dépressif et fille de feu (Nycy)

Naisho et Nycy arrivait au parc, il n'y avait personne à cette heure, une bonne chose. Il décida de prendre un des terrain pour enfant, si la surprise était brûlante, une fôret n'était un bon endroit. Il y avait un banc, habituellement c'est les parents qui vont là pour s'asseoir, discuter et surveiller leurs enfants, mais cette fois, Naisho allai s'en servir pour s'asseoir et être surprit, mais bien entendu, si Nycy avait d'autres question a posé, il allait y répondre avant. Après tout, la pauvre viens juste d'arriver et elle est toute perdue. Naisho s'assît sur le banc, sortit une de ces feuilles et commença à la mâcher.


Les enfants viennes ici pour s'amuser entre eux, les parents les surveilles et discute entre eux. Habituellement c'es un lieu d'amusement pour petit, mais on a bien le droit d'y être pour autre chose! Les petits partages sans le savoir la place avec nous, c'est pas si mal, je suis jamais venu dans un de ces parcs dans toute mon enfance, y à une première fois à tout ont dirait.

Naisho perdît son sourire pour un moment après cette phrase. Il se remémorait son enfance, il se rappellait la solitude, l'angoisse, la douleur des coups et quand il commença a se rappeller de la douleur de la brûlure, il reviens à lui, les yeux grands ouvert, regardant le sol. Après un tout petit moment, très court, il redevient à la normal et s'adresse a Nycy.


Alors... tu as d'autre question à poser ou tu veux faire ton surprenent? J'ai tout mon temps, personne ne m'attend chez moi, alors hésite pas à questionner, demander des explications, ce genre de truc.

Même si c'était par gentillesse, Naisho avait surtout envie de se changer les idées et de ne plus penser au même chose qu'il y à un moment. Il regardait vers la fôret, en pensant qu'il y avait dû se passer plein de choses dedans, des choses dégoutante. Il ne savait pas pourquoi il y pensait, mais il avait vraiment l'impression que partout dans cette ville, il y avait des personnes pas net prête a tout pour leurs plaisirs, ça le dégoûtais et le mettais mal à l'aise.

Oui Naisho était patient, très patient, parce que pendant tout le chemin qui nous avait amené jusqu'au Parc, j'avais été un véritable moulin à parole, ne m'arrêtant que pour lui laisser le temps de répondre. Le pire, c'est que dès qu'il avait finie, je ré-enchaînais avec d'autres questions sur cet endroit étrange. Décidément, bien des choses différaient de là d'où je venais, mais bon dans l'ensemble, je comprenais ce que me disait le jeune Yujima. Et qu'en je ne comprenais pas, hop, une question, et le tour était joué. Vraiment, j'avais bien fait de lui dire la vérité.

Enfin, nous étions arrivés au parc qui, grande chance, était complètement désert, j'allais donc pouvoir faire preuve de mes talents devant Naisho. Ce dernier s'installa d'ailleurs sur un des bancs qui se trouvait sur les lieux et commença à mâcher une de ces feuilles, ce qui me laissait penser qu'il était assez stressé. Car si j'avais bien compris, il les mâchait pour se relaxer. Une fois assis donc, il m'expliqua qu'elle était l'utilité de ce lieu et rajouta que lui-même y venait pour la première fois. Je pus remarquer que ces dernières paroles lui avait fait perdre le sourire qu'il avait gardé jusqu'à là, cependant il se reprit bien vite et me demanda si j'avais d'autres questions à lui exposer, précisant au passage qu'il avait beaucoup de temps devant lui.

-Non, je n'ai pas d'autres questions, je vais te laisser souffler un peu. De plus, je vais profiter qu'il n'y ait personne pour te montrer mon truc. Les lieux sont vides pour le moment et je compte en profiter. Par contre, je te demande une chose, ne prend pas peur au moment où je ferais mon action.

Pourquoi, prévenir, eh bien je voulais pas que mon nouvel ami, car oui, pour moi Naisho était devenu un ami, prenne peur. Je m'éloignais donc de quelques pas, me tournais vers mon compagnon et sans plus d'attente, créais une flamme dans ma main droite, puis après quelques secondes, la fit voleter vers ma main gauche pour finalement la faire tenir en lévitations à un mètre du sol.

-Voilà un petit aperçu de ma particularité " : dit-je à mon ami en le regardant de mes yeux devenus rouge." Ce pouvoir me vient de mon père, qui sois dit en passant est un Phénix.

