Un papillon sortant de sa cage (PV Sofia)

La place publique de Nexus s'éveilla lentement au première lueur du soleil. Non loin de là un timide rayon réveilla quelque chose, un neko, marchandise assez populaire. Le terranide ne put bouger car il était encore sous l'emprise d'une drogue qui lui avait été administré à son insu. Il ne put entendre que des voix.

-Tu as vraiment acheté ça 300 pièce d'or ?
-Oui, j'ai prétexté le manque d'éducation du fait de son amnésie, la fourrure terne, etc...

Ils se mirent à rire bruyamment, ce qui donna mal au crane à Papillon qui gémit, l'un des humains, car il s'agissait d'humain, s'approcha.

-Alors mon petit chat, bien dormit ? ça tombe bien c'est l'heure.

-L'heure de quoi ? Demanda le neko encore à moitié endormit

-Disons qu'une personne va venir pour prendre soin de toi.

Cela suffit au terranide qui était d'une crédulité affligeante, sans doute qu'il allait rencontrer des gens aussi gentil que la famille qui l'avait recueillit. Mais hélas cela était rarement le cas à Nexus.

Le bonhomme ouvrit l'espèce de cage, qui était assez confortable avec les couvertures qui évitaient le contact avec le fer froid. Ils n'avaient pas prit la peine de changer ses vêtements car cela pourrait peut-être faire montrer les prix. La lumière parut au terranide  bien agressive, un effet de la drogue qui allait se dissiper bien vite.

Le marchand était un adepte de la vente à disposition, avec Papillon il y avait huit autre esclaves, principalement des femmes. Le vendeur fit partir les huit très vite car ils étaient réservés, il ne restait plus que le neko, qui n'avait pas séduit grand monde, mais une deuxième vague de client remplacèrent les précédant .

-Voici un pièce assez peu commune, il s'agit d'un terranide chat comme le montre ses oreille et sa queue d'une couleur très rare, mais il possède aussi des oreilles humaines, il a cependant un dressage médiocre malgré ses jolis traits, je le propose donc à...2500 pièces d'or

Une main se leva.

-2700 Pièces d'or

 

La jeune femme soupira, elle avait décidément trop de contrat. Bien trop de contrat, sur ce coups la, elle avait était  bien trop gourmande.  Mais, l’appât du gain était une chose bien étrange, et surtout elle avait besoin d’argent. Déjà depuis quelques temps, elle avait  une idée en tête.  Dans tous les cas, il y avait deux problèmes majeurs.  Le premier, c’était qu’elle allait devoir puiser  dans ses reverses personnelles.  La seconde, c’était qu’il était tard.

Marché du nexus, quelques heures plus tard.

Déjà une heure qu’elle recherchait, mais rien ne lui convenait.  Il n’y avait personne qu’elle pourrait prendre comme apprentis, et qu’elle pourrait  utiliser comme un pion.   Les femelles ?  POUAH…  C’était juste hors de question : elle voulait un meurtrier, pas une peluche.  Ou dut moins pas maintenant.   Mais, peut être un jour, craquerait elle pour une jolie hybride docile qui s’occuperait des taches ménagères.  Ce qui ne serait sans doute pas une mauvaise chose au vu de ses  faibles compétences dans ce domaine. Mais qu’importe.

L’activité commerçante battait son plein  encore aujourd’hui sur cette plaque tournante du trafique d’esclave.  Et elle était décidé à trouver son bonheur parmi ses échoppes miteuses provoquant a son passage quelques sifflements,  ou des  soupires d’indignations. Il est vrai qu’un terranide  libre et qui l’exhibe est une chose dont le commun des mortelles  n’est pas habitué. Mais, cela elle s’en moquait. Et si quelqu’un avait son mot à redire, et bien, c’était  un aller simple pour la tombe.
Voila donc notre  jolie kitsune  entrain de fureter dans les étales,  mais le manque de marchandise se faisait cruellement  sentir.  Elle s’arrêta devant une petite échoppe. Assez miteuse, elle devait l’avouer. Par contre,  la créature qu’elle abritait, elle semblait un peu digne d’intérêt. Encore que, elle semblait assez minable.  Mais, avec un dressage adapté et un entrainement digne de ce nom, peut être que ?  bha, ca valait le coup d’essayer de faire quelques choses de cette larve.


Deux milles sept cent pièces d’or ? C’était une plaisanterie. Qui payerai une telle somme pour ca. Il n’en valait même pas  le quart.  Mais, ca apparemment, cela ne dérangerait pas cette espèce de riche ventripotent qui avait fait la première offre.

Il y eut un sifflement, et  le possible acquéreur s’écroula.  Un poignard pile entre ses deux yeux.   Les meurtres dans Nexus, était  fréquent et  personne ne voulait mourir prématurément.  Il y eut bien quelques murmures, mais la majorité n’osait finalement rien dire.   La jeune femme se rapprocha doucement,   dans un déhanché sensuel de l’homme encore chaud.  Des qu’elle fut assez proche, elle récupéra son poignard,  avant de l’essuyer sur la  chemise du  pauvre   cadavre.

-Cinq cent, et c’est mon dernier prix.  Et je suppose que aucun d’entre vous n’a de  commentaire a faire sur cela ?

La jeune femme tira de sa ceinture  cinq autres poignards du genre, lançant au passage une bourse au marchand.   Le compte n’y était même pas, mais il n’osa rien dire.  Il avait trop peur de perdre sa misérable vie.  Elle se dirigea vers son  acquisition et  le tira par le col a l’extérieur de sa cage.

-Bien, on  va faire ca rapidement. Tu sais faire quoi ?   Tu es capable de manipuler une arme ? 

