me traversait le sexe continuellement. Je commençais à être en extase presque en permanence. Je lui renvoyais toute mon expression de bonheur à lui être soumise. Un signe annonciateur de mon prochain orgasme qui promet d'être encore plus intense que le premier déferle dans mon vagin, lorsque je ressens mon clitoris fourmiller avec ardeur.

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Mon bel étalon viril pose le téléphone sur la table, tout en pointant la caméra vers nous. Je pince des lèvres et je passe ma langue dessus, en même temps que je le regarde aussi docilement que lubriquement. Très impatiente de le recevoir dans mon derrière, avec son gros membre qui ne perd à aucun moment de sa superbe, je le vois se masturber pendant qu'il me regarde avec une envie aussi forte que la mienne. Lorsqu'il retire ma main sur mon postérieur avec sa dominance écrasante que j'aime de plus en plus, je lui souris tout en couinant doucement. Je couine ensuite un peu plus fort, dès qu'il commence à me lubrifier l'anus avec sa langue, pendant qu'il m'attrape mes deux queues kitsunes. Il me gratifie encore une fois de l'un de mes noms préférés, celui de "chienne", avant de passer ensuite derrière moi. Le beau garçon qui n'arrête pas de me maltraiter moralement et sexuellement, m'attrape la poitrine et la prend dans ses grosses mains perverses. Sans avoir besoin de forcer, je redouble de gémissements torrides lorsqu'il me lèche la joue et que son sexe viril commence à frotter mon derrière. Heureuse d'être devenue momentanément la propriété d'un individu qui n'hésite pas un seul instant à se montrer cruel et odieux avec moi, il commence à rentrer son gros pénis entre mes petites fesses.

- Aaah... Aie! Hahaha! Aie! Oh c'est bon!

Prise entre l'excitation et la douleur, il me force à recevoir sa puissante virilité qu'il fait entrer petit à petit dans mon pauvre rectum. Lorsque mon violeur qui m'attrape comme sa femelle soumise arrive jusqu'à une certaine distance, il continue de me sodomiser en exécutant des vas et viens. Je me mets à gémir en suivant de force la cadence, pendant qu'il me lèche encore la joue et que je me retrouve dans une position qui lui permet de me prendre facilement et agréablement. Comme tout à l'heure, je pense à regarder régulièrement la petite caméra de son téléphone qui nous fixe, tout en couinant toujours plus fort. Je crie lorsqu'il fait entrer sournoisement sa verge dans mon derrière, par un violent coup bien placé. Pression et forte douleur s'entremêlent avec l'éternel plaisir qui ne me quittera maintenant plus, alors qu'il ne me laisse aucun répit pour directement passer à la vitesse supérieure.

- Aie! Doucement s'il te plait je... tu me fais mal je... Oh oui!

Essayant mollement de lui dire d'y aller plus doucement, mon corps convulse à chaque fois que je reçois de sa part un puissant coup de bassin qui cogne et qui claque contre mes fesses. La douleur finit par s'estomper rapidement pendant qu'il me dilate le rectum, tout en m'imposant une sodomie virile et puissante. Je regarde ensuite une nouvelle fois lubriquement la caméra tout en suçant goulument un de mes doigts, comme s'il s'agissait d'un nouveau pénis.

- Oh! Oh mon dieu c'est tellement bon de se faire violer! Oh mon dieu!

Je tressaute complétement pendant que je parle et que je me laisse aller à mes pulsions obscènes et malsaines. Ma voix s'entre-coupe à cause de l'excitation et de l'ardeur que le garçon met à me sodomiser brutalement sans la moindre retenue. Fascinée d'imaginer tout un tas de personnes qui puissent assister à mon propre viol, je couine encore bien fort lorsque mon nouveau maitre me cale ses gros doigts dans mon vagin en feu et qui continue de recracher encore de sa belle semence visqueuse. Je crie presque comme une hystérique en manque de retrouver ces instants pervers bien trop longtemps refoulés, lorsqu'il me traite de pute et de tarée.

- Oui! Encore! Insulte-moi encore! Vas-y! Rabaisse-moi encore mon bel étalon!

