Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Viens, mon petit chien-chien [PV Theorem]

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Alma Lane

Humain(e)

Viens, mon petit chien-chien [PV Theorem]

jeudi 26 juillet 2012, 16:41:11

« Putain, Pupuce, la prochaine fois que tu me colles sur un gros sac comme lui, je te jure que tu le regretteras le restant de ta misérable existence. »

J'étais vraiment en colère contre Pupuce ! Cet idiot avait tout fais de travers, sans doute exprès pour m'humilier, encore une fois. L'ordre était pourtant le plus simple du monde, mais il fallait vraiment qu'il profite de chaque non-dit, de chaque détail pour me rendre la vie dure. C'était à chaque fois un combat de chaque minutes pour que les choses n'empirent pas.

« Tu m'as demandé un riche avec une bourse bien remplis qu'il serait facile de contrôler, je te l'ai trouvé, non ? A croire que tu n'es pas satisfaite de ta magnifique prise. Après tout, cette sacoche contient assez d'or pour te permettre de te payer tous les vêtements de cette ville, sans aucun doute. »

« Je ne te parle pas de cela, bougre d'idiot, abruti, immonde vermine sans cervelle ! Ce gros dégueulasse a bien faillis m'écraser sous sa masse corporelle en me pelotant. Et puis, il puait la mort, ce gros lard ! Rien que d'y penser, j'ai encore des haut-le-coeur. Tu pouvais pas me trouver un beau jeune homme, riche héritier d'un trône ou quelque chose ? »

« Tu ne me l'as pas demandé, voyons... »

Cette remarque me fit sortir de mes gonts. Je me levai brutalement et le fixai, avant de lever les doigts vers lui. La créature recula doucement, craintive. Il savait ce qui allait lui arriver. Je claquais des doigts une fois, il lâcha sa feau qui tomba par terre, sans bruit, et s'agenouilla en grognant. Je recommençai deux fois, et il grogna de plus en plus fort. Je restais ainsi, admirant alors sa stature imposante pliée en deux par ma simple volonté. Je posai mon pied sur sa tête : j'étais la seule à pouvoir le faire, alors j'allais le faire, sans hésiter. J'essuyai la saleté qui restait sur mes talons, pendant que ce monstre tentait de se redresser. Il était mon esclave, et il l'avait oublié. Il grognait un peu plus à chaque seconde, comme si son corps était écrasé par une main invisible.

« Avec ça, je vais t'apprendre à prendre des "initiatives". La prochaine fois, je claquerai dix fois d'un seul coup. »

Je recommençai encore deux fois avec mes doigts, il grogna encore plus fort, avec sa voix fantômatique et soupirante. Je souriai : le voir ainsi me redonnait le sourire. Mais je sentai la mort, et je ne voulais pas me laver moi-même. Yerk. J'inspectai la chambre : le cadavre nu du pervers qui voulait me baiser était encore chaud. Le riche que m'avait trouvé Pupuce, un gros porc habillé de soie pure, avec un crâne rasé et un sourire en or, avait perdu son âme sous l'arme de mon serviteur. Au moins, il était mort en silence, et aucun sang n'avait gicler sur elle. Et puis, il avait laisser ses vêtement, et surtout, une saccoche plein d'or. Je n'avais jamais vu autant d'or d'un seul coup. C'était vraiment une prise... en or.

Je regarda sur la table de nuit et haussai un sourcil : un prospectus était posé là, immobile. Je m'approchai et le pris doucement. Il s'agissait d'une publicité pour une sorte de bordel, un endroit où plusieurs esclaves accomplissaient pour vous les tâches ingrates, de préférence sexuelles. C'était tentant, tiens. Se faire laver pas un esclave, tout ce qu'il y avait de plaisant même. Je pris la saccoche d'or et le prospectus et me tournai vers Pupuce, toujours à lutter contre la force invisible provoqué par mon pouvoir. Je soupirais et dis :


« Esclave, je t'autorise à t'excuser, à présent. »

« P... pardon, maîtresse. »

Aussitôt, le charme s'interrompit. Il s'écroula d'épuisement, ce qui me fit rire. Quelle mauviette : lui, un seigneur de la mort... une lopette cagoulée incapable de me servir convenablement. Mais il allait encore me servir, et au moins, il pouvait me débarasser des gêneurs, alors autant le garder en vie... si le mot convient vraiment. Je me penchais vers lui, et lui montrais le prospectus.

« Ecoute moi bien, maintenant : tu vas m'obéir, ou sinon tu le regretteras vraiment. J'ai besoin de me détendre, alors tu vas faire des petites bourses avec belle saccoche, tu vas les remplis toutes avec l'or qui s'y trouve dedans. Et ensuite, tu vas me mener là-bas, Pupuce, et tu vas m'y emmener sans grabuges, en évitant les coins emmerdants et dangereux. C'est un ordre, tu m'as bien compris ? »


*****

L'endroit était sublime : une grande auberge, magnifique, nommé "Le Domaine de Warren". Quel pied. L'endroit somptueux sentait bon les parfum riches et suaves que l'ont ne trouve que dans les grandes maisons respectables. J'avais qu'une envie, me plonger dans ces parfums. Je me tournai vers Pupuce et pour éviter d'attirer l'attention sur moi, je lui murmurai :

« Tu m'attends ici. Tu n'as le droit de bouger que si je t'en donne l'ordre. Si je t'appelle, tu viens me rejoindre imméditamement. »

Le seigneur de la mort grogna, et se posta à l'endroit précis où il se trouvait, immobile. Les gens le traversaient, il ne supportait pas cela. Tant mieux : cela allait être sa punition pour m'avoir refilé le gros porc qui voulait me sauter. J'entrai doucement dans le bordel en souriant. L'endroit était bien éclairé, animé et vivant. Quelle sensation agréable : tant de personnes, tant de gens à séduire. Mais ce n'était pas l'heure. Je m'approchai du comptoir et regardais les tarifs, ainsi que les esclaves disponibles. Il y avait du choix, surtout dans les pratiques sexuelles. Ca allait vraiment me faire du bien, tiens, de me taper un bon garçon, obéissant et... un chien ????

