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Les Douze Épreuves de Kiriko [Kiriko Hattori]

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Sha

Dieu

Re : Les Douze Épreuves de Kiriko [Kiriko Hattori]

Réponse 330 lundi 27 octobre 2014, 01:35:14

Cette robe lui allait effectivement à merveille, et Daphnée esquissa un sourire, amusée de voir devant elle une toute autre Kiriko. La Celkhane suffisante, autoritaire, qui ne s’inclinait que devant sa Déesse, était ici émue. Le miroir ne mentait pas, et avait sondé les profonds désirs de la Celkhane. Cependant, le fait qu’elle porte une robe de mariée pouvait tout à fait s’interpréter, soit comme l’envie de se marier avec elle, soit, plus simplement, comme le profond amour qu’elle ressentait envers Sha. Cependant, vu la réaction de Kiriko et les phrases de Sya, il semblerait bien que la première option soit la bonne. Le mariage... Cette institution sacrée était assez mal vue des sorcières, car il s’agissait d’une institution très encadrée par l’Ordre Immaculé. Du point de vue de Lust, le mariage était aussi une institution bienvenue que repoussée, et ce pour la même raison à chaque fois : le caractère sacré du mariage. C’était le principe du yin et du yang : la perversion n’existerait pas s’il n’y avait pas son opposé. Or, quelle meilleure opposition à la luxure et à la lubricité trouvait-on que le mariage religieux ? L’interdiction de coucher avec quelqu’un d’autre que son mari, l’obligation de fidélité sexuelle, la nécessité de vivre avec quelqu’un pour l’amour spirituel, les préceptes religieux niant l’impact du sexe, en considérant que le fait d’aimer une personne juste pour le sexe n’était rien de plus que de céder à de basses pulsions animales... Les valeurs de l’Ordre Immaculé étaient l’ennemi de Lust, et, sans ces valeurs, Lust ne serait pas la Déesse de la perversion. Elle ne serait qu’une force de la Nature orientée vers le sexe, rien de plus. Daphnée était une femme intelligente, en effet, suffisamment intelligente pour faire preuve de lucidité.

Kiriko voulait donc se marier avec Sha... Elle était troublée, et n’avait visiblement qu’une seule envie : aller voir Sha avec cette tenue, et voir ce que sa Déesse dirait. Daphnée aurait presque pu la laisser partir... Mais ce n’était pas son intention. Comme Kiriko le supposait bien, on ne réveillait pas une Grande Prêtresse en pleine nuit simplement pour frotter sa cuisse contre sa vulve. L’orgasme de Daphnée n’avait été qu’une forme de salutation pour elle, une manière de bien se réveiller, une entrée en jeu.

« Tu es une sorcière, Kiriko, tu sais bien que la magie respecte la loi de conservation de la masse... Si tu pars d’ici comme ça, tu conserveras la robe, mais le placard prendra ta tenue celkhane. »

Il y avait une raison pour que ce placard se trouve dans le sous-sol. Il était réservé aux Prêtresses, pas aux Novices.

« Si tu veux conserver la tenue, il faut faire une offrande au placard. »

Daphnée s’était rapprochée d’elle, en caressant tendrement le menton de la Celkhane, jouant avec, un sourire vicieux sur les lèvres.

« Et, comme je me doute que tu ne veux que personne d’autre que Sha ne touche à ta robe, Sya va servir à quelque chose... Vois-tu, le prix demandé pour le placard est un orgasme, que je dois donner, en ma qualité de Grande Prêtresse. »

Se concentrant, la Grande Prêtresse fit pousser entre ses cuisses une belle verge, et ordonna à Sya de se mettre à quatre pattes. La Grande Prêtresse agit ensuite assez rapidement, venant prendre Sya en levrette. Ce n’était pas la première fois que Daphnée :lui faisait l’amour, Sya étant une spécialiste des incursions nocturnes dans son lit, des incursions qui se transformaient très souvent en coïts brutaux. Daphnée la prit donc par l’arrière, enfonçant sa queue dans son vagin, et la prit pendant plusieurs minutes, jusqu’à ce que Sya ne jouisse. La mouille tomba sur le sol, et disparut rapidement, puis on entendit un bruit sourd dans le placard, tandis que Kiriko se retrouvait à nouveau nue.

« Et voilà, Kiriko... La robe se trouve dans ton placard. Si tu veux, je pourrais la téléporter dans vos quartiers. »

Daphnée était une femme très généreuse envers ses invitées... Mais ce n’était pas totalement désintéressé. Kiriko était vraiment une femme de luxure, et, comme elle le savait, le culte de Sha et celui de Lust entretenaient d’étroits liens.

« Maintenant, nous allons essayer différentes tenues possibles, ma puce... Ne crois pas que tu partiras aussi facilement d’ici. »

La Grande Prêtresse posa ses mains sur les épaules de Kiriko. Elle n’avait pas joui en pénétrant Sya, et son sexe, dur comme un mandrin, venait caresser les fesses de la sorcière, afin de stimuler sa perversion. Peu à peu, une nouvelle tenue apparut, différente de celle que Kiriko avait l’habitude de porter, mais convenant plutôt bien à sa nature autoritaire :


Daphnée sourit en l’observant dans le miroir. Elle se lovait dans son dos, et alla masser ses seins, tout en aventurant ensuite deux doigts sur la fermeture Éclair de sa longue jupe en cuir de policière, tirant légèrement dessus, afin d’offrir un beau décolleté, sa langue venant lécher le cou de la femme.

« Ma policière adorée... »

Daphnée lui mordilla la nuque, en conservant, sur les lèvres, un sourire moqueur :

« Je trouve que ça te va bien, pas toi ? »
DC d’Alice Korvander.

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Kiriko Hattori

Humain(e)

Re : Les Douze Épreuves de Kiriko [Kiriko Hattori]

Réponse 331 dimanche 02 novembre 2014, 15:53:43

Évidemment que cette robe allait être exclusivement pour Sha, aucune autre femme ne pourra en profiter. Puis bon, ce n'était pas tous les jours qu'elle portait autre chose que sa tenue de Celkhane. Sya avait su lire en elle comme dans un livre ouvert et la Celkhane avaient un léger doute sur le moyen de paiement de cette robe. C'était possible qu'elle reparte de suite dans sa chambre, après tout, elles vont rester un certain temps ici mais Kiriko se doutait bien que jouir sur sa cuisse n'allait pas être une chose suffisante pour garder cette robe et elle avait raison. Le principe de masse, effectivement elle connaissait cela, elle avait beau ne pas être doué en magie pour le moment, elle savait au moins ce genre de choses. Bien que Daphnée lui tournait autour, ce fut plutôt Sya qui avait contribué à ce que la sorcière garde la robe. Payé en orgasme donné par Daphnée, quoi de plus logique dans le temps de Lust. L'Ange en prenait plein le cul, face au miroir, la grande prêtresse semblait s'en donner à cœur joie. Ça faisait bizarre d'être là, à observer ça. Faire dans le voyeurisme, ce n'était pas son genre après tout... Mais une fois que ce fut chose faite, la sorcière était de nouveau nu, laissant la robe sous forme matérielle, dans le placard. Pratique. Sya restait assise, souriante en observant les deux autres femmes alors que la prêtresse se faisait de plus en plus proche.

Face au miroir, elle se collait dans son dos, laissant son érection lui caresser les fesses alors que cette fois, ce n'était pas vraiment les envies de Kiriko mais plutôt celles de sa partenaire qui se matérialisait sur elle, ou alors c'était le hasard qui lui avait choisi pareille tenue? Policière? Bien entendu elle savait ce que c'était mais sur Caelestis, c'était plus l'armée qui faisait aussi office de police, faut dire que là-haut, la criminalité était plutôt très basse. Et à Tékhos, la police avait toutefois des tenues plus proches des tenues Celkhanes, Tékhane que ça? Cela devait venir de l'autre monde, la Terre, non? Oui c'était déjà plus dans ses habitudes, des choses moulantes mais une fois encore, ça ne semblait pas très résistant comme tenue... mais ça semblait plaire à la prêtresse qui commençait déjà à vouloir lui retirer sa tenue. Kiriko donna une petite tape sur sa main qui descendait sa fermeture éclair alors que la sorcière avait un léger sourire.

« Même si ce n'est pas ce que je préfère, c'est pas une raison pour déjà me la retirer. Fait gaffe à toi car j'ai de quoi t'attacher les mains dans le dos et alors... » Kiriko se retourna pour lui faire face avec un petit sourire accompagné d'un petit regard qui n'avait déjà plus rien à voir avec la Kiriko troublé en marier. « C'est moi qui te viole. »

Ha oui, une fois qu'elle n'est plus face à quelque chose qui la trouble, Kiriko était fidèle à elle-même, une dominatrice comme pas deux! Elle n'avait de respect que pour Sha ou des gens que Sha aurait demandé qu'elle la respecte vraiment. Sans ça, elle se faisait plaisir à dominer les autres, prêtresse, déesse ou simplement guerrière. La Celkhane n'était pas du genre à se laisser marcher sur les pieds. Passant sa main sur sa joue, elle continua à la passer vers ses cheveux.

« Eh bien quoi? Tu pensais que j'allais me montrer toute gentille et soumise comme elle? Désolé mais ça, y a que Sha qui peut me le demander, les autres, je me fiche de leurs rangs, leur titre, je ne suis soumise qu'à une seule personne et tous les autres ne peuvent pas m'être égaux. Elle, toi ou d'autres de tes copines prêtresses, ça revient au même pour moi. Alors oui on va s'amuser ensemble mais ne crois pas que je vais être un chaton qui demande des câlins, je serais plutôt du genre tigresse! »

Mêlant geste à la parole, la policière Celkhane embrassait Daphnée fougueusement, la plaquant contre le miroir, un long baiser qui en disait long sur le caractère de la sorcière. À croire que personne d'autre que Sha ne peut en faire sa chose en douceur. Si on veut la dompter, il faut faire ça à la manière forte. Mais elle n'est pas du genre à se laisser faire. Quelque chose faisait dire à Kiriko qu'elle avait trouvé une nouvelle personne qui va l'adorer. Déjà qu'elle avait de nombreux fans juste à cause de son cul, l'avoir en action avec soi, ça lui rapportait toujours des femmes qui en voulait plus mais seule Sha peut en demander autant.

