Les portes de l'enfer [Lydia]

Mon excitation baissa d'un cran, aussi brièvement qu'un soupire. Il osait encore me tenir tête. J'étais mécontente, très mécontente même. Moi qui m'attendais a ce qu'il me supplie de lui épargner l'anus, voila qu'il me privait de ses plaintes, qui auraient été si mélodieuse a mes oreilles ... J'aurais dut m'y attendre, sa docilité avait atteint ses limites. Et bien tant pis, je lui arracherait ses supplications par la force s'il le faut, et lui briserait ces limites. Et son petit cul par la même occasion ♡

« Tu le regrettera mon mignon, je te le garantie ... Chienne tu es, chienne tu restera ! »

Sur cette parole pleine d'affection et de tendresse, je l'embrochais férocement sur mon membre en plastique, qui semblait vraiment a l'étroit là dedans. Je le retirais vivement, avant de le pénétrer a nouveau. Qu'il gémisse ! Qu'il crie ! Qu'il aboie ! J'allais lui montrer ce que signifiait obéissance et discipline. Certes, j'étais loin d'avoir choisi la méthode la plus douce, mais c'était l'une des plus fun, et des plus excitante aussi. Par la honte et par les larmes, les supplications et les regrets .. voila ce qui l'attendait.

Faisant peu de cas de l'éventualité où je lui blessais sévèrement l'anus, je continuais a le pilonner avec vigueur, mon faux pénis le pénétrant de plus en plus aisément au fur et a mesure que son anus se dilatait. J'observais avec attention les rictus qui déformait son visage, ambiancé par les cris qu'il poussait. Je pouvais même remarquer une érection se profiler un peu plus bas. 

« Mais dis moi, on dirait bien que ça te plait assez, ce traitement anal :3 »

Je continuais quelque temps ainsi, a brutaliser ses petites fesses de chienne, mais je m'arrêtais un moment. Je ne le montrais pas, mais je commençais a fatiguer. C'était vraiment éreintant de faire l'amour, en réalité, mes jambes faiblissaient bien vite. Je m'allongeai sur lui, mon gode toujours enfoncé en lui, je lui demandais d'une voix mielleuse : 

« Tu as quelque chose a me dire ? ♡ »

Theorem savait que peu importe ce qu'il dise, elle allait le maltraiter avec cet objet sexuel. Il le savait et pourtant au moment où elle se décida à le prendre, il serra les dents et ferma fortement les yeux. Le gode se poussa contre son anus et bien vite le jouet se fit un chemin entre les chaires palpitantes de Theorem qui lâcha un soudain cri de douleur quand un bon quart du gode le pénétra. La douleur fut intense et quand la jeune succube se retira pour le prendre de nouveau de toutes ses forces, son corps juvénile ne résista pas. L'objet entré à la moitié lui fit une fissure anale qui fit hurler le jeune Inu. Oh elle devait certainement ne pas l'avoir remarqué de suite, mais un peu de sang s'écoula le long du jouet.

Les mouvements qui suivirent ne furent que des hurlement tonitruants qui symbolisaient bien la douleur de Theorem. Mais on ne peut rien contre la mécanique du corps. Sa prostate se faisait pousser par chaque mouvement en lui et donnait d'étranges sensations à tout son être. L'Inu banda malgré lui et il avait maintenant tant de sensations qui s'affrontaient dans son esprit entre douleur et plaisir qu'il avait l'impression de s'enfoncer dans une limbe de tourment et d'osmose qui lui valu ce regard un peu ailleurs et en même temps bien là. Elle finit par se coller contre lui, son corps déchiré qui palpitait comme s'il allait avoir une attaque, prit de quelques spasmes.

"Je... Je sais pas... Pitié... Stop... je vous lécherais des heures mais arrêtez ça... Au moins pour ce soir..."

Pitié ? Il implorait ma pitié ? Héhé, comme c'était mignon. On dirait bien qu'un tel traitement lui avait fait ravaler sa fierté. C'était tout ce que je demandais de lui .. enfin pour l'instant. J'avais encore bien l'intention de le pousser a la limite de ce qu'il pouvait endurer, et même un peu plus. Je retirais doucement ma verge artificielle de son anus, lui soutirant un délicieux gémissement de douleur, et le retirai entièrement. J'avais une vue imprenable sur son cul, devenu rouge et vraiment très dilaté, complètement défoncé. Je crois meme que je le lui ai déchiré, j'apercevais un peu de sang par endroit. J'allai alors chercher un peu d'ongue cicatrisante qui se trouvait pas loin de là. 


En chemin, je tombais sur un livre qu'affectionnais tout particulier mon maitre.