Hum, vu le look de la bestiole, elle n’attendait rien de lui. Mais avec l’entrainement approprié peut qu’elle arriverait à  faire quelques choses.   Il ne restait plus qu’a attendre la réponse de la bête,  alors que la foule se dispersait sans demander son reste.

L'offreur mourut prématurément, tous les autres s'écartèrent rapidement, mais ne regardaient pas la victime, en faisant comme-ci il n'y avait pas de mort on s'assurait une vie plus longue.

-Cinq cent, et c’est mon dernier prix.  Et je suppose que aucun d’entre vous n’a de  commentaire a faire sur cela ?

Le marchand grinça des dents, il connaissait de nom cette terranide qui venait de lui faire perdre pas mal d'argent, et d'après les rumeurs on ne pouvait discuter avec elle qui avait sortit d'autres armes, preuve de sa dangerosité. L'acheteuse lança une bourse que le marchand prit, il mit un peu Papillon dans une cage le temps de chercher des vêtements supplémentaires.

-J'te conseil de lui obéir sinon tu fera pas de vieux os

Le neko avait peur de cette personne, il avait comprit qu'il avait été vendu et pas à une bonne personne, le regard apeuré du marchand en avait dit long sur sa propriétaire. Celle-ci le tira sans ménagement hors de la cage que le marchand n'avait pas verrouillé.

-Bien, on  va faire ca rapidement. Tu sais faire quoi ?   Tu es capable de manipuler une arme ? 

Papillon répondit rapidement.

-Je sais faire les bases de la cuisine, un peu de ménage et couper du bois. Je crois pouvoir, mais je n'ai aucun souvenir de plus de deux mois, je ne peux pas dire oui.

Le marchand préféra rester planqué car il n'avait pas mentionné son amnésie et cela pouvait lui couter la vie. Il ne sortira que lorsqu'il jugera qu'ils étaient assez loin, il devait sérieusement penser à se reconvertir.


-hj- un peu court, je me rattraperais -hj-

 

La jeune femme soupira doucement avant de lui dire, d’un air lassé, voir même désespéré.  Elle  rangea, avec rapidité, ses différentes armes de  jet, n’en laissant qu’un seul a porté de main, jouant avec.  Elle le faisait tourné rapidement,  d’un geste sur et maitrisé.  Elle se décida cependant de ranger son arme de lancer, avant de  jeter un  regard noir au marchand. Elle était sans doute dans sa journée de bonté, car elle le laisserait vivre.  Aujourd’hui dut moins.

-   Donc, ce que tu es en faite entrain de me dire c’est que tu ne sais rien faire hein ? C’est désespérant.  Bon, d’un autre coté, je suppose que ca me laisse la possibilité de  te former a ma guise non ?   

Elle l’observa, le dévisageant, des pieds jusqu'à la tête.  Et faillit, se  demander s’il ne fallait pas finalement tuer cette pauvre petite chose tout de suite. Après tous, il était déjà terrorisé  rien qu’en la voyant. Bon, il était tend de lui apprendre les durs réalités de la vie, a ce pauvre gosse.

- Bien, Donc écoute-moi bien pauvre petite chose. La vie, c’est simple. Soit tu es fort et tu vivras. Soit, tu es faible et tu meurs. C’est aussi simple que cela.  Donc a toi de voir. Si tu veux, tu peux vivre, mais il te faudra te plier à. mes règles. Mais, je ferrais de toi quelqu’un qui est capable de se battre, et de se défendre.


Elle ne dit rien d’autre, se contentant d’avancer. Il avait le choix, soit la suivre, et vivre. Soit resterais  ou il était et mourir.   Ce ne serait sans doute pas de suite, mais un jour ou l’autre.   Ce serait le seul choix qu’elle lui laisserait. Choisir entre la vie et la mort. 
Elle resta quelques instants seules, profitant de ce répit pour faire le point :  Si elle décidait de s’occuper de lui, elle aurait dans ses pattes un boulet,  mais qui avec un peu de chance, avait assez de potentiel pour survivre.  Mais avait-il assez de tripes pour cela ?  C’était la question du jour. Mais ses compétences pour l’instant étaient  totalement risibles. Survivre avec cela ? Elle aurait bien voulu voir cela. 

Hum, si dans cinq minutes il ne se dépêchait pas de venir, elle s’en irait sans lui. Elle commença d’ailleurs a tourné les tallons. Elle n’avait  plus rien à faire ici.  Elle se contenta juste de tournait une dernière fois la tête.  Tient, donc, il était donc venu finalement.  Il avait donc finalement choisi de vivre. Comme quoi, il n’était peut être pas si idiot que cela. 


-Bien, gamin, tu as fait le bon choix. Tu vivras peut être… En me suivant.  Au pire, je ferais en sorte que ta mort soit sans douleur et qu’elle soit rapide.   J’espère au moins que tu as un nom ?

Et voila cette pauvre créature embarquée dans ce qui serait sans doute la pire galère de sa vie. Mais, cela, il ne le savait pas encore. Même s’il était fortement probable qu’il s’en doute non ?

-   Donc, ce que tu es en faite entrain de me dire c’est que tu ne sais rien faire hein ? C’est désespérant.  Bon, d’un autre coté, je suppose que ca me laisse la possibilité de  te former a ma guise non ?   

Papillon hocha timidement de la tête, rien faire était méchant, mais il fallait pas énervé une femme capable de tuer de sang-froid. Puis la femme prit le temps de le regarder sous toute les coutures, comme-ci elle cherchait quelque chose de particulier en lui.

- Bien, Donc écoute-moi bien pauvre petite chose. La vie, c’est simple. Soit tu es fort et tu vivras. Soit, tu es faible et tu meurs. C’est aussi simple que cela.  Donc a toi de voir. Si tu veux, tu peux vivre, mais il te faudra te plier à. mes règles. Mais, je ferrais de toi quelqu’un qui est capable de se battre, et de se défendre.

