Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sofia Maédra

Terranide

le meutre presque parfait. ( pv

vendredi 10 juin 2011, 00:37:26

C’était une belle journée,  le temps était estivale,  juste ce qu’il fallait de vent pour ne pas que cette journée soit étouffante.  Le temps idéal si l’on devait  sortir  que ce soit pour prendre l’air ou bien pour accomplir un travail.  D’ailleurs en parlant de travail,  Sofia en avait un.   Son apprenti n’étant pas encore assez formé et puisque elle était satisfaite de lui,  elle lui avait permit de prendre sa journée.   Une façon assez convenable de dire qu’elle s’était débarrassée de lui.  Toutefois, c’était dans les manières de la jeune femme d’être assez  impitoyable.  Elle vivait comme cela,  tuer ou être tué. Chez elle la paix n’hésitait pas.

Son contrat du jour était une  personnalité politique de la terre.   Pourquoi tuer un politicien ?  Surtout un terrien, alors qu’elle était native du monde de terra ?  Et bien parce que son employeur avait mit une grosse somme d’argent sur sa tête. Elle  se moquait du reste,  mais pour avoir a faire a la pègre du nexus, cet homme devait sans doute avoir des comptes a régler avec la mafia de la capitale de terra.  Ce n’était pas ses affaires, la seule chose qu’elle savait, c’était qu’on lui avait donné un bon acompte sur la somme finale.   Elle s’était donc rendu sur terre, grâce a l’un des nombreux portails de terra.

Bien, il ne restait plus qu’a attendre.   C’était sans doute la partie la plus interressante de son travail,   attendre dans l’ombre, traquer sa proie. Attendre son moindre faux pas, et  en profiter. Sentir le sang couler sous ses doigts… C’était une des choses que la jeune créature aimait.

Tien,  justement voila sa proie.  Sortant d’un restaurant assez fréquenté de la ville.  Elle savait tout ou presque de lui.  Tout ce qui était intéressant à savoir dut moins.  Ainsi, elle avait tendu son traquenard dans  les petites ruelles  de la capitale.   Voila, son travail était fait. Il n’y avait rien de plus à dire qu’un cadavre baignant dans son propre sang.  Et la jeune femme, féline qui récupérait son arme encore ensanglantée.  La police… Pff, allait leur dire que le coupable est une créature mi femme mi renarde.  Je peux vous dire que le premier endroit ou vous finirez serait sans doute une  cellule… Mais matelassée pour votre bien.  Oui,  dans une cellule psychiatrique. 

Enfin trêve de bavardage car dans se système bien huilé venait de se glisser un  grain de sable.  Oui,  elle avait de la visite. Et celui-ci tomberait forcement sur elle,  et sur le cadavre.   Décidément, pourquoi fallait-il que les humains se mêlaient de ce qui ne les regardait pas.    Enfin voyons voir sur quoi elle était tombée.  Dans l’ombre silencieuse, elle observait sa nouvelle proie.  Mais il lui était impossible de mettre un genre sur celle-ci.  S’agissait-il d’un homme ou d’une femme.  Ce look était vraiment particulier,  des cheveux longs,  des habits d’hommes.  Mais des traits si fin.  L’hybride allait de toute façon bientôt le savoir.  Elle se glissa derrière lui, sa formation d’assassin guidant chaqu’un de ses pas.  L’humain avait désormais un couteau sous la tempe, et  les multiples queues de la créature le maintenaient prisonnier, collé contre la poitrine de la jeune créature.  Mais, elle ne semblait pas décidée a le tuer tous de suite. Non, elle était trop curieuse de savoir sur quoi elle était tombée.


-Tu es au mauvais endroit, au mauvais moment. Mais dit moi qui tu es, et donne moi une bonne raison de t’épargner et peut être que tu auras la vie sauve.

Le froid du métal de la lame était  il un argument suffisant pour cette pauvre chose parle ?  Elle allait le savoir dans très peu de temps.

Tsukiyo Riot

Humain(e)

Re : le meutre presque parfait. ( pv

Réponse 1 vendredi 10 juin 2011, 08:09:17

Le soleil brillait suffisamment, sans pour autant étouffer les habitants, aujourd’hui c'était le début du golden week, ce qui se traduisait par de petite vacance et des tas d'offres dans les magasins, Tsykiyo ne pouvant résister à l'appel de s'acheter un autre ballon de foot, car le siens commençait à être trop usé à force que le jeune homme s'entraine avec.

- Merci de votre achat !

Il sortie du magasin avec le sourire, puis fouilla sa sacoche pour sortir un petit cahier, oui il avait oublié dans toute ça qu'il devait réviser pour une pièce de théâtre, les membre du club ayant fait pression sur lui jusqu'à ce qu'il accepte.

* C'est quoi la pièce ... La Belle et la Bête.*


Tsukiyo savait pertinemment quel genre de rôle on allait lui faire faire, aussi se mit-il à lire les passages, tout en évitant les personnes. Puis d'un coups ses pas s'arrêtèrent brusquement, son regard avait changé, en passant devant la ruelle il avait une sensation désagréable, comme si son corps était figé et que son coeur avait arrêté de battre. Quelque chose se tramait dans cette ruelle, il en était sûr.

Pour se donner du courage, il tenu la pièce de théatre dans sa main droite, la gauche tenant encore son sac avec ses divers achats, un ballon, des affaires et des livres de modes aussi bien pour hommes que pour femme, avec des patrons, il comptait se mettre à la couture.

Son estomacs se retourna en voyant le cadavre et dû mettre une main devant sa bouche et lutter pour ne pas lutter contre son envie de régurgiter son petit déjeuner, Tsukiyo n'avait jamais vu de mort par meurtre, une mort violente au vu du visage de la victime.

C'est alors qu'une lame froide se posa sur lui, prête à lui apporter le même destin funeste, il ne fit aucun geste et fut surprit pas les queues, prenant rapidement cela pour des cordes camouflées par une apparence, il sut que la personne était une femme, sauf si c'est un mec qui a mangé des hormones pour avoir une poitrine. Le sons de la voix de la meurtrière confirma son hypothèse sur le sexe, mais informa aussi qu'il n'avait pas affaire à une débutante dans le meurtre, sa voix était glaciale.

Tsukiyo se détendit et inspira un bon coup pour chasser sa peur, il pensait que la panique et la frayeur nourrissaient ce genre d'être, aussi rester calme et serein allait sans doute le sortir d'affaire.

- J'ai eu un léger frisson et je suis venu voir ce qui se passait, j'avoue que j'aurais sans doute mieux fait de continuer ma route comme tout humain normal vivant dans cette société. Je me nomme Tsukiyo, Tsukiyo Riot, lycéen de deuxième années, quand à la raison ... Je pense que même si je vous dit que je me tairais, cela ne vous prouvera rien, comme rien ne me dis que vous jouez simplement avec moi avant de me réserver le même sort que cette personne.