Diverse utilisation de la magie
Pour une sexualité plus épanouie

Pour l'avoir déjà feuilleté, je savais qu'il contenait énormément de sort et de rituel, et même quelque confection de potion, allant de l'invocation de créature à la revigoration d'un pénis impuissant, en passant par le système de bondage magique, j'en passe et des meilleurs. Une partie de ceux-ci m'étaient impossible, je n'avais pas assez de connaissance dans le domaine, mais la plupart était à ma portée, notamment ceux ayant trait a l'invocation, un domaine sur lequel je m'étais beaucoup renseignée. Enfin bref, j'étais bien contente d'être tombée dessus, ça m'ouvrait la voie a des perspectives nouvelles.


Retournant au coté de ma chienne, j'appliquais avec douceur la crème sur son anus endolori, calmant un peu la vive douleur qu'il devait ressentir et cicatrisant la plaie qui saignait légèrement. Le voila qui était presque comme neuf :3. Son érection ne s'était toujours pas arrangé, il devait avoir un sacré coté maso. Je me suis dit qu'un peu de douceur et de plaisir ne lui ferait pas de mal, pourquoi ne pas le laisser se soulager un peu ?

« Que dirais tu de te satisfaire un peu ? Je vais te laisser te masturber à loisir, je vois bien que cela ne t'a pas laissé indifférent. Peut être que tu commence a aimer ça ? »

Je lui détachais le poignet, et commençait a le masturber moi-même pour l'exciter d'avantage. Un sourire mauvais illumina mon visage. Non, ce serait trop simple comme ça ... Jouant avec les lanières qui maintenait ses genoux, je les fit monter un peu plus, surélevant ainsi ses hanches. Comme cela, ses deux pénis pointaient inexorablement sur son torse et son visage. S'il comptait se satisfaire, il devra oublier le fait qu'il aura à subir la honte de se couvrir de sa propre semence. C'était si cruel. Ah, je m'aime ♡

Theorem croyait qu'il allait rester estropié quand elle ramena une crème cicatrisante. Le contact de cette dernière avec son organe déchiré, la douleur disparue graduellement, ramenant son corps à l'état normal alors qu'il regardait la succube. Cette dernière semblait se réjouir de sa douleur et n'aurait de cesse de continuer qu'en le brisant une bonne fois pour toutes. Il détourna le regard quand elle lui proposa de se masturber. Il avait vraiment, mais alors vraiment, pas envie de se toucher.

Il couina de façon désapprouvante, mais que pouvait-il vraiment faire ? Il était attaché et ça faisait quelques heures qu'elle le frustrait en lui faisant connaître milles et unes tentations sans pour autant le finir. Il amena sa main tremblante vers son sexe et commença à se toucher en gémissant. C'était agréable, reposant... Cette masturbation avait un petit goût de paradis finalement. Ses yeux se fermèrent et il gémissait. Même quand on leva ses genoux, il semblait s'en moquer par mal. Sa main continua de faire un mouvement répétitif et comme son autre main était liée très proche de son visage, il se mordit doucement un doigt.

La masturbation dura une bonne dizaine de minutes avant qu'il n'ait de plus en plus de spasmes. Il se contracta et finalement son dos se courba et il couina de plus belle et lâchant un petit cri. Et en un instant, la semence qu'il avait en lui s'éjecta, retombant sur son torse et son ventre. Il soupira, continuant le mouvement un moment avant de s'arrêter, à bout de souffle. Il regarda dans le vague et délaissa enfin ses deux pénis. Humilié profondément, mais soulagé, il manqua presque de s'endormir...

Je savais bien que cette chienne ne pourrait pas résister a l'envie de se toucher. Mais c'était même pire que ça. Il s'était masturbé jusqu'au bout, impatient d'aller jusqu'à l'éjaculation, et il n'a pas hésité a jouir sur lui pour parvenir a satisfaire ses envies. Je savais pas pourquoi, mais je me sentait excitée tout d'un coup. Un peu trop même. Était-ce la vue de sa semence chaude répandu sur son torse ? Ou simplement l'excitation de voir un homme se faire plaisir devant moi ? Je l'ignorais, mais cela m'importais peu au final, je n'avais pas l'intention de céder a mes pulsions de toute façon.