Je laissais toujours la flamme en suspensions dans les airs et allais m'asseoir à coté de mon guide.

-Cela te suffit-il ou veux-tu une démonstration plus grande ?

Franchement, prendre peur ? Ouai ok ça se pourrait bien, mais là il est averti alors il n'y aucun risque qu'il panique. Quand la flamme apparut, Naisho était déjà asser surpris, mais quand il vu qu'elle pouvait la manipuler, mais en plus de ça la faire léviter, il était subjuguer. Il se passait une chose inimaginable devant css yeux, dans une journer qui semblait si banal. Il ne savait pas trop quoi dire.


Ces....ces... fantastique! Personne ne peux faire un truc dans le genre ici! Ton don...est... unique dans son genre! Ton père est un ... un Phénix? Ton père...c'est une légende! Tes donc la fille d'une légende?! De plus... tu peux faire plus que ça? C'est sûre que je veux voir sa!

Nycy venait de réveiller quelque chose dans Naisho qui était endormit depuis longtemps: la fascination! Naisho était fasciné par ce qu'elle pouvait faire et ça se voyait très clairement. L'homme qui craignait le feu depuis des années en étaient maintenant totalement fasciner.Il en oubliait totalement les tragédies qu'il a vécut avec le feu, maintenant, pour lui, le feu était un jouet de Nycy, un jouet qu'il ne faut pas essayer de voler sinon on pourrait amèrement le regretter. Naisho sortit de son sac un cahier de note , et un cahier de dessein, il écrivis une ou deux phrases dans celui de note, avant de regarder Nycy et la flamme. Il voulait garder dans sa tête une image la plus réalsite possible dans sa tête pour la dessiner dans l'autre cahier.

S'il y avait deux termes pour décrire l'état de Naisho à cet instant, c'était fasciné et ébahi. En effet, ce dernier me regardé comme si j'étais une déesse. D'ailleurs je ne pus m'empêcher dans sourire, il semblait que loin de lui faire peur, ma petite démonstration lui plaisait énormément. D'ailleurs il ne se fit pas prier pour me le signaler, qualifiant ce que je faisais de fantastique. Il me confirma ensuite ce que je supposais déjà, en ces lieux, mon don était unique. Par contre qualifier mon père de légende, cela me fit sourire. Mon père était une créature digne d'une légende, mais delà à dire qu'il était lui-même une légende, c'était aller un peu vite en besogne. Une légende, c'est une chose magnifique et très ancienne qui a disparu. Or mon père est loin d'avoir disparu, de plus comment pouvait-il disparaitre, il était immortel.

-Oui mon père est effectivement un Phénix et pour moi, il n'a rien d'une légende et bien sûr que je peux faire mieux que cela, regarde.

Par un petit effort de volonté, je faisais grandir la flamme et lui donné l'aspect de Forxens, mon père. Bien sûr, je n'en fis qu'une représentation miniature de lui, car sinon, ma sculpture aurait près de cinq mètres de haut hors là, elle ne faisait qu'un mètre de haut.

-Voilà à quoi ressemble mon père, mais bien sûr, il est beaucoup plus grand que cela, environ cinq fois, mais bon, je vais pas faire une représentation grandeur nature de lui, car sinon, cela se verrait de loin. Voilà une des nombreuses choses que je peux faire avec le feu. D'un simple effort de volonté, je peux le créer, et le diriger n'importe comment. Ma seule limitation est mon endurance car tout cela est assez épuisant. Enfin bon, en ne maintenant qu'une simple flamme comme je le faisais au début, je peux tenir presque une heure, mais ensuite je tombe inconsciente et il me faut bien une bonne nuit de repos pour récupérer. Mon père lui, n'a aucune limite. Mais bon, je suis déjà contente de pouvoir faire des trucs comme ceci.   

Je faisais battre des ailes ma création et l'envoyer vers le ciel, avant de la faire disparaitre dans une petite explosion de flamme une fois la vingtaine de mètre atteins.

-Voilà ce dont je suis capable. Je te laisse donc imaginer ce qui pourrait arriver à quelqu'un qui m'agresse. C'est pour cela que je disais que ce dernier risquait d'avoir une surprise brulante.

