A la réponse positive d’Hitomi, mes mains comment à soulever son tee-shirt, dévoilant tout d’abord un ventre plat avec une peau soyeuse et sans impuretés, puis un soutient gorge laissant voir le haut de ses seins. Puis elle prend le relais, alors que j’ai qu’un mot à l’esprit : Wow… Ses deux globes sont parfaitement mis en valeur, et plus gros que ce que je ne pensais. De plus, là aussi la pureté et les proportions de sa poitrine, ne laisse aucun doute sur le fait qu’elle est parfaitement naturelle.
Le maillot va voler un peu plus loin dans la pièce, puis c’est à l’agrafe du soutient gorge de céder, faisant rebondir légèrement les seins d’Hitomi, avant qu’elle me demande de le retirer.
Je ne peux détacher mon regard de ce buste, j’approche mes mains, encore légèrement tremblantes, jusqu’aux bretelles de son soutient gorge, déjà descendues jusqu’à ses coudes. Je les fais doucement glisser le long de ses avants bras, les bonnets commençant à quitter les globes opulents qu’ils retenaient. Puis le morceau de tissu disparait enfin, dévoilant ses seins nus aux proportions diaboliques, à la symétrie parfaites, et aux pointes rosées. C’est bien simple à cet instant j’ai l’impression qu’un dieu lui-même a sculpté ce buste, et pourtant j’en ai vue bien d’autres.
Yamagashi-sensei… Vous êtes… La plus belle femme que je n’ai jamais vue…
La paume de mes mains vient épouser ses seins, que je caresse lentement, appréciant leur douceur et leur divine texture, profitant de cet instant que j’attendais depuis la première fois que je l’ai rencontré, et ce n’est que le début. Après ce moment de découverte, mes pouces viennent jouer avec dextérité contre les tétons d’Hitomi, étant donné qu’elle pense que c’est ma première fois, elle peut mettre ça sur le compte de la chance, ou d’un talent inné. En tout cas, mes caresses se font plus insistantes, je joue avec cette superbe poitrine, pressant les globes l’un contre l’autre, mes pouces tournant contre leurs pointes.
L’excitation déjà bien grande pour un simple puceau, du pré-sperme perle sur mon gland, alors que je détache enfin mon attention de ses seins, pour revenir croiser son regard.
Si je ne fais pas bien… Dîtes le moi Yamagashi-sensei…