« J'espère que tu en as bien profité, ma tendre chienne. Car... C'est la seule et dernière fois que tu aura la possibilité de jouir tant que tu sera a moi. Je peux te l'assurer. Tu vois, ça ? »

Je caressais son torse avec deux de mes doigts, récoltant dans le même temps un peu de la dernière giclée de sperme de sa vie, et la portait a ma bouche. Tandis que je léchais mes doigts avec sensualité, je poursuivis : 

« Et bien c'est la dernière fois que tu verra ta semence sortir de ton corps. Tu ne pourra plus jamais avoir d'enfant. Tu ne pourra plus jamais jouir. Ta seul occupation en tant que chienne sera de satisfaire mes envies. Jusqu'au jour où tu méritera ta liberté. Est-ce assez clair ? :3 »

Je ne lui laissais pas le temps de répondre quoi que ce soit. A peine avais-je fini que je me précipitais sur la table, m'accroupissant sur son visage. Je m'étais promise de ne pas céder a mes pulsions libidineuse, mais c'était apparemment trop me demander. Désolée ♡. J'eprouvais une envie soudaine et irrepressible de me faire plaisir, mais il faut dire aussi que ces evenements avait de quoi beaucoup m'exciter. D'une main, je collais son visage sur mon intimité, l'aplatissant même, tandis que de l'autre je titillais avec allégresse mon clitoris. Je ne pouvais plus attendre plus longtemps, j'haletais d'envie, je voulais sentir sa longue langue râpeuse me déguster de l'intérieur, comme tout a l'heure. 

Humilié et profondément atterré par ce qu'il venait d'entendre, Theo regarda sa bourreau avec un regard paniqué et exorbité. Visiblement il n'aurait plus le droit de jouir et sur son ventre se mourrait lentement les derniers spermatozoïdes qu'il avait eut le droit de gicler. Ses rêves de devenir un jour père, de fonder sa propre famille s'amenuisaient toujours un peu plus devant ça. Abattu, il voulu s'enfermer dans le mutisme mais il n'avait rien de plus à dire. La succube se régala un peu de son jus intime avant de monter sur la table.

Qu'allait-elle faire cette fois ? Le battre ? L'étrangler ? Lui verser de la cire chaude sur le torse ? Tirer ses tétons jusqu'à ce que ses piercings lui reste entre les doigts ? Il avait peur et en même temps il en venait à vouloir la vengeance, à céder à la colère. Elle était horrible avec lui et il devait se galvaniser l'esprit et rester conscient qu'à la moindre erreur, il se vengerait d'elle et de toutes les sévices qu'il a subit.

Mais alors qu'il allait dire quelque chose, elle s'assit violemment sur sa tête pour être forcé de lécher. Une main de fer dans un gant de velours prit ses cheveux et colla son faciès sur cette chatte qui avait certainement connu les pires et les plus décadentes des expériences. Theorem fut bien forcé de lécher ce qui se présentait devant lui pour espérer que ça s'arrête. S'il luttait, elle allait juste faire durer la chose plus longtemps. Le gode ceinture à quelques centimètre au dessus de son regard le fit fermer les yeux. Il se mit même à caresser les cuisses de la succube avec sa main libre. En réalité, il voulait sentir le contact charnel pour oublier un peu ce calvaire, se blottir même fugacement contre quelqu'un et oublier sa misère actuelle... Cette succube en lingerie savait autant pousser là où sa faisait mal et là où ça faisait du bien. Dans son cas, Theo était tiraillé entre les deux, mais son esprit rationnel ne l'oubliait pas...

Il allait s'évader et il se vengerait !

Hmmm, le cunilingus qu'il me prodiguait était, était .. c'était tout simplement fantastique ! Je frissonnais d'excitation a chacun de ses mouvements de langue, qui me caressait délicieusement de l'intérieur, qui goutait a ma cyprine, coulant a travers ma fente jusque son visage, et je frissonnais de plus bel en sentant sa main caresser ma cuisses avec tendresse. J'avais bien l'impression qu'il commençait a aimer son nouveau statut, celui de ma nouvelle chienne personnelle. Et moi aussi, j'aimais beaucoup avoir ce travesti soumis sous la main. C'était parfait :3. J'en ferais peut être mon distributeur de cunni perso. Pouvoir me faire plaisir n'importe où, n'importe quand, en claquant simplement des doigts.. Y'avais de quoi être follement excitée.. Non ? Qu'importe, vous êtes pas succube, vous pouvez pas comprendre x).


Je jetais un coup d'oeil fugace au livre posé sur la comode, non loin de la. C'était un sacré bon livre, vachement complet et détaillé, je trouve. Ce qui me fit penser ... oui, il y avait un sort bien marrant que j'aimerais beaucoup essayer. Je n'avais jamais vraiment songé a l'utiliser un jour, mais là c'était le moment idéal. Il était simple a réaliser, en plus, et je le connaissais par cœur, sans vraiment avoir essayer de l'apprendre. Quelque mots, malheureusement imprononçable dans la langue de Molière (quoi, ça vous étonne qu'une succube connaisse Molière ? à.á), quelques gestes de la main, et c'était réglé. Je prit une profonde inspiration, ôta le monstrueux gode que je portais encore, et me lançais. On ne blague pas avec la magie, a la moindre fausse note ça se retourne contre soi avant d'avoir eu le temps de dire ouf. Prononçant des mots aux sonorité étrange, gesticulant bizarrement, je parvins sans peine a le réaliser, cependant. Oui, j'étais plutôt bonne. ^^


