Mélange improbable entre un poisson, une femme et une louve personne ne sait d’où vient cette créature. On ignore même s’il s’agit d’une mutante, d’une nouvelle espèce d’hybride ou bien la dernière représentante d’une race aujourd’hui disparut.
Son histoire est encore entourée de mystère car elle ne se souvient plus de rien. Son esprit n’est qu’une mer de brume et malgré toutes les tentatives de la mage rouge, elle ne la toujours pas retrouvée. Elfe suppose que celle si est désormais perdue et que rien ne pourra la faire revenir. Cependant, elle ne considère pas cela comme dramatique et reste pleine de vie, heureuse de vivre avec elfe.
Leur rencontre est d’ailleurs relativement étrange. En effet, elfe avait eut vent de rumeurs ayant lieu dans un petit village isolé. La rumeur faisait vent d’un monstre terrorisant les habitants et d’une récompense si on pouvait se débarrasser de lui. En tant normale cela ne l’aurait sans doute pas intéressé, mais le harem avait besoin d’argent et puis elle devait l’avouer, elle était curieuse de savoir si oui ou non, il s’agissait d’un vrai monstre ou bien d’un vaste canular.
Elle se mit donc en route accompagnée de Lorna, qui depuis le temps était devenue son ombre mais également de Kella . La pauvre centauresse avait besoin de se défouler, elle avait besoin de courir sur des terres inconnues.
Le chemin fut rapidement fait et l’elfe commença à négocier le prix de la chambre pour ses amantes. Certes, elle ne fut pas la bienvenue, cependant le fait qu’elle promette de débarrasser les environs de la bête lui permit de ne pas avoir de problème.
L’elfe observa durant plusieurs jours les rites des villageois, elle analysa les points d’attaques et en déduit que la créature recherchait seulement de la nourriture, en effet, elle ne s’attaquait qu’à des entrepôts ou des places de marchées. Elfe prit donc les mesures nécessaires pour que celle-ci ne s’attaque plus aux réserves de nourriture, mais curieuse, elle tenta de retrouver la bête.
Elle n’y arriva pas et dut s’arrêter dans une grotte, en effet, elle fut surprise par des brumes plus épaisses qu’un nuage. Dans cette grotte elle trouva une créature étrange. Et elle en déduit sans mal que c’était elle le monstre. Elle tenta de communiquer, mais aucune langue ne semblait convaincre cette créature de ne pas attaquer, car l’intrusion de Tinuviel dans sa grotte avait provoqué des grognements, puis des postures relativement menaçantes.
Elfe tenta grâce à ses chants l’elfiques d’apaiser cette créature. Celle-ci, même si elle ne comprenait pas les paroles, elle semblait être apaisée par le rythme lent et profond de la mélodie. Elfe en profita pour s’avancer avant de voir l’état d’esprit de la créature. Elle avait faim, mais surtout elle avait peur.
L’elfe réfléchit quelques minutes puis tenta de la rassurer grâce à des images. Elle s’occupa ensuite de trouver de la nourriture pour la créature.
Au final, l’elfe trouva le moyen de communiquer avec elle. Elle ne parlait pas, c’était vrai, mais elle était capable de ressentir des émotions et ce fut ainsi que elfe échangea avec elle des idées et des sentiments. Dans les images de la créature, il y avait du froid, de la faim et surtout de la solitude.
Elfe fut prise de pitié et la prit avec elle. Elle lui offrit de la nourriture et un toit, se demandant si elle pourrait faire parler cette jeune femme. Elle échoua, elle l’avoue mais elle ne regrette pas d’avoir pris une si étrange créature sous son aille.
L’histoire d’ Anubia est sans doute un étrange coup du destin. La première chose à savoir c’est que les dieux Grecs ne sont pas les seuls à être vénérés sur Terra, non, il existe aussi des cultes dédiés aux dieux égyptiens. Mais intéressons nous quelques minutes à un culte en particulier. Le culte du dieu Anubis. Pourquoi s’intéresser à un culte tel que celui-ci, certes il priait avec ferveur leur dieu mais c’était la seule et unique chose qui sortait un peu de l’ordinaire pour ce culte.