J'ouvrai des yeux de surprises : un homme-chien était proposé comme esclave. A quoi il pouvait bien ressembler, ce toutou. Je regardai ses tarifs. Parmi cunilingus et autres pratiques sexuelles, il y avait de quoi faire pour une demoiselle en manque de luxure comme moi. Je m'en léchai les babines d'avance : un jeune homme obéissant à mes pieds pour me laver et me faire l'amour. Voilà qui allait être doux. Je m'approchai du comptoir et me pencha en souriant à l'hôtesse :


« Bonsoir, mademoiselle. J'aimerai louer les services de Theorem, pour la nuit. »

« Bien sûr, mademoiselle. Quels services souhaitez-vous demander ? »

Je souriai : s'attendait-elle à ce que j'ai honte de dire ce dont j'avais envie ? Idiote que je suis : elle avait dû en entendre des pires que celles que j'allais lui donner.

« Je souhaiterai un service spéciale : je souhaite tout d'abord prendre une douche avec lui... enfin, je veux dire que je désire qu'il me lave entièrement, de la tête au pied, et qu'il réponde à mes demandes durant cette scéance. Ensuite... ça dépendra de sa capacité à me laver correctement, votre bon garçon. Et s'il se révèle assez doué pour me faire garder le sourire en sortant d'ici... »

Je sortis une partie de mon butin volé au pervers de tout à l'heure et lâcha la petite bourse de cuir sur le comptoir, en souriant :

« Je payerai le double du prix de base pour les services demandés. Et rassurez-vous : j'ai de quoi payer, là d'où vient cette petite... bourse. Cela vous convient ? »

Oui, une bourse bien remplis... je viderai les miennes si le jeune homme vide les siennes sur moi. J'avais envie de faire disparaître ma frustration sur le premier mâle que je trouverai. Et je n'allais pas m'en priver. Oh non, je n'allais certainement pas me priver.
« Modifié: lundi 13 août 2012, 12:55:00 par Alma Lane »
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Theorem

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Re : Viens, mon petit chien-chien [PV Theorem]

Réponse 1 vendredi 27 juillet 2012, 10:56:13

On amena Alma calmement dans une salle d'attente tout confort. C'était là que des clients faisant des commandes spéciales attendaient l'arrivée de la prostitué qu'ils avaient commander. Finalement, l'attente ne fut pas très longue car alors que Theorem travaillait dans le glory hole avec deux autres prostitués, à sucer des queues d'illustres inconnus émergents de trous dans le mur du fond, une matrone alla le chercher. Theorem prit une douche extrêmement rapide, se rafraîchissait et passa une robe chinoise et fit ses bonnets de cheveux en vitesse. En a peine dix minutes, Theorem passa la porte de la salle d'attente avec un sourire un peu timide. Il s'était attendu à un client immonde... Vieux truc de prostitués : quand vous allez voir un client, imaginer le pire être que vous ayez jamais vu, le plus hideux. S'il est beau, vous aurez une agréable surprise, sinon et bien vous vous serez préparé. S'inclinant poliment en gardant une posture féminine, Theorem fit la révérence asiatique de rigueur.

"Bonsoir Madame. Bienvenue au Domaine Warren. Je suis Theorem, votre hôte pour cette soirée. Je suis très honoré d'avoir été sélectionné par vous. Soyez la bienvenue."

Il se redressa et s'approcha d'Alma en lui souriant. Il savait son rôle et on l'avait briefé sur ce qu'il avait à faire. On avait préparé une chambre pour eux, avec salle de bain privée. C'est avec le plus grand respect et la plus grande politesse qu'il mena Alma vers cette pièce, aux draps sentant le propre et à l'intérieur vaguement asiatique pour s'accorder à l'ambiance des services que proposait Theorem. Il tira la porte de la douche, souriant.

"Voici notre douche la plus grande et la plus confortable. Souhaitez-vous me voir me dévêtir devant vous ?"



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Alma Lane

Humain(e)

Re : Viens, mon petit chien-chien [PV Theorem]

Réponse 2 lundi 30 juillet 2012, 10:04:06

On m'avait emmené dans une salle d'attente. L'ensemble de meuble et de décorations, ainsi que le papier peint était raffiné, voir d'une grande valeur. C'était vraiment très luxueux. Je m'installais tranquillement sur l'un des sièges en attendant que l'on m'accueille, réajustant un peu mes longs cheveux. Dire que j'allais être pouponné par un jeune homme tout fringuant, spécialement engagé pour me servir. Quel bonheur.

Je n'attendis pas longtemps, fort heureusement. La porte de la salle s'ouvrit, dévoilant un garçon habillé d'une robe asiatique et portant deux petits bonnets dans les cheveux. S'il avait eu une poitrine, même naissante, j'aurai pus dire que j'avais affaire à une fille : il avait un visage fin, très efféminé. Je m'attendais à un homme plus... homme, mais bon, je n'allais pas faire la fine bouche : c'était toujours mieux que le gros dégoutant qui m'avait lécher la joue quelques minutes auparavant. Il me salua respectueusement en se présentant, me faisant sourire doucement.


« Bien, Theorem. J'espère que tu te montreras à la hauteur de la tâche qui t'incombe ce soir. »

Je me levai doucement de son siège, tandis qu'il me conduisit jusqu'à notre chambre pour la soirée. C'était une grande pièce aménagé confortablement, avec des draps lavés, sentant bon le frais. L'ambiance me rappelait un peu les brotels de Seikusu, à la différence que c'était un peu plus intime, un peu plus tape à l'oeil aussi. Que de luxe, j'avais vraiment bien choisis l'endroit. La salle de bain était immense et avait un je ne sais quoi de plaisant. Peut-être qu'en comparaison avec les auberges à proximité, l'endroit était très moderne.

