Full Moon [PV Theorem]

Nexus ! Nexus la mythique, nichée au coeur de Terra, telle une perle dans son huitre, Nexus la fabuleuse avec ses palais rutilants d'or et de marbre, Nexus la prodigieuse avec ses voleurs magnifiques, ses marchands au verbe haut, ses sorciers hallucinés, ses chevaliers à l'armure étincelante et ses putains insolentes...

Zenobia se trouvait à l'Auberge du Coucher de Lune, nom approprié étant donné sa condition quelque peu particulière. La nuit allait bien bientôt tomber et elle allait commencer à se mettre en chasse : le démon qui sommeillait en elle n'allait pas tarder à se manifester, prélude à une intense activité nocturne de débauche sexuelle. Déjà, elle sentait son bas-ventre la chatouiller et il ne faudrait pas longtemps pour qu'elle se transforme en une créature affamée de sexe, en une bacchante sans pudeur, une succube lubrique...

Ce n'était pas dans la salle principale qu'elle allait trouver son bonheur : le pays était en guerre et une bonne partie de la jeunesse locale s'était enrôlée sous la bannière de la reine afin d'aller cogner un peu dans le nord. Il n'y avait donc que, outre l'aubergiste au regard fatigué, occupé à nettoyer son verre (toujours le même en fait), deux vieillards à moitié débiles qui ne cessaient de parler du "bon vieux temps". Bref, c'était la misère...

La meilleure chose à faire était de quitter l'établissement et de se mettre en chasse. Par "se mettre en chasse", comprenez par là que la jeune Elfe allait s'introduire discrètement dans la première demeure venue, de préférence celle d'un célibataire, et de violer son occupant. En règle générale, il ne se montrait nullement récalcitrant, allez savoir pourquoi....

Les voyages dans cette contrée devenaient de plus en plus longs et éprouvants. La vie était assez simple, mais ici, à Nexus, on pouvait se faire cataloguer comme esclave a prendre ou esclave occupé. Bref. La liberté que prenait Theorem était d'afficher en permanence un collier de cuir vert autour de son cou. Ainsi la moindre personne pouvait voir qu'il appartenait à quelqu'un et généralement ça suffisait à dissuader les esclavagistes. Finalement il arriva en ville dans l'espoir de se reposer. L'auberge du Coucher de Lune était réputée pour son confort et ses prix défiant toute concurrence, mais aussi pour la quantité de prostitué qui s'y trouvait en temps normal. Ce soir là promettait d'être calme, vu les conflits récents. Une fois à l'intérieur, il observa le tenancier puis soudain son regard se posa sur la magnifique elfe à la peau sombre plus loin. Oh mais il la connaissait ! Il alla tout de suite auprès d'elle.

"Hey Zenobia ! Le monde est petit. Tu vas bien ? Oh, vient, on va boire quelque chose à deux. Tenancier, deux chopes de cervoises s'il te plait."

Il tira un tabouret et s'installa à côté d'elle. Que dire de Zenobia ? Il savait sa valeur de combattante, son courage et sa force. Tout était chez elle une arme. Son corps pouvait tuer, mais il était aussi une arme de séduction. Sa peau sombre, sa poitrine opulente, sa voix douce et son regard envoûtant n'était qu'un bref résumé de la beauté qu'elle incarnait. Theorem était loin d'être froid face à ça. Oh oui... Combien de fois il avait fantasmé sur elle ? Certainement plus qu'on ne le croit.

Elle allait donc se lever quand un curieux individu entra dans l'estaminet. Il était un peu plus petit qu'elle, avait une belle tignasse rousse et un visage qui avait quelque chose d'enfantin. Dès qu'il la vit, il alla droit vers elle :

"Hey Zenobia ! Le monde est petit. Tu vas bien ? Oh, vient, on va boire quelque chose à deux. Tenancier, deux chopes de cervoises s'il te plait."

L'Elfe fut tellement surprise par cette invitation qu'elle restât bouche bée, durant quelques secondes, mettant un temps à reconnaître le dénommé Theorem, l'aventurier qu'elle avait rencontré dans elle ne savait plus quel donjon, en compagnie d'un autre dont elle avait oublié le nom.