Du moins, jusqu’à l’arrivé de la terranide, celle-ci en effet eut la chance ou la malchance de ressembler énormément au dieu à tête de chacal. La jeune femme avait l’habitude de marcher au hasard, subsistant avec peine dans cette nature hostile mais son arrivée au culte provoqua un véritable bouleversement dans les habitudes de groupe de fidele et dans la vie d’ Anubia
En effet, de part sa ressemblance, le groupe crut à une apparition d’un émissaire de leur dieu. Une rumeur se propagea même dans le culte, cette femme serait en réalité le dieu Anubis en reconnaissance pour la création de son nouveau monde de ténèbres. Le nom de la terranide n’aidant pas vraiment elle fut finalement prise pour le dieu destructeur avec les avantages que cela lui procurait. En effet, elle fut bientôt couverte d’or, de parfums et pierres précieuses, bien sur qu’elle savait qu’elle n’était pas l’incarnation du dieu Anubis et donc que ces cadeaux ne lui étaient pas destiné. Pourtant, avoir une dizaine d’humains satisfaisant le moindre de vos caprices était si plaisant qu’elle laissa planer le mensonge. Tant et si bien, qu’il dura encore et encore durant des mois, puis des années… Cependant, le mensonge fini par éclater et des lors les choses furent bien moins agréables pour la Furry. Dans un premier temps, on proposa de la sacrifier au dieu des ténèbres. Cependant vu le blasphème qu’elle avait provoqué, on la jugea indigne de recevoir un si grand honneur… Non, il fallait lui trouver un châtiment digne de cette saleté de créature. Elle qui se jouait d’eux depuis plusieurs mois déjà.
Ce fut finalement une des membres du culte qui eut l’idée de vengeance suprême. Le culte élevait un groupe de chien du désert particulièrement sauvage, il s’agissait de véritables monstres avides de sang, de chaire et de combat. D’ici quelques temps commencerait la période de ruts de ces monstres et cette catin serait justement le jouet idéal pour eux. Cette idée fut jugée cruelle, mais d’un autre coté elle le méritait.
Durant trois semaines c'est-à-dire la période de rut de ces démons, la jeune femme fut soumise aux pires supplices. Ses journées et ses nuits se résumaient à des chevauchées teintées des pires violences et des pires humiliations possibles. Après tout, elle restait en partie humaine et son rôle n’était pas de satisfaire un ersatz de chien de combat. Oui, elle était malheureuse, car elle n’avait aucune dignité, aucune considération.
Après ces trois semaines, l’état de la jeune femme était des plus préoccupants. En plus des blessures physiques, son mentale avait était mit à rude épreuve et elle ne souhaitait plus qu’une seule et unique chose, mettre fin à sa vie. Cependant non, le culte avait un autre projet pour elle. Elle allait être vendue à une femme dans un pays qui payerai une forte somme pour elle. A vrai dire cette somme était assez conséquente pour combler les dettes de la créature.
Elle fut donc ligotée avant d’être envoyée dans le harem de l’elfe rouge. Elfe qui d’ailleurs apprécia que moyennement sa nouvelle protégée était séquestrée et surtout martyrisée. Bien que les premiers temps furent particulièrement tendus entre l’elfe et la créature. L’atmosphère se réchauffa cependant peu à peu. En effet, L’elfe comprit un peu les petites faiblesses de la créature. Au final et grâce à quelques cadeaux et quelques petits compliments quotidiens, il ne fut pas difficile pour l’elfe de gagner la confiance de cette créature. Une fois que ce fut fait, elfe proposa à la jeune femme de la soigner, au moins physiquement. C’était le minimum qu’elle pouvait faire pour elle. Après la jeune femme aurait le choix. Recommencer une autre vie ou bien rester ici avec elle.
Honnêtement, elle hésita durant de longues heures, cependant cette expérience avec le culte l’avait assez refroidie. Et puis, elfe ne semblait pas être trop méchante. Alors, malgré ses réticences, elle accepta de rester ici.
Rika la danseuse. Son histoire est relativement courte car comparé aux autres, il n’y a pas grand-chose à raconter sur celle-ci. Elle ne comporte ni drame, ni lutte, au final, c’est sans doute l’histoire de nombreux terranides. Elle grandit dans un élevage de terranide, construit pour répondre à la demande d’un noble fortuné. Celui-ci voulait des esclaves toujours fraiches avec lesquelles il pourrait jouer puis se débarrasser. Ce fut dans cet endroit glauque qu’est née Rika. Elle avait cinq ou six ans quand le noble qui finançait le projet fit faillite. Il perdit tout du jour au lendemain aux jeux, pariant plus que ce qu’il n’aurait dut.