Il prit un temps silence pour continuer à trouver une raison valable, même s'il doutait que cette femme soit enclinte à le laisser partir.

- Mes parents ne seront pas fichu de payer une rançon pour moi, quand à vous donner de l'argent, je n'ai que ma carte bancaire et ils surveillent la moindre dépense, la seule chose que j'ai en ma possession ce sont un ballon, une pièce de théâtre et des livres de coutures.

Avec un peu de chance il ferra rire la demoiselle, ce qui serait un bon point pour se sortir de ce bourbier.

Sofia Maédra

Terranide

Re : le meutre presque parfait. ( pv

Réponse 2 vendredi 10 juin 2011, 16:47:09

Faire rire sofia ?  Il avait plus de chance de dégeler un iceberg avec une allumette. Mais, trêve de parenthèse.   Il avait effectivement raison sur un point. Lui dire qu’il se tairait, cela n’allait pas le tirrer d’affaire.   Encore que s’il se coupait la langue.  Il y avait peut être un moyen pour qu’elle le laisse partir sans trop de problème, mais cela n’était un petit détaille sans importance,  car a vrai dire elle n’avait pas envie de le transformer en muet.  Il avait une jolie voix et ce serait dommage de le privé de celle-ci. 
Il devait donc trouver un autre moyen de la faire fléchir.  L’argent ?  Cela aurait put être une bonne idée, malheureusement pour lui, de l’argent elle n’en manquait pas. Au contraire.  Sa dernière paye était largement suffisante pour qu’elle soit tranquille pendant de longs mois.  Toutefois elle, elle avait peut être une idée.  De toute facon, il n’avait pas vraiment le choix s’il voulait survivre, donc, soit il accepterait, soit il finirait en temps que cadavre dans cette ruelle miteuse.


-  Donc, ce que tu veux me dire, c’est que tu  n’es même pas fichu de te débrouiller seule. Tu es obligé d’avoir papa et maman a coté de toi pour  te dire ce que tu dois ou tu ne dois pas faire…Tu es…Pathétique…   

La jeune homme libéra quelques instant l’étreinte de ses queues pour passer devant le jeune homme et lui montrer son véritable visage. Tuer de dos était une technique qu’elle aimait, mais cette fois ci,  elle voulait jouer avec ce pauvre petit humain.  Lui inspirait de la peur… Quoi que de la peur, c’était peut être un peu difficile a cause de son coté renard. Mais bon.


-Tu as raison,  rien ne te garantis que je peux te laisser en vie après mettre amusé avec toi.  Mais  tu n’as rien qui puisse me convaincre de te laisser vivre.  Tu n’as aucune valeur marchande.  Et je suis sur que tes parents ne s’intéresse même pas a toi.  Donc, le temps que l’on te retrouve tu serais déjà dévoré par les vers. 


La jeune femme avait elle touché un point sensible ?  Peut être,  mais elle n’avait pas fini de jouer avec lui pour l’instant. Elle voulait vouloir jusqu'à quand il pourrait garder son calme.  Parce que pour l’instant la seule chose qui faisait qu’elle le laissait en vie, c’était qu’elle voulait jouer avec lui.

-Mais au vu de tes fringues tu dois faire partie de cette jeunesse dorée qui faute d’avoir de l’amour de papa et maman avait tous ce qu’elle souhaité.  Oui, je vois bien le genre : j’obéis a papa. En échange j’ai plein de soussous pour m’acheter tous ce que je veux… Tu critiques la société et ce monde injuste, mais tu ne fais rien pour le changer.  Non, tu le regarde et tu te pleins. C’est tous. Comment je le sais ? Mais regarde toi, tu es tous ce que tu es c’est un pauvre gosse qui se laisse dicter sa conduite par papa et maman. Tu n’as même pas la force de t’imposer et de faire tes propres choix.

Voila, la jeune femme avait fini de jouer avec lui. Encore qu’elle avait une idée.  Pourquoi pas finalement… Oui, il pourrait être amusant que ce jeune homme goute aux vraies difficultés.


-Je vais te proposer une chose.  Je te laisse en vie. Mais en échange,  tu devras m’obéir pendant une journée entière.    Cela te montera que tu n’as pas plus de caractère qu’un mouton.  Et cela te fera peut être prendre conscience de certaine chose.

Tsukiyo Riot

Humain(e)

Re : le meutre presque parfait. ( pv

Réponse 3 vendredi 10 juin 2011, 17:44:13

-  Donc, ce que tu veux me dire, c’est que tu  n’es même pas fichu de te débrouiller seule. Tu es obligé d’avoir papa et maman a coté de toi pour  te dire ce que tu dois ou tu ne dois pas faire…Tu es…Pathétique… 

Tsukiyo ne fit rien hormis que son oeil gauche se ferma, alors que le droit devint plus désagréable à soutenir.

-Mais au vu de tes fringues tu dois faire partie de cette jeunesse dorée qui faute d’avoir de l’amour de papa et maman avait tous ce qu’elle souhaité.  Oui, je vois bien le genre : j’obéis a papa. En échange j’ai plein de soussous pour m’acheter tous ce que je veux… Tu critiques la société et ce monde injuste, mais tu ne fais rien pour le changer.  Non, tu le regarde et tu te pleins. C’est tous. Comment je le sais ? Mais regarde toi, tu es tous ce que tu es c’est un pauvre gosse qui se laisse dicter sa conduite par papa et maman. Tu n’as même pas la force de t’imposer et de faire tes propres choix.

Cette phrase fit très mal, pourquoi, car c'était blessant pour lui de se faire comparer à un gosse de riche, son père avait de l'argent, c'est vrai, il lui filait une certaine somme par moi, c'est vrai aussi, mais jamais, au grand jamais Tsukiyo n'avait considéré cet argent comme le sien, juste une dette qu'il devra payer un jour au comptant pour s'affranchir de cette chaine autour de son cou. Il ne dépensait que lors des soldes, achetant ce qui lui manquait pour vivre et apprendre davantage sur ce monde et trouver un moyen de gagner de l'argent par lui-même.


-Je vais te proposer une chose.  Je te laisse en vie. Mais en échange,  tu devras m’obéir pendant une journée entière.    Cela te montera que tu n’as pas plus de caractère qu’un mouton.  Et cela te fera peut être prendre conscience de certaine chose.

La renarde était assez proche et d'un coups Tsukiyo lui donna un magnifique coups de boule en disant avec calme, même si on sentait de la colère.

- Je vais te montrer ce que le "fils à papa" est capable de faire, si tu avais seulement regardé ma façon d'agir et non mon apparence, tu te serais rendu compte de la connerie que tu débites à longueur de temps. Pour vivre je n'ai pas d'autre choix pour l'instant, alors je vais te servir pendant une journée. Tu me traites de mouton, tu verras que ce qui se cache sous cette laine n'est certainement pas un mouton, mais quelque chose de plus dangereux.