Theorem se tourna vers moi en tirant la porte de la douche, et en la déclarant être la plus confortable. Il me proposa de se dévêtir devant moi. Je réfléchis un instant : voulais-je le voir nu de suite ? Non, pas immédiatement. Je posai mon sac contenant plusieurs bourses, ajoutant les deux trois que contenait mon décolleté, avant de me tourner vers lui en prenant une petite pose :


« Non, ne te déshabille pas tout de suite. Enlève moi d'abord mes vêtements, et lave-moi, en restant tel que tu es comme ça. Cependant, tu ne touches ni à ma poitrine, ni à mon jardin secret sans que je t'y ai autorisé, compris ? Occupe-toi du reste de mon corps, pour le moment. »

Je voulais d'abord me débarrasser de cette affreuse sensation des mains grasses et puantes de la victime de Pupuce avant de faire quoique ce soit d'autre. Et avant de le laisser toucher mes parties les plus délicates, je voulais m'assurer qu'il prendrait soin de ma peau de bébé. J'étais capricieuse, et alors ? Il était là pour me servir. A cette simple pensée d'avoir cette créature à mon service, je frissonnais.
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Theorem

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Re : Viens, mon petit chien-chien [PV Theorem]

Réponse 3 lundi 30 juillet 2012, 12:44:02

Le jeune Inu écouta sa maîtresse lui demandant de rester habillé. Quelle singulière idée... Mais le client est roi. En lui répondant d'un sourire charmeur d'approbation, Theorem entreprit donc de déshabiller sa cliente. D'abord son haut rose très moulant qui se retira sans mal, dévoilant son soutient gorge. Il défit l'attache dans son dos et retira donc le sous-vêtement supérieur. Avec un infinie respect et une douceur sans limite, c'est la ceinture d'Alma qui suivit. C'était calme et doux à la fois. Doucement, il fit descendre son bas et le replia pour accompagner les vêtements. Finalement c'est en douceur que sa culotte glissa le long de ses jambes avec le reste de ses sous-vêtements. Voila, elle était en tenue d'Eve. Theorem vérifia la température de l'eau et c'est sous un rideau d'eau chaud que la cliente put enfin se sentir à l'aise. La cabine faisait bien deux mètres sur deux, avec un jet recouvrant l'intégralité, telle une pluie.

"Installez-vous, maîtresse..."

Il y avait une sorte de siège au centre, repliable. Ainsi, même une personne handicapée pouvait s'asseoir et se laisser faire. Le travestit se glissa sous l'eau. Etant encore habillé, l'étoffe se mouilla rapidement sous l'eau chaude. Pas transparent, mais collant à sa peau, Theorem prit le savon entre ses mains et en imprégna ses gants de latex noir. Il commença à masser les épaules de sa cliente, la détendant au possible. Puis ce fut le tour de son dos, de ses flanc, de son ventre. Il descendit de plus en plus en massant ses cuisses, puis ses mollets et enfin ses pieds. Le massage des pieds était d'ailleurs relativement efficace ! Il remonta ensuite pour prendre un shampoing. S'en mettant dans les mains, il massa le cuir chevelu de sa maîtresse, massant bien, calmement... Ses cheveux furent bien nettoyés avec un massage du crâne en prime.

"Détendez-vous, maîtresse... L'eau chaude vous purifie ainsi que le savon... Laissez vos tensions s'évanouirent sous mes doigts..."



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Alma Lane

Humain(e)

Re : Viens, mon petit chien-chien [PV Theorem]

Réponse 4 lundi 30 juillet 2012, 17:14:31

Il était très obéissant. Excellent : je ne voulais pas m'énerver une nouvelle fois ce soir. Le jeune homme s'approcha de moi en me souriant, avant de commencer à me déshabiller. Je soupirai d'aise en sentant ma magnifique poitrine être libérée de l'étreinte de mon soutien-gorge, tout en ricanant de le voir rebondir devant le nez du garçon. Il enleva ensuite ma ceinture... c'est à ce moment-là que je remarquai qu'il n'avait pas de collier, ni de laisse. J'aurai dû demande cela. Mais au pire, ma ceinture et un petit torchon, ça ferait l'affaire aussi. Il retira ensuite mon pantalon, et enfin ma petit culotte en dentelle noir, assortie à mon soutien-gorge. Je m'étirais pendant qu'il vérifiait la température de l'eau : aaaaah quel bonheur d'être nue en liberté, sans de gros pervers pour me mater les miches à chaque secondes.

« Installez-vous, maîtresse... »

Je me tournai vers la douche, constatant qu'elle était immense. L'eau tombait partout dedans, comme une pluie d'été. J'adorai cela. J'entrai dans la petite salle et m'installai dans le siège au centre en soupirant d'aise. Déjà l'eau sur mon corps m'apportait un certain réconfort. Je regardais le jeune homme dont la tenue trempée moulait chaque parcelle. Il n'était pas très musclé, mais je pouvais tout de même apprécier des courbes comme les siennes. Je me léchai les lèvres face à ce si beau spectacle.

Il revint vers moi, avec dans ses mains des gants en latex noir imprégné de savon. Je boudai un peu : j'aurai aimé un contact de chaire à chaire. Mais bref, je me laisser masser les épaules. Ca se sentait qu'il était un professionnel : je soupirai un "mmmhhh" de plaisir en sentant la poigne ferme du jeune homme s'occuper de mes épaules, puis de mon dos et finalement de mon ventre. Je frissonnai même en sentant cette main sur mon nombril, zone sensible chez moi. Il me massa les cuisses, les mollets et enfin les pieds. Oh oui, mes pieds. Il s'attarda dessus, à mon grand plaisir, ou alors était-ce moi qui avait voulu profiter de chaque sensation sur ma peau qu'il exerçait ? Il quitta ceux-ci, ma faisant lâcher un soupir apaisé, un grand sourire sur les lèvres. J'étais au paradis.

Il revint avec du shampoing dans les mains :


« Fais très attention avec mes cheveux. Je ne veux pas en voir un seul cassé en sortant de cette douche. »

C'est vrai quoi ! Je lui confiais mes sublimes cheveux, il avait intérêt à ne pas se louper. Autrement, je m'occuperai de lui comme il se doit. Je fermai les yeux en sentant le jeune homme me masser le crâne en me parlant. C'était bon, mais il manquait quelque chose...