Sha

Dieu

Re : Les Douze Épreuves de Kiriko [Kiriko Hattori]

Réponse 332 mercredi 05 novembre 2014, 01:39:02

Daphnée avait effectivement opté pour une tenue policière terrienne, et ce parce qu’elle estimait que le modèle tekhan, s’il était affreusement sexy, était aussi un peu trop proche de la tenue moulante habituelle de Kiriko. L’idée était de lui faire essayer des styles différents, mais la Grande Prêtresse conservait encore en stock l’idée de voir Kiriko dans une tenue de policière tekhane. Elles avaient toute la nuit devant elles, et son invitée allait vite comprendre pourquoi Daphnée était la Grande Prêtresse de ce temple. Elle avait effectivement un peu provoqué Kiriko, afin de voir si la sorcière de Sha était une chatte aux griffes limées, ou une véritable tigresse. Kiriko, pour le plus grand plaisir de Daphnée, se débattit ainsi contre la volonté manifeste de Daphnée de l’asservir, et plaqua le corps nu de la Grande Prêtresse contre le miroir, avant d’aller fougueusement l’embrasser. Daphnée répondit à son baiser en soupirant, sa queue en érection venant se frotter à l’estomac de Kiriko, ses mains agrippant ses cheveux et glissant le long de son dos, caressant sa magnifique chute de reins. Elles s’embrassèrent longuement, sans que Daphnée ne manifeste la moindre hésitation, le moindre truchement d’impatience lié à sa verge tendue. Une magnifique érection qui venait caresser le ventre de la fausse policière, tandis que des idées multiples émergeaient dans l’esprit de Daphnée.

Parmi tous les lieux de culte de Lust, le sanctuaire de Tekhos était, pour Daphnée, l’un des meilleurs qui soit. Dans une société hyper-sexualisée et très féminisée, Lust faisait des ravages, et le sanctuaire mélangeait à la perfection magie et technologie. Rien à voir avec le temple de Wallündrill, celui de Tekhos était l’un des plus importants centres de Lust, et la perversion qui s’y déroulait continuellement n’avait tout simplement pas de mots. Daphnée avait avec elle plusieurs gadgets, et elle se demandait si elle n’allait pas en confier un à Kiriko... Un objet qui pourrait lui être bien utile.

« Ne me tente pas, ma belle... Je connais des instruments de torture qui te feraient tellement souffrir que tu deviendrais la chienne de n’importe qui. »

C’était une provocation gratuite, mais qui était toujours à prendre dans le domaine du sexe. La main vers le bas de Kiriko attrapa sa cheville, et la souleva, Kiriko se retrouvant ainsi enlacée contre elle, tandis que Daphnée se déplaça, venant plaquer le corps de la Celkhane contre un mur, sa verge s’enfonçant contre sa veste, à hauteur de son nombril. Elle l’embrassa alors dans le creux du cou, mordillant sa belle peau, tout en déplaçant un peu son bassin, sa verge venant alors heurter la culotte de la Celkhane à hauteur de son intimité, s’enfonçant contre le tissu, qui formait comme une espèce d’ultime ceinture empêchant la Grande Prêtresse de la pénétrer. Daphnée mordilla alors sa nuque, continuant à narguer la magnifique Celkhane.

Cette femme était effectivement une pure dominatrice, et, pour Daphnée, c’était un véritable bonheur de l’avoir contre elle, de pouvoir faire l’amour avec une femme qui sentait si bon. Tout son corps sentait le foutre divin, le nectar des Dieux. C’était une véritable osmose de sensations, et Daphnée lécha sa peau, avant de la mordiller, un sourire sur le coin des lèvres.

« Passons aux choses sérieuses, ma puce... Nous avons un programme chargé, et j’ai encore plein de surprises à te montrer... »

Daphnée tendit une main, et tira sur la culotte de Kiriko, l’écartant suffisamment pour permettre à sa verge d’aller la pénétrer. Son chibre s’enfonça d’un coup en elle, et Daphnée commença à la pénétrer.

« Hum... Je t’interdis de jouir avant un bon quart d’heure, Kiriko... Sinon, ce sera la preuve que... Hummm... Tu n’es qu’une vantarde... »

Un peu de provocation, ça pimentait toujours le sexe.
DC d’Alice Korvander.

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Kiriko Hattori

Humain(e)

Re : Les Douze Épreuves de Kiriko [Kiriko Hattori]

Réponse 333 dimanche 09 novembre 2014, 20:41:01

Dresser Kiriko ne serait pas simple quand on n'est pas Sha. Il faut être sacrément puissant car la sorcière n'hésite pas à faire dans les rapports de forces pour montrer sa puissance envers celles qui veulent la caresser dans le sens du poil. Daphnée se croyait en sécurité car elle était un peu la chef ici? Prêtresse, grande prêtresse, déesse même, si Sha ne lui demande pas de se tenir tranquille, aucune de ses femmes ne pourra jouer avec elle sans risquer de se faire griffer, mordre ou tout simplement mal. Croyait-elle que ses petites menaces lui feront peur? C'était de la provocation, Kiriko le savait mais elle ne pouvait pas s'empêcher de rentrer dans son jeu en la plaquant un peu plus entre elle et le miroir.

« Ma dévotion ne va que pour une seule Déesse et personne d'autre. »

Elle aussi elle savait provoquer un tant soit peu les autres. Alors que Daphnée faisait en sorte d'accrocher la Celkhane à elle, cette dernière bougeait un peu pour ne pas rester contre le miroir. Sa verge se frottait contre sa tenue et inutile de dire que ce genre de chose la gênait. Elle n'était pas habituée à être habillé et si peu vêtue à la fois, la jupe limitait ses mouvements pour ce qui est des jambes, ce n'était vraiment pas pratique cette histoire. Sa verge venait se frotter à sa culotte et une fois encore, c'était bizarre! Comment une femme pouvait aimer porter un truc aussi petit et léger, elle avait pratiquement l'impression de rien avec sa mouille dessus en plus. Au moins sa combinaison Celkhane, faut de la magie ou un sacré coup de butoir pour la trouer! Embrassant sa nuque, venant la mordiller, elle était tentante aussi comme femme celle-là, une Kiriko qui aurait grandi auprès de Lust plutôt que Sha... en y regardant bien, il y avait un air de ressemblance tant physique que dans leur regard. Cela ne faisait que rendre cette situation meilleure.

Daphnée continua de la provoquer en la pénétrant, écartant ainsi sa culotte. Intéressant mais la sorcière aussi avait du répondant.

« Ha ouais? Hum... Et pour toi, ce sera la preuve... que tu n'es qu'une nymphooo... en manque! »

Elle était plutôt bonne elle aussi mais elle se souvenait qu'elle avait joui en se frottant simplement sur sa cuisse alors qu'on ne lui fasse pas prendre des vessies pour des lanternes. Cela dit, face à une prêtresse de la luxure, contrôler ses pulsions et son désir, ce devait être quelque chose de plutôt simple, surtout qu'elle n'était pas une petite débutante. La fameuse Sya continua de les observer se quereller en se doigtant sagement dans son coin.  Contre un mur, la policière et Daphnée commençaient enfin à s'amuser, cette dernière commençait à la prendre, doucement mais augmentait peu à peu sa vitesse. Kiriko en profitait pour l'embrasser voracement, passant ses mains dans ses cheveux. Elle se plaquait de plus en plus contre elle, ses jambes formant un étau qui se resserrait de plus en plus, de façon à ce que ses coups de reins viennent se répercuter sur le mur. Oui, c'était en pierre et vu que cet endroit était secret, ça n'allait gêner personne mais au moins, elle était sûre d'arriver à faire en sorte que sa verge vienne arriver tout au bout de ses capacités.

« Hum, c'est pas mal... mais tu me déçois... J'attendais mieux d'une femme comme toi! »

Et hop, une autre petite provocation alors que Kiriko profitait d'être au peu au-dessus d'elle pour agripper ses cheveux, les tirant doucement pour plaquer sa tête en arrière pour venir l'embrasser en prenant le dessus sur elle. Eh bien quoi? Kiriko est une femme de loi, c'est normal de se montrer au-dessus des autres pour lui montrer le respect. Daphnée allait faire face à Kiriko et ça n'allait pas lui déplaire de voir sa façon de faire. Les jambes bien accroché autour d'elle, elle remuait son bassin en faisant des cercles, parfois petit, parfois plus grand pour mieux faire jouir cette nympho qui lui avait donné une belle robe de marier. Faut bien la remercier... même si Kiriko ne se laisse pas faire pour autant.

Sha

Dieu

Re : Les Douze Épreuves de Kiriko [Kiriko Hattori]

Réponse 334 mardi 11 novembre 2014, 01:50:13

Il y avait effectivement quelque chose de similaire entre Daphnée et Kiriko. Si on avait dû demander à Daphnée de changer de culte, d’adopter une autre religion, sa réponse aurait été négative. Certes, elle savait que Lust n’était pas une Déesse hostile aux autres religions, et qu’il n’y avait aucune interdiction de servir plusieurs divinités à la fois, mais elle estimait que son rapport avec le culte de Lust était trop intime et trop personnel pour pouvoir se dupliquer avec d’autres cultes. Elle ne fut donc guère surprise quand Kiriko refusa l’idée de prier une autre Déesse. Un sourire amusant éclairait les lèvres de la femme, qui continua à la pénétrer, s’enfonçant en elle.

Kiriko la narguait, mais Daphnée n’était pas dupe, et, fort heureusement, la Grande Prêtresse était joueuse. Elle aurait pu utiliser sa magie rose pour faire jouir cette femme, mais ça aurait été une forme de tricherie... Ce que Daphnée ne pouvait pas se permettre. Elle sentit les jambes de la femme se serrer davantage contre son bassin, comprimant ses mouvements, tandis que la main de la Celkhane partait en arrière, venant saisir ses cheveux, faisant basculer sa tête en arrière. Daphnée soupira en gémissant, comprenant que Kiriko essayait de prendre l’ascendant psychologique. Inutile d’espérer vouloir la faire souffrir simplement en la prenant avec un gros chibre. Elle avait déjà dû subir énormément de choses avec Sha... Suffisamment pour mériter sa place dans le Panthéon de Lust, si tant est qu’un tel panthéon puisse exister. C’était Kiriko qui, malgré sa position, et le fait qu’elle était cantonnée à un rôle passif, qui cherchait à faire jouir Daphnée, en remuant son bassin. Une stratégie efficace, mais qui avait assez peu de chances d’aboutir. Servir Lust, c’était vivre pour et par le sexe, dans tout ce que ça impliquait. Pour devenir Grande Prêtresse, Daphnée avait dû subir des épreuves très poussées, notamment pour apprendre à connaître ses pulsions sexuelles. Elle avait été attachée à un poteau, et avait vu des couples se faire l’amour pendant des jours entiers. Elle avait dû apprendre à gérer ses pulsions sexuelles en faisant jouir une dizaine de femmes, et sans avoir le droit, de son côté, de jouir.

