[j'espere que ce revirement te donnera de bonnes idées ou autres, j'ai fais de mon mieux pour rendre l'intrigue plus... aléchante]
Don venait d'user de ruse sans nom, dévoilant la bassaisse de son honneur et de ses méthodes au grand jour, alors que Yuri se montrait serviable au possible, la plus douce des femmes, son violeur se fichait royalement de ce qu'elle pouvait bien penser, pour lui ce n'était qu'un bout de viande. L'idiot, si il savait comment elle avait été éduqué, il aurait obtenu ce qu'il souhaitait sans violence et avec seulement une petite demi heure de son temps. A croire que froisser les femmes qui passaient entre ses mains était un désir pervers...
Yuri le regarda lui remettre la liasse dans la main en un contact trop long pour etre innocent; son instinct de conservation se déclancha a cet instant. Un homme massif comme lui et usant du verbe de cette maniere, surtout en lui remettant la liasse et l'élastique la tenant ne pouvait pas etre un saint homme. Le marchand avait fait une erreur en rendant la totalité sans hoter le petit élastique que tennait les billets lié entre eux. En meme temps, faisant confiance a sa masse et a son pouvoir, le jeune homme n'avait plus rien a faire de cette femme qui était mainteant trois a quatre fois moins lourde que lui et sans aucune capacité déffensive autre que ses muscles.
Si seulement on apprenait la self défense chez les nobles dames, Yuri aurait eut un meilleur niveau. Son voisin d'enface, se nommant Charly Anderson était gardien dans un hopital de foldingue, mais surtout il cumulait cet emploi avec la direction d'un dojo d'art martiaux. Comme la belle brune avait un charme fou et que l'américain n'était pas insensible, loin de la, il lui avait donné quelques leçons en jugeant a juste titre qu'elle avait naturellement le niveau d'une 2nde dam de karaté. Surtout grace a sa vitesse et a sa souplesse animale qui lui valaient un serieux bonus sur ses handicap de techniques. Mais bon, le karaté sur un homme dont la musculature seule pourrait arreter tout ses coups, meme les plus violents ne pouvait pas vraiment l'aider.
Son pere avait tenté de lui apprendre l'escrime en lui disant cette phrase qui s'averait aujourd'hui tout a fait fondé "on ne sait pas sur quel genre de troll tu peux tomber ma chérie", mais étant une femme, l'escrime et les lourdes armes ne l'aidairent pas, meme si une épée finement ouvragée scié de belle maniere a la hanche d'une dame.
Le monstre se dirigeait pourtant vers la porte grande ouverte, comme pour prendre congé, mais on ne donne pas un meuble, meme si le prix de ce dernier couvrait a peine l'aller et retour en escence. Et ce que son instinct lui sussurait arriva, Don ferma et vérouilla la porte, il aurait peut etre due casser la clef dans la cerrure au cas ou la jeune femme ne vive pas seul, ou biens que dans son jean vive une soeur de la clef, mais bon, personne n'est parfait, meme dieu fait des erreurs, il a crée ce démon en lui offrant un corps un peu trop pratique pour ses actions.
C'est elle qu'il vien d'aquérir? On dirait un esclavagiste la. Mais, une seconde, la mémoire lui revint soudain, le marchand qui été celebre dans tout Nexus s'appelait DON, Dorian c'est pas si éloigné que ca de l'orriginel. Impossible! Plus qu'une chose a faire pour ne pas finir esclave, le tuer, vite et proprement.
Se concentrant pour révulser ses paupiere et sortir ses crocs alors que la main de ce porc humain avancait vers elle, la jeune femme eut un blocage, pourquoi? Il restait bien trois minutes avant que son pouvoir soit a nouveau en position de fonction, mais le tenir loin d'elle avant que sa haine pour celui qui était responsable de la mort d'une personne chere lui permette de se transformer en arme foudroyante ce n'était pas facile. Le corps a corps était a exclure, bien qu'elle n'ait pas compris totalement, l'insistance sur sa main pour prolonger le contact mit la puce a l'oreille du serpent. Il y avait un lien entre le Marchand et ses contacts physiques. Les racontards sur lui disaient que meme les anges perdaient leur pouvoir en sa présence, si il devait toucher pour ca, il ne l'approcherait pas le temps que les effets se dissipent. Aucun pouvoir n'est eternel ni irréversible, celui de Don, comme celui de Yuri ne faisaient pas exception pour l'attemporalité, mais le poison de la jeune femme rendait son injection irréversible en ce qui concerne la mort fulgurante.
Tu ne m'approcheras pas Don.
Si il tombait le masque, pourquoi s'emmerder avec des faux semblants? L'Esper n'avait pas peur, la peur ne sert a rien dans cette situation, son cerveau devait fonctionner vite et bien pour éviter que l'innévitable arrive maintenant, sa virginité était son trésor et ce ne serait pas ce monstre barbare qui le lui volerait. Son discours sur le role des femmes en tant que servante ne la toucherais pas, elle pense déja que pour avoir une bonne vie, il faut etre au service des autres. Une idée... Mais oui!
Dans la salle de baim, a portée de main se trouvaient une bouteille neuve de déo et un flacon de parfum. Dans la poche de son pentalon un briquet pour allumer les bougies pendant les coupures de courants, il ne quittait son pyjamas (et oui c'est a ca que sert ce jean) que lorsqu'elle le lavait. La jeune femme sourrit et lanca la bouteille de chanel sur le gorrille qui ne pourrait pas l'éviter a cause de sa masse et de l'étroit couloir avant de prendre le déo et le briquet pour en faire un bon lance flamme. Sans Attendre de voir où avait exploser la bouteille de verre, la jeune femme fit sortir les flammes de sa colere au bras du maitre esclave. Si il pensait que l'on se rendait sans combattre, son erreur était grande. De plus les flammes léchaient les détecteurs de fumé ainsi que les goutes de la bouteille explosé qui s'embraseront sous peu en déclanchant l'alarme, comme si les HLM avaient un arrosage automatique....