Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

The Dark Side of the Man [Venomess]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Nathan Joyce

E.S.P.er

The Dark Side of the Man [Venomess]

lundi 15 octobre 2012, 12:53:18

« Tu es sûr que personne ne tournait autour de Takeaki ?
 -  Non, Monsieur... Je... Je comprends pas ce qui s’est passé... Il a sûrement du tomber sur un pervers... »

La voix du jeunot était précipitée, son regard fuyant. Nathan était sûr que ce gosse lui cachait quelque chose. Il y a des années, à une autre époque, il aurait sans doute cuisiné un peu le lycéen. Son regard était fuyant, signe qu’il ne se sentait pas bien. Il y a des années, il aurait joué là-dessus, sur son sentiment de culpabilité. Il lui aurait dit que Takeaki avait probablement de gros problèmes, et que Nathan ne voulait pas le punir, mais simplement le retrouver, afin de s’assurer qu’il allait bien. Il aurait renchéri en disant qu’ils étaient dans le même camp. Il était un peu comme une espèce de grand-frère protecteur. Oui, il aurait sans doute agi comme ça il y a des années... Seulement, Nathan avait du mal à retenir un mal de crâne lancinant qui s’insinuait en lui. Il avait fini sa bouteille hier soir, en regardant une émission incompréhensible, un énigmatique talk-show où il avait eu l’impression que les petits bonhommes se mettaient à sauter et à l’agresser. Une véritable épave, qui s’était affalée dans son canapé, avant que la sonnerie ne vienne le réveiller.

Il fit donc la moue, et hocha la tête. Rikuo était l’un des meilleurs amis de Takeaki, qui était maintenant porté disparu depuis cinq jours Aucune trace, aucun indice, rien. La famille était aux abois, et avait déposé plainte. Le dossier avait échu entre les belles mains du commissaire Faye, qui avait hier convoqué Nathan dans son bureau. L’inspecteur faisait dix ans de plus. Il avait la mine creusée, et traînait sa lourde et impressionnante carcasse, des cernes noirs sous les yeux. Qu’il soit encore en activité n’était lié qu’à deux choses : l’extrême indulgence du commissaire Faye, et ses états de services à Seattle. Il prenait des antidépresseurs, et aurait tout à fait pu obtenir un congé maladie... Ce à quoi il n’avait pas tenu, car il s’était dit que, s’il restait seul dans son appartement miteux à boire toute la journée, il finirait par se tirer une balle. Au commissariat, il s’occupait essentiellement des infractions routières... Pas spécialement les affaires permettant de tenir en haleine la famille le soir, autour du dîner. Il s’occupait des excès de vitesse, des conduites en état d’alcoolémie, et des mises en danger.

Hier, Faye lui avait offert l’occasion, selon elle, de prouver sa valeur. Elle lui avait parlé de ce gosse qui avait fait la Une des journaux locaux, et même du journal télévisé, Takeaki Je-sais-plus-quoi. Nathan était à moitié défoncé quand Faye lui avait parlé, et, dans son esprit embrumé, tout ce à quoi il pensait, en hochant la tête, c’était à quel point la commissaire était sexy dans son tailleur, et à quel point il aurait aimé le lui déchirer sur place pour la baiser sauvagement... Ou, du moins, c’est ce qu’il croyait. Il n’avait pas couché au corps d’une femme depuis maintenant un ou deux mois. La seule fois où il avait tenté d’aller voir une pute, il s’était écroulé, ivre mort, dans le caniveau. Impossible de dormir ; quand le sommeil venait, les cauchemars venaient avec... Sa femme, mais aussi la créature, le virus qui sommeillait en lui, et qui voulait prendre le contrôle... Il buvait pour oublier, et songeait de plus en plus à se suicider.

Après sa conversation avec Faye, il avait croisé le regard d’un autre inspecteur... Celui qui était responsable du pansement que Nathan avait en ce moment sur le nez. Manien. Pas vraiment un nom de Japonais, mais Manien restait un bon flic. Un immigré qui venait de France, et qui avait fusillé Nathan du regard. Joyce savait que Manien voulait le renvoyer, car il était inacceptable, pour lui, qu’un flic se bourre la gueule.

« Et qu’est-ce que tu peux me dire sur la relation entre... Miss Asegawa et Takeaki ? »

Il vit le jeune tressauter sur place, et comprit qu’il devait avoir touché au but... Là encore, il aurait jadis creusé, car il était clair que ce sale morbac lui dissimulait quelque chose. Nathan connaissait suffisamment les adolescentes et les jeunes pour savoir qu’ils étaient toujours au courant de tout. Un lycée foisonnait de rumeurs, de racontars, de commères... Un autre camarade de la classe de Takeaki lui avait confié qu’il était assez proche d’une belle petite lycéenne, Tashigi Asegawa. Il lui avait même dit qu’il pensait qu’ils sortaient ensemble, mais, à chaque fois que Nathan parlait de Tashigi, soit on ne lui répondait rien, soit on semblait gênés.

« Je... C’est une copine de lui, Monsieur... Une bonne copine, même, mais elle a rien à voir avec...
 -  Ai-je dit qu’elle avait quelque chose à voir avec la disparition de Takeaki ? » répliqua rapidement Nathan.

La riposte était venue toute seule, au-delà des nuages embrumés de l’alcool qu’il avait ingurgité la veille. Le jeune semblait de plus en plus nerveux, et secoua rapidement la tête.

« Non... Non, bien sûr, j’ai jamais dit ça, mais... »

Il y a des années... Il y a des années, il l’aurait cuisiné, il aurait continué. Ce gars mentait bien mal, mais l’imagination de Nathan était bloquée par l’alcool. Il avait du mal à se concentrer, et passa une main sur son front en soupirant.

« Je... Est-ce que je peux retourner en cours, Monsieur ? »

Nathan soupira en grognant. Dans les profondeurs de son esprit, une petite voix lui dit de lui ordonner de s’asseoir, et de le cuisiner, de taper du poing sur la table. Ils étaient seuls dans la salle de cours, Nathan assis à la place du prof’, ayant devant lui un dossier très léger : tout ce qu’on avait réussi à obtenir. L’emploi du temps de Takeaki. La déposition des parents. Nathan n’avait pris aucune note. Il avait déjà du mal à lire la déposition. Il devait froncer les sourcils, les ;mots semblant animés d’une volonté propre, et se déplaçant de gauche à droite.

*A quoi bon ? lâcha une voix défaitiste dans sa tête. Est-ce si important de se ménager pour lui ? Si tu le cuisines, ta migraine va revenir, et tu as besoin de prendre tes antalgiques pour la faire disparaître. Que Manien aille se faire foutre !*

Il ferma lentement les yeux, ayant un bref flash, un souvenir de sa folle soirée.

Une soirée sacrément festive ! Il avait été réveillé par des coups sourds tapés à la fenêtre, et s’était redressé, une musique lui hurlant aux oreilles. Un clip musical psychédélique défilait à l’écran, des images incohérentes, incompréhensibles, formant un flux discontinu. Un kaléidoscope d’images agressives qui lui brûlaient la cornée. Une musique de K-Pop, le phénomène sud-coréen en vogue. Il le savait pour avoir été réquisitionné, il y a quelques semaines, à la surveillance d’un concert d’un groupe de K-Pop, Girls’ Generation... Une surveillance qu’il avait passé entre le bar du concert et les toilettes, à vomir ce qu’il buvait au bar.

On frappa à la porte. Lourdement. Ce n’était sûrement pas le propriétaire ; Nathan payait ses factures. Le loyer, au moins. Même si cet endroit était un taudis crasseux près du métro aérien, il devait quand même payer. Il tourna lentement la tête sur la droite, observant, à travers une fenêtre, les panneaux clignotants et fluorescents du club pourri à côté. Les coups redoublèrent à sa porte, et Nathan grogna.

« Ouais, ouais, j’arrive... » bougonna-t-il de manière inaudible.

Il renversa quelque chose en se levant, son pied heurtant la table basse, et s’avança vers la porte d’entrée de son studio, à côté de la cuisine. Nathan l’ouvrit misérablement, avec sa barbe mal rasée, pour voir le visage furieux de Manien.

« Tu viens à la fête, Manien ?! » s’était exclamé Nathan avec un sourire de défoncé.

Ce dernier avait poussé la porte, manquant renverser Nathan.

« Cette enquête, elle ne te revient pas, Nathan ! avait-il hurlé en entrant sans invitation.
 -  Oh, oh, de quoi tu me...
 -  Elle n’aurait pas du te la confier ! Confier cette enquête à un pochetron comme ça, c’est le meilleur moyen de s’assurer qu’on ne retrouvera jamais ce gosse ! »

Nathan ne répondit rien, ayant du mal à comprendre ce que Manien disait. Ses oreilles sifflaient, et il haussa les épaules. L’homme continuait à gueuler, et il crut percevoir le mot «
baiser ».

« Tu veux un verre ? » finit par demander Nathan.

C’est à cette occasion que Manien l’avait frappé.


Plus il y repensait, plus il se disait qu’il devait lui en être reconnaissant. Nathan s’était écroulé sur son tapis, et Manien était reparti. Il ne se souvenait pas d’avoir vomi, mais, comme il s’était réveillé avec la joue baignant dans une flaque de déjections, il en avait conclu qu’il avait vomi. C’était le bruit du train qui l’avait réveillé. Le métro filait si rapidement par ici qu’il en faisait trembler les murs. Nathan s’était lentement réveillé, et avait pris une douche, sentant une migraine atroce l’envahir. Dans la douche, il avait cherché dans l’armoire à pharmacie ses antalgiques, et en avait enfilé deux, sentant la migraine disparaître, perdre du terrain... Mais elle revenait, maintenant.

Il s’était proprement habillé, et s’était vaguement rasé. Il avait ensuite filé au lycée Mishima, où Takeaki travaillait. Il avait reçu un appel sur son pager, du commissaire, lui rappelant de se rendre au lycée pour interroger individuellement les membres de la classe de Takeaki, afin d’obtenir des pistes. Il s’était installé dans une salle au fond du couloir, et recevait un par un les camarades. La disparition de Takeaki les troublait, mais, plus il les interrogeait, plus il avait vaguement conscience de trois choses :

1°) On lui cachait quelque chose. Les lycéens étaient généralement inhabituellement nerveux. Certes, la présence d’un flic, ça avait de quoi angoisser, mais il y avait quelque chose d’autre. Son instinct le lui soufflait à l’oreille. Ses gosses savaient quelque chose, ou pensaient savoir quelque chose, mais il n’avait pas pu, ou pas voulu, creuser plus loin.
2°) Cette Miss Takishi Asegawa avait côtoyé Takeaki, et Nathan la soupçonnait d’en savoir bien plus que les autres sur sa disparition. Il y avait quelque chose sur elle que les gosses ne le lui disaient pas, mais, connaissant la réputation de ce lycée, un baisodrome ambulant, il devait sûrement s’agir d’un secret sexuel, ou une connerie de collégiens comme ça. Elle devait planquer des mangas pornos dans son casier, ou une connerie inutile de ce style.
3°) Il avait un besoin monstrueux d’un antalgique.

« Monsieur ? Il faut vraiment que je retourne en cours, sinon, je vais louper l’énoncé de la...
 -  Ouais, ouais... Va... »

Casse-toi, petit connard de menteur, aurait-il voulu dire, mais il se contenta de grogner, et l’élève se retira. Le surveillanrt qui les accompagnait entra ensuite dans la pièce, et, en soupirant, Nathan demanda qu’on lui amène cette fameuse Takishi... Mais après le début du prochain cours, histoire qu’elle ne loupe pas l’énoncé de l’exercice, et qu’il puisse s’enfiler un antalgique. La porte se referma, et Nathan soupira. Il sortit sa boîte de comprimés, et sortit l’un des petits objets blancs, avant de le foutre entre ses lèvres, et de boire de l’eau, l’envoyant dans sa gorge.

*Quelle journée de merde...*
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Venomess

Créature

Re : The Dark Side of the Man [Venomess]

Réponse 1 samedi 01 décembre 2012, 20:47:57

Farrah Faye

Jeudi 15 octobre 2012, 15h30
Commissariat de Seikusu, région du Japon.



Comme toujours, mon rôle de commissaire m’aller comme un gant, jonglant entre affaires étouffer et affaires closes, sans provoquer un doute perplexe de la part de mes collègues de travail. Jusqu’ici personne ne connaissait le véritable but : celui de protéger mère contre les filets de la justice. Chaque jour je recevais de nombreux rapports concernant la disparition mystérieuse de civils et comme toujours, je me débrouillais pour étouffer les affaires et je dois dire que je suis assez doué dans la pratique. Évidemment, tous finissaient généralement dans mon estomac ainsi que celui de mes sœurs ainsi que de ma mère. Moi-même je me suis bien régalé de ces deux humains issus de la mafia locale qui trainaient dans une sombre ruelle de la Toussaint, après m’être fait pénétrer comme une grosse salope. Je repense à leurs bites enfoncer profondément dans mon cul et ma moule, tout en sentant leurs semences inonder mes parties intimes, Mhuuum, je mouille ma culotte rien qu’en y pensant. Quelle vilaine pute je suis, huhuhu.

