Marcus avait une facheuse tendance a vivre trop mal sa vie de pseudo humain. Il était coincé dans ce monde, il ne savait pas combien de temps ca durerais, ni si il ne finirait pas tué dans ce monde alors qu'on le prendrait pour une bete féroce un soir où il ne se controlerait pas. C'est pour cela qu'il refusait de rester trop pres de Drucila, de vivre comme un humain, chez les humain. Marcus était un monstre pour ce monde, peut de monde était au courant de sa vraie nature a part ceux qui partageaient un secret semblable. C'est en se considerant comme un monstre qu'il a décidé de vivre tel un loup dans les bois, chassant les petits gibiers et se térrant dans la pénombre pour ne pas attirer l'attention des autorités. Il avait une arme a feu, prise a une petite frappe, mais entre posseder un pistolet et employer un pistolet, il y avait une tres grosse nuance.
Alors que sa journée s'achevait, Marcus s'était immergé dans un lac reculé, loin des sentiers dans des sous bois , surement connue uniquement des animaux. Le lycan se deshabilla, lava en premier ses habits avant de se laver a son tour en se délassant les muscles de toute cette vie qui lui parait si étrange dans ce monde. En effet, le loup avait passé toute une journée a travailler au port en tant que Docker, c'était épuisant et se délasser dans l'eau tiede avant de s'étendre tranquilement sur la mousse lui fit un bien fou.
Franchement...ce monde c'est le pied.
Apres avoir lézardé sur une partie du soleil couchant, les sens en éveils, le loup se rahbillat un peut avec dépit, il aurait aimé rester là sans bouger, mais l'humidité tombait pres de l'eau, il fallait s'habiller, se mettre en chasse et ne plus attendre trop longtemps, meme si notre jeune homme était assez humain, un travail, une amie tres proches, pas mal de connaissance, mais il conservait sa pointe sauvage dans son regard noir et profond. C'était un loup a sa naissance, il en conservait les stigmates et s'aprétait a chasser quand il passa pres d'une odeur étrange, une odeur de savon et de fraicheur. Sans bruit, a pas feutrer, le jeune homme glissa dans la foret pour voir qui est cette personne. Peut etre ce serait elle....Mais a l'odeur, elle était humaine. C'est sans bruit qu'il suivait l'odeur le long de la sente animale emprunté par la jeune femme. Une femme en habits moulant, mais simple, semblait songeuse au milieux du passage animal, son short bleu dévoilait ses jambes appétissantes, si il était vraiment affamé, la pauvre jeune femme aurait fini la tete dans la terre et la veine principale du cou ouverte. Mais bon, ce soir, il ne ferait rien.
Merde...
Une pierre roulat sous son pied, il ne pouvait pas plus mal tomber ce cailloux, pourvu qu'elle ne le releve pas et qu'elle ne distingue pas son Tshirt noir et son pantalon d'un caquis uni...