So it goes. (Valithé)

Virgile

Identité :

Nom : Lawton
Prénom : Virgile
Âge : 27 ans (physiquement), 227 (normalement)
Date de naissance : 15 août 1812
Lieu de naissance : Londres
Nationalité : Anglaise
Profession : Médecin spécialisé en psychiatrie
Race : Vampire
Préférences : Les femmes.

Un homme élégant, qui parle élégamment, qui se comporte élégamment. Le parfait stéréotype du gentleman londonien du 19e siècle. Avide de découvertes et de sciences, il collectionne un large panel d'objets et de trouvailles dans un cabinet de curiosités. Contrairement à beaucoup de ses comparses, Virgile ne profite pas d'être un vampire pour massacrer tout le monde, et déteste même ceux qui se conduisent ainsi. Il est un vampire, il l'accepte. Certes, il lui arrive d'être mélancolique … Il repense souvent à son épouse qu'il chérissait, s'imagine parfois la croiser à nouveau. Mais cela ne dure guère longtemps. Actuellement, grâce à tout ce qu'il a pu amasser lors de sa vie, il fait partie de la bourgeoisie nippone. Des œuvres d'Art, des objets de luxe, il en a à foison, et il est, de surcroît, un excellent médecin. Quand il s'agit de recommander un très bon médecin, mais aux honoraires convenables, on cite le Dr Lawton. Car, même si Virgile est devenu un éminent thérapeute, il n'est pas devenu un thérapeute aux tarifs exorbitants. Non, non, il est loin de tout cela. L'argent ne l'intéresse guère.

Soucieux de sa santé, il ne boit que très peu, et fume la pipe – un superbe objet sculpté avec délicatesse – lors de grands occasions. Vêtu de costumes chics, des ensembles pantalon-veston-chemise-veste-montre à gousset, il reste élégant en toutes occasions. Quand on le croise, on le jure sorti d'un autre temps … Et c'est le cas, d'ailleurs, mais qui le saurait ? Il faut bien le connaître pour savoir qu'il fait partie de ces immortels sanguinaires. Tiens, en parlant de ça, je tiens à préciser que Virgile n'est pas un manipulateur, sauf quand il a faim. Car, oui, il ne sait pas se nourrir de sang d'animaux comme dans cette immondice noyée à l'eau de rose qu'est Twilight. Non, il aime beaucoup trop le goût du sang humain pour cela. Il travaille d'ailleurs dessus pour lui offrir des saveurs différentes … Un cuisinier d'hémoglobine, en somme.


Virgile n'aime guère l'insouciance et la naïveté, lui qui est plutôt posé, réfléchi, pragmatique. Il aime beaucoup les personnes qui ont les pieds sur Terre, et se laisse rarement tomber dans les bras de la mélancolie. Il déteste tout qui est en rapport avec les croyances, les cultes, les dogmes, et autres illusions indigestes. Je vous le redis : il ne croit qu'en la réalité, pure et dure. C'est un homme qui parle facilement, et qui parle bien. On se laisserait facilement charmer, d'ailleurs. Il s'exprime toujours avec un ton calme. Cela finit par être agaçant.  D'ailleurs, quand on l'agace, Virgile se révèle moqueur. Mais ne s'énerve jamais à outrance. Jamais vous ne le verrez vivre une émotion à son paroxysme … Quand il sera triste, sa voix sera teintée de tristesse, mais il ne fondra pas lamentablement en larme. Quand il sera heureux, son ton sera guilleret, il sera plus souriant, mais ne bondira pas partout en chantant les louanges de la vie. Mesure et politesse, toujours, mais jamais d’exubérance.… Cet éternel n'est ni rongé par le nihilisme, ni aveuglé par l'utopisme. Il se juge … réaliste. Complètement réaliste. Conscient d'être vampire, il ne s'en plaint et n'en profite que rarement. Souvent, cela lui permet même de classer certaines affaires relativement rapidement. Une morsure, il met cela sur le compte des affreux vampires hantant les ruelles des quartiers de la Toussaint, et basta. Attention, il est très doué. S'il y est forcé, il peut manipuler, tuer, empoisonner avec aisance. Mais il n'aime guère faire cela, même s'il conserve chez lui une armoire destinée à ses médicaments et calmants, qu'il peut administrer facilement.