Pour ne pas finir ruinés, les esclavagistes en charge du projet, se débarrassèrent de leurs esclaves. La gamine trop jeune pour finir dans un bordel, fut vendue à une école de danseuse. Les journées n’étaient que travail pour la pauvre gamine qu’elle était, elle ne comptait plus les heures, cependant lorsqu’elle sortie de cette école, elle avait un véritable métier. A partir de la, elle commença à se produire dans les palais, les villas. Bref, partout ou la richesse était capable de payer des sommes folles pour animer le temps d’un soir un bal ou bien une fête. Cette délicieuse danseuse était l’une des étoiles montantes et bientôt sa réputation fut relativement reconue. Elle ne connut cependant jamais la gloire ou la fortune. Pourquoi ? Une histoire de rivalité, ou un simple incident. Le résultat était le même. Elle fit une mauvaise chute et ne put jamais recommencer à danser. Cela, elle l’avoua, l’attrista profondément. Elle aimait cela, même si elle en avait bavé pour arriver jusque la.
Elle consulta avec ses maigres économies les meilleurs médecins du pays, allant jusqu’à s’endetter pour espérer danser. Cependant, personne ne réussit à la guérir, la blessure étant trop ancienne.
Au bout de quelques jours, on vient réclamer ce qu’elle devait. Voyant qu’elle n’arriverait jamais à rembourser ce qu’elle devait, elle décida de se vendre elle-même, sachant que comme cela, elle pourrait au moins se vendre à un prix descend. Elle attendit une grande vente d’esclave avant de se vendre elle-même. Elle se vendit relativement bien mais ce qui fit monter les enchères ce fut réellement un coup de bluff de sa part. Elle dansa une dernière fois, aggravant encore une fois ses blessures mais ne laissant rien paraitre. Ce fut l’heure de la mise en vente. La terranide avait beau avoir extrêmement mal, elle s’était fait plaisir une dernière fois et si jamais elle tombait sur quelqu’un qui ne lui plaisait pas. Elle s’arrangerait pour ne pas subir trop longtemps cette vie d’esclave.
Tinuviel comme d’habitude avait été conviée à ce genre d’événement. Il fallait dire que l’elfe était prête à donner une somme relativement astronomique pour un coup de cœur. Le rêve de tout marchant d’esclave quoi. Jusqu’à présent personne n’avait réellement retenue l’attention de l’elfe, au il y avait bien une ou deux terranides qui lui firent un peu de l’œil mais rien de plus. C’était jusqu’à l’arrivée de la jeune danseuse. L’elfe en plus de la trouver splendide, devait lui reconnaitre un talent certain. Elle avait connu effectivement une belle danseuse et elle la revoyait dans cette terranide, il y avait la passion, l’envie et surtout le plaisir dans cette danse. Au final, l’elfe dépensa trois fois le budget qu’elle avait prévu pour acquérir la belle créature, mais elle ne le regrette pas. Si l’elfe avait acquis le corps de la jeune femme, elle savait qu’elle n’avait ni son cœur, ni son âme. Elfe tenta donc de se montrer le plus agréable et la plus prévenante que possible. Pourtant, elle n’arrivait pas à convaincre la jeune femme de se livrer à elle. Elle était bien trop prude pour cela. Elfe pouvait cependant lire cette tristesse présente dans ses si beaux yeux. Elle connaissait bien cette tristesse, celle des rêves brisés. Mais pourquoi ?
Elle mit longtemps avant de pouvoir comprendre pourquoi la situation était si familière. Elle avait déjà eut une jeune danseuse dans le même cas, impossible pour elle de danser et c’était sans doute ce qui rendait la jeune femme triste. Elle ne l’avait vu danser qu’une seule et unique fois, puis plus rien. Pourtant elle était sur qu’elle adorait cela.
Elfe lui posa donc directement la question. La furry tenta de la convaincre que non, qu’elle se faisait des idées. Puis, elle fini par craquer et tout dire à l’elfe. Elfe que se contenta de sourire avant de passer sa main sur la jambe de la jeune femme, soignant doucement mais surement cette demoiselle. Elle lui ordonna ensuite de danser.
