Veronika - - non... pas ça... par pitié je ne peux pas... pas de vulgaires humains... pas des hommes c'est dégradant, tuez-moi à la place ! Je ferais ce que vous voulez, mais pas coucher avec des terriens... En entendant sa nouvelle esclave la supplier, le sourire de Rachele se fait plus franc mais son regard, lui, durci d'autant plus.
Rachele – Ma pauvre petite pute... tu crois encore que tu as le luxe de choisir quoi que ce soit ?La mafieuse soupire et allume une nouvelle cigarette avant d'en tirer une longue bouffée et d'en cracher la fumée au visage de Veronika.
Rachele – Je vais demander au tenancier du bordel de s'occuper de toi comme des autres putes humaines de bas étage, je suis certaine que la baise, les drogues et l'alcool te ferons entrer dans le moule.Sur ces mots la porte en acier rouillée s'ouvre de nouveau et un homme répugnant et gras, uniquement vêtu d'un débardeur blanc crasseux et d'un sac "banane" à demi rempli de billets froissés entre dans la pièce pour empoigner la Néko par la chevelure.
Maquerot – C'est la nouvelle pute Boss ? Dit il d'une voix enrouée par une consommation excessive de cigarette.
Rachele – Oui, traite la exactement comme les autres, je veux qu'elle soit aussi brisée et obéissante que le reste de tes putes.Le porc sourit en entendant ces mots. Sans répondre, il salut sa patronne et met immédiatement un point d'honneur à faire ce qu'elle demande. Il tire les cheveux de Véronika en arrière pour lui faire relever la tête, il empoigne son beau visage entre les doigts graisseux de son autre main et lui crache sur les lèvres.
Maquerot – Si t'es sage t'aura droit à une double dose pour te sentir bien et l'honneur de te faire bourrer par ma queue.Puis il saisit la laisse des mains de Rachelle et tire Véronika avec brutalité vers la porte qu'il vient de franchir et d'où proviennent les hurlements et les soupirs qu'elle entend depuis tout à l'heure. Rachele la regarde partir en lui souriant et en lui faisant un petit signe de la main.
Rachele – Bail bail Veronika... la prochaine fois que je te verrais tu ne te rappellera même plus de ton nom, tu seras une pute comme les autres.Son rire résonne aux oreilles de la belle Néko enchainée jusqu'à ce que la porte se referme et que Véronika découvre l'ignoble bordel dans lequel son nouveau "propriétaire" la traine.
Des matelas crevés et jaunis par l’usage, le temps et le sexe sont disposés à même le béton défraîchi du sol. L’odeur de sueur, de foutre, d’urine, de sang et de cigarette mêlé à l’alcool y est entêtante. Les occupants y sont affalés comme des porcs dans la fange d’une étable en une énorme partouze où des hommes rustres et de peu de moyens : ouvriers de chantier, clandestins, petites frappes et salarieman sur le déclin, se font passer les filles après les voir malmené, violenté et baisées.
Abrutis par les drogues qu’on leur injecte constamment pour les garder dociles et obéissantes, les bras couvert de bleus dû aux piqûres, aux doigts et aux coups ; totalement épuisées, lessivées par les interminables heures de baise qu’elle subissent en permanence, ces jeunes femmes ne sont plus que l’ombre d’elle-même.
Contenu explicite
Telle des poupées de chaire, des pantins dont on aurait coupé les fils, elles se laissent manipuler par des mains bestiales qui jouent avec elles comme si elles n’étaient que des objets qu’on peut casser. Elle se font pénétrer par tous les orifices sans qu’elle trouve encore la force de résister ou de hurler leur refus.
Elle se contentent de gémir et de crier quand les innombrables queues de leur tortionnaires les pénètrent sans ménagement, profitant du sperme du précédant client pour ne pas perdre de temps en lubrification.
Celles qui ont le malheur d’être suffisamment consciente de ce qu’elles subissent trouvent encore un peu d’eau que leur corps n’a pas utilisé en sueur et en ciprine pour pleurer pendant que leur « propriétaires temporaire », leur « locataire » les sodomisent avec une bouteille de vieux saké ou tente maladroitement une triple pénétration. Ou tout autre acte dépravé dicté par leur perversité.
D’autres dont le cerveau a totalement été détruit par les drogues et le traumatismes ou que la folie a transformé en nymphomanes hystériques, en viennent même à empoigner les bites dressées des clients qui les leurs présentent pour les guider vers leur bouche, leur cul ou leur pauvre vagin béant et déformé.
C'est au milieux de ce spectacle d'horreur pure, de violence et de pornographie abominable que le maquereau de Rachele traine sa nouvelle pute, ignorant les gémissements et les cris de refus de Véronika. Le peut d'énergie qu'il lui reste à ce débattre ne lui permet pas de résister à la force de cet homme obèse, presque nu et suant, la queue encore luisante de la mouille de sa dernière victime.
Il l'entraine inexorablement vers le dernier matelas encore libre du bordel, entouré d' innombrables autres sur lesquels le même spectacle répugnant se répète encore et encore. Spectacle que la belle néko est sur le point d'intégrer... nouvelle figurante dans ce chaos de chaires fatiguées et soumises.