Mais aujourd’hui il fallait que je règle une affaire de disparition causée par ma chère petite sœur, Scourge. Je lâchai un soupir d’agacement dès que mes pupilles fixèrent le nom du porter disparue. Takeaki Inosuka. Je lui avais pourtant dit de ne pas toucher aux élèves et lui avait conseillé les clochards. Meuh non ! Mademoiselle n’écoutait rien et n’en faisait qu’à sa tête. C’est donc moi qui vais devoir m’arranger pour la sortir de ce guêpier, mais tout d’abord il fallait s’occuper de cette affaire.........

À travers une vitre devant moi je fis signe de la main à un homme obèse et au visage joufflus de venir. Le fonctionnaire se présenta devant moi.

-   Oui mademoiselle ?
-   Oui, pourriez-vous me faire venir l’inspecteur Nathan ? Dites-lui que je souhaite le voir dans mon bureau.
-   Bien madame, je vais lui faire part de votre demande.

L’agent Nathan n’est pas réputé pour ses brillantes compétences en matière d’enquête, considérer comme un inspecteur de seconde zone auprès de ses collègues de travail. Je l’ai même souvent aperçut en train de prendre des médicaments contre la dépression et le stress. En dehors des investigations je l’envoyer faire le sale boulot, consistant simplement à rafler des PV et eux petites altercations. Bien que je ne le connaisse pas trop, il représentait le type idéal à coller pour cette enquête de disparition, plutôt que de sélectionner un enquêteur professionnel. Ça valait mieux pour mes grosses pommes.

Ma porte d’entrée s’ouvrit et l’agent Nathan se présenta devant moi. Comme je mis attender, il n’avait pas très bonne mine. Comme s’il venait de chopper une maladie assez virulente. N’importe quel commissaire qui aurait vu leur inspecteur se présenter avec une dégaine aussi sobre qu’un alcoolique aurait viré ladite personne comme un malpropre. Sauf que moi je n’étais pas une commissaire ordinaire et encore moins comme les autres. Je me montrais beaucoup plus clémente envers lui, mais je tâchais de ne pas en faire trop pour éviter tout soupçon de mes supérieurs. Tenant un dossier entre mes mains délicates, je pose donc le dossier sur le bureau que je glisse du côté de Nathan pour connaître les détails de l’affaire.

-   Je ne vais pas vous mentir en vous disant que vos talents d’enquêteur sont loin d’être flambants, pour ne pas dire déplorable ! Néanmoins, vous faites de votre mieux pour vous montrer à la hauteur de votre tâche si ardue soit –elle et ça, c’est ce que j’aime chez les inspecteurs de votre trempe. C’est pourquoi je vais vous confier une nouvelle affaire que je viens tout juste de recevoir de ma hiérarchie.

Je glissai le dossier vers Nathan afin qu’il jette un bref coup d’œil sur le résumé sur la disparition de l’élève de Seikusu.

-   Tous les détails de l’affaire sont réunis dans ce dossier. La victime faisait partie de ce lot d’élève prépubère qui achète secrètement des produits de consommations réserver exclusivement aux personnes adultes. On aurait retrouvé chez lui des magazines pornos, des produits stimulant les organes génitaux et autres produits estampillés « Yoshikawa’s Zaibatsu ». Impossible d’établir des certitudes exactes si ces produits sont la cause de sa disparition ou non, néanmoins cette multinationale a certainement quelque chose dans cette histoire. Votre mission consistera à enquêter au lycée de Takeaki Inosuka pour questionner les amis de la victime. Vous avez 48 heures pour me faire un compte rendu ! Des questions ? Non ? Dans ce cas vous pouvez disposer !

Comme toujours, je parlais toujours avec une voix chaude et autoritaire. Un mélange harmonieux qui faisait tout son mon charme. J’ai l’œil vif pour remarquer la belle protubérance qui se formait sur l’entrejambe de mes sous-fifres qui m’écouter. Qu’est-ce que c’était bon de charmer mes jouets, de les voir bander sous mes yeux. Je devais me faire violence pour ne pas succomber à cette envie de leur tailler des pipes bien juteuses et de me faire enculer en plein travaille. Alors là je risquerais d’être très mal vu par ma hiérarchie !
Alors que Nathan prit le dossier avant de quitter mon bureau, je saisis le téléphone et composa le numéro du portable de ma p’tite sœur, histoire de la mettre au courant pour l’inspecteur…….



________________________________



Tashigi Asegawa
Jeudi 16 octobre 2012, 17h50
Lycée de Seikusu, Japon



-   Oui allô !.......meuh soeureeette, je……uugghh bon d’accoord, je tacherais de faire plus gaffe la prochaine fois et……..oui…….okay frangine, merci d’m’avoir prévenue ! Répliquai-je avant d’éteindre mon portable et le ranger dans mon sac d’un geste nonchalant. Affichant une moue boudeuse puérile.

« Modérer mon appétit  » elle était drôle celle-là ! Cela faisait déjà 1 mois que je ne m’étais pas tapé un joli « plan cul » avec un mec bien monté comme un âne. Surtout que mère ainsi que mes sœurs cadettes gardaient les meilleures proies pour elles. Et ça, ce n’est pas JUSTE ! Moi aussi je voulais me faire pénétrer le minou par une verge bien grosse et bien juteuse. Je ne me suis donc pas privé de ce plaisir en sélectionnant l’un des accros aux produits érotiques de ma mère. Takeaki. Ce dernier misait beaucoup d’argent pour avoir un pénis de cheval au sens figuré du mot et faut croire qu’il n’y soit pas allé mollo. En même pas une semaine, une sacrée bosse s’était formée au niveau de son entrejambe, parfaitement visible à travers son pantalon. Comme pour une entreprise agroalimentaire, j’engraisser la clientèle de maman avec des produits de maman afin d’accroitre la qualité de leurs semences laiteux et blanchâtre, jusqu'à ce qu’il soit prêt à être traire comme des vaches. Des vaches a laits, du bétail, voilà ce que moi ainsi que mes sœurs et ma mère voyait en l’humanité.
      
C’est en quelque sorte ce rôle d’éleveuse d’humains que ma mère m’avait confié, surtout que ma beauté physique et le charme qui en découlait m’aider grandement dans ma tâche lucrative. Je n’étais pas une super bombe anatomique comme ma mère, mais pour l’âge qu’avait mon hôte, les critères physiques que je lui ai octroyés pouvaient rivaliser face aux tops modèles mondiaux. Oooh détrompé vous. Mère n’est pas assez folle pour supprimer toute sa clientèle, cela ne serait pas rentable et lucratif pour l’entreprise familiale. Seulement voilà, je n’ai pas pu résister à cette envie irrésistible baiser comme une truie si bien que mon pauuuvre petit partenaire n’a pas pu tenir une heure à faire craccrac. Au moins il est mort dans la luxure la plus totale, c’est déjà cela. Et pour me débarrasser du cadavre, quoi de mieux que d’en faire mon plat de résistance ? Il n’y avait pas meilleure cachette que mon estomac.

A présent, sa carcasse était complètement dissoute dans mon organisme.

Mais alors que je quittais ma dernière heure de cours d’anglais pour rentrer chez moi en traversant les couloirs, avec une démarche sensuelle et provocante faisant virevolter ma minijupe d’écolière, il a fallu qu’un pion se mette en travers de mon chemin. Bof ! Derrière mon air faussement confus, tète pencher sur le côté, je n’étais pas surprise de son arriver.

-   Ah, te voilà ! Justement j’étais en train de te chercher. Il y a un flic qui veut te voir.
-   Moi ? Pourquoi ?
-   Ne me dis pas pourquoi je n’en sais rien du tout et je me fiche éperdument de c’qu’il te veut.

J’ai donc suivie le surveillant qui me conduisit à l’autre bout du bahut, précisément la salle de chimie. Pénétrant dans la classe en poussant la porte, un individu se tenait au milieu de la salle qui n’était d’autres que le flic en question. Bon ben niveau dégaine il ne reflétait pas du tout l’image soignée du flic en uniforme. Mes prunelles fixèrent l’insigne sur sa veste dégagé qui me donna une idée à qui j’avais à faire : un inspecteur.

-   Bonsoir !

Ce simple mot était suffisamment pour débuter les présentations. Inutile de gaspiller sa salive dans des phrases inutiles. Je m’approchai de lui jusqu'à être à un mètre de lui puis d’un mouvement détendu je posai mon sac sur le pupitre sur sa gauche avant de tourner mon regard d’amande sur ceux du représentant de la justice.

-   Vous vouliez me voir ? Demandais-je tout simplement avec un ton plat et neutre.
« Modifié: dimanche 02 décembre 2012, 22:35:56 par Venomess »

Nathan Joyce

E.S.P.er

Re : The Dark Side of the Man [Venomess]

Réponse 2 dimanche 02 décembre 2012, 14:09:23

Tandis qu’il attendait, Nathan, assis, se laissa aller à quelques rêveries solitaires. Curieusement, ses pensées revinrent bien vite sur le commissaire, Faye. Il y avait quelque chose de particulier chez cette femme, de troublant... Et ce n’était pas lié qu’à son corps de mannequine, à ses robes moulantes serrées, à ses longues jambes de déesse africaine qui se croisaient nonchalamment, ou à sa poitrine superbe... Il avait eu une érection face à elle, mais avait eu bien du mal à en trouver les raisons. Elles n’étaient pas que sexuelles. Il y avait autre chose derrière ça. Mais quoi ? Comment l’expliquer ? Nathan soupira, se passant la tête entre les mains, grognant à moitié. Cette femme était un mystère à part entier, et il ressemblait à un cadavre sur pattes. Les effets de l’alcool, les effets d’insomnies chroniques. A chaque fois qu’il essayait de dormir, ses cauchemars, récurrents, revenaient l’agresser, raccourcir ses nuits drastiquement. Il se passa une main sur le front, continuant à réfléchir.

*Il y a quelque chose de curieux dans cette histoire...*

Quand on était un policier, il n’y avait pas que les preuves matérielles, les témoignages, sur lesquelles il fallait se reposer. La force du flic, c’était son nez, son flair, son instinct. A force d’enfiler les enquêtes, les procès-verbaux, les affaires, on finissait par développer une espèce de sixième sens. Et Nathan avait une bonne expérience au sein de la police. Ce sixième sens était en lui, et lui disait que cette affaire puait. La disparition de ce gosse dissimulait quelque chose, un truc qui terrifiait les mômes. Un pédophile ? Possible. Ce serait le scénario classique, digne d’un roman pour adolescents. Un professeur pédophile qui terrorise ses élèves, et les enferme dans sa cave pour les torturer. Rien de surprenant, quand on connaissait la réputation du lycée Mishima.

Nathan évaluait dans sa tête toutes les possibilités, quand on frappa à la porte. Il sortit immédiatement de ses pensées, et vit une belle petite adolescente débarquer. Il regarda brièvement ses fiches. C’était bien elle : Tashigi Asegawa. Son sailor fuku lui allait plutôt bien, et elle arborait une longue chevelure rousse. Plutôt mignonne. Elle se rapprocha de Nathan, qui lui fit signe de s’asseoir. Vive et énergique, elle alla droit au but. Curieux. Généralement, les adolescents, filles ou garçons, étaient plutôt nerveux devant un policier, surtout devant un lycée si respectable. Mais pas elle. Elle s’avança en conquérante, et prit même la parole. Traite-moi comme ton égal, car c’est ce que je suis, semblait-elle vouloir dire.

« Vous vouliez me voir ? »

Elle posa cette question sans aucun accent de nervosité, sans aucune fioriture, avec le ton froid et professionnel qu’un médecin pouvait adopter quand il vous annonçait un rendez-vous. Nathan, légèrement surpris, se reprit rapidement.

« Je voulais te poser quelques questions au sujet de Takeaki... Si ça ne te pose aucun problème... »

Elle n’avait pas l’air particulièrement affecté.

« On m’a dit que tu avais bien fréquenté Takaki, et je cherche à comprendre qui l’a kidnappé, et pourquoi. Je me disais que tu saurais peut-être des choses... Sur ses autres amis, sa famille, ses fréquentations... »

Encore une fois, Nathan avait la désagréable impression que quelque chose sonnait faux avec cette fille. Il était perturbé, et essayait de ne pas le montrer, mais les intonations de sa voix témoignaient de sa curiosité. C’était... Et bien, c’était comme avec Faye. Une espèce d’attirance, de fascination étrange, inexplicable, qui s’exprimait par une attirance sexuelle. Il la regarda sans trop comprendre pourquoi elle l’attirait autant, mais eut les mêmes flashes qu’avec la commissaire. Des désirs sexuels qui firent naître une érection.