Je me retournais vers Naisho et le regardais de mes yeux ayant repris leurs couleurs originelles. Ce dernier avait sorti deux petits cahiers et avait écrit quelques choses dans l'un d'entre eux. Écrire, il savait écrire. Voilà qui allumé en moi un intérêt envers sa propre personne, car pour moi écrire et donc forcément lire était pour moi une chose incroyable et pour cause, je ne savais faire ni l'un ni l'autre. Il faut dire qu'à Honur, une seule personne savait lire et écrire. Cette personne était le chef du village et malheureusement, il ne portait ni mon père ni moi dans son cœur et donc je n'avais pas pu apprendre. C'est pour toutes ces choses que je m'exclamais :

-Oh, tu sais écrire, toutes les personnes d'ici savent faire cela, car chez moi, une seule personne sais lire et écrire. Cela doit être fantastique de pouvoir consigner toutes nos pensées ou toutes nos paroles et de pouvoir les partager avec des personnes que l'on a jamais vu. Par contre, tu dois être riche pour posséder deux livres non ?

Et voilà, j'étais repartie pour le questionner pendant des heures.

Naisho était fasciné par quand de talent réuni dans une seule personne, ce n'est pas ici que tu verrais quelqun savoir faire des choses dans le genre, oh que non. Elle prenait son père a la normal, alors qu'ici, il serait considéré comme un dieux. Surtout s'il mesure quasiment 5 mètre! Elle à de la chance d'avoir un père comme sa, tendit que lui, bah... on y repassera . Une heure de manipulation des flammes, c'est bon, c'est sûr que le fais de tomber inconscient pendant une soirer l'était pas mal moins, mais y a des bons et des mauvais cotés à bien des choses. C'étais plutôt étrange au yeux de Naisho que savoir écrire et lire est consideré comme incroyable, c'est une chose pourtant basique. En plus, être riche pour acheter deux cahiers de note ou des livres? Il a des bibliothèques pleines de livre et est loin d'être si riche que ça.


En fais, oui, tout le monde ou presque sais lire et écrire ici, c'est loin d'être incroyable pour les habitants d'ici, mais si j'ai enfin un bon truc que d'autre n'ont pas, je ne vais pas m'en plaindre. Ici, les livres ne sont pas rare, ni précieux, les prix varies mais beaucoup de livres ont des prix des plus raisonables, alors, je ne suis pas riche, j'ai assé d'argent pour vivre convenablement dans un petit appartement, mais sans plus. J'aimerais bien t'apprendre à lire, mais l'apprentissage est long et très compliquer, en plus tu vas bien devoir retourner chez toi un jour. Ça m'étonnerait que ton père soit content si tu arrives des heures en retard, pour qu'au final tu commences à connaître le début de l'alphabet... surtout que si ta put venir ici, il le pourrait et je seraits particulièrement dans le pétrin!

Naisho trouvait d'ailleurs sa dommage que Nycy allait devoir partir, mais il ne pouvait rien faire contre ça, il n'allait pas empêcher une fille de retourner chez elle. Il pensais au feux, la flamme, la mini représentation du père de Nycy, quand soudain il revît aussi les chandelles, la cire qui coule, les flammes sur le corps et commença à sentir une douleur à son torse. Il se leva du banc brusquement et approcha d'un abreuvoir. Il mît de l'eau sous sa main qu'il fît passer sous son chandail et frotta sur sa blessure. Il mît ces deux mains sur l'abreuvoir, sa le démangais de plus en plus et il détestais sa, il pris trois feuilles en même temps et les mît dans sa bouche. La sensation de calme l'envahissait, mais la douleur restait. Il ne voulait pas que Nycy découvre sa blessure, alors il retourna vers elle d'un air normal.


Désoler, c'est la chaleur, j'avais juste besoin de rafraichir... mon corps.

Naisho laissa pousser un soupir et ces à ce moment qu'il réalise qu'il avait ces feuilles dans la bouche. Boulette totale.

Quel monde fantastique, alors ici, lire et écrire était une chose banale. Voilà qui était bien étonnant, en plus, ici les livres n'étaient pas rares ni précieux. Cela, j'avais du mal à le concevoir, enfin bon, voilà encore une chose à mettre au crédit de ce monde. Alors comme cela, je me trompais, il n'était pas riche et disait avoir suffisamment d'argent pour vivre dans un appartement. Un appartement, c'était quoi ça, surement une habitation quelconque, une maison quoi. Enfin, mon ami me proposa de m'apprendre à lire. Non, c'était pas possible, il me proposait vraiment cela, lire, je n'arrivais pas à y croire.