En réalité, il est sage. Dans tous les sens du terme. Calme, ne faisant pas de « bêtises », et ses paroles sont d'or. Il en connaît beaucoup, et dans beaucoup de domaines. Il peut se révéler compréhensif, et être de bonne écoute. Parlez, et il vous écoutera, même hors de son cabinet.

Oui, donc, vous pourrez me dire que c'est l'homme parfait. Eh bien oui, sauf qu'il est assez fantomatique dans sa manière d'être. Il ne veut plus prendre le risque de s'attacher, préférant sa solitude, ses patients et ses objets d'Art qu'il collectionne désormais. Sa vie, son parcours et ses études ont fait de lui un homme qui se méfie, qui s'isole pour mieux se retrouver. D'autre part, Virgile est relativement exigeant et difficile à satisfaire. Le raffinement, il adore. La vulgarité, il déteste. Et il ne pardonne pas la moindre erreur, à vous, comme à lui-même. Oui, oui, exigeant, perfectionniste, et ce dans tous les domaines. Il est une sorte de ... créature inacessible. Oh, ne croyez pas qu'il résiste face aux avances d'une femme ! Loin de là, loin de là ... Mais entre la partie de jambe en l'air sans réel importance affective, et le lien que l'on peut tisser avec une personne, il y a un grand pas. Si ce n'est toute une armada de pas. Je préfére prévenir les ingénues qui s'éprendront éperdument de lui ... Ce ne sera pas une mince affaire que de lui plaire réellement. Et pour celles qui prendraient ceci pour un ultimatum, j'ajouterais " Qu'elles essayent ! Beaucoup s'y sont brisées les dents. Des humaines, des lycanes, des vampires, et tant d'autres ... ". Donc, oui, Virgile est peut-être un être parfait, mais il est aussi secret et inaccessible. Le cerner, le faire parler, tenter de le découvrir reléve d'une profonde patience et de sentiments sincéres. Voilà ce qu'il en est de sa mentalité, et encore, il y aurait beaucoup à ajouter ...

Physiquement, il faudra faire court. Sa taille environne le mètre 75, et son poids est dans la norme, avec 65 kilos. Il prend soin de lui, oui … Comme je l'ai dis plus haut, il est toujours élégamment vêtu, avec des tenues de son époque. Il porte toujours une paire de lunettes, et possède de longs cheveux qui viennent mourir sur ses épaules, cheveux qu'il maintient souvent en queue de cheval. Ses yeux sont deux perles noires, intenses, brillantes et profondes. Tout en lui reflète le chic, l'élégance d'une autre époque. Pas de bijoux, si ce n'est une montre à gousset et quelques bagues en argent. Il n'aime pas vraiment l'or. Contre toute attente, il possède quelques tatouages : «  So it goes » au poignet droit, « Requiem oeternam deo » au creux de son bras gauche, le signe de l'infini sur sa cheville droite, et une large estampe japonaise où dansent des bourgeons de sang partant de son épaule jusqu'au centre de son avant-bras droit. Tatouages qu'il cache, bien évidemment. Le « So it goes » est caché, souvent, par une montre ancienne. Il est souvent vêtu d'un costume noir, ou marron. Des tenues souvent sombres. Ses canines sont à peine apparentes, mais le deviennent quand il est affamé. A ce propos, il chasse tout les trois jours environ. Des réserves de sang sont maintenues dans un laboratoire où il les trafiquent pour leur découvrir de nouvelles saveurs, afin qu'il ne soit pas en manque. Il peut manger et boire autre chose que du sang, et conserve un faible pour le vin français, la bière belge et les cuisines de tous horizons.