*Bordel, Nathan ! C’est quoi cette merde ?!*

D’où venait cette attirance ? Elle n’était pas que sexuelle, il le sentait, mais n’arrivait pas à se l’expliquer. De plus, il avait l’impression que cette femme mentait. C’était curieux, car elle n’avait encore rien dit, mais il savait à l’avance qu’elle mentait, et n’était pas honnête. Pourquoi ? Qu’est-ce qui l’amenait à croire ça ? C’était son instinct, mais il n’avait aucune raison logique de le penser. Son trouble était persistant, et il regardait avec une fascination de plus en plus prononcée le visage de cette dernière, ses lèvres, ses joues, son cou, son nez... C’était troublant, et particulièrement irritant.
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Venomess

Créature

Re : The Dark Side of the Man [Venomess]

Réponse 3 dimanche 02 décembre 2012, 22:34:34

Dès qu’il me fit signe de m’assoir, je me suis installé sur la chaise la plus proche, sans afficher des signes de nervosité sur mon minois. Il faut bien l’avouer que cela peut paraître étonnant pour un flic de croiser une petite adolescente aussi calme et détendue fasse à un représentant de la loi. D’habitude, très peu d’élèves discutaient avec un flic sans trahir son sang-froid par une intonation nerveuse ou stresser dans leurs tons. Mon secret ? Ni plus ni moins qu’une confiance aveugle en soi couplée à une foi inébranlable en la protection policière de Sultry, telles sont les deux piliers de mon optimisme grandissant. C’est toujours comme ça lorsque je suis convoqué par la directrice ou encore par mes professeurs. Je ne parle même pas du nombre incalculable d’altercations subites et accumuler a Seikusu pour diverses raisons qu’on me reprochait : disparitions, meurtre, trafic de stimulant aux effets obscurs et bien autres qui fusent. Les accusations pleuvent tellement qu’elles ne se comptent même plus, tant elles sont ramassées à la pelle. C’en est devenu une habitude, alors ce n’est pas un petit inspecteur qui risque de me stresser.

-   Pas du tout monsieur, cela ne me pose pas problème. Disais-je avec un ton légèrement plus chaleureux, tout en conservant son air perplexe, une main plaquée sur l’une de ses cuisses fuselée tout en s’amusant à enrouler une de ses mèches avec l’index de sa main libre.

L’inspecteur ouvrit l’interrogatoire en me demandant si je connaissais quelqu’un qui aurait enlevé Inozuka, ainsi que des informations sur ses proches et ses fréquentations. Rien de bien surprenant me diriez-vous, sauf que je me trouvais dans une situation plus ou moins tendue. Si je trainais régulièrement avec la victime, c’est tout simplement parce qu’il venait sans cesse à moi. J’étais un véritable aimant et lui un bout de métal. C’est d’ailleurs pour ça que la plupart des élèves me voyaient souvent avec lui. En réalité, ce n’était rien de plus qu’un pion que je manipulais aisément avec mes atouts physiques couplés à mon charme phéromones, et non à un ami.

Attentive aux dires de l’inspecteur, je posai l’index de ma main libre contre mon menton, penchant ma tête vers le bas pour prendre un moment de réflexion. Aie, qu’est-ce que j’allais bien pouvoir dire ? Bien que je fréquenter souvent Takeaki, je ne connaissais pas trop ses parents puisque j’allais rarement chez lui. Pour quelqu’un comme moi qui est vue comme une amie du portée disparue, connaître très peu les parents du garçon risque d’être fatale risque de me mettre dans la liste des suspects. Quoique……il est même probable que je le sois déjà. Quant aux restes, il n’y avait aucun bémol là-dessus, il faut juste que je me débrouille pour adapter le peu que je sais sur les parents de mon pseudo-ami avec le reste. Je pestais intérieurement pour n’avoir pas pensé à mieux faire connaissance avec ses parents. D’autant plus que je n’étais pas une excellente menteuse comme maman, mais je connaissais deux voire trois p »tit trucs qu’elle m’a apprise : mélanger le vrai au faux. Ouais, c’est pas mal ça !

-   Pour être franche avec vous je n’en sais pas plus que vous sur qui pouvait bien vouloir enlever Takeaki ! C’est vrai quoi ! c’était un ami qui n’avait de compte à ne rendre à personne, il n’était pas chiant et en plus de cela je riais très souvent sur ses blagues. Bon d’un côté ce n’était pas un saint dépourvu d’aucun défaut. Je sais juste qu’il était devenu accro à ces produits que la plupart des élèves se payent en cachètent. Vous savez……Ses produits anabolisants qui stimulent les parties génitales ? Je ne sais pas si vous en avez entendu parler. Je ne sais pas quel genre de produit c’est, mais ce dont je suis sur……c’est que ce n’est pas de la drogue licite ou illicite qu’on trouve chez le dealeur du coin. Répliquais-je en accompagnant mes paroles par des gestes.

Je laissai un moment de silence pour déglutir ma salive, puis je  me suis redressai et je fixai de nouveau l’inspecteur avant de reprendre.

-   Pour ce que j’ai à dire sur ses parents, pas grand-chose ! J’ai rarement vu ses parents étant donné qu’ils terminent leurs journées de travail tard le soir. Je venais chez lui que pendant la journée et les seuls moments rares où j’ai pu croiser son père et sa mère, c’est uniquement pour récupérer quelque chose d’important qu’ils avaient oublié chez eux. Et encore, c’est lui qui me demandait d’aller le voir et non l’inverse. En ce concerne ses amis, c’était quelqu’un de particulièrement timide qui n’allait jamais vers les autres. S’il venait généralement à moi, c’est juste parce que je l’avais aidé en chassant une petite bande qui le chambrait parce qu’il avait l’habitude de zozoter. Mais……depuis qu’il a commencé à consommé ces produits bizarres, il venait me voir moins souvent, jusqu’à ne plus donner signe de vie. Il devenait injoignable sur son portable et chaque fois que je le croisais à l’école pour lui demandais la raison, il changeait toujours de sujet. Ajoutai-je avant de pousser un soupir morose, rivant son regard dans le vide. Je me demande si ce n’est pas un coup des Yakuza……..

Évidemment, ce n’était pas un, mais bien une dealeuse qui se chargeait de vendre sa marchandise. Moi. Jusqu’ici je me suis bien débrouillé à inventer mon histoire en y mêlant la vérité et le mensonge. C’est maman qui va être  fière de moi ! C’est à ce moment-là que mon ouïe assez sensible sentit le rythme cardiaque de l’inspecteur accélérer subitement. De la peur ?! Non, car sans détourner mon regard je remarquai une belle bosse qui se forma au niveau de son entrejambe, grâce à ma champ visuel supérieur à un humain. C’est bien ce que je pensais : le flicard avait la gaule, la grosse gaule même.  Visiblement, l’individu était victime de mes substances phéromonales qui s’échappaient des pores de mon épiderme. Tant mieux, cela va me permettre d’être plus convaincante ! Mais si elles présentent un avantage considérable, elles peuvent également être une gêne pas possible lorsqu’il s’agit de se montrer discrète auprès de la gent masculine. En effet, je suis incapable de refermer volontairement mes pores, comme c’est le cas pour Sultry et Lust. Seuls Venomess et Envy en étaient capables. Quoi qu’il en soit, vaut mieux que je me tienne à carreau en évitant de poser mes prunelles sur sa verge qui, je dois bien l’avouer, me donnait l’eau à la bouche.

Nathan Joyce

E.S.P.er

Re : The Dark Side of the Man [Venomess]

Réponse 4 mercredi 05 décembre 2012, 00:12:08

Tout sonnait faux dans cette pièce. A commencer par son érection. Tashigi était jolie, oui, plutôt mignonne pour son âge, mais Nathan avait été marié. Il ne donnait pas vraiment dans les plaisirs pédophiles, ou pédérastiques. D’où venait donc la fascination qu’il éprouvait pour cette fille ? Cette envie, ce désir, cette fascination ? Il n’y comprenait rien. L’alcool pouvait provoquer bien des effets, mais il n’avait encore jamais ressenti ça... Il y avait quelque chose de curieux, d’inexplicable, et Nathan en vint à se demander si ce n’était pas lié au pensionnaire qui se tenait dans ce corps, ce monstre qui avait sa volonté propre, et qui pouvait parfois se révéler surprenant.

*Mais pourquoi donc ressentirait-il du désir pour cette fille ?*

Tout ça n’avait pas de sens, et Nathan avait bien du mal à se concentrer. Il savait que Tashigi lui mentait. Elle parlait rapidement, lançant un petit scénario qui était bien trop élaboré pour être crédible. Lors des interrogatoires, Nathan savait que, quand un témoin était trop convaincant, c’était à coup sûr qu’il mentait, et récitait un scénario, un mensonge qu’il avait inventé à l’avance, et qu’il ressortait tel quel. Tashigi lui apprit néanmoins plusieurs choses intéressantes. L’adolescent prenait des produits anabolisants, probablement des stéroïdes, afin de renforcer la taille de son sexe. Était-il complexé ? Tashigi affirma ne pas savoir de quoi il s’agissait, tout en indiquant que ce n’était pas le genre de produits qu’on trouvait à la supérette du coin. C’était une forme de manière détournée d’avouer qu’elle savait de quoi il s’agissait. Elle avait encore des progrès à faire pour le leurrer. Nathan prit rapidement quelques notes, des mots rapides, afin de guider son enquête : se renseigner sur les anabolisants, ainsi que sur le fait qu’il semblait être une tête-à-claques.

Tashigi affirma l’avoir protégé d’une bande, ce qui surprit un peu Nathan. La jeune femme ne payait pas de mine, et il la voyait mal se heurter à des caïds ou à des petites frappes. Il n’y avait que dans les films pour enfants que les hommes écoutaient sagement l’avis des femmes... Surtout au Japon. Si des hommes avaient voulu corriger Takeaki, ce n’était pas Tashigi qui les aurait repoussé, à moins de les frapper. Ceci dit, vu son petit corps fin et svelte, il imaginait mal cette dernière se battre contre une bande. En somme, elle lui mentait délibérément, masquant la réalité. Il soupira lentement, laissant un court silence s’écouler. Son membre lui faisait toujours aussi mal, et il avait une envie de plus en plus pressante de le tenir, de le presser.

« Très bien... », lâcha-t-il.

Il avait plein de questions à lui poser, mais n’était pas en état de le faire.

« Je... Je te remercie pour ton aide. Je vais enquêter là-dessus, et retrouver Takeaki. Tu peux y aller. Merci encore. »

Ça n’allait pas bien du tout. Il aurait du la cuisiner, profiter de leur confrontation pour l’interroger, en savoir plus sur elle, sur ce qu’elle lui cachait, mais il était excité. Bien trop excité pour réfléchir consciemment, et chaque minute de plus passée avec elle lui donnait envie de lui sauter dessus, et de la baiser contre le tableau. Ses mains en tremblaient nerveusement, et il n’arrivait plus à penser consciemment.
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Venomess

Créature

Re : The Dark Side of the Man [Venomess]

Réponse 5 jeudi 06 décembre 2012, 18:28:32

Quoi, l’interrogatoire était déjà terminé !? Pas d’autres questions, d’interpellations ou encore de pratique interrogatoire intimidant quelconque pour me faire cracher le morceau ? Il bâcla l’interrogatoire en me donnant la permission de quitter la classe. Je n’arrivais pas y croire, c’est pratiquement l’interrogatoire le plus court que j’ai eu tout le long de mon existence. Je devais bien admettre que Sultry marquait un sacré point de son côté : cet inspecteur était une vraie bite. J’ai donc hochai ma tête en signe d’approbation avant de me lever, prendre mon sac et je m’en allai en refermant la porte derrière moi. Un sourire arrogant se dessina sur mes douces lèvres, finalement il ne valait pas mieux que les autres inspecteurs, alors pas de quoi s’inquiéter. Mes chaussures claquèrent en direction de la sortie du bahut, tandis que je me fondai parmi les élèves rejoignant chacun leurs domiciles. L’inconvénient d’avoir des sens surdéveloppés, c’est qu’on à toute nos chances de subir une grosse migraine suite au viol auditif du brouhaha de mes camarades. Mes lèvres crispèrent tandis que mes yeux plissèrent, marchant d’un pas effréné pour soulager mes pauvres tympans. Ça me donnait autant d’effet que d’avoir passé une journée entière à côté d’un réacteur d’un A380.

Un quart d’heure plus tard, la migraine disparait et je reprends une marche plus sereine dans Seikusu. Le ciel était éclairé par un beau coucher de soleil, signe qu’il allait faire nuit dans très peu de temps. Un instant magique et romantique idéal pour un couple d’amoureux, mais pas pour moi. Non ! Moi mon instant magique c’est le sexe pur et dur, sur toutes les coutures et les positions. Le romantisme c’est bon pour les petits joueurs et joueuses coincés du cul. D’ailleurs en parlant ce ça, je passe tout juste à côté d’un couple de lycéens en train de converser sur leurs centres d’intérêt personnel, sur un banc public. Le grand classique quoi. C’est là qu’un étudiant possédant la même tranche d’âge que moi, ou plutôt de mon apparence féminine, courra vers moi tout en faisant signe de sa présence. Criant « Tashigi-chan ! ». C’était Toji, un élève de ma classe qui était aussi l’un des nouveaux consommateurs des produits de ma mère. Je soupirai profondément, le tout avec un air d’agacement, depuis que je lui ai fait découvrir les bienfaits enivrants de mes marchandises depuis déjà 2 semaines, celui-ci était devenu un véritable pot de colle, un boulet sur patte. Aujourd’hui il voulait sa dose, sauf que j’étais en rupture de stock en ce moment. Sans m’arrêter, je me tournai vers lui. Mon interlocuteur m’imita.

-   Si c’est encore pour m’réclamer des pilules « Stormtonic » tu peux déjà rebrousser chemin. Je te l’ai déjà dit ce matin que je n’ai plus de produits sur moi. Alors, sois patient comme tout le monde et attend la fin de ce week-end et je pourrais te vendre ce que tu désires.
-   Oui je sais, Tashigi-chan, mais ce n’est pas pour ça que je suis venu te voir.
-   Alors c’est quoi ?
-   Et bein…….ça te brancherait si je t’invitais dans un restaurant ? Pour être honnête, tu es vraiment trop canon et ça,  je l’ai su dès que je t’ai vu.

