La prisonnière vit très vite le manège de sa proie, c'était d'une telle banalité, qu'elle ne prit pas la peine de la poursuivre longtemps, elle savait que ce genre de fille arrivait à la fin par se bloquer elle-même comme si elle cherchait vraiment à se faire violer.
Comme quoi certaine chose ne différenciait pas selon les plans, par contre tartare du être obligée de la suivre, car elle ne connaissait pas Seikusu et elle entendu le bruit d'une chute dans une rue, sans doute sa proie qui s'est fait mal en voulant fuir, ce qui fit la fit pousser une expiration assez sec, montrant sa frustration, à quoi cela sert de suivre une proie et de ne pas la blesser de A à Z, aussi elle ne se laissa pas la futur victime tranquille.
Elle attendit dix seconde et entra dans la ruelle, d'un pas rapide, comme une personne classique le ferrait pour venir en aide à une personne en difficulté et elle put admirer le visage de sa proie, mais au lieu de laisser son sourire carnassier apparaitre, elle fit mine d'être inquiète.
Une fois le contact visuel fait, la proie était fichu, elle allait passer à la casserole. Mais avant tous Tartare allait s'amuser un peu pour apprendre à cette jeune lycéenne que sortir le jour en tenue scolaire loin de son lycée était dangereux.
- Bonjour, je suis la fille d'un des patrons d'une des bâtiments de cette zone, j'allais continuer, quand j'ai entendu du bruit. Vous allez bien ?
La prisonnière tendit sa main pour l'aider à se relever et attendit que la victime soit debout pour que ses mains plongent vers son cou avec une rapidité inhumaine et la plaque conter le mur, ses jambes battant dans le vide, le sol étant à quelques centimètre, plus la victime est bas plus douloureux est la prise, car la proie se voit plus vite envahir par le désespoir et de se fait s'asphyxie plus rapidement en gigotant.
Tartare avait enfin son sourire carnassier, elle n'allait pas attendre longtemps, la mort de la petite en prenait déjà assez, elle n'allait pas s'amuser à chaque fois de jouer une comédie, surtout qu'elle était excité de gouter à la chair et aux sangs du humaine de la Terre.
Elle attendit que le cerveaux de Lust manque d'air, un dieux ne peut pas mourir d'asphyxie, mais tomber dans les pommes n'est pas impossible, même pour une divinité. une fois le corps de la déesse vide de tout mouvement, elle usa de la polymorphie pour faire pousser ses propres cheveux à leurs longueurs habituels et les passa au-dessus des tuyaux, pour attacher la demoiselle et la suspendre dans le vide pieds et poings liés.
Puis elle administra deux baffes pour que sa victime se réveille, la pauvre pouvait gigoter comme un diable, jamais ses cheveux ne cèderais sous la force et user d'un pouvoir face à Tartare se révèlerait plus que dangereux, car une fois énervé elle avait tendance à raccourcir la torture et cela la rendait folle de rage de ne pas pouvoir profiter d'une proie.
Aussi elle arracha quelques cheveux pour en faire un scalpel, qui luisait dans la ruelle qui était quelque peu sombre, renforçant le visage maléfique de Tartare.
- Alors ma belle réveillé ? (rire)
D'un geste rapide un petite entaille se fit sur la joue gauche de Lust, la langue de tartare s'allongea pour aller récupérer le précieux liquide vermeille.
- Il me semble que oui.
La folle au scalpel se mit à faire quelque geste rapide, réduisant la tenue d'écolière à néant, la mettant en petite tenue, sous le joug d'un vent frais qui passait par là, Lust était à elle et personne n'ira lui prendre son petit plaisir.
- Comme tu es ma première victime de la journée je te laisse le choix, soit nous commençons par les choses plaisante, soit par une petite dissection sans anesthésie.
Son sourire s'agrandit, quant à ses paupière elles se plissèrent légèrement signalant que peut importait les choix fiat pas Lust c'était tartare qui allait choisir et dans sa tête elle allait faire les deux.
Un léger ricanement lui échappa.