[ DON ] Balade tranquille

En ce bref instant, elle ouvrit la bouche mais rien n'en sortit. Rien . Ses yeux étaient écarquillés, ses pupilles réduites à deux miettes minuscules, et elle n'était plus rien en cet instant précis, rien d'autre qu'une personne qui a perdu tout sens de la réalité et qui se retrouve projeté dans un espace confus et horriblement violent. Un coup de bassin trés violent. Elle avait la nausée, vraiment, la nausée. Et sa fée dormait toujours, affalée au fod du bocal, à côté du cadavre du mille patte. Jamais sa fée ne lui avait fait ça, jamais elle n'avait tout abandonnée ainsi.

Elle aurait voulu le détruire, le tuer, l'étriper. Mais en cet instant douloureux, elle ne réagissait plus du tout, tout lui manquait...le souffle, le courage... elle n'avait plus rien, comme si son âme s'était envolée haut, trés haut parmi les oiseaux.

Elle serra les dents et fronça les sourcils avec douleur, tandis que se pupilles devenaient rouges de haine.

Don n'arrêta pas pour autant et continua ses va et viens en elle avec plus de force, plus d'élan et plus de vigueur, utilisant ses hanches pour pouvoir s'enfoncer au plus profond de la pirate et lui arracher cris de douleurs tandis que lui connaissait l'extase, une bien égoiste extase. Don eut un petit sourire vicieux alors qu'il décrochait a présent Elyon et qu'il la ramenait contre lui, la plaquant contre son corps comme on ferait sauter sur ses genoux une enfant avant de la plaquer contre un mur et de saisir chacune de ses jambes pour accroitre la pression de plus en plus et de plus en plus fort, entrant en Elyon avec de plus ne plus de facilité alors qu'il agrandissait ses parois et qu'il lançait a la pirate

"Alors, un dur rappel a la réalité non?Voilà ce que tu obtiens en t'opposant a la loi. Tu es une pirate, tu n'avais aucun droit aux yeux de la loi, et a présent tu es esclave et tu as quand même la responsabilité de ton maître. En fait, en te faisant ça je te rend service tu sais?A présent si tu es capturée quelqu'un pourra faire quelque chose pour toi."

Il accompagna ces paroles par un coup encore plus violent que les autres alors que sa bouche léchait sa gorge et ses oreilles pour descendre vers son cou et sa poitrine avec un frotement indescent

"Alors?Comment est ce?Est ce que l'esclave est satisfaite du traitement de son maître?"

- Je ne suis pas ... une esclave, articula t'elle avec difficulté. Et jamais je ne t'obéirais !

Mais sa fée dormait, elle ne pouvait donc pas dissimuler tout ce qu'elle avait en elle. Impossible. La fée ne canalisait plus rien du tout, elle bloquait tout... comment voulez vous qu'elle fasse ? C'était impossible qu'elle reste inerte. Impossible... tandis qu'elle s'empêchait de ressentir quoi que ce soit, elle serrait les dents, refermant ses poings. si elle avait put le frapper...

Et la fée dormait d'un sommeil agité. Elle était affalée sur le cadavre du mille patte et ne parvenait pas a ouvrir les yeux. Chaque élan de courage d'Elyon était dû au fait que la fée ouvrait ses paupières pour les refermer ensuite. Tout simplement... Elyon mourrait d'envie de faire voler ce salaud, mais la douleur et l'attraction du moment la tétanisait. Ce n'était donc pas faux que la première fois était douloureuse - surtout un viol -

Elle rejeta son visage en arriére, fronçant les sourcils.

Elle ravala sa tête en arrière et fatalement calla contre le mur, se faisant mal elle même devant un Don hilare. Qui en profita pour aller encore plus loin. Lachant une de ses jambes d'une main pour caresser sa poitrine et la pétrir de l'autre, la pourléchant parfois des caresses rapeuses de sa langue. L'homme exultait. Car par cet acte il prenait possession de la jeune fille a jamais. Il la plaqua contre le sol et se mit a continuer son acte, la pénétrant de biais, soulevant sa jambe pour la passer par dessus son épaule pour se donner encore plus de puissance. La pauvre Elyon n'était plus même en état d'utiliser ses poings, pourtant détachés.