M’inviter dans un restau ? oooh que c’est meugnon, le seul problème c’est que c’est l’endroit idéal pour me taper un ennuie total avec une causette pour seule occupation. De toute façon il n’était pas mon genre de mec, tant sur le plan physique que morale. À mes yeux il ne valait pas mieux qu’un puceau prépubère, mais peut-être qu’il  pouvait se montrer utile en jouant le dealeur cité lors de l’interrogatoire de l’inspecteur. Cela apporterai de la véracité dans ma fausse histoire. 

Je lui pris la main et l’invita à s’enfoncer dans une ruelle adjacente entre deux immeubles avec moi. Toji obéit sans hésiter, pensant que c’était son jour de chance pour conquérir mon cœur. Une fois sur place je me plaque contre lui, poitrine appuyée contre son torse, mon entrejambe collé contre la sienne ainsi que l’index de ma main droite poser entre ses lèvres. La température corporelle de Toji grimpa en flèche tandis que sa verge entra en érection. Je pouvais déjà sentir le bout de son gland pointer l’entrée de mes lèvres intimes. Une personne exposée à mes phéromones de si près était influencée plus efficacement.

-    C’est adorable de me le dire ! J’accepterai volontiers à t’ouvrir mon cœur si tu me rendais un service trèèèès important.  Tu veux ? ♥
-   Oooh oui Tashigi-chan, je ferais tout ce que tu me demanderas ! Dis-moi ce que je dois faire et je le ferais sans la moindre hésitation ! ♥

Une expression mi- coquine et mi- envoutante se dessina lentement sur mon visage. Comme toujours, les effets de mon charme restent toujours aussi redoutables. Je sentai son cœur battre la chamane et l’érection de sa bite plus intense. J’agrippai ses épaules et me souleva hors du sol par la seule force de mes bras, sans que Toji y soit concentré, pour m’approcher de son oreille gauche et lui susurrer :

-   Il y a un inspecteur qui vient tout juste d’arriver au Lycée. Je veux que tu prennes le rôle du dealeur qui vend les marchandises que tu aimes prendre pendant un certain temps. Cinq jours exactement. Si cet inspecteur te coince, tu lui avoues que c’est bien toi qui deal les produits que je vais te confier. Tu ne dois en aucun cas me dénoncer et si tu mènes a bien ta mission. Disais-je avant de déplacer ma main droite et l’enfoncer délicatement dans le pantalon de Toji, empoignai son engin et l’astiquer avec une dextérité et une finesse hors du commun. Je te garantis que nous passerons une nuit bien chauuuude, rien que toi et moi. En es-tu capable ? ♥
-   Oui Tashigi chaaan ! Je ferais tout pour mener à bien votre volonté ! ♥

Sur sa dernière parole, le jeune garçon éjacula dans son caleçon, affichant une joie béante et jubilante a tel point qu’il se contrefichait éperdument de s'être faire dessus. Je retirai ma main pour lécher sensuellement le doux nectar pâteux et blanchâtre qui l’avait souillé.

-   Cool, dans ce cas suis moi. Je vais te donner ma marchandise qui doit être prête à l’heure qu’il est.

Tel un chien docile et obéissant, il me suivit sans la moindre hésitation vers mon domicile fixe en taxi: La Yoshikawa’s saibatsu. Arriver à destination, nous empruntâmes une sortie de secours derrière le siège social haut de cinquante étages, avec le « must » en matière de sécurité. Jusqu’ici, personne ne nous avaient suivies. Je traversai de longs couloirs, ressemblant plus à un labyrinthe intérieur qu’autre chose, pendant 10 minutes avant d’atteindre une porte blindée. Tapant rapidement une série de code, un déclic se produisit et la porte coulissa, révélant une immense pièce auquel sont entreposées des cargaisons imposantes de produits dopants. J’ordonnai à Toji de m’attendre et celui-ci exécuta l’ordre. J’entre dans le petit entrepôt, je saisis un sac plastique parmi d’autres sur un support calé près de l’entrée puis j’ouvris une caisse contenant des boites et des flacons divers et varier. C’est ici où je me ravitaillais dès que je vendais toutes les marchandises de mère.

Ceci fait j’enferme le sachet dans le sac de Toji et je le raccompagne vers la sortie de secours, lui demandant de retourner chez lui au plus vite, car le manteau de nuit s’étendait à présent dans le ciel étoilé.
 
-   À présent, retourne chez toi. Et surtout, ne dis à personne de notre accord, y compris de l’endroit où je t’ai emmené. D’accord ?
-   C’est comme si c’était déjà fait, Tashigi chan ♥

Je rendis le salut de mon esclave avant de faire mon rapport à mère. D’ici demain, ma marionnette de paille se fera arrêter à ma place et l’affaire sera close. Si cela arrive, je me chargerais d’offrir à Toji le plus beau moment de sa vie, ainsi que le dernier…………

Nathan Joyce

E.S.P.er

Re : The Dark Side of the Man [Venomess]

Réponse 6 vendredi 07 décembre 2012, 23:08:25

C’était l’interrogatoire le plus mauvais qu’il ait jamais passé. A tel point qu’il s’en serait fouetté, s’il l’avait pu par lui-même. La femme s’en alla rapidement, et, une fois qu’elle fut partie, il entreprit de se soulager. Grognant et éructant, l’inspecteur posa sa main sur sa virilité, la pressant, se masturbant rapidement. Il ferma les yeux, et se sentit traversé de vertiges curieux, où il se voyait... Dans un autre endroit... Avec d’autres pulsions, d’autres envies. Il grognait, éructait comme une bête sauvage, dans une espède de grotte noire aux parois visqueuses, et avait l’érection du siècle. Il en avait mal à force de jouir çà répétition, et voyait des formes grotesques, glissantes, cauchemardesques, s’approcher de lui, le prendre. C’était une partouze géante, curieuse, difforme, aux visages sordides et grimaçants. Quelle était cette vision d’horreur ? Cette vision que cette lycéenne lui inspirait ? Nathan soupirait, comprimant son sexe, et ne tarda pas à jouir. Son sperme éclata contre le bureau dans un soupir, et Nathan rouvrit les yeux... Avant d’avoir un sursaut d’horreur en voyant son bras droit, celui qui avait tenu son sexe fièrement dressé au garde-à-vous... Il était recouvert d’une grosse membrane noire visqueuse avec des reflets dorés, et avec des doigts griffus qui avaient meurtri son sexe.

« BORDEL ! »

Surpris, Nathan tomba à la renverse, basculant sur sa chaise, et roula sur le sol. Surpris, il regarda son bras, et vit que ce dernier reprenait forme normale, tandis que les ecchymoses et contusions sur son sexe se soignaient rapidement. Nathan secoua la tête, extrêmement perturbé. Qu’est-ce qui venait de se passer ? A quoi diable avait-il assisté ? Une espèce de transe euphorique... Comme si la créature en lui essayait de prendre le contrôle. Il redressa la chaise, réalisant qu’il était en sueur, et entendit des bruits de pas. Se dépêchant, il reboutonna son pantalon. Son sperme était contre le bureau, sur une face opposée à la porte. Le surveillant entra.

« Qu’est-ce qui vient de se passer ? »

Il avait du entendre Nathan tomber.

« Rien, rien... répondit précipitamment ce dernier. Une mauvaise chute.
 -  Oh... »

Nathan ramassa ses notes. De Tashigi, il n’avait quasiment rien eu, si ce n’est des informations sur des anabolisants. Il contempla le surveillant. Ce dernier était un étudiant à l’université, qui faisait ce boulot pour payer ses études, travaillant à mi-temps. Nathan hésita brièvement.

« Vous... Vous avez terminé ?
 -  Pour les interrogatoires, oui... Dites-moi... Est-ce que vous avez déjà saisi des stupéfiants chez les élèves ? »

Surpris par cette question, le surveillant cligna des yeux à plusieurs reprises, et haussa les épaules :

« Ben... On a pas le droit de fouiller les casiers, vous savez... Mais on tombe parfois sur des sachets dans les poches, les sacs à dos, et même dans les trousses. »

Nathan hocha la tête.

« Est-ce que vous avez trouvé des... Des anabolisants ?
 -  Pardon ? s’exclama le surveillant, incrédule.
 -  D’après ce que les élèves m’ont dit, Takeaki prenait… Des anabolisants. Vous savez que leur usage est extrêmement réglementé, et que les mineurs n’ont pas le droit d’en prendre.
 -  Vous pensez que ça aurait un lien avec... ? »

L’homme était nerveux, et son regard fuyant. Inconsciemment, il s’était rapproché de la porte. L’instinct du flic, le prédateur, le justicier, revenait en Nathan. Ce pion allait payer pour son incompétence face à la fille. Il savait des choses, et Nathan n’avait plus la patience d’attendre patiemment qu’on daigne faire preuve de bonne volonté envers lui. Le respect de la justice, parfois, imposait de contourner les règles de bienséance.

« C’est moi qui pose les questions. Il y a un trafic d’anabolisants dans ce lycée, et quelque chose me dit que vous en savez plus sur la question que vous ne sauriez l’admettre.
 -  M’accuseriez-vous ? Enfin, c’est insensé, je... »

Nathan s’avança vers lui, agressif, nerveux.

« Est-ce que c’est lié à cette fille ?
 -  Je... »

Nathan se rapprocha de lui, et le poussa contre le mur, l’empoignant par le col.

« Mais vous êtes fou, arrêtez ça !
 -  Quelque chose me dit que, si je fouillais ton casier et tes affaires personnelles, j’y trouverais des objets qui n’ont rien à faire là... »

Le ton de Nathan était menaçant, mais il n’y avait que dans les films que ça marchait.

« Vous n’avez pas le droit ! Il vous faut une autorisation pour ça ! Lâchez-moi, espèce de psychopathe ! »

L’étudiant se démenait. La trouille se lisait dans ses yeux. Nathan fut bien tenté d’insister, mais le relâcha.

« C’est parce que t’arrives plus à niquer, hein ?
 -  Mais de quoi...
 -  Tu rêves de la faire grimper aux rideaux, ta grosse, mais elle se fait chier au lit avec toi...
 -  Je vous...
 -  Non… Je pense pas que tu shootes, t’en as pas les caractéristiques. Un camé m’aurait déjà attaqué. Tu dois avoir ta petite part dans l’affaire.
 -  C’est de la diffamation, je...
 -  Tu ne feras rien du tout, connard. Tu vas rentrer chez toi, et réfléchir au sens de ta vie. Quand je reviendrais te parler, tu seras beaucoup plus coopératif. Maintenant, casse-toi. »

Le surveillant avait raison. Nathan n’avait aucune preuve, rien d’autre que des soupçons. Fort heureusement, il n’y avait pas de caméra ici, et il ne l’avait pas touché. Si le surveillant portait plainte, Nathan contre-attaquerait en disant que ce gars mentait, et n’était pas net. Avec un peu de chance, ça lui donnerait même l’autorisation de fouiller ses biens. Le surveillant s’écarta, et Nathan regroupa ses affaires, puis entreprit de faire le flic.

Il sortit de la salle, et composa le numéro de l’un des inspecteurs s’occupant de l’affaire. Ce dernier avait interrogé les parents de Takeami, et put rapidement lui fournir quelques informations précises. Takeami était de plus en plus agressif depuis quelques semaines. Rien de bien choquant, mais, dans la mesure où il était un lycéen plutôt calme et renfermé, ses crises de colère avaient un peu surpris ses parents.

« Il se serait même battu, affirma son collègue. Une histoire de filles, probablement... »

Nathan hocha la tête, se mordillant la langue.

« Tu as pu te procurer des examens médicaux ?
 -  Des examens médicaux ? Le dernier qu’il a fait remontait à plusieurs mois pour une histoire de toux, ou une connerie de ce style... »

Nathan étouffa un juron. Impossible d’avoir la certitude médicale qu’il se dopait. Les anabolisants entraînaient des effets secondaires variés, dépendant des gens qui les utilisaient, mais aussi des produits en eux-mêmes. De manière générale, certains spécialistes considéraient que les stéroïdes pouvaient accroître l’agressivité de ceux qui en prenaient. Aux Etats-Unis, on appelait ça roid rage. Nathan remercia l’homme, lui demandant ensuite si on avait trouvé des anabolisants en fouillant le casier de Takeami, ainsi que sa chambre.

« Des stéroïdes ? s’étonna l’homme. Non… Rien de tout ça. Il y avait les conneries habituelles des gosses. »

Hochant la tête, Nathan lui demanda l’adresse de la maison de Takeami, et s’y rendit sur-le-champ. Il sonna, et tomba sur des parents effondrés. La mère avait les yeux rougis, et le père était clairement en train de faire une dépression. Nathan leur montra sa plaque, expliquant qu’il avait besoin de fouiller la chambre de Takeami. Bien que surpris, les parents acquiescèrent à sa demande, et Nathan, quelques instants plus tard, se retrouva à fouiller la chambre de Takeami. Le flic n’avait aucune piste sérieuse, aucun indice concret... Même en supposant que ce trafic de stéroïdes était établi, il était tout à fait possible que ce soit une fausse piste. Il savait néanmoins que les autres agents enquêtaient déjà sur un possible pervers de passage, un serial killer. Nathan s’occupait donc des pistes annexes.