« Hum...Hummmmm... Ce n’est qu’un… Qu’un prélude, ma petite fliquette… »

Elle laissait Kiriko frotter son bassin contre le sien, et finit par la décoller du mur, la tenant entre ses bras. Au milieu de la pièce, elle laissait la femme continuer à glisser le long de sa hampe de chair, une main sur sa nuque, et l’autre sur ses fesses, filant sous sa jupe en cuir pour sentir la culotte de la femme. Avec sa combinaison moulante intégrale, la Celkhane n’avait pas de sous-vêtements, en temps normal, et Daphnée avait cru comprendre qu’elle n’y était pas encore habituée. Elle en profita donc, pinçant la texture de la culotte, tirant dessus, et finit par passer ses doigts dessous. Kiriko avait serré ses jambes en les croisant autour de son bassin, ce qui eut pour effet d’écarter ses fesses, de faciliter l’accès à sa rondelle. Daphnée aurait pu demander à Sya de lécher son fondement, de caresser sa rondelle avec sa petite langue, mais elle ne voulait pas que Kiriko s’en serve comme argument. Par conséquent, elle préféra enfoncer son doigt en elle, et esquissa un sourire.

La femme redressa ensuite son visage, et embrassa la femme, tout en continuant à se servir de la paume de sa main pour la poser sur le postérieur de la Celkhane, afin de remuer son bassin d’avant en arrière. Elle remua son doigt, et, pendant plusieurs minutes, les deux femmes restèrent là. Le plaisir traversait le corps de Daphnée, irradiant tout son être. Se sjoues étaient légèrement rougies, le plaisir était là, mais elle savait comment le maîtriser. L’une des épreuves de son passage de Grande Prêtresse avait été de rester en état d’érection pendant plusieurs jours. Jamais sa queue ne devait se réduire. Un exercice extrêmement difficile, car elle avait abondamment fait l’amour pendant toute cette période, les Novices et les autres Prêtresses en profitant volontiers pour coucher avec elle. Elle avait réussi à tenir trois jours, et avait ensuite couché avec l’intégralité des membres du Temple, afin de les faire toutes jouir, les unes après les autres. Pendant plusieurs jours, elle avait couché avec toutes les femmes. Rien de si impressionnant que ça ; la Terre, par exemple, recélait de records de ce genre.

Daphnée embrassa Kiriko pendant plusieurs minutes, mordillant ses lèvres, jouant avec sa langue, tirant ensuite sur chacune de ses lèvres, puis le rompit, en posant son front contre le sien.

« C’est trop lent... Laisse-moi prendre le relais, je vais te montrer comment on baise vraiment. »

Son ton était moins provocateur qu’elle, mais toujours bien là. Daphnée tomba vers le sol, et coucha la Celkhane par terre, ayant alors une plus large amplitude pour la pénétrer. Son corps remua d’avant en arrière, et elle soupira, tout en attrapant les mains de Kiriko dans les siennes, les plaquant contre le sol, entrecroisant ses doigts avec les siens. Daphnée soupirait et gémissait, la jupe de Kiriko repliée, et elle continuait à la prendre, la baisant contre le sol, soulevant les hanches de Kiriko à chacun des passages de sa grosse queue. Daphnée était en effet en train d’utiliser sa magie rose pour durcir sa queue, la rendant plus lourde, plus longue. Rien qui ne soit de nature à vraiment étaler une Celkhane comme elle. Daphnée, en toute honnêteté, ne voulait pas la voir échouer, elle voulait simplement passer un bon moment avec elle. Après tout, leurs cultes étaient proches, et relativement alliés. Elle était convaincue que, si Lust débarquait ici, Sha accepterait de lui faire l’amour, et transformerait ce joli temple en une magnifique orgie.

« Haaaannnn... Haaaannnn... Kiriko, hummmmm... Tu es si bonne ! »

Sa queue continuait à labourer son intimité. Pour Daphnée, c’était comme une sorte de bonheur perpétuel. Elle embrassait et léchait le cou de Kiriko, humant sa bonne odeur, reniflant cette odeur de perversion et de sexe qui traînait sur elle, et l’imprégnait totalement.

C’était délicieux, tout simplement.
DC d’Alice Korvander.

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Kiriko Hattori

Humain(e)

Re : Les Douze Épreuves de Kiriko [Kiriko Hattori]

Réponse 335 dimanche 16 novembre 2014, 21:05:11

La partie ne faisait que commencer entre les deux femmes. Malgré leur petite ressemblance physique, il y avait aussi une certaine ressemblance et mental et même au niveau de leur rang. Kiriko aimait Sha qui l'aimait en retour, sans être une sorcière de talent pour le moment, elle avait plus ou moins le statut de bras droit en ce qui concerne les assauts physiques en tout cas. Et Daphnée gérait ce temple, ça prouvait qu'elle avait elle aussi une certaine place au sein du culte de Lust. C'était comme mettre une lionne dans la cage d'une autre lionne, les deux ne vont pas se faire les yeux doux en se léchant, ça va se battre à coup de griffes et de crocs. C'était pratiquement la même chose ici. Empalé sur le sexe de la prêtresse, Kiriko ne voulait pas perdre cependant et continua donc de tout faire pour faire basculer Daphnée vers l'orgasme. Chose qui ne sera pas simple en tant que grande prêtresse de Lust... Mais ce n'est pas grave, Kiriko relevait le défi, elle aimait ce genre d'épreuve qui ne pouvait que faire grossir sa notoriété... Même si là, ce ne sera pas simple. Elle pourrait toujours essayer.

Surtout que la bougresse se défendait bien en jouant avec des éléments que la sorcière n'était pas apte à maitrise d'habitude telle qu'une culotte. Oui, la chose la plus banale au monde que chaque fille porte dans sa vie, une chose que la Celkhane ne maitrisait pas vu que sa tenue lui permettait de remplacer tous les vêtements que porte une personne d'habitude. L'avantage d'avoir le tout en un. Mais l'inconvénient dans cette situation de n'avoir qu'un point faible ridicule. Même si Daphnée ne jouait pas trop avec ce point-là mais plutôt avec son anus, venant enfoncer son doigt en même temps que les assauts de la sorcière. Leur baiser se faisait de plus en plus passionnant et même si la prêtresse venait l'allonger sur le sol pour mieux la prendre, elle tenait encore le coup. Bien sûr elle aimait ça mais elle n'avait pas encore joui, eh oui! Bien que Daphnée augmentait le rythme, Kiriko ne lâchait pas prise pour autant, elle continuait d'embrasser follement sa partenaire en subissant ses assauts avec le sourire. Oui, cela restait quand même amusant, n'est-ce pas? Même en allant plus vite, même si cela était très bon, Kiriko ne lâchait pas le morceau pour autant en observant sa partenaire dans les yeux quand elles ne s'embrassaient pas, la défiant ouvertement avec cette flamme dans le regard. Le plaisir mêlée à l'hostilité. C'était de bonne guerre mais Kiriko était ainsi. En dehors de Sha, personne ne la soumet facilement.

Faisant comme elle, elle la léchait dans le cou, passant sa langue comme ses dents pour la pincer un peu de temps à autre. Dans une telle position de soumission, elle devait montrer qui portait la culotte, dans les deux sens du terme. Levant ses jambes afin de plaquer le bas de son corps contre elle, elle en fit de même avec ses bras en ramener Daphnée contre elle pour mieux profiter de ce moment... et aussi mettre son plan à exécution. Venant du culte de Lust ou non, Kiriko n'allait pas se laisser faire! Un de ses bras continuait de la maintenant contre elle alors que le second bras descendait plus bas. Elle aurait aimé gifler son cul mais hélas, elle ne pouvait que le caresser à peine du bout des doigts... raté!

« Humph! Tu te... débrouille pas mal... ma salope. »

Ouais, elle refusait de laisser le moindre avantage sur son terrain. La complimenter oui, mais pas lui laisser la main. Ses jambes se serraient de plus en plus autour d'elle alors qu'elle s'approchait de l'orgasme. Elle se cambra un peu en gémissant doucement pour ne pas trop en montrer non plus avant de jouir, se délivrant enfin de cette petite tension entre les jambes. Au moins, elle avait dû tenir le quart d'heure? Plus ou moins. Regardant Daphnée avec toujours ce même regard supérieur, elle lui caressa la joue en lui offrant un petit baiser plus doux.

« Tu tiens bien à ta réputation envers Lust ma chérie... »

Voilà, elle pouvait dire des petites choses gentilles elle aussi.

Sha

Dieu

Re : Les Douze Épreuves de Kiriko [Kiriko Hattori]

Réponse 336 mardi 18 novembre 2014, 01:48:50

Le sexe était sa spécialité... Comment cette arrogante sorcière pouvait-elle croire que Daphnée allait lâcher prise sur son domaine de prédilection ? Cette Celkhane, aussi belle soit-elle, ne restait qu’une touriste ! Et ce surtout qu’elle avait refusé l’offre de Daphnée. En soi, la Grande Prêtresse le comprenait. Même si les cultes polythéistes autorisaient à servir plusieurs Dieux, quand on avait un tel lien avec sa divinité, il était difficile de le renier pour servir une autre divinité. Daphnée comprenait donc tout à fait le point de vue de Kiriko, et ça ne l’empêchait nullement de la défoncer. Elle soupirait et gémissait, frissonnant et couinant quand la langue de Kiriko allait lécher son cou, et elle lui rendait ensuite la pareille, l’embrassant ensuite à son tour. Leurs lèvres se mélangèrent, et ses coups de reins se poursuivirent, s’enfonçant dans le corps tendre et ouvert de Kiriko. Baiser cette sorcière était quelque chose de magnifique, d’incroyablement merveilleux... La femme se faisait clairement plaisir, redécouvrant, comme à chaque fois, les plaisirs insondables et délicieux du sexe.