La Furry eut les yeux grands comme des soucoupes. C’était l’ordre le plus étrange et accessoirement le plus cruel de sa vie. Elle souffrirait le martyr et cela pour rien mais sa condition d’esclave l’obligeait à suivre cette ordre. Elle fit un pas puis un second, constatant avec bonheur que sa douleur c’était envolée. Durant trois courtes heures, l’elfe regarda émerveillé cette danseuse alternait les pas, les sauts dans de nombreux styles différents. Puis, la demoiselle s’arrêta, essoufflée, fatiguée mais souriante comme jamais. Elle se mit à genoux remerciant l’elfe encore et encore, lui demandant après de longues minutes comment elle pourrait remercier l’elfe. Celle-ci , s’approcha doucement d’elle, l’embrassa sans lui demander autre chose. Elle eut juste un petit sourire avant de lui dire :<< Reste avec moi, s’il te plait.>> Et elle accepta.
Les fées ne sont pas spécialement reconnue pour leurs aptitudes à la luxure , on pourrait même dire que cette discipline leur est le plus souvent étrangère. En effet la majorité des fées ne sont pas issue de l’union charnelle de deux êtres mais le plus souvent de la magie. Les fées naissent le plus souvent dans le cœur de fleurs en fonction de condition bien particulière. Personne ne connait réellement ces conditions, on prétend par exemple qu’il faut attendre la première nuit de pleine lune au moment exacte ou les rayons lunaire touchent la première fleur du printemps.
Donc hormis quelques rares cas préalablement corrompue par des êtres irresponsables, les fées sont des créatures totalement insensibles à l’art de la luxure. Pourtant les mages rouges les plus célèbres vous diront que la cyprine de fée est un élément particulièrement puissant malgré sa rareté. Le rêve de nombreuses succube est de mettre la main sur ce liquide aussi rare que précieux et celles qui y sont parvenues sont aujourd’hui de puissante créature démoniaque.
Cependant il y a chez les fées un élément encore plus puissant et recherché chez les fées. Leurs ailes. Ces éléments ayant des pouvoirs extra ordinaires et pouvant atteindre des milliers de pièce d’or l’unité sur le marché noir.
Et voila le problème, vu le prix que coute une aile de fée aujourd’hui, de nombreux chasseurs de primes se sont spécialisés dans la capture et la vente de ces composés magiques. Cela a eut de grave conséquence sur les populations de fées. En effet, moins on trouve de fée et plus les prix augmentent jusqu’à atteindre des sommets inimaginables. Ce fut un cercle vicieux, car plus les fées se font rares et plus la traque est acharnée.
Laéris, jusqu’à il y a peu de temps vivait heureuse dans un petit village loin de tout. Celui-ci était protégé par de nombreux sort d’illusion. Le rendant invisible pour tous ceux qui n’étaient pas fée. Cependant ce type de sortilège a un léger défaut, il déforme légèrement l’image de la zone qu’il protège. Cela ne se voit généralement pas au premier coup d’œil. Cependant cette légère différence est sans doute ce qui est à l’origine de tous les malheurs de cette fée.
En effet, il y eut un homme qui réussit un jour à découvrir cette petite communauté. Il engagea des mercenaires et se lança à l’assaut. Le résultat fut abominable. Durant des heures, les fées firent ce qu’ils ( car il existe en effet des fées masculines) purent sans succès. Il y eut des cris, des pleurent, puis un silence sans fin. La majorité des habitants était désormais enfermée dans des flacons, résignée. Ils connaissaient tous ce qui se produisait lorsqu’on réussissait à les attraper.
La pauvre Laéris, avait beau se débattre, rien n’y faisait, la fiole qui était sa prison ne bougeait pas d’un pouce. Pourtant, cette combativité ne dura pas. En effet, elle assista rapidement au même rituel macabre. Chaque jour, un ou l’une de ses amis était sacrifié, ses ailes arrachées vives condamnant le pauvre ou la pauvresse à une mort lente et horrible et ou durant des heures on l’entendait hurler de douleur. Ces cris déchiraient ses oreilles autant que son cœur. Elle vit les jours, puis les semaines passer. Elle fut bientôt la dernière heureuse finalement que son calvaire prenne fin. Elle se consolait en se disant qu’elle aurait au moins elle retrouverait ces frères.