Tsukiyo était proche de sortir de ses gongs, en temps normal il serait resté calme, mais devant le jugement mal placé de la terranide, il n'avait qu'une envie montrer à Sofia qu'elle avait tort, qu'il pouvait mener sa vie de lui-même s'il en avait la possibilité. L'humain avait montré ses crocs, restait à savoir si Sofia avait la muselière adéquate pour ne pas se faire mordre.
« Modifié: vendredi 10 juin 2011, 17:49:57 par Tsukiyo Riot »

Sofia Maédra

Terranide

Re : le meutre presque parfait. ( pv

Réponse 4 vendredi 10 juin 2011, 19:25:41

La jeune femme était ravie.  Elle avait trouvé un jouer ayant du répondant, et c’était une bonne chose.  Le coup qu’il lui avait donné lui avait fait mal. Mais cela ne la dérangeait pas.   Elle avait vécut bien pire,  c’était pour cela que finalement le coup du jeune homme était comme un coup d’épée dans l’eau. Rien de plus. Il s’était plié à elle, c’était certain. Mais il y avait un rebelle latent dans la personnalité de ce jeune homme. Mais,  cela il apprendrait que dans cette vie, seul le plus fort peut vivre, et que les faibles eux, finissent tôt ou tard par périr.

-Donc,  tu crois que parce que tu montre les crocs tu es capable  de te débrouiller seul ? Et bien écoute. Je te donne rendez vous a l’autre bout de la ville.  Tu as une heure pour aller à l’adresse que je te donne.  JE suis sur que pour un fil a papa comme toi ca ne sera pas trop compliqué. A moins, que tu n’y arrive  tout seul.  La je serais éventuellement encline a te traité comme autre chose qu’un fils a papa.

L’adresse était  celle d’un  magasin de vêtement féminin.  La jeune  femme y avait ses entrées, et il était  réservé à une clientèle d’habitué, ce qui lui permettait de ne pas  avoir trop de soucis pour son   apparence,  il fallait dire qu’elle connaissait depuis longtemps la gérante, ce qui avait quelques avantages. Mais   ce n’était pas pour cela qu’elle lui avait donné rendez vous la bas. Non, elle savait que ce jeune homme   la rejoindrait, elle avait piqué son égo au vif, c’était  certes traitre mais  elle  utilisait ce genre de traitement sur les cibles qui avait du potentiel. Les poussés a bout, et leurs montrer que leurs  limites  pouvaient être dépassé. 

-Tu as effectivement le choix, tu peux me prouver que tu vaux plus qu’un fils a papa. Ou bien tu peux partir la queue entre les jambes. Et tu peux retourner à ta pauvre vie de petit bourge.  Mais montre-moi qui tu en as.   

La jeune femme venait de disparaitre : c’était effectivement assez impressionnant, mais elle s’était bien volatilisée.  Il ne restait dans la main du jeune homme qu’un bout de papier avec une adresse et ce petit mot.


<< Il te reste bien des pas avant d’avoir mon respect.  Mais  tu as déjà fais le premier.  J’attends donc de voir ce que tu peux faire.>>


La jeune femme voyageait maintenant sur les toits,  espérant que cette pauvre créature se décide de venir la rejoindre.   Voyager dans les ombres était son travail et avec un peu de chance, cet humain serait capable de lui prouver qu’il avait l’envie de vivre. C’était grâce à son coup de colère qu’il était encore en vie tout à l’heure.  Et il voulait voir jusqu’ou cette colère pourrait être  poussé, bien utiliser et maitriser,  cela lui donnerait un grand atout. 

Tsukiyo Riot

Humain(e)

Re : le meutre presque parfait. ( pv

Réponse 5 vendredi 10 juin 2011, 21:34:10

Tsukiyo calma très vite son souffle qui était légèrement accéléré sous la colère qui le frappait à la tempe, son coups n'ayant pas visiblement été suffisant pour décontenancer la terranide-renarde. Le jeune homme se mit à réfléchir rapidement, cette femme était bizarre, elle était humaine par l'apparence en général mais les attribut et son style de parler et même d'agir était totalement différent des humains qu'il avait put voir et analyser lors de sa vie.

Il se mit à écouter avec attention ce que Sofia avait à dire, allez à l'autre bout de la ville en moins d'une heure ? La terranide ne se fiait donc qu'à l'apparence, il n'était pas un bon attaquant au football pour rien, ce genre de placement nécessite d'avoir un style de jeu vif, misant davantage sur l'endurance que les joueurs en défense. Mais il ne montra pas sur son visage que cette partie était facile, sans doute pourrait-il même la rattraper aisément, mais Tsukiyo estimait que si Sofia faisait l'erreur de ne regarder que le paraitre, lui ne ferait pas la même faute.

Vint le choix, pour Tsukiyo ce n'en était pas un, c'était une phrase voulant dire " Si tu veux prouver ce que tu avances, alors vint à l’adresse, sinon tu n'es rien qu'une merde comme les autres." Dans des conditions normales il aurait refusé, mais là une personne se permettait de le défier sur sa philosophie et sa fierté, chose qu'il ne pouvait laisser passer, car cela voudrait dire que le temps passer à observer ce monde et le comprendre n'aurait servit à rien et que ses parents le manipulait comme une vulgaire marionnette. Il savait que la terranide faisait de même, mais il allait montrer à la meurtrière sa véritable facette, chose qu'il n'avait jamais fait jusque là.

Il vit la demoiselle disparaitre sous ses yeux, il était surprit, mais cela ne renforça que davantage sa curiosité. Il lu le bout de papier et sentit ses joues s'empourprer, il connaissait cette boutique, c'était une boutique de vêtement féminine très bon marché possédant une vaste gamme de produits, il l'avait aperçu plusieurs fois mais jamais il n'avait osé y mettre les pieds. Est-ce un hasard ou la terranide en savait plus sur lui, qu'elle ne voulait le laisser voir.

Le jeune homme saisit son sac et partit vers le lieu du rendez-vous, en jouant avec son ballon tout neuf, cela le permettait de simuler un match de foot et d'économiser son énergie tout en restant performant, sans oublier que toute les pensée qui le dérangeait allait dans son pied qui frappait le ballon et cela les extériorisait, permettant à Tsukiyo de se concentrer sur ce qu'était Sofia.

* Pourquoi j'ai pas lu des livres fantastiques, j'aurais sans doute eut la réponse dans ce genre de bouquin, elle ressemble à une kitsune, pourtant elle n'a pas le nez de renard et elles sont généralement bonne et pas mauvaise.*


Il continua à ruminer son manque de connaissance, bien qu'il en ait une assez conséquente par rapport à ceux de son âge. Au bout d'une petite demi-heure, ayant prit des raccourcis, sans prendre un seul moyen de locomotion, pour prouver à Sofia qu'il n'avait pas triché, au cas où cette dernière l'observait. Il parvint devant la boutique.