Je sentais une profonde chaleur envahir la totalité de mon bas ventre, le consumant dans un doux et agréable brasier de sensation. Une masse gluante et confortable naissait dans mon vagin, gonflant petit a petit, gesticulant dans tout les sens, vibrant a un rythme effréné. Je jubilait, laissant s'exprimer mon plaisir par d'excitant et puissant petit cri. C'était ... orgasmique ! Mais je ne pût pas en profiter plus longtemps, car cette dernière cessa rapidement tout mouvement, mais continua a s'accroitre lentement et s'échappa, une partie restant néanmoins fixée en moi. Ça repoussait la langue de ma chienne, très surprise, allant même jusqu'à s'infiltrer dans sa bouche, avant de durcir sans préavis. Ce n'était que temporaire, mais me voila devenue ... une hermaphrodite :3


J'etais maintenant en possession d'une verge, qui devait être d'une taille conséquente si j'en croyais le rictus qui déformait le visage de ma douce animal de compagnie, qui semblait presque s'étouffer avec. De plus, son regard, certe larmoyant, laissait paraitre qu'il avait très bien compris ce qui se trouvait actuellement dans sa bouche, contre son gré. C'était parfait, je n'aurais pas d'explication a lui fournir. Sans un mot, je lui agrippais cruellement les oreilles et força sa tête a faire de longs et furieux va et vient sur ma verge, n'hésitant pas a l'enfoncer profondément dans sa bouche, laissant mon gland venir lui caresser l'entrée de sa gorge. Je n'hésitais pas a me déhancher amplement moi aussi, rendant mes allé et venu plus violent encore. Je sentais également sa langue blottit dans sa bouche, n'osant pas la bougé. Je découvrais les sensations d'une bonne fellation, et je comprenais parfaitement pourquoi certain en raffolait, c'était une sensation délicieuse :3


Je souriais, une lueur dans les yeux, le visage faiblement éclairé par la bougie, le tout lui donnant une allure démoniaque terrifiante. Je lui violais sauvagement la bouche, littéralement, je l'entendais s'étouffer a chacune de mes pénétrations, gémissant et larmoyant .. et j'adorais ça ♡

Theorem pensait que tout allait certainement s'arrêter là, mais c'était loin d'être le cas... La succube avait son corps qui se contractait. Cela avait rapport à ses gesticulades et le langage noire dont elle avait marmonné quelques imprécations plus tôt ? Dur à dire mais rien n'aurait préparé Theo a ce qui allait arriver dans les quelques secondes. Un organe masculin surgit alors du corps de la succube qui était devenue une hermaphrodite !

Ses yeux s'ouvrirent en grand alors que ce sexe tendu et dur venait de se glisser entre ses lèvres de forces et venait d'atteindre le fond de sa bouche pour s'écraser contre l'entrée de sa gorge. Il eut d'abord le soudain réflexe de vomir et de régurgiter ce qui venait de violer sa bouche, mais la prise de la démone rendait tout cela impossible. Elle lui tenait fortement le crâne et lui imposait cette irrumation désagréable et douloureuse. Theorem ferma fortement les yeux, lâchant des larmes qui roulèrent sur ses joues.

Il serra les poings et se mit à gémir fortement. Il se retenait tellement d'avoir ce difficile réflexe qui lui aurait certainement posé beaucoup de problèmes. Loin de lui l'envie d'être punis plus durement. Il souffrait beaucoup mais se décida de ne plus lutter. Il avait déjà sucer des gros membres alors il se disait qu'en ignorant la situation et en s'adaptant au rythme, il aurait beaucoup moins de mal. Il entreprit donc de la sucer comme il fallait. Sa langue s'agita sur ce sexe chaud et il la suçait avec talent. Il acceptait toujours un peu plus de cette verge en lui et bien vite, son nez se retrouva contre le bas ventre de la succube, contre le pli de la culotte qu'elle avait poussée sur le côté. De plus, il planta son regard vert émeraude dans celui de la succube pour attiser ses envies.

La bouche chaude de l'Inu qui se resserrait autour de ma verge était si agréable ! Il semblait s'être résigné a satisfaire mes envie, enfin, peut être pas, mais en tout cas il y mettait du sien lors de cette fellation, et je le sentais bien ! Je caressai doucement ses cheveux, tandis que ses coups de langue me faisait gémir d'envie. Je passais mon pouce sur sa joue, avec tendresse, séchant ses larmes, puis le portais a ma bouche et le léchais. Je me sentais si bien, ma verge bouillonnait d'envie, il ne demandait plus qu'à jouir, grâce au soin de mon soumis.