La chambre de Takeami était en ordre, même après le passage des flics. Ses parents avaient du la mettre en place. Il vit une série de mangas sur une bibliothèque, des livres, des cahiers, des manuels, un ordinateur éteint... Et entendit le bruit d’une porte qui coulissait. Tournant rapidement la tête, il eut le temps d’apercevoir une petite fille en train de l’observer, avec une peluche dans l’une des mains. Cette dernière referma immédiatement la porte, et Nathan considéra cette dernière silencieusement. Sûrement la petite sœur de Takeami. Il en arriva rapidement à la conclusion, en fouillant la chambre, qu’il n’y avait pas de stéroïdes ici. C’était curieux... Très curieux. Takeami était décrit comme un jeune garçon introverti, plutôt timide. Or, s’il était tombé amoureux de cette fille, il aurait probablement du avoir des photos d’elle, des traces quelque part. Sans doute voulait-il cacher cette union qui bouleversait ses habitudes, en l’amenant à se doper pour satisfaire les pulsions de la belle...

*Si j’étais un garçon amoureux, où planquerais-je mes petites collections ?*

Sûrement pas sous le lit. Et il n’y avait pas de lattes en bois brisées ici, des caches dans le sol. Nathan redescendit voir les parents, et on l’autorisa à aller dans le grenier. Il était poussiéreux, et, comme tout grenier, rempli de bric-à-brac. Des jeux de sociétés, une raclette, une fondue, des matelas dans du plastique, des toiles d’araignées dans le coin, des conserves, des cartons... Il écarta un peu tout ça, et se mit à chercher pendant de nombreuses minutes. Il finit par trouver un petit coffret avec une serrure, et le remua, afin de savori ce qui se trouvait à l’intérieur. Rien de concluant... Il conserva le coffret avec lui, et descendit dans le salon.

« Vous savez à qui est ce coffre ? »

L’homme et la femme se regardèrent mutuellement, surpris.

« Je... C’est probablement Takeami qui l’a acheté, mais... Mais pourquoi ? »

Nathan le retourna, et vit une petite étiquette. C’était un coffre récent.

« Vous avez la clef ?
 -  Non... »

Nathan pesta. La serrure n’était pas terrible. Il sortit ses rossignols, et entreprit de la crocheter. L’expérience lui prit quelques minutes, mais il put ouvrir le coffre. Un sourire victorieux se dessina sur ses lèvres.

« Mais qu’est-ce que c’est que ça ? » s’exclama le père, surpris.

Il y avait plusieurs photos de Tashigi, confirmant que les deux avaient été très proches, une série de poèmes à l’eau-de-rose écrits par Takeami. Il y décrivait Tashigi comme « la flamme de sa vie », « le soleil illuminant sa morne vie », et toutes ces conneries habituelles. Plus on avançait dans les poèmes, plus Takeami était passionné. Ses parents, eux, semblaient complètement surpris. « Elle est le poumon qui fait battre mon cœur, et je suis son samouraï. Je me sacrifierais pour son regard d’ébène ».

« Mais qui est cette femme ? »

Nathan continua à écarter les papiers. Il y en avait toute une liasse, et il vit, enfin, des petits flacons, et en attrapa un. Il n’y avait pas d’étiquettes, mais il savait déjà de quoi il s’agissait. Les fameux stéroïdes.

« Mon fils ne nous a jamais parlé de cette fille... Qui est-elle ?
 -  Vous ne l’avez jamais vu ? »

Le père dut faire un effort de mémoire.

« Et bien... Takeami a beaucoup d’amies au lycée, mais...
 -  Oh oui, je me souviens ! Il... Il prétendait qu’il l’aidait à faire ses devoirs. »

Nathan lut l’un des poèmes : « Je lui ai offert le plus précieux de mes dons, et je suis Sienne. »

« Ses... Ses devoirs, vous dites ? »

Son ton était sceptique. Le père agit :

« Vous pensez qu’elle est liée à sa disparition ?
 -  Je ne peux pas en dire plus, Monsieur... je vais devoir emporter ce coffre et son contenu, ce sont des pièces à conviction... »

Son objectif était aussi de demander un prélèvement des empreintes de cette fiole. Avec un peu de chance, on aurait les empreintes du dealer. Nathan remercia la famille déboussolée, et appela le commissariat. Il avait des pièces à apporter au dossier, et des éléments à faire analyser. Dans la voiture, il attrapa à nouveau la fiole qu’il avait touché, et l’étudia plus attentivement. Sur le socle de cette dernière, il put voir le nom de l’entreprise qui avait fabriqué cette fiole, ainsi que les références. Il les nota sur un calepin, puis retourna au commissariat. Les fioles avaient été fabriquées par une entreprise japonaise qui avait ses usines délocalisées en Thaïlande. Il obtint rapidement un responsable, et lui indiqua les références de la fiole. Ce dernier effectua une recherche sur son ordinateur. Nathan avait eu de la chance. Il n’était pas tombé sur un petit cadre procédurier qui l’aurait ralentie n exigeant un mandat. De toute manière, ce genre de renseignement pouvait s’obtenir sans difficulté. Il ne s’agissait pas d’obtenir une information confidentielle, simplement le nom d’un cocontractant dans le cadre d’une vente d’objets.

« Je l’ai, inspecteur. »

La manière dont ce dernier disait « Inspecteur » laissait entendre un homme très respectueux de la police.

« Alors ?
 -  C’est l’un de nos plus gros clients. Je ne peux malheureusement pas, en raison de notre politique de confidentialité, vous divulguer les détails de ce contrat, sauf si vous...
 -  Je veux juste le nom de votre client, le coupa Nathan, agacé.
 -  Euh... Bien sûr… Il s’agit d’une personne morale, Yoshikawa’s Saibatsu. »

Nathan le remercia, et fit une rapide recherche sur Internet, qui lui permit de voir que Yoshikawa’s Saibatsu était une influente entreprise japonaise, spécialisée dans le sexe. C’était l’un des leaders du domaine. Une entreprise influente et puissante, qui vendait des stéroïdes. Rien d’illégal, en soi, leur vente n’était pas interdite, mais faisait simplement l’objet de règlementations strictes. L’entreprise pouvait aussi les vendre dans des pays où leur usage était libre. Nathan se redressa, quittant son bureau, et alla se payer un café. Il avait besoin d’en savoir plus sur cette entreprise, et considéra le bureau du commissaire.

*Elle pourra sûrement me dire s’il y a des enquêtes en cours...*

A l’idée de la revoir, il sentit un frisson la parcourir, et secoua la tête. Ce n’était pas le moment ! Il finit son café, et se rapprocha du bureau du commissaire Faye, et tapa à la porte. Il entra ensuite.

« Commissaire, je voulais vous voir, car j’aurais besoin de quelques renseignements... »

Il ménagea une courte pause, avant de poursuivre :

« L’évolution de mes investigations m’amène à penser que la disparition de Takeami pourrait être liée à un trafic d’anabolisants dans le lycée Mishima. Mes courtes recherches en la matière indiquent que ces stéroïdes pourraient venir d’une entreprise, Yoshikawa’s Saibatsu... J’aimerais savoir s’il n’y a pas des enquêtes actuellement en cours sur cette entreprise... Histoire de relier nos dossiers... »

Et, accessoirement, il voulait bien savoir quel effet ça ferait de se glisser entre les deux seins très attirants du commissaire, mais il choisit de rester professionnel.
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Venomess

Créature

Re : The Dark Side of the Man [Venomess]

Réponse 7 dimanche 16 décembre 2012, 19:23:53

Farrah Faye

Vendredi 17 octobre 2012, 22h30
Commissariat de Seikusu, région du Japon.



-   Oui allô ?.....mhuum…….oui……..c’est du bon travail Scourge, je prend le relais. Concluai-je  avant de raccrocher mon téléphone fixe.

J’esquissai un sourire vicieux à la fin de ma phrase, car oui…..j’ai déjà une bonne idée en tête de ce que je vais faire.
Apparemment, l’inspecteur semblait plus nul que je ne l’aurais imaginé. 5 minutes, ce fut la durée de son interrogatoire communiqué par ma chère petite sœur. Est-ce les effets de ses médicaments responsables de ce bâclage cruel ou bien le résultat de son incompétence ? Peu importe la raison, ce qui compte c’est qu’il  avance à pas de tortue.

Toujours installer dans mon bureau, je grattai mon la paperasse en faisant danser mon stylo entre mes doigts fins, pourvu d’une dextérité rivalisant avec les meilleurs doigtés. Ma tête se reposa sur ma main, soutenue par mon coude posé sur le bord de mon bureau tandis que mon regard enjôleur sembla être ailleurs, perdu dans des images coït. L’une d’elle,  extrêmement sensuelle, me fait rougir tout en gonflant mes lèvres intimes, une sensation de plaisir que je savoure en lâchant un looong soupire enivrant. Faut croire que le quotidien d’un commissaire est très monotone et ennuyeux à tel point que les journées de travail paraissaient si longues lorsqu’elle ne l’était pas pour mes collègues qui triment dans les occupations. Une majeure partie de cette paperasse était purement administrative et logistique, un coup de stylo par-ci par-là est basta ! Elles étaient vite classées et archivées dans l’armoire métallique derrière moi. Je zieute l’horloge accrochée au-dessus de la porte d’entrée de la pièce se trouvant en face de moi, 22h30. Un sourire vicieux de dessina sur mes chaudes lèvres africaines que je lèche avec concupiscence, mon heure favorite était arrivée. En effet, l’effective du commissariat se réduisait de moitié en cour de soirée, laissant ainsi un total d’une dizaine de personnes dont la moitié était des agents de terrain. Le restant du personnel était la brigade scientifique qui travaillait exclusivement dans les sous-sols du commissariat, là où se trouvaient les laboratoires d’analyse. Au final, le commissariat devenait presque désert, laissant libre cours à mes pulsions sexuelles au cours de mes pauses. Car oui, c’est à cette heure-ci que je me tape une sauterie bien torride avec mes subordonnées, du moins ceux dont leurs horaires les obligent à travailler de nuit. Généralement, je leur demande de ne pas ébruiter les faits parmi les collègues et tous font « motus et bouche cousue ». Mais aujourd’hui, il n’y avait personne à me mettre sous la dent, pas même un de ces bourreaux du travail consacrant leurs entièrement leurs vies au boulot. Quant à mes collègues ayant trempé leurs biscuits dans mon pot, disons qu’ils ont démissionné pour des raisons familiales dont je soupçonne éventuellement leur conjointe ayant découvert le poteau rose de leurs maris.

Mais je ne pouvais pas attendre, j’avais besoin de ma dose de SEXE ! J’avais une soif d’érotisme intense à étancher à tel point que je serais prête à baiser avec n’importe qui : un vieux, un geek, un gros, tout ce qui passerait dans mon champ de vision. Pour compenser ce manque, je décide donc de glisser une main ma culotte en passant par ma jupe moulante pour ensuite me masturber avec délectation. Rien que le fait de taquiner et de titiller mes lèvres intimes me donne des soubresauts jubilants qui lubrifient à profusion mon clitoris, souillant ma culotte de cyprine onctueuse. Et ça, ce n’est rien comparé aux l’extase incandescente de sentir une bonne verge s’enfoncer dans mon vagin. Mes joues rougissent de plus belle et de petits soupirs s’échappèrent de ma bouche entrouverte à mesure que j’accélérais le mouvement de mes doigts. Oh ouuiiii, ah qu’est-ce que c’était bon !!! L’insonorisation de la pièce camouflait mes cris de plaisirs à merveille, seule la porte d’entrée ne l’était pas afin que mes collègues puissent m’entendre lorsque je leur demande d’entrer.  La salle était à peine éclairée par ma lampe de bureau et la vitre incruster dans la porte d’entrée était si floue que l’on distinguait à peine les silhouettes des autres.

Mais très vite, j’interrompis mon petit moment de plaisir par mes tourments de la porte. D’un geste vif j’essuyais ma sécrétion vaginale sous mon siège avant de lâcher un « Entrée ! » marquant le retour de ce chère Nathan, pas pour faire un compte rendu de son enquête, mais bien des renseignements. Je me redressai de mon siège, s’adossant parfaitement avec ce dernier pour ensuite croiser mes bras, faisant support à ma poitrine opulente. Je fixai mon inspecteur dans le blanc des yeux.

-   Je vous écoute……..

J’écoutai attentivement les informations de Nathan, montrant clairement qu’il était loin d’être aussi nulle que je m’y attendais. Un pincement au cœur se fit sentir en moi, il se débrouillait plutôt bien pour un inspecteur de seconde zone. Un trafic de stéroïdes anabolisants ? C’était bien pensé venant de Scourge, mais cela ne règle en rien la situation auquel elle vient de mettre la multinationale de mère dans le collimateur de l’inspecteur. La Yoshikawa’s saibatsu avait subi moult enquêtes à son effigie dans le passé et les dossiers, entamer par les prédécesseurs de Nathan sont légions. Maman s’était donc débrouillé pour graisser la patte a des mafieux pour les éliminer tandis que de mon côté je m’arrangeais pour étouffer l’affaire et bâcler les dossiers à coup de millions de Yens, de relation sexuelle intense ou encore les deux. Et si Nathan souhaitait jeter un œil sur les dossiers classifiés, il n’aurait pas pu le faire, de même pour moi, puisque je l’ai ai tous détruit secrètement et éliminer tous les mafieux impliquer dans l’assassinat des enquêteurs charger de l’affaire. C’est comme si les enquêtes de la Yoshikawa’s Saibatsu n’avaient jamais existé. Justifiant ainsi mon sang froid implacable.

