Don lui demandait si elle voulait avoir mal. Amy fit un signe de dénégation, les yeux rivés sur le martinet dont son bourreau s'amusait à tendre et détendre les lanières. Il lui expliqua alors que quelle que soit la manière dont cela se passerait, lui aurait du plaisir. Amy baissa les yeux. Que pouvait-elle bien dire? Elle n'eut pas le temps de faire quoi que ce soit, de toutes façons, qu'il lui boucha le nez.
Surprise, Amy, secoua sa tête pour essayer de se débarrasser de la pression, mais il tînt bon. Bientôt elle n'eut plus assez d'air et sa bouche s'ouvrit d'elle même, comme celle d'un poisson hors de l'eau, pour respirer. Aussitôt l'extrêmité de la verge de Don s'engouffra dans sa bouche et il la menaça si elle s'avisait de le mordre. L'idée ne lui était pas venue, mais elle comprit qu'il devait avoir l'habitude des situations similaires. Elle n'était pas la première à qui il faisait cela.
Une larme de dépit tomba de ses cils tandis que le membre gonflé envahissait sa bouche, l'empêchant à nouveau de respirer.
Avec peine, elle inspirait de l'air par ses narines qui se pinçaient sous l'effort, tandis que la verge entrait toujours plus loin, jusqu'à toucher sa glotte, lui provoquant des hauts le coeur qu'elle eut beaucoup de mal à réprimer.
Il avait posé ses mains sur sa tête pour la maintenir et, au moment où elle crut étouffer, la verge coulissa dans l'autre sens. Elle l'envahit à nouveau, puis repartir, et à chaque va et vien, l'énorme gland buttait plus violemment dans sa gorge, lui provoquant des spasmes. Sa respiration s'accélérait, elle tremblait de peur et de répulsion, les narines pincées, le souffle sifflant, les larmes innondant ses joues, Amy crut que ce calvaire ne finirait jamais.
Si la queue, au départ, n'avait presque aucun goût particulier, elle ne tarda pas à sentir les premières gouttes de liquide séminale, fluide et salé, se répandre sur son palais.
Quelques minutes plus tard, alors que le gland se fichait au plus profond de sa gorge, de longues giclées de sperme chaud et acre déferlèrent directement dans son œsophage.
Amy se débattait comme une furie, dans des mouvements désordonnés uniquement provoqués par son instinct de survie. L'eut-elle voulu qu'elle n'aurait pas pu s'en empêcher. Elle manquait d'air et son corps essayait d'expulser cette intrusion violente, écœurante, sans y parvenir.
Quand il se retira enfin, la laissant pantelante, le visage penché vers le sol, reprenant son souffle dans de grands son rauques, déversant sur son menton et dans son corsage de longs filaments de salive et de sperme, des spasmes soulevant sa poitrine sans parvenir à la faire vomir, il secoua le fouet devant ses yeux en lui demandant quel goût cela avait.
Amy eut besoin d'un bon moment avant d'arriver à parler. Elle eut un sanglot et répondit, humiliée :
"C'est... c'est écoeurant... c'est..."
Elle dut s'interrompre. Le seul souvenir de ce goût, qui tapissait encore ses muqueuses comme s'il ne devait plus jamais la quitter, lui donnait des nausées.
"Ne m'obligez pas... laissez-moi..." Termina-t-elle en sanglottant.