Theorem ! Ben ça alors, si je m'attendais à te voir ici !

Elle se rassit, acceptant l'offre avec plaisir. Elle était contente de le revoir car l'Inu était un charmant compagnon et elle avait hâte de savoir ce qu'il avait fait depuis qu'ils s'étaient séparés après leur aventure dans ce donjon. La commande arriva et ils trinquèrent, en souvenir du bon vieux temps.
Le chatouillement dans son bas-ventre se fit plus insistant et l'Elfe sentit que le soleil avait atteint la ligne d'horizon ; point besoin de regarder à la fenêtre : une sorte d'intuition l'avertissait de ce genre de choses.

Elle observa Theorem à la dérobée. Pourquoi pas lui ? Il était plutôt mignon et avait l'air assez vigoureux. Soudain, un détail le concernant lui revint en mémoire : ce petit gaillard avait deux pénis dans le caleçon ! Ses yeux se mirent à pétiller et elle se lécha les babines :

Dis, ça te dirait qu'on loue une chambre ?

Theorem avait calmement reprit contact avec Zenobia que déjà il était captivé par sa beauté. Comment décrire la perfection d'une elfe ? Et bien, elle était grande, forte, avec une belle chevelure douce et agréable. Son regard était captivant et en plus de ça, elle dégageait une odeur agréable et envoûtante. Certes, il lui répondait, mais au final il la regardait plus qu'autre chose. Une combattante aussi belle et aussi redoutable éveillait en Theorem un sentiment d'adoration et de crainte mêlée, symbole de la beauté d'une femme puissante et supérieure. Il porta la chope de cervoise à sa bouche de nouveau.

Dis, ça te dirait qu'on loue une chambre ?

La mousse de cervoise fut soudain éjectée sur le côté alors que Theorem avait été soudainement surprit. Louer une chambre ? Oh il savait parfaitement ce que ça voulait dire. C'était... soudain. Mais au final, Theorem aimait beaucoup Zénobia. Elle était belle, parfaite... Refuser une telle offre pouvait s'identifier à de la démence.

"Ici ?... Maintenant ?... Avec toi ?... Oh ouais... Carrément."

Il déposa un peu d'argent sur la table pour la location et prit doucement la main de la jeune elfe à la peau sombre. Ah son odeur... si agréable, si douce... Il testa plusieurs chambres avant d'en trouver une inoccupée. Il déposa son sac sur la table de la chambre et referma la porte derrière lui. Doucement il s'approcha de la jeune elfe et hésita une seconde. Pouvait-il l'embrasser ?... Faute de se décider, il s'approcha et caressa doucement son dos, engouffrant son visage de son cou. Il la couvrit de petites bises avant de se redresser un peu, la regardant.

"Je suis prêt à faire ce que tu veux ma belle Elfe... Demande et je le ferais..."

Theorem accepta avec une joie mêlée de surprise la proposition de Zenobia. Il paya la chambre et l'entraîna à l'étage, la tenant par la main. L'Elfe savoura le contact de cette jolie petite menotte dans la sienne ; ils ressemblaient à deux enfants espiègles s'apprêtant à faire un bon tour.

Il posa ses affaires et elle fit de même, mettant ses armes contre le mur. L'Inu eut une petite seconde d'hésitation avant de l'enlacer, posant sa tête contre son cou. Zenobia passa sa main dans la chevelure de feu de Theorem. Elle sentit l'excitation la gagner et son entrajambe s'humidifia un peu ; par ailleurs, elle savait que son compagnon en était au même point qu'elle et qu'il ne lui faudrait pas longtemps avant qu'il ne se jette sur elle.

"Je suis prêt à faire ce que tu veux ma belle Elfe... Demande et je le ferais..."