"Ce n'est pas la réponse que j'attend."

Fit Don avec un ton enjoué, mais également très autoritaire. Il la retourna alors au sol et se mit a la prendre en levrette, position ô combien humiliante pour une femme fière comme Elyon, accellerant les coups de bassin en elle, il lui lança

"Je me sens de bonne humeur aujourd'hui. Retente ta chance. Qu'est tu et a qui dois tu ta vie?"

Fit Don, lui laissant une chance avant de la punir

Arrrh... elle aurait voulue le démonter. Elle se sentait tellement humiliée en cet instant précis de sa vie qu'elle aurait voulue l'effacer à tout jamais de sa mémoire de jeune pirate. En cet instant même, elle était détruite de l'intérieur. Elle avait peur pour sa fée, prise de soubresauts. Elle avait peur pour elle. Et elle avait peur de cette peur qui la paralysait violemment. Elle voulait partir, et serrait les dents en sentant le gôut du sang dans sa bouche, et en sentant le sang qui coulait sur sa cuisse. Aucune insultes ne sortait plus de sa bouche, non, aucune.

Et alors.

Coup de thêatre. La peur elle même, si forte il y a quelque instant, disparue comme par magie. Sa fée s'était relevée. Elyon n'eut à l'instant de la question de Don plus aucune angoisse de répondre, plus aucune angoisse non. Elle ressentait même un soupçon de plaisir. Non pas qu'elle soit masochiste, mais la sensation qu'elle ressentait lui avait manqué. Elle eut un sourire tandis que ses yeux viraient à leur couleur normale et que les larmes désertaient son visage.

- Je n'ai pas peur de toi, Don. Ni de personne. Un enflure dans ton genre ne fait peur à personne d'ailleurs. Elle fait rire, ou elle fait pitié, grinça t'elle.

Don soupira, la résistance d’Elyon était futile, il continuait a donner des coups de hanche sans se poser de questions, il lui répondit simplement avec un sourire atroce

« Pourtant tu criais entre mes bras y’a pas deux minutes a peine, et je sens que ton sexe attire le mien a l’interieur. Ma chère tu n’es pas très obeissante, ni très honnète. »

Il retourna Elyon sur la table de torture et se retira d’elle, avant de placer sa verge entre ses deux fesses. Bien en évidence, ce qu’il allait faire le devenait

« Je vais te forcer a être honnète et a obéir. A ton maître. »

C’était de la psychologie pure et simple. Don traumatisait Elyon pour la transformer en légume, et plus elle résisterais, plus il irait fort. Le sexe de Don entra dans le second orifice d’Elyon d’un autre coup de rein, il rencontra plus de résistance,  mais ça ne sembla pas l’empêcher de forcer le passage.

« Alors ?Qui es ton maître ? »

Répéta Don alors qu’il commençait a aller et venir

Ce gout de sang dans sa bouche... cette douleur immense... La fée donna u_n coup dans le bocal, émettant un petit "ding". Elle fronça les sourcils. Sa fierté était si violente... jamais elle n'accepterait d'avouer tant que sa fée serait réveillée, évidemment. Elyon était une vraie tête de mule. Elle inspira un grand coup, et se cambra, attrapant la main de Don dans la sienne et la griffant jusqu'au sang, emportant sous ses ongles la peau du marchand d'esclave ( mais pas toute la peau non plus, t'inquiétes pas  )

Elle avait les yeux brûlants... conjonctivite ou larme de haine ?

- Tu ne me connais pas, Don. Jamais, au grand jamais, je n'avouerais ce que je ressens. Tu n'est le maître de personne!

Elle enfonça plus profondement ses ongles, sous le coup de la douleur.