Celui ci posa ses yeux sur moi, de ses yeux verts qui brillaient de sa perversité. Enfin en tout cas c'est ce que j'y voyais, et il n'en fallu pas plus pour me pousser a jouir avec mon nouveau membre. D'un geste sec et brutal, je l'enfonçais dans sa bouche jusque dans sa gorge, avant de laisser sa semence sortir a grande giclée, étouffant presque son hôte. J'étais haletante, jouir dans sa bouche m'avait menée aux anges !

Je devais bien reconnaitre que le voir prendre plaisir avec moi était excitant, aussi... Mais pas autant que de le voir se lamenter, hihi ♡. Je sentis mon membre artificielle se ramollir et rétrécir, avant de disparaitre entièrement. C'était le défaut de ce sort : l'érection donnait vie a cette verge, et sans érection elle disparaissais purement et simplement. Mais je n'en avais plus besoin, j'avais d'autre idée en tête, bien plus excitante.

Toujours a califourchon sur son torse, je me tournais un peu et détachait les lanières qui lui attachait les cuisses, le rendant un peu plus libre de ses mouvements, sans pour autant prendre le risque de détacher ses mains. Glissant mes mains sur son torse, descendant jusque ses verges, je les caressais délicatement, tandis que j'embrassais le creux de son cou avec douceur.

« Que dirais-tu de te laisser aller un peu ? Mes deux orifices ne refuseront pas de te laisser les pénétrer .. si tu en as envie ♡ »

Je me demandais s'il allait effectivement se laisser aller, ou bien penser que c'était un piège supplémentaire pour le tourmenter. Qui sait ? Mais ce n'est pas très important. J'obtiens toujours ce que je veux :3


(( C'est pas super super, j'ai l'impression ><
Désolée si c'est le cas :x ))

Theorem avait ce membre long et dur dans la gorge alors qu'il se faisait ramoner la bouche par cette succube. Il avait eut une soudaine envie de vomir, mais ce ne fut pas le cas quand elle poussa toujours un peu plus. Il savait qu'elle allait jouir, c'était évident. Il gémissait et ferma fortement les yeux quand elle gicla enfin à l'intérieur de sa gorge. la quantité aurait fait pâlir n'importe qui. une véritable déluge de foutre se déversa dans sa bouche alors qu'il s'y noyait presque, ne pouvant avaler autant aussi vite. Il ne pouvait pas non plus bloquer l'afflux avec sa langue, puisque ce membre était bien plus enfoncé que ça.

Un peu de sperme sortit de la narine droite de Theorem qui eut les yeux qui se révulsèrent vers le haut, manquant d'oxygène. Il couina enfin et lâcha un grand soupire quand elle se retira de sa bouche. A bout de souffle, sa respiration fut intense. Il se calmait au fur et à mesure de cette étrange sensation qu'on a quand on a pas soufflé dans trop de ballon. Etourdis, il se tourna vers elle en toussant un peu, sa respiration encore courte. Ce qu'il venait de faire était néanmoins une épreuve en soit et peu de monde aurait supporté un tel traitement.

Mais elle semblait ne pas vouloir en finir. Après avoir goûté au désespoir salé de ses larmes, elle semblait voir son tourment prendre coeur en son âme et faire de lui un esclave soumis et presque volontaire. Il couina de plus belle quand elle saisit ses pénis encore transit de la dernière éjaculation. Il pensait justement à sa dernière éjaculation et aux spermatozoïdes qui auraient put féconder une belle femelle et lui donner de beaux enfants sécher et disparaître... Il couina encore quand elle lui demanda s'il voulait pénétrer cette succube.

"Je ne peut plus... Je viens de jouir..."

Hein ? J'en croyais pas mes oreilles ! Il refusait de me penetrer ? Mais pour qui il se prend, celui là !? Je posais mon regard sur lui, ma respiration s'accelera, mes yeux devaient sembler lancer des éclairs. J'étais furieuse, ho oui, très furieuse meme. Une brulante envie de le punir m'etraignait, de lui montrer qu'il ne peux ni ne doit me contrarier ainsi. J'en étais toute excitée rien que d'y penser, en plus, alors j'avais pas l'intention d'y aller de main morte. Enfin, bon, je vais quand meme essayer de ne pas trop abimer le hochet de mes plaisirs pervers. Tandis que ma main s'était glissée entre nos corps et caressait l'une de ses verges, je lui susurait d'une voix douce et mielleuse a l'oreille :

" Non, non, non ... mauvaise réponse ♥ "

Puis, sans prevenir, je m'emparais de sa bourse et l'ecrasa fermement contre la paume de ma main. Je souriais d'un air terriblement mauvais pendant qu'il hurlait, pleurait, se tortillait de douleur, je me mordillais la levre inferieur devant ce ravissant spectacle. Je relachais ensuite la pression, le laissant souffler un peu, avant de completement retirer ma main. Pas le temps de trainer, j'avais d'autre projet de vengeance en tete.