Tout dans son attitude trahit le fait qu'il soit posé : la propreté de ses tenues, la délicatesse de ses mouvements, le ton de sa voix. Voix qui trahit facilement ses émotions, d'ailleurs. En parlant de ça, Virgile n'a pas une voix caverneuse et grave qui sied si bien aux mâââââles ... Il posséde, certes, une voix masculine, mais d'une douceur exquise. On jurerait que c'est un ange, et non pas un de ces démons assoiffés de sang. D'autre part, il ne cache pas le fait qu'il soit un vampire. Oh, il ne le revendique pas non plus en exhibant ses canines et sa soif d'hémoglobine, mais il n'a pas non plus honte d'être ce qu'il est. Un vampire, tout simplement, donc.

Histoire

Virgile aurait du être un médecin anglais de première classe. Un de ces élégants personnages, nés au début du 19e siècle, qui chérissent leurs cabinets de curiosités. Car, oui, Virgile est né au début du 19e siècle, au moment où l'Angleterre et la France implosaient littéralement.

 Révolution industrielle, Crystal Palace, Tour Eiffel … A ce moment de l'Histoire où tout commença à évoluer, à muter littéralement. Virgile naquit dans une riche famille anglaise, dans les milieux bourgeois et propret de Londres, où il apprit la médecine, comme son père le fit avant lui, et comme son propre fils le ferait ensuite. Élève modèle, si ce n'est le meilleur de chacune de ses promotions, Virgile put suivre des cours dans de prestigieuses facultés de médecine, puis de psychiatrie. Garçon talentueux, doué, charmeur, cultivé et élégant, il faisait honneur à son nom et à ses parents. Il se montra toujours au-dessus des autres, mais jamais très présomptueux … Enfin, si peu. Nous le sommes tous, non ? Même si jamais il ne fut méprisant, il ne pouvait s'empêcher d'être dédaigneux par moment. Son amour pour les belles choses, surtout les choses anciennes, la politesse et le raffinement entraînèrent un certain dédain pour les personnes qui préféraient l'alcool et les bordels. Évidemment.

Virgile eut une femme*, et deux filles jumelles, qui excelleaient dans la pratique du piano et du violon. Il s'installa dans un cabinet fastueux, gagna sa vie de manière plus que correcte. Voilà. Tout aurait pu se terminer là. Tout aurait du se terminer là, d'ailleurs. Il aurait du vieillir avec sa femme, acheter de beaux tableaux pour décorer ses appartements somptueux aux tons pastels, choyer sa femme et ses enfants, s'épanouir dans son métier de psychiatre, sortir au parc et au zoo dés que l'été viendrait, boire du thé quand se glisserait le soir, prés d'une cheminée, en regardant la neige tomber avec un sourire en coin.

Mais non. Non, ce serait trop simple. Et puis, je n'aime pas jouer des personnages aux vies aussi parfaites, proprettes.

Un beau soir de décembre, alors qu'il quittait son cabinet, tout bascula. S'il n'avait pas pris cette ruelle baignée d'encre, s'il était même sortit quelques minutes après, quelques secondes avant, s'il ne s'était pas arrêté un instant pour saluer un de ses confrères … Cela ne se serait sans doute jamais produit.

Il arrive qu'à Londres, dans les recoins de certaines ruelles, vagabondent des créatures de la nuit. Celles dont on se persuade qu'elles n'existent pas. Pour une cartésien comme Virgile, une femme vêtue d'une élégante robe noire aux yeux rougeoyants devait être une noble un peu fantasque, aux pupilles usées par l'usage de substances illicites. Il l'avait déjà entraperçue, tandis qu'elle sortait du cabinet d'un éminent psychiatre, d'ailleurs. Mais jamais, au grand jamais, elle n'aurait pu être une vampire.

Quand il la vit, il se contenta de la saluer prestement.

Quand elle le vit, elle s'approcha de lui furtivement.