J'allais lui répondre quand tout à coup, alors qu'il me parlait du fait que j'allais devoir rentrer, Naisho se leva et se dirigea précipitamment vers l'abreuvoir qui était mis à la disposition des gens. De suite, il se servit de l'eau sur la main et frotta son corps. Qu'est-qui avait déclenché une telle réaction, je n'en avait aucune idée mais je pus voir mon ami prendre trois de ces fameuses feuilles en même temps et les mâcher frénétiquement. Il y avait quelque chose qui n'allait pas chez mon ami et ce n'était pas la chaleur comme il finit par me le dire après.

-Excuse-moi Naisho, mais si tu fais bien la personne intimidante, tu es vraiment un piètre menteur. J'ai beau venir d'un autre endroit, je dirais même d'un autre monde, je ne suis pas une idiote et je vois bien que ce n'est pas la chaleur qui a provoqué cette réaction chez toi. En tout cas, si c'est un truc que j'ai dit ou fait, je m'en excuse, et si tu veux m'en parler, je peux t'écouter et peut-être t'aider. Sinon, pour mon heure de rentrer, j'ai tout mon temps. Je ne vis pas actuellement avec mon père et ne le voit qu'une fois par mois en ce moment. Je vis avec mes grands-parents maternel donc il n'y a pas de risque de le voir débarquer ici, tu n'as rien à craindre. Et pour mes grands-parents, il n'y a pas de risque qu'ils s'inquiètent, ils sont habitués à mes escapades. C'est que je suis une fille assez indépendante et solitaire. De plus, je vais pas laisser un ami dans cet état là. Je reste à tes côtés.    

Sur cette longue tirade, je lui prenais la main et la serrais. Par ce geste, je lui signifiais qu'il pouvait conter sur moi.

-Je vais te raccompagner chez toi, comme cela, on pourra continuer à discuter et faire connaissance. En plus, si je dis à mon père que j'ai préféré rentré chez moi que suivre quelqu'un qui se proposait de m'apprendre à lire, je suis sûre qu'il m'incendie sur place. A ma place, je suis sûre qu'il serait près à passer des semaines voir des mois ici et c'est ce que je compte faire.

J'avais dit cela sur le ton de la rigolade, histoire de détendre mon compagnon. Le seul truc, c'est que j'étais parfaitement sérieuse, s'il fallait que je passe des mois ici pour comprendre ce monde, je le ferais.      

Message à soi-même: Devenir meilleur menteur... quoique ce n'est pas la meilleur qualiter à avoir. Comme sa Nycy veut rester? C'est une indépendande? Eh bien, c'est sûr qu'elle avait l'air assé énergique, mais au point d'être comme sa? Surprise...encore une fois. Elle voulait l'accompagner chez lui... c'es spécial, mais il faut bien qu'elle ai à un endroit elle aussi.


Ok, si tu veux m'accompagner, c'est correct, mais pour les explications, on verra, c'est un secret très... personnel. Seul ma famille le sais, mes meilleurs amis qui me connaisse depuis des années ne sont pas au courant de bien des choses, oh oui, bien des choses. Je peux direct te montrer un truc qui a rapport avec ma réaction.

Naisho lève une de ces manche et montrer une cicatrice qu'il à.


Elle m'a été faîte quand j'avais neuf ans, une de mes premières, mais loin d'être la dernière. La douleur était horrible, mais rien à comparer l'autre chose.

Naisho regardais la main de Nycy, suivi d'elle. Il ne comprenait pas comment une fille d'un autre monde pouvait lui faire revenir sa fascination et lui faire parler de ces blessures.

Je crois que ces décider, je vais t'expliquer ma réaction rendu chez moi, alors, une réaction avant qu'ont y aille?

Bien, il était d'accord pour que je l'accompagne chez lui, ça c'était plutôt une bonne chose. Surtout que j'allais voir ce qu'était un appartement. Et pour l'explication de sa réaction, il me signala que c'était une chose assez personnelle, mais, pour me donner une idée de ce que cela pourrait être, il me montra une cicatrice qui avait été jusque là dissimulé par une de ses manches. Cela c'était déjà quelques choses mais le pire et quand il me dit que l'on lui avait faite, comment peut faire cela à quelqu'un, surtout quand il a que neuf ans. Et chose incompréhensible pour moi, cela n'était pas la première que l'on lui avait faite.

