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Un viol interromput pour un viol. [Mélinda Warren]

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Coco Miranda

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Un viol interromput pour un viol. [Mélinda Warren]

mardi 24 janvier 2012, 20:28:12

Pour Sucrette, les cours n'avaient plus lieux d'être, pour l'unique raison que son professeur de math était absent, la cause étant la maladie. Il n'aimait pas attendre à ne rien faire et sa demi-sœur ne lui avait donné aucun ordre, ce qui lui permettait de faire un tour vers le centre commerciale. Il avait des achats à faire, certains collants commençant à s'effilocher.

Il décida de prendre le métro, ayant vu que la route était totalement bouchée par le trafic dense.  Sucrette fit avant un petit tour aux toilettes pour hommes et se mit à réajuster un peu sa chemise blanche et sa veste rouge. Il se mit à retirer de faux plis sur sa jupe noire qui était courte, heureusement ses collants noirs semi-transparents étaient en bonne état.

Il passa ensuite vers son casier, mettant son sac et ne prenant sur lui qu'un petit sac à main avec son argent et une petite trousse pour se maquiller et se coiffer.

Sucrette se permit tout de même de recoiffer un peu ses cheveux et passer un peu de rouge à lèvre.

Ce qu'il ne savait pas c'est que depuis la sortie des toilettes il était traqué, Coco bien qu'étant une divinité n'avait pas réellement le besoin de sentir le danger arriver, après tout il était serviable et gentil, lui faire du mal serait une pure perte de temps. 

Quand il sortit de l'enceinte du lycée, il se mit à marcher d'un pas souple vers l'arrêt du métro, descendant les marches avec légèreté, ce qui n'était pas le cas des gros-lard derrière lui. Sucrette paya son ticket et monta dans le métro à destination du centre commerciale, la malchance voulu que toutes les filles de son bahut face la même chose, ce qui fit que les wagons étaient bondés.

Coco sentit tout d'abord une caresse sur sa croupe, il ne réagit pas, jugeant que cela devait être une personne qui tentait de se faufiler dans la foule pour rejoindre une autre personne.
La seconde caresse mit le doute dans la tête de Coco, qui n'eut pas le temps de comprendre que déjà un couteau se mit à caresser sa gorge. Sucrette se mit à frémir, être immortel au temps ne veut pas dire être insensible à la mort physique.

Un souffle se mit à frôler son oreille droite et un murmure se fit entendre.

- En temps normal on n'aime pas les travelos, mais si tu te montres bien docile on te laissera partir en un morceau pour cette fois-ci.  Les gars et moi on veut voir comment tu peux faire une bonne chienne.

S'en suivit des rire gras derrière Coco, qui ne pouvait tourner la tête sous la peur de sentir la lame lui égratigner la gorge. Il ne pouvait se permettre de se faire blesser, que dirais sa demi-sœur. Un des gars se mit à vouloir insérer dans la bouche de Coco une boule reliée à deux lanière de cuir, un gag-ball (désolé je ne connais pas la traduction française), Coco essayant quand même de refuser cela, il reçut un coup dans l'estomac, l'obligeant à ouvrir sa bouche.

-La prochaine fois que tu ne te soumets pas c'est à poil que tu vas sortir de ce wagon, c'est clair ?

Coco sentit que le mec ne rigolait pas du tout, ses mains furent saisit et il entendit deux gars rire. La divinité sentit deux membres et sut immédiatement ce qui allait arriver, aussi prit-il les membres en main, non sans que l'on voit que cela n'était pas de gaieté de cœur. 

Si Coco aime les hommes, ce n'est pas en étant traité de cette manière. Mais il n'avait pas le choix, c'était ça ou risquer de perdre la vie. 

Sucrette connait à quel point les humains peuvent devenir violent soumit à une pulsion, il espérait juste que ce groupe allait se contenter d'une seule fois et le laisser tranquille.

Il sentit une main se balader sur son fessier, sa première fois avec un homme risquait d'être douloureux et une bien mauvaise expérience.
« Modifié: mardi 24 janvier 2012, 20:58:03 par Coco Miranda »
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Mélinda Warren

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Re : Un viol interromput pour un viol. [Mélinda Warren]

Réponse 1 mardi 24 janvier 2012, 22:06:45

(Je crois qu’on dit « gag-ball » aussi en français !)