Sa gorge le serra un peu, Tsukiyo avait entendu dire que la gérante virait sans aucune pitié les hommes qui y entraient, sauf certain cas. Il se mit à lire un un passage de sa pièce de théâte, entrant dans le rôle de la Belle, puis fit son entrée, il se dirigea vers l'acceuil.

- Bonjour, excusez moi de vous importuner, mais une femme blonde avec des oreilles et des queue de renards m'a demandé de venir ici, tenez.

Tsukiyo tendit le bout de papier avec l'écriture de la terranide, avec un peu de chance elle la connaissait. Son rôle s'évanouit à cet instant, il commença à ne pas trop savoir où poser ses yeux, c'était assez embarrassant d'aller dans ce genre de boutique, surtout que les robes étaient jolie et aussi ...

- Aïe


Le jeune homme venait de se taper le haut du crâne pour ne pas trop regarder les articles, il devait se rappeler qu'il était là parce que Sofia l'avait provoqué à venir ici.

Sofia Maédra

Terranide

Re : le meutre presque parfait. ( pv

Réponse 6 vendredi 10 juin 2011, 22:55:22

La jeune femme souriait doucement, elle avait effectivement gagné,  puisque il était venu.  Comment quoi, comme tous les autres il laissait son égo dominer son esprit : un homme sain d’esprit se  saurait normalement enfuit, mais lui il avait délibérément choisi  de se jeter dans la gueule du loup. Enfin du renard dans ce cas.  Mais, ce n’était pas bien grave,  il avait des trippes, et elle aimait cela. C’était pour elle une des qualités nécessaires pour rester en vie.

Une autre de ces qualités était l’observation. Mais apparemment lui il en manquait.  S’était dommage pour lui, mais cela  lui couterait sans doute la vie, un jour ou l’autre.  Enfin, il était temps de rentrer en scène.  Le pauvre, s’il savait ce que la kitsune lui réservait, il ne serait sans doute  pas venu.  Le jeune homme venait de se faire abordé par  une  demoiselle d’environs vingt cinq ou six ans. Une jolie blonde aux yeux perçants de couleur grenat.  Celle-ci était habillée d’une petite robe printanière, et d’un chapeau fleuri.   Celle-ci s’inclina poliment avant de demandé au jeune homme s’il venait choisir quelques choses pour une amie a lui.  Elle ne faisait finalement que son travail de vendeuse. Rien de plus.   Et puis, elle n’avait  pas de queue ni même d’oreille de renard.

Elle laissa le jeune homme durant quelques minutes, le laissant contempler les merveilles du magasin.  Il y avait certain modèle d’exception.  Mais pas de quoi perturber le grand chevalier qu’il était non ?   Finalement la jeune femme prenait un certain plaisir à observer ce jeune être.  Il était décidément bien étrange,  mais il semblait avoir du gout au niveau des vêtements féminin.

LA vendeuse était finalement  revenue voir ce client si particulier. Elle était venue avec un grand sourire.  Lui demandant.

-Je voudrais savoir si vous avez finalement fait votre choix parmi  nos articles ?  A moins … A moins qu’un gosse de riche comme toi ne sache pas où donner de la tête parmi ses tenues.  Remarque, je dois avouer que tu as quand même l’œil pour savoir reconnaitre les vêtements d’exception.  Mais, il va falloir que tu arrête de rougir comme une fillette lorsque tu remarque une jolie robe…
Elle lui fit un grand sourire, avant de hotter son chapeau. Laissant le jeune homme admirer ses si jolies oreilles.  Elle laissa le petit jeune reprendre ses esprits avant de lui dire.-Donc, tu t’es décidé à venir ici,   sachant que tu risquais ta vie et que j’étais armée, et non ?   Donc, j’en arrive à cette conclusion : Tu es un gosse de riche, et en plus tu es stupide. Comme quoi, les deux vont souvent de paire. Mais tu as du courage, et c’est une chose que j’apprécie.  Mais tu ne t’assume pas.  Il ne faut pas être un devin pour vois que  tu salive devant ses pièces de tissu.  Et si tu laissé parler un peu la belle qu’il y a en toi. Tu verras  porter une robe ce n’est pas la mort pour un homme comme toi. Je veux dire, que ta virilité n’en prendra pas un coup trop important.  Et puis, la légèreté du tissu. C’est presque aussi plaisant qu’un kimono.  A moins, que tu n’es peur  d’une chose aussi simple que cela ou plus exactement, que tu es peur de la réaction de ton petit papa…
Encore une fois, elle se servait de son égo contre lui. Elle le savait, les hommes avaient un orgueil très mal placé, et elle en avait déjà fait de nombreuse fois l’expérience.  Mais elle ne disait rien, ce contentant de sourire doucement.  Elle était une manipulatrice dans l’âme. Mais, au fond, elle savait que ce qu’elle faisait était une bonne chose pour ce petit garçon.  Il n’avait qu’une seule envie, c’était de mettre une de ces étoffes de tissus chatoyantes sur son dos.  Mais, il n’osait pas…   Alors, elle l’obligeait. C’était une façon de le brusquer un peu tout en lui donnant bonne conscience.  D’ailleurs en parlant de cela.

Elle se dirigea vers un des rayons, avant de prendre une robe de soirée assez longue et pas décolleté. Et le tendit au jeune homme avant de lui dire.

-Les cabines d’essayages sont à ta droite. Et je te conseille d’aller la mettre avant que je ne t’envois un  poignard entre les deux yeux. Aller dépêche toi.

Tsukiyo Riot

Humain(e)

Re : le meutre presque parfait. ( pv

Réponse 7 samedi 11 juin 2011, 10:08:15

Tsukiyo vit l'apparence de la demoiselle, faisant davantage rougir ses joues, sa robe et son chapeau allait parfaitement avec ses cheveux blond et ses yeux rouge, donnant un teinte encore plus florale sur la tenue qu'elle portait. Cheveux blond et yeux rouge ? Il avait déjà vu cette correspondance, mais l'absence de queue de renard ou d'oreille de renard ne pouvait que le faire hésiter, si c'était des accessoires alors le hasard ne pouvait pas être si hasardeux que ça. Lorsque la  vendeuse fit sa demande, le jeune homme ne sut d'abord quoi répondre, mais très vite il hocha de la tête avec un sourire, puis partit dans les rayons, histoire de ne pas être déranger et réfléchir.

Seulement les articles eurent tôt fait d'être encore plus dérangeant que la vendeuse, il y avait décidément de tout, de la tenue hivernale à la lingerie, bien sûr ce dernier rayon ne fut pas visité par Tsukiyo qui n'aurait même pas été fichu de faire un pas dans celui-ci sans être rouge comme un coquelicots, et oui Tsukiyo avait un jour commit une bourde, celui de vouloir souhaiter un jour faire du crossdressing, seulement entre un rêve et la réalité il y a souvent un fossé, celui de Tsukiyo étant d'être intimidé devant des articles pour femme.

