L'arrêt du courant électrique me fit lâcher un soupir. Soulagement ou juste répit ? Je ne tardais pas à chercher à rouler sur moi-même pour échapper aux coups qui pleuvaient. Ma peau devaient être écarlate à force. Et comme je marquais rapidement, j'allais sûrement avoir de jolies marques durant un grand nombre de jours. Je grognais quelques insultes en réponse à sa théorie, mais je n'eus pas le temps de faire plus que déjà je m'arquais sur place sous le coups d'une décharge beaucoup plus forte que précédemment, sapant une grande partie de mes forces d'un coup. Je ne sentais que faiblement les coups de cravache sur mes flancs, haletant tout le temps que le courant parcourait mon corps. Une minute qui dura des heures. Puis il coupa à nouveau le courant, et mon corps retomba lourdement à plat.
Je n'eus même pas la force de résister alors qu'il écarta mes cuisses brutalement, voulant violer mon intimité avec ses doigts. Je ne sus pas pourquoi il changea soudainement d'avis. Au départ. Mais alors qu'il tira sur les pinces emprisonnant mes tétons, je lâchais un cri de douleur. Bordel, ça faisait vachement mal ! Je n'avais plus le loisir d'avoir peur. La douleur mobilisait toutes mes forces restantes. Et cette foutue excitation qui, malgré les aléas des sévices, continuait à serpenter au creux de mon ventre comme un serpent prêt à mordre. Je grognais des protestations alors que les pinces qu'il vient d'ôter de ma poitrine viennent mordre la chair de mon intimité.
Il me provoqua encore une fois (comme je m'amusais à le faire avec lui), mais ne me laissa pas le temps de répondre. je poussais un autre cri alors qu'il mordit l'un de mes tétons maltraités auparavant, pinçant l'autre férocement. J'allais avoir la voix éraillée plus tard, mais qu'importe. Je commençais malgré moi à apprécier ça. Je ne voulais pas pourtant. Sérieusement. Mais je glissais dans le monde du masochisme ou la douleur me rends encore plus excitée. Pour mon plus grand malheur car, alors qu'un nouvelle décharge de courant arquait mon corps, je sentis un fluide couler entre mes cuisses. Il laissa le courant plus longtemps, et d'autres cris franchirent mes lèvres. Mais moins de douleur pur, que de douleur mêlée à une sensation semblable au plaisir. Lorsqu'il arrêta, ce fut pour reprendre presque aussitôt. Et encore une fois. Je n'avais donc pas le temps de parler, pas le temps de le provoquer encore.
Il finit par arrêter à nouveau et je retombais à plat en haletant, le corps couvert de chair de poule et d'une fine pellicule de sueur. Mon corps était pris de tremblement convulsif alors que la douleur refluait doucement. Je repris mon souffle alors qu'il parlait, rassemblant mes forces pour une autre réplique mordante, mais étouffais un cri de plaisir (étonnamment) lorsqu'il gifla de nouveau l'une de mes cuisses. Les pinces sur mes lèvres intime paraissait être de métal en fusion, et lorsque la décharge reprit, je ne distinguais même pas le changement de voltage. Les coups suivant, par contre, je suis qu'il avait changé la cravache pour un fouet, car les lanières de l'instrument me frappèrent un peu partout sur le buste, martyrisant ma poitrine déjà bien rougie. Je saisis le moment exacte où le fouet mordit ma peau plus profondément, l'entaillant, laissant désormais perler sur sang à chaque application.
. Haaaan.. Ne... Haa... Ne crois pas... Que haaaa... Je me laisse avoir... Si ... Haaan... Si facilement !
Ma voix, entrecoupés de cris mêlant plaisir et douleur, était hésitante et rauque, mais lorsque j'ouvris les yeux, mon regard opaque luisait de fureur (contre moi-même), et d'un désir que j'essayais de réprimer.