Elle avait mis un quart d’heure, mais cette durée était très virtuelle pour elle. Ce qu’elle voulait, surtout, c’était tester les résistances de Kiriko. Sa grosse verge remuait en elle, déboîtant son vagin, et, pourtant, la femme arrivait à tenir, enserrant le bassin de la Grande Prêtresse autour de ses cuisses, son corps remuant en harmonie avec le sien. La Grande Prêtresse la prenait sans relâche, remuant d’avant en arrière, ses coups de queue s’enfonçant en elle, soupirant et gémissant de plaisir, les minutes filant à toute allure. La fausse policière était prise à même le sol, et rien ne semblait pouvoir réfréner plus que ça les ardeurs de Daphnée. Elle avait enfinl’occasion de prendre cette femme, et elle sentait l’intimité de Kiriko se remplir de mouille, mais sans que la sorcière ne vienne à jouir. La ténacité de Kiriko était admirable, tout à son honneur, même si elle était vaine. Daphnée était excitée, oui, mais elle contrôlait très bien les pulsions de son corps. Elle jouirait tout simplement quand elle le voudrait.

*Ah, Sha... Ton culte est vraiment merveilleux...*

Daphnée en pensait chaque mot, et continuait à remuer en elle, violemment, passionnément, sa verge filant dans les entrailles de Kiriko. Les deux dominatrices ne pourraient jamais totalement soumettre l’une à l’autre, et ce n’était pas l’objectif poursuivi par Daphnée. Elle trempait dans cette mouille, se frottait à ce corps empli de cette délicieuse odeur de luxure et de sexe, et, au bout d’un moment, elle sentit la Celkhane céder. Son orgasme arriva généreusement, aspergeant le sexe de Daphnée, qui, en retour, choisit ce moment pour s’abandonner. Plusieurs giclées de foutre éclatèrent dans le corps de la femme, et Daphnée poussa un long soupir de plaisir, avant d’embrasser Kiriko, et d’agripper ses cheveux.

Le baiser fut relativement bref, et, quand il se rompit, un mince filet de salive relia la bouche des deux femmes, que Daphnée enleva ensuite d’un coup de langue, avant de lui sourire.

« Autant que toi envers Sha, mon amour... »

Elle employait des mots doux, et se redressa alors. Malgré son érection et son orgasme, sa queue restait toujours aussi tendue, et elle invita Kiriko se à relever. Lorsque ce fut fait, Daphnée retourna l’embrasser, un sourire sur le coin des lèvres.

« Je crois qu’il est temps de te trouver de nouvelles tenues, ma chère... Et, pour ton information, nous avons tenu plus d’une demie-heure. Pas mal, n’est-ce pas ? »

Daphnée lui sourit encore, et l’embrassa une nouvelle fois, puis s’approcha du miroir magique.

« Comme il ne faut pas trop abuser du miroir, je pense que la prochaine tenue sera la dernière... Et je pense que j’ai une idée, et que ta Déesse appréciera beaucoup de te voir là-dedans. »

La Grande Prêtresse esquissa un nouveau sourire, et le même manège se répéta. Kiriko se retrouva toute nue devant le miroir, et la Grande Prêtresse posa ses mains sur ses épaules, dans son dos, et se concentra.

Au bout de quelques secondes, une énième tenue vint se former sur le corps de Kiriko, une magnifique robe en cuir avec des bottes noires :


Daphnée sourit à nouveau, ravie, et caressa les épaules nues de la femme, avant de glisser le long de ses hanches, appréciant le contact délicieux de ce cuir.

« Joli, non ? Il ne te manque plus qu’une paire de gants noirs pour perfectionner le tout, et ainsi être parfaite devant ta Déesse quand elle se réveillera... »

Et Kiriko portait également, sur ce costume, une culotte.
DC d’Alice Korvander.

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Kiriko Hattori

Humain(e)

Re : Les Douze Épreuves de Kiriko [Kiriko Hattori]

Réponse 337 dimanche 23 novembre 2014, 20:55:29

Kiriko et Daphnée, ce fut vraiment quelque chose qui arriva évidemment à son terme tôt ou tard et mine de rien, cela avait duré une bonne demi-heure. Ce fut qu'après avoir atteint l'orgasme qu'elles se relevaient doucement pour passer à la suite? Kiriko ne savait pas si sa contribution avait été payé, logiquement oui mais il faut se méfier avec le culte de Lust. Non pas qu'elle soit adepte d'un coup fourré mais pour profiter de la présence de la Celkhane, elle serait capable de pousser le bouchon un peu plus loin en inventant une petite ligne au contrat ayant été passé. Cette dernière l'amena à nouveau devant le miroir où sa tenue de policière avait disparu alors qu'une autre tenue venait se former sur son corps petit à petit. Une tenue plus moulante, comme dans ses habitudes mais une tenue plutôt courte et pas pratique au niveau des jambes. Comment elle voulait protéger Sha en se baladant avec un truc pareil? Mais faut dire ce qui est, ça reste sexy quand même.

« Hum tu as du goût et de l'imagination ma belle... Bien joué. »

Mais comme elle disait, il manquait pas les gants... est-ce là le message qu'on lui donne? Une gâterie, une paire de gant offerts? Difficile a croire mais ça pourrait se faire. Elle se dandinait doucement devant le miroir, frottant ses fesses contre la tige de Daphnée qui était toujours fidèle au poste.

« Je suis certaine que Sha va adorer mais pour ce qui est des gants... »

Elle les voulait pour être parfaite mais une chose à la fois. Elle se retourna, une de ses mains venant se glisser entre elles alors que Kiriko masturbait délicatement la prêtresse pour lui faire donner ses gants de cette façon. Elle ne les avait pas donné pour une raison précise après tout? Peut-être sentir la douce peau de ses mains manier sa petite dague entre les jambes? Daphnée pouvait en plus se voir dans le miroir mais surtout voir Kiriko de dos, dandinant son magnifique cul moulé dans cette petite robe alors qu'elle marchandait.

« Tu l'as dit toi-même, n'utilisons pas trop le miroir mais s'il manque quelque chose, ça ne va pas ma mignonne... Alors, on me les donne ses gants? »

Sa bouche venait embrasser son cou, sa main manipulait doucement sa dague de chair doucement mais toujours en étant très douce, évidemment. Surtout que la pointe avait tendance à se frotter contre sa robe, ce n'était pas rien de sentir le cuir venait caresser son gland. Kiriko était fidèle à sa Déesse et elle lui réservait toujours ses meilleures tours, sa meilleure forme mais pour elle, elle pouvait être capable de tout pour arriver à ses fins. Sa main venait peloter ses jolies petites fesses car pourquoi Daphnée serait la seule à prendre un peu de bon temps? Kiriko aussi à le droit à tout ça, n'est-ce pas?

« Je te laisse en profiter un peu quand même mais faits-moi ce petit plaisir Daphnée... Plus he satisferait ma Déesse grâce à toi, et mieux je saurais te rendre la pareille ma jolie... Allez... Dis-moi oui... »

Sha

Dieu

Re : Les Douze Épreuves de Kiriko [Kiriko Hattori]

Réponse 338 mardi 25 novembre 2014, 02:56:59

Kiriko semblait ravie de sa nouvelle tenue, et il fallait bien admettre que cette robe noire lui allait plutôt bien. La Celkhane n’était pas une soumise, elle appartenait clairement à la catégorie des femmes guerrières, indépendantes, et dominatrices. La voir dans cette tenue était très excitant, mais Kiriko regrettait l’absence de gants… Est-ce que Daphnée avait fait exprès de ne pas les matérialiser ? Peut-être… Après tout, elle avait envie de sexe, elle aussi, et ce même si elle venait de jouir dans le con de Kiriko il y a à peine quelques secondes. Elle sentit la main nue de Kiriko glisser sur sa verge, venant tendrement la masturber, tout en lui embrassant le cou, tendrement. Kiriko se faisait toute féline et toute douce, sollicitant les gants, afin que sa tenue soit parfaite devant sa Déesse. Daphnée sourit légèrement, et posa une main sur la nuque de Kiriko, allant l’embrasser.

« Serait-ce un caprice, Kiriko ? »

Amusée, Daphnée posa une main sur la fermeture Éclair de la robe, et poussa un peu Kiriko. La sorcière se retrouva dos contre le miroir, et Daphnée tira un peu sur sa fermeture, l’abaissant totalement, tout en l’embrassant longuement, fourrant sa langue dans sa bouche. Sa main continua à descendre, jusqu’à ce que la fermeture atteigne le bas. La robe s’ouvrit en deux, dévoilant le ventre de Kiriko, son nombril, et sa culotte noire. Daphnée agit ensuite, se collant contre la Celkhane. Si les gants ne s’étaient pas matérialisés, c’était parce que Daphnée n’y avait pas pensé, et parce que le miroir avait manqué d’énergie pour les matérialiser en s’imprégnant des fantasmes de Kiriko… Une erreur que la Grande Prêtresse comptait bien rattraper.

Sa verge s’enfonça rapidement dans le sexe de Kiriko, et elle la pénétra contre le miroir, debout sur ses jambes, son mât dressé et raide, tendu et dur. Elle s’enfonça donc sans problème dans le corps de Kiriko, et sa main libre, celle qui avait ouvert la robe, alla pincer l’un de ses seins, jouant à hauteur du téton.

« Enroule-toi contre moi, Kiriko, et offre-moi à nouveau ta semence… Laisse-moi me déverser en toi… »

Daphnée parlait toujours sur un ton calme et assuré, mais ses joues étaient rouges, et dans son intonation, on pouvait sentir les oscillations du désir. Elle était en train de faire l’amour à cette femme, et la prenait contre le miroir, son corps venant rebondir contre le miroir, notamment son beau petit cul… Un cul dont Daphnée n’avait pas encore eu l’occasion de s’occuper, à son grand désespoir. C’était un lapsus qu’elle comptait bien rétablir durant cette nuit. Daphnée continuait à la prendre, soupirant et haletant. Elle ne mit pas que quelques minutes à jouir, et embrassait longuement et intensivement Kiriko, suçant ses lèvres, mordillant sa bouche, caressant sa langue avec la sienne. Elle faisait tout ce qui était en son pouvoir pour exciter au mieux sa magnifique partenaire. Elle ne couchait pas avec n’importe qui, mais avec la Championne de Sha, avec une femme qui aurait tout à fait eu sa place dans le culte de Lust… Sha était juste tombée sur elle plus vite, mais Daphnée ne désespérait pas de lui offrir un moyen détourné de se rapprocher de son culte… En faisant d’elle une sorte d’ambassadrice lors de sa grossesse, par exemple ? Les idées ne manquaient pas, et, sous l’effet du plaisir sexuel, l’imagination de Daphnée se développait, enflant, sur le point d’exploser.