Silencieusement, Mélinda lisait dans le métro. Elle revenait, comme n’importe quelle lycéenne, du lycée, après s’y être amusée dans des toilettes isolées avec un lycéen qu’elle avait repéré dans une salle. Elle n’avait eu aucune difficulté à le soumettre dans des toilettes, à boire son sang, puis à lui faire l’amour, comme elle l’affectionnait généralement. Se retrouvant maintenant dans le métro, elle était assise sur un banc, et lisait un roman.

Lire dans un métro n’était pas une tâche facile, mais elle s’exerçait depuis un certain temps, et savait comment se débrouiller. Elle se tenait au fond, et on évitait généralement de la déranger. Bien des lycéens commençaient à la connaître, et, partant de là, on commençait à la redouter. Ce n’était pas pour la déranger, dans le fond. Elle entendit alors des bruits de la part du fond du métro, et tourna la tête.

Un groupe de jeunes. Ils semblaient s’amuser entre eux, mais elle ne tarda pas à comprendre ce qui se passait. Il y avait au centre du groupe une fille qui avait l’air assez timide et fragile. Fronçant les sourcils, Mélinda vit qu’elle n’avait pas du tout de poitrine, et elle comprit qu’elle s’était probablement trompée. Cette femme… C’était un homme ! Un homme efféminé qui s’habillait avec des vêtements de filles, et portait même un sac à main ! Les lycéens, assez âges, portaient un couteau, et l’entouraient, leurs membres formant de belles bosses, tandis que les douces mains de l’homme se promenaient sur les membres des lycéens. On lui attacha un gag-ball autour de la bouche, étouffant ses gémissements.

Après quelques hésitations, Mélinda referma posément son livre, et s’approcha à pas feutrés du groupe.

« Allez, mon mignon, allez, caresse bien ! Sens ces gros membres ; c’est ce qu’il te manque, non ? »

Les hommes rigolèrent, amusés à cette idée. Mélinda s’approcha de celui qui semblait être le meneur. Dans le métro, d’autres gens commençaient à les regarder, curieux devant cet attroupement. Silencieusement, la vampire vit que l’un d’eux avait un téléphone portable, et l’utilisait pour filmer la scène. L’homme était à genoux sur le sol.

« Excusez-moi », fit Mélinda en posant sa main sur l’épaule du meneur.

Ce dernier se retourna, et vit la femme, avant de la pousser, posant sa main juste au-dessus de ses seins.

« Dégage, salope, je m’occuperai de ton cas ap… »

L’homme n’eut pas le temps d’achever. Mélinda l’attrapa à la gorge. Le lycéen était plus grand qu’elle, mais elle était une vampire. Elle le souleva en l’air, et l’envoya s’écraser violemment contre la vitre à proximité. Le lycéen poussa un grognement, et des zébrures filèrent le long de la vitre. Elle lâcha son corps, et le lycéen s’effondra mollement sur un siège. Surpris, les jeunes se tournèrent, et l’un d’eux attaqua avec son couteau. Mélinda l’évita aisément, et ses griffes l’attaquèrent à la gorge. Le sang du lycéen explosa, et elle le renversa çà l’avant du wagon. Le métro s’arrêta à une station, et les autres passagers fuirent rapidement, poussant des cris terrorisés. Mélinda regarda les hommes restants, et leur sourit.

« C’est moi qui dirige les opérations, maintenant.
 -  Putain, mais t’es qui, toi ? » s’exclama l’un des lycéens.

Fronçant les sourcils, Mélinda bondit vers lui, et le renversa sur le sol, tandis que le métro repartait. Elle plaqua son pied sur sa tête,

« Je suis ta reine, p’tit con ! »

Elle regarda les autres lycéens en grondant, ses griffes se mettant à pointer. Certaines s’égouttaient du sang qu’elle avait pris en tranchant la gorge d’un lycéen, qui rampait misérablement.  Mélinda lécha ses griffes, et alla vers l’homme, lui buvant le sang jusqu’à le tuer. Elle le laissa ensuite, inerte, sur le sol, et essuya d’un revers de sa manche le sang qui dégoulinait sur son visage, retournant vers le jeune homme. Elle se posta devant lui, et caressa ses joues tendrement.