Cela fit l'effet d'une gifle au terranide, la dureté de la vie, la loi du plus fort, tout ce qu'il avait fait avant, il l'avait oublié. Il ne voulait pas mourir, mais lui savoir de battre s'était impossible. Papillon regarda sa marque sous sa paume droite, il était un peu perdu, mais il pouvait la suivre pour peut-être construire sa route.

Il ignorait que certains réflexe d'avant étaient restés, qu'il avait les compétences pour se battre et cela il allait peut-être le découvrir, le destin peut être joueur des fois.

Le neko rejoignit celle qui l'avait acheté, il avait choisit de vivre car il voulait découvrit ce monde grâce à sa curiosité, même si il tremblait d'avance de suivre ses règles qui selon lui seraient loin d'être douces, le courage n'était pas une de ses qualités, mais il n'avait d'autre choix car il avait encore plus peur de la mort.


-Bien, gamin, tu as fait le bon choix. Tu vivras peut être… En me suivant.  Au pire, je ferais en sorte que ta mort soit sans douleur et qu’elle soit rapide.   J’espère au moins que tu as un nom ?

Dans tout les cas il prenait le risque de mourir, il était au moins assuré de ne pas souffrir dans la voie qu'il avait choisit.

-Je...je m'appelle Cécile, mais j'ai aussi le surnom de Papillon.Comment dois-je vous appeler ?

Il ne savait pas ce qui l'attendait, mais c'était préférable à la mort, mais après avoir vu la femme jouer avec les couteaux il se doutait un peu qu'il allait souffrir. Normalement il aurait fuit, mais aucune chance d'espérer lui échapper après l'avoir vu tuer cet homme.

Il ne se doutait pas que ce qu'il imaginait été très en dessous de se que lui réservait Sofia et qu'il allait vite apprendre la dure loi de la vie.

Elle le regarda incrédule, Bon, le fait qu’il s’appelle  Cécile,  cela était encore acceptable. Bon, certes  c’était un  nom  de chevalier, voir de paladin. Mais,  Alors son pseudonyme, c’était totalement idiot. Voir stupide,  papillon… Mais à qui allait-il   faire peur avec ce nom.  Il devait être formé comme un assassin. Pas comme une pauvre bestiole.  Non, là la térannide était  totalement  déprimée. Un nom comme cela, et il serait la risée du métier,  et elle aussi par la même occasion.
Comment, devait-elle se faire appeler par cette bestiole ?  Hum,  Bonne question ? Maitresse ?  Magnificence ?  Ou toute grandeur ?  Hum, cela ne lui aurait pas déplut, mais il fallait quand même être  raisonnable. Et Briser encore un peu plus les pauvres illusions de cette jeune créature.

-Bien,  Appelle moi Sofia.   Mais comprends  une chose,   ce nom, sera sans doute synonyme de nombreuse crise de larme, de souffrance, et de peur. Je ne te le cache pas.   Mais puisque tu es décidé a suivre la voie de la vie,  je  suis sur que cela ne te fait pas peur.

Elle y allait fort, c’était vrai. Mais l’entrainement de ce jeune homme serait de même nature. Dur, Très dur même. Et il commencerait demain. Car pour l’instant il y avait des choses plus urgentes à faire. La première  serait de lui trouver une tenue moins voyante que ce qu’il avait actuellement.  La seconde, serait de lui faire prendre une douche…  Car cela se voyait, il avait l’odeur de la peur, de la mort, et celui des esclaves. Hors, un  assassin se doit de n’avoir aucune odeur, aucune  emprunte…
Ainsi, la jeune femme  arpentait pour l’instant les étales de nexus, tentant de trouvé dans ce bazar apocalyptique   des vêtements.   La plus part du temps, elle ne  jetait qu’un  œil dédaigneux. Toujours aussi froide. Toujours aussi violente.  Elle s’arrêta lorsqu’elle trouva enfin quelques choses qui lui plaisaient.   Elle acheta ainsi, deux tenues complètes de couleur noire.  Le genre de tenue très mais  confortable, et qui surtout ne gênait aucun mouvement. C’était la base : pouvoir se mouvoir en toutes circonstances. Et  cela lui sauverait sans doute la vie. 


-Bien, au fait gamin,  tu as quelques choses qui te motive dans la vie ?  Ce genre de chose qui fait en sorte de restait en vie ?


La question était lancée, sans plus de  ménagement, et il était fort probable que celle-ci soit uniquement pour meubler la conversation, encore que. La jeune femme était effectivement assez  curieuse. Mais  la réponse de l’apprenti ne changerait de toute façon absolument rien.  Elle serait aussi dure avec lui.

Elle marchait tranquillement,  en prononçant cette phrase, lorsque la pauvre téranides se prit les  pieds dans l’une de ses propres queues. Ce qui la  déstabilisa, et la fit se  ramasser lamentablement.   
Il ne lui fallut que quelques secondes pour se  relever et épousseter  son kimono désormais rempli de poussière. L’une des épaules étant tombée, on pouvait voir un bout de peau nue.  Toutefois, le regard assassin qu’elle avait maintenant, laissé sous entendre que Cécile ne devrait pas  faire de commentaire, sauf si bien sur, il voulait mourir dans les cinq minutes suivantes.

A priori son surnom avait surprit la femme renarde, enfin il pensait que ces queues étaient celle d'un renard.

-Bien,  Appelle moi Sofia.   Mais comprends  une chose,   ce nom, sera sans doute synonyme de nombreuse crise de larme, de souffrance, et de peur. Je ne te le cache pas.   Mais puisque tu es décidé a suivre la voie de la vie,  je  suis sur que cela ne te fait pas peur.

