Amaluna Ékastra, surnommée Luna ou Éka a 16 ans depuis le 14 janvier dernier. Cette jolie petite adolescente n’as aucune expérience sexuelle et ne sais pas vraiment ce qu’elle veut dans le domaine. Cette étudiante humaine ne sais pas comment se rendre sur Terra et c’est mieux comme cela.
Amaluna es née avec une déficience intellectuelle profonde qui n’as rien de la dyslexie et n’es même pas associée à ce qui pourrais rendre cette jolie demoiselle une analphabète ou une limitée intellectuelle. Elle est atteinte de schizophrénie ce qui lui procure une personnalité brinquebalante. Ultra paranoïaque, elle a de la misère à approcher les gens est s’isole souvent. Elle est pointée du doigt et les murmures des gens la rendent extrêmement nerveuse. Elle est aussi allergique au contact tactile car elle a toujours peur qu’un monstre quel conque l’attaque.Elle adore la musique et la peinture. Elle s’adonne souvent à ses deux passe-temps pour couvrir le brouhaha constant de son imagination qui, trop souvent, lui joue des tours. Elle joue du piano et aussi du violon. Ses peintures et ses compositions traduisent souvent le chao qui règne dans son esprit; des explosions constantes de toutes sortes de sensations, de joie, de peine, d’horreur, de terreur, d’amour et de panique. Elle a toujours un demi-sourire énigmatique qui ressemble à ceux que les grands peintres d’autrefois donnaient aux anges. Elle a aussi une passion en elle indiscutable. Lorsqu’elle a sous les doigts un pinceau et une toile, un piano ou un violon, elle semble aussi normale que tous mais il est rare de la voir dans les couloirs de l’école avec ses outils préférés.
La fille unique des Ékastra a de longs cheveux blancs comme la neige qui lui tombent au de minces filaments aux mollets. Son corps filiforme est mince et malgré ses courbes généreuses, elle reste dénudée de sensualité. Ses jambes aussi maladroites que son esprit torturé ne la porte pas vraiment parfaitement malgré son poids plume pour une fille de son âge et elle se ramasse souvent au sol sans pour autant avoir trébuché, ses jambes se dérobant sous elle sans crier gare. Son visage délicat a les lèvres fines souvent rehaussée par un sourire mystérieux comme si la jeune femme qui l’abordais ne se souciait pas de la vie mais qui était à la fois torturée de l’intérieur et heureuse de l’extérieur. Elle a de grands yeux verts expressifs. | | |
En fait, non, elle a son œil droit qui est d’un vert chatoyant qui n’as rien de naturel et son œil gauche qui sont d’un vert clair, parfaitement normal. Luna porte un verre de contact non pour corriger sa vue qui es la seule chose de normale chez elle mais pour masquer cet œil qui la ferait encore plus être à l’écart de la population. Ses grands yeux sont rehaussés de longs cils duveteux d’un noir d’encre aussi profond que l’abysse de son cœur.
Amaluna es née de parents aisés et a grandis dans une maison de la haute société sous les bons soins de sa mère, une bien jolie pianiste qui s’était posée pour élever sa fille dans le calme et non le brouhaha des tournées mondiales avec un chanteur populaire qui étais aussi son ami d’enfance. Ce dernier ne trouva personne avec le talent de Aralia qu’il déménageât non loin de chez elle et donnais des cours de musique à la jeune fille. Amaluna grandis dans un giron d’amour pur mais sa schizophrénie fut diagnostiquée assez prématurément. Cette maladie qui ne devait s’attaquer qu’aux jeunes adultes a frappé la belle et blanche Luna à l’âge de dix ans. Ses parents et son mentor de musique, plongé dans une peine sans nom comme s’ils avaient déjà perdu Éka refusèrent tout contact avec elle sinon ‘’Comment tu vas’’ ou ‘’Alors, à l’école’’ mais la discutions s’arrêtait là. Amaluna développa alors une véritable allergie au contact physique, de peur de ne plus pouvoir toucher la personne qui avait effleuré sa peau. Elle grandit en réclusion de la société, parmi la peinture, les crises d’hystérie de sa mère, les explosions de colère de son père et vécut avec difficulté le moment ou Aralia et son meilleur ami repartirent au loin, en Amériques, loin d’elle, pour reprendre les concerts. Son père, homme d’affaire, n’était presque jamais à la maison. Amaluna était souvent seule dans la grande maison et à l’école, elle était aussi récluse et solitaire que dans sa chambre qui abritait ses crises de folies et ses pulsions quasi suicidaires qui, finalement, devenaient des pièces d’art ou des compositions. Elle n’avait jamais rien fait à personne mais c’était comme si dans son front il y avait une étiquette qui la classait dans la catégorie des dérangés mentaux et de ceux que personne ne veut approcher. Lors des cours, malgré sa vitalité d’esprit et sa mémoire fulgurante, elle dessinait dans les marges des feuilles des dessins macabres qui lui valurent plusieurs fois l’appel à son père qui venais la chercher et la ramenais à la maison avant de retourner travailler. Ses dessins n’étaient pas obscènes car Amaluna n’avais jamais connus l’amour charnel mais extrêmement violents. Par plusieurs fois, son voisin de pupitre lui avait arraché son cahier et, les yeux écarquillés, comme profondément blessé, lui avait rendus et toutes les rumeurs circulait à son sujet. Elle était un monstre, un démon, une sorcière, une nécromancienne, une nécrophile, un sociopathe, tout ce que pouvais imaginer les personnes de son âge, ils le murmuraient à son passage comme une malédiction qui la suivait, collant à son dos comme une marque au fer rouge.
J’ai connus le forum grâce à un autre joueur mais j’ai l’impression que je connnais Marine (C’es bien Marine de feu La Rose Écarlate ?) \(^.^)/ Pour ce qui es de faire connaître le forum, je vais envoyer l’adresse à mes amis roleplayeurs