Comme "une pute et une tarée", j'encourage avec force mon violeur à continuer de m'insulter et de ne pas s'arrêter de me prendre par derrière! Je trouvais cette sodomie parfaite! Elle me faisait cette sensation de bien et de mal en même temps, sans jamais que je ne cesse de me sentir me faire humilier. Et j'aimais encore plus cet acte sexuel barbare et dégradant, en sachant qu'il y aurait certainement beaucoup de personnes qui viendraient nous regarder. Quel beau spectacle décadent et rabaissant je donnais de moi! Je vivais un instant mémorable!

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J'étais ravie de partager un tel moment d'intimité avec lui. Il semblait être doux, mignon et vraiment passionnant. Bien qu'il était vigoureux et taquin, je sentais qu'il ne cherchait pas simplement à profiter de moi pour seulement me prendre et partir ensuite. Il était remplis de nombreuses petites attentions, que j'avais relevé depuis qu'il était entré dans ma boutique...

Tout autant en chaleur à l'extérieur que de l'intérieur, je prends un immense plaisir partagé à le sentir me pénétrer. L'adolescent fougueux ne perd pas une seconde pour s'accoupler sensuellement avec moi, dès qu'il ressent mes envies presque aussi pressantes que les siennes. Je laisse échapper un couinement fort et audible, quand je ressens son vigoureux pénis venir s'enfoncer et glisser dans mon vagin. Je reçois une nouvelle décharge de chaleur intense dans mon sexe, sitôt qu'il se retrouve entièrement en moi. Dès qu'il finit de me pénétrer, j'entends Malkio me dire avec grande excitation, me trouver être brulante. Il me faisait remarquer sur un ton à la fois un peu vulgaire mais coquin, comme je n'attendais que lui. Un peu gênée, je rougis et je souris à l'adolescent qui avait ressentis les sensations que j'éprouvais pour lui.

Dans notre position confortable, Malkio commence à aller et venir dans mon entre-jambe. Et à chaque fois qu'il arrive profondément en moi, je suis encore prise par des frissons et des bouffées de chaleur torrides. Je déglutis régulièrement lorsque je ressens sa jolie verge à l'odeur à la fois légère et virile, entrer intimement en moi. Et alors que Malkio me parle, il vient poser ses lèvres sauvages sur les miennes et il engage avec moi des baisers courts mais passionnés. Et tout en guettant avec grand plaisir chaque sensation, il fait passer sa tendresse plusieurs fois au niveau de mon menton, avant de se pencher encore pour venir me lécher les tétons.

- Ah... Malkio...

Submergée par tant d'attentions, je commence doucement à perdre un peu la tête et le contrôle de mon corps. Je n'arrêtais pas de le réclamer, en alternant entre soupires et gémissements sensuels. Lorsque Malkio se met à me prendre plus vigoureusement, j'enlace mes cuisses autour de lui et je m'agrippe aux draps, tout en couinant au même rythme que le lit qui grince en dessous de nous.

- Malkio! Encore!

Prise de vertiges, je laisse Malkio me dominer tout en lui en redemandant. Les allers et venues de sa verge en moi, me brûlait l'intimité. Mon clitoris était en feu pour ce joli garçon!

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Je rougis de plus en plus lorsque Malkio me caresse la joue et me regarde avec sensualité. Mais je suis satisfaite quand il me dit avoir aimé autant que moi, notre préliminaire intense... Avec timidité ou peut-être parce que quelque chose en lui m'impressionnait depuis le début, je continue de plonger mes yeux dans ses iris rougeoyantes, en lui souriant avec embarras. J'éprouvais un désir immense pour lui! Je n'étais pas dans mon état habituel et j'aimais les sensations fortes que je ressentais avec lui. Même si nous venions de nous rencontrer comme il me le faisait remarquer, je me sentais déjà bien. Avec lui je me sentais en confiance et comme protégée...

Passé ce court instant que je trouvais très intimement intense, le jeune garçon remplis de fougue me prend et me place sur le dos. Lorsqu'il se retrouve au-dessus de moi, je fourmille des pieds à la tête. Un nouveau frisson de plaisir me submerge comme la vague d'un océan tumultueux qui s'abat sur moi, lorsque nous-nous embrassons encore une fois. Durant l'instant où dure notre nouveau baiser, je lui caresse doucement le dos et la joue. Je ressentais avec une fébrilité infinie, le corps brulant de Malkio sur le mien.
Et lorsqu'il se redresse sur les genoux, je le vois frotter son sexe vigoureux et déjà prêt, contre mon vagin humide et brulant. Le coeur battant la chamade, j'écarte les cuisses sans cacher mon puissant désir de le recevoir. Lorsque nous croisons encore nos regards, l'adolescent fougueux à la chevelure blonde, me demande avec un fond de taquinerie, si je me sentais prête pour continuer avec lui.

