Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

chasse, pêche, nature et déité (PV Atranémis)

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Innana

Dieu

chasse, pêche, nature et déité (PV Atranémis)

mardi 06 décembre 2011, 09:55:58

Pfiou, quelle chaleur ! C’était dingue, l’été ne pointait pas encore le bout de son nez que déjà elle étouffait !  Bon en même temps il n’y avait pas de tenue légère pour notre chère déesse de la guerre, c’était toujours la même dégaine : armure et cuissardes en cuir clouté, fronde, galets, dagues, canons d’avant-bras en acier trempé, épée, en bref, elle était bardée comme si elle allait livrer une bataille. Quelle idée saugrenue quand même !  Sans aller dire que c’était son uniforme de déesse guerrière, bah….c’était un peu ça, et puis hormis par une forte chaleur comme aujourd’hui , et puis c’était soit ça, soit rien du tout ! Donc c’était vite vu !

Si la pudeur était pour la déesse une pure absurdité, oui, elle n’avait que des courbes très discrètes et alors, elle s’en foutait, elle comprenait son utilité plus qu’essentielle pour avoir la paix, et aussi pour ne pas passer pour un ersatz de déesse des plaisirs, elle cracha par terre à cette pensée.

Bon bref, revenons à nos moutons…ah oui, la chaleur…décidément, elle étouffait ici. Il faisait vraiment trop chaud, beaucoup trop chaud, heureusement que le bosquet lui offrait de l’ombre, sinon elle aurait cuit dans son armure. Enfin bon, elle se décida à faire une pause, délassant son armure sur le côté droit, la retirant, se retrouvant torse nue. Elle retira le reste, c’est dire la cuissarde puisque son armure en cuir lui descendait aussi bas qu’une jupe via des bandelettes de cuir liés entre elles par une série de lanières en tissu élastique. Déposant fronde, dague, pierres et sa lame sur la berge, elle sauta dans l’étang un poil saumâtre qui se trouvait dans la clairière, elle en soupira d’aise alors qu’elle se mettait à nager.

Elle profita ainsi de la fraicheur de l’onde légèrement verdâ   tre au sol de vase, avant de finalement sortir et s’étendre au sol, sachant très bien qu’elle ne pourrait pas teindre sa peau d’albâtre d’une belle couleur bronzée et qu’elle ne pourrait pas davantage profiter d’un malheureux coup de soleil, avoir une enveloppe charnelle indestructible et immortelle avait du bon ! C’était indéniable. Bon, elle trouvait dommage aussi de survire à tous les amours qu’elle avait pu avoir. Qu’aurait-elle donné pour disparaitre en même temps qu’un être aimé.

Pourquoi était-elle venue là déjà ? Ah, oui, un groupe d’esclavagiste, elle suivait leur trace depuis deux jours, et si elle ne voulait pas les perdre, elle allait devoir se remettre en route. Son but n’était pas de délivrer les deux esclaves capturés mais mettre fin à un trafic de créatures vivantes et pensantes, aussi, elle les suivait pour démanteler le réseau à la racine et pendre les organisateurs par les tripes. Voir ces gens, complètement brisés sur le marché aux esclaves était une véritable tortures pour ses yeux, son cœur, son âme.

Aussi commença-t-elle à se rhabiller, enfin, à mettre son armure et ses cuissardes, puisque c’étaient les seuls vêtements qu’elle portait, et se rééquiper, mais alors qu’elle se pensait seule, une branche craqua, une branche qui n’aurait pas du craquer….quelqu’un était là, ni une ni deux, elle se saisit de sa fronde et d’un galet et elle envoya directement la caillou de la taille du poing de la jeune femme dans la direction du bruit, suivie de peu par un autre galet de taille légèrement inférieure. Elle n’zvait pas cherché à savoir de qui il s’agissait. Pour était, il était clair que c’était un agresseur, c’était fou, à chaque fois qu’lle prenait un instant pour elle, en ddétente ou autre, elle devait être interrompue !

Il y eut un couinement, et une biche chuta devant elle, suite aux deux pierres, elle ne l’avait pas loupée. Par contre, la flèche plantée deux pouces à droite du cœur, ce n’était pas d’elle….

Atranémis

Dieu

Re : chasse, pêche, nature et déité (PV Atranémis)