Je pouvais comprendre que l'on devait parfois torturé une personne et lui faire du mal, par exemple dans le cas d'un espion. Mais torturer un enfant de neuf ans, rien ne pouvais pardonner cela. C'était de la violence gratuite et injustifié et cela, malgré tout mais effort, je n'arrivais pas à le comprendre. Mais semblait-il, que ce soit ici ou ailleurs, les humains aimaient la violence et quand j'avais demandé à mon père pour quelle raison, il m'avait répondu que lui-même ne savait pas et qu'il supposait que c'était dans leur nature. Finalement, j'étais contente de n'être qu'à demi-humaine.     

Pour le reste j'avais bien deux ou trois trucs à faire avant d'aller chez Naisho, la première chose que je voulais faire était de lui poser cette question :

-Le ou les personnes qui t'ont fait cela, elles ne sont plus en vie j'espère, car si ce n'est pas le cas, je me ferais un plaisir de les éliminer. Des gens comme cela ne mérite pas de vivre.

Vous me trouvez bien catégorique. N'oubliez pas que j'ai été élevée par un Phénix, je n'ai donc pas la même façon de voir les choses et d'agir que les hommes. Ensuite ma deuxième demande était beaucoup plus joyeuse :

-Tu m'a dit que les enfants s'amusent en ces lieux mais que malheureusement, tu n'as jamais pu faire pareil étant petit, cela te dit de corriger la chose maintenant, avant que nous partions chez toi ?

Ben quoi, il n'y a pas d'âge pour s'amuser et se détendre. Surtout que mon ami semblait à avoir grand besoin

La fille était courageuse, ces clair, gentille, aussi, mais peut-être trop impulsive. Elle ne le savait pas, mais essayer de tuer son père là où il est maintenant, serait de la pure folie. Des gens aussi fou que lui y sont, même avec son feux, elle finirait par subir des choses... effroyable. Naisho frémit jusque à y penser.


Celui qui m'a fais sa est enfermer dans un hôpital psychiatrique, c'est un endroit pour les fou, ils sont enfermer dedans, ils ne peuvent jamais sortir de là s'ils sont considéré trop dangereux pour la sociéter. Après ce qu'il m'a fais, on ne le reverra jamais et c'est tant mieux. Ne perd pas ton temps à vouloir lui faire de mal, ces trop dangereux, beaucoup trop, même pour quelqun comme toi. Surtout que tu est une fille, ça serait sûrement pire pour toi que s'il pourrait me mettre là main dessus. Alors, si un jour tu entends parler de l'emplacement d'un asile psychiatrique, je veux que tu me promettes que tu n'ira pas là-bas Nycy.

Naisho était y aller de la manière la plus convaincante: voix un peux plus grave, son regard percant mais son sourir gentil, le trio fatal! Il était amuser par la proposition de Nycy, mais il allait la retourner contre elle.


Hey, désoler miss, pas sûr que ça m'intéresse, mais toi, je suis persuadé que t'a envie de t'amuser !Quand mes amis sont joyeux,c'est sa qui me fait vraiment plaisir!

Naisho regardait dans le parc et vu les balançoires. Il les pointa a Nycy.


C'est un jeux classique ça. Tu t'assîs sur un des petits bancs et en allant d'avant en arrière, tu te balances pour aller de plus en plus haut. Y a deux manières de débarquer par la suite: Quelqun qui va sûr le côté t'arrête une des fois que tu reviens par l'arrière ou sinon rendu pas trop haut mais un peu, tu sautes en bas. Ces la favorite des enfants ça. Ça t'intéresse... à moins que tu n'est trop peur de tomber de haut.

Naisho avait un sourire en coin en disant sa, et regardait Nycy avec un regard qui voulait dire: Alors... tu le fais oui ou non?

Ainsi celui qui lui avait subir ces choses horribles se trouvait être dans un "Hôpital psychiatrique". Si je comprenais bien, c'était un endroit ou les gens d'ici enfermer ceux qu'ils considéraient fou. Je ne comprenais pas, celui qui lui avait fait cela, il n'était pas fou, il était méchant. A Honur, nous, nous avions un fou, d'ailleurs, il faisait partie de ce que je considérais comme mes amis. Il était gentil, le seul truc, c'est qu'il était un peu simplet et avait parfois des crises de démences. C'est pour cela qu'il fallait le surveiller car pendant ses crises, il tentait de fracasser des murs avec sa tête, ce qui, bien sûr, n'était pas trop conseillé.