Elle sourit et posa une main fine sur la bosse qui déformait son kilt : ce n'était pas une bourse bien garnie ou encore un trousseau de clés... Elle fut tentée de se jeter dessus et de lui faire une fellation de derrière les fagots mais elle se contint, ayant une meilleure idée. Elle s'assit sur le lit et enleva avec grâce ses sandales de cuir :

Eh bien, pour commencer, lèche-moi les pieds...entraîna à l

Quand elle attrapa le paquet de Theorem bien calé dans son kilt en toile d'asmoïd, elle pouvait sentir sa culotte sous ce kilt, retenant son double sexe. Il s'attendait à toutes les demandes. Certain qu'elle allait lui dire de se déshabiller, de s'offrir, de la pénétrer là maintenant !... Mais elle lui demanda de lécher ses pieds. C'était à la fois surprenant et excitant. Que dire des pieds de la belle Zenobia ?... Et bien elle ne se faisait pas de pédicure et pourtant ses ongles étaient parfaits. Il y avait certes une petite odeur, mais très discrète, du fait qu'elle mettait des sandales en cuir. Doucement, il se mit à genoux devant elle et prit le pied dans ses mains. Doucement il tira la langue et lécha la plante tout d'abord, puis ses orteils. Il les suçota calmement avant de lécher de nouveau son pied. Il fit de même pour l'autre, prenant son temps. Mais il en voulait plus...

"Han tu es si belle... J'ai envie de te vénérer... de faire de toi une déesse..."

En quelques secondes, il se débarassa de son armure qui tomba au sol. Il n'avait plus que sur lui des bas, des longs gants et une culotte en latex sur lui. Il remonta sa langue sur les jambes de la jeune femme avant de doucement s'imprégner de son odeur corporelle... Bon sang, elle était une elfe et pourtant elle avait un petit quelque chose de démoniaque. Son odeur envoûtant devait dégager quelque chose d'aphrodisiaque. Il continua ses léchouilles avant de relever le bras gauche de Zenobia. Sa langue caressa alors l'intérieur de l'aisselle imberbe de la jeune femme. C'est là que son les phéromones... En tant qu'Inu, il était terriblement attiré par cet endroit. Il respira son odeur, sans y trouver quoi que ce soit de dégoûtant ou de repoussant. Non... Il était terriblement excité par ça ! Il bandait durement dans sa culotte de latex, la déformant. Tout en la léchant, il caressait la cuisse de la jeune fille avec sa main gantée de latex.

"Tu es superbe... Honnêtement... probablement la plus belle femme que j'ai vu de ma vie..."

Theorem s'exécuta, prenant dans sa main l'un des pieds de l'Elfe puis commença de le lécher avec douceur. Zenobia sentit une douce chaleur naître au creux de ses reins et qui alla se répandre dans tout son corps. Elle renversa la tête en arrière, cambrant le dos, afin d'offrir une vue imprenable sur sa poitrine emprisonnée dans sa gaine de tissu qui ne recouvrait pas grand chose.

L'Inu loua sa beauté dans un style lyrique, lui disant qu'il avait envie de faire d'elle une Déesse.

Elle rit doucement. Et comment t'y prendrais-tu ? demanda t'elle, baissant la tête. D'ailleurs, je ne pense pas que cela m'intéresserait d'être une divinité... Mais, qui sait ?

Il enleva son armure d'un geste négligent, découvrant un torse imberbe. Il n'avait pas une musculature proéminente mais de cela, elle s'en fichait : c'était ce qui se trouvait dans son entrejambe qui l'intéressait le plus. A un moment donné, il releva un des bras de la belle qui le regardait, perplexe, et se mit à lui lécher l'aisselle. Elle se mit à murmurer doucement, signe qu'elle appréciait ce genre de caresse buccale spéciale.

Un autre compliment. Une idée amusante lui vint : elle prit un morceau de tissu et s'en servit pour lui bander les yeux. Puis elle le coucha sur le lit avant de s'assoir sur son visage, relevant les pans de son pagne, exposant son intimité. Un petit filet de mouille s'écoulait de sa fente.

Maintenant, lèche-moi l'entrecuisse et applique-toi !...

Theorem avait terminé de lécher sous les bras de la jeune femme. Finalement, il n'avait plus grand chose de plus à faire. Le corps de la belle jeune elfe était certainement humide de sueur et de salive. Oh oui, comme c'était agréable de faire le tour du corps de la jeune elfe avec le bout de sa langue. Elle lui demandais comment se faire vénérer. Voila bien une réponse que Theorem pouvait donner sans hésitation.