- Oui!... Je le veux Malkio! J'en ai tellement envie!...

Cuisses et bras écartées aux dessus de ma tête, je continue de rougir en étant prise par de fortes bouffées de chaleur. Je dévore Malkio en le caressant du regard. Lorsque je regarde encore son pénis qui m'était tout destiné, j'étais encore plus excitée de savoir que je lui donnais de telles érections.

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Encore une fois, je dévoilais le côté sombre de ma personnalité. Celui dont j'avais intérieurement honte, mais que j'aimais sournoisement. J'avais peur et j'étais devenue entièrement soumise à tous ses caprices. Et plus j'étais humiliée et rabaissée, plus j'aimais ça! Intérieurement, j'aimais me sentir n'être plus qu'un simple objet sexuel et vulnérable. A cause des multiples viols et des souffrances que j'ai dus encaisser par le passé, je suis devenue inévitablement une esclave sexuelle prête à obéir au doigt et à l'oeil. Ils ont créé de moi l'image qu'ils voulaient, qu'ils attendaient. Avec le temps, je n'étais devenue plus qu'une pauvre chose qui se complaisait à être humiliée sans la moindre dignité. Je préfère maintenant être lâche et donner du plaisir aux hommes les plus immondes qui me veulent, que de défendre mes convictions et les valeurs qui me sont les plus chères. Oui celle que je suis habituellement, déteste ce que je suis en partie devenue à cause de ces monstres... Mais en vérité, j'aime ça! Et maintenant, je me retrouve avec mon autre moi que je cache honteusement au quotidien...

- Oh oui! Encore continue! Je t'en prie continue...

Pendant que je lui parle, que je lui exprime mes profonds désirs d'aimer être violée, je couine. Je gémis en souriant, à chaque fois que je le sens s'enfoncer virilement en moi. Et cette prise sur mon cou avec sa grosse main, me faisait d'avantage encore aimer ça. J'étais dominé par un homme qui savait parfaitement comment je devais être traitée! Au point que je ne cache pas ma déception, lorsqu'il finit par ralentir la cadence pour sortir de moi, alors que je mouille comme une fontaine. Un instant après, je me souvenais que le garçon voulait garder une trace de son passage en moi. Une trace de mon viol, dont ce terme ne voulait plus vraiment dire grand chose pour moi à présent...

Allongée sur le lit comme une chose sexuelle, je souris à la caméra de son téléphone, dès qu'il me demande de le faire. Il se met ensuite à cracher entre mes jambes, là où mon sexe ouvert à tous les hommes de son genre, s'est retrouvé agréablement dilaté par son beau membre viril. Mon agréable violeur me filme ensuite en entier, alors que je me redresse. Prêt à jouir pour finir de remplir l'esclave soumise et toute docile que je suis, il m'ordonne d'écarter les cuisses, ce que je fais. Je me mets ensuite à vibrer violemment, lorsqu'il me demande de parler. Que ce qu'il va filmer de moi, sera vu par de nombreuses personnes. Dans mon esprit, j'avais maintenant hâte que tous ces inconnus assistent à mon viol et à ma souffrance.

- Oui vas-y! Viens vite finir de me prendre! Qu'est-ce que c'est bon d'être violée par un homme tellement viril et puissant comme toi! Je peux enfin être moi-même!

Une fois de plus je souris et je ris, dès que mon violeur revient m'attraper et me remettre sans ménagement sa puissante virilité dans mon entre-jambe fortement dilaté. Avec grand plaisir, je me refais prendre violemment. Je me fais ainsi chevaucher par un de ces hommes aux moeurs peu recommandables, qui m'envoie inévitablement au septième ciel!

- Oui c'est si bon! Baise-moi comme un animal! Prends-moi comme une chienne s'il te plait! Car je n'ai jamais été rien d'autre que ça! Hahaha...