Sur coup, il ne sut pourquoi il regarda sa paume droite où une forme de papillon rouge sang était visible. Cela pouvait indiquer le pourquoi de ce surnom. Il avait peur, mais comme il avait décidé précédemment, plutôt souffrir que mourir. Le terranide sentait que sa formation allait être très dure, mais peut-être serait-il un peu plus tranquille après. 

Papillon suivit Sofia en prenant garde de ne pas la gêner, elle cherchait des vêtements, sans doute pour lui. Il observait avec une grande curiosité, la façon méthodique dont il arpentaient les rues, le marchandage entre client et vendeur. Sofia fit l'acquisition de deux tenues noirs. Le terranide se dit que la nuit il serait très discret et en plein jour cela passerais plus inaperçu que ces vêtements actuels.


-Bien, au fait gamin,  tu as quelques choses qui te motive dans la vie ?  Ce genre de chose qui fait en sorte de restait en vie ?

Cécile réfléchit un moment. Cela lui fit oublier sa peur, il était un peu comme un enfant passant d'un sentiment à un autre très facilement, mais aussi  parce que c'était une bonne question.

-J'ai le sentiment que je ne dois pas mourir, j'ignore pourquoi, mais je dois rester vivant, sans doute qu'avant j'ai promis quelque chose ou fait quelque chose et que je ne m'n souvient pas.

Ce qui le poussait à vivre était une promesse et un meurtre, mais cela il l'ignorait, ironiquement le destin allait le diriger vers une voie assez spéciale

Sofia tomba au sol après avoir malencontreusement marché sur une de ses appendices de renard, Papillon voulut l'aider mais un regard lui glaçant le sang l'empêcha de faire quoique ce soit, on sentait bien que cette femme n'était pas n'importe qui. Il n'empêcha que sa chute avait un peu brisé son image, mais le terranide ne dit rien, il ne voulait pas mourir maintenant.

La réponse que la téranide reçut, lui parut assez superficielle. Ne pas savoir pourquoi on vit, cela était son cas, alors elle s’en moquait. Mais ne pas se souvenir d’une promesse, ca par contre, elle ne comprenait pas.  Elle réfléchi quelques instants, ce demandant comme elle allait pouvoir faire en sorte que ce bougre puisse apprendre rapidement un entrainement qu’il lui avait prit des années.   Le point positif, c’était que contrairement à elle, il n’était pas vraiment  bavard.  Pour un assassin c’était la moindre des choses.  Enfin,  le voyage prendrait quelques temps, et le fait est qu’elle voulait en savoir plus sur lui. C’était une bonne façon, de le tester.  Et elle le savait, il avait trop peur d’elle, pour lui mentir.  Encore que cette mauvaise chute lui avait fait perdre du crédit. Bha, elle rattraperait cela par le fait que ce soir il dormirait dehors.  Et sans mangé bien sur.  Une nuit  à la belle étoile ne lui ferrait pas de mal. Et puis, avec cette nuit sans lune et ces combinaisons, il était peu probable qu’il meurt a cause d’un esclavagiste ou d’une bête du coin.

-Bon,  donc en réalité tu ne sais même pas pourquoi tu vis ?  Et en plus tu ignores ton passé !  Et tu as quel âge rappelle moi ?  Bha a vu de nez, je dirais quoi. Quinze ans… Seize au maximum.   Ca te laisse encore un peu de temps, peut être que d’ici la fin de ta vie tu trouveras.   Dans tous les cas, ton entrainement commence se soir.   J’espère que tu sais comment on se sert d’un couteau ?


Elle, en sortit un de sa poche. Et le tendit a  Cécile.  Il serait la seule chose auquel il aurait droit cette nuit. Car même si la demeure de la jeune hybride, était à vrai dire, a quelques  minutes. Mais cela. Le jeune papillon ne le savait pas.   Elle l’amena donc dans une forêt  à quelques heures du nexus.   Il serait normalement  arrivait avant la tombé de la nuit. Et  ce serait a ce moment la que son entrainement commencerait.   Bien, il était désormais temps. Le crépuscule montrait le bout de son nez, et de plus, ils étaient a la bordure du lieu.   

Elle lui tendit doucement la première combinaison avant de lui dire le plus sérieusement du monde.  Dans celle ci, se trouvait un petit objet en argent. Une de ses armes favorites.




-Ce soir, ce sera ta première journée d’entrainement. Et ton premier test.  Si tu survis seul, cette nuit. Alors, tu seras digne d’être prit a mon service comme apprenti. Je suis cependant magnanime et je te laisse un de mes couteaux.  Ce sera la seul chose qui te   sera indispensable.   Bien, je te laisse donc. A Demain.

Effectivement, la jeune femme venait de partir.  Non, plus exactement, elle  venait de disparaitre dans  les bois.  Elle était après tout, un assassin.  Une créature des ombres.  Elle se devait donc, de disparaitre si besoin était.  Mais, elle ne le faisait que rarement.  Et surtout dans des conditions précises. C'est-à-dire lorsque celui ou celle avec qui elle était,  était… Bha, disons pas très observateur.

Cécile était désormais seul…  Enfin, pas tous a fait, il y avait toute la faune et la flore de terra pour lui tenir compagnie.  Une compagnie dangereuse, et très peu rassurante.  D’ailleurs, dans l’ombre. A quelques dizaines de mètre se trouvait une paire d’yeux brillant…   Mais,  ceci n’était pas une menace. Non,  c’était  La rose noir, qui  s’occupait de son apprenti. Même si celui-ci, ne la voyait pas. Elle, elle était la. Et elle le surveillait.   Pour ne pas qu’il ne perde la vie trop rapidement.   