« Pauvre petit, murmura-t-elle. Ces lourdauds allaient te faire l’amour sans moi, mon pauvre enfant… Heureusement que j’ai décidé d’intervenir… »

Du petit gang qui avait attaqué le jeune homme, il ne restait plus que deux hommes, Elle les regarda tour à tour. Ayant du mal à comprendre ce qui se passait, les lycéens regardaient à droite et à gauche, tandis que le métro approchait d’une autre station. Mélinda leur sourit, continuant à tendrement caresser les joues du jeune homme.

« Vous pouvez partir, Messieurs. Mais, si vous tenez à profiter un peu de ce jeune homme, restez… »

Les jeunes hommes se regardèrent silencieusement, tandis que le métro s’arrêta. Les portes s’ouvrirent, mais ils choisirent de rester, visiblement excités.

« Qu’est-ce que tu… Qu’est-ce qu’on doit faire ?
 -  Montrez à ce petit garçon vos virilités ; ses mains aimeront sûrement les caresser. »

Pour l’instant, elle lui laissa sa boule en travers des lèvres, tandis que les lycéens obtempérèrent, faisant tomber leurs pantalons et sous-vêtements, révélant leurs sexes tendus. Mélinda continuait entre-temps à caresser avec tendresse le visage du jeune homme, près de ses oreilles, et s’agenouilla  devant lui. Elle lui fit un petit sourire, caressant avec ses griffes la balle enfoncée entre ses lèvres.

« Je ne sais pas qui tu es, mais tu es beau. Et j’ai pour principe d’honorer la beauté comme il se doit. »

Lui annonçant en gros qu’elle allait le violer, elle lui fit un autre sourire, et l’embrassa sur la joue, puis se releva, et retourna caresser son visage, regardant ses autres esclaves de la soirée se faire masturber, le bout de leurs membres oscillant à proximité de la belle chevelure du jeune homme.

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Re : Un viol interromput pour un viol. [Mélinda Warren]

Réponse 2 mercredi 25 janvier 2012, 14:05:54

Coco ne fit rien quand on vint à l'obliger de poser pied à terre, la divinité sentait que le groupe n'allait pas se contenter d'une simple masturbation. Pour ne pas énerver le meneur, il se mit à faire de léger mouvement de va et vient avec ses mains, un geste lent et régulier offrant plus de sensation,  il ne pouvait pas se résoudre à faire des gestes rapides. 

Coco ne fit aucune remarque, montrant tout de même sa peur de l'arme qu'il avait encore sous la gorge, comme un cochon prêt à se faire égorger à l'abattoir. C'est alors qu'il entendit la voix d'une jeune femme, il sursauta de peur en voyant son bourreau la tête éclaté contre la vitre qui n'avait pas supporté le choc. 

Si le groupe était surprit et sous-estimait Mélinda, Coco savait immédiatement qu'il devait s'agir d'une des créations d'Aphrodite, développer autant de puissance, tout en étant fine, il y avait du paranormal dans l'air.

Pouvant bouger il se retourna et vit la demoiselle se mettre à lacérer d'un simple coup, la gorge d'un agresseur, les ongles qui s'allongent confirmèrent qu'il était en présence d'une créature belliqueuse. Coco avait appris que les succubes pouvaient aussi allonger leurs ongles, mais dans ce cas elle aurait préféré séduire les hommes et non les rétamer sans la moindre pitié.

Coco se savait fichu si Mélinda venait à l'agresser, son esprit lui dictait de fuir, mais son corps fut comme totalement engourdit. Bien lui en fut car la divinité put admirer le côté dominateur de la vampire, mais aussi sa véritable nature. Il n'existe en effet peu de créature alliant, beauté, puissance et capacité de pomper le sang jusqu'à la mort. Cela fit frémir Coco, il ne pouvait pas utiliser ses pouvoirs, sans que sa demi-sœur soit déçue, mais en même temps pour cette fois il voulait s'en sortir sans blessure. Sucrette se mit d'un coup à retrouver l'usage de son corps et se mit à vouloir partir à quatre pattes et tant pis pour ses collants s'il doit les changer.

Seulement la vampire vint se placer devant lui, le pétrifiant de nouveau, un frisson désagréable parcourant sa nuque, alors que Mélinda caressait son visage qui était à l'image d'une divinité de la beauté. C'est alors qu'il y eut une annonce pour le prochain arrêt, complété par l'invitation de la vampire à poursuivre leurs actes sur Coco, ce dernier se bougea pas d'un pouce. La divinité se savait vulnérable et surtout sans possibilité de fuir dans un corps qui reste humain, hormis une récupération légèrement plus rapide. Ce corps ne pouvant lutter contre la vivacité et la force d'un vampire ayant fait le plein de sang il y a peu. Coco se savait faible physiquement et son agilité ou ses prises n'allaient pas le sauver d'une telle créature.

Cette peur se matérialisa sous la forme de larme, qu'il tentait de contenir, battant rapidement à chaque fois que l'ongle grattait la boule dans sa bouche, la peur tétanisait sa voix et son envie de chercher une solution pour s'en sortir, le seul échappatoire étant de sortir du wagon, mais cette issue fut condamné avec le départ du métro et la fermeture des portes.  Il se mit à regarder avec vivacité les deux humains ayant survécu au carnage, ne pouvant que s'incliner pour éviter que la vampire ne lui fasse connaitre une douloureuse expérience ou le vide de son sang.

La phrase invitant les humains à présenter leurs chibres avait aussi une autre signification, Coco allait devoir les masturber pour ne pas énerver Mélinda. Aussi avec une certaine lenteur il prit les membres en mains, on pouvait voir que ses mains tremblaient, mais pas uniquement ses mains, son corps tremblait à l'idée de la suite des évènements. Entre se faire violer par un groupe d'humain et un vampire, il aurait sans doute préféré les humains. Il s'employa  à faire d'ample va et vient, ne pouvant détourner le regard de la vampire qui le fixait tel un chat ayant vu un petit oiseau sans défense.

Coco eut la triste nouvelle, la vampire avait effectivement envie de violer la divinité, cette dernière n'ayant plus qu'à espérer  que Mélinda se contente de peu et n'aille pas jusqu'à le vider de son sang.
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Re : Un viol interromput pour un viol. [Mélinda Warren]

Réponse 3 mercredi 25 janvier 2012, 17:26:26

Le jeune homme la regardait, une lueur paniquée dans les regards, et Mélinda sentit une bouffée de chaleur la traverser. Le plaisir naissant était, d’une part, lié au sang qu’elle venait de boire, cette poussée sanguine influant toujours sur son adrénaline, d’autre part, à la simple situation elle-même. Le jeune homme avait peur, il suffisait de lire son regard pour s’en rendre compte, alors que ses deux mains se promenaient sur chacun des membres tendus. Les deux voyous soupiraient de plaisir, et Mélinda continua ses caresses. Elle avait senti l’homme prêt à pleurer, et cela fit germer quelque chose d’autre dans son esprit. Ses griffes commencèrent à pointer, alors qu’elle continuait à tendrement lui caresser le visage, comme une mère l’aurait fait. A ce stade, il devait ressentir des démangeaisons.

« Pleure, mon beau. Je veux te voir pleurer comme une petite madeleine, intima-t-elle, ou je t’écorcherai la peau pour t’amener à pleurer… »

Étrangement, elle trouvait assez excitant de le voir se mettre à pleurer, et lui fit un sourire asses pervers, exhibant ses canines pointues. L’une de ses pouces caressa les lèvres du jeune homme, remontant le long de sa boule, tandis que les deux esclaves continuaient à être masturbés. Mélinda contempla le jeune homme, et enfonça l’un de ses ongles le long de la joue, le faisant délicatement saigner.

« Pleure ! » intima-t-elle sur un ton moins tendre.

Elle continua ensuite à le caresser, glissant ses doigts vers son collier, vers la boucle permettant de la maintenir, et elle la caressa, se mettant à délicatement chantonner, tandis que la tête du jeune homme heurtait sa jupe, à hauteur de son bassin. Elle promena ses griffes le long de sa longue chevelure, tandis que les deux esclaves qui étaient masturbés se dandinaient sur place, soupirant comme des espèces de porcs.

« Foutez-vous à poil ! Mais ne touchez pas à ses jolis vêtements, je m’en occupe ! »

Reconnaissant en elle l’être supérieur qui n’hésitait pas à massacrer les êtres inférieurs, ils obéirent docilement, et achevèrent de se déshabiller, tandis que le métro continuait à filer. Il s’arrêta à nouveau, et les deux lycéens s’attrapèrent aux barres pour ne pas tomber, tandis que le corps du jeune homme bascula, renversant ses affaires. Sa tête se faufila entre les jambes de la vampire, la balle s’enfonçant contre sa culotte, et elle nota sur une carte d’étudiant renversée sur le sol son nom. « COCO MIRANDA ». Elle lui sourit, tirant sur sa boule, le ramenant en arrière.

« Ce sera pour plus tard, mon beau. »

Des passagers voulurent entrer, et Mélinda tourna la tête vers eux, avant de gronder.

« Foutez le camp ! » rugit-elle sur un ton qui n’avait rien d’amical, avant de frapper violemment une barre.

Le coup vibra dans toute la rame, et les passagers ne tardèrent pas à partir, tandis que les portes automatiques se refermèrent. Mélinda se reporta ensuite sur Coco, puis regarda ses esclaves.

« Allez, p’tit con, remue tes mains plus vite que ça ! » bougonna un lycéen, énervé.

Il le gifla à l’arrière du crâne, et Mélinda leur fit un sourire, glissant ses doigts sur la boucle de la gag ball, tirant dessus, la maintenant en place par son doigt. Avec son autre main, elle jouait avec cette dernière, tirant dessus, l’attrapant entre ses griffes, avant de retourner l’enfoncer entre ses lèvres, comme une gamine jouerait avec une balle.

« Ne soyez pas si énervé envers ce jeune homme. Je suis sûr qu’il a rarement eu l’occasion de toucher de si belles et si grosses queues comme la vôtre. Tâchez de satisfaire sa curiosité, je suis sûre qu’il meurt d’envie d’y goûter. Et il a intérêt à être convaincant, s’il ne veut pas que je me mette en colère. N’est-ce pas, mon mignon ? »

Elle lui ôta sa balle, et alla se glisser, à gneoux derrière lui, glissant une main à hauteur de son cou, ses lèvres le long de sa nuque, embrassant son épaule gauche, tandis que les deux lycéens se postèrent devant l’homme, leurs membres tendus se frôlant. Ils s’enfoncèrent alors dans sa bouche, chacun amenant l’un de ses membres, lui offrant une double fellation assez rythmée, le bout de leurs membres se heurtant, se caressant dans sa bouche, tandis qu’ils avaient chacun une main sur les cheveux de Coco, tirant dessus, remuant rapidement leurs verges dans sa bouche.

Mélinda, de son côté, avait une main sur la gorge de Coco, grattant sa peau à une partie sensible, mortelle, et remonta ses lèvres pour l’embrasser dans le creux du cou. Elle glissa son autre main vers le membre du jeune homme, glissant sa belle main sous sa jupe pour le sentir.

« Elle n’est pas bien grosse, le nargua-t-elle. Serais-tu encore un petit puceau, mon mignon ? continua-t-elle en lui léchant désormais la joue. Il était plus que temps que nous intervenions, alors. Puisque ton délicat membre n’est pas encore réveillé, je vais aller voir… Ailleurs. »

Et, disant cela, Mélinda glissa sa main près des fesses de l’homme, sous sa jupe, et, sans plus de ménagement, gratta sa croupe, sa délicieuse raie, avant d’enfoncer le bout de son majeur dans son anus, commençant à remuer son doigt dans cette partie très étroite. L’un des lycéens se mit alors à jouir dans sa bouche, poussant de longs soupirs, et elle vit le sperme jaillir hors des lèvres de Coco. Le second se posta alors pile face à Coco, et remua plus violemment, enchaînant des gorges profondes en soupirant, visiblement plus endurant que son collègue.

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Re : Un viol interromput pour un viol. [Mélinda Warren]

Réponse 4 mercredi 25 janvier 2012, 20:59:24

[Changement de décors.^^]

Sucrette frissonna encore une fois quand les ongles de la vampire se mirent à parcourir son visage une nouvelle fois. Sauf que pour cette fois-ci la demoiselle avait décidé de sortir un peu ses griffes, faisant très légèrement rougir la peau blanche de Sucrette, laissant des traits rosés sur la joue de la divinité, qui ne savait plus quoi faire, ni quoi penser.

La demande ne reçue pas les effets escomptés, c'est fou ce que des fois sous la peur on ne fait pas ce qu'il se doit d'être fait. La masturbation des deux membres se fit légèrement plus lente, Sucrette étant trop focalisé sur ce que la vampire avait en tête. Ne voulant pas laisser les larmes couler, il eut le droit de se faire punir par la vampire, un ongle éraflant la joue, il y eut pleurs, mais aussi un gémissement de douleur et de peur.

L'espace d'un instant, il voulut porter la main sur sa plaie, mais le lycéen ne l'entendit pas de cette oreille, empêchant Coco de faire autre chose que lui apporter du plaisir. Aussi Sucrette sentit  le sang perler et couler tout le long de la joue. Coco semblait abattu, avoir une blessure sur son visage allait susciter l'interrogation de sa demi-sœur et elle allait exiger des réponses concevables.

Il ne souhaitait plus qu'une chose pouvoir fuir ce lieu, plus question pour lui d'aller au centre commercial, il voulait partir au dortoir et s'enfermer dans sa chambre. Il devait reconnaitre que vivre en tant que mortel n'était pas facile, un humain était faible de nature, lui encore plus par son choix d'avoir un corps androgyne et il était dans les mains d'une diablesse qui n'allait pas lâcher un si beau morceau de sitôt. Les mains de Mélinda vinrent se placer à l'arrière de sa tête, le fredonnement de la créature ne rassura en rien Coco, qui était mort de trouille, d'où le fait qu'il soit si silencieux et immobile. Quand le bassin de la divine créature vint se plaquer contre Coco, ce dernier se mit à retenir un peu sa respiration, craignant que son souffle ne soit un motif pour le punir davantage. Comme dieu il faisait clairement pitié, Aphrodite devait c'être amusé à le rendre aussi serviable et faible.

Mélinda devait sans nul doute apprécier la douceur et le soin que Coco apporte à sa chevelure, après tout il se doit d'être présentable envers sa demi-sœur.

Quoi qu'il en soit l'arrêt du métro surprit totalement la divnité, qui ne c'était pas rendu compte du temps qui c'était passé entre les deux arrêts, aussi il employa ses mains pour se tenir, cela n'empêcha pas sa tête de malencontreusement bouger et toucher l'entrejambe de la vampire. Coco eut le droit de se faire reculer en se faisant tirer par le gag-ball. Par cette information, il eut le droit de savoir l'une des prochaines étapes que Mélinda avait concocté, mais cela le rassurait un peu, ce genre de chose était plus dans ses cordes. Son visage se crispa légèrement en entendant la barre se mettre à vibrer et émettre un son des plus désagréable, il avait ses sens en éveille à cause de la peur.

C'est alors que la boule qui lui gênait la bouche fut retirée, cette dernière étant pris d'assaut par les deux subordonnés. Ayant une petite bouche, les deux membres forcèrent un peu leur passage étirant les lèvres. Cela fit légèrement gémir de douleur Coco qui sentait les commissures essayer de s'adapter à cette intrusion massive.  Cette double fellation écartait aussi légèrement les parois de la gorge, n'ayant pas une mâchoire profonde. La douleur lancinante fit pleurer légèrement Coco, qui retenait un gémissement de douleur sur deux, essayant tant bien que mal à s'habituer à la double fellation.

Mais ce n'était pas finit, il eut un léger sursaut en sentait les mains de Mélinda se mettre à flatter pendant quelques seconde son chibre. Coco savait pertinemment que ce n'était qu'une question de temps avant que son corps se mette à réagir contre sa volonté.

Il en avait été de même avec la Grande Prêtresse d'Aphrodite qui ne lui avait enseigné que les bases

Son corps frémit quand la mains baladeuse passant sur sa raie et que le doigt de la vampire pénètre de force l'anus de la divinité qui voulut à ce moment pousser un petit cris, sans préparation et de lubrifiant la pénétration était tout sauf apaisante. Mais son cri fut reporté à cause de l'éjaculation dans sa bouche qui le surprit. S'il en avala une petite gorgée par mégarde, le reste resta dans la bouche ou s'écoula sur son menton avant d'atterrir sur sa tenue. Autant dire que ce soir il aura du pain sur la planche pour essayer de faire disparaitre les traces et l'odeur.
Pendant ce temps les anneaux se mirent à serrer le majeur pour l'empêcher de passer, rendant encore plus étroit le passage.

Coco émit un gémissement de peur en sentant le chibre du seul humain encore actif s'enfoncer très profondément dans sa gorge. Il fut partagé entre la sensation de nausée et l'étouffement. Le visage de la divinité se mit à prendre une teinte rouge, signalant qu'il étouffait  à chaque fois que le membre était profondément ancré dans sa gorge, membre que l'on pouvait voir se dessiner au niveau de la gorge.

Cette sensation d'approché la mort par asphyxie fit tellement peur  à Coco, qu'il repoussa  violemment le lycée et  donna un méchant coups de coude à la vampire.

Ensuite il se mit à courir à toute jambe dans le wagon suivant, verrouillant la porte et tira sur la sonnette d'alarme. Sans attendre l'arrêt complet du train il se mit à ouvrir la porte et courir à toute jambe dans le tunnel, pour s'écrouler cent mètre plus loin.

Coco se mit à tousser essayant de reprendre son souffle, mais une sensation désagréable  le poussa à vouloir partir de nouveau. Seulement il se fit plaquer à terre.
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Re : Un viol interromput pour un viol. [Mélinda Warren]

Réponse 5 mercredi 25 janvier 2012, 22:37:48

L’anus de Coco était, comme le reste de son corps, très étroit, ce qui ne le rendait qu’encore plus attirant ! Mélinda frémissait de plaisir et de domination, sentant le jeune homme pleurer doucereusement. Le lycéen grognait, la gênant dans son plaisir, tant il était heureux de s’enfoncer dans la bouche de Coco, faisant gicler des gouttes de sperme tout autour de la zone. Elle glissa la main du cou de Coco, caressant sa poitrine, à l’emplacement de ses tétons, glissant à nouveau vers le sexe. Elle lui suçota l’oreille tendrement.

« Oui, mon mignon, l’encouragea-t-elle, pleure donc… C’est tellement bon, de voir les hommes pleurer… Laisse couler tes belles larmes, et profite de ce moment… »

La verge du lycéen s’enfonçait parfois en profondeur dans la petite bouche de Coco. Cet homme miniature était délicieux, et Mélinda sentit qu’elle allait passer un long et fort agréable moment avec lui. Oh oui, ce serait délicieux, et c’est en s’approchant de son membre, en commençant à le masturber, que Coco réagit. Faisant preuve d’une résistance insoupçonnée pour son état de terreur et son petit corps, il poussa le lycéen, le renversant sur le sol, pile au moment où ce dernier atteignit son orgasme, le sperme jaillissant en l’air comme une petite fontaine, éclaboussant les cheveux de Mélinda. Surprise, cette dernière fut repoussée par le jeune violé, atteignant le sol, et ce dernier fit stopper le train. Sonnée, Mélinda toucha ses cheveux, sentant du sperme dessus, mais, alors qu’elle entreprenait de se redresser, des mains solides l’empoignèrent par derrière, et le pied d’un des lycéens l’écrasa sur le sol, s’enfonçant dans son dos.

« Mais… ?!
 -  Finalement, j’crois que je préfère les bonnes petites putes comme toi à ces travestis ! » ricana l’un des lycéens.

L’autre s’approcha d’eux, mais, malheureusement pour, Mélinda était une vampire relativement souple et forte. Elle poussa un grondement, et libéra rapidement l’une de ses mains. Ses griffes s’enfoncèrent contre le sol, et elle s’en servit comme d’un appui, bondissant. Le lycéen chuta sur le sol, derrière elle, et elle en profita pour faire une élégante roue. Son pied passa par-dessus sa tête, décrivit une courbe en l’air, et s’écrasa contre le front de l’autre lycéen, l’envoyant s’affaler sur un siège. Mélinda se remit sur ses pieds, et bondit derrière elle. Son regard acéré et sanglant croisa celui du lycéen, et elle bondit sur lui. Ses dents pointues se plantèrent dans le cri terrorisé du malheureux, et elle le splanta dans son cou. Au lieu de sucer son sang, elle trancha fermement sa veine, et le repoussa rapidement. Le sang se mit à jaillir de la veine comme un geyser, et le pauvre tenta de mettre une main pour retenir l’hémorragie. Souriant devant tout ce sang, Mélinda alla lui mordre la main, s’enfonçant à travers la peau, découpant les lambeaux de chairs, les veines, les artères, tranchant les morceaux d’os, le faisant à nouveau hurler, et elle s’écarta rapidement, afin que le sang ne tache pas ses vêtements.

Elle se retourna vers le second lycéen, qui, paniqué, profita des portes ouvertes pour sortir, alors que ces dernières se refermèrent, le métro recommençant à partir. Le lycéen courut en hurlant, et Mélinda lui laissa plusieurs secondes, préférant contempler le cadavre qui remuait faiblement sur le sol, répandant du sang partout. La tentation fut grande le lécher, mais elle se rappela qu’elle avait un peu de sperme dans les cheveux. Regardant autour d’elle, alors que le métro reprenait, elle fracassa avec son poing la vitre déjà endommagée par la tête du meneur, et sauta hors du métro, avant de se lancer à la poursuite de ses deux petits fugitifs.

D’un bond, elle atteignit rapidement le premier, le violeur, et elle l’attrapa au visage, lui donnant une petite tape. Son pied heurta maladroitement un rail, et il s’écrasa sur le sol. Mélinda l’attrapa à nouveau, le soulevant aisément, et le balança en avant. Coco n’était pas très loin, et le corps du lycéen atterrit sur ce dernier, renversant ses derniers. Ils n’eurent pas vraiment le temps de se redresser que Mélinda se tenait déjà au-dessus d’eux, en attrapant chacun au cou.

« Lâche-moi, lâche-moi, foutue sa…. »

Mélinda serra, enfonçant ses ongles dans la gorge de l’homme, qui poussa des gargouillis. Sourire aux lèvres, elle se tourna vers Coco.

« Nous n’en avons pas fini, mon mignon. J’ai essayé d’être gentille avec toi, mais un babouin, même très beau, reste un babouin. Je crois que tu as besoin d’une petite leçon. Attends un peu, mon mignon. »

Un sourire pervers éclaira les lèvres de Mélinda, et on finit par entendre les rails vibrer dangereusement, tandis que le vrombissement d’un métro se faisait entendre au loin. Peu à peu, des projections de lumière apparurent au loin, là où le tunnel décrivait une courbe. La vampire pencha sa tête vers l’oreille de Coco, lui murmurant des mots.

« Comme tu es gentil et naïf, je ne te tuerai pas pour m’avoir frappé. Présente-moi tes excuses, ou je te laisse en compagnie de ton ami le lycéen, et vous vous ferez tous les deux aplatir par le train qui arrive. Et, si j’ étais toi, je me dépêcherais ; celui-là ne s’arrêtera pas… »

Chaque seconde qui passait voyait le train se rapprocher, et la vampire desserra un peu sa prise sur le cou de Coco, afin de lui permettre de parler.

*N’oublie pas de pleurer, petit* songea-t-elle une nouvelle fois.

DC d’Alice Korvander.

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