Je pris un faux air de réflexion quelque instant avant de répliquer.

-   Des anabolisants de la yoshikawa’s Saibatsu vous dites ?.....mhum…..nan pas ce que je sache…….On a bien eu d’autre d’accusation plus ou moins semblables concernant d’autres produits vendus par la Yoshikawa’s Saibatsu, mais aucune enquête ne fut lancé par vos collègues. Mais si vos pistes s’avèrent exactes, alors c’est bien là-bas que vous devriez enquêter. Il est probable que la personne vendant ces anabolisants travaille pour le compte de la multinationale. Dans le cas contraire, cela pourrait être un élève qui achète ces produits pour les revendre plus cher à ses clients, mais cela n’est qu’une supposition………
   
J’avoue que je ne pouvais pas prendre le risque de lui dire tout simplement que l’entreprise familiale était blanche comme neige après avoir trouvé une preuve matérielle apportant du poids à ses arguments. Cet individu est une menace potentielle pour ma famille et je n’ai aucun argument suffisamment constructif pour réfuter ses trouvailles. Pour la première fois de ma carrière, j’étais dans une impasse. Je n’ai donc pas d’autre choix que de confier cette tâche à mère.

Je me levai de mon bureau avec nonchalance, faisant rebondir gracieusement mes groslolo, pour me diriger vers l’armoire métallique avec ma démarche féline faisant rouler mes grosses fesses  fermes et bien galbées, entreposant la paperasse que je venais de remplir en prenant soin de classer chaque fiche à son étagère respective. Certaines d’entre elles nécessitaient que je me lève de la pointe des pieds, cela devait être un régal pour les yeux de Nathan, car je sentais que ma jupe moulante et extensible s’insinuait bien dans la raie serrée qui séparaient mes deux globes fessiers, huhuhuhu !

-   Votre prochaine mission consistera d’aller voir la PDG de la Yoshikawa’s saibatsu par rendez-vous ou par un autre moyen dans le cas contraire. Questionnez-la et rapportez-moi un rapport détailler sur votre investigation. Disais-je en rangeant la pile de feuilles dans mes bras.

À cet instant, ma soif de sexe atteignit le seuil critique et l’idée d’assouvir mes basses pulsions sur Nathan me vint en tête. Étant donné qu’il était la seule personne présente dans les bureaux du commissariat, autant ne pas me priver de cette occasion ! Je crois même que c’est l’un des rares collègues avec qui je n’ai pas établi de relation sexuelle, raison de plus de me faire sauter par lui.

Mes yeux de biche firent mine de fixer l’horloge avant de marcher sensuellement en direction de l’inspecteur.

-   Je vais devoir vous laisser, ma journée de travail s’achève ici. Mais je ne suis pas pressé de rentrer chez moi. Ajoutai-je avant de plaquer mes seins contre le torse de Nathan,de sorte qu’il savoure la douceur intense de mes airs bagues biologiques, et mon entrejambe contre la sienne, posant mes mains entre ses joues que je caressai. J’ai toouuus mon temps et puis j’ai besoin de décompresser ma rude journée de travail ♥

Sur cette dernière phrase avec un ton suave et sensuel, je l’embrassai passionnément en pressant mes lèvres onctueuses contre la sienne sans aucune retenue, roulant ma langue dans sa bouche avec une finesse et une dextérité inégalable. Il ne le savait peut-être pas, mais dès qu’il a pénétré dans cette salle, il fut exposé à une forte dose de phéromone accumuler aux fils des heures que l’atmosphère en était quasiment saturée. Si son désir de vouloir faire l’amour avec moi était fort au milieu de la journée, il devait être tellement puissant, après avoir respiré les bouffés d’airs, qu’il était presque impossible d’y résister. D’ailleurs, je sentis sa protubérance toute dure s’appuyer contre mes lèvres intimes.

Cette nuit-là allait être une nuit chaude comme la braise.

Nathan Joyce

E.S.P.er

Re : The Dark Side of the Man [Venomess]

Réponse 8 mercredi 19 décembre 2012, 00:30:41

Quand il était entré dans le bureau du commissaire Faye, ce fut comme si son instinct de flic s’était envolé. Il fut remplacé par une espèce de désir primaire et furieux, une envie de sexe qu’il avait déjà ressenti aujourd’hui, quand il était venu la voir. Ce désir revenait en force, bien plus vivace, le troublant. Il avait réussi à exposer son affaire, et, s’il ne ressentait pas cette furieuse envie, il aurait probablement remarqué que le comportement de Farrah était troublant. Il était venu la voir sans prévenir, et cette dernière lui avait affirmé qu’il n’y avait aucun dossier en rapport avec la Yoshikawa’s, tout en lui disant que le PDG de cette entreprise était une femme. Comment pouvait-elle le savoir ? Cependant, la seule chose qui traversa l’esprit de Nathan, quand le commissaire se retourna pour ranger les dossiers, ce fut l’observation de son cul. Sa belle robe verte courte moulait ses fesses à la perfection, le tissu s’enfonçant dans sa raie. Il sentit son sexe se tendre sous son jean, et dut fermer les yeux.

*Bordel... Si je ne pars pas maintenant...*

Il savait qu’ils étaient seuls. A cette heure, il n’y avait personne dans les bureaux. Les policiers encore en faction étaient au rez-de-chaussée, ou dans des endroits spécifiques : le Central, les salles d’interrogatoire... Mais ici, il n’y avait personne. Nathan était revenu pour peaufiner son enquête, et parce qu’il n’avait aucune envie de retourner dans son studio. Il resta au garde-à-vous, et Farrah se retourna vers lui. Elle se mit à lui parler, et il ferma lentement les yeux, les plissant, en soupirant. Elle parlait d’une voix suave et hypnotique, envahissante. Chacun de ses mots l’envoûtait, et il sentit le temps se ralentir, lorsqu’elle se rapprocha de lui.

Nathan n’eut pas le temps de réagir qu’elle l’embrassa. Sur le coup, il se demanda s’il n’était pas en train de rêver, mais non... Elle avait une bouche merveilleuse, des lèvres magnifiques, et il sentit les lourds seins de cette femme se presser contre son torse. Impossible de faire le réfléchir, impossible de faire le point sur ce qui se passait, impossible de se contrôler. Il ne pouvait que goûter à cette bouche magnifique, en soupirant. Chaque seconde passée contre ses lèvres envolait au loin la conscience, réveillant la bête tapie au fond de lui. Cette femme... Elle le rendait fou, ivre de désir, mais c’était ce même désir à la nature incertaine qu’il avait ressenti avec cette étudiante, Tashigi.

Le sexe de Nathan, dur, douloureux, pressait contre le bassin du commissaire, et, quand le baiser se rompit, Nathan était subjugué. Il ne restait plus de lui qu’un atome de plaisir et d’envie, un mâle en rut qui n’avait qu’une envie en tête : baiser sauvagement. Son sexe tendu et assoiffé le faisait souffrir, et il maintint le corps de la commissaire contre lui, caressant son dos, ses hanches, et glissant ses mains le long de son corps, jusqu’à presser ses fesses. Elle était un peu plus petite que lui, et il la poussa, la plaquant contre son propre bureau, ses fesses s’enfonçant contre ce dernier. Il retourna l’embrasser, soupirant dans sa bouche, toujours sans dire un seul mot, enfonçant sa langue en elle, caressant ses dents, jouant avec sa bouche, son sexe continuant à l’élancer, comprimé sous ses vêtements. Il glissa ensuite ses mains sur les belles jambes du commissaire, les remontant sous sa robe, caressant avec ses pouces l’aine de cette dernière, et rompit encore son baiser, le temps de reprendre son souffle.

*C’est fort, bordel... Je n’avais pas ressenti une telle envie depuis… Depuis longtemps…*

Ayant du mal à se retenir, il enleva sa chemise d’un mouvement sec, finissant torse nu, et aventura ses mains sur les seins du commissaire, les pressant à travers sa robe. Ses mains étaient moites, sa gorge sèche. Il avait chaud, et brûlait d’envie. Difficile de se retenir. Il parla rapidement, se pressant contre elle. Curieusement, il n’avait jamais entendu parler de rumeurs concernant les activités sexuelles du commissaire. Or, vu comment elle l’avait pris, ce ne devait pas être la première fois qu’elle s’envoyait en l’air avec un inspecteur. Soit elle était discrète, soit il était vraiment enfermé dans son monde.

« J’en rêve depuis des jours, glissa-t-il. Je vais te baiser fort. »

Une réplique digne d’un film porno, qui sonnait faux dans les oreilles de Nathan, mais réfléchir lui était impossible. Il sentait la Bête en lui se réveiller, et devait se retenir pour ne pas se transformer. Son sexe l’élançait douloureusement, mais, encore une fois, il ressentait en lui une espèce de bouclier instinctif l’empêchant de prendre cette fille... Tant qu’elle ne le lui aurait pas montré expressément. C’était une sensation troublante, mais il se sentait comme bloqué. Il avait envie de la retourner sur son bureau, de la plaquer contre le mur, de lui faire le tour intégral du propriétaire, mais quelque chose l’en empêchait. Quoi, il n’aurait su le dire avec précision, mais cette chose était bien là.

« Tu la sens, hein ? Ma grosse queue... Elle n’a qu’une envie : te défoncer ! »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Venomess

Créature

Re : The Dark Side of the Man [Venomess]

Réponse 9 samedi 26 janvier 2013, 14:51:11

Mais c’est qu’il était coquin ce petit inspecteur ! Voilà maintenant qu’il pose ses paluches sur mes deux globes fessiers avec une avidité qui me fait pousser un soupir concupiscent résonnant dans la pièce cloitrer, frétillante délicatement mon postérieur de gauche à droite comme une petite coquine bien chaudasse du cul. Quand je goute aux nectars onctueux de luxure, je savourais toujours chaque fraction de seconde comme si c’était mon dernier instant à vivre. Le bel homme n’opposer aucune résistance à se laisser enrouler sa langue contre la mienne dans une danse buccale endiablée, insinuant ma langue dans des endroits qu’aucune langue humaine n’aurait atteints. Nous nous échangions des soupirs suaves dans nos bouches respectives avant d’entrecouper ce moment pour reprendre nos souffles, dégageant une atmosphère des plus torrides par l’augmentation de la chaleur corporelle par l’activité lascive. Mon cœur continuait toujours de battre à cent à l’heure, tandis que la respiration se faisait plus courte et plus répétitif sans m’arrêter de caresser sa figure virile.

Toujours avec ce regard de prédatrice sexuel dévorant les prunelles envouter de cet humain comme tant d’autres avant lui. Toujours en appuyant ma paire d’obus contre son torse taillé en V que je frottais sans aucune retenue. Dans son élan de bestialité, il me poussa brutalement contre le bureau sans que cela me fasse mal. J’étais habitué à pire maltraitance physique et puis cela ne faisait que m’excitait davantage. Une bête de sexe, voilà ce que j’étais tout comme l’était ma famille. J’ai du mal à comprendre qu’il existe des gens éprouvant une répulsion affolant pour cet acte magnifique qu’est l’amour charnel. Ce moment intime vaut tout l’or du monde. Que dire, un bonheur infiniment plus durable ! D’autant plus que c’est ce qu’il y a de plus naturel chez tous les êtres peuplant ce vaste univers. J’ignorais si c’était mon imagination, mais j’avais l’impression qu’il retenait son instinct primaire en retenant certains faits et gestes de ses mains. Était-il puceau ? Non cette hypothèse est impossible, autrement il ne se serait pas laissé faire dès l’instant du baiser. C’était autre chose. Quoi qu’il en soit je comptais bien rompre cette défense psychique en décuplant l’accumulation de mes phéromones en faisant durer le plaisir.

Je voulais que ça dure longtemps, le plus longtemps possible. Même s’il faut que ça dure jusqu’au p’tit matin !

Et effectivement, cela allait se produire ! Même Nathan l’avoua haut et fort en admettant qu’il attendît ce moment depuis fort longtemps ! J’esquissai un sourire vicieux, rapprochant de très près ma tête vers son oreille, une main posée sur sa joue, pour lui susurré un :

-   Je n’attends que ça, trésor

Lentement mais surement, sa barrière instinctive lier à une quelconque éthique ou morale à deux balles qui commençait à s’effriter, se dégager. D’un geste aussi sec que brusque de la main, Nathan arracha mon chemisier dans un déchirement aigue, mettant à nue mon buste finement musclé auquel trônaient mes bigs boobs qui rebondirent deux fois. Poursuivant son geste indécent en massant et en malaxant cette arme de séduction redoutable de la gente féminine qu’était la mienne. Je laissais mon esclave sexuel satisfaire le plaisir de ses mains humide et quel délice ! La sensibilité très développer au niveau de cette partie physionique érigea mes tétons a vu d’œil et qui se durcir par la suite, alors que mes joues virèrent de plus belle aux rouges tomates. Yeux extasier et bouche entrouverte filtrant des soupirs plus chauds, plus sensuels que précédemment, entrecouper de « oooooh oui ! ». Je sentais d’ici l’odeur exquise de son petit soldat rêvant secrètement de visiter ma somptueuse gare, tendue à l’extrême, mais entraver par le tissu encombrant de son jean.  Mes yeux de velours le fixèrent avec pour unique but de sentir ce gros manche glisser le long de mon intimité.