Oui, il était TROP professionnel. Aucun moyen de profiter d'un instant de faiblesse... comment faire ? Je voulais qu'il se trompe que je puisse justifier une punition... Tiens, j'ai une idée ! Mais il faut que je la fasse discret, alors je vais le chanter, ça paraîtra moins :


« Oh.... ma Pupuce à moi... »

Aussitôt, Pupuce apparaît derrière moi. Pratique d'avoir un serviteur invisible qui arrive aussitôt que je l'appelle, et qui est en plus capable d'accomplir quelques tâches, discrètement, sans que j'ai besoin de faire tout un cinéma. Il me regardait attentivement, je le sentais. Je continuai donc ma chanson :

« Prends en main ce destin, qui d'un coup vif me blessera... Toi seul peut lire les desseins d'une jeune fille qui te désirera... »

Je continue à chanter quelques paroles au hasard, puis commence à fredonner doucement. Je venais de lui dire ce qu'il devait faire, il ne restait plus qu'à regarder et interpréter. Il resta impassible un instant, puis observa le jeune homme-chien. Soupirant doucement, il déclara :

« A vos ordres, maîtresse. »

Il observa chaque mouvement de l'homme chien, attendant le moment opportun. Il attendit qu'il tienne suffisemment de mèches de cheveux pour les prendre également, et tirer dessus d'un coup sec, m'en quelques uns. Oh, punaise, ça m'a fait mal ! Mais je tenais là mon occasion. Je me retourne vers le serviteur, en fronçant les sourcils :

« Est-ce là les soins que tu offres à mes cheveux, Theorem ? Ta maîtresse n'est pas contente du tout ! Je m'attendais tout de même à mieux de la part de quelqu'un de cette établissement ! Mes cheveux, ma belle chevelure, dont tu tiens quelques mèches dans ta main, vaut énormement, plus que tout l'or du monde, t'en rends-tu seulement compte ? C'est un outrage incroyable que tu fais là ! Tu devrais avoir honte ! »

Comment obtenir ce que l'on veut, en trois étapes : tout d'abord, faire scandale, et obliger la victime à se sentir coupable, ou a avoir peur. Et quand elle se morfondra, ou se laissera aller aux excuses, changer d'attitude, et devenir conciliante. Je fais semblant de me calmer, en prenant une profonde inspiration, et j'attends quelques secondes. Finalement, je dis :

« Bon... ce soir, je suis de bonne humeur. Je suis prête à passer l'éponge sur cet "incident" et ne pas en parler avec la responsable de l'établissement, en échange d'un petit... geste commercial. J'ai bien aimé ce massage des pieds avec tes mains, mais ce que je veux, maintenant... »

Et finalement, troisième étape : le chantage.

« C'est que tu le refasse avec ta langue. Si tu le fais, je passerai l'éponge. Bien entendu, cela ne sera pas compté dans le prix, on est bien d'accord ? »

Et voilà, le piège était fais : s'il voulait éviter que sa propriétaire ne perde une bonne cliente à cause d'un accident "de sa part", il devait faire cela gratuitement. Méchante ? Non, je suis juste très capricieuse, et quand j'ai envie de quelque chose, je suis prête à tout pour obtenir cela.
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Theorem

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Re : Viens, mon petit chien-chien [PV Theorem]

Réponse 5 lundi 30 juillet 2012, 19:21:24

Theorem faisait son nécessaire pour être l'amant idéal, un bon petit esclave. Mais la jeune femme semblait vouloir le punir pour une bonne raison. En réalité, Theorem n'avait pas besoin d'excuse pour être violenté. Elle avait payé pour du BDSM modéré, donc rougir ses fesses à coup de claque, verser de la cire chaude sur son dos, etc... Tout ceci était possible sans trouver d'excuse. Le travestit aux vêtements trempés était certain de faire un travail exemplaire mais un évènement étrange se produisit et elle bougea pour se blesser volontairement ! Elle le menaça de tout raconter à Melinda, qui le punirait certainement... Il couina, s'excusant soudainement.

"P... Pardon ! Je ne comprend pas !... Je faisais juste votre shampoing et... Enfin pardonnez-moi, maîtresse !"

Finalement, elle disait qu'elle allait passer l'éponge s'il faisait des extras. C'était abordable. Et puis au moins elle lui dirait certainement de bonnes choses. Doucement, il acquiesça, ses vêtements trempés sur lui, sous l'eau. Elle lui demanda de masser ses pieds à nouveau, mais en mettant de concert sa langue. Il acquiesça, s'inclinant.

"A vos ordres, Maîtresse..."

Il régla le jet pour qu'il ne recouvre que la jeune femme. Sinon, Theorem avalerait plus d'eau que d'autre chose. Et les sensations seraient moindres pour elle. Il se mit à genoux et prit délicatement son pied. Sa langue caressa sa plante des pieds, massant en même temps. Il lécha docilement ses pieds en gémissant avant de passer à son autre pied. Le massage de ses pieds avait duré plus de dix bonnes minutes ! Dix minutes au cours desquels il suça ses orteils, glissa sa langue entre eux, massant avec ses pouces. Il stoppa ensuite l'eau chaude et entreprit de sécher sa cliente avec une serviette très douce et déjà chaude. Il prit grand soin de sécher sa chevelure. En même temps, il discuta doucement avec sa cliente.

"Vous avez un contrat avec moi... Vous pouvez pratiquer du BDSM avec moi... Si vous désirez me soumettre tant que ça, vous trouverez dans ce placard des tonnes d'instruments pour vos désirs. Je suis à vous jusqu'à l'aube... On peut dire que vous pouvez abuser de moi très longtemps. Ma spécialité est le cunnilingus... Vous verrez, ma langue est super..."



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Alma Lane

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Re : Viens, mon petit chien-chien [PV Theorem]

Réponse 6 mardi 31 juillet 2012, 09:31:57

Il obéit aussitôt que j'eus dis quoi faire avec sa langue. J'en souriais. Il s'était confondu en excuse, avant de se mettre à genou devant mes pieds et de commencer à les lécher. Pendant les dix minutes qui venaient de passer furent sans doute les plus jouissives que j'avais passé sur cette étrange planète. Il était vraiment habile avec sa langue, et savait exactement y faire avec mes pieds. C'était si bon, et le sentir ainsi soumis me faisait déjà mouiller. Il me faisait même gémir par ses coup de langue. J'avais la tête en arrière, totalement prise par ce plaisir et cette volupté.

Cela avait était si court, j'en soupirai de déception. Mais il avait fais son travail correctement, et j'en étais satisfaite. Et puis, je voulais plus encore. Juste l'avoir à ma botte ainsi ne me suffisait pas. Il arrêta l'eau chaude et m'aida à me relever. La tête me tournait un peu, à cause de l'eau et du plaisir qu'il m'avait donné. Pupuce observait encore la scène, je lui fis signe de partir, mais il resta ainsi, à regarder la scène. Quel idiot, il allait m'énerver... bah, après tout, ce serait mon amant de ce soir qui prendrait à sa place.