Alors que son "maque" l'enchaine à même le sol et lui prépare un fixe pour l'abrutir, les clients délaissent leurs putes humaines et se rapprochent de Véronika pour profiter de la nouveauté que leur offre une esclave Néko.
--- Deux mois plus tard ---
Station de métro désaffecté de Sekuzu.
Trois heures du matin
Brian – En continuant dans cette direction sur cent mètres on atteint la bouche d'aération du Rachele'S et on peut s'introduire dans l'infrastructure, ni vu, ni connu.BRIAN
Le jeune homme passe une main nerveuse dans la crinière ébouriffé et blonde de sa chevelure, la musculature svelte de ses bras mises en valeur par le néon rouge de la coursive et celle de son torse par le tissu moulant de sa tenue de combat.
S'infiltrer dans l'enfer technologique de la baronne du crime locale, il n'y a que pour peu de personne qu'il aurait pris de tels risques. Hors toutes ces personnes sont avec lui maintenant, à l'exception d'une seule, celle qu'ils sont venu chercher...
Véronika, Brian la connaissait déjà alors qu'il n'était encore qu'un petit chapardeur de treize ans et elle, pas encore l'impitoyable chasseuse de prime cybernétique qu'elle était devenue par la force des choses. C'est son amie et des amies, il n'en a pas, en dehors des trois femmes qui lui font face et a qui il expose son plan d'attaque.
Samantha – Dona Florenza doit avoir un service de sécurité au top mon coeur, m'est d'avis qu'on arrivera pas à sortir Véro de là sans se battre...SAMANTHA
La beauté aux formes généreuses à peine dissimulées et à la chevelure auburn gratifie son mari d'un sourire carnacier. Toujours prête à se plonger au coeur du danger avec l'amour de sa vie. Pour la crinière blonde et le regard étincelant de Brian, elle serait prête à affronter l'Enfer et d'une certaine manière, c'est ce qu'elle s'apprete à faire. Longtemps, Samantha avait crain qu'il n'y ait plus que de l'amitié entre son chère époux et Véronika. Mais avec le temps, elle avait appris à l'aimer et à la respecter, au point de tout risquer pour la sauver.
Alicia – Remarque, si on peut en profiter pour coller une balle entre les yeux de cette salope avant de partir c'est tout bénèf non ?ALICIA
Ajoute la blonde sulfureuse en faisant une accolade à son grand frère. Cela les fait tous sourire et détend l'atmosphere, l'optimisme guerrier d'Alicia ayant toujours le don de rassurer tout le monde sur leurs chances de reussites. Difficile d'imaginer que derrière ce ravissant regard turquoise se cache une terrible derviche, maniant les lames comme personne au point d'avoir fait de son corps tout entier une arme. Elle, elle n'a jamais rencontré Veronika, mais elle sait que si son frère est encore en vie aujourd'huis, c'est uniquement grace à la néko et le temps est venu pour elle de régler sa dette.
Elyse – Mais... je veux dire... vous êtes certains qu'on est suffisament nombreux ? J'ai regardé les plans, c'est immense le truc qu'ils appellent "L'AZYLUM"... il doit y avoir une armée de garde... de système de sécurité...ELYSE
Dit en frissonnant le ravissant petit bout de femme aux cheveux bleus. Son regard troublé semble trahir le danger que ses amis refusent de regarder en face. Entrer dans le Rachele'S Club est une mission suicide, ils le savent, elle le sait mais elle n'a pas le choix, elle doit les accompagner. Ce sont ses amis, ses seuls amis, et sans elle, ils ne pourront pas désactiver les système de sécurité du club.
Elyse – Et puis... après tout... on peu pas être sur qu'elle est bien là... on peut pas savoir que c'est elle... enfin, que c'est bien elle...Bafouille t'elle en dernier recours dans l'espoir de semer le doute et de les dissuader d'agir.
Brian – Si... C'était elle... pas de doute possible... On l'a tous reconnue...Une chappe de silence gênée tombe sur le groupe à l'évocation de ce qu'ils ont vu. Véronika avait disparu depuis presque deux mois. Sans laisser de trace. Elle avait été recruté par Dona Florenza, une puissante baronne du crime qu'elle devait recontrer et a partir de ce moment là, personne ne l'avait revue... jusqu'à ce jour où le petit groupe avait entendu parler de vidéo pornos avec une néko...
Ils avaient refusé d'y croire bien que la description corresponde. Il leur avait fallu se procurer un des ces odieux enregistrement pour être frappés par l'horreur de la réalité. C'était le spectacle de leur amie, le corps couvert de traces de coups, de manipulation, de piqure et de viol. Ses membres cybernétique de combat avaient été remplacés par des prothèse humaines, sa poitrine avait gonflé de manière pornographique. Son regard vide et fatigué fixait l'objectif de la camera pendant que des hommes se masturbaient devant elle pour éjaculer d'épaisse rasades de sperme sur son visage et sa langue pendue.
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Tout était devenu clair alors. Dona Florenza ne l'avait pas recruté, elle l'avait enlevée pour la prostituer dans son bordel. Et désormais, Brian et sa bande étaient les seuls à pouvoir la sauver. Après quelques jours d'une préparation hâtive, les voila fin prêts, il ne leur reste plus que quelques mètres à parcourir avant d'arriver aux bouches d'aération du Rachele'S Club...