Pourtant lorsque vint finalement son tour, au lieu de la découper en rondelle comme elle s’y attendait, on se contenta de lui accrocher un collier à sa taille le long du cou avec une laisse métallique pour celle-ci ne s’envole pas. On l’avait vendu, elle, lui ôtant le peu d’honneur qu’il lui restait.
Elfe avait entendue parler de cet homme et c’était débrouillé pour en acheter une. Elle avait eut d’ailleurs une chance monstrueuse car il n’en restait qu’une et elle était justement une femme. Et grâce à elle, elfe l’espérait, elle pourrait terminer son grand projet. Elle récupéra donc la fée. Qui se contenta de l’ignorer. L’elfe soupira, lui demandant ce qui n’allait pas. Et ce fit incendier par cette petite fée. D’un autre coté comment pouvait-elle savoir ?
Elfe défit finalement les liens de la fée, lui offrant sa liberté, elle ne pouvait pas la retenir ici, après ce qu’elle avait vécut et tant pis pour ses projets.
La fée tenta de s’envoler. Cependant elle n’y arriva pas. Cela faisait trop longtemps qu’elle ne l’avait plus fait et ses muscles s’étaient entre temps atrophiés. Elfe lui proposa donc de l’héberger quelques temps, le temps que celle-ci reprenne des forces. La fée accepta donc, elle n’avait de toute façon, pas le choix, dehors elle était une cible facile, trop facile. Alors que chez cette femme, elle avait une chance de vivre, celle-ci ne semblait en effet pas en vouloir après ses ailes, sinon elle les lui aurait déjà arrachées.
Les premiers temps furent très tendus, en effet la fée ne voulait absolument pas voir l’elfe, se cachant comme elle le pouvait pour lui échapper. Cela lui permit cependant d’en savoir plus sur cet endroit étrange. Il y avait cependant un étrange rituel, un rituel qui se pratiquait le plus souvent le soir, mais parfois aussi à d’autre moment de la journée. La fée, observait cela avec une curiosité importante. En effet, elle cru d’abord au vu des cris que poussaient les jeunes femmes à une sorte de torture, cependant elle changea rapidement d’opinion.
Surprise, elle profita d’une des nombreuses absente de l’elfe pour aller voir Horo, la terranide lui inspirait confiance sans qu’elle ne puisse se l’expliquer. La terranide la prit donc sous son aile, le temps que la fée comprenne ce qu’il se passait vraiment ici. Elle lui expliqua ce que l’elfe avait fait pour toutes les femmes mais également ce qu’il se passait vraiment ici, le soir. La fée ne comprenait pas que l’on puisse éprouver un tel plaisir avec des pratiques si sommaire. Elle observa donc l’elfe durant l’une de ses séances nocturnes et tenta de reproduire cela sur elle-même. Le résultat fut assez troublant pour que la fée essaye d’en savoir plus sur cela. Elle se dirigea d’elle-même vers l’elfe du soleil. Il s’en suivit un dialogue assez cordial ou elfe lui expliqua ce qu’elle voulait savoir et lui proposa même de l’initier à ce genre de pratique, jouant sur la curiosité des fées. Fée qui accepta, cela lui fit bizarre au début, cependant elle dut avouer qu’elle aimait cela. Elfe prenait en effet soin d’elle et mine de rien, elle se sentait de mieux en mieux ici. Elle prit donc le temps de réfléchir, et pendant ce temps, elfe raffermissait son emprise sur la petite fée. Petite fée qui justement n’était plus si petite que cela puisque pour profiter au mieux de ces nouvelles expériences, prit la taille d’un être humain.
Depuis le temps, la fée est désormais à sa place chez elfe. Elle apprécie ces étreintes mais également l’atmosphère du lieu et n’hésite plus pour donner une partie d’elle-même pour les folles inventions de la dame rouge.
Artica est sans doute une particularité au harem. En effet, il ne s’agit pas d’une femme comme les autres, puisque cette jolie demoiselle une hermaphrodite. Une particularité qu’elle a obtenue dès sa naissance et qui ne semble pas avoir dérangé ses nombreux partenaires. Car s’il y a bien une chose qui plait à cette bisexuelle convaincu c’est les expériences qu’elle peut vivre. Ainsi elle ne se refuse rien de puis des années. Cependant de part sa constitution un peu bizarre elle s’est vite rendu compte que certain homme n’accepterai pas de jouer avec elle. Mais ce que l’on pouvait penser d’elle, elle s’en moquait, la seule chose qu’elle prenait en compte était le plaisir qu’elle prenait et qu’elle donnait. Elle testa donc de multiples choses : des plus simple comme le sexe oral, la masturbation, l’utilisation de jouet mais également des choses plus extrême voir même totalement Triolisme, sexe anal, bondage et la liste et encore longue.