« Vous avez un contrat avec moi... Vous pouvez pratiquer du BDSM avec moi... Si vous désirez me soumettre tant que ça, vous trouverez dans ce placard des tonnes d'instruments pour vos désirs. Je suis à vous jusqu'à l'aube... On peut dire que vous pouvez abuser de moi très longtemps. Ma spécialité est le cunnilingus... Vous verrez, ma langue est super... »

Tiens donc ? C'était intéressant... des tonnes d'instruments alors. J'avais hâte de voir cela.

« Bien. Dans ce cas, finis de m'essuyer, et nous irons voir cela. En même temps, tu pourras enlever cette tenue pour en mettre une plus... adaptée. »

J'avais hâte de voir ce qu'il y avait de beau dans ce placard, vraiment hâte. Nous arrivâmes dans la chambre peu de temps après. Je cherchai le placard du regard, et le trouva finalement. Je me dirigea vers celui-ci, et l'ouvrit. Oh mon dieu, que de jouets divers et variés, vraiment parfait ! Et il y avait ce que je voulais, exactement ce que je voulais ! Je pris l'objet en question et le montrait à Theorem : un collier en cuir et une laisse. J'avais là mon objet fétiche.

« Exactement ce qu'il nous fallait, à toi et moi. Enlève moi cette robe, et mets ce petit collier à la place. Et ensuite, tu vas avoir le droit de ma caresser tout le corps. Mais uniquement tes mains : je garde ta langue pour la fin. »

Mon dieu, j'étais déjà trempée. Il avait eu beau me sécher, j'avais l'entre-jambe complètement noyé par la cyprine. J'étais vraiment ailleurs, rien qu'à l'idée de le tenir en laisse et de lui donner des ordres en tirant dessus. Et qui sait ce que ce placard me réservait encore comme surprise. Je m'allongeai dans le lit, doucement, de manière à dévoiler que quelques-unes de mes courbes, et l'observait se déshabiller, prête à m'allonger pour profiter de ses caresses.
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Theorem

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Re : Viens, mon petit chien-chien [PV Theorem]

Réponse 7 lundi 06 août 2012, 10:52:21

Theorem avait là une cliente qui voulait tout particulièrement se défrustrer et se calmer. Justement, le jeune Inu savait faire tout cela. Calmement, il retira sa robe chinoise détrempée et l'accrocha sur un cintre pour la faire sécher dans la douche. Elle lui avait demandé de mettre une tenue plus adaptée et le jeune Inu se décida pour une tenue de soubrette, uniforme qu'il affectionnait tout particulièrement. Theorem se savait très bon travestit alors il alla passer ce petit uniforme constitué d'une robe noire très courte et d'un tablier blanc. Bien sûr, tout ceci n'avait rien de protocolaire, c'était à seule fin sexuelle. D'ailleurs, la robe avait une large ouverture en coeur sur la poitrine, dévoilant ses deux tétons pourvus d'anneaux d'argent. Son dos était largement exposé et sa petite jupette plissée noire lui arrivait à ras. En clair, cet uniforme était pour la seule excitation du client. Il espérait que ceci plaise à Alma. Quand il revint près d'elle, cette dernière tenait d'une façon triomphale un collier de chien équipé d'une laisse. Si c'est ce qu'elle désirait le plus, Theorem allait lui offrir.

"Bien maîtresse. Tout vos désirs sont des ordres. Je ferais tout ce que vous voudrez, même les choses les plus cochonnes."

Le jeune travestit s'installa le collier de chien, donnant avec un sourire charmeur et emprunt de soumission la laisse à sa cliente. La laissant monter sur le lit, Theorem se cala derrière elle pour caresser son corps, l'entourant dans ses bras. Il commença par caresser le ventre de la cliente, passant ses doigts gantés de soie blanche sur elle. Doucement, il remonta pour soupeser ses seins en embrassant délicatement son cou. Ses caresses se firent plus intimes alors qu'il pelotait en douceur et avec respect le corps de la maîtresse. Il le faisait doucement, intensément, avec amour. Au creux de son oreille, Theorem lui murmurait des éloges, même sincères, sur la beauté d'Alma.

"Vos cheveux sont une véritable oeuvre d'art... Votre corps est digne de statues que l'on ferait à votre effigie pour des siècles. Vous êtes sans conteste une des plus belles femmes qu'il m'est été donné de voir. J'aimerai imprimer en moi votre perfection par mes seules caresses, ma belle maîtresse..."

Elle lui avait demandé de la caresser partout, en délaissant de le faire avec sa langue. Une de ses mains quitta donc l'ample poitrine de sa maîtresse alors qu'il la fit descendre. Doucement, cette main gantée se glissa entre les cuisses de sa maîtresse. Écartant souplement ses cuisses, il posa sa main sur sa fente intime, visiblement trempée, et caressa en douceur son pubis. Son majeur caressa calmement son petit bouton de plaisir avec un rare doigté, délicat et expert. Quand les premiers gémissements d'Alma Lane s'élevèrent, Theorem gémissait avec elle de désir.

"Je vais vous amener au septième ciel, Maîtresse... Ma douce langue rose entrera en vous et vous offrira le plaisir le plus intense de votre existence... Je suis tout à vous ce soir."



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Humain(e)

Re : Viens, mon petit chien-chien [PV Theorem]

Réponse 8 mardi 07 août 2012, 10:15:20

J'admirai le jeune homme se changer en me léchant les babines. Son petit déguisement était amusant, et ajouter à cela le collier le rendait tout à fait désirable. Prenant doucement la laisse entre les mains, je tirai un peu dessus pendant qu'il montait dans le lit et se plaçait derrière moi. Je sentis ses mains se poser sur moi, je le laissai faire en fermant les yeux, soupirant d'aise lorsqu'il glissa ses doigts sur mon ventre. Lorsqu'il soupesa mes monts de plaisir, j'eus un nouveau soupir, plus profond, plus reposé, alors que ses lèvres glissaient sur mon cou avec délicatesse. Voilà ce que je voulais, ce soir : du sexe doux, sans surprise, respectueux. Cet esclave sexuel allait me l'apportait. Il me comblait en même temps d'éloges qui me faisait mouiller d'avantage : sentir cette soumission sans avoir eu recours à mon pouvoir, c'était divin. Je m'en mordai les lèvres pour me retenir de gémir de plaisir.

