Une bonne demi-heure qu'ils s'éclataient tous les deux, n même temps, du de faire moins ! La petite Ayumi avait de la ressource et pas qu'un peu ! Elle ne valait pas Hitomi, mais ça, c'était logique, en même temps, une putain de chaudasse aussi douée,ça se rencontrait pas sous tous les ponts ! C'était bien are, et bon, malgré sa ressource, il savait qu'Ayumi serait bien plus vite crevée que lui, malheureusement, enfin, il fallait arrêter de penser au reste, se contenter de penser à l'instant présent, il était avec cette japonaises aux courbes discrètes mais appréciables tactilement, elle avait des doigts de fée, et il n'allait pas s'éclater en pensant à une fille, qui en ce moment, ne serait-ce que par son comportement, le ferait plutôt débander que l'inverse ! Donc mieux valait, pour la suite du programme, qu'il ne pense pas à elle.
Il attira Ayumi contre lui, la mordillant, laissant de belles marques dans son cou, sur sa gorge, sur sa poitrine, alors qu'elle dansait sur sa verge avec une grâce peu habituelle, et alors qu'il l'attirait à lui, dans le but de renverser les rôles par une sorte de roulé-boulé sur le côté, il ne prévit pas d'être si vite arrivé au bord du lit, et ils basculèrent dans le vide dans un éclat de rire, Gabriel dessous, elle dessus, blottit sur lui alors qu'il l'enlaçait.
Il roula à nouveau, pour vraiment reprendre le dessus, alors qu'il se mettait à donner de puissants coups de reins à l'en faire crier – et ça commençait juste - de plaisir, il lui malaxait la poitrine avec force et fermeté, pinçait entre ses ongles les boutons de chair, la troussant comme si il se défoulait, peut être était-ce un peu le cas. Mais elle ne s'en plaignait pas.
Il leva la tête, comme mu par un instinct bien particulier, ou par hasard, pour apercevoir quelqu'un du coin de l’œil, qui avait l'intimité exposée, se faisant plaisir toute seule sur le balcon., ce quelqu'un étant une rouquine tout à fait ravissante qu'il connaissait sous toutes les couutures pour avoir exécuté plusieurs fouilles au corps bien en profondeur ! Il s'arrêta de suite, malgré le gémissement plaintif d'Ayumi qui commençait déjà d'avoir un manque de souffle, c'était une occasion pour elle de se reprendre un peu. Non content de la savoir bientôt à nouveau en pleine forme – contrairement à elle il n'avait pas joui, lui – il allait en rajouter une couche vis à vis de la petite voyeuse !
Il se retira d'Ayumi pour se redresser, se relever, et alors qu'Ayumi se mettait à quatre patte, ou du moins, laissait les bras sur le sol, levant la croupe bien haut, il adressait un sourire goguenard à Hitomi, un sourire qui voulait bien dire une petite vacherie du genre : « Je me débrouille très bien sans toi ! » Et il se détourna d'elle pour s'occuper de se remettre à besogner la jeune femme avec force, ce qui ne semblait pas la gêner outre mesure, bien au contraire !
Le téléphone sonna, celui d'Ayumi, et tout s'arrêta, c'était son mec qui l'appelait, ça voulait dire fin des réjouissances, alors, pendant qu'il lui demandait où elle était et d'autres détails, comme une vengeance mesquine, Gabriel s'éclatait à tenter de la faire gémir, et elle devait se débrouiller pour ne pas laisser le moindre bruit passer outre ses lèvres, histoire de conserver ce mec ultra-jaloux, le pire dans cette histoire ? Elle dorait ça, devoir se cacher comme une voleuse, rien que le moindre contact de Gabriel était bien plus efficace ainsi....Mais le jeu était fini, elle ne devait pas tarder à partir, aussi, Gabriel finit son affaire aussi vite que possible entre les cuisses d'Ayumi, faisant couler leur semence à tous les deux, lui sur son corps, elle sur le sol, et elle fila se rhabiller et se nettoyer avant de partir.
Dépité et frustré, sans même s'habiller, il attendit qu'elle ait claqué la porte d'entrée, non sans un baiser envolé, puis il se dirigea vers la porte fenêtre qu'il ouvrit à la volée. Il n'était pas fâché du comportement d'Hitomi à l'instant mais de la tournure générale des événements. Prenant sur l'étendage un calbute, il le mit et se dirigea vers le salon, par de hors, n'accordant aucun regarde à tout ce qui se passait, que ce soit sur ledit balcon, dans la rue, ou dans la chambre. Il entra dans le salon pour se vautrer dans le canapé.
Un peu rageur, il saisit la lettre du notaire, et pendant à la jeune femme, il la froissa et la lança contre le mur. Ildétestait ce qu'il allait faire à l'instant, mais c'était sans doute un moment où, comme l'on disait, ça passait ou ça cassait, et il craignait que cette fois-ci, ça casse, hélas ! Enfin bon, puisqu'il fallait en arriver là...et bien soit, mais notez que cela ne lui plaisait pas.
Il haussa d'un ton pour pouvoir appeler Hitomi qui se trouvait sans doute dans sa chambre et sans doute, vu comment il la connaissait, rouge de honte d'avoir été surprise.
« Hitomi, tu peux venir s'il te plaît, faut que je t'annonce un truc, et je n'ai pas envie de parler au travers d'une porte.... »
Il n'avait ni en plus l'envie de venir dans sa chambre, ni envie de rajouter que lui parler à travers sa porte, c'était plus ou moins le seul moyen de lui parler ces derniers temps....