Je detachais maintenant ses poignets, et le tira par les oreilles pour le forcer a se mettre a quatre pattes devant moi. Prenant sa laisse en main, je l'emmenais dehors avec moi, tirant fermement sur la laisse pour qu'il suive la cadence. Nous marchions quelque temps dans les rues, la nuit etait sombre et froide, en particulier dans les ruelles étroites. J'esperais que le souvenir cuisant de son viol par ce chien des rues refasse surface dans sa memoire. Ah, s'il savait ♥.

Nous marchions encore, jusqu'a arriver pres d'un grand enclos, au grillage pas tres haut, il arrivait au niveau de mon menton a peu pres, aux grillages assez épais, et de petit pic barbelé se trouvait au dessus. Si quelqu'un voulait passer de l'autre coté, c'était surement ces pics qui l'en empecherait, ils avaient l'air feroce et douloureux. Mais c'était bien le dernier de mes soucis =3. D'un coup de pied bien placé dans les hemorroides, je lui plaquais le visage contre le grillage, manquant de s'écraser la figure au sol. Puis, je lui ordonnais de grimper, et tandis qu'il me regardait d'un air inquiet, je lui tirais les oreilles avec force, lui montrant que je ne blaguais pas du tout. Tandis qu'il grimpait, j'observais avec delice ces petites pointes lui écorcher la peau par endroits, et les savoureux bruits qu'il manifestait, hmmm... Sensationnel !

Il arriva finalement de l'autre coté, pas vraiment indemne, mais toujours debout. Plus pour tres longtemps .. Au moment ou il atterrit dans ce territoire inconnu, une meute de chien se mit a aboyer ferocement, venu d'on ne sait où, puis ils se montrerent et se dirigerent vers cet intrus qui violait leur intimité. Mais bientot c'était eux qui allait lui violer la sienne, ils cesserent de montrer les crocs, leurs membres semblaient prendre des proportions deraisonnable, ils étaient en rut, et regardaient avec appetit le corps de cette jeune chienne qui s'offrait à eux.

" Tu aurais put avoir une douce et seduisante succube, tu a gagné une meute de chiens féroce et affamée ... C'est le prix a payer pour m'avoir contrariée ♥ "

Rien, non, rien ne pourrait le tirer de là, je n'avais aucune pitié, je voulais le voir se faire brutaliser par cette bande de chiens en chaleur, qu'ils puissent satisfaire leurs pulsions sur cette chienne indisciplinée. Je ne tenais plus, ça m'excitait tellement ! Je m'installais confortablement au sol, le dos au mur qui se trouvait tout pres, ecartant largement les cuisses et decalant ma culotte, laissant le champs libre a ma main pour me satisfaire. J'avais hate que ça commence ♥

Theorem n'aurait jamais imaginé que ça puisse aller aussi loin, aussi profondément dans la sexualité débridé et perverse. Le sexe le plus glauque n'avait jamais semblé aussi proche alors qu'il eut une douleur insupportable quand elle lui serra les testicules. Il ne se retenu pas de hurler et de pleurer quand elle fit ça, car ça avait été horrible et immensément douloureux ! Ca lui sembla interminable mais au bout d'un moment elle relâcha son emprise. Encore un peu plié par la douleur, elle le détacha et le traîna par les oreilles dehors à nouveau. Allait-elle lui laisser du repos ?... Un peu de temps pour qu'il puisse récupérer ? On dirait bien que non.

Il continua donc à quatre pattes de suivre la succube qui l'amena alors devant un chenil malfamé qui semblait bien peu accueillant pour les chiens. Il devait entrer là dedans en escaladant ? Il refusa d'abord au début mais quelques coups de pieds le dissuadèrent. Il tenta de grimper de lui-même ce grillage bardé de barbelés. Il eut bien du mal mais enfin il passa de l'autre côté avec la peau un peu écorchée. Rien de bien insupportable pour lui. Il se tourna alors vers les chiens qui s'approchèrent en aboyants et aussi avec la queue bien raide et il ne parlait de celle poilue qu'ils avaient rattaché au dos...