"Les femmes devraient toutes êtres vénérées... C'est ainsi. J'aime les femmes, vous êtes de belles créatures au pouvoir de séduction terriblement efficace. Te lécher le pieds est un acte de dévotion pour moi..."

Puis, un peu soudainement, elle prit une rangé de tissu déchiré. un bandeau improvisé de tissus déchiré entoura ses tempes, recouvrant intégralement ses yeux. Il ne pouvait pas voir grand chose... pour ainsi dire rien. Soudain elle le coucha avec violence sur le lit et offra son vagin. La langue tirée, les bras et les jambes écartées, il enfonça sa langue en elle. Son muscle buccale caressa les lèvres intimes de l'elfe à la peau sombre, titilla le clitoris avec la pointe de sa langue... avant de s'enfoncer enfin dans le corps de la jeune fille. Sa langue caressa l'intérieur de ce vagin, râclant doucement la partie antérieure qui prodiguait les orgasmes. Il s'attarda à lécher ce sexe humide avant de s'attarder à lécher ce sanctuaire de plaisir. Il se moquait du siens... car il était heureux d'être à sa place.

"Hmmm Hmmm... han... si bon... Hmmmm..."

Une chose était sûre : ce petit Inu savait bien se servir de sa langue et ce dans tous les sens du terme ! Elle s'agitait au sein de l'intimité de l'Elfe, léchant les parois de son vagin, léchouillant les lèvres et titillant son clitoris. L'Elfe, les yeux fermés, la tête penchée en arrière, sentit le plaisir onduler par courtes rafales à l'intérieur de son corps, un peu comme une crise de paludisme, mais en plus agréable quand même !

A un moment donné, elle ouvrit ses mirettes et vit en contrebas la grosse bosse qui déformait touours sa culotte. Prise d'une impulsion subite, elle se pencha, ramena ses cuisses de manière à avoir une meilleure assise et souleva le latex, découvrant le pénis ou plutôt les pénis de son partenaire ; ils étaient d'une taille moyenne et pulsaient doucement. Elle rabattit carrément la culotte et s'empara, une main dans chaque, des verges.

Elle en prit un en bouche, masturbant l'autre, utilisant sa langue et ses petites dents pour donner du plaisir à son compagnon qui continuait à la lécher avec application.
Comme la hampe n'était pas trop grande, elle put carrément l'engloutir, l'embout touchant sa luette, puis elle remonta lentement jusqu'à interroger le trou de sa bite avec sa langue.

A un moment donné, elle passa à l'autre pénis auquel elle réserva le même traitement, son autre main caressant les bourses pleines de Theorem.

Theorem avait connu assez peu de fellation dans sa vie. En général c'est lui qui les prodiguaient, pas l'inverse. Il ne put s'empêcher de soupirer d'aise sous la douce caresse buccale que lui faisait Zenobia Excité pour tout cela, il arrêta même un instant de lécher, mais les petites dents de l'elfe à la peau sombre lui rappela qu'il ne devait pas être égoïste. Lentement, il se remit à lécher, mais elle était si inclinée que lécher son sanctuaire était pour ainsi dire impossible. A la place, sa langue caressa l'anus de la belle aventurière.

"Han... Je me sens si humilié... Mais c'est si bon..."

Il recommença à lécher entre les fesses de la jeune femme. Dardant du bout de sa langue, il caressa les alentours de l'anus de l'elfe. Faisant des cercles concentriques, il arriva enfin au niveau du trou le plus intime de la guerrière un peu sauvage. Il espérait qu'elle soit propre, mais les elfes avaient bonne réputation là dessus. Lentement il se mit à enfoncer sa langue en elle, bougeant d'avant en arrière en couinant. Alors qu'il faisait du bien à sa maîtresse, il caressa de ses mains gantées les cuisses de son amante. Elle était si chaude qu'il sentait les gouttes de mouilles tomber sur sa poitrine tout en la léchant. Mais alors qu'elle le suçait toujours, il sentait qu'il ne tarderait plus si elle continuait.

"Han attention... Ca monte déjà Zenobia..."