Le jeune homme repéra très vite des modèles très beaux, imaginant le temps qu'il avait fallut pour le faire, son analyse fut perturbé par la vendeuse, il se dit qu'elle avait bien fait et qu'il serait sans doute plus à l'aise avec elle, que dans les rayons.

Quand il comprit qui était la vendeuse il resta sur le cul, si je puis m'exprimer ainsi, la terranide c'était bien joué de lui et comme un idiot il avait marché, comprenant que cette femme avait une idée en tête, il essaya d'imaginer et tout de suite la vérité lui apparut.

* Non elle ne va pas oser tout de même. *


Tsukiyo craignait le pire et très vite ce fut le cas, en effet la terranide voulait qu'il enfile une tenue, pour le jeune homme toucher du regard était déjà difficile, alors les enfiler c'étaient tout bonnement ...

-Les cabines d’essayages sont à ta droite. Et je te conseille d’aller la mettre avant que je ne t’envois un  poignard entre les deux yeux. Aller dépêche toi.

- J'y vais ... je vous préviens je vais fermer le rideau.


Sa voix hésitante et timide était à croquer, pourquoi avait-il formuler une phrase qui tombait sur le bon sens ?  Sans doute pour se donner un peu de courage, pour essayer de ne pas fuir ce lieu ce qui serait avouer une faiblesse, au moins maintenant il savait qu'il en avait une grosse quand il s'agit de tenir un article féminin, il se mit à courir assez rapidement vers la cabine et referma le rideau, il resta un petit moment puis il commença à se défaire des vêtements, ses doigts étaient tremblant et hésitant, c'était la première fois pour lui qu'il portait une tenue de femme, il mit tout de même vingt minutes depuis son entrée en cabine, sans doute était-ce pour la terranide trop long.

Il ne sortit pas de la cabine, c'était trop embarrassant de devoir sortir dans cette tenue, sans parler de la couleur qui était similaire à celle des yeux de Sofia, cette couleur le dérangeait, mais c'est surtout la tenue, le contact du tissus sur sa peau et cette sensation de ne rien porter sur soit en faite, c'était tellement léger que le moindre courant d'air passait sans difficulté lui lécher les jambes, non il ne pouvait décidément pas sortir ainsi, seulement Sofia n'en avait pas finit avec lui.

Sofia Maédra

Terranide

Re : le meutre presque parfait. ( pv

Réponse 8 samedi 11 juin 2011, 13:14:50

Faire rire sofia était il impossible ?  Je ne sais pas, mais je sais qu’il existe des icebergs plus chaleureux,  et pourtant, malgré cela  elle riait intérieurement,  non elle était même hilare.  La situation  prêtait effectivement à sourire, le pauvre il était totalement intimidé par de simple vêtement.  La suite serait alors encore plus drôle.  Enfin,  il était temps de voir ce que donnait ce petit homme avec ces nouveaux vêtements.    La phrase qu’il avait prononcé quelques minutes plus tôt lui revenait a l’esprit et elle réprima un léger rire.  Elle devait rester aussi glaciale que possible,  montrer ses émotions, c’est montrer sa faiblesse.

Bien,   il il était temps d’inspecter cela.  La jeune kitsune venait de rentrer dans sa cabine. Elle était désormais a quelques pas de lui, et se rapprocher dangereusement.  Elle s’arrêta cependant,  durant quelques secondes avant de lui tourner autour.  Rectifiant, les quelques faux plis que celui-ci avait provoqué. Toutefois, pour un début, il ne s’en sortait plutôt pas mal.  Et puis cette tenue mettait en valeurs ses yeux.  Enfin,  c’était son avis.  Mais dans tous les cas il était temps de passé à la suite.
Elle se replaça devant lui, se rapprochant, ne laissant que quelques centimètres entre lui et son visage. Ses doigts glissants sur le visage du jeune homme alors que ses nombreuses queues remontaient sur les jambes de celle-ci.   



-Mais, c’est que tu es mignonne comme cela…  On s’y casserait les dents.  Remarque un comédien comme toi doit pouvoir incarner tous les rôles n’est ce pas ?  Toutefois qu’est ce qu’un comédien sans  son public.  Allez,  vins, il est temps pour toi de sortir.


La jeune femme venait de le pousser en dehors de la cabine.  Il était désormais a la vue des rares personnes présentes dans la boutique. Et pourtant,  a cause de son look androgyne, le jeune homme ne soulevait pas plus de question que cela, le camouflage de la jeune hybride quand a elle, était suffisant.  Voila, il ne restait plus qu’a le faire sortir dans la rue, comme deux amies.   La jeune femme prit le jeune homme part la main avant de le conduire dehors. Souriant doucement et remerciant la gérante qui se  pliait a ses excentricités, mais vu le prix qu’elle avait payé, elle pouvait se permettre ce genre de chose.
 Le jeune homme semblait gêné, et pourtant  ce n’était que le début,  car pour l’instant les rues étaient encore vides. Mais dans quelques minutes, elles devraient se remplir. Ainsi,    ce jeune homme se mettrait en condition réel.  Elle, elle avait un léger sourire en coin. Laissant le temps à ce jeune homme de se reprendre.




-Alors, ne me dit pas qu’une grande fille comme toi, a peur de sortir dans la rue  hein ? 


Il était temps qu’il se reprenne, sinon il commencerait à attirer l’attention sur lui et il risquait de faire que tous les deux soient démasqués.   Bon, et bien au pire elle reprendrait les choses en mains. Mais,  quand même qu’est ce qu’il ne fallait pas faire pour pouvoir s’amuser dans ce monde.  A moins, à moins que ce ne soit pour lui rendre service, et pour lui donner des armes pour survivre dans ce monde ?  Hum, non… C’était juste pour s’amuser.
Et puis, il était mignon comme cela ce petit gars.  Un jeune sortit  de l’œuf, ignorant même les règles fondamentales de cette vie.  Finalement,  il y a deux types de personnes : Les victimes, et  les bourreaux,  les proies et les chasseurs.  Ce n’était pas plus compliqué que cela.   


Tsukiyo Riot

Humain(e)

Re : le meutre presque parfait. ( pv

Réponse 9 samedi 11 juin 2011, 14:08:15

Tsukiyo avait vu au sol une paire de chaussure qui allait étrangement bien avec sa robe. Il se mit à se douter que Sofia avait manigancé cela de A à Z, avec l'aide de la gérante du magasin, craignant un peu la réaction de Sofia en voyant le jeune homme avec ses chaussure de ville, il enfila les chaussures à talon plat qui lui avait été réservé, il n'était pas trop habitué à avoir de chaussures où le talon était rehaussé plus haut que ses chaussures de ville. C'est alors que Sofia entra dans la cabine sans s'annoncer, ce qui fit sursauter le jeune homme, devant garder sa bouche fermé pour ne pas crier de surprise et que des clients viennent par curiosité.

