Une bête croisant une autre. (Lust Vs Tartare)

La détenue venait enfin de quittez la zone où les gardes de la prison pouvaient agir, en effet son évasion est calculé avec précision, misant sur le fait de rester près de la prison, alors qu'une prisonnier normal tenterait plus tôt de fuir l'endroit le plus vite possible, usant de sa magie ou de comparse, chose que Tartare n'usa pas en restant simplement caché dans une fosse, trempant son corps dans une beau nauséabonde, mais qui aurait l'effet de masquer son odeur et baisser sa température.

Elle attendit l'aurore, lors d'un tour de garde pour sortir et plonger dans le fleuve longeant la prison et elle nagea jusqu'à atteindre un lac. A partir de cet endroit elle alla dans une petite maison où elle tua après avoir violé d'après ces règle la paysanne et son enfant avant de prendre un bain bien chaud en se savonnant pour chasser l'odeur du mélange de boue et d'excréments, ce qui n'est pas agréable pour chasser car la proie vous sentes à des kilomètres, seulement la divinité allait jouer une carte qu'elle avait gardé en main depuis toujours, elle savait où se trouve certains portails, même si elle n'a jamais prit le temps de les explorer.

Une fois propre et sentant l'odeur de la fraise, elle enfila sa cape noire, usant de sa dextérité pour nouer ces cheveux de tels sorte à ce que cela fasse office de sous-vêtement et ne trainent pas au sol.

Puis elle partie vers le portail le plus près, mais du attendre la nuit tombé pour pouvoir y aller, car des miliciens tournaient dans la zone et nul doute que son évasion était à présent su par les forces de l'ordre, même si ces derniers ne pourraient rien contre une divinité plus vieille que les dieux ou les Titans.

Tartare vit une opportunité et n'hésita pas un seule seconde pour y aller, elle traversa donc le portail et se retrouvait dans le center commerciale, plus précisément dans la foule, le pouvoir fabuleux avec les portails c'est que les personnes n'ont pas conscience qu'une personne vient d'apparaitre d'un seul coup, ce qui laisse le loisir à la détenue d'admirer la différence entre Terra et la Terre, les jeune fille portaient des vêtements plus osé et parlait de sexe comme l'on discutait du temps qu'il ferrait ferrait demain.

La divinité se dit qu'elle était tombé sur un bon filon, ici les miliciens ne semblait pas exister et la population semblait ignorer sa présence, ce qui démontrait qu'il s'agissait d'un autre plan où personne n'avait entendu parlé de la "Dévoreuse de Chair".

Elle constata que c'était la mâtiné, aussi elle prit le temps pour s'habituer à son nouvel environnement, elle visita d'abord les magasins de vêtements, elle usa de la polymorphie pour quitter le magasin avec les vêtements qu'elle avait choisit, elle avait vite comprit que sans argent on ne pouvait rien avoir.

Elle fila vers un endroit calme et s'habilla, elle mit un soutient-gorge bandeau noire au dessus une veste ouverte sans possibilité de le boutonné et sans manche, elle mit string noire, enfilant par la suite un pantalon moulant ses fesses et ses jambes, c'était presque comme si elle ne portait pas de pantalon, ensuite vint une paire de chaussette noire et des cassures légèrement rehaussé dans les même teintes. Elle usa de la polymorphie pour raccourcir ses cheveux jusqu'au hanches

Une fois habillé comme une terrienne, enfin plutôt comme une allumeuse, elle partie à la chasse aux proies.

Six heures plus tard elle n'avait pas trouvé de bonne proie, les humains de la Terre étaient toujours pressé ou vivaient en groupe, ce qui n'arrangeait pas les affaires de la chasseuse qui sentait le manque arriver, elle était en manque depuis son arrestation, mais là cela en devenait presque insupportable, même la pratiquante de magie satanique n'avait pas suffit à la satisfaire.

C'est alors qu'elle vit une demoiselle trainer toute seule et elle se mit à la suivre discrètement se mêlant à la foule, même si elle dépassait d'une tête les japonais.

La divinité aimait changer, changer d'apparence pour mieux passer inaperçue et pouvoir agir en toute liberté. Elle avait une apparence