Enfin bon, je n'étais pas là pour juger, et puis si Naisho était sûr qu'il ne referait plus jamais surfasse. Et bien je n'allais pas me mettre en chasse. Surtout que son hôpital psychiatrique semblait être un endroit assez dangereux, même pour quelqu'un comme moi. De cela, je doutais, mais bon, je ne voulais pas polémiquer. C'est pour cela que je lui dis :

 -D'accord, même si j'entends parler de cet endroit, je n'y irais pas et passerais au large, histoire de ne pas être tenté de réduire ce bâtiment et les personnes mauvaises qui se trouvent à l'intérieur en cendre. Mais il faudra que tu m'expliques pourquoi vous enfermez ces gens au lieu de les tuer. Pour un crime comme celui-ci, je ne vois que la mort comme sentence.

Voilà, j'avais dit ce que je pensais et pour moi, ce sujet était clos, surtout qu'il me semblait que Naisho était assez sûr de lui quand il avait énoncé ses propos. Par contre, il semblait que l'idée de jouer ne l'intéressait pas, dommage, mais il me proposa d'aller jouer moi, rajoutant au passage que voir ces amis joyeux, c'était cela qu'il lui faisait plaisir. Eh bien, soit, j'allais jouer, même si le jeu qu'il me montra ne m'intéressa guère, de plus que ce jeu, la balançoire, je connaissais. Certaines familles d'Honur en avaient installé quelques-unes pour leurs enfants.

-Je connais, ce jeu existe aussi à Honur, le seul truc c'est que je n'y ai jamais joué.

Je ne rajoutais pas que je ne voyais pas d'intérêt à ce jeu et que c'était pour cela que je n'y avais jamais touché. Mon but était de lui faire plaisir et c'est pour cela que je prenais un air joyeux, courais vers les balançoires comme une gamine, y montais dessus et commençais à me balançais de plus en plus vite.

-Moi peur, jamais : lui dis-je pendant que je m'élançais de plus en pus haut. Eh puis, si je tombe, tu me rattraperas.

Personnellement, je ne pensais pas tomber mais bon, peut-être que j'allais faire semblant, histoire de nous amuser et de voir un peu la réaction de Naisho. Oui, j'allais le faire, j'allais tomber. C'est pour cela qu'au bout d'une minute, je m'élançais un chouïa trop haut et lâchant tout, tombais sur mon ami.

Elle était rapide dans ces propos la demoiselle. Même si ces vrai que Naisho ne regretterait pas la mort de son père, c'était illégal de le tuer ici, ça serait un meurtre. Il allait donc devoir expliquer ça à Nycy.


En fais,ici, la peine de mort a été abolie, ces illégale. On a la prison à vie sans possibilité d'en sortir comme plus grosse sentence, et sa ces quand tu fais beaucoup de meurtre, de viol et de truc dans le genre. Lui ma seulement fais beaucoup de mal et son avocat, celui qui essait de faire en sorte que la sentence sois moins sévère, a fais plaider la folie, c'est pour sa qu'il n'est pas en prison. Tout ça pour dire que si je le ferait tuer, j'irais moi même en prison et ça ne me tente vraiment pas d'être enfermer dans une cellule.

Nycy commençais a se balancer, quand en à peine une minute elle tomba de son siège quand elle était en hauteur et Naisho dût la rattraper. Se fût chose faîte, mais Naisho s'écroule au sol par la suite. Il prend un moment pour reprendre ces esprit, avant de lâcher Nycy et de l'aider a se mettre assise à côté de lui. Il se met assît et la regarde, grand sourire au lèvre.


Eh bien, ça m'apprendra à vouloir te faire faire des trucs comme ça! Heureusement que tes légère, sinon je serait encore au sol pendant un moment! En tout cas, c'est clair, plus jamais je veux te voir sur une balançoire de toute mon existence!

Naisho se demandant c'était quand qu'il avait eu du plaisir comme ça, et ce dît que ce n'étais peut-être jamais arriver. Il regardais droit devant lui et contrairement a d'habitude, il n'avait aucune pensé sur sa mauvaise vie, sûr comment s'en sortir et ce genre de chose, non, il pensait simplement qu'il espérait qu'il y aurait d'autre journée comme ceux là ici. Il se leva et tendît sa main à Nycy.


Bon, ça te dît d'aller chez moi maintenant? En plus j'ai mouillé mon chandail et ça commence a être trop froid là pour porter des vêtements mouiller.