Overdose. Il y avait toujours un moment ou les gens ne pouvaient plus supporter aucune torture. Et où ils finissaient immanquablement par craquer. Ce qu'Elyon n'avait pas compris, c'était que plus elle s'opposait a Don, et plus Don montrait d'opposition. Et que tant que celle ci conserverait cet esprit rebelle, elle n'aurait pas de paix. Et c'était bien simple:Sa fée ne pourrait pas encaisser les coups perpetuellement. Il allait bien falloir un moment ou l'humiliation serait tellement grande qu'elle volerait en éclat, et la douleur d'Elyon monterais d'un seul coup en elle ainsi que la peur.

Il avait donc tout son temps. Elle enfonçait ses ongles dans sa peau. Don répondit nettement avec ce qu'il avait a cet acte: Par un coup de boule bien placé sur le front pour la calmer un coup, Don lui lança tendrement

"Je n'aime pas abimer la marchandise, mais je n'ai aucune hésitation le moment venu. Ne me tente pas."

Fit il avant de la prendre plus violement, il finit par sortir d'elle et la poser sur la table avant de la nouer a nouveau, puis, il sortit la batterie electrique ainsi que les pinces au bout de celles ci pour les joindre au bout des mamelons d'Elyon et dans le sexe de celle ci. Puis, celà fait, il écarta ses jambes avant d'inserer un gode creux dans son second orifice...Ca n'allait pas être beau a voir.

"Soumet toi."

Fit il alors qu'il branchait le courrant et lui envoyait des décharges de douleur et de plaisir mélés

Un cri de douleur tandis que la fée encaissait, repliée sur elle même, cet excédent de douleur, de honte, de malheur et de douleurs. Elyon avait l'impression que ses yeux allait lui sortir des orbites. Elle tressautait, se cambrait, et sa fée faisait de même, s'enfonçant les ongles dans les paumes jusqu'au sang, priant pour tenir. un cri rauque s'échappa de la cage thoracique de la jeune pirate dont tout les sens étaient en émois, douloureux.

Des injures se bloquaient dans sa gorge, et sa bouche s'ouvrait pour ne rien prononcer. Elle avait de la douleur plein la peau, plein les yeux...

Bien, nous allons donc passer a quelque chose de beaucoup plus hard, mais Don n'était pas étranger a ce genre de pratique. Si il ne brisait pas quelqu'un lors du premier rapport de la rebellion pouvait encore naître par la suite, tout devait se faire tel que la santé mentale d'Elyon cède et finisse par voler en éclat sous les coups de sa virilité. Bref, Don saisit un tuyaux qu'il inserra dans le trou du gode creux préalablement mis en place dans le post précédent avant d'actionner une pipette de robinet.

Et si.

Petit a petit le ventre d'Elyon se remplissait bien malgré elle d'eau, devenant de plus en plus lourd et s'élargissant comme si elle attendait un enfant. A l'exception prêt que c'était l'estomac qui était rempli d'eau.

Bref, une fois Elyon humiliée ainsi, il la décrocha, puis la repris en levrette, son ventre plein se mit a se balancer au rythme des coups de rein.

il voulait les entendre, les supllications...

... mais la pirate serrait les dents, comme quand elle s'était coupée et que sa mère l'aidait à guérir, lui appliquant un alcool fort sur la blessure. Elle serrait les dents, fermaient les yeux, tentaient de tout oublier , tandis que sa fée tambourinait avec ses petits poings le bocal. Tant qu'elle serait debout, Elyon resterait sans peur.

La fée venait de vomir de l'eau, car elle l'avait attrapée pour Elyon, et le ventre de la pirate était retombée. Mais les coups de reins violents ... elle en avait mal , mais mal...Mais elle tenait toujours, toujours autant, espérant que la jeune pirate reste ainsi.

Même si Elyon avait mal, même si elle laissait passer quelques gémissement du fin fond de ses entrailles saccagées

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Don s'arrêta net quand le ventre d'Elyon se déballona, ne comprenant pas ce qui se passait, mais une magie était a l'oeuvre, c'était la seule explication, pourtant ses mains nues touchaient le corps nu d'Elyon, alors elle ne pouvait pas en être l'instigatrice, se délogeant d'elle il la laissa sur la table, de toute façon elle n'aurait plus la force physique de s'opposer a elle et se mit a reflechir, avant de se tourner vers la fée, quand il vit le ventre arrondi de celle ci il compris, il compris ce qui se passait depuis tout a l'heure et il eut un sourire dément.