La souffrance allait continuer. Son petit cul allait devenir rouge et douloureux dans très peu de temps. Il lâcha un profond cri de détresse quand l'un des chiens lui sauta dessus. Son membre rose dégoûtant se fraya un chemin entre ses fesses sans attendre. Il lâcha un cri de douleur quand il débuta ses vas et vient. Un chien n'est ni tendre ni conscient de la douleur de sa partenaire. Il y va juste à fond et profond et accélérant de plus en plus jusqu'à juter. Theo se mit donc à subir les assauts répétés de ce mâle qui fut poussé sans attendre par un autre. Pas loin de cinq chiens se succédèrent jusqu'à l'arrivée du mâle dominant qui mordit violemment l'épaule de Theo, signe que c'était devenue sa femelle. Theo hurla et lança un regard implorant à la succube qui se faisait du bien. S'il l'abandonnait ici... Il finirait sûrement mort d'épuisement. Mais au bout de vingt minutes de viol par le mâle dominant de la meute, il tomba dans les vapes au sol... trop faible. Les chiens renoncèrent à continuer surtout que le mâle dominant avait vidé se bourses et interdirait les autres de le baiser. Une trace de morsure sur l'épaule un peu saignante, Theo dormit, le visage contre la terre... Presque au paradis.

Je n'irais pas jusqu'à dire que c'était la scène la plus excitante à laquelle j'ai pu assister, mais ça n'empêche que cela valait vraiment le coup d'oeil ! Le pauvre androgyne se faisait brutalement pénétrer par ces chiens en rut, accompagné par des gémissements plaintifs et des râles de satisfaction. Dur de résister à la tentation, dans ces conditions ... Ma main s'était déjà frayée un chemin jusque mon intimité, qu'elle caressait doucement. Le rythme de mes doigts accéléra au fur et à mesure, je ne tardais pas à gémir moi aussi, ne perdant pas une miette de cette scène pour autant. Très vite, trois de mes doigts glissèrent aux travers de mes lèvres, allant et venant frénétiquement en moi, dilatant ma paroi vaginale, me caressant de l'intérieur. Dans le même temps, mon autre main était elle aussi venue à l'assaut de mon intimité, titillant délicieusement le bouton de plaisir qui surplombait mon entrejambe.

Mes doigts de fée continuaient à s'affairer autour de mon intimité pendant toute la durée de leurs ébats, sur lequel je concentrais toute mon attention. Ainsi, je ne remarquais pas l'homme qui m'avait rejointe, à quelques mètres de là, jusqu'à ce qu'il daigne prendre la parole.

"Je me demande bien laquelle de ces deux scènes est la plus excitante, difficile de trancher"

Surprise, je tournais la tête dans sa direction, sans pour autant cesser mes mouvements, j'étais trop excitée pour ça. C'était un homme qui avait visiblement dépassé la trentaine, les traits de son visage dur et épais, ses cheveux mi-longs noirs et mal coiffé, son imperméable un peu rapiécé, et sa voix rauque lui donnaient une allure des plus sinistres, contrastant étrangement avec le soin qu'il prenait à s'exprimer élégamment. Ceci dit, c'était visiblement un humain, il y avait peu de chance qu'il puisse me surprendre à nouveau. Il faut dire aussi qu'il était en train de se masturber, le pénis à l'air, j'avais donc vu tout ce qu'il y avait à voir :p. Le plus naturellement du monde, il se proposa pour m'aider à me satisfaire, sous-entendant qu'il voulait purement et simplement me prendre, m'empaler sur sa verge, sans préliminaires, ici et maintenant. Une proposition tentante ... d'autant plus que, j'étais si excitée que j'aurais accepté n'importe quoi ! Mais bon ... j'étais quand même suffisamment lucide pour réfléchir un peu :3

"Viens avec moi, j'ai une meilleure idée :p"

Pourquoi s'embarrasser à vouvoyer un homme qui m'avait aperçue nue :3 ? Sa question précédente ne m'avais pas échapper, j'en ai déduis que mon nouveau chien ne le laissait peut être pas indifférent. La meute ayant vidé leurs bourses en lui, ils ont fini par partir, laissant l'Inu seul, avachi paisiblement au sol, à quatre pattes. Hors de question de le laisser se reposer, c'était pas le moment ! Ouvrant l'entrée du grillage, je m'approchais de lui, et lui flanqua un coup de pied dans le flanc. Il poussa un cri de douleur et de surprise, et roula sur le dos, la main posée sur ses cotes endolories. Je m'assis en face de lui, et lui tira les cheveux pour le faire trainer jusqu'à moi. Il s'était remis à quatre pattes, et je lui blottis son visage contre mon intimité encore ruisselante de ma cyprine. Dans le même temps, je pris fermement ses fesses entre mes mains, les écartant sans douceur, révélant ainsi son anus rouge et dilaté. D'un geste de la tete, j'invitais l'inconnu à profiter de cet orifice qui s'offrait à lui, peu avant que des coups de langues ne m'arrachent de vifs gémissement de plaisirs.