-Bon,  donc en réalité tu ne sais même pas pourquoi tu vis ?  Et en plus tu ignores ton passé !  Et tu as quel âge rappelle moi ?  Bha a vu de nez, je dirais quoi. Quinze ans… Seize au maximum.   Ca te laisse encore un peu de temps, peut être que d’ici la fin de ta vie tu trouveras.   Dans tous les cas, ton entrainement commence se soir.   J’espère que tu sais comment on se sert d’un couteau ?

-je ne suis pas sur de mon âge, mais vers 16 ans

Cécile ne répondit pas à la question sur le maniement du couteau, il avait l'habitude de couper du pain avec, mais il se débrouillerai pour faire ce que Sofia attendait de lui, si cela était dans ses moyens. Ils allèrent dans une grande forêt à plusieurs heures de marche. Cela n'épuisa pas trop le terranide qui avait fait de nombreuses promenade en montagne. La forêt semblait avoir beaucoup de vie d'après ce que Papillon entendait.

Sofia lui donna une des deux tenues acheté précédemment et un couteau, qu'est-ce qui allait arriver maintenant ?


-Ce soir, ce sera ta première journée d’entrainement. Et ton premier test.  Si tu survis seul, cette nuit. Alors, tu seras digne d’être prit a mon service comme apprenti. Je suis cependant magnanime et je te laisse un de mes couteaux.  Ce sera la seul chose qui te   sera indispensable.   Bien, je te laisse donc. A Demain.

Il fut surprit et n'observa pas suffisamment la femme renard qui disparue sans laisser de trace. Lorsqu'il saisit son contact lui semblait familier, puis des bruits se firent entendre, dans la montagne il y avait des animaux nocturne un peu dangereux, mais ici le danger semblait accrue. Il se basait sur ce qu'il connaissait

Cécile, persuader d'être réellement seul, il monta  à un arbre et se changea en restant sur le qui vive, puis il observa aux alentour et vit le reflet d'un point d'eau. Se déplacer dans les arbre de nuit était dangereux, mais il en était de même au sol, il descendis cependant, le terranide saisit le couteau et marcha en direction de l'endroit où avait été aperçue le reflet.

Il arriva à un lac, l'eau ne posait plus de problème, il marcha sur une liane qui s'enroula autour de sa jambe et cherchait à pendre le neko au dessus d'une plante carnivore, par pure réflexe, le couteau décrivit un arc de cercle tranchant la laine vivante, lui sauvant ainsi de justesse. Il tremblait de peur, mais il devait réussir ce test, il regarda la main qui tenait l'arme ce demandant comment il avait put réagir aussi vite, c'est avec prudence qu'il chercha de la nourriture. Il dû ce cacher deux fois dans les arbre alors qu'un prédateur nocturne croisait malencontreusement sa route, la chance voulut qu'ils avaient remplient leurs estomacs avant.

Il tenta plusieurs fois de choper à mains nue des sortes de lapins, ils étaient très rapide et un peu moins bête que leurs homologues terrien. Cécile tenta de faire des pièges, mais sans plus de succés, il décida d'observer d'avantage ses proie et découvrir qu'ils aimaient une sorte de champignon, mais l'appât était protégé par une espèce végétale. Il resta un moment à observer, mémoriser et réfléchir pour finalement mettre en place son piège, s'inspirant fortement de ce qu'il avait observé.

Il avait remarqué que les lapins voyaient mal en hauteur alors il grimpa à un arbre avec la corde qui actionnait le piège. Le neko attendit sans bouger, il avait très faim, mais si il se précipitait il ne mangerait pas.

Seize ans.  Dire qu’elle avait   vécut la même chose alors qu’elle en  avait que dix. C’était certes injuste, mais c’était la vie.   Elle  était en vie, et c’était sans doute grâce à cela qu’elle était encore en vie.   Alors,  elle ne mettait pas en doute  ses méthodes d’entrainements. Elle était dur,  sanglante parfois, mais lui avait deux choses qu’elle a l’époque n’avait pas.  Elle le surveillait, c’était la première chose,   La seconde c’était que contrairement a  elle, s’il échouait, elle ne le tuerait pas. Ou dut moins elle lui donnerait une seconde chance,   elle  serait disons…  Indulgente.   Elle aurait voulu que  parfois, on le soit un peu avec la gamine qu’elle était autrefois.

Hum,  Et bien il ne se débrouillait pas trop mal pour l’instant.   Il avait trouvé un endroit en hauteur. Comme cela, il était a peut prêt a l’abri des prédateurs, et s’il ne se trompait pas. Il devait rechercher un point d’eau. Chose vitale lorsque on est seul et sans ressource.  Par contre le fait de descendre  était un peu plus…  Risquait, mais voyons voir.    La jeune femme le suivit.    Prenant bien garde a son environnement.  Etrangement, lorsqu’elle était comme cela, dans un entrainement ou en mission, elle était totalement transformée. 
Elle se saisit de  son poignard,   alors que  le jeune homme  était prit au piège dans cette liane végétale.  Toutefois,  elle ne voulait pas intervenir, il devait aussi  apprendre a se débrouillait seul.   Et effectivement, il y était arrivé.  Il avait du  talent, c’était certain. Mais,   pourrait-il survivre une nuit entière.   Il devait aussi trouvé de la nourriture,  chose qui n’était pas facile.    Mais, s’il était un peu intelligent, il apprendrait vite.   Elle l’observait toujours,  constatant que oui,   il avait un bon don d’observation.  Chose qui était toujours utile. Mais,   ce ne serait pas cela qui l’aiderait à manger. S’il le voulait, il devait  être plus vif encore que  la  nature elle-même. Et c’était pour cela qu’elle l’avait amenait ici, parce que on ne peut compter que sur soit même. 