La Grande Prêtresse continuait à pénétrer la jeune femme, à soupirer, à gémir, et, au bout d’une vingtaine de minutes, elle finit par jouir en elle, jouissant longuement et généreusement, comme à son habitude. Son long membre écartelait Kiriko, la pilonnant de l’intérieur, et ses coups de reins étaient alors de plus en plus forts, ardents et violents. Daphnée s’abandonna en elle en soupirant, puis se retira. Son sperme glissa le long des cuisses de Kiriko… Qui avait hérité de deux longs gants noirs en cuir remontant jusqu’à ses avant-bras.

Daphnée, un sourire sur les lèvres, remonta ensuite sa fermeture Éclair.

« Et voilà, ma belle… Tu as ma semence en toi, et tes gants… Qu’en penses-tu, Sya ? Ne ferait-elle pas une merveilleuse dominatrice, notre Kiriko ? Je la vois tellement bien fouetter le cul de nos novices… »

Daphnée ne s’était pas trompée sur les mensurations de Kiriko.

Cette robe lui allait extrêmement bien, tout en moulant son cul à la perfection.
« Modifié: dimanche 30 novembre 2014, 12:09:17 par Sha »
DC d’Alice Korvander.

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Kiriko Hattori

Humain(e)

Re : Les Douze Épreuves de Kiriko [Kiriko Hattori]

Réponse 339 dimanche 30 novembre 2014, 21:08:28

Kiriko était une femme qui savait ce qu'elle voulait alors forcément, quand quelque chose ne lui plaisait pas ou bien qu'il manquait quelque chose, elle n'hésitait pas à le faire remarquer, sauf à sa Déesse. Alors Daphnée pouvait profiter du fait que la Celkhane utilisait la manière douce car son rôle de grande prêtresse, elle s'en fichait un peu beaucoup. Mais cette dernière n'avait pas à se plaindre et profitait même rapidement de la situation en venant se coller à elle, venant même prendre rapidement le rôle de la dominante. À croire que ce qui se trouvait entre ses jambes en faisait forcément une dominante.

« Pas vraiment un caprice, plutôt un ordre! »

Elle avait de la chance qu'elle reste si gentille sinon Daphnée aurait pû goutter à une Kiriko un peu plus sauvage. Ce n'est pas parce qu'elle faisait face à une futa qu'elle allait s'adoucir, seule Sha par sa simple présence faisait de cette tigresse un adorable chaton. Les autres, ils peuvent se brosser! Elle ouvrit sa robe en deux avant de rapidement loger sa queue en elle, bien au chaud en voulant sa semence. Ha oui, ce miroir qui voulait toujours plus de sexe pour payer. Très bien, si c'est le prix à payer, elle n'avait pas tellement le choix après tout. Son sourire voulait déjà la prendre de haut mais elle n'avait pas trop le choix, ses jambes s'enroulaient autour d'elle, commençant cette nouvelle chevauchée sauvage sous les yeux de Sya, dans son coin qui n'en perdait pas une miette même si elle se faisait toute petite depuis tout à l'heure. La Celkhane avait ses jambes autour d'elle, la laissant la pénétrer alors que la sorcière venait l'embrasser voracement, dévorant ce baiser en se plaquant contre elle. Vu leur position, elle dépassait un peu la prêtresse en taille mais quand le baiser cessait, elle plaquait le visage de cette belle femme entre ses seins. Un petit cadeau de la maison.

Daphnée s'abandonna au plaisir entre les jambes de Kiriko avant de la relâcher, son butin étant déjà sur ses mains. Bien, sa tenue était complète à présent. Elle n'oubliait pas de féliciter une fois de plus la Celkhane en venant même demander l'avis de Sya qui semblait avoir profité du spectacles vu les traces humides autour d'elle.

« Oh oui mais pas que de nos novices... J'aimerais bien qu'elle me punisse... »
« Du calme toi, ma priorité reste ma Déesse. Mais vu que nous devons passer un peu de temps ici, rien n'empêchera de s'amuser encore. Et a toi de te punir. J'ai jamais pu saquer les filles trop soumises comme toi alors je me ferais une joie de te fouetter le cul! »
« Au plaisir alors. »
« Merci de ton aide Daphnée. Je pense retourner dans la chambre, finir de me reposer un peu et on verra demain avec Sha à quoi on va jouer ou se préparer peut-être? On se reverra très bientôt de toute façon... »


Elle lui caressa le visage en souriant avec ses gants avant de revenir lentement dans sa chambre. Elle n'avait eu aucun mal à retrouver son chemin et se fit très discrète en poussant la porte de sa chambre. Luxuria avait profité de l'absence de Kiriko pour se coller à Sha, même si c'était dans son dos. Elle restait en partie sa mère à elle aussi. Kiriko retira soigneusement sa tenue, c'était plus long que d'habitude! Pas besoin de code vocal pour que ça tombe au sol.... Elle rangea le tout soigneusement dans le placard avec la robe qui se voyait vu le blanc éclatant de cette robe de mariée. Demain, elle verra son petit effet. Elle retourna dans le lit en se glissant contre sa déesse, retrouvant son odeur appaisante, son corps de rêve, la Déesse de sa vie...

Bien que sa nuit fut légèrement agitée en rendant visite à quelqu'un Kiriko fut la première à se réveiller, Sha comme Luxuria dormait toujours. Elle profita de cette chance pour rester encore un peu contre Sha, venant caresser sa hanche comme si c'était un bon gros chat. C'était si doux et agréable, comme pour la déesse surement? Elle était vraiment amoureuse de sa sauveuse, de sa divinité... Mais elle n'avait aucun problème avec ça après tout. La voyant toujours dormir paisiblement, elle se glissa pratiquement en dehors du lit pour venir lécher avec douceur ses lèvres intimes. Elle profitait du moment qu'elle était vraiment femme pour ce petit réveil en douceur. La partie supérieure de son corps était sur le lit avec que ses genoux étaient eux, sur le sol.

Sha

Dieu

Re : Les Douze Épreuves de Kiriko [Kiriko Hattori]

Réponse 340 mercredi 03 décembre 2014, 01:43:42

Jouir en Kiriko, encore et encore, avait été, pour Daphnée, un plaisir immense. Elle la libérait donc, car elle savait que Kiriko était une sorcière fidèle, une cultiste obéissante et aimant sa Déesse. Il fallait donc qu’elle soit près d’elle, qu’elle dorme contre elle. Daphnée le comprenait, car elle ressentait la même chose les rares fois où la Déesse Lust honorait ce temple par sa présence. Sans surprise, Sya en avait profité, espérant obtenir une nuit intense avec Kiriko, mais la Celkhane, têtue et fière, avait d’autres impératifs. Elle délaissa donc les deux femmes, retrouvant son chemin le long du temple de Lust, afin de retrouver son amour. Restée seule avec Sya, Daphnée regarda brièvement le miroir, en caressant le reflet. Non… Ce n’était pas encore fini avec Kiriko. Elle comptait bien profiter encore un peu de cette Celkhane, surtout si elle et sa Déesse étaient appelées à séjourner ici durant la durée des Épreuves. Kiriko était forte, et, même si ses adversaires étaient forts, Daphnée était confiante en elle. Il était peut-être bien possible que cette femme finisse par réussir, et par vaincre tous ses adversaires.

*Oui, c’est une hypothèse qui m’apparaît comme étant de plus en plus sérieuse… Elle a réchappé à Rose Red, après tout.*

Daphnée reporta alors son attention sur Sya, et un sourire vicieux éclaira les lèvres de Daphnée. Sa verge, trempée, était toujours dressée.

« Ne t’inquiète pas, Sya, je pense que je saurais faire un lot de consolation tout à fait satisfaisant pour la petite pute que tu es… »

La nuit était peut-être finie pour Kiriko… Mais elle ne l’était pas encore pour Daphnée. Loin de là, même.



« Elle a réussi… Elle a survécu à Rose Red !
 -  Nous avons sous-estimé la puissance de cette femme. Une erreur qu’il ne faudra pas renouveler. »

Dans les sinistres catacombes de Wallündrill, sous les profondeurs de la montagne, les deux hommes avançaient. Rien ne semblait pouvoir stopper cette maudite Celkhane, cette arrogante sorcière. Jiphiera avait échoué, et leur nouvel élu venait également de subir la juste rétribution pour son incompétence. Nurgle ne tolérait pas la faiblesse. Il était incompréhensible que la sorcière ait réussi à s’enfuir, qu’elle ait réussi à vaincre le sortilège pesant sur Rose Red. Les choses avaient échappé à leur contrôle. Tzezakyël, leur champion, avait été influencé par l’aura néfaste de Rose Red, et, plutôt que de s’allier avec Ulkair pour vaincre la Sorcière, il avait choisi de se heurter à lui, de remplacer le Gardien de Rose Red, de s’accaparer ce pouvoir.

Nurgle était mécontent. Ses deux champions s’étaient battus entre eux, offrant à la Succube l’opportunité de sauver la Sorcière, et à Sha l’occasion d’intervenir en personne, profitant du tumulte pour affronter Ulkair. Un affrontement colossal. Tzezakyël avait réussi à s’enfuir, mortellement blessé, et l’Ombre avait vaincu Ulkair, puis libéré April. Rose Red avait été détruite, et Nurgle avait fait souffrir ses prêtres. Tzezakyël avait été tué, et son âme était maintenant entre les grasses mains de Nurgle, tandis que les prêtres avaient également souffert. Le fait qu’ils soient encore en vie signifiait toutefois que Nurgle n’en avait pas encore fini avec eux, et qu’il comptait sur eux, malgré leur incompétence chronique, pour accomplir une tâche relativement simple : tuer la Sorcière.

« Il est impératif que la Sorcière ne gagne pas… Le pouvoir de tous ses croyants pourrait permettre à l’Ombre de retrouver son ancienne puissance, et ses souvenirs !
 -  Elle aurait dû mourir ! Quelle Épreuve lui mettre, si elle a survécu à Rose Red ?! Elle a survécu à notre Dieu ! »

Le prêtre se retourna vers son collègue, fronçant les sourcils… Était-ce de l’insubordination envers Nurgle qu’il devinait dans ses propos ? Cependant, il pouvait comprendre ses hésitations… Rose Red était marquée de l’empreinte de leur Maître, de leur Dieu. Or, Hattori en avait réchappé. Sha était soutenue par d’autres divinités, comme Lust, ce qui faisait que l’attaquer serait difficile. Le temple de Lust était bien protégé, mais les prêtres réfléchissaient très sérieusement à la perspective d’une attaque dans le temple.