Tandis que Zenobia s'activait tour à tour sur les pénis de Theorem, ce dernier s'occupa de l'anus de l'Elfe, tout en caressant ses cuisses fuselées. Elle aimait qu'un homme lèche cette partie sensible de son anatomie et l'Inu était chanceux car, comme toute fille des Elfes, Zenobia avait l'arrière-train aussi propre qu'une source. Un des nombreux privilèges du Beau Peuple.

Tout en continuant ses attentions sur les verges gonflées et durcies de son partenaire, elle sentit une ivresse sombre l'envahir : son sang se mit à bouillir et de grosses gouttes de sueur perlèrent sur sa peau cuivrée ; elle se mit à pousser de petits cris de bête sauvage qui étaient suffisamment forts pour être entendus par une personne qui aurait collé son oreille contre la porte de la chambre...

"Han attention... Ca monte déjà Zenobia..." dit Theorem qui commençait à perdre les pédales. Le premier qui jouit, doit un gage à l'autre, d'accord ? proposa-t-elle d'une voix rauque. Et sans attendre sa réponse, qu'elle devinait déjà, elle s'acharna de plus belle sur les deux pénis qu'elle serra dans une main et engloutit en même temps dans sa bouche  vorace tandis que l'autre malaxait les testicules.

Elle accéléra le tempo, sa tête faisant des mouvements de va-et-vient de plus en plus frénétiques, sa langue faisant un mouvement d'hélices sur les têtes gonflées à bloc, ses petites dents picorant la chair tendre...

Soumis à la volonté de son amante, le pauvre subissait encore la longue fellation que l'elfe semblait adorer lui faire subir. Mais il savait qu'en cas d'éjaculation, le jeune Inu n'aurait jamais put lui faire du bien à nouveau. Il serait alors bien incapable de continuer à lui faire l'amour et il ne voulait pas que ça se termine. Heureusement les coups de dents de la belle elfe par moment qui dardaient la chaire fragile de ses glands avaient de quoi le refroidir. Theorem lâcha un couinement et se concentra d'avantage sur son annulingus. Sa langue pénétra le mucle anal en son centre, entrant dans la porte étroite de la jeune femme.

"Han... si je jute... je ne pourrais plus... te faire l'amour..."

Le jeune Inu caressa les fesses de l'elfe à la peau sombre. Elle était en transpiration, il le sentait bien... Le goût assez spécial du derrière de Zenobia emplissait la bouche de l'Inu. Sa sueur glissant le long de son dos s'amenait forcément ici, rajoutant une saveur saline à son annulingus. Le vagin de Zenobia déchargeait toujours plus de mouille sur le corps de Theorem. Quelques gouttes tombaient sur son torse. Le jeune soumis glissa alors deux doigts en elle, son index et son majeur ganté de latex glissant dans son antre de plaisir. Il débuta un doigtage en règle alors que sa langue s'enfonçait toujours dans son sanctuaire le plus privé.

"Han... S... Stop... Je veux pas jouir encore... Tu as gagné..."

"Han... S... Stop... Je veux pas jouir encore... Tu as gagné..." fit Theorem qui sentit que si cela continuait ainsi, il allait éjaculer tout ce que ses bourses contenaient. Elle sourit à cette idée : il était loin d'imaginer les ressources qu'elle détenait. Les siennes aussi d'ailleurs...

Bien, puisque j'ai gagné, permets-moi de faire quelques préparatifs... Ne bouge pas !

Et elle se leva, se dirigeant vers le coin de la chambre où elle avait posé son sac. Elle y farfouilla dedans et en sortit un flacon de cristal contenant un liquide ambré et un pot de terre cuite. Elle ouvrit le second : il contenait une sorte de pommade de couleur rouge et qui sentait fort. Elle revint vers l'Inu et badigeonna ses deux pénis et ses testicules avec le cosmétique. Instantanément, les organes génitaux se mirent à grandir : les verges s'allongèrent et les bourses se mirent à gonfler. Les premières faisaient maintenant un bon pied* de long et les secondes étaient aussi grosses que des oeufs de poule, prêtes à produire du sperme en quantités astronomiques...

Satisfaite, elle referma le pot et prit le flacon dont elle versa une partie du contenu dans un petit verre gradué. Elle enleva le bandeau de Theroem et lui tendit le breuvage :

Bois ! Cet élixir te rendra vigoureux, insatiable et potent durant de nombreuses heures !