Le corps endolori, après cette longue baise sauvage que m'avait imposé cette bande de chien, une intense fatigue s'empara de Theorem. Fatigué à l'extrême, épuisé par tout cela, il posa sa tête au sol et ce seul confort pourtant si sommaire lui donna l'impression de se coucher sur un lit dans un quatre étoiles. Mais ce ne fut pas très long avant que la succube n'intervienne. Cependant le corps de Theorem eut le temps d'évacuer la semence des chiens par son orifice anal avant le coup de pieds dans ses côtes. Cette fois, elle lui en avait fissuré une et le cri de l'Inu ne fut pas du tout simulé. Traîné de nouveau vers elle, Theorem leva des yeux pleins de colère vers elle.

"Aller... Tue-moi maintenant... Sinon tu le regretteras plus tard..."

Mais sa voix s'étouffa au contact de la chatte de la succube. Il y enfonça sa langue, bien forcé, alors que le pénis de l'homme venait d'entrer dans son derrière. Cet illustre inconnu, dont la santé devait être plus que douteuse, commençait déjà à pénétrer Theorem sans attendre. Qui pouvait savoir ce que ce dernier allait lui refiler comme saloperie. Couinant contre la chatte de Lydia, sentant sa main gantée appuyer derrière sa tête pour la faire lécher plus intensément, Theorem gardait tout de même à l'idée qu'il se vengerait ! Son derrière pilonné par l'inconnu lui donna plus de souffrance que de plaisir après un tel viol... Et il était certain qu'il en sortirait avec une mst... Pour que même une succube refuse du sexe comme ça, il devait bien y avoir une raison.

Le nouveau venu ne s'était pas gêné, il embrocha sans attendre le cul déjà bien malmené de mon Inu, et je n'en attendais pas moins de lui. Ce devait être terriblement humiliant pour lui, quoique peut être moins que ce qu'il avait déjà subi.. Mais qu'importe, ce n'était pas pour son plaisir que je le faisais, mais pour le mien :3. Un plaisir malsain, j'en avais conscience, mais O combien jouissif ! Le pauvre martyr ne cachait pas sa haine, et il osa même me menacer, mais au fond je m'en moquais bien, il ne pouvait rien contre moi, quelque soit les sévices que je souhaitais lui infliger. C'était devenu mon petit jouet à moi, un jouet aux mille et une possibilités, prêt à satisfaire mes envies.


Pour le moment, je ne souhaitais qu'une chose, qu'il joue de sa langue contre mon intimité plus qu'humide. Chose qu'il faisait divinement bien d'ailleurs. Sa tête calée entre mes cuisses, je gesticulais au rythme de ses coups de langue, qui me transportait littéralement de plaisir. Je poussais de puissants gémissements, long et langoureux, que je ne tentais même pas d'étouffer, bien au contraire. Je tenais tant qu'à faire à offrir à l'inconnu un spectacle de débauche, qui l'excitait visiblement, si j'en croyais les regards lubriques qu'il me lançait.


Il ne tarda d'ailleurs pas à jouir, en ayant préalablement retiré sa verge de l'orifice qui l'accueillait. De longue giclée de sperme vinrent zébrer le dos et les fesses de mon chien d'épaisse ligne blanche. L'homme s'approcha alors doucement vers moi, pointant son membre vers mon visage, un geste auquel je répondis par un hochement de tête négatif. Compréhensif, content d'avoir pu vider ses bourses sans avoir eu à payer les services d'une fille de joie, il se rhabilla prestement et s'en alla, déambulant dans la rue comme si de rien n'était.


Je tirais d'un coup sec l'oreille de l'Inu qui continuait ses léchouilles, le faisant se redresser. J'avais un autre projet en tête. Je devais me débarrasser définitivement de son épée sous ses yeux. Affaibli comme il était, il ne pourra que rester sous mon contrôle, et cela écartera également l'hypothèse qu'il le récupère, et qu'il se venge. Avec tout ce que je lui ai fait subir, je n'osais même pas imaginer l'ampleur de son désir de vengeance.


Le tenant par la laisse, je m'étais relevée et me hâtais en direction de notre ancienne chambre à l'auberge, où nous nous étions rencontrés pour la première fois. Comme je m'y attendais, la porte était toujours fermée, et elle ne résista pas longtemps sous mes assauts télékinésiques répétés. Je tirais d'un coup sec sur la corde, pouffant de rire en le voyant s'étaler sur le sol, et entra dans la pièce en tirant sur la laisse avant qu'il n'ai eu le temps de se relever complétement. Je pris alors l'épée que j'avais dissimulé sous le lit, la brandissant négligemment, comme si elle n'avait aucune valeur à mes yeux.


"Il me semble bien que c'est cela que tu voulais récupérer, n'est-ce pas ? Regarde bien ce que je vais en faire ..."