Mais je ne pus retenir cela longtemps :


« Nyaanh... »

Sa main... sa main sur mon.. oh mon dieu, j'en ai presque jouis à peine avait-il posé sa main dessus. Et ce cri, ce petit cri de pucelle. Je n'ai pas pus le retenir, c'était trop bon. Je sentais son doigt passer sur ma fente détrempée,  mes lèvres délicatement offertes et ouvertes par l'excitation. La sang ne faisait qu'un tour dans ma tête, je serrai la laisse entre mes doigts pour me retenir. Il savait décidément bien y faire, cet esclave. Je n'étais pas habitué à tant de savoir faire, la majorité des hommes faisant comme je le leur disais, au millimètre près. La, trop d'imprévu, trop d'inconnu. Comment y résister.

Lorsqu'il eut finis sa phrase, j'imaginai sa langue glisser sur ma fente. Le hasard voulu que juste à ce moment-là, il touche un point sensible de mon anatomie : juste au dessus de mon clitoris, une toute petite zone qui avait la fâcheuse tendance de me donner un choc électrique dans tout le corps. Aussitôt, j'attrapai sa main, resserrai mes cuisses en gémissant, tout en serrant les dents pour laisser échapper le moins de son possible. Oh mon dieu, je jouissais si fort. La frustration que m'avait laissé ma victime disparaissait avec cet orgasme fulgurent. Après quelques secondes à me maintenir ainsi, la respiration complètement bloquée, je soufflais avec hâte, reprenant mes esprits. Comment c'était arrivé, je n'en savais rien.

Je me détachais de mon esclave et le poussait pour l'allonger dans le lit. Le tenant par la laisse, je le regardais avec un regard de prédatrice. J'allai le dévorer. J'arrivai à ses lèvres et enfonçai ma langue dans sa bouche, la faisant danser avec la sienne. Après ça, mon corps en voulait plus. La petite démone en moi se réveillait.


« Puisque tu es à moi pour toute la nuit, je vais me faire le plaisir de te rappeler celle-ci. »

Je descendis mes lèvres sur ses tétons, dont les anneaux d'argents ornaient les pointes. J'attrapai doucement l'un d'eux, et tirai dessus avec délicatesse, puis entrepris de lui lécher la pointe du bout de la langue avec délice. Je dirigeai mon autre main vers sa culotte, massant la bosse au travers du tissu. Il me semblait qu'il y en ait eu deux... sans doute un illusion dû au plaisir. La bosse était plutôt de bonne taille, et très dur cela me donnait l'eau à la bouche. Je me laissai glisser vers le bas de la jupe que je soulevai, avant de dévoiler son instrument, rigide et ferme... son instrum... SES INSTRUMENTS ??!

Mon dieu... j'avais sous le nez deux penis, tendu vers le ciel, prêt à me procurer du plaisir. Je n'y croyais pas mes yeux. Ma bouche entre-ouverte face à ces deux colonnes de chaires, je ne pouvais que saliver d'avantage. Je les massai doucement quelques secondes avec ma main libre, en lui disant :


« Mon dieu, mon dieu, tu m'as caché une admirable surprise, esclave. J'ignore d'où tu sors une pareil mutation, mais je dois dire que je suis impatiente de voir ce que ses bijoux peuvent faire. »

J'avais soif. Soif de virilité et de jus masculin. Et j'en aurais double dose avec ça. Je passai quelques mèches de mes cheveux derrière mon oreille et lécha la première friandise du haut des bourses jusqu'au gland. Je m'attardais à sucer ce dernier quelques secondes, avant de commencer à le prendre en bouche. D'abord le haut, puis peu à peu, j'enfonçai le membre dans ma bouche, jusqu'à l'avoir au trois quart dedans. Mmhhh quel délice. Puis tout en aspirant doucement et commencer mes va-et-viens, je laissai glisser ma main libre sur le deuxième membre que je branlai avec fermeté. Je jouais avec ma langue pour maintenir le premier spécimen dans ma bouche, et lui éviter toute échappatoire. Mon entrejambe était à nouveau imbibé. Pour ne pas faire de jaloux, j'inversai les rôles après quelques minutes de succions et de léchouilles délicates, branlant vigoureusement le second membre imbibé par ma salive. Je laissai aller mes envies sur ces deux sexes, tenant la laisse fermement au cas où leur propriétaire voudrait attraper ma chevelure ou m'imposer son rythme.
« Modifié: mardi 07 août 2012, 17:42:12 par Alma Lane »
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Theorem

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Re : Viens, mon petit chien-chien [PV Theorem]

Réponse 9 lundi 13 août 2012, 12:19:10

Theorem était assez fier d'avoir mené sa cliente à l'orgasme aussi vite. Il semblerait que sa technique des câlins et des caresses sensuelles, couplés aux bises et aux belles phrases flattant l'égo de sa cliente avait fait son effet. Maintenant la jeune femme était pantelante et frémissante dans ses bras. Il continua à ponctuer sa nuque de bises quand elle revenait de son orgasme. Mais Alma ne tarda pas à coller Theorem dos contre le lit et à vouloir se servir du reste de son corps. Elle l'embrassa et le jeune Inu adorait ça. Puis elle descendit lentement pour s'occuper de ses tétons. C'était si sensible... Ses anneaux bougeaient au rythme des succions de la jeune femme mais finalement, elle baissa sa main vers la culotte de Theorem. Il lâcha un profond soupire quand enfin elle enleva sa culotte pour accéder à son double sexe. On peut dire que la surprise d'Alma fut complète. Elle se mit bien vite à vouloir les combler.

"Hmmm... C'est un honneur, maîtresse.... Han..."

Elle ne tarda pas à sucer un de ses membre tout en masturbant l'autre. Chacune de ses verges faisait 15 cm, ce qui était une moyenne acceptable. Theorem ne fit rien pour imposer un rythme ou incommoder sa maîtresse. Il posa délicatement sa main sur la joue d'Alma, la caressant avant de caresser sa main libre tenant sa laisse. C'était une belle femme, assurément... Le jeune Inu couina, se laissant aller au plaisir et se coucha d'avantage dans le lit, serrant ses poings sur les draps, les plissant. Il tremblotta mais visiblement, se retenait beaucoup. Il laissa Alma profiter du goût de ses verges avant de la regarder, haletant et excité.