Intimité qui s’impatientait énormément elle aussi, souillant complètement ma culotte dont quelques filets de cyprine clapotèrent au sol, lèvres intimes distendues comme des ballons de baudruche. Presser par la verge pointée vers elle, mais bloquer par cet obstacle vestimentaire. Mon regard se fit plus séducteur, plus aguichant lorsque l’appel à la chair de Nathan se libéra dans ses derniers mots. Toujours plaqué sur mon bureau en acajou massif, je léchai sensuellement mes lèvres pulpeuses, ôtant délicatement ma jupe moulante suivie de ma culotte trempée en disant :

-   Oui je la sens, je la sens même très bien mon lapin……..et ma chatte n’attend que ça ♥

 À la fin de ma phrase, j’exhibais une moule dégoulinante de mouille entre mes lèvres intimes gonflées à bloc que j’écartai entre l’index et le pouce de ma main droite, au même titre que mes jambes fuselées sur mes épaules. Formant un V avec mes membres inférieurs.

-   Qu’est-ce t’attend babyboy, le déluge ? Ne fais pas attendre ton p’tit frère ♥


Vas-y avoir du sport de chambre ! Ou plutôt, de bureau !

Nathan Joyce

E.S.P.er

Re : The Dark Side of the Man [Venomess]

Réponse 10 dimanche 27 janvier 2013, 14:57:55

Il était comme un possédé, soumis aux plaisirs traîtres et totalitaires de son corps. Comment dire non ? Nathan ne comprenait pas ce qui lui arrivait. C’était comme s’il était envoûté, comme si, enfin, il comprenait tout le sens de la passion sexuelle. Cette femme... Il l’avait dans la peau, il voulait la baiser, tout simplement. Il n’y avait rien de plus. Nathan ne voulait pas d’une relation sentimentale avec elle, ni s’en faire une amie, il voulait simplement niquer. Comme une bête, un vulgaire animal. C’était assez effrayant, car il n’avait jamais ressenti un tel désir physique absolu, détaché de toutes contraintes, ou de tout désir subsidiaire. Même quand Nathan avait été en manque, il préférait s’astiquer la queue devant un film porno, et encore... Généralement, il s’écroulait, le pantalon sur les genoux, la bouteille d’alcool dans la main, son érection mourant misérablement dans ses doigts. Mais là... Putain, ça le démangeait tellement qu’il en avait mal, qu’il avait envie d’hurler, de la gifler, de la plaquer contre son bureau, de lui déchirer ses vêtements, de lui déchiqueter les seins, et de l’entendre hurler... Oh ça oui, il voulait qu’elle hurle, cette salope ! L’animal qui sommeillait en Nathan se réveillait, dynamité par une envie de baiser fulgurante.

Elle se déshabillait devant lui, le narguant, titillant son excitation. Retenant sa respiration, Nathan voyait sa mouille tâcher le sol, tandis qu’elle était toute nue. Farrah Faye... Il bandait en pensant à elle. Elle était d’une telle beauté. Une saloperie de beauté africaine, avec un cul de Déesse. De quoi déchaîner tous les fantasmes. En temps normal, il se serait probablement senti honoré, mais, ici, tout ce qu’il pensait, c’était à la défoncer. De la baiser fort. Avec violence. Qu’elle sente sa virilité, qu’elle comprenne qui était le mâle, cette petite salope de commissaire. Et, pour le coup, elle agissait vraiment comme une salope, écartant ses lèvres intimes, glissant ses dents entremêlés de mouille, observant le flic avec ses yeux envoûtants.

« Qu’est-ce t’attend babyboy, le déluge ? lâcha-t-elle, d’une voix mi-moqueuse, mi-séductrice. Ne fais pas attendre ton p’tit frère » enchaîna-t-elle, avec un accent d’envie.

Ils étaient seuls dans le bureau. La porte était fermée, et Nathan s’avança, se déshabilla rapidement. Son jean glissa le long de ses cuisses, et il ôta également son sous-vêtement. Ses mains tremblaient, et il prit ensuite son sexe dans sa main. Son érection était forte, et son membre dur. Avait-il déjà ressenti une telle excitation ? Une telle souffrance ? Sa queue était en feu, tout simplement. Son sexe le démangeait follement, à un point où il se sentait sur le point de perdre le contrôle. Il s’avança lentement vers la femme, le bout de sa queue caressant ses cuisses. Elle n’était plus le commissaire Faye à ses yeux, simplement un morceau de chair qu’il allait sauter toute la nuit.

« Je vais te baiser bien fort, petite salope... »

Il l’embrassa brièvement, puis la retourna, observant son dos, et gifla ses fesses, posant sa main sur son cul. Elle avait vraiment un très beau postérieur, et elle était contre son bureau. Nathan aurait pu lui défoncer le cul, mais il se réservait ça pour plus tard. Il glissa certes son sexe le long de ses fesses, mais uniquement pour atteindre son intimité. Le flic s’enfonça dans cette fente bien humide. Effectivement, elle mouillait, et il porta ses mains sur les hanches solides et chaudes de la femme, ne tardant pas à la défoncer, à remuer son corps rapidement, lui donnant parfois de nouvelles gifles sur les fesses. Il grognait longuement, son membre étant dur, douloureux, bien enfoncé en elle.

« Hum... Hum... Oh putain, c’est si bon, bordel ! »

Nathan la gifla à nouveau, adorant ça. Il voulait l’entendre crier, hurler, et il lui défonçait la chatte, la bourrant fort, ses testicules claquant contre ses fesses, son délicieux cul qu’il allait également défoncer avec joie. Fermant les yeux, Nathan soupirait, la baisant.

« Vas-y, ma salope, couine, je veux t’entendre hurler, allez !! »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Venomess

Créature

Re : The Dark Side of the Man [Venomess]

Réponse 11 mercredi 06 février 2013, 17:03:31

Inutile de vous faire dessin pour vous dire qu’après avoir excité profondément l’instinct bestial de mon partenaire tel la plus chaudasse des putes au monde, Il répondit avec la tonalité qu’un violeur sortit tout droit de la série « prison break ». Mes lèvres gourmandes et épaisses esquissèrent un sourire malicieux : excellent. Ce mot injurieux pour la grande majorité de la gent féminine humaine était pour moi un doux compliment qui me fait chaud au cœur. Là c’est clair et net, je n’avais plus devant moi le petit Nathan coincé du cul que je rencontrais tous les jours. Non ! Ce n’était rien de plus qu’une nouvelle proie parmi tant d’autres que j’ai dégusté et savourée dans des ébats à faire damner un saint. Voilà le Narthan que je voulais et pour une fois j’étais heureux de passer du temps avec lui. Sans plus attendre, il retira son futal en quatrième vitesse, m’embrassa fougueusement une énième fois avant de me retourner comme un saucisson pour me coller une belle claque sur mes fesses. Comment ne pas résister aux claques ? C’est le genre de chose qui m’excite le plus avec la pénétration, le genre de chose qui me fait pousser un « Mhuuumm » des plus sensuels suivi d’un rire des plus coquins qui soit, frétillant mon postérieur telle une salope accro aux gros bites. Cette claque avait frappé de pleins fouets mes nerfs supra sensibles au niveau de cette partie physionomique, faisant battre mon cœur à un rythme qui aurait tué un humain normalement constitué. Plaqué contre le bureau, mon regard concupiscent obersva que le chibre de Nathan et…mhuum ça c’est un gros diamètre ! Une belle queue bien grosse comme je les aime. Le genre de queue qui me transporte pendant un bref instant au nirvana de la luxure absolue.

Tandis qu’il tenait fermement mes hanches bien pleines, je sentais, quelque chose s’insinuait, brusquement entre mes deux globes de chaires pour pénétrer violemment les portes de mon intimité qui se traduisit par un éclair de jouissance foudroyant de plein fouet chaque fibre de mon être. Cette sensation est un pur délice enivrant !!! Impossible de retenir des râles de plaisir lubrique puissant ! De douleur !? Nannn pas celui-là, mais bien de jouissance !!! Oui, c’est bien des cris de jouissance qui résonne dans toute la pièce sans pour autant être audible de l’extérieur. J’empoigne le bord de mon bureau avec une pression tellement forte que des fissures et autres craquelures se forment autour de mes mains refermé. Ce que mon cher partenaire ne savait pas, c’est que mes parois vaginales étaient tellement lubrifiées qu’il n’offrait aucune résistance à l’engin sexuel de l’agent, en plus d’être élastique. Ce n’est donc pas une expression crispée et souffrante sur mon visage, mais bien d’un plaisir jubilant. Bouche grande ouverte dans un sourire béant de joie, joues totalement roussies, et tête penchée vers l’arrière. Une myriade de gouttes de sueur s’échappèrent des pores de mon épiderme, signes d’une transpiration massive laissant refléter quelques traits lumineux du néon accrocher au plafond, accentuant davantage la luxure de mon corps. Ce n’était pas une gêne, bien au contraire, cela apportait son lot de plaisir. Sentir mes gouttes de sueur suintaient le long de mon corps me procurait plus de jouissance, recouvrant ma peau luisante d'une fine couche de sueur. De son côté, Nathan prenait presque autant de plaisir que moi à bourriner mon cul au rythme des coups de fouet de ses couilles. Souvent accompagné par de nouvelles gifles sur mon popotin vaniteux qui rebondissait sous les coups, Plus ! J’EN VOULAIS PLUS !!! BEAUCOUP PLUS !!!! TOUJOURS PLUS !!!! Je tremblais de plaisir entre mes respirations à la fois profondes dans une cadence exponentielle comme une truie en chaleur, mêlée a de l’excitation à tel point que mes jambes se refermèrent sur la taille de Nathan, l’enserrant entre mes jambes dans une étreinte surhumaine, sans interrompre les coups de bassins. Mieux encore, elles forcent mon partenaire à me pénétré sans ralentir le rythme. Ma moule dégoulinait toujours plus abondamment de cyprine, souillant d’avantages le sol de mes fluides corporels. Je jouissais d’un coït d’une bestialité extrême !

-   Oh oui ! OH OUI !! OOOHHH OUIIIIIII !!! CONTINUE !!! SURTOUT NE T’ARRETENT PAS !!! JE TE L’INTERDIT !!! BOURRINE MOI LE PLUS LONGTEMPS POSSIBLE ET N’HESITE PAS NON PLUS A EJACULER A L’INTERIEUR DE MOI !!!! 




Nathan Joyce

E.S.P.er

Re : The Dark Side of the Man [Venomess]

Réponse 12 mercredi 06 février 2013, 21:52:27

Il ne se reconnaissait plus. Il savait ce qui se passait, mais il était comme un observateur, un étranger dans son propre corps, quelqu’un qui ne pouvait pas aller contre ce qu’il ressentait. C’était comme être dans une barque, et affronter des rapides. On ne pouvait pas remonter la rivière, simplement la suivre, en évitant de se manger les récifs. Nathan était dans la position du rameur, manœuvrant son plaisir, son envie, pour ne pas se fracasser en route. Son sexe était terriblement tendu, une vraie matraque, dopé par ce plaisir inhabituel qu’il ressentait, mais aussi par le symbiote qui vivait en lui, et l’animait, le dirigeait, lui ordonnait de la baiser. Il ne se contrôlait plus, entièrement dominé par une envie maîtresse : la baiser violemment. Là. Dans ce bureau. Son sexe s’enfonçait en elle, un pieu douloureux. S’il avait été moins excité, plus calme, plus réfléchi, il aurait sans doute trouvé bizarre que le commissaire Faye enfonce ses doigts dans le bureau, tout comme il aurait trouvé bizarre cette attirance inexplicable, cette attirance qui transformait le solitaire Nathan Joyce en une bête de sexe, avec un membre énorme. Il sentait en lui la Bête l’appeler, l’ordonner de la défoncer, d’y aller plus fort, il se délectait des hurlements, de la manière dont son sexe, sans aucune difficulté se glissait dans le vagin de cette femme noire. C’était une vraie salope ! Ses lèvres intimes étaient tellement lubrifiées qu’il n’avait aucune difficulté à y entrer. Il la pénétrait ainsi, par l’arrière de son corps, glissant sa longue queue le long de sa croupe, savourant son corps, sa peau nue et chaude, couverte de sueur. Elle était follement excitée. Chacun de ses hurlements résonnait délicieusement dans ses oreilles, les faisant presque siffler. Il se délectait de la voir ainsi, courbée, désireuse, une femme forte, mais rien de plus, en ce moment, qu’une pute à ses yeux. Il lui défonçait le vagin, mais ne comptait pas s’arrêter là. Il ressentait en lui une telle envie de baiser que c’en était difficilement croyable. Ça le démangeait, le dévorait de l’intérieur, comme un feu ardent et totalitaire. C’en était presque dangereux, une telle attirance. Il la gifla à nouveau, fort, suffisamment fort pour qu’une humaine normale en tombe sur le sol. Son corps se recouvrait en effet ici et là de petites tâches noires, le signe que la Bête se réveillait, et qu’elle était le moteur de cette excitation surhumaine qu’il ressentait. Mais pourquoi ? Que lui voulait-elle ? En quoi cette femme pouvait-elle à ce point exciter le symbiote ? Il ne le comprenait pas, et n’était de toute façon pas dans un état propice à la réflexion.