Elle attendit qu'il s'exécutât puis lui dit d'une voix chargée de passion, les mains sur les hanches : et maintenant, fais-moi l'amour ! Fais moi jouir au point que mes hurlements puissent s'entendre de la rue, que j'en oublie même jusqu'à mon nom, que mes orifices soient emplis de ta semence, que les draps de ce lit en soient maculés, que les murs, le sol et le plafond en soient couverts !

Puis elle se jeta sur lui et l'embrassa avec fougue, ses mains caressant son torse et son visage...

* environ 30 cm

Theorem avait perdu le gage. Il devait donc subir les caprices de Zenobia. L'elfe utilisa ses onguents magiques afin de modifier la morphologie de l'Inu. Bien sûr, tout allait disparaître au bout d'un certain temps. De toutes façons, son corps n'aurait pas put tenir une cadence aussi démentiel. C'était un petit gabarit lui. Une fois son sexe devenu double braquemard de 30cm chacun, il fut prit d'une libido décuplée. Afin de contenir tout de même le pouvoir, juste avant qu'il ne saute sur elle, Zenobia enfila sur la tête de Theorem un bandeau en latex bien moulant qui ne lui permettrait pas de tricher. Prit d'une soudaine envie de sexe, il laissa Zenobia monter sur elle, copulant comme un animal avec elle. Lui-même ne se reconnaissait pas. Il n'avait jamais couché de la sorte. La nuit avança lentement alors qu'ils couchaient comme des fous, Theo caressant et palpant le corps de Zenobia afin de la deviner.

"Han c'est trop bon ! Grrr ! J'ai tellement envie de baiser !!!"

Trois bonnes heures passèrent. La nuit était à son moment le plus sombre alors que ce début de nuit fut emplis par les cris de plaisir de Theorem et de Zenobia. Le jeune Inu perdit son érection exceptionnelle et retomba un peu sur le lit, le corps en transpiration. Son gant droit était retombé au niveau du coude, dévoilant son bras artificiel en partit. Il le remonta aussitôt, se reposant après une partie de jambes en l'air aussi intense. Ses deux verges endolories revinrent à leurs quinzaines de centimètres respectifs. En sueur et toujours aveuglé par le bandeau, il se serra contre Zenobia qu'il savait pour sa part pas encore fatiguée.

"Han... J'ai juté au moins 7 fois... Je suis vide... J'en peut plus..."

La nuit avait été chaude, elle avait été sauvage : Theorem et Zenobia avaient franchi les frontières exquises de la décadence, sombré dans les abimes du sexe sauvage, atteint les sommets de la jouissance suprême... Toute la nuit avait retenti de leurs râles de plaisir, de leurs hurlements d'animaux en rut, de leurs cris d'extase à tel point que les murs mêmes avaient eu l'air de vibrer.

Le double-pénis de l'Inu, constamment durci et gonflé, avaient pilonné sans relâche les parties intimes de l'Elfe, expulsé de généreuses quantités de sperme qui avaient rempli la chatte et l'anus de sa partenaire ou encore maculé son beau corps bronzé et ses cheveux si bien que sa peau luisait doucement sous la lumière des lampes à huile.
Quand elles n'étaient pas occupées à besogner Zenobia, les deux verges bénéficiaient de ses attentions buccales si bien qu'à la fin, Theorem, dans un grognement de fauve éjaculait dans sa bouche. L'Elfe n'en perdait pas une goutte...

Maintenant l'aube approchait et les deux amants étaient couchés côte à côte, épuisés et heureux. Les membres et les testicules de l'Inu avaient repris leurs dimensions normales et étaient au repos.

Tu as été extra !

Puis elle se leva et sortit de la chambre. Du haut du balcon, elle héla l'aubergiste qui commençait à arranger la salle pour la journée à venir :

Apporte nous quelque chose à manger, quelque chose de solide et de consistant ! Apporte également du vin et prépare-nous un bon bain bien chaud !

Puis elle rentra dans la chambre. Le tenancier avait regardé les yeux écarquillés cette belle créature complètement nue et recouverte de sperme, comme s'il avait vu une apparition surnaturelle. En un sens, c'était vrai.