En un éclair, ses crocs étaient plantés dans le cou du médecin. La seule réaction de ce dernier fut d'hurler, puis de tomber au sol, dans un spasme. Un cri brisa la nuit, mais ce ne fut pas le sien. Celui d'un homme à la barbe grisonnante, qui s'approcha de cette femme pour la séparer de Virgile. Qui n'y comprenait plus rien. Et qui s'écroula, perdant le peu d'esprit qui subsistait en lui.

Mais quand il ouvrit les yeux, le cauchemar commença. Il n'était pas chez lui, mais chez cet homme qui l'avait sauvé. La femme était attachée à un lit, prés de lui, assoupie comme une bienheureuse. Lui avait l'impression que son corps était tendu, bouillonnant, douloureux comme jamais. Il ne parvenait même pas à s'examiner lui-même, à comprendre cette fièvre. Sa transformation dura des jours, des mois. Il souffrait tant qu'il ne se souciait même plus de sa femme, de ses filles, de son cabinet. Le temps semblait s'arrêter, puis redémarrer violemment, dans un soubresaut qui le faisait atrocement souffrir. Cette femme qui l'avait mordue était complètement malade, obnubilée par l'idée de transformer de jeunes gens en vampire afin que leur nombre puisse croître et dépasser celui des humains. Une folle à lier. Certains vampires clamaient haut et fort leur supériorité sur les humains, alors que lui se complaisait à vivre en harmonie avec eux. En les tuant, certes, pour s'en nourrir ensuite. Comme un fermier et sa ferme, mais en plus raffiné, disons.

Il dut alors apprendre à vivre en tant que vampire. L'idée même le faisait tiquer, mais il devait se rendre à l'évidence, et accepter sa condition nouvelle. Il se lia avec les vampires français, anglais, allemand, tous ceux qui peuplaient cette terre qui deviendrait l'Europe. Il vit l'Art, l'Histoire, la Vie changer , se transformer sans cesse, sous ses yeux ébahis. Il rencontra d'autres femmes, certes, s'imaginant que son épouse était morte depuis des lustres et qu'il devait passer à autre chose … Mais ce fut bien difficile.

D'autre part, il apprit, par la suite, que sa femme avait subit le même sort que lui. Mais qu'elle avait disparue, suite à la mort de leurs deux enfants. Lui ne souhaitait pas partir à sa recherche, mais plutôt s'éloigner d'elle, au maximum, s'éloigner de cette ville qui commençait à le ronger. Il avait besoin de nouveauté, d'exotisme, de voyages, de rêves … Pour lui dont l'avenir s'étendait à n'en plus finir.

Virgile fit tourner, face à lui, un globe. Il ferma les yeux, et appuya son doigt, au hasard, sur une partie de cette carte ronde. Le hasard, encore, qui guidait ses choix. Doigt qui tomba sur le Japon. Et on lui recommanda la ville de Seikusu. Plus calme, mais aussi vivante que Tokyo. Parfaite pour lui.

Avec hâte et quelques amis, il partit vers cette Terre qu'il espérait promise, afin d'y ouvrir un nouveau cabinet de médecin spécialisé en psychiatrie. Une affaire qui marche plutôt bien, d'ailleurs, et il intervient même souvent dans les hôpitaux, les prisons, et certains colloques autour des études comportementales ... Virgile n'a pas perdu la main. Il vit même dans une vaste demeure au coeur des beaux quartiers de la ville, juste au-dessus de son cabinet de praticien. Un endroit moderne de l'extérieur, mais un véritable voyage dans le temps lorsqu'on y rente. Un endroit charmant, et assez coquet. Le cabinet se niche au rez-de-chaussée, où l'on trouve sa secrétaire, puis son cabinet à proprement parler, où se trouve une armoire aux allures de cabinet de curiosités. Un vieil ascenseur le méne jusqu'au premier étage, piéce de vie par excellence, un lieu bien entretenu par deux domestiques, puis on accéde par un escalier au second étage, où se trouvent chambres et salles de bains, pièce plutôt intimes, puis par une trappe au grenier, où sont entreposées mille malles et mille objets anciens. Un endroit sous clé, bien évidemment ... Quatre domestiques sont à son service. L'endroit est grand, presque impressionnant, très soigné.