Leurs pas cadencés résonnaient le long des sinistres et étroits boyaux et corridors faisant office de couloirs. Ils avançaient le long de tranchées bétonnées, êtres nimbés de noir dans une atmosphère sombre et putride. Les cadavres de Wallündrill s’empilaient ici, ainsi que les ruines de l’ancienne cité. L’histoire de cette cité libre et souveraine était riche, et la ville, par sa position de carrefour commercial, avait déjà engrangé bien des épidémies, ou bien des révoltes, des tentatives de putsch menées par des familles contre d’autres familles. Les sous-sols de la ville illustraient cet état de fait. Les cadavres avaient été balancés dans de profonds puits, et avaient rebondi contre les murs pour atterrir dans ces lointaines et poussiéreuses grottes, où peu de gens se rendaient. Là, les monstres se nourrissaient de leurs cadavres : goules, graveirs, noyeurs… Un écosystème pullulait ici, un écosystème fait de souffrance, de misère, et de puanteurs asphyxiantes. À leur approche, les goules fuyaient, les noctules restaient dans l’ombre, et les noyeurs grognaient en partant.

« Pour l’heure, il nous faut un nouveau Prophète… Et, dans son immense générosité, Nurgle a consenti à nous offrir un nouveau candidat.
 -  Nurgle en personne ?
 -  Après l’échec de Jiphiera et de Tzezakyël, Nurgle pense que l’Orbe sera mieux entre les mains d’un champion qu’il a sélectionné lui-même. »

L’autre ne répondit pas, mais le prêtre sentit les doutes peser dans son esprit, ce qui l’énerva. Remettre en doute la justesse de Nurgle était une faute grave, un péché. Dans leurs prières, dans leurs rêves et leurs délires enfiévrés résultant des scarifications et des mutilations qu’ils s’étaient infligés pour pouvoir se racheter auprès de Nurgle, ils avaient entendu la voix courroucée de ce dernier, leur disant où trouver leur nouveau guide. Les deux prêtres allaient donc le voir, afin de lui transmettre l’Orbe.

Ils descendirent d’étroites marches en colimaçon, et commencèrent à voir les cadavres. Le Champion était là depuis plusieurs heures, et s’amusait avec les monstres. Il avait massacré de multiples noyeurs, ainsi que de redoutables goules… Le tout sans aucune arme. Des traces de sang éclaboussaient les murs, le sol, le plafond… Un être puissant, fait de rage,e t, alors qu’ils marchaient, ils purent entendre des bruits, des sons diffus venant de loin. Des chocs sourds.

« Il est par là… »

Les deux hommes s’avancèrent un peu plus, et entendirent un choc violent. Un homme passa au travers d’un mur, atterrissant dans une salle devant eux. Il était nu, ensanglanté, son corps traversé de son sang et de celui de ses ennemis. Un massif graveir apparut par le mur défoncé, et son poing fila vers la tête du Champion, qui l’évita en roulant sur le côté. Le graveir, massif, faisant deux mètres de haut, se retourna, et tenta de fracasser le crâne de l’homme. Le Champion, vif comme un serpent, bondit entre ses jambes, puis se releva dans son dos. Il tenait entre ses doigts ensanglantés un silex tranchant, et frappa avec la jambe du graveir, le forçant à plier le genou en hurlant.

Sans attendre plus longtemps, le Champion tenta de contourner son ennemi, mais ce dernier réussit à attraper son cou entre ses deux mains, et le plaqua violemment contre le mur, l’étouffant. Les deux prêtres, prudents, choisirent de ne pas intervenir, afin de voir si cet homme était aussi doué que ce que Nurgle prétendait. Ils le virent se tortiller contre le monstre, et ses deux mains se posèrent sur le visage de la bête… Puis ses pouces s’enfoncèrent dans ses yeux. Le graveir hurla en se reculant, portant sa main à ses yeux. Le Champion tomba sur le sol, n’attendit pas plus longtemps, et bondit en hauteur, puis enfonça son silex dans l’un des yeux du monstre. On put entendre un bruit visqueux d’éclatement quand la pierre polie s’enfonça dans l’orbite du monstre, et ce dernier hurla à la mort, avant de s’enfuir. L’homme aurait pu le poursuivre, mais il tourna sa tête vers les deux prêtres.

« Champion de Nurgle, entama l’un des prêtres, je te prie de bien vouloir récupérer cette Orbe… »

Le prêtre sortit de ses longs doigts salis et griffus un orbe noir. Si l’homme était un usurpateur, l’Orbe le détruirait. Après quelques secondes d’observation, l’individu, au visage méconnaissable, maculé par le sang, tendit sa main, et attrapa l’Orbe… Qui se mit alors à luire, des volutes noires se mettant alors à danser autour de l’homme, avant de le frapper de plein fouet.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!! »

Il se mit à hurler de douleur, mais l’orbe s’enfonçait dans sa paume. Ses veines furent traversées par un liquide noir, visqueux et dangereux, et ses pupilles se mirent alors à luire, se recouvrant pendant quelques secondes d’un noir immaculé… Puis la transformation fut achevée, et celui que les compétiteurs appelaient l’Étranger se reforma sous les yeux ravis des prêtres.

« Parfait…
 -  Il est temps pour toi d’accomplir la Volonté de Nurgle, ô Champion…
 -  Oui… Tu as raison, Prêtre. Nurgle a un message pour vous. »

Mirmirion tendit alors sa main, et le bâton magique, au sommet duquel se trouvait l’orbe de magie noire, s’illumina, puis répandit dans la pièce d’intenses flammes noires aveuglantes. Les prêtres poussèrent des hurlements de douleur en sentant leur chair se ratatiner sur place, leurs yeux fondre dans leurs orbites, leurs vêtements disparaître… Puis il ne resta plus d’eux que des os brisés. Mirmirion les regarda sans rien dire, puis s’avança. La mort aidait à changer de perspective, et la possibilité de se venger de Kiriko, de cette salope de sorcière, était suffisamment tentante pour que Mirmirion voue son âme à Nurgle.

Il tenait enfin sa vengeance, et il comptait bien briser en mille morceaux cette maudite femme qui avait osé le tuer.



« …Quant aux sorcières, toutes les punitions que l’on peut leur infliger en les brûlant à petit feu ne sont pas grand-chose, et moins douloureuses que les tourments que Satan leur a fait endurer sur cette terre, sans même parler de l’agonie éternelle qui les attend en Enfer…
 -  Brûlez la Catin ! Brûlez les Salopes !
 -  Sorcières ! Sorcières ! »

Par-delà les clameurs et les vivats de la foule en furie, la voix de l’Inquisiteur résonnait, une voix de stentor, forte et audible, tandis que les flammes du bûcher commençaient à s’animer.

« Cette phrase vient de Jean Bodin lui-même ! Un jurisconsulte, chargé de faire respecter la loi ! Le jugement de Dieu rejoint celui de l’Homme, ainsi que le préconise les Saintes Écritures ! Aucun mot n’est assez fort pour décrire la corruption qui hante les cœurs de ces pécheresses.
 -  L’Église a les mains propres, ce bûcher est du ressort des autorités séculières » intervint, assis sur sa chaise, le prêtre, gras et ventripotent.

Le comte, qui avait présidé lui-même la séance du jugement, hocha lentement la tête. L’Inquisition avait désigné les coupables, trois femmes qui avaient été accusées de sorcellerie. Le procès avait eu lieu séance tenante, attirant la foule de ce pauvre village marqué par des hivers rugueux et par des attaques de loups. Les témoignages des fermiers sur leurs enfants déchiquetés par les loups venant de la forêt avaient achevé de sceller le procès. Ces trois femmes vivaient comme herboristes dans la forêt, prétendant guérir les gens, tout en appliquant des médecines païennes et proscrites. Elles vendaient leurs corps aux démons, elles commandaient aux loups et aux rats. L’Inquisiteur les avait capturés, et il se chargeait maintenant de l’exécution de la peine. Le comte restait relativement silencieux. Trois femmes pour sauver tout un troupeau, ce n’était pas cher payé… De plus, l’une de ces femmes était l’héritière d’un marchand qui avait été tué par la grippe… Un autre élément à charge dans le dossier. Les médecins faisant office d’expert avaient attesté de la nocivité des potions utilisées par ces femmes. La fille avait empoisonné son père, et elle mourrait sans héritier. Le bébé en gestation dans son ventre n’était pas encore né, et mourrait avec elle. Le comte était donc heureux : faute d’un héritier légal, les biens de la femme deviendraient rex nullius, et entreraient alors dans le patrimoine du seigneur.

« Menteur ! hurla l’une des femmes, en larmes, en s’adressant au prêtre.. Vous aviez promis de m’épargner, de plaider en ma faveur, si je couchais avec vous !
 -  Grotesque accusation, pécheresse !  Je n’ai examiné ton corps que pour y trouver les traces de l’Infâmie, les traces de la Souillure !
 -  Vous avez été reconnue coupable par la Très Sainte Église, par le Comte d’Ambroisie, du péché de fornication, du péché d’empoisonnement, du péché de malice, d’association avec le Malin ! Votre attitude est une offense aux enseignements du Christ, une atteinte à son Sacrifice ! La colère de Dieu s’est abattue sur cette communauté faite de bons croyants ! Vous recevrez votre juste châtiment ! Le feu purifiera vos âmes éternelles de la putréfaction et de la moisissure de vos corps ! Car mes enfants, je vous le dis : l’âme éternelle, fournie par Notre Seigneur, éternellement blanche, sera ! Mais le corps… Le corps vieillit, le corps se fane ! Voyez ces femmes ! Voyez leur Haine ! »

L’Inquisiteur brandissait sa croix de marbre et de dorures dorées vers elles. L’une des trois sorcières, la plus véhémente, cracha dessus. Une pomme pourrie s’abattit sur le visage de l’une des trois femmes.

« Tu parles avec la langue fourchue du Serpent, Démon ! Ton œuvre infâme ne sert que tes propres intérêts ! Et vous, pauvres crédules, vous vous damnez en suivant les ordres de ce dément qui vous ment !
 -  Pute !
 -  À mort la Traînée ! À mort les Salopes et les Sodomites !
 -  Le royaume de France n’est pas le royaume de Gomorrhe !
 -  Brûlez les catins ! offrez-leur la Rédemption ! »

Les flammes se mirent à danser, et les femmes commencèrent à hurler. Le comte restait silencieux, le prêtre souriait, et le bourreau restait placide derrière son masque noir. Le feu ratatinait le corps, les léchait, les faisait souffrir comme jamais elle n’avait souffert. Dans la nuit noire, dans les flammes grimaçantes dissimulant des sourires hideux, le peuple hurlait, balançant ses fruits pourris. Au milieu de cela, une femme encapuchonnée retenait à grand-peine ses larmes, sa rage annihilée derrière sa souffrance et son impuissance.