Un jour, elle fini par rencontrer quelqu’un, une jeune femme qui l’acceptait comme elle était mais qui était malheureusement pour elle était un peu trop conservatrice. Artica resta donc durant plusieurs semaines avec cette jeune créature. Elle fit son maximum pour lui être fidèle et y parvient durant quelques temps, cependant la tentation fut trop forte. En effet, l’hermaphrodite eut une aventure d’un soir. Aventure qui tourna court puisqu’elle fut découverte par son amie du moment. Cela provoqua une vive et violente dispute et Artica fut mise à la porte. Elle avait beau savoir que c’était normale après ce qu’elle venait de faire, cela restait extrêmement dur pour elle.
Elle sortit donc et resta sur les routes. Elle eut plusieurs aventures en chemin, mais cela ne la comblait que momentanément et à vrai dire il lui en fallait de plus en plus. Elle s’arrêta dans une petite ville ou elle entendit une rumeur. Cette rumeur disait qu’il existait un endroit ou les femmes pouvaient vivre leurs passions sans avoir peur d’être jugée et qui était dirigé par une adepte de la luxure. Elle tenta donc de trouver cette endroit, se disant que la bas, elle n’aurait pas de mal pour combler ses pulsions.
Ce voyage durant une semaine supplémentaire, une semaine d’abstinence supplémentaire. Autant dire que lorsqu’on lui ouvra elle crut que l’heure de sa délivrance venait de sonner. Elle se précipita donc sur la pauvre femme qui lui ouvra, c'est-à-dire Celsius. La furry ne se laissa cependant pas faire, loin de la. Elle congela son agresseur avant de la porter à l’elfe. Après tout , elle était la seule a pouvoir faire fondre ce bloque de glace ici et comme son but n’était pas de tuer cette nouvelle venue.
La kitsune eut donc des comptes à rendre expliquant ce qu’il s’était passé. Heureusement pour elle que Celsius ne s’était pas donné à fond car sinon. Enfin, ce ne fut pas bien difficile et elfe put donc interroger cette vandale. Elle soupira lorsqu’elle comprit que ce n’était qu’un mal entendue. Et lorsque cette jeune femme lui demanda de rejoindre le harem, elfe accepta cependant elle y mit quelques conditions. Interdiction de toucher à celles qui ne le voulaient pas et surtout considérer chaqu’une des femmes ici comme sa famille.
Elle réussit donc à contrôler la libido de la jeune femme, grâce à un petit programme de son cru et quelques accessoires et le résultat semble convenir à cette jeune femme puisque désormais elle a trouvée un point d’ancrage.
Les lamias sont des amantes extrêmes. Elles sont à la fois délicieuses mais surtout particulièrement dangereuses. Elles sont violentes, sadiques et ont un appétit a toute épreuve. Malgré cela de nombreux nobles tentent d’en dresser pour en faire de jolis animaux de compagnie. La seule solution était de les faire dresser par des mages et encore, le contrôle était relatif, on ne compte plus le nombre d’humain décapités ou serrés tellement fort qu’ils en furent étranglés. Bref, l’elfe y réfléchit plusieurs fois, cependant elle abandonna vite le projet estimant qu’une lamia était une créature bien trop sauvage. Il y avait en effet des risques non négligeables. Le pire était qu’elle s’en prenne à une de ses amantes.
Voila pourquoi le projet fut avorté. Elfe y renonça estimant que le jeu n’en valait pas la chandelle.
Du moins jusqu’à un jour particulier. L’elfe arpentait le désert du harem comme à son habitude, cependant et elle ne comprenait pas pourquoi, mais elle sentait une odeur étrange. Une odeur qu’elle ne connaissait pas mais qui n’était pas franchement agréable. Plus elle avançait en direction de cette odeur et plus celle-ci se faisait forte. Au bout d’un moment, l’elfe tomba sur la source de cette puanteur et cette vision lui donna un haut le cœur.