Elle lui ordonnait plus, elle en voulait plus, le criait d’une voix forte, qui résonnait dans toute la pièce. Est-ce qu’elle avait joui ? Difficile à dire. D’une part, il était aveuglé par son propre plaisir, et, de l’autre, il y avait tant de mouille là-dedans qu’il ne savait pas trop si elle jouissait ou non. Il ne s’attendait vraiment pas à ce que cette fille soit une telle salope, mais, dans le fond, ça l’excitait plus qu’autre chose. Nathan la défonçait, envoyant le bassin de cette dernière heurter le bureau. Des coups de queue forts, avec une bonne amplitude, dans un vagin étroit, très étroit, qui le faisait grogner. Il sentait des pulsions de violence s’emparer de lui, et, à chaque fois qu’il fermait les yeux, les mêmes flashs venaient à son esprit. Des corps gélatineux, noirâtres, faisant l’amour pendant des siècles. De longues bouches avec des crocs interminables, des queues qui se caressaient, s’enfonçaient, des gémissements de monstres lovecraftiens. Des images qui venaient de la Bête, de ses pensées, voire même de ses fantasmes. Pourquoi maintenant ? La réponse était à portée de mains, mais il n’arrivait pas à la saisir, il n’arrivait pas à comprendre le sens de ce message. Tout ce qu’il voyait, c’était qu’il avait la trique, une formidable envie de baiser, comme si on l’avait drogué au viagra pendant des heures. Sa queue concentrait son sang, formant une espèce de puits qui happait tout, et déchaînait sa rage. Il n’arrivait pas à jouir, et ça le frustrait, l’énervait.

« HAAAAAAAAAAAAAA !! SALOOOOPEEE !! SALE PUUUTE !! »

Il la gifla à nouveau, et sentit la douleur dans sa main, tout en continuant à laisser parler la Bête. Elle prenait le contrôle, ce sexe brutal et intense détruisant les barrières qui la contenaient. Elle lui ordonnait de la défoncer, de la pilonner, de la baiser avec la force d’un babouin en rut. Nathan leva la main, et lui offrit une autre gifle, toujours plus fort. Il se plaqua contre elle, et poussa alors un grognement de bête sauvage.

*Nique-là, nique-là, elle ne demande que ça ! Allez, empoté, sers-toi de ce membre, et défonce-là ! Crois-moi, plus tu y iras fort, et plus elle aimera ça ! Défonce-là !!*

Cette voix était impérieuse, et Nathan ignorait d’où elle venait, mais il la suivit, haletant, soupirant, également en sueur, chaque coup de reins faisant balancer sa sueur depuis ses mèches de cheveux. Les soupirs et les cris de la commissaire l’absorbaient, l’enivraient, de même que son aura. Sa queue se contorsionnait, s’enfonçait en elle, et il finit par avoir sa première éjaculation, crachant en elle des litres de sperme, giclant dans son vagin. Il l’inonda furieusement, jouissant pendant une longue minute, sentant, à chaque fois que la fin des secousses approchait, une autre vague, qui le galvanisait encore. Son sexe était plein, et il l’évacuait en elle, la remplissant, son sperme se mettant à jaillir hors de son vagin pour glisser sur ses jambes. Ceci dura ainsi une bonne minute, une performance exceptionnelle, mais, le plus étonnant était sans doute que sa queue, elle, était toujours aussi dure. Il ne laissa pas au commissaire le temps de réagir, et retira sa queue, avant de la pousser, l’envoyant sur le sol, à quatre pattes, visant une autre partie de son corps : ses fesses.

« Sois ma petite chienne, petite pute ! C’est tout ce que tu mérites, que je te défonce le cul !! »

Il la gifla encore, puis enfonça son membre imposant dans son fondement, d’un coup assez sec. Il s’y enfonça rapidement, avec brutalité, poussant un long soupir, un halètement sonore et fort, rauque.

« Allez, allez, hurle, hurle, ma salope ! Hurle ton plaisir, allez !! »

Nathan, à ce moment, se moquait alors bien que quelqu’un puisse les surprendre. Rien d’autre n’avait d’importance qu’eux. Rien d’autre.
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Venomess

Créature

Re : The Dark Side of the Man [Venomess]

Réponse 13 lundi 18 novembre 2013, 20:22:17

Oooooh oui !! Qu’est-ce que c’est si bon de  sentir toutes ces claques qui fouettent mon boule de déesse !! C’est tellement excitant…… Tellement jouissif, comme toujours ! Je laisse toujours ce soupir de plaisir s’échapper entre mes lèvres grandes ouvertes, haletant comme une cougard en chaleur qui savoure chaque instant que procure ce gourdin bien dur de mon vilain petit inspecteur bien coller à moi ! Chaque minute qui passe, l’étreinte de mes bras et de mes jambes  se resserre de plus en plus à mesure que la dopamine produite abondamment par le cerveau de mon hôte ! Mais dit donc, c’est qu’il est vachement balaise pour un humain ! Je sais bien que les hommes ont plus de force brute que le beau sexe, mais quand même ! Néanmoins cela n’a aucune importance, il en faut plus pour me briser et…..

-   !!!!  ♥

Ca y est ! Il a enfin déversé sa semence en moi, inondant chaque centimètre carré de ma moule assoiffée de spermes ! Ça se remplit vite à tel point que je suis en extase, je jubile dans un rugissement léonin : tête penchée en arrière, bouche grande ouverte et langue toute sortie ! Il y a beaucoup de choses d’irrésistibles dans la baise, mais aucune ne procure autant de pur plaisir sexuel dans sa puissance le plus pure que le remplissache de l’utéruse par des litres abondants de spermes ! J’ai chaud !  si chaud ! Tellement chaud ! Je suis en extase de sentir ce long filet de foutre déborder hors de ma chatte pour couler le long de mes cuisses pulpeuses ! J’ai même ma tenue complètement souillée par ma transpiration grandissante, mais je m’en fiche, peu importe que chaque fibre en soit imprégnée, ça n’a plus aucune importance : je suis en train de vivre ma plus grande relation d’amour de toute mon existence de symbiote ! Personne, je dis bien personne, ne m’avait fait autant d’effet de ma vie ! Si j’avais su plus tôt que ce type irait jusqu’à me faire gouiner à ce point je l’aurais promu dans un poste plus rémunérer. D’ailleurs c’est ce que je compte faire dès que notre copulation aura pris fin. Car oui je compte bien le préserver ! J’espère juste que je saurais convaincre Venomess de le laisser en vie, si je me débrouille pour étouffer l’affaire par la magie de la corruption financière et le confort d’un poste rémunérer. Pourquoi se casser la tête à supprimer un excellent jouet quand on peut le rendre plus docile, hum ?

Outch ! Et bein….. Il y va pas de main morte lui ! Sitôt avoir retiré son phallus qu’il pose ses mains autour de ma taille pour me jeter par terre, me mettant en position de levrette.  En même temps ça n’a rien d’étonnant puisqu’il est sous l’emprise de mes phéromones. Exprimant tout son amour pour moi sous de jolis noms qui me font glousser sensuellement, huhuhuh ! Évidemment la position est volontaire puisque j’ai eu le réflexe de me réceptionner à temps par un geste coordonné faisant passer pour un mouvement maladroit.  Il ne met pas longtemps pour palper ma croupe entre ses paluches viriles pour fourrer un unique coup de dard qui me fait pousser un unique et long crie concupiscent de grosse gouine que je suis. Oui car c’est ma nature : je suis né gouine et je mourrais gouine !

-   AAAAAAAHHHUUUUUUUUUMMMMPPFFFFFFFFFFFF !!!! ♥♥♥♥


C’est tout ce que je réponds aux jurons ordurier et pervers de ma proie en extase et ça suffit amplement. Pas besoin de gaspiller inutilement de la salive dans cette situation. 

Encore un moment, rien qu’une seule fois et je prendrais fin cet instant palpitant !
http://hentai.forum-rpg.net/index.php
D’un geste aussi souple que puissant j’exécute une prouesse physique en attrapant sa ceinture abdominale entre mes jambes puis d’une impulsion montreuse je  l’étale par terre comme si ce n’était qu’un fétu de paille, pour changer nos positions. Visuellement c’est maintenant MOI qui est la dominante et lui le dominé ! Alors qu’il se trouve à plat dos, je me mets en position couchée de sorte qu’il puisse enfourcher sa langue au plus profond de mon intimité tandis que je lui offre la pipe de sa vie. Et elle commence ici et maintenant ! J’engloutis son membre dans ma bouche, débutant des vas et vient de ma tête tout en l’enroulant autour de ma langue préhensile dans des bruits gluants. Jonglant ainsi entre deux actions qui démultiplient mon plaisir comme le sien.


Mon cul lui, tortille et frétille d’impatience devant ma proie……

Citer
HRP : Désolé pour la (très très) longue absence, mais j'avais eu de grs soucie IRL qui m'ont sapé toute envie de vouloir rp....

Nathan Joyce

E.S.P.er

Re : The Dark Side of the Man [Venomess]

Réponse 14 mardi 19 novembre 2013, 02:17:34

Terrible. Incroyable ! Nathan était dans le bureau de sa supérieure, la commissaire Faye, et était en train de lui défoncer le cul, claquant ses fesses. L’homme ne se contrôlait plus, ne se retenait plus, se laissait pleinement aller, guider par ses pulsions primaires. Et, pourtant, la Bête ne s’était pas réveillée. Il n’arrivait pas à le comprendre, car c’était bien l’excitation sexuelle de la Bête qui le motivait, renforçant le désir naturel que le policier ressentait pour son commissaire. Cette femme avait la réputation de coucher avec beaucoup de monde, et Nathan constatait que cette réputation n’était pas liée qu’au sexisme ambiant en vigueur dans le Japon. Son membre la perforait, et il soupirait de plaisir devant les gémissements de cette dernière, ses soupirs et ses couinements. Elle l’enivrait, elle le domptait. L’homme était surexcité, son sexe lui semblant sur le point d’exploser, quand il sentit les jambes de la commissaire l’attraper, et le renverser.

En quelques secondes, Nathan se retrouva au milieu du sol, couché sur le dos, et sentit Farrah venir sur lui. Son corps confortable, cette chaleur qui se dégageait d’elle, cet odorat sensuel... Il se sentit écrasé, soumis devant elle, sentant son corps sur le sien, avant de se retourner lentement, lui présentant ses jambes, ainsi que sa moule, dégoulinante. Sa robe verte était tellement courte qu’il pouvait voir cette intimité sans difficulté. Un liquide tomba sur son nez et ses lèvres. Sperme ? Mouille ? Mélange des deux ? Il soupira en sentant son sexe disparaître dans la bouche de la femme, et posa ses mains sur ses fesses, l’amenant à s’abaisser pour pouvoir la lécher.

Son sexe disparaissait dans cette bouche, et Nathan sentit une espèce de longue langue de serpent qui comprimait son sexe. Il soupira, ses doigts moites tremblant sur le postérieur de la femme. Le brave homme n’y comprenait plus rien, et était totalement largué par les émotions intenses qu’il recevait. Il gémissait et soupirait, et fourrait sa langue dans l’intimité de sa partenaire, pressant sa robe verte. À son tour, une longue langue de serpent se mit à jaillir, la langue reptilienne de la Bête. Elle s’attaqua à son clitoris, heurtant le bouton de plaisir de la femme, se délectant de la cyprine qui glissait sur sa bouche, filant entre ses lèvres. Nathan soupirait longuement, son chibre tendu, dur comme la pierre, s’enfonçant dans la gorge de la femme.

Il eut ainsi rapidement un nouvel orgasme, crachant dans sa bouche des filaments et des jets de sperme, soupirant en remuant un peu son corps. Il était couché sur une sorte de tapis, et ses quelques soupirs étaient étouffés par les cuisses de la femme. Sa mouille était vraiment délicieuse, et il continuait à appuyer sur le clitoris, se délectant de cette mouille. Il avait beau avoir joui, son membre était toujours aussi tendu, ce qui, selon lui, était lié à l’influence de la Bête. En réalité, le fait que son membre soit toujours aussi tendu s’expliquait très certainement aussi par les phéromones que cette femme dégageait.

*Elle est comme nous, Nathan... Tu le comprends, maintenant ? Tu le sens bien, n’est-ce pas ? Elle n’est pas humaine, elle est comme nous... Mais je sens autre chose en elle... Une influence lointaine et forte...*

La Bête parlait en lui, tandis que sa queue remuait dans le corps de la femme, et se transformait, se recouvrant d’une excroissance noirâtre, une seconde couche de peau qui la grossit encore, facilitant le glissement dans la bouche de la femme. Des veines noirâtres ressortaient de son sexe, pour glisser dans la bouche de la femme, alors que son pénis continuait à cracher son sperme. La Bête était terriblement excitée, et jouissait sans relâche, comme une espèce de fontaine, remplissant la bouche de la femme, alors que, sous l’effet du plaisir, Nathan voyait de lointaines images subliminales... Des souvenirs d’un monde d’orgie perpétuelle, où des symbiotes ayant des formes vaguement humanoïdes jouissaient pendant des heures sans relâche en prenant le contrôle d’organismes vivants.

*C’était le rôle des symbiotes masculins… Les nourrir de liquide sexuel pour les engrosser… Nous les ensemencions, et nous les servions fidèlement en ce sens...*

Et la Bête pompait, continuant à remplir la bouche de la commissaire, à l’inonder, alors que lui se nourrissait de sa cyprine, le temps défilant à toute allure.
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


Répondre
Tags :