« Sha ! hurlèrent-elles alors. Sha ! Sha ! Sha ! À jamais nous te resterons fidèles !
 -  Même dans la Mort, elles continuent à vénérer les Idoles ! éructait l’Inquisiteur.
 -  La Mort ?! rugit l’une des femmes. Démon ! Haaaa !! Elle n’a pas le pouvoir de détruire l’âme immortelle, créature aux dents pointues ! Sha ! Pardonne-nous pour notre faiblesse !
 -  Silence, Catin ! Silence, Salope ! Souffre pour tes péchés ! »

Les flammes dansaient sur son corps, mais la sorcière se contenta de secouer la tête. Son corps était en train de se calciner, tandis que les hurlements de souffrance de ses deux sœurs se transformaient en borborygmes.

« La Mort n’a pas le pouvoir de détruire l’âme immortelle, qui, lorsque son corps du moment retourne à la terre, cherche un nouveau domicile… Et, avec une force inchangée, offre à une autre enveloppe vie et lumière. »

Le comte reconnut les vers d’Ovide, et l’Inquisiteur continuait à hurler, comme un fanatique possédé, ses yeux illuminés de folie. Et Sha, elle, se recula prudemment, le cœur percé de mille flèches, impuissante face à ce spectacle horrible, et convaincue que les hurlements de douleur de ses sorcières la traqueraient à jamais.


*
*  *

Les yeux de Sha s’ouvrirent brusquement, et elle se redressa de même, repoussant sans le vouloir Kiriko. Sha cligna des yeux à plusieurs reprises. Le souffle des flammes, la braise sur ses cheveux… Tout avait semblé si réel, si perceptible, si… Si vrai. Elle tremblait, et vit que sa main s’agitait dans tous les sens. Elle secoua la tête, et passa sa main sur son front, laissant à son esprit le temps de se reconstituer, de revenir à lui. Elle n’était pas dans le royaume de France, elle n’était pas à l’aube du 17ème siècle, mais sur Terra, à Wallündrill…

*Ce souvenir… Je ne l’avais jamais vu auparavant. Est-ce que ma mémoire serait en train de revenir ?*

Sha avait été bannie à cette époque… Mais elle avait oublié les raisons précises de son bannissement. Pourquoi ce souvenir ? Pourquoi maintenant ? Elle se retourna lentement, et vit le corps de Kiriko, niché à côté du sien, et celui de Luxuria, qui dormait dans un coin du vaste lit.

« Kiriko… » soupira faiblement Sha.

Elle sentait le bonheur irradier à travers tout le corps de la Celkhane, ainsi qu’une virulente magie… Celle de Lust. Sha se pencha vers elle, et l’embrassa sur les lèvres.

« Je crois… Je crois que, grâce à toi, ma mémoire est en train de revenir. »
DC d’Alice Korvander.

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Kiriko Hattori

Humain(e)

Re : Les Douze Épreuves de Kiriko [Kiriko Hattori]

Réponse 341 dimanche 07 décembre 2014, 20:41:05

Après sa petite aventure dans la nuit, Kiriko comptait bien aller rejoindre sa Déesse en lui offrant son corps pour dormir. Ce qui fit le cas et elle profita d'être la première réveiller pour offrir un autre petit quelque chose à sa Déesse. Entre ses jambes, elle se faisait plaisir à embrasser ses délicieuses lèvres. Elle s'attendait à plusieurs genres de réveil, en douceur où elle laisserait faire Kiriko jusqu'à l'orgasme, elle viendra la prendre doucement pour lui faire l'amour où même se réveiller et la prendre violemment sur le lit car elle l'avait excitée. Mais la voir se réveiller en sursaut avec un tel traitement entre les jambes étaient assez étonnant mais en soi, Sha aussi avait le droit de faire de mauvais rêves? Même si avec sa langue, elle espérait ne pas lui filer la moindre mauvaise pensée. Sha semblait rapidement faire le point sur sa position actuelle avant de venir vers Kiriko l'embrasser en lui avouant qu'elle pensait retrouver la mémoire, grâce à elle! Kiriko avait un petit sourire entre la joie et la tristesse. Oui, elle savait que Sha avait certaines zones d'ombre dans ses souvenirs mais que cela voulait surement dire de mauvais souvenirs... Du moins, c'est comme ça que Kiriko voyait la chose. Cette zone d'ombre venait de la partie où son culte à le plus souffert. Volontaire ou non, son cerveau ne devait pas aimer cette partie-là.

Kiriko se rapprocha d'elle pour l'enlacer, posant sa tête sur sa poitrine en lui caressant les cheveux doucement. Elle ne savait pas tellement si elle devait prendre cela pour une bonne ou une mauvaise nouvelle? Apparemment bonne mais ne sait-on jamais? Elle l'avait peut-être embrassé pour se sentir rassuré?

« J'espère que ce n'était pas de mauvais souvenirs alors... Je ne souhaite que votre bonheur ma Déesse mais si je vous fais remonter à la surface  ou non, de mauvais souvenirs, j'en suis désolé... »

Elle venait l'embrasser une nouvelle fois, doucement en caressant sa joue en relâchant son étreinte. Cependant, elle tentait de rassurer un tant soit peu sa Déesse pour ne pas qu'elle se sente coupable – ou non? – de lui avoir parlé de la remontée de ses souvenirs.

« Mais que ce soit le cas où non, je ferais tout pour remplacer ses mauvais souvenirs par des meilleurs. Bientôt. »

Elle prit l'une de ses mains pour la placer sur son ventre. Il n'y avait pas encore de vie dedans mais dans quelques mois, son ventre ne fera que grossir. Sha avait beau être une Déesse noire, avouant ou non ses petites joies naturelles, tenir son bébé dans ses bras pour la première fois n'était pas un souvenir qui pouvait disparaître comme ça. Arya aura vraiment de la chance d'avoir une si grande maman. Sha ne lui avait pas dit puisque cela était récent mais quand elle a passé du moment avec Nausicaa et Jasmine, bien que son rôle de soit pas la déesse de la joie et la bonne humeur, elle avait dû être heureuse de passer du temps avec ses filles.

« Je ferais en sorte de remplacer vos mauvais souvenirs par de plus beaux mais je ne serais pas la seule à travailler là-dessus. Arya aussi fera tout pour que sa maman soit heureuse. »

Kiriko penchait doucement sa tête sur le côté en lui souriant tendrement. La douceur gnian gnian n'était pas quelque chose de commun entre elles, c'est vrai qu'avant cette histoire de bébé en guise de récompense, c'était encore plus rare. Mais depuis, Kiriko devenait un peu plus féminin, oubliant son rôle de simple épée pour Sha, devenant plus femme. Misha y était pour quelque chose? Peut-être ou non? En tout cas, la surprise attendra un peu, pour le moment, Kiriko tenait à réconforter sa future femme? Peut-être... La future mère de sa fille, c'est sûr!

Sha

Dieu

Re : Les Douze Épreuves de Kiriko [Kiriko Hattori]

Réponse 342 mardi 09 décembre 2014, 01:58:25

Ambroisie… Ce nom évoquait vaguement quelque chose en elle, quelque chose de terrifiant et de redoutable… Comme une menace lointaine et ancestrale. Tandis que Kiriko se blottissait contre elle, Sha répondait présente, mais son esprit était ailleurs. Les flammes, l’odeur insoutenable de la chair en train de calciner… Ses sorcières, en train d’être traquées et massacrées, en même temps que quantité d’autres femmes, lors de la fameuse chasse aux sorcières. Une période qui, sur Terre, avait duré plusieurs siècles, et pendant laquelle des milliers de femmes avaient été brûlées, généralement pour des prétextes fallacieux. Un ensemble de carnages et de massacres dont le véritable objectif avait été de détruire Sha, de briser son culte. Les souvenirs lui revenaient partiellement, et elle pensait que les succès de Kiriko dans cette arène y étaient liés. Plus Kiriko gagnait, et plus le pouvoir de Sha augmentait, lui offrant ainsi la perspective de retrouver, un jour ou l’autre, ses souvenirs, son ancienne existence, sa mémoire… Et découvrir qui avait ainsi choisi de détruire son culte, et qui l’avait scellé. Ambroisie… Le comte d’Ambroisie… Sha ne saurait dire en quoi, mais elle était convaincue que ce comte avait participé à son bannissement. Il fallait qu’elle en apprenne le plus, et le meilleur moyen de le faire était encore d’aider Kiriko à réussir avec brio toutes ses épreuves.

La sorcière celkhane, nerveuse à l’idée d’avoir pu heurter sa Déesse, lui rappela qu’elle lui offrirait bientôt un enfant. Sha sortit alors de ses pensées en la regardant. Avant de se réveiller, elle avait le minou léché par Kiriko… Une bien délicieuse attention, témoignant, non seulement de tout l’amour que la Celkhane lui vouait, mais aussi de l’atmosphère du temple de Lust, qui influait sur les pensées de Kiriko, la rendant beaucoup plus perverse… Ce qui n’était pas peu dire, connaissant déjà son haut niveau de perversion. La pensée de Lust irradiait dans ses lieux de culte, et c’était une pensée très perverse, très vicieuse, qui ne demandait que du sexe, et rien de plus que du sexe.

« Oui… Arya… Tu as raison, Kiriko… Il faut penser à notre futur, à ton bébé… À notre bébé. Arya sera une grande sorcière… »

Une raison supplémentaire de la protéger. Elle ne pouvait pas mentir à Kiriko. Sha se pencha vers elle, et l’embrassa sur les lèvres, puis resta dans le lit, la Celkhane devant elle, Luxuria à côté, en train de dormir paisiblement. Kiriko avait visiblement peu dormi, et Sha pouvait sentir la Luxure sur son corps… Ainsi que la magie de Lust. Elle avait probablement dû passer une partie de la nuit ailleurs, occupée à faire on ne sait quoi… Même si Sha avait une petite idée. Sa main vint caresser la joue de Kiriko, et elle l’avança, venant agripper ses cheveux, amenant Kiriko contre elle. Les deux femmes tombèrent à la renverse, s’allongeant ensemble dans le lit. L’intimité de l’Ombre était ruisselante de cyprine, une conséquence du léchage de Kiriko. Elle retourna Kiriko, l’installant contre son corps, dos au matelas, et l’embrassa tendrement, généreusement.

