J'ai beau être du mauvais coté, j'aime respecter les principes ainsi que les traditions. C'est pourquoi, même lorsque j'ai l'ascendant sur une femme, je ne peut m'empêcher de continuer à la draguer. Je répugne à utiliser la violence brute, sans raison, inconditionnel. je suis plutôt ce que l'on pourrait appeler, une sorte de démon aristocratique aimant la hiérarchie, afin que chacun reste à la place qui lui est imputé; le mérite ainsi que l'ordre. Même si une esclave me manque de respect, je ne la battrait pas, préférant lui infliger des tortures mentales, plus subtiles selon moi.
La jeune femme se laisse faire, ce qui est pour l'instant dans mes plans, néanmoins, j'espère que par la suite, elle y mettra un peu du sien. Car, a vrai dire, il n'y avait rien de pire dans une relation charnelle qu'une femme objet, se laissant faire, telle une poupée de chiffon. cela m'énerve au plus haut point et je dois ensuite passé mes nerfs sur quelques choses. Il ne vaut pas mieux dans ce cas, que ce soit une simple humaine, elle finirait en charpie, carboniser...
Soudain la jeune femme se lève et s'éloigne de moi, faisant le tour du bureau et pour couronner le tout me manque de respect ! Bon bien sur, si je suis mes instincts, je pourrais la griller sur le champ d'un éclair bien pensé, mais après, plus de plaisir ! Et puis c'est si facile...
Puis, elle m'aguiche commençant à se déshabiller, lentement, prenant son temps pour chaque bouton, mais elle ne retire que sa veste, laissant juste entrevoir un peu son décolleté, qui j'imagine, doit valoir le détour. Elle me dit qu'elle aurait pu m'avoir sans tout ce stratagème, je me dis que oui, mais j'aime manipuler les gens, c'est dans ma nature. J'essaie alors de pousser le jeu pour me faire excuser, comme un pauvre patron se laissant accuser de harcèlement. Pouvait elle seulement imaginer que je ne craignais pas la justice ?
- Voyons, je l'avoue, j'ai manqué de courtoisie a votre égard. je m'en excuses du plus profond de mon âme
Ha ha ha si tu savais, ma belle, je n'ai pas d'âme, je ne suis qu'une bête ! Mais une bête avec un cerveau beaucoup plus pervers que tu ne peux l'imaginer !
- Mais peut être pourrions nous repartir sur de bonnes bases qu'en pensez vous ?
Sur ces mots je me ressers un whisky et j'en bois une gorgée. Je me dirige ensuite vers ma nouvelle télé, HD et j'appuie sur un bouton pour faire sortir la cassette d'enregistrement compromettante. Je la la saisis la montrant à la jeune femme.
- Voici la preuve du délit, me semble t il ? Bien, eh bien considérons que cela n'a jamais existé.
Sur ces mots, je brise la cassette en deux, avant d'en libérer la bande et de la faire brûler à l'aide d'un zippo en argent dans ma poubelle en métal.
- Voila, maintenant vous êtes libre si vous le souhaitez, vous pouvez partir et rejoindre vos éléves...
je lui montrais la porte d'un air sérieux. Si elle savait vers quoi elle se dirigeait si elle décidait d'emprunter la porte. Il était bien entendu, hors de question que je la laisse s'échapper sans que je n'en profite, ne serait ce qu'un peu. Je la prendrais par la force au pire, la menaçant de la tuer en lui montrant deux ou trois tours démoniaques dont j'étais capables, histoire de lui faire passer l'envie de parler. Mais à vrai dire, je préférerais qu'elle reste, ce serait plus agréable pour tous les deux.
Je serais même prés à appeler le garde à qui j'avais donné l'ordre d'interpeller la jeune femme, à venir faire ses plus plates excuses devant elle.
- Néanmoins, si vous étiez prés à me pardonner...
Le pauvre petit, voila que je faisais mine de m'excuser, la suppliant presque. Pfff, quel piêtre acteur, mais javais bien d'autres plans en poches, comme toujours. Une piéce ne se joue jamais en un seul chapitre, mais en plusieurs actes...