"Je vois, vous êtes solidaires. C'est bien. C'est ta fée qui endurait ça a ta place?"

Don eut un sourire pervers et se tourna vers Elyon

"Honnètement. Les fées ne se vendent pas. Elles sont un peu petites pour ce que je veux en faire."

Don saisit une épingle qu'il avait sur un établi, elles servaient généralement a percer les seins de certaines de ses victimes trop tenaces. Mais il la planta sur la comode en bois avant de saisir des pinces en plastique et d'ouvrir le bocal, tenant la fée a distance. Et l'approchant de l'épingle.

Bon sang il avait l'air ridicule. Mais il allait tester sa théorie.

Il utilisa l'épingle surmontée d'un chapeau bleu en plastique pour pénétrer la fée d'Elyon, voyant la réaction qu'elle aurait

Elyon se crispa en voyant sa fée ainsi prisonnière des mains du marchand d'esclave. Et elle avait encore plus peur de la suite. Car elle le savait, Don avait tort. Il avait tort de penser que si il  faisait souffrir la fée, Elyon souffrirait. Dans le peuple des pirates, les fées avaient mal pour les pirates, mais jamais réciproquement.

Mais sa fée souffrait vraiment de ce qui allait suivre. La constitution de la belle n'était pas comme celle des humain, non. Un esprit et une peau beaucoup plus sensible. La petite fée remuait dans tout les sens. Une expression de terreur passa sur son visage et en l'espace d'un instant - trop pour la fée - elle se laissa tomber sans connaissance dans les poings du marchand d'esclave.

Elyon se mordit la lèvre inférieure et se releva , une douleur fulgurante attaquant son dos. Sa fée pouvait y laisser sa vie si elle endurait encore tout ça...

Don se retourna vers Elyon et eut un sourire particulièrement lisse et cruel, il était arrivé a démontrer sa théorie, il n’était pas complètement timbré d’avoir littéralement parlant « enculé une mouche » il se tourna vers Elyon et lui lança avec un sourire démoniaque, ses traits déformés par le triomphe et imprimant toute sa vilenie dans ce qu’il allait dire a présent, ses lèvres bougeant presque au ralenti

« Et voilà, j’espère que tu tiens a sa vie. »

Fit il alors qu’il faisait mine de serrer le poing, montrant que si Elyon continuait il n’aurait aucun scrupule a écraser la fée dans la paume de sa main, quitte a les avoir pleine de sang après ça. Il le ferait, il l’avait dit alors il appliquerais la sanction sans sourciller, Don n’aimerais pas qu’Elyon lui désobéisse a présent qu’il connaissait son secret, il la souleva et la remit dans son bocal. Il n’avait aucun intérêt a la tuer, l’objet de chantage seul était suffisant pour qu’Elyon lui obéisse, il allait donc la soumettre a sa volonté quoi qu’elle dise, et a présent il y avait bien peu de chance qu’elle lui résiste, un sourire sibyllin servit de réponse alors qu’il avançait vers Elyon et la saisissait brusquement pour la plaquer contre le mur et entrer en elle sans plus de cérémonie, d’un coup sec pour reprendre ce qu’il avait commencé et sans douceur, l’agrippant par les cheveux pour avoir plus de prise

« Allez, ça n’a que trop trainé »

Don commença a faire de violents mouvements de bassin en elle, de plus en plus vifs et d’ une violence encore jamais atteinte…

Elyon eut une grimace de douleur. Elle avait les larmes aux yeux ... il avait un objet de chantage. La jeune fille tenait à sa fée, elle l'aimait plus que tout au monde, et jamais ne la laisserais mourir. Elle y perdrait des choses trop importantes. elle baissa la tête ...

- Okay, c'est bon. J'obéis. Lâche là.

Elle avait la voix détruite, la peau rouge et se laissa tomber sur le côté, abbatue.