Réponse 1 dimanche 11 décembre 2011, 11:18:59

Mais c'est pas vrai! Il n'y a donc jamais moyen d'être tranquille cinq minutes? Atranémis était au bord d'une plage de sable fin, profitant du soleil, nue les pieds dans l'eau. Et bien sûr, au bout de quelques minutes, elle devait intervenir auprès d'une biche. Si elle avait été chassée, elle n'aurait rien fait, car c'est également dans son domaine. Il y avait donc un autre problème.
Ni une, ni deux, elle se rhabilla en quatrième vitesse, et sauta par dessus la mer. Le problème avec ce genre de façon de voyager, c'est qu'on ne sait pas forcément où on va atterrir. Cette fois-ci, elle plongea au beau milieu d'un lac. Mais elle était tout près de sa protégée. Elle sortit de l'eau avec une grâce naturelle, en marchant tout simplement. Une fois dehors, elle courut vers la biche qu'elle avait aperçue, et s'occupa d'elle. Elle était assommée, mais l'inquiétant était la flèche plantée non loin de son cœur. Elle enleva celle-ci et mit rapidement sa main sur la blessure, utilisant son pouvoir pour la soigner. De longues minutes passèrent avant quelle ne la retire et que l'animal s'éveille.
Elles se regardèrent dans les yeux, comme si elles pouvaient se parler par télépathie, puis la biche s'enfuit dans les bois, à l'opposé d'où elle était venue.
La déesse remarqua alors la magnifique jeune femme qui était présente et l'avait regardée tout ce temps. Elle ne portait pas d'arc, juste une fronde. Ce n'était donc pas elle la coupable. La déesse allait partir en chasse pour savoir pourquoi sa bête avait été agressée et punir le fautif, donc prendre des renseignements pouvait peut-être accélérer les choses.

"-Bonjour, charmante demoiselle. Je me présente: Atranémis, déesse des cervidés, de la chasse et des amazones. Je vais chercher le coupable de ce que vous avez pu voir, et toute information pourrait m'être très utile. Pouvons-nous discuter?"

La femme était en armure, et armée. Ce devait être une guerrière. Une guerrière magnifique à la beauté presque irréelle.
Elle se présenta sans détour comme étant une déesse, car il aurait été difficile d'expliquer autrement son atterrissage dans le lac et la guérison miraculeuse de la biche. Elle aussi était armée et portait sa légère armure d'argent. Avec deux épées, un arc et un bouclier, elle devait paraître sacrément chargée, mais tout cet attirail représente ce sur quoi elle veille, sa fonction, son devoir.
Elle transpercerait d'une flèche le corps du malotru, exactement au même endroit que la victime de sa violence gratuite. Sauf qu'elle n'aurait pas la même puissance. Il allait connaître la terreur d'être la proie, l'angoisse de la mort, la paranoïa sur chaque ombre mouvante. Et, alors qu'il pensera s'être échappé de cet enfer, la pointe de la flèche viendra mettre fin à ses jours.

Innana

Dieu

Re : chasse, pêche, nature et déité (PV Atranémis)

Réponse 2 dimanche 18 décembre 2011, 20:16:36

Plouf.

Comment ça, plouf ? Oui, plouf, une bruit avait fait son office, distrayant la jeune femme qui s'apprêtait à achever la pauvre créature blessée, elle méritait plus d'être achevée que d'être soignée, la soigner serait trop risqué, en effet, la plaie, qui était très profonde, ne popuvait que risquer de s'infecter, et l'iun dans l'autre, la mort serait charitable. C'était  ce qu'il y avait de mieux à faire et pourtant, elle venait de zapper cette possibilité en se concetrant sur le  fameux bruit. Des eaux, émergea une femme, ou, une femme, qui avait u tomber à l'instant dans l'onde.

Celle-ci se redressa, ses cheveux blonds platines trempés étaient presque plaqués sur son visage, et elle était trempée, elle devrait profiter de ce beau soleil pour se sécher, ais même rien qu'en marchant, cela sècherait bien vite...elle s'occupa d'abord de la biche, et Innana s'en désintéressa complètement, elle voulait aller contre les lois de la nature, très bien, mais qu'après, elle ne vienne pas pleurer pour les conséquences. Elle était l'amour, certes, mais cet amour pouvait se montrer très dur !
 
« Bonjour, charmante demoiselle. Je me présente: Atranémis, déesse des cervidés, de la chasse et des amazones. Je vais chercher le coupable de ce que vous avez pu voir, et toute information pourrait m'être très utile. Pouvons-nous discuter? »

Une déesse hein ? Intéressant....pourtant, elle n'aimait pas cela, pourquoi ? Bah tout simplement que bien qu'étant une déesse guerrière elle n'était pas dénuée d'un semblant de bon sens, la bête était mourrante et quelqu'un se faisant appeler Atranémis venait, se disait déesse des cervidés, n'aurait-elle pas du protéger cette bête au lieu d'intervenir trop tard ? Enfon bon, elle voulait discuter, certes elles discuteraient. Mais avant....

Elle s'approcha de la jeune femme et la gifla, pas fortement, juste histoire de la choquer, il ne fallait pasz pousser non plus !  Ensuite seulement elle prit la parole.

« Et bien Atranémis, si vous êtes une déesse, vous savez sans doute quelle bourde vous avez commis ! Mais j'en doute fortement, que vous a-t-on appris au juste ? Vous a-t-on parlé des lois immuables de la nature ? Cet animal était blessé presque à mort, en gros, son heure allait être sonnée, pouvez vous donc décemment prétendre comprendre la nature si vous refusez d'observer ses lois, quand on auve de la mort un être vivannt alors que son heure était venue, une autre vie est prise en échange ! Regardez ! »

Elle désigna à proximité un arbre immense, qui devait faire deux à trois mètres de diamètre. Ses feuilles jaunissaient à une vitesse fulgurante, l'arbre se déssechait sur place, en bref, il mourrait.

