Même si ce n’est plus ma prof attitrée, la timidité et le manque d’assurance que je fais volontairement paraître, contraste avec l’expérience et l’assurance de la ma belle rousse, et le rapport reste toujours un peu le même. En en effet elle se fait pédagogue, rassurante, en réponse aux mots inquiets que j’ai lancé.
Je soupire lorsqu’elle extirpe mon membre de son antre chaude et humide, qui plus est avec la semence que je viens d’y délivrer. Puis elle revient m’étreindre et j’accueille ce corps sexy avec toujours la même délectation intérieure, tout en répondant aux baisers qu’elle me donne. Elle descend sa bouche le long de mon cou, et sa langue vient me faire frémir… Bon sang elle pourrait rendre fou de désir le plus chaste des hommes…
Hitomi-san… Jamais je ne pourrais regretter cette nuit avec vous. Jamais je ne pourrais avoir honte d’aimer une femme telle que vous.
Les fronts collés l’un à l’autre, nos regards se fixant, elle me déclare son amour de la plus belle des manières. Il n’y a aucun doute maintenant : Je la tiens.
Mes bras longilignes étreignent ce superbe corps, passant dans son dos pour aller saisir ses fesses et mieux la presser contre moi, pour sentir un peu plus sa poitrine contre mon torse.
Hitomi…
Mon souffle est brulant alors que ma verge reprend peu à peu sa vigueur, s’érigeant entre les cuisses de la prof’. Mes doigts arachnéens englobent la rondeur de ses fesses, mes caresses alternant entre pressions et étirements de sa peau. Ma bouche ne passe pas 10 secondes sans revenir trouver la sienne, et dans ce qui peut paraitre un sursaut d’excitation, pour le tout récent dépucelé que je suis censé être, je viens capturer entre mes lèvres le lobe de son oreille gauche. Je le suçote, le mordille, avant de murmurer avec une excitation qui fait s'envoler le vouvoiement :
Je veux tout découvrir avec toi Hitomi… Je veux te prendre dans toutes les positions, je veux t’aimer, te faire frémir…
A ces mots, je me redresse, Hitomi contrainte de poser ses mains sur le lit pour ne pas chuter, se retrouvant à 4 pattes, et m’offrant une superbe vue de ces formes dans cette position involontairement aguicheuse. Je ne lui laisse pas le temps de se redresser à son tour, et vient prendre place derrière elle, mes mains revenant agripper sa croupe que j’avais brièvement délaissé.
A cet instant, j’ai l’impression de contempler un tableau, sa chevelure rousse ondulée tombant en cascade sur son dos, jusqu’à sa chute de reins aux courbes vertigineuses et ses fesses rondes, parfaitement galbées. Sa fleur rose, et couverte de nos fluides, semble attendre que mon gland vienne la butiner, et je ne me fais pas prier, puis c’est ma hampe qui vient frotter contre, finissant de durcir mon membre aux proportions exceptionnelles comparé au reste de mon corps.
Et d’un coup, je resserre mes doigts autour des fesses de ma prof’ et la pénètre, mon sexe n’ayant aucun mal à s’engouffrer jusqu’au fond de sa cavité encore humide et brulante. Un gémissement de plaisir s’échappe de ma bouche, lorsque je retrouve la délicieuse sensation de son vagin comprimant ma verge, alors que je la retire déjà pour commencer à la prendre ainsi en levrette, mon bassin venant claquer contre ses fesses à chaque pénétration. Et nous voilà partie dans ce qui est censé être la deuxième fois d’un jeune étudiant, sa première levrette, mais qui est en réalité la conquête d’une nouvelle proie… Et quelle proie.