"M... Maîtresse... Je voudrais... vraiment... Lécher votre délicieuse fente... Ma langue est érogène... Je jouis quand je pratique le cunni et la fellation..."



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Re : Viens, mon petit chien-chien [PV Theorem]

Réponse 10 lundi 13 août 2012, 12:52:52

Je le sentai me caresser, mais je n'y faisai pas attention, trop occupé à savourer ces deux verges, aussi douce que sucrée, avec ce parfum masculin qui me faisait tourner la tête. J'en ressentai un désir palpable, et mon intimité se laissait aller à l'expression de son désir égal au mien. Et puis, cette douce idée que les deux membres allaient servir durant nos ébats me rendait tout chose. Je devenais soumise à mon irrépressible envie sexuelle. Ce genre de moment que vous ne pouvez réfréner, quand bien même vous l'aimeriez.

Il couinait comme un petit chiot, tremblant de plaisir. Il se retenait ? Voilà qui me flattait, savoir que c'était trop pour son petit corps de recevoir les caresses buccales de sa délicate maîtresse. J'accélérai en conséquence mes attentions, utilisant ma main libre pour masser le membre virile délaissé par ma bouche. Mais au bout d'un moment, il me supplia de le laisser s'occuper de ma fente également. Cette sensation d'avoir le contrôle me comblait d'avantage : j'hésitai un moment à accepter, relâchant mon étreinte buccale et ralentissant les mouvements de ma main sur sa verge.


« Mhhhh.... très bien, tu as le droit de flatter mon intimité. »

En réalité, j'en avais fulgureusement l'envie aussi : entre l'orgasme que pourrait me procurer sa langue, et le fait qu'il puisse jouir en me léchant, pendant que je m'occuperai de ses deux verges, la décision était vite prise ! Je tournai sur moi-même et me plaça au dessus de lui, mes jambes de chaque côtés de sa tête. Avec la main qui tenait la laisse, j'écartai mon intimité, lui offrant la vue de ma chaire rose et humide.

« Hâte-toi, je pourrai vite changer d'avis, mon garçon. »

Puis je repris ma fellation, savourant le pré-sperme qui apparaissait au bout de son gland. Rien qu'à ce petit aperçu, je savais que j'allais aimer. Je prenai le penis du dessus en bouche, masturbant le second, dans l'espoir d'en avoir aussi bien sur mon visage que dans ma gorge lorsqu'il exploserai. Et puis, une autre idée me vint, qui me fit rire. Après quelques minutes où il s'occupait de mon intimité, je relâchai mes deux étreintes et m'avança un peu :

« Puisque tu m'as fais jouir tout à l'heure, je vais te faire l'honneur de savourer la douceur de ma poitrine. »

Je plaquai mes deux monts de plaisir sur les deux colonnes de chaire en ricanant, voyant les deux glands dépasser à peine de mon opulente poitrine. J'entrepris de les masser avec fougue, serrant avec mes mains les deux globes contre les deux membres. Tirant légèrement sur mes tétons pour me donner encore plus de plaisir, je soupirais avec envie en constatant les deux membres palpiter sous mes yeux.
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Re : Viens, mon petit chien-chien [PV Theorem]

Réponse 11 lundi 20 août 2012, 18:17:28

Sa cliente, si sexy et si adorable lui donnait terriblement envie. Bon, c'était une cliente donc ça demandait aussi de se retenir un peu. Là il abandonnait son corps à la jeune femme. Elle pouvait lui faire tout ce qu'elle désirait mais là... elle allait découvrir sa langue. Melinda devait être très fière de la langue que la vampire lui avait façonné. Avec cette pommade faite avec du sang de succube, elle lui avait rendu l'intégralité de la bouche érogène, extrêmement sensible, avec une langue un peu plus longue et très musclée.

"Vous allez voir, Maîtresse..."

Il attendit que son vagin apparaisse au dessus de sa bouche et le jeune Inu caressa les cuisses de sa cliente. En douceur, il s'approcha et sortit sa longue langue de quelques centimètres. Passant ses mains gantées sur les cuisses de la belle dominatrice, il abaissa son bassin et enfin... elle découvrit ce plaisir. Des clients payaient cher pour ça, mais ce plaisir était indescriptible par de simples mots. C'était comme un vas et vient remuant, vibrant faiblement, parfaitement lubrifié et pressant aux endroits idéal... Oh oui, ce cunni allait carrément faire venir la jeune femme sur commande. Theorem lécha l'intérieur du vagin d'Alma avant de sucer doucement son clitoris. Il reprit peu de temps après ses mouvements de la langue en elle. Theorem avait bon se faire sucer et sentir son sexe prisonnier de deux magnifiques seins, les sensations qu'ils tiraient avec sa langue étaient de loin supérieurs !

"Han... Han... Jouissez Maîtresse... recouvrez-moi de votre jouissance... Eclaboussez-moi !"



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Re : Viens, mon petit chien-chien [PV Theorem]

Réponse 12 lundi 10 septembre 2012, 00:32:58

Tandis que je m'occupai de ses deux sexes, mon petit esclave entreprit de se charger du mien. Je sentis sa langue bien lisse glisser tout le long de mes lèvres. Les premières secondes, je trouvai cela banale, jusqu'à ce qu'une chaleur emplisse mon bas ventre depuis l'intérieur de mes cuisses. Je gémissai avec les deux petits glands dépassant de ma poitrine oppressante. Qu'est-ce que c'était que cette sensation qui m'envahissait ? Qu'est-ce que c'était que ça ? J'en perdais même la force de tenir les deux sexes entre mes seins et m'écroulais en couinant moi-même.

Je prenais ses cuisses entre mes doigts et y enfonçait mes ongles en grognant. Il semblait me parler, mais mon esprit était embrumé par cette sensation unique. Jamais on ne m'avait fais un tel cunnilingus. J'avais la tête posée sur l'une de ses cuisses, le regard perdu sur les deux sexes tendus, sans vraiment comprendre un traitre mot de ce qu'il voulait dire.