Pas de peine de mort ici, mais c'est quoi ce monde. En plus, si Naisho voulait se venger, il irait en prison, mais c'est n'importe quoi. De plus que cela doit couter cher de devoir surveiller en permanence une personne pour pas qu'elle s'échappe. Enfin bon, comme je le disais je ne suis pas là pour juger et je n'allais plus aborder ce sujet. Surtout que l'idée de tomber de la balançoire semblait avoir redonné joie à mon compagnon. En effet, après m'avoir rattrapée plus ou moins maladroitement, ce qui provoqua sa chute au sol, il me déposa sur ce dernier et m'aida à m'asseoir, avant de s'asseoir lui-même à mes côtés. Malgré qu'il me disait ne plus vouloir me voir sur une balançoire, il avait un grand sourire et semblait beaucoup plus joyeux que quelques minutes plutôt, et je dirais même plus. Il semblait plus content que quand je l'avais rencontré.

Quelques instants plus tard, il se levait et me tender la main pour m'aider à faire de même. Bien entendu, je la prenais et me levait tout en écoutant sa proposition. Il voulait aller chez lui car il avait maintenant froid. Cependant avant de lui répondre, je prenais le temps d'épousseter ma jupe.

-Eh bien oui, maintenant, je veux bien aller chez toi, cependant, tu dis que tu as froid car ton chandail est mouillé, si tu veux, il te suffit de l'enlever et je te le sèche à vitesse grand V. Je veux pas que tu tombe malade, ce serait assez bête. Ensuite c'est comme tu veux, je ne t'oblige a rien.

Sur ces paroles, je créais une petite flamme bleue dans la paume de main, cette dernière était très chaude et la chaleur qu'elle dégageait était largement perceptible. J'avais fait cette dernière à l'attention de mon ami mais bien sûr, s'il n'acceptait pas ma proposition, je n'allais pas l'obliger et allais donc éteindre ma flamme.

Alors ? : Lui dis-je en le regardant de mes yeux revenus rouge. Tu veux que je le sèche ou non ?

Nycy faisait une proposition gentille, mais Naisho ne voulait pas l'accepter, enlever son chandail pour qu'elle puisse voir LA marque? Pas sûr que c'est une très bonne idée. Il allait devoir trouver un moyen de refuser sans avoir l'air gêner ou préoccuper. Ok, vas-y Naisho!


Bah, non, ça va être correct. Je ne voudrais pas que tu t'épuises en utilisant trop de feu en une seule journée. En plus, juste le temps pour se rendre chez moi, avec la marche ça devrait faire sécher mon chandail et ce n'est pas si froid que ça, c'est juste un peu d'eau. Alors tu relache ton... énergie, ça ne sera pas nécessaire.

Naisho retourna à l'abreuvoir pour boire de l'eau. Il prenait un peu son temps pour bien remettre ces idées en place. Nycy voulait apprendre à lire, elle était prête a resté longtemps ici, ça ces bien, mais s'il allait devoir se tenir souvent avec elle pour faire ça... comment allait-il expliquer la présence de Nycy au prêt de lui à ces amis?À son cousin Mashario? En plus, il fallait bien lui trouver une place, elle n'allait pas erré la nuit jusqu' à ce qu'elle trouve une place pour s'endormir. Naisho revient vers elle et continuais de se poser les questions.

Bon Nycy, je suis prêt à t'aider pour la lecture et l'écriture, ça j'ai aucun problème avec ça, mais... quand que tu serras ici, si tu veux te promener la journée, ces ok, mais la nuit, ça me fais vraiment bizarre de dire ça, je préfererais que tu restes chez moi, c'est que ce n'est pas toujours sûre dehors et je n'ai pas envie que sois il t'arrive un truc, sois tu grilles quelqun et tu te mets dans le trouble. À moins que tu te trouves une place sûre , il est hors de question que tu te promènes la nuit. Je sais que je ne suis pas une autorité parentale ou ce genre de truc, mais croît-moi que s'il faut que je te poursuive la nuit pour t'empêcher d'aller dehors, je vais le faire. Alors, ça te va?

-Bon très bien, c'est comme tu veux.

Naisho avait décliné mon offre, soit disant qu'il ne voulait pas que je m'épuise. Je ne pensais pas que ce soit la vrai raison de son refus mais bon, je ne voulais pas le mettre mal à lèse en lui disant que je ne le croyais pas. Et puis comme il me l'avait dit, avec la marche, son chandail allait sécher, de plus, il ne faisait pas si froid que cela. C'est pour cela que je faisais disparaitre ma flamme et lui faisait un grand sourire. Comme je l'avais dit, je ne l'obligeais à rien.