« En sauvant cette biche, vous avez tué un arbre de sans doute plusieures centaines d'années, et donc l'heure était loin d'être arrivée ! »

Elle se radoucit néanmoins, inutile de continuer ainsi, cela ne mênerait nulle part. Et puis, il y avait des formalités de principe à faire ! Il y avait un minimum !

« Bon, passons, vous devez être très jeune pour avoir omis cela, et fort heureusement, comme toute déesse, vous avez l'éternité pour vous amender ! Je suis Innana, et je suis moi aussi une déesse, déesse de l'amour et de la guerre, si vous voulez me faire passer l'envie de vous gifler, je le comprendrai, aussi, giflez moi si cela vous soulage ! J'ai fait ce que je jugeais bon. »

Atranémis

Dieu

Re : chasse, pêche, nature et déité (PV Atranémis)

Réponse 3 samedi 24 décembre 2011, 17:26:04

La déesse regarda l'arbre mourant, décidant de ne pas tenir compte de la claque qu'elle venait de recevoir.

"-C'est étrange ça ne fait pas cela d'habitude. Je ne sais pas à quel panthéon vous appartenez, mais nous autres olympiens avons l'habitude de jouer avec les vies comme les morts sans qu'il n'y ait de conséquences comme celle-ci. Si j'ai bien appris une chose, c'est qu'aucune règle n'est immuable.
Je passerai également sur l'envie de vous gifler. Vous avez suivit votre cœur et vos convictions, et je ne pourrais jamais vous en vouloir pour cela.
Peut-être une interférence due au fait que vous soyez une déesse? Je ne sais pas trop.
Mais bref. Comme je vous l'ai dit, je vais rechercher ceux qui l'ont blessée. Si j'ai été alertée de son état, c'est qu'ils n'avaient pas l'intention de la chasser, mais juste de la tuer. Et ça, c'est impardonnable que de tuer pour le simple plaisir de tuer. Sauriez-vous quoi que ce soit d'utile ou m'aideriez-vous?"

Elle en profita pour examiner la flèche. Elle était empennée de diverses plumes jaunes et noires, issues d'oiseaux qu'on ne trouve pas dans ce coin-ci. Des voyageurs, donc. Le fer était barbelé de façon à ce que la cible perde de bonnes quantités de sang, ce qui était parfait pour traquer une proie qui fuit. Il n'y a qu'eux pour utiliser ce genre de choses. En tant que déesse de la nature, elle abhorrait instinctivement l'esclavage.

"-La flèche indique qu'il doit s'agir d'esclavagistes. Et des plutôt cruels pour utiliser des machins comme ça. Ce n'est pas une flèche, c'est un instrument de torture.
Ils doivent surement se diriger vers Nexus pour aller vendre leur prise, les misérables. Je ne vais pas les laisser faire."

Elle ne pouvait pas savoir que l'autre déesse était également à la recherche d'esclavagistes, et ses plans risquaient de faire sombrer ceux de sa collègue dans l'oubli...

Innana

Dieu

Re : chasse, pêche, nature et déité (PV Atranémis)

Réponse 4 mardi 06 mars 2012, 14:58:37

Oui, elle savait, mais non, non, elle n'avait aucune intention de lui donner les informations qu'elle demandait aussi facilement, d'auta&nt qu'elle allait y foncer et franco lezs tuer, elle ne voulait pas cela, non, ils ramenaient les esclaves à la planque générale avant de les dispatcher sur les différents marchés aux esclave à travers le pays, elle voulait démanteler un réseau, pas démembrer des gus qui seraient sans doute incapables de dire quoique ce soit avant de mourir, d'autant que cela l'étonnerait un peu beaucoup que l'autre déesse prenne le temps de la laisser interroger qui que ce soit, les tuant à vue.

« Non, je ne vous montrerais rien, car vous vous trompez, ce ne sont pas des flèches d'esclavagistes, mais de soldats particulièrement sadiques, leurs gardes du crops peut être mais pas eux, regarder la pointe barbelée, elle est utilisée pour traquer l'ennemi et causer de très lourds dégâts quand on retire la flèche, un marchand d'esclave n'abîme pas la marchandise avant.... »

C'était la logique même, mais apparemment, pas avec tout le monde ! Il fallait voir là dedans un manque de bon sens, oh, certes, elle désignait peut être le groupe dans son ensemble, gardes compris, mais bon.

« Et si je vous disais  où ils vont, ou du moins, dans quelle direction ils se dirigent, vous feriez quoi ? Vous leur couperiez la route pour les abattre à vue ? Désolée mais je les traque et les usis depuis trop longtemps pour vous laisser faire  L'esclavage est odieux, mais qu'avez vous à tuer de suite alors que d'ici deux jours, je démantèlerai tout une organisation je pense, parce que je daigne les laisser vivre. Vous pouvez m'aider, ou m'affronter pour que, une fois hors de combat, je vous laisse avoir le plaisir de les tuer immédiatement, au choix, mais je préfère ne pas prendre davantage de retard sur mes proies.... »


Répondre
Tags :