Le jeune homme n’avait pas perdue de la rougeur de son visage, cela c'était même accentué quand la terranide vint à s'approcher de lui et regarder les moindres défaut, sursautant un peu à chaque fois qu'il sentait les doigt de la femme réajuster la robe, l'épaisseur du tissu étant assez fin tout en préservant une bonne opacité, ce qui fit qu'il eut la sensation désagréable que les mains de Sofia touchait directement son corps, ce qui l’embarrassa davantage, mais ce n'était pas finit.

Il voulut reculer quand la demoiselle caressa son visage, mais sentir les queues jouer avec ses jambes eut comme effets de le clouer sur place, ne pouvant que rougir et détourner les yeux devant le commentaire sans doute vrai mais au combien honteux pour Tsukiyo. Puis il se fit mettre dehors, il ouvrit la bouche et vit des clients et clientes, aussi il ne dit rien, trémoussant ses mains dans son dos devant l’embarras qui le prenait, il se disait que cette femme était vraiment sans coeur, lui faire un coups pareil c'est si mesquin. 

Pour la première fois de sa vie il ne pouvait pas rester calme et ne savait pas quoi faire, si bien qu'il fut facile pour la terranide de l'amener dehors, même si on sentait que le jeune homme était stressé, que ses pas qui étaient avant allongé et sûr, c'étaient transformé en de petit plus féminin  au son et à une cadence plus hésitante.

-Alors, ne me dit pas qu’une grande fille comme toi, a peur de sortir dans la rue  hein ? 

Il ne pouvait pas lui répondre, car cela serait trahir son apparence de jeune femme et cela irait directement aux oreilles de ses parents, ce qui se serait traduit par une coupe de cheveux garçonne et une surveillance accru. Tout ce qu'il pouvait faire c'était lancer un regard haineux, avec quelques larmes. Ce qu'il craignait surtout c'était de croiser des élèves du lycée qui le reconnaisse, alors là ce serait le pompom et sa vie serait un enfer.

Il ne parvenait pas à cacher la rougeur de ses joues, pour la simple raison qu'un vent dans le quartier faisait bouger sa robe et titillait ses jambes, ce qui le gênait évidement, entendre le bruit de ses chaussures le stressait aussi, il n'était pas habitué à ce bruit d'aussi près et surtout l'idée de marcher avec ce genre de chaussure le dérangeait, il ne pouvait qu'en vouloir à cette terranide qui était en train de le faire marcher dans la rue comme une bête de foire en attendant le faux pas pour le ridiculiser davantage, enfin c'est ce que pensait Tsukiyo.

Pour ne pas arranger son cas des passants se mirent à le regarder, avaient-ils comprit la farce ? Le prenaient-ils pour une jeune femme ? Dans les deux cas cette pensée eut comme effet faire trébucher Tsukiyo, qui évita de justesse en usant de ses mains, le vent en profitant pour souffler, faisant voler la robe, obligeant le jeune homme à rabattre la robe pour que personne ne voit ce qui se cachait dessous.

Son visage devint rouge comme un coquelicots, il se relève vite, époussette sa robe et reprends sa marche, qui était plus rapide, histoire que Sofia arrête cette comédie au plus vite. Il n'osait même pas regarder en arrière pour voir les passants, sa tête étant inclinée vers le bas, les cheveux masquant un peu son visage qui ne pouvait pas être plus rouge qu'il ne l'était actuellement. Il se retenait de pleurer, il était à bout.

Cette journée promettait d'être un enfer .

Sofia Maédra

Terranide

Re : le meutre presque parfait. ( pv

Réponse 10 samedi 11 juin 2011, 14:48:27

Il avait fait du progrès, mais il avait encore du mal. Bon, il était peut être temps pour elle de paraitre plus humaine.   Elle n’était pas méchante au final. Bon, il était temps de remontrer  un peu le temps le moral de ce pauvre homme.  Il était au bord de la crise de larme, c’était le but, lui montrer que au final tout fort qu’il était, il n’avait rien vécut. Il se croyait fort, il croyait avoir tout vécut.  Mais ce n’était pas le cas.   

La jeune femme s’arrêta devant le jeune homme avant de le prendre dans les bras comme l’aurait fait une mère.   Lui caressant doucement le visage  essuyant les larmes  qui commençaient a apparaitre sur ce si jolie minois.   Comme quoi toute tueuse qu’elle était,  elle  avait effectivement un cœur.   Mais elle ne le montrait juste pas,  elle ne laissait pas ces faiblesses visibles, car pour elle dans le métier ou elle était, c’était tous simplement mourir.    Mais avec lui normalement elle ne risquait pas grand-chose. Donc, elle pouvait se permettre d’être cette  figure maternelle et réconfortante.
Et il n’y avait pas de perfidie la dedans, juste une femme qui réconforte un enfant,  car c’était au final ce qu’il était. Un simple gamin qui croit avoir vécut.  Elle lui prit la main avant de le conduire sur un banc publique ou elle le savait le jeune homme pourrait  reprendre ses esprits.  Elle attendit quelques minutes, le temps qu’il se calme, que son souffle retrouve une allure normale.  Elle avait  presque l’air d’une personne normale à cet instant.  Presque hein.



-Bien,   tu  es calmé maintenant. Je vais pouvoir discuter sérieusement avec toi ou pas ?  Bon, je vais prendre ca pour un oui. Mais tu as intérêt de bien m’écouter.  Parce que je ne vais pas me répéter.  Tu crois sérieusement que ce que tu as vécus était une expérience traumatisante ?  Ca ce n’est rien. Croit moi.  Mais il faut que tu t’endurcisses un peu. Ce monde n’obéit qu’à une seule règle. Il y a les forts, et il y a les faibles.  Le fort mange le faible, et c’est tout.


Les propos de la jeune femme  était sans doute très dur pour un idéaliste comme lui, et pourtant. Elle pouvait lui fournir cent exemples. Cent fois  elle aurait put lui dire ce genre de chose.  Mais cet exemple faudrait sans doute tous cela.  Elle venait de lui donner une leçon de vie.  Maintenant, c’était à lui de voir ce qu’il voulait en faire.



-   Bien,  on peut dire que tu as réussis ta journée. Maintenant c’est à toi de voir si tu veux ou non continuer à me suivre. Il est temps que tu choisis tes propres  choix. Tu dois t’imposer, bouge toi un peu et ne te laisse pas marcher sur les pieds.

 
Il avait donc le choix, revenir a sa petite vie tranquille, ou bien suivre sofia et essayer d’en savoir  plus sur cette figure si  énigmatique qu’était la jeune kitsune.  Elle ne répondrait sans doute pas à toutes ses questions. Mais il apprendrait certaine chose c’était certain. D’ailleurs il avait apprit non ? Bon ok on pouvait effectivement critiquer ses méthodes d’apprentissages.