Du baiser, Sha passa à un réveil un peu plus musclé. Kiriko l’avait excité doucement, et ce plaisir était en train de refaire surface. Autrement dit, une verge pointa rapidement, et Sha s’élança dans un coït, pénétrant sa Celkhane adorée, enfonçant sa verge en elle, et se mettant à remuer son corps d’avant en arrière, longuement, profondément. Son corps remuait d’avant en arrière, longuement, et l’Ombre soupirait, lentement, gémissant.

« Hunnn… Hmmmm… »

Elle continuait à la prendre, longuement, passionnément, soulevant et abaissant son corps contre elle, se délectant de ce corps tendre, chaud, doux, de ces formes langoureux et magiques. Cette femme était d’une grande beauté. La prendre ainsi avait quelque chose de magique, et l’Ombre se faisait plaisir, remuant d’avant en arrière, profondément. Il s’écoula ainsi quelques minutes, quelques rapides minutes, jusqu’à ce que Sha finisse par jouir, s’abandonnant en elle.

« Haaaa… Kiriko, hummmm… !! »

Oh, que c’était bon ! Sha soupira longuement, puis resta contre le corps de la femme, embrassant sa peau, alternant entre ses lèvres et son cou, mordillant doucement sa peau.

« J’ai revu le passé, Kiriko… Ceux qui m’ont scellé… Plus tu réussiras tes Épreuves, et plus je serais en mesure de me rappeler ce qui m’est arrivé… Et pouvoir enfin me venger de ceux qui m’ont détruit, et qui ont brisé ma culte. Et tout ça, Kiriko, ce sera grâce à toi… Grâce à toi, mon amour… »

C’était bien la preuve que Kiriko, même si elle ne servait pas de ses pouvoirs magiques, restait fondamentalement une sorcière.
DC d’Alice Korvander.

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Kiriko Hattori

Humain(e)

Re : Les Douze Épreuves de Kiriko [Kiriko Hattori]

Réponse 343 dimanche 14 décembre 2014, 21:11:15

Elle s'en voulait. Elle présentait que c'était sa faute, cette histoire de passer retrouver. Si encore ce serait de beaux souvenirs comme des instants passé avec Misha et leurs filles, ce serait des souvenir nostalgiques qui, tôt ou tard, Kiriko parviendra à recréer ici mais si c'était des souvenirs de son passé oublié, de douloureux souvenir... Elle n'aime pas cela. Mais heureusement, ses mots avaient su tirer Sha de ses pensées et l'idée de leur future petite sorcière réveilla bien des choses en sa Déesse qui venait embrasser Kiriko et à nouveau lui prouver combien elle l'aimait tant. Allongée sur elle, sa verge ne tardait pas à pointer le bout de son nez pour la pénétrer, oubliant peu à peu cette drôle d'atmosphère pour lui montrer combien elle était heureuse. Kiriko aussi se sentait revivre par ce simple fait de refaire l'amour avec sa Déesse, elle s'abandonnait bien rapidement à elle, venant enlacer sa Déesse en gémissant doucement. Ses assauts devenaient de plus en plus normaux – c'est-à-dire plutôt sauvages – et la sorcière se sentait si bien, Kiriko savait apaisé sa Déesse mais l'inverse était aussi possible.

« Haaan ouiii Shaaaa... plus fort... haaa... »

Terminant leur petite aventure, Sha déversa en elle cette semence qui savait apaiser la sorcière, laissant le plaisir l'emporter avec leur orgasme, se laissant embrasser par la Déesse des sorcières. La Celkhane restait contre elle, amoureuse transie de sa sauveuse. Une union retrouver après tant de siècles. Elle l'écoutait parler de son passé, voulant se venger de ceux ou celles qui l'ont fait souffrir de bien des façons. C'est fou ça mais Sha était toujours aussi belle quand elle se faisait menaçante. Restant contre elle, elle caressait son corps si délicieux en l'écoutant avant de relever la tête vers elle.

« Je t'ai toujours trouvé si ravissante et excitante quand tu te fais menaçante. Reste allongé Sha, laisse-moi m'occuper de toi... »

Se redressant, Kiriko restait sur le lit en allant chevaucher sa Déesse, elle s'inséra une fois encore sur elle en gardant ce grand sourire, poussant un petit soupir de plaisir en venant plaquer ses mains près de ses hanches de rêves. Tenant bien ses hanches entre ses mains, elle allait faire atteindre l'orgasme à Sha, sans qu'elle n'ait besoin de se fatiguer. Ses bras le long du corps ne faisaient que grossir sa poitrine, même légèrement alors qu'elle commençait ses vas et vient.

« Haaa, détends-toi Sha... Laisse-moi faire... »

Petit à petit, la Celkhane chevauchait sa Déesse de plus en plus rapidement, ne faisant qu’augmenter son plaisir ainsi que celui de Sha. Sa poitrine remuant de plus en plus à ses assauts, la jolie sorcière se dandinait sur sa queue, espérant l'emmener bien rapidement aux portes de l'orgasme.

« Humm... jamais je pourrais mh, me lasser de ta si belle queue ! »

Kiriko ne faisait que gémir, réveillant doucement Luxuria en même temps, elle savourait cette union, elles étaient liées, elle et sa Déesse que par sa queue, elles ne faisaient qu'une pour le moment. La bouche ouverte, elle sortait un peu sa langue pour donner une ravissante vision à sa Déesse. Plus tard dans la journée, elle lui montrera ses deux belles tenues, peut-être d'abord la marier ? Ou la tenue de cuir ? Elle verra selon l'humeur de Sha et l'ambiance autour d'elles.

Sha

Dieu

Re : Les Douze Épreuves de Kiriko [Kiriko Hattori]

Réponse 344 mardi 16 décembre 2014, 02:20:59

Sha n’avait pas peur des visions du passé, et, même si elle comprenait que Kiriko puisse se sentir coupable à l’idée de faire revivre à l’Ombre des moments douloureux de son passé, il n’en était en réalité rien. Sha le lui avait prouvé en la pénétrant. C’était même tout le contraire. Les souvenirs bienheureux ne l’aideraient pas à comprendre quel antique sortilège avait été utilisé auparavant pour la sceller, et qui avait fait ça. Or, ces souvenirs étaient d’actualité, car Sha avait l’intime conviction que le passé n’était pas enterré. Oui, elle était convaincue que les anciens adversaires allaient, un jour ou l’autre, refaire surface, et que la menace n’en serait que plus vive encore. Il était donc important de se souvenir du passé, et, si Kiriko pouvait l’aider, alors c’était clairement le signe que les deux femmes étaient liées. Un lien étrange, mais, après tout, le lien divin était lui-même étrange. Toutes les hypothèses se multipliaient en ce moment dans la tête de Sha, des plus rationnelles aux plus farfelues, mais ces idées disparurent peu à peu quand Kiriko, baignant dans l’atmosphère de Lust, s’évertua à lui faire plaisir.

Elle retourna Sha, la mettant sur le dos, et s’empala alors sur elle. Sha soupira en sentant sa verge disparaître dans le corps de la Celkhane. La femme se mit à remuer sur elle, tendrement, longuement, soupirant et gémissant, encourageant sa Déesse à se laisser faire, à laisser la femme lui faire plaisir. Les minutes passèrent ainsi, les mains de Sha caressant les hanches de la femme. Elle-même se laissa plonger dans les vapeurs du charme divin et sensuel de Lust. Kiriko était une femme magnifique, une femme au corps parfait, envoûtant et magique. Ses formes parfaites, la manière dont elle dansait sur elle... C’était un spectacle féérique, un spectacle rappelant à Sha à quel point le sexe était une chose importante. Il y avait tant de choses et tant de points positifs à dire sur le sexe... Les sorcières avaient toujours eu une vue positive sur les rapports sexuels, ce que les sabbats expliquaient très bien. Outre le simple plaisir charnel, le sexe dégageait aussi une intense énergie, qui servait de base à la magie rose, et qui, en soi, constituait une impressionnante réserve magique. Trop souvent, on négligeait la magie rose, la rabaissant au statut de simple tour visant à rendre les relations sexuelles plus importantes, mais la magie rose était tellement plus que ça... Et la magie rose pulsait dans ce temple, et excitait Kiriko, la rendant beaucoup plus perverse, et beaucoup plus difficile à fatiguer... Ce qui n’était pas peu dire, au vu des résistances exceptionnelles dont Kiriko faisait déjà preuve.

« Kiriko, haaan... Tu es si belle, si belle... Continue, ma belle, continue ! Oh ouii ! »

Sha exultait, et ses mains se crispèrent sur les fesses de la femme, les empoignant tendrement. Elle les malaxa ensuite fermement, écartant chacune de ses fesses, les pétrissant. Leurs ébats achevèrent de réveiller Luxuria, qui était couchée sur le flanc, et arqua un sourire mielleux sur ses lèvres, avant de se pourlécher les babines.

« Et bien... Quel fabuleux réveil est-ce que vous m’offrez, mes chéries... »

Elle sourit, sentant sur le corps de Kiriko l’odeur de la Grande Prêtresse. Kiriko avait visiblement été voir Daphnée cette nuit, et il y avait toujours des effets secondaires après une rencontre avec Daphnée. Une vieille légende, qui faisait office de rumeur, prétendait que les Grandes Prêtresses des temples recevaient une partie du sang de Lust, ce qui leur conférait des capacités partiellement divines. Oh, la rumeur disait qu’elles ne devenaient pas des Déesses, loin de là, mais qu’elles dégageaient une sorte d’aura sexuelle, devenant alors des transmetteurs de Luxure, étant ainsi l’âme et le cœur de chaque temple. Bien entendu, ce n’était qu’une théorie, sans aucun fondement scientifique, mais Luxuria l’aimait bien.

L’Homoncule se redressa lentement, ses cheveux se coiffant tout seuls, et elle embrassa le beau ventre de Kiriko, avant de remonter, se collant contre son flanc, sa propre main venant se glisser entre ses fesses, un doigt s’enfonçant rapidement dans le fondement de Kiriko.

« Tu as bien raison, ma Maman... Rien ne vaut mieux qu’une petite partie de jambes en l’air pour se réveiller du bon pied... »

Elle lui mordilla le cou, puis son autre main attrapa la joue de Kiriko, l’amenant à tourner la tête, et permettant aux deux femmes de s’embrasser tendrement. Sa langue s’enfonça rapidement dans la bouche de Kiriko, et Luxuria soupira de plaisir, gémissant tout contre son corps, griffant ensuite son ventre, avec une tendresse infinie... Et un zeste de perversion.
DC d’Alice Korvander.

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