Par contre, il y avait un petit problème, les proies auxquelles il s’intéressait, était le plat principal d’un certain carnivore de la région.  Donc,  il y avait des chances non négligeable, que  s’il arrivait a en tué un. L’odeur du sang, ne fasse venir toute une meute de ces charognards.   Ce serait un bon test. Cela lui apprendrait à camoufler son odeur.
Dans cinq heures, ce serait la fin de l’exercice. Et elle reviendrait le voir.  Enfin, même si bien sur elle était toujours la. Mais elle était assez surprise, et surtout satisfaite des aptitudes de son élève.  Comme quoi pour un  gosse il ne s’en sortait pas trop mal. 

*Oui, il  ferra un bon partit un jour. S’il survit.  Il se pourrait même que je lui laisse la possibilité de  redevenir libre.  Contre une certaine somme d’argent,   C'est-à-dire le prix de mes  conseils.  *

Elle sourit  à cette idée,  hum  oui finalement elle l’avait bien choisit.   Par contre,  Il était temps  de le suivre, sinon elle allait le perdre cet empoté.

Une bonne demi-heure c'était écoulé entre le moment où il avait posé son piège et où trois bestioles furent prient au piège. Il y avait maintenant un soucis, les prédateurs, en montagnes ils n'étaient pas trop dangereux, mais d'après ce qu'il avait vu, ils n'étaient pas très commode en ce lieu.

Il n'aimait pas tuer, mais il devait survivre, il prit un des lapins et lui brisa le cou, c'était une mort rapide et rapide car le cou de cette bestiole était fragile, il ouvrit le lapin mort qui ferais office de diversion et se précipita vers le lac en oubliant de nettoyer sa lame. Une partie des prédateurs du coin allaient vers le lapin, mais trois d'entre eux avait prix le neko en chasse.

Son côté animal se chargea de le prévenir du danger, des bruits étaient audible derrière lui, il fallait qu'il trouve un refuge rapidement, il y avait une sorte de grotte à droite, mais elle était trop ouverte, le lac était trop loin, il avait été prit en chasse.

Il grimpa à un arbre pensant qu'il pourrait se sauver par les arbre, ses poursuivant apparurent, des sortes de loups mais en plus gros et ils avaient faim. Le neko se déplaça dans les arbre mais les créatures le suivait, ils ne pouvaient monter aux arbres, le chat observa un peu, ils ne le regardait pas, il jeta une branche, aussitôt les créatures humèrent l'air. Le neko réfléchit et comprit, c'était son odeur qui le trahissait, ses mains découverte, son visage, sa queue de félin, il devait trouver quelque chose pour changer son odeur.

Cécile passa d'arbre en arbre cherchant une odeur pour atténuer la sienne, il fallait une assez forte, il remarqua alors sa lame ensanglanté, prit une série de feuille et les éparpilla au gré du faible vent, cela déstabilisa ses poursuivants, pendant se temps il avait appliqué des feuilles sur ses mains ,frictionné son visage et sa queue.

Cela n'allait pas le masquer totalement, mais rendre la traque de ses poursuivants le temps qu'il se met à l'abri , il avait cependant mal juger son itinéraire et se retrouva au dessus du lac, une peur naturelle prit le dessus le figeant sur place, il n'eut cependant pas le temps de transpirer car la branche cassa, le faisant plonger dans l'eau. Son diner fut noyé, lui-même faillit boire la tasse, il se surprit en voyant qu'il nageait sans trop faire de bruit. Il se maintenait à la surface pendant dix minutes éprouvante, les prédateurs finir par se lasser.

Il rejoignit le bord, son premier réflexe fut de tendre des pièges un peu partout, ils n'étaient pas destiné à tuer, simplement entraver. il regarda sa prise qui faisait une sale tête, mais il n'avait que ça. Il ôta ses vêtement trempé pour les mettre dans l'herbe pour qu'ils en prennent l'odeur puis il ouvrit un lapin dans le petit point d'eau, camouflant l'odeur du sang;

Manger de la viande cru était assez difficile, le neko abandonna et chercha autre chose, il tomba sur des fruits sauvage, entourés de liane vivantes ,il put prendre quelques uns des précieux fruit en jetant des branches morte. les fruit étaient comestibles, malgré le gout infecte, mais c'était mieux que la viande.

Il ne savait combien de temps avait passé 

Elle était fière de lui.  Depuis le début elle l’observait.    Tous, le long de la poursuite,    étant prête à intervenir si il avait besoin d’aide. Même s’il aurait du refaire le test.   Mais, la plus la nuit avancé, plus elle était surprise.    Il avait déjà comprit la majorité des règles qui lui serait indispensable a sa survie. Trouver de l’eau, de la nourriture, toujours camouflé son odeur, et surtout savoir se déplacer sans bruit.  Bon, effectivement, il y avait encore des progrès a faire. Mais, il était temps de stopper l’exercice.  De toute façon,  l’aurore ne tarderait pas. Car, il y avait déjà plusieurs heures qui s’étaient écoulées. Cette course poursuite, et la recherche de nourriture ayant durait un très long moment.  Elle l’observa pendant quelques instants…   Et voila les premiers  rayons de soleil.


Elle  se dirigea lentement mais surement vers lui.  Ne disant rien,  souriante, et faisant comme si elle avait passé une très bonne nuit. Mais,  en réalité cela n’avait pas était le cas. Et pourtant, il était impossible de le voir sur son visage.   Il y avait  certes toujours la même froideur… Mais, un léger sourire.   Elle se dirigea vers lui.

