Un bain étrange... et une personne... taciturne [PV Ayumi Nasegawa]

Comme tous les samedis, Kaoru travaillait au Seikusu's Diner, un petit restaurant situé en face de la gare. Pour la jeune serveuse, la journée avait été épuisante: les commandes affluaient, et la jeune fille avait a peine eu le temps de se reposer. Mais elle aimait son travail, et son patron lui en était reconnaissant. Il lui avait laissé finir deux heures plus tôt, 18 heures eu lieu de 20, et Koaru savait ou elle allait passer les deux heures restantes. Elle avait décider de se rendre à la piscine municipale, pour ainsi prendre un bain et nager, pour évacuer la pression accumulée. Dés 18 heures, Koaru prit ses affaires, et partit du restaurant. Aprés avoir salué ses collègues de travail, et remercié son patron, d'une manière typiquement japonaise. Elle joignit les mains et se baissa pour le saluer, sa jupe se releva, découvrant sa culotte immaculée.
Ainsi, elle sortit dans la rue. Koaru était toujours en uniforme de serveuse, dans son sac se trouvait le maillot de bain qu'elle allait utiliser pour nager.

La piscine municipale de Seikusu se trouvait à  deux pas du restaurant. En arrivant devant l'imposant batîments, Koaru s'y engouffra. Une odeur de clhore emplit ses poumons et elle descendit les escaliers menant à la caisse. La caissière lui fit payer l'entrée et lui informa que le bassin était vide, et qu'elle serait la seule à nager. Koaru acqiesca, et pénetra dans le vestiaire des femmes.

Là, elle ne fût pas surprise de voir que les vestiaires était vide. Elle se plaça devant le casier 5676 et s'assis sur le banc derrière elle. Elle sortit son maillot de son sac, et s'enferma ensuite dans une cabine. Le maillot qu'elle avoit pris était un maillot typique de natation, un maillot une pièce. Le modèle de Koaru était peu être un peu trop échancré, et il moulait peut être un peu trop son corps voluptueux. On pourrait donc mieux distinguer les belles formes de son corps. Elle commença à se déshabiller et retira son uniforme de serveuse. Elle commença par retirer avec délicatesse les gants de tissus qui recouvrait tous ses avants-bras. Le tissu en soie lui caressa avec douceur la peau des bras.
Et de même pour ses collants noirs. Un léger frisson parcouru ses jambes: C'était tellement agréable...
Elle passa les mains derrière son dos, pour dégrafer son tablier blanc, et elle retira en suite sa robe une pièce, relativement trés courte.
Mais Kaoru ne savait pas qu'elle avait oubliée de fermer le verrou de sa cabine...
Et elle était à présent en sous vétements. Elle les enleva, culotte et soutien-gorge, pour ainsi se retrouver nue.
La journée de Kaoru avait été tellement éprouvante... Elle avait besoin de douceur. Elle se caressa les cuisses, et enfila son maillot. Elle eût à peine le temps d'y passer une jambe, que la porte s'ouvit brusquemment, puis se referma,tout aussi brusquemment...
Qui était-ce ??

Ayumi, comme tout les Jeudi, terminait les cours vers 17h30. Comme à son habitude, lorsque la sonnerie retentie, la jeune fille rangea rapidement ses affaires et se dépêcha de sortir hors de l'établissement, alors que ses camarades s'attendaient les uns les autres, pour rentrer ensemble en discutant sur le chemin. Mais elle n'avait pas besoin d'en faire de même, pour la simple et bonne raison qu'elle n'en avait aucun. Ayant toujours été seule dans son enfance, la lycéenne était habituée à ne parler à personne. D'autant plus que c'était dans son caractère. Elle était ainsi et presque personne n'y pouvait rien, à part sa famille, désormais en prison.

Il lui fallut un moment avant d'atteindre la piscine. Arrivée dans le hall, l'odeur du chlore lui sauta aux narine et, surtout, l'humidité ambiante lui fit tout de suite du bien. L'environnement de la piscine avait toujours réussie à l'apaiser et à la détendre, avant même d'entrer dans l'eau. A l'accueil, on lui indiqua qu'une jeune fille était arrivée peu avant elle et Ayumi lui répondit par un bref signe de tête en remerciement. Depuis le temps qu'elle fréquentait cet établissement, les propriétaire commençaient à bien la connaitre. Même si ils l'avaient très rarement entendu parler, il la connaissaient bien mieux que sa propre famille. Elle avait même son propre casier au vestiaire.

Lorsqu'elle y entra, justement, elle constata qu'effectivement, l'un des casier avait été très récemment utilisé, le 5676 plus précisément. Ayumi se rendit devant le sien, le 4823, avant de se rendre devant une cabine fermée à clef. Il devait sans doute s'agir de l'autre fille. Cependant, la responsable de l'accueil avait oubliée de mentionnée la cabine inutilisable pour le moment, n'en voyant pas l'intérêt. De ce fait, en ouvrant la cabine suivante, elle fut très surprise d'y découvrir une fille brune aux cheveux frisés, complétement nue. Sans s'attarder plus que ça et sans vraiment prêter attention à ses formes alléchantes, elle referma brusquement la porte et se précipita sur une autre cabine, s'enfermant à l'intérieur, le rouge aux joues.

- Qui était-ce ??

Fidèle à ses habitudes, elle ne donna aucune réponse et se contenta de se déshabillée pour mettre son maillot une pièce bleu, rouge de honte. Elle espérait bien se faire vite oublier et ne pas voir cette fille à l'entrée du bassin, l'attendre de pied ferme. Décidément, Ayumi avait bien du mal à communiquer avec les gens...

A moitiée nue, Kaoru vit la porte s'ouvrir, brusquement, et se fermer de même. Elle enfila rapidement son maillot bleu, inquiète: Il ne fallait pas qu'on l'ai vu comme cela.
Oh, et puis, elle s'en fichait: elle était dans le vestiaire des femmes, et de plus, elle était fière de son corps.
Elle sortit de la cabine. Les vestiaires était toujours vides; c'était sans doute un système de ventilation high-tec ou autres système moderne installés dans la piscine qui avait fait bougé la porte de sa cabine...
Elle rangea son uniforme soigneusement plié dans son casier et entra dans les douches. Koaru alluma l'eau, qui lui tomba dessus avec douceur. Le contact de l'eau chaude sur sa peau provoqua un nuage de buée.
Puis, Koaru sentit une présence dans le batîment. Il n'y avait pourtant personne...
Mais koaru chassa cette pensée de son esprit, car elle voulait se détendre pandant deux heures.