Pour la suite, après avoir bu de l'eau à nouveau, il me confirma qu'il était toujours près à m'apprendre à lire et écrire, cela c'était une bonne chose. Par contre, je trouvais amusant que Naisho s'inquiète pour moi, en effet, il ne voulait pas que je sorte la nuit car il jugeait cela trop dangereux moi. Me disant qu'il préférait me voir chez lui et qu'il était même près à me poursuivre la nuit pour m'empêcher de sortir pendant cette période. C'était peut-être amusant mais je n'aimais pas que l'on me dises quoi faire, surtout que j'avais l'impression que Naisho me prenait pour une petite fille fragile, il faillait bien que je lui fasse comprendre que ce n'était pas le cas, c'est pour cela que je lui disais d'un ton assez sec :

-Ecoute Naisho, c'est gentil de t'inquiéter pour moi mais je sais me défendre, et sans forcément griller mon agresseur. Je peux être assez intimidante tu sais. De plus, si j'ai envie de sortir le soir, rien ne m'en empêchera, en tout cas, je ne vois rien ici qui en serait capable. Et pour ton information, là où je vis, il m'est arrivé de dormir dehors plus d'une fois et chaque fois, j'ai réglé assez bien les problèmes qui se sont posés à moi.

Voilà, j'avais posé les points sur les "i". il me restait plus maintenant qu'à nuancer mes propos et c'est pour cela que je reprenais d'une voie plus douce et en prenant la main de mon compagnon.

-Cependant, je ne connais pas encore ce lieu et comme je compte restais pour une fois prudente, je vais être sage. De plus, depuis que j'ai commencé à vivre avec les humains, j'ai pris gout à leurs habitations et surtout au confort de ces dernières. Voilà pourquoi, en plus d'avoir ta compagnie, j'aimerais rester chez toi la nuit pour dormir car crois moi, dormir dans une grotte, c'est pas le mieux. Et désolée pour la manière dont je t'ai parlé, mais je n'aime pas que l'on me prenne pour une petite fille sans défense.

Je lui découchais un grand sourire et reprenais :

-Bon, tu m'amènes chez toi. Et Oh, encore une chose, si j'ai bien compris, tu ne roule pas sur l'or. S'il faut que je travaille pour t'aider à payer quoi que soit, je le ferais avec plaisir. De plus, ne t'inquiète pas, pour le moment je t'obéirais pour tout. Si tu ne veux pas que je sorte la nuit, je ne le ferais pas, je ne veux pas que l'on se fâche pour cela.

Oulà, Naisho c'était peut-être exprimé d'une manière pas très apprécié par Nycy. Elle semblait plutôt stricte là, un peu vexée? Sûrement, mais elle se calmait encore assé vite, pour redevenir la gentilel fille de d'habitude. Grand sourire et tenage de main, Naisho pouvait pas répliquer et paraître méchant maintenant, tout argument briser par ça, pas juste. Sauf que là, la faire travailler pour qu'elle ramène de l'argent, c'était pas une idée au goût de Naisho.


Ok, désoler de t'avoir rabaissé au point de la fille fragile qui n'a que le feu pour se défendre, ce n'étais pas ça que je voulaits faire, je voulais juste ... en fais je ne sais pas, être sûr que t'aille bien sûrement. Mais pour le truc de travail, sa ne me plaît pas trop, c'est moi qui t'offre de... dormir chez moi, je trouve sa ridicule que tu dois te trouver un travail pour le faire. En tout cas, si tu veux te trouver un travail pour t'acheter des trucs à toi, ouai ok, mais des trucs pour l'appartement, je ne sais pas, je trouve pas sa sympa, en plus, sans savoir écrire et lire, ça t'enlève beaucoup de possibilité, tu pourraits avoir de la difficulté a te trouvé un travail. Le mieux pour toi ça serait d'aller au lycée, mais commencer a un niveau si haut sans savoir les bases de l'écriture, de la lecture, de l'historie et tout ce genre de choses serait très compliqué.

Il commençait a trouvé la situation de plus en plus compliquer, mais il n'allait pas laisser tomber son amie comme ça. Il allait trouver un moyen qu'elle apprenne vite et pusse rejoindre le lycée. Elle ne serra peut-être pas la meilleure élève du lycée, mais par sa débrouillardise et son caractère, elle allait faire de bonne chose, il en était déjà persuadé.


Aller, on y Va Nycy, on reparlera de tout sa arrivé chez moi.

Il commença a marché, la tenant par la main. Il regarda le parc une dernière fois, se disant qu'il venait de vivre l'impossible.