-   Tu vois, ce test. Je l’ai passé a … Dix ans…    Donc,  dit toi que  si une gamine d’une dix ans, l’a réussit, il est normal qu’un grand gaillard comme toi le réussit.  Toutefois, le fait que tu sois encore en vie veut dire, que tu as quand même une chance de réussir l’entrainement que je te concocte. Ce qui est une bonne chose non ?


Elle eut un grand sourire…  Et continua à avancer jusqu’au bord du lac, ou elle glissa la tête la première dans l’eau gelée… C’était dans ces cas la qu’elle détestait ses fichues queues…  Elle était désormais trempée, et le pire que tous, c’était que maintenant son kimono était trempé.  Elle espérait juste que celui-ci ne soit pas fichu.  Son kimono favori…  Enfin …  Il  fallait cependant avoué une chose. Elle avait vraiment de belle forme.  Le tissus lui collant a la peau,  et permettant au petit papillon de découvrir les formes de l’araignée qu’elle était.

-   J’espère que tu t’es bien rincé l’œil… Pervers va. Mais tu as de la chance que j’ai l’habitude.  Je devrais te trancher le cou pour cela. Mais je t’ai payais assez chère. Donc, je me maitriserais.

Elle soupira doucement,   avant de prendre la seconde tenue et de disparaitre… Lorsqu’elle revint, elle s’était changée.  La tenue noir la moulée encore, mais c’était déjà moins le cas que tous a l’heure. Elle ne dirait donc rien… Et le laisserait se dépatouiller avec la situation…   Bon, il était bientôt temps de rentrée.  Elle avait sommeil et surtout elle voulait prendre une douche chaude…  Lui par contre son entrainement était loin d’être fini.  Alors, oui,  sa journée de malheur venait tous juste de commencer.

Il avait beaucoup de mal à se détendre, la peur de voir surgir un prédateur l'en empêchait de le faire, il priait pour que le jour se lève vite.

En voyant Sofia il reprit un peu de courage, l'épreuve semblait finit, heureusement car il avait eut très peur. Mais cela lui avait montré qu'il avait quelques ressources dont il ne connaissait pas l'existence, notamment la nage, lui qui avait peur de l'eau savait à présent qu'il nageait assez bien, il pouvait aussi échapper à de gros prédateurs. La femme renard prit la parole, papillon aperçu brièvement un sourire discret, c'était peut-être la fatigue.

-   Tu vois, ce test. Je l’ai passé a … Dix ans…    Donc,  dit toi que  si une gamine d’une dix ans, l’a réussit, il est normal qu’un grand gaillard comme toi le réussit.  Toutefois, le fait que tu sois encore en vie veut dire, que tu as quand même une chance de réussir l’entrainement que je te concocte. Ce qui est une bonne chose non ?

Cet fois le sourire fut bien visible, le neko ce demandait comment elle avait fait, mais en même temps il avait comme handicape sa perte de mémoire, peut-être aurait-il mieux réussit avec tous ses souvenirs. Sa pensée fut interrompue par un "Plouf" qui voulait tous dire, le terranide hésitait entre un rire nerveux, venir l'aider ou ne pas bouger, ce fut la dernière proposition qui fut choisit car il ne voulait pas subir les foudres de Sofia.

Lorsqu'il vit les forme de la femme, il se mit à rougir, rouge comme une pivoine. Cécile n'avait jamais vu les réelles forme d'une femme souvent caché par les vêtements, il détourna le regard vers le sol.

-   J’espère que tu t’es bien rincé l’œil… Pervers va. Mais tu as de la chance que j’ai l’habitude.  Je devrais te trancher le cou pour cela. Mais je t’ai payais assez chère. Donc, je me maitriserais.

Il fut un peu rassuré. Sofia alla se changer et lorsqu'elle fut revenue elle avait l'air d'un assassin avec cette tenue, même si ces forme restaient visible cela était plus discret, cela mettait certes Cécile un peu mal à l'aise, mais cela était mieux gérable pour lui.

Ils reprirent la route,mais pas vers la ville étonnamment, allaient-ils marcher encore des heures ? Ce ne fut pas le cas, ils arrivèrent devant une splendide demeure au bout de quelques minute de marche, lui qui avait connue une simple petit maison de montagne il était surprit. Il en déduisit que cela appartenait certainement à Sofia ou à sa famille, d'ailleurs avait-elle une famille ? Il ne posa pas de question et suivit la femme-renard.

Hum, il  n’avait jamais vu de femme ou quoi ? Bon,  rougir dans l’intimité, c’était compréhensible, certaine personne avec honte de leurs corps. Mais, de la a rougir pour quelques formes. C’était assez étrange.   Bon, il faudrait penser à le déniaiser un peu a l’occasion,  car  se savoir fort physiquement est une chose, mais s’il se fait  manipuler par la première venue, bha sa vie se résumerais a dix secondes.   Oui,  les femmes sont bien plus rusées sur ce genre de chose. Enfin, dans tous les cas, il était temps de se mètre en  route.

A sa demeure enfin,  elle avait mit du temps  a rassemblait la somme nécessaire pour l’achat de cette demeure. Mais cela en valait effectivement la peine. C’était  son repaire, son chez soi. Et elle en était très fière.  Enfin,  cela elle ne devait pas le dire.  Mais, c’était quand même le seul lieu, ou elle se sentait bien.   Bon,  et bien maintenant, il y avait quand mêmes quelques petites choses à faire.  La première, serait de prendre une douche.  La seconde, de se faire un bon repas. Et la troisième bha, il laisserait la surprise  à cette bestiole.  Ce ne serait sans doute, pas une mauvaise surprise pour lui. Mais, passons.

Elle s’arrêta devant le portail,  et se tourna devant le pauvre petit être.   