Je préfére ajouter que l'époque actuelle, ce 21e siécle tonitruant, le dérange assez, au point qu'il sorte peu. Sauf pour aller à l'opéra, au théatre, au cinéma. Mais il ne se balade qu'à la nuit tombée, quand il sait qu'il croisera peu de gens.



C'est un vampire, certes, mais sachez qu'il vit assez bien la lumière du jour. Cependant, elle l'aveugle facilement et l'épuise ... Disons que son organisme est inverse au notre. Nous sommes plus épuisés et enclin au sommeil quand nous nous trouvons dans une salle sombre, non ? Eh bien pour lui, c'est le contraire parfait. L'obscurité l'anime - il est d'ailleurs nyctalope - mais la lumière du soleil le fatigue. Ses canines, certes pointues, sont peu apparentes, sauf lorsqu'il est affamé. Il ne court pas très vite, mais son corps est résistant aux coups, et il peut encaisser et répondre avec aisance. Et, contrairement à ce que l'on peut penser, ses tatouages ne sont pas ensorcelés et ne le protégent pas ... Ils sont normaux. Voici d'ailleurs leurs sens :

" So it goes " : aucune traduction littérale possible, mais on peut la comprendre par " Quoi qu'il arrive, la vie continue " ... C'est surtout une phrase qui lui redonne du courage.

" Requiem oeternam deo " : Pragmatique, il bannit les dogmes et croyances. Cette phrase est de Nietzsche, et je compte bien me la faire tatouer èé

Le signe infini : C'est un scientifique, et éminent de surcroit. Ce sigle le lui rappelle.

L'estampe : Symbole de renaissance, le bourgeon nait, éclot, meurt, renait ... Bref, pour un immortel comme lui, c'est un symbole important. Les couleurs rouges et noires rappellent le sang et l'ombre, son univers, et rejoignent ses veines, comme une continuité. C'est aussi un hommage à ce pays qui vient de l'adopter, le Japon.




( Doublette ... Eh, sérieux, tout le monde va me reconnaître, et j'ai un peu honte, mais ce perso me démangeait depuis tellement longtemps ... Please, LGJ, forgive me. )

* Si un jour, quelqu'un est tenté par ce PNJ ... Qu'il me fasse signe. Cela peut être amusant ... Promis, on ne versera pas dans le Jane Austen.

Mais non, on ne se doute pas du tout de qui tu es ! ^^

J'aime bien ce personnage. Il est vrai que j'ai un faible pour les vampires and co mais ça n’empêche rien. Quant à l'avatar, il me plait aussi.

Bref, rebienvenue à toi (:

Je ne devine pas non plus !

*éloigne kyoko parce que c'est SA chose na lui et il préfère faire en sorte que personne y touche  ! xD*

en tout cas, rebienvenue !

Merci beaucoup (:

Je pense que l'on ne tardera pas à découvrir qui je suis ...

Je ne vois pas du tout non plus (je n'arrive à deviner que pour Sya et Alice :p)

Vampire hein ? *Se change en Vampire* Re-bienvenu ^,^

Merci beaucoup 

Je ne vois pas qui tu es non plus ! 


Suis étonnée que cette fiche ne soit pas encore validée, alors hop ! J'ai l'honneur et le privilège de le faire. *tend une tasse de thé au médecin*

Merci beaucoup :3

* prend la tasse de thé en s'inclinant légérement *

Et bien re-bienvenu à bord, personnellement je n'ai absolument aucune idée de qui se cache derrière ... Faut dire que je suis pas douer pour ses trucs là ^^

Je ne dévoilerais rien, héhé.

Un petit " Up ! " pour signaler que j'ai rajouté ses "particularités" en tant que vampire, et les significations de ses tatouages, tout en bas de la fiche. Voilà (: