Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Le langage du corps [Enora]

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Lucius

Humain(e)

Le langage du corps [Enora]

dimanche 22 janvier 2012, 19:30:20

De retour sur Terra !

Après avoir passé plusieurs jours sur terre il revenait dans la contrées aux milles aventures et aux milles combats. Lucius avait passé 5ans dans le monastère, à parfaire son entrainement de moine-combattant. Et même si ces 5 années avait été pour lui un véritable accomplissement, la modernité de son monde lui manquait. Il avait entendu parler par les autres disciple du monastère, que plusieurs passages existaient entre terra et son propre monde. Après avoir satisfait son grand manque de sexe, résultats de cinq longues années abstinences il s'était mis à leur recherche pour finalement en trouver un qui le fit atterrir dans une ville du japon nommée seikuzu.

Heureusement pour lui, sa formation au temple de la maitrise du CHI lui permettait de communiquer avec tout les êtres de terra et de son monde. Ce qui faisait qu'il n'avait plus à ce soucier de la barrière des langues lui qui ne parlait pas un mot de japonais. De plus, ses nouveaux talents de combattants lui permettaient de réaliser quelques travaux plus ou moins légaux pour gagner sa vie. Il était donc resté quelques jours pour regouter au luxes de la modernités avant de retourner sur Terra pour faire ce qu'on appelait un "pèlerinage martial".

Pour l'heure il était de nouveau dans la ville de Nexus et se dirigeai vers l'auberge du coucher de lune ou il avait désormais une chambre attitrée. Plus il approchais de l'auberge, plus il entendais des acclamations. Acclamations qu'il connaissait plus que bien car c'était celles de mâles en rut devant un spectacle agréable à l’œil.

Il entra et constata tout de suite de quoi il s'agissait. Une douzaine d'homme de la ville étaient assis autour d'une table sur laquelle dansait une sublime créature. Et par danser, Lucius pensais plutôt à bouger son corps dans tes poses plus lascives et obscènes les unes des autres ce qui ne déplaisait ni à l'assistance, ni à lucius lui même. Il ferma la porte sans chercher à être discret et tous les regards se tournèrent vers lui. Il était désormais assez connus dans le coin et savait ce faire respecter. Il inclina la tête à la fois en guise de salut et d'invitation à continuer à apprécier la danse qui n'avait pas cessée.

Lui ce posa sur une table un peu plus éloignée pour apprécier le spectacle seul.
« Modifié: dimanche 22 janvier 2012, 21:31:53 par Lucius »

Enora

E.S.P.er

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Re : Le langage du corps [Enora]

Réponse 1 samedi 28 janvier 2012, 01:10:15

Assise entre deux piliers de comptoir, saouls comme des cochons. Ce genre d'homme se serait jeté sur elle en temps normal, sur une jolie femme seule, au milieu d'un attroupement d'hommes... Ca ne fait pas long feu. Sauf que ce n'était pas n'importe quelle femme, c'était Enora. Et un des soudards continuait de gémir en tenant son bras qu'elle lui avait allègrement déboîté alors qu'il avait tenté bien trop directe sur la mercenaire.
Dans un coin de l'auberge, une femme chantait accompagnée par un pianiste et un contrebassiste, ou ce qui y ressemblait tout du moins. Elle avait entonné une chanson qui faisait penser aux airs tsiganes. La voix était envoûtante, la musique, enlevée.
Elle finit d'un trait le verre de vodka-pomme qu'elle avait commandé et se dirigea vers le centre de l'auberge. D'abord doucement, elle commença à mouvoir son corps au son de la musique. L'air changea bientôt, et cela n'avait plus rien à voir, c'était intense, tendu, toujours enlevé mais beaucoup plus suave. Les mouvements d'Enora commencèrent à être plus tendancieux, plus aguicheurs. Ses hanches roulaient dans l'air, changeant sèchement de direction, avant de remonter jusqu'à ce que sa croupe soit totalement cambrée...
Au bout de quelques minutes de ce spectacle, l'un des hommes vint la prendre par la taille, la mettant debout sur la table. Elle ne se débattit pas, dansant avec plus de conviction encore. Bientôt, les hommes s'attroupaient autour de la table, sifflant, frappant sur le bois avec leurs pintes. Ils étaient déjà bien cuits. Des cris d'encouragements, d'acclamations percèrent bientôt l'établissement.

Tout à coup, la porte s'ouvrit et un homme sombre pénétra dans la pièce. Si les cris cessèrent, comme si ces ivrognes eussent été impressionnés la prestance de l'étranger, Enora et la musique continuèrent sans être plus perturbées que ça. L'homme apprécia le corps d'Enora qui se mouvait avec une langueur provocatrice. D'un signe de tête, il invita les autres à continuer leur réjouissance, ce qu'ils firent mais bien moins bruyamment.

Attrapant l'un des fouets pendants au mur, la mercenaire le fit claquer au-dessus de sa tête tandis que ses hanches se déchaînaient. Ses yeux bicolores scrutaient le nouveau venu, tentaient de le sonder, de savoir qui il était. Des yeux ardents, dévorants de curiosité.
Avec adresse, elle se défit de son haut, le laissant tomber sur la table. Cette fois les hurlements fusèrent de plus belle. Elle ne cherchait pas vraiment à séduire, davantage à apprécier la danse, nue, car il n'y avait rien de tel. Ses bras se levaient, suivant les courbes de ses seins, remontaient sur sa gorge et se perdaient dans l'air tandis que son dos ondulait comme la feuille d'un arbre sous la brise tantôt violente, tantôt légère.
Elle aguichait la salle, faisant claquer le fouet près des pintes, dans l'air, tout près de son corps. Elle le fit claquer sur le cuir de son pantalon qui recouvrait ses fesses, le bruit sec eut des hurlements de mâles affolés sexuellement en réponse. De petites gouttes de sueur commençaient à perler sur ces deux chairs de beauté. Elle se mit à tourner sur elle même, jouant des reins et des omoplates, on eût dit que sa cicatrice même dansait.
Fermant les yeux, elle dansa encore plus lascivement, encore plus langoureusement, faisant glisser son bassin comme si elle faisait l'amour, sa poitrine ballottée par ses mouvements parfois brusques. On devinait son souffle saccadé entre ses lèvres quand bien même la musique couvrait tout bruit aussi léger qu'une respiration.

Lucius

Humain(e)

Re : Re : Le langage du corps [Enora]

Réponse 2 samedi 28 janvier 2012, 15:48:38

Lucius la vit attraper un fouet qui pendait au mur et ce mettre à le faire claquer au dessus d'elle tandis que sa danse continuait à être de plus en plus érotique. Il remarqua qu'elle le regardait et il ne détourna nullement le regard. Il le lui rendit avec autant d'intensité qu'elle le regardait. Tentant de lui faire comprendre que son spectacle ne le laissait nullement indifférent.

Elle défit alors son haut pour laisser sa poitrine à l'air libre. La faisant onduler de ses mouvements de danse. Lucius ignorait si elle avait fait cela pour lui ou simplement pour son plaisir à elle, mais il n'en avait cure car comme les autres il appréciait le spectacle. Peut-être moins bruyamment mais certainement avec autant d’envie si ce n'est plus.

Elle ce mit à faire claquer le fouet autour d'elle pour exciter d'autant plus la salle. Chose qui faisait son effet quand elle le faisait claquer sur ces fesses recouvertes de cuir. Fesses que Lucius aurait bien aimé avoir sous la main. Il sentit une tension ce créer au niveau de son entrejambe et se dit qu'il fallait absolument qu'il tente sa chance avec cette sublime créature. Elle tourna sur elle même révélant une longue cicatrice sur son dos qui ne l'enlaidissait pas le moins du monde. Il s'interrogea un instant sur l'origine d'une telle cicatrice, mais pas longtemps tellement sa prestation l'envoutait.
D'autant plus que ces mouvements évoquait de plus en plus les plaisirs de la chaire. Lucius ce mit à s'imaginer avec elle dans l'intimité et se dit qu'il fallait absolument qu'il tente quelque-chose. Il décida alors de voir si les danseuses dites "exotiques" avait les mêmes pratiques que dans son monde.

Il défit la bourse de sa ceinture et le soupesa. Elle devait contenir de quoi dormir une semaine dans cette auberge ce qui n'était pas une petite somme. Mais Lucius n'avait pas de problème d'argent en ce moment et le geste, rien que la beauté du geste, le décida à tenter le coup.

Il lança la bourse qui passa au dessus des soudards pour atterrir au pieds de la danseuse. Elle s’arrêta alors et regarda la bourse avant de lever les yeux dans sa direction.

Voyons si le contenu était suffisant pour une petite danse personnelle.

« Modifié: samedi 28 janvier 2012, 16:37:35 par Lucius »

Enora

E.S.P.er

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Re : Le langage du corps [Enora]

Réponse 3 lundi 30 janvier 2012, 00:25:35

L'inconnu avait l'air d'apprécier autant que les autres soudards le spectacle qu'offrait la jeune mercenaire. Il soutenait son regard, ce qui amusait beaucoup Enora, les autres hommes, eux, détournaient le regard, sachant trop bien qu'un seul mot, un seul geste, déplacé aux yeux de la dangereuse danseuse leur vaudrait quelques cuisantes réprimandes. La ESP.er, hypnotiseuse pour un soir se déhanchait tel le diable sur cette table, fixant toujours ce curieux et nouveau personnage. Elle le dévisageait. A sa tenue, sa prestance, son attitude, elle pouvait aisément deviner qu'il avait été ou qu'il était soldat. Redoutablement dangereux, c'était certain. Plutôt bel homme, il fallait l'avouer. Il dégageait force, endurance et courage, il n'était pas de la même chair que ces autres là. Soldat, simple forgeron, paysan, peut-être... Mais aucun ne valait sa force, à lui.
Il détachait, à sa ceinture, une lourde bourse de cuir. Les yeux bleu et vert de la jeune femme se plissèrent, cherchant à deviner ce qu'il faisait. Il la jeta enfin à ses pieds, ce qui eut pour effet d'arrêter la danse. Les autres hommes se retournèrent vers lui.
Les beaux yeux de la mercenaire allèrent de la bourse à l'inconnu. La faisant léviter jusqu'à sa main tendue, elle l'ouvrit avec lenteur, contemplant son contenu, elle leva un sourcil appréciateur. Souriant, elle referma ladite bourse, et, lévitant au-dessus des attablés, elle se laissa tomber avec grâce et douceur sur le sol, marchant vers l'étranger. Arrivant à sa hauteur, elle lui sourit, ne lâchant pas ses yeux. Dangereuse prédatrice, envoûtante séductrice.


_Que veux-tu faire de cet or, soldat... ? Crois-tu qu'il y ait prix à payer pour « ça »... ? dit-elle, désignant la table dans son dos.

Elle sourit encore, rendant la bourse avec force, la collant dans les mains de l'autre. Se penchant à son oreille, elle lui murmura avec une douceur enjolive, :

_Mon brave, je ne sais pas ce que tu attends, mais sache que Dame Cruelle ne reçoit d'or que pour la Mort...

Elle éclata de rire et, courant jusqu'à la table, elle reprit sa danse, clairement provocante cette fois à l'égard de ce soldat, de ce guerrier. Elle se déhanchait, lascive, érotique, elle flottait presque, sans avoir par là même besoin de son pouvoir. Ses hanches semblaient se désaxer à chaque mouvement, ses bras s'envolaient, retombaient avec une grâce à nulle autre pareil, ses jambes s'écartaient, revenaient, son buste se tordait complètement à l'envers, ses mains agrippant ses talons, sa poitrine surplombant le tout, et elle se redressait, plus sauvagement excitante encore. Son bassin glissait presque au sol tandis que sa croupe se cambrait alors qu'elle se relevait. Elle bougeait ses épaules l'une après l'autre, secouant ses seins d'une bourrasque affolante.

Elle souriait, tandis que de délicates perles de sueur apparaissaient sur ces deux monts surplombés par de petits cercles ronds rosés. Elle tournoyait sur elle-même, comme dans un rêve, caressait sa cicatrice qui, quoi que défigurant le dos de la belle, ne la rendait que plus désirable encore.
Faisant volte-face, elle plongea de nouveau son regard dans celui du guerrier tandis que, dans l'attente de sa réponse, elle lui faisait signe, de ses mains, d'approcher un peu de la tablée.

Lucius

Humain(e)

Re : Re : Le langage du corps [Enora]

Réponse 4 lundi 30 janvier 2012, 01:02:32

La réaction de la jeune fille ne ce fit pas attendre mais était inattendue. Elle tendis la main et fit léviter la bourse jusqu’à cette dernière. Une telekinésiste ? voilà qui était intéressant. Une femme avec de tels talents était certainement plus qu'une simple danseuse de bar. A moins que Lucius ce soit fourvoyé sur les raisons de sa danse. Après avoir vérifié le contenu de la bourse, elle lévita son propre corps pour passer au dessus des tables et retomber sur le sol pour ensuite marcher dans la direction de Lucius.
Elle arriva jusqu'à lui pour lui dire:

_Que veux-tu faire de cet or, soldat... ? Crois-tu qu'il y ait prix à payer pour « ça »... ? dit-elle, désignant la table dans son dos.

Soldat ? il allait la reprendre tout en lui disait les vrais raisons de son geste quand elle lui rendit la bourse puis se penchant à son oreille pour lui murmurer.

_Mon brave, je ne sais pas ce que tu attends, mais sache que Dame Cruelle ne reçoit d'or que pour la Mort...

Il la regarda surpris retourner en courant sur la table pour reprendre sa danse d'une manière encore plus endiablée que jamais. Ainsi ce n'était pas une femme qui recevais de l'argent pour ses danses, ni même pour ses charmes, mais pour quelque-chose de bien plus intéressant. Elle venait à demi-mots de lui révéler que c'était une vendeuse de mort. Donc soit une tueuse, soit une mercenaire. Dans tous les cas une femme à ne pas sous-estimer. Ce que Lucius ne faisait de toute façon jamais.

Elle continua sa danse encore un moment pour replonger ses yeux dans ceux de Lucius et d'un geste des mains, l'inviter à s'approcher d'elle. Il prit d'abord un faux air surpris, puis fit un signe de tête comme quoi il accepta. Mais pas de la manière qu'elle croyait. Elle avait voulu faire du spectacle en lévitant jusqu'à lui, il allait fait de même.

Il leva la main au dessus de son visage, la passa devant ce dernier et dans le même temps...disparut.

Il venait de prendre sa forme éthérée intangible et invisible. Il passa à travers sa chaise sans la faire bouger et marcha tranquillement dans sa direction. Il passa à travers les convives autour d'elle qu'il ne voyait que de manière floue, et se retrouva ensuite entre les spectateurs et la table ou la belle avait apparemment arrêté de danser sans doute de surprise. Il réapparut alors aux yeux de tous et s'inclina respectueusement devant la belle.

Puis il parla d'une voix forte et grave pour couvrir le son de la musique

Vous souhaitiez que je m'approche ? Belle de mort ?

Enora

E.S.P.er

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Re : Le langage du corps [Enora]

Réponse 5 dimanche 29 avril 2012, 10:29:42

La provocation d'Enora était sa plus belle arme, sa favorite en fait. Elle souriait, sûre de l'effet qu'elle pouvait produire sur chaque personne de cette taverne. Et tandis qu'elle invitait encore l'inconnu si fascinant à s'approcher, elle jetait de discrets coup d'oeil sur les autres spectateurs qui ne pouvaient décrocher leur regard d'elle.
Soudain, après qu'il eut comme acquiescé pour accepter son invitation à avancer, le guerrier disparut. De stupeur, la jeune mercenaire s'arrêta. Voilà qui devenait réellement intéressant... Elle retint sa respiration, amusée et enivrée par la surprise. Cet homme était bien plus qu'un simple soldat. L'intérêt de la jeune femme redoubla brusquement. Elle scrutait la scène avec une attention tendue et intense, à l'affût du moindre signe pouvant trahir la présence, l'avancée de l'inconnu.
Il reparut soudainement au milieu de tous les spectateurs, à quelques centimètres d'Enora.


_Vous souhaitiez que je m'approche ? Belle de mort ?

Enora sourit, le regarda, la tête penchée, comme une petite bête curieuse devant un nouveau venu. Elle se mordilla un moment la lèvre, songeuse et amusée. Elle finit par faire léviter le guerrier jusqu'à une table reculée, et, ramassant prestement son kimono, la mercenaire sauta à bas de la table sur laquelle elle avait jusqu'à présent dansé, et se hâta de rejoindre le guerrier. Prenant le temps de se rhabiller avant de s'asseoir face à lui, elle caressa son katana et le posa près d'elle. Un sourire figé sur ses belles lèvres, elle se glissa sur la chaise à l'opposé de celle de l'inconnu.
Un silence traversait leurs corps, et la mercenaire toujours penchée vers le prétendu soldat, elle le dévisageait.


_Vous êtes plus que ce que vous laissez paraître... Vous êtes plus qu'un simple soldat, n'est-ce pas... ? Finit-elle par demander, rompant le silence qui les entourait jusqu'alors. Un simple soldat ne serait pas aussi aventureux que vous et, surtout, il n'aurait pas une bourse aussi remplie que la vôtre... Un simple soldat n'est guère capable de disparaître comme vous l'êtes. Ne me mentez pas, j'ai sans doute vu plus de soldats que vous, mon cher... Qui êtes-vous ? Ou plutôt, qu'êtes-vous, monseigneur...?

Les yeux vert-bleu de la belle mercenaire brûlaient de curiosité, semblaient prêts à dévorer de leurs flammes inquisitrices le pauvre homme assis face à elle. La curiosité, additionnée à sa seule beauté, la rendait absolument incroyable de fascination. Ses yeux étaient plus ardents encore qu'avant, plus étincelants, plus intenses. Ils étaient plus, plus que tout.



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