Finalement, au bout de plusieurs coup de langue, je sentis mon corps se raidir à nouveau, et mon sexe palpiter fortement. Je ne tenais plus, c'était trop bon : je gémissais avec force en serrant d'avantage mes doigts sur cette peau et laissant mon sexe s'inonder complètement de cyprine. Cet orgasme fulgurant dura je ne sais combien de temps, mais mon corps entier se contractait encore après qu'il fut finis.

Avait-il jouis ? Je ne le savais même pas... Je ne savais même plus où j'étais. Quel talent. Les professionnels, il n'y a que ça de vrai. Je me laissai rouler sur le côté, me posant sur le dos dans ce lit immense. J'avais toujours cette laisse dans la main. Je rêvai éveillé, et je retrouvai un peu mes esprits, juste assez pour lui donner l'ordre suivant :


« Allez, passons aux choses sérieuses, mon petit chien-chien : prends-moi. Tu n'as pas le droit de me laisser dans cet état après m'avoir donner un orgasme d'une furie. »

J'écartai au maximum mes jambes pour le laisser se caler comme il le voulait et s'occuper définitivement de moi à nouveau. J'espérai qu'il sache y faire avec son sexe autant qu'il savait utiliser sa langue. Je tirai fermement sur la laisse pour appuyer mon ordre, lui faire comprendre que je ne pourrai pas attendre.
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Re : Viens, mon petit chien-chien [PV Theorem]

Réponse 13 mercredi 12 septembre 2012, 16:17:36

Le jeune Inu couina quand enfin sa maîtresse du moment éjacula sur sa face. Il avait le visage recouvert de mouille. Elle avait jouit tellement fort que son orgasme l'avait intégralement recouvert au niveau du visage. Elle mit même un certain temps pour revenir à la conscience. Sa langue était si bonne que ça ? C'était son pouvoir tout nouveau qui se développait. Plus tard, il aurait quoi ? Une meilleure langue ? Plus érogène ? Plus sensible ? Il ne savait plus quoi en penser... Finalement, elle se redressa et se casa correctement dans les oreillers, tirant sur sa laisse.

« Allez, passons aux choses sérieuses, mon petit chien-chien : prends-moi. Tu n'as pas le droit de me laisser dans cet état après m'avoir donner un orgasme d'une furie. »

Aïe... Il était cuit. Theorem avait bien deux pénis, mais ses sensations étaient moindres... Sa langue avait prit le relais. Il craignait de ne plus parvenir à prendre qui que ce soit. Normalement il avait une ceinture de chasteté, mais là...

"J... Je ferais de mon mieux maîtresse... Pitié, ne me grondez pas..."

Il se mit en position et sortit ses deux pénis correctement. Celui du haut plongea sans problèmes dans sa petite chatte très bien lubrifiée. Celui du bas s'appuya contre son anus, voulant entrer... Enfin, ça rentra grâce à la cyprine coulant entre ses fesses. Il continua calmement et débuta ses vas et vient. C'était très brouillon et maladroit. Il ne ressentait quasiment rien... Bougeant de son mieux, il s'agita avant de couiner, ayant déjà envie de la lécher. Il cala son visage entre ses gros seins, léchant entre les orbes de chair avant de reculer son visage, rouge de honte.

"Gomen nasaï... Je suis tellement nul... Je n'ai plus ces sexe pour longtemps, je ne sais plus m'en servir... Mais ma langue, oui..."



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Re : Viens, mon petit chien-chien [PV Theorem]

Réponse 14 lundi 22 octobre 2012, 20:04:45

Le jeune garçon chien avait réussis à me faire jouir avec sa langue, et j'espérai qu'il soit aussi agile avec ses deux sexes. Il se cala entre ses cuisses, je ne pouvais plus attendre plus longtemps. Mais il se mit à couiner en me demandant de ne pas le gronder. Pourquoi pensait-il que j'allais le gronder ? Allons, deux membres comme ça, cela devait être forcement plaisant. Il enfonça ses deux sexes en moi, d'abord par mon sexe, puis par mon anus. Mais deux sexes, même aussi beau et savoureux, n'étaient pas suffisant pour en faire un étalon : ses vas-et-vients n'étaient pas très efficace, et je l'entendai couiner, avant de se placer contre mes seins et me lécher le corps. Je ressentai d'ailleurs plus de plaisir en sentant sa langue passer sur mes tétons qu'en sentant ses deux sexes en moi. C'était vraiment bizarre. Je n'avais jamais ressentis cela avant.

Après qu'il m'ait expliqué qu'il n'aurait plus ces sexes et insista pour utiliser sa langue, je soupirai, et le repoussai avec le pied sur son torse. J'étais visiblement déçue : après tout, un tel évènement était rare pour moi, être prise par les deux orifices en même temps... Je réfléchissai un instant. J'hésitai entre lui dire de partir et de m'amener quelqu'un sachant utiliser son membre (même s'il n'en eut qu'un seul) et lui laisser faire ce qu'il voulait de moi avec sa langue. Je caressai doucement les deux sexes avec mes pieds, regardant la réaction de l'inu, mais de tout évidence, il ne ressentait plus rien sur son sexe. On y pouvait rien après tout.

Je tirai finalement sur sa laisse et le fixa dans les yeux, d'abord gravement, puis affichant un léger sourire :


« Bon, dans ce cas là, tu as intérêt à me faire jouir comme une folle avec ta langue. Je te laisse carte blanche pour parcourir n'importe quelle partie de mon corps, mais si tu ne m'as pas fais jouir suffisamment à mon goût, je demanderai quelqu'un d'autre. J'espère avoir été claire, mon garçon. »

Je m'allongeai sur le dos, en passant une main sur mes seins, et en attendant qu'il réagisse. Pourquoi cette décision ? Tout simplement parce que jusqu'à maintenant, il avait réussis à me faire jouir comme jamais. Et surtout, pourquoi me laisser faire ? Tout simplement parce que je n'avais jamais expérimenté le sexe sous cette forme là, donc j'allais expérimenté. Je gardai tout de même la laisse entre mes mains, afin de garder le pouvoir sur lui. J'espérai juste ne pas regretter cette soirée. Même si ça allait toujours être mieux que ce que me réservait le gros riche de tout à l'heure.
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