Devant ses yeux se trouvait une dizaine de corps dans un état de putréfaction avancée, cependant et c’est surtout cela qui choqua la elfe, il manquait la tête à tous ces pauvres bougres. Oui, tous avaient été décapités. Autant dire qu’il ne s’agissait pas d’une bête mais bel et bien d’une créature doté de raison. Il y avait également plusieurs traces de morsure.
L’elfe comprit immédiatement que celui qui était responsable de ce carnage pouvait s’en prendre à ses amours et elle se mit donc à sa recherche.
Il lui fallut quelques jours, mais finalement elle mit la main sur cette créature. Une lamia, une lamia qui avait élue domicile ici, mais celle-ci ne se laissa même pas approché et l’attaqua directement. L’elfe du évité un coup de croc mortel d’un bond et tenta de répliquer par une boule de feu.
Le sort ne parvient pas à transpercer les protections antimagiques de la créature. Un coup d’épée de l’eau, mais l’elfe ne se laisserait pas faire.
Au bout d’une heure de combat acharnée, l’elfe réussit finalement à porté un coup létal. Sous sa forme de louve, elle avait réussit à trancher la jugulaire de la serpent qui désormais agonissait dans des souffrances inimaginables. Elle en fut un peu triste, n’ayant aucune haine pour cette créature mais n’ayant pas envie de mourir. Elle explora un peu plus la tanière de la créature essayant de trouver des objets magiques ou d’autre relique intéressante, mais elle tomba sur quelque chose de plus intéressant.
Elle tomba effectivement sur une chose qui la surpris, mais qui expliquait pas mal de chose. Dans un coin de la grotte des dizaines de petits serpents grouillants… Des bébés, des bébés lamia. Malheureusement pour eux, leur mère étant morte, ils ne survivraient sans doute pas et impossible pour l’elfe de les récupérer puisque il avait déjà goutté à la chaire humaine. Cependant, il restait encore un espoir pour un ou pour une de ces étranges reptiles. En effet, il y avait encore un œuf non éclot. Elfe prit donc la décision de le récupérer, laissant les autres à leur triste sort.
Ce fut en chemin que l’œuf éclot. Elfe prit réellement conscience de ce qu’elle venait de faire à ce moment précis et la petite chose qui recherchait de la chaleur se dirigea naturellement vers l’armure de l’elfe ou elle trouva ce qu’elle désirait.
Arrivé au harem, elle tenta de savoir si jamais cette créature serait un futur homme ou une future demoiselle. Le destin et la génétique surtout voulurent que ce soit une femelle, en effet le nombre de lamia male est pratiquement égale à zéro. En effet les femelles n’en ont pas besoin puisque leurs gènes sont dominants sur les autres espèces.
Une fois arrivé au harem, son éducation commença. L’elfe l’aimait comme une mère mais elle se montrait intransigeante notamment sur les signes d’agressivités. L’elfe l’éduquait mais la soumettait également à un régime magique pour que son corps et son esprit grandisse de manière plus rapide tout en étant équilibrée.
Le résultat fut spectaculaire et dépassa toutes les espérances de l’elfe. La seule chose qui trahit l’utilisation de la magie est la modification de ces oreilles qui sont désormais comme celle de l’elfe. Une histoire d’harmonisation d’essence pense elle, enfin ce n’est pas bien grave. Cette lamia est donc une petite perle. Mais cette jeune fille comme toute lamia devait devenir tôt ou tard une femme, hors pour cela, la mère de la lamia doit l’initier à la sexualité.
Cela se produisit, alors que la jeune serpente la surpris dans l’un de ses jeux nocturne, l’instinct se fit plus fort et cette jeune femme âgée de dix huit ans, la ligota violement dans sa queue lui caressant doucement la peau de ses deux mains alors que la pauvre lorna n’osait plus bouger.
Tinuviel comprit à cet instant que si jamais elle ne voulait pas devenir le jouet de sa fille, elle devrait menait la danse, lui prouver qu’elle était la maitresse.
La nuit fut courte, mais la lamia comprit que sa « mère » était encore la meilleure. Cependant, cette expérience fut des plus plaisantes et elle en redemanda encore… Voila comment de fille, la demoiselle devient amante.
Sa croissance étant désormais fini, elle ne changera plus désormais, du moins physiquement, car mentalement elle continue pour faire plaisir à maman à étudier. Mais son instinct reste fort et l’elfe doit la surveiller pour ne pas qu’elle ne se montre dangereuse.