Prise de soubresauts, je supplie mon nouveau maitre en tirant la langue, de venir me donner la récompense que j'attends. Je voulais que ce mâle viril et particulièrement dominant, vienne me remplir de sa belle semence épaisse. Et avec mes supplications, je continue de ressentir ses assauts musclés dans ma chatte ravagée. Ses forts coups de bassins qui terminent de me mettre définitivement au pas, comme on met au pas une prostituée que je suis déjà, finissent par le faire jouir. Il se met alors à crier et à prendre son pied. Et pendant toute la durée où il me remplit l'orifice, je l'encourage à se décharger en moi, pour lui faire prendre toute la jouissance dont il a besoin.

- Oui!... Oui! Vas-y mon bel étalon! Crache ta semence de mâle dominant en moi! Remplis-moi!

Je regarde régulièrement la caméra, lorsqu'il éjacule en moi. Je prends un plaisir immense à montrer que d'être servile, est bel et bien mon péché mignon. Qu'il n'existe au fond de moi, qu'une pauvre chose soumise et prête à obéir à tous ceux qui veulent venir me prendre et me violer sans aucun scrupule. Et lorsqu'il finit de se déverser agréablement en moi, mon bel étalon me gratifie d'un autre nom qui me fait glousser sans la moindre honte...

Alors que je ressens son sperme épais affluer dans mon sexe jusqu'à ras-bord, il continue encore de me prendre un instant. Et lorsqu'il a entièrement terminé d'éjaculer en moi, il se retire en étant satisfait. Quand son beau membre quitte ma pauvre vulve qu'il a si bien prise, je peux enfin assister avec plaisir au résultat. Et il ne me déçoit pas. Je me mets encore une fois à glousser, alternant entre regarder l'étendue de son ravage dans mes entrailles et la caméra. Mon vagin brûlant par le désir et par la douleur de m'être faite en partie déchirer, laissait maintenant entrevoir un flot important du jus gras et épais de mon violeur. Parmi ce foutre délicieux se trouvait aussi un peu de mon propre sang, qui se mélangeait avec toute ma cyprine.

- Oh mon Dieu! Tu ne m'as vraiment pas loupée...

Toujours enivrée par ce qui était en train de se produire, mon violeur que je vois maintenant en tant que nouveau maitre à servir, me demande d'écarter les fesses. Ce que je fais de suite et sans attendre, pendant que je continue de ressentir son sperme ressortir délicieusement de mon sexe que cet individu a déchiré.

- Oh vas-y! Prends-moi les fesses comme tu m'as prise par devant, s'il te plait. Je ferai n'importe quoi pour continuer d'être toute à toi!

Avec ma servilité poussée à son maximum, je retrouvais à présent la joie d'être humiliée. J'avais hâte de continuer d'être rabaissé! Peu m'importais le malaise que je ressentirais après, une fois que tout sera terminé...

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Les bas fonds / Re : Doux câlins pour un grand et gros héros [Klaus]
« le: mercredi 31 mars 2021, 17:41:45 »
Me sentant étrangement désireuse, malgré mon inquiétude qui pouvait facilement se lire sur mes traits, la grande créature recouverte d'écailles vertes attrape mes poignets en les enlaçant dans sa propre main, aux proportions colossale. Sentant le grand moment arriver je me contracte, alors qu'il commence à appuyer son sexe particulièrement  imposant, contre ma petite intimité. Ne cherchant pas à réfléchir, j'essayais tant bien que mal de me laisser aller pour qu'il puisse entrer en moi, bien que je stressais horriblement. Tout en fermant les yeux, l'être massif s'arrête rapidement et recule encore. Soucieuse de le ressentir en permanence imprévisible, je le vois devenir comme confus, avant de revenir lécher mon sexe...

- Je... Oh!...

Comme à tout à l'heure, la créature se met à me lécher l'entre-jambe mais avec d'avantage d'intensité. Ses puissants coups de langues qui caressent mon sexe me font rapidement gémir. Son contact à la fois doux et râpeux, me procure des sensations agréables qui parviennent en même temps à m'apaiser. Au point que j'écarte entièrement les cuisses, pour pouvoir le ressentir au plus fort en moi. Et à chaque fois qu'il me lèche avec sa langue aux proportions délicieusement interminables, j'étais envahie par une forte sensation.

Lorsqu'il termine de probablement me préparer et que je cesse de soupirer, l'énorme créature écailleuse revient vers moi dans toute sa posture. En position d'accouplement, d'avantage détendue grâce à ce nouveau préliminaire beaucoup plus intense, je le vois revenir appuyer son gros sexe animal contre le mien.

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