-Alors,  Cécile,  qu’est ce que tu as appris qui te semble indispensable pour ta survie ?   Est-ce que cet entrainement  te fut profitable ? Ou est ce que tu préfère en finir  maintenant ?

La question était sèche, mais finalement pas plus que d’habitude, mais le papillon devait finalement être  habitué désormais non ?     Elle ouvrit le portail, et se dirigea directement vers la demeure,  souriante.   Mais elle ne semblait pas moins dangereuse pour autant. Elle lui laissa cependant quelques  recommandations.

-Bien,  tu es chez moi.  Va prendre une douche, et prend toi un encas si tu veux. Tu en aura besoin pour la suite. Moi, je vais  aller me faire couler un bain. 

Elle  marcha rapidement vers son domaine. Avant de disparaitre dans une pièce. S’enfermant à clé.  Elle se fit couler un long  bain moussant, l’odeur de rose de ce bain  l’apaisait.  Elle retira sa tenue avant de se glisser dans cette couverture de mousse. 
Elle aimait prendre soin de son look, normale non surtout que cette odeur de vase était juste,   désagréable.    Mais cela allait mieux.

Durant près d’une heure, elle resta dans ce bain.  Laissant le temps au jeune hybride de faire ce qu’il avait à faire.   Elle lui réservait une surprise qu’il n’était pas prêt d’oublier. 
Elle se sécha rapidement, prenant  plus de temps pour ses nombreuses queues.  Elle avait beau les haïr dans certaines conditions, elle en prenait toujours soin. Et puis, elles étaient un atout dans la séduction.  Les téranides font craquer les hommes, c’est bien connu.   Elle se dirigea ensuite  vers  une des zones de sa salle de bain personnelle.  Elle en profita pour au passage récupérer un peignoir en soie de couleur  noir.  Bien,  elle était presque prête maintenant. Mais, il restait quelques détailles.   Elle  s’assit sur un des fauteuils mit a disposition ici, une brosse a la main, s’occupant de démêler les nombreux nœuds de ses queues, cheveux et oreilles.  Un coup de venir de couleur sang, et  de rouge a lèvres du même ton.

Si, tous a l’heure, elle semblait être un assassin, la elle était juste irrésistible. Et elle allait en jouer. Bien, il était temps, de  passer à la leçon numéro deux. Il fallait d’abord retrouver le néko. Ce qui n’était sans doute pas le plus dur.  Elle n’avait qu’a suivre son instinct.  Bingo.

Elle s’avança vers lui, balançant ses queues, en même temps que ses hanches, véritable appelle a la sensualité.  Elle se plaça, dans le dos du neko, ses queues entourant la jambe de celui-ci. Il sentait le propre, ce qui était le minimum. Le jeu allait commencer. Elle  Lui glissant doucement à l’oreille.


-Aller,  viens avec moi mon joli.  Il est temps pour toi de devenir un homme. Un vrai…   Car avoue que tu n’as jamais vu de femme hein ? Il est temps que cela change. Je t’attendrais dans mon lit.

Elle le dégagea de son étreinte.  Le laissant seul, et  totalement pantois. Elle prit cependant un chemin assez simple histoire de cet empoté ne  se trompe pas de chemin. Laissant sa porte ouverte. Elle l’attendait désormais allongée sur les draps en satin de son lit. 

-Alors,  Cécile,  qu’est ce que tu as appris qui te semble indispensable pour ta survie ?   Est-ce que cet entrainement  te fut profitable ? Ou est ce que tu préfère en finir  maintenant ?

Le neko fit un signe négatif.

-J'ai découvert certaine capacités que j'avais, je ne compte pas arrêter.

Sofia ouvrit le portail de la propriété qui était assez grande.

-Bien,  tu es chez moi.  Va prendre une douche, et prend toi un encas si tu veux. Tu en aura besoin pour la suite. Moi, je vais  aller me faire couler un bain. 

Le terranide hocha de la tête une douche lui ferait du bien de même qu' un petit plus pour reprendre des forces car l'entrainement ne semblait pas être terminé. Il chercha les douches, en trouva dans une petit chambre, fit tourner les robinets pour voir ce qui se passerait, il n'avait pas connue ces installations et fut trempé, il recula un peu, puis trouva la bonne combinaison pour de l'eau tiède. C'était si agréable, il se demandait comment l'eau chaude était acheminé jusqu'à cette chose qui la déversait en une petite pluie. Il se rhabilla et partit en quête de quelques chose à se mettre sous la dents, il
trouva une petite coupe à fruit sur une grande table, le neko en dégusta quelques uns.

Il avait quitté la pièce quand il sentit quelque chose sur sa jambe, il vit les queues de Sofia qui lui entravait gentiment la jambe.

-Aller,  viens avec moi mon joli.  Il est temps pour toi de devenir un homme. Un vrai…   Car avoue que tu n’as jamais vu de femme hein ? Il est temps que cela change. Je t’attendrais dans mon lit.

Il était tellement stupéfait qu'il ne répondit pas à essayer de savoir si il n'avait pas mal entendu ou interprété, mais en voyant le léger déhanché de Sofia cela était clair. Qu'allait-il faire? là était la question , si il ne venait pas il allait certainement s’attirer les foudre de la femme, mais face à l'inconnue il avait aussi peur. Il ne fallait pas paniquer, elle devait juste avoir dit cela pour le déstabilisé, mais il était aussi curieux de savoir ce que Sofia lui réservait.

Cécile décida d'y aller, il trouva la chambre, ayant la porte ouverte, et entra. Sofia attendait tranquillement allongé sur le lit, le pauvre neko ne savait pas quoi faire, mais il eut le courage d'approcher un peu.