Tsukiyo Riot

Humain(e)

Re : le meutre presque parfait. ( pv

Réponse 11 samedi 11 juin 2011, 15:25:41

Tsukiyo était tellement à bout qu'il ne vit pas la terranide se mettre sur son chemin, ce fut le contact des bras de Sofia qui informèrent qu'elle était devant lui, à ce moment là une terrible envie de lui mettre une droite démangea son bras droit, faisant trembler ce dernier, il se mit même à serrer des des dents si fort que sa mâchoire lui faisait mal, mais si l'envie de frapper était belle et bien présent, les actions de la terranide eut tôt fait de le calmer, il ne se souvenait pas avoir sentit sa propre mère montrer une telle envie de calmer sa colère, il laissa couler des larmes car il se sentait faible, aussi faible que le sont ceux qu'il voyait dans la rue se faire raquetter ou encore tabasser.

Il se laissa conduire sur le banc, posant ses mains fines sur sa robe, saisissant un bout qu'il se mit à serrer quand Sofia lui expliqua la fonctionnement de ce monde qui était le siens, il le savait, il savait que les forts avaient tout le pouvoir et l'argent, que les faibles ne pouvaient que crever sous leurs yeux sans qu'ils n'éprouvent de la peine ou du remord.

Sofia proposait le choix comme si maintenant qu'il avait reçu une leçon, il serait plus facile de le prendre. Tsukiyo venait de se faire démolir toute sa motivation qu'il avait, tout ce qu'il avait entreprit jusqu'à maintenant, toute les batailles qu'ils avaient du faire, tout cela ne l'avait mené nul part, si ce n'est à son point de départ il y a de cela six ans.

S'il prenait le choix de continuer sa vie il devra reprendre une autre voie, s'il suivait la terranide alors il prendrait aussi un autre chemin.

Tsukiyo détendit son corps et tourna sa tête vers Sofia.

- J'ai choisi ...

Il attendit que la terranide tourne la tête pour lui mettre un droite, la main ne tremblait pas, le regard de Tsukiyo avait changé, devenant neutre, calme et pourtant tellement perçant, il avait décidé de dévoiler sa véritable facette pour ne rien cacher à celle qui allait être son modèle.

- Je vais vous suivre pour voir votre vision de ce monde, une fois ceci fait je choisirais si j'accepterais cette vision ou non.

Sofia Maédra

Terranide

Re : le meutre presque parfait. ( pv

Réponse 12 samedi 11 juin 2011, 16:08:50

La jeune térannide souriait désormais, mais ce n’était pas un sourire franc et expressif,  non, c’était juste un petit sourire en coin tout en retenue, un sourire qui comme elle n’était  que discrétion.   Toutefois, elle était satisfaite de voir que comme elle le pensait il y avait une certaine  intelligente et surtout un sens de la réalité que peut de personne avait.   Toutefois, il y avait encore du travail à faire sur ce gamin.   
Mais ce qu’il ne savait pas c’était qu’elle avait un plan pour lui. Elle ne s’avait pas encore si cela le mènerait quelques parts, ou s’il suivrait une autre voie. Mais dans tout les cas  elle ne le laisserait pas devenir ce qu’elle était devenue elle. 

Elle observa tranquillement les réactions de ce petit poussin,  son poing s’était arrêté à quelques centimètres de sa tête, comme s’il avait accepté la réalité.  Mais ce n’était pas encore suffisant pour la terranide.  Il y avait encore de nombreuse chose à lui faire voir.

-Tu crois vraiment que mon but c’est de  te transformer en un clone de moi. Tu crois que je prendrais la peine de te former ?  J’espère que tu plaisantes, j’ai bien assez de difficulté avec un  apprenti, alors deux… Non, je veux juste te montrer des choses pour que tu te rendes compte que malgré ce que tu pense  tu n’as rien vécut.  Je veux t’amener aux limites de la misère. Après, tu verras ton choix.

Elle lui prit la main.  L’amenant dans une des ruelles les plus mal famée du quartier de la toussaint : Ici, les viols, la drogue, l’argent, le sexe… Tout cela était omniprésent.   Les  dealers côtoyaient les filles de joies. Et pourtant Sofia semblait  totalement avoir ses marques ici.   Elle salua quelques filles,  certaine âgée de moins de  quinze ans.   Ouvrant sa bourse avant de leurs donner une partie de sa prime.   Elle voulait ouvrir les yeux a cette espèce de bourgeois qui pensait avoir vécut.  Il ne savait rien.   D’ailleurs, celui-ci était entrain de se faire aborder par  un des gangs du coin.  La jeune femme était entrain de sourire puisque ceci était entrain de lui demandé  combien il prenait pour une passe…

-   Il n’est pas à vendre : C’est mon repas… D’ailleurs, je vous conseille de vous tirer. Vous savez que je ne plaisante pas les mecs…


Le fait que leurs cibles soient un homme et que celui-ci était déjà prit par la femme la plus dangereuse du quartier suffit a ce que cette bande de loque dégage.  Ici, elle faisait la loi. C’était sa rue et  les gangs n’y avaient pas leurs places.   Au nexus, elle  avait vécut son enfance dans cette même atmosphère.  Alors cela ne la dérangeait plus finalement. Par contre, elle aimait voir la tête du  pauvre gamin.   Il était bien loin de ses petites bandes de racailles. Ici,  on risquait sa vie a chaque seconde. 



-Bien : Voila, tu vois le bas fond de la société terrienne.  Alors d’après toi  est ce que ce genre d’endroit est dénué de corrompues, de personne  qui sont au pouvoir ?  Je t’arrête alors. Tu es dans l’erreur.  Il n’y a aucun  endroit qui est comme tu cherches. Et tu veux savoir pourquoi ?  Parce que personne n’agit.   Ne recherche pas a vouloir  changer la réalité mais ne reste pas de marbre face a elle.   Si tu veux vraiment que les choses changes,  fait en sorte d’être au pouvoir. Et fait en sorte que les choses changes.

La jeune femme était entrain de sourire, elle était entrain d’en faire un politicien.  C’était peut être triste a dire, mais elle savait que si il voulait changer les choses, c’était la seule façon de faire.  Elle attendait donc  la réponse  du jeune homme avec un certain intérêt.

Tsukiyo Riot

Humain(e)

Re : le meutre presque parfait. ( pv

Réponse 13 samedi 11 juin 2011, 18:49:48

Tsukiyo voyait le sourire en coin, visiblement son choix amusait un peu la terranide, il écouta avec attention ce que la terranide disait, mais contrairement à avant il essayait de comprendre le message qu'elle voulait faire passer, aussi se mit-il à suivre Sofia tout en essayant s’entrainant à marcher plus convenablement avec les chaussures.

Ce qu'il vit fut saisissant, le jeune homme avait comprit du premier regards que ce qu'il n'avait vue jusqu'à maintenant n'était que la surface visible de l'iceberg, son regard se posa sur tout ce qu'il pouvait voir, essayant d'user de sa sensibilité pour sentir l'atmosphère des lieux, mais il n'y arrivait pas, le pauvre ne connaissait pas la sensation que ses gens avaient et donc il ne pouvait ressentir leurs sentiments totalement.

Tsukiyo remarqua que beaucoup avaient peur de Sofia et que lui attirait des regards de convoitise. Il s’arrêta un moment pour regarder un groupe de prostituées qui discutait et c'est en voulant reprendre sa route pour rejoindre qu'il croisa un gang, son regard croisa celui qui semblait être le leader, il avait une vague idée de ce que c'était que la "passe" et cela ne lui plaisait pas beaucoup, il avait tant que ça l'allure d'une fille de joie ?

Heureusement Sofia intervenu à temps avant que Tsukiyo tente un passage en finesse. Le jeune homme put voir une nouvelle fois que Sofia semblait dominer ce quartier, il ne c'était pas douté une seule seconde jusqu'à maintenant que cette femme puisse être aussi puissante, mais cela voulait tout aussi dire qu'elle pouvait être capable du pire, Tsukiyo le pensait en tout cas.

Son regard se posa partout, il était sur ses gardes, cet endroit il n'y connaissait rien, à part qu'un faux pas et il pouvait se retrouver séparé de Sofia, ce qui se serait traduit par des emmerdes et tomber sur un gang qui sera moins regardant sur le sexe, voire un groupe, appréciant très peu ce genre de blague, le buter.

Vint enfin la tirade de la terranide, ce qui fit légèrement rire le jeune homme, il s'adossa contre un lampadaire qui ne marchait plus, son attitude et sa posture s'incrustant dans le fond comme un des nombreux éléments du décors, il avait suffisamment observé pour piger quelques trucs et l'appliquer. Il se mit à parler, ayant une voix plus fluette, plus féminine, ici il pouvait se permettre de jouer le rôle que Sofia aurait put voir, personne ne lui dirait rien.

- Parce que tu crois que cela me plait de me faire démontrer par A+B que ma vision est fausse, que cela me plait de me rendre compte à quel point je suis démunis en vérité, que j'aurais mieux fait d'user de ma force plutôt que de la retenir.

Tsukiyo se mit à légèrement rire.

- Je n'ai plus compté le nombre de fois où j'en voulais à ceux qui avait le pouvoir, je n'ai plus compté le nombre de personne que je voulais la mort. Et tu veux qu'une personne comme ça obtienne le pouvoir ? J'agirais un simple dictateur et rien de plus, si j'aide ceux qui sont dans la misère, les autres voudront ma peau et inversement, le pouvoir ne permet pas de changer cet état de fait.

La voix féminine de Tsukiyo augmentait sans le vouloir la porté des mots qu'il proférait. Il se mit enfin à bouger, se dirigeant vers Sofia d'un pas qui était maintenant totalement travaillé pour paraitre féminine.

- L'Homme est un loup pour les Hommes, dans ce cas je dois être encore un louveteau. Pour changer ce monde il faudrait avoir le pouvoir de contrôler les esprits, hors seul un dieu peut faire cela et les dieux dans ce monde n'existe pas, tout comme une créature comme toi ne devrais pas exister, ce qui me fait arriver à la question suivante. De quel monde tu viens.


Sofia Maédra

Terranide

Re : le meutre presque parfait. ( pv

Réponse 14 samedi 11 juin 2011, 19:47:42

La jeune femme écoutait avec attention ce que le jeune homme avait à dire, toutefois il était temps de lui expliquer ce qu’était la réalité de la vie.  Sauf que la ce serait disons plus frappant que ce qu’elle lui avait fait faire depuis le début.  Ce serait même plutôt  frappant.

La jeune femme le regarda dans les yeux, avant de lui mettre une gifle monumentale. Le genre de baffe qui vous brise la mâchoire en deux,  excepté que là, elle avait visé de telle sorte qu’aucun os ne soit cassé. Mais la douleur elle, était bien la.   Bien,  normalement il lui faudrait au moins bien cinq minutes avant de dire ce genre de connerie. Toutefois,  il avait raison sur un point. Elle ne venait pas de ce monde. Et il était peut être temps qu’il en sache plus sur elle.   Elle se plaqua devant lui, le regardant dans les yeux, son regard encore plus froid que les fois précédentes.

-La baffe, c’était pour ce que tu viens de dire. Tu n’as aucune idée de ce que j’aurais donné pour être à ta place. Mais écoute-moi bien espèce de pauvre petit con.
Normalement elle venait de capter son attention. Mais, il était temps de lui expliquer la vie.
-Tu veux vraiment que je te dise de quel monde je suis. Et bien je suis issue d’un monde ou l’esclavage est  un des piliers de l’économie et ou les gens comme moi sont dans les jambes d’un humain pervers dont le seul but dans la vie est de copuler encore et encore.
Voila, il voulait des révélations. Et bien il en avait et puisque elle venait de commencer  autant en finir.  Autant lui raconter son histoire depuis le début.

-Je n’ai pas eut de parents, et si je suis encore en vie c’est parce que le chef d’un gang m’a prit en pitié.   J’ai vu des gens mourir pour une gramme d’opium,  des gens mourir pour quelques piécettes. Je n’ai jamais eut la chance d’étudié,  et c’est a dix ans que j’ai commencé à être formé pour être un assassin.  Tu veux que je continue ? Ok…
Je ne calcule plus le nombre d’homme qui sont passé dans mon lit pour pouvoir les tuer, et tous les  bonus que j’ai dut leurs donné.    Tu vois ou je veux en venir.  Si je suis vivante, et encore libre, c’est parce que je me suis battue, encore et toujours.

La jeune femme  avait dit cela d’une voix aussi froide que d’habitude.  Encore que, si  il y avait une pointe de regret et  de tristesse. Mais, ce n’était pas plus visible que cela. Non, elle était trop fière pour lui montrer ses faiblesses. 
-   Celle qui devrait être en colère c’est moi.  Tu n’as pas encore de sang sur tes mains.  Tu as la chance de pouvoir étudier. Alors canalise ta colère pour en faire quelques choses de constructives, et obtenir ce pouvoir. Ce sera la seule chose qui te permettra  de changer ce monde.  Pour moi, il est désormais trop tard. Et même si je le voulais, ma race me l’empêcherait.  Je n’ai que deux choix possible… Continuer de tuer,  ou bien… Ou bien vendre mon corps. 

Elle avait fini son discours. Et ne dirait  rien de plus tant que ces paroles ne serait pas montées a  la tête cet imbécile.  Elle aurait tant donné pour pouvoir être a sa place. Vivre une petite vie sans effort, et pouvoir étudier.   Mais elle n’avait pas eut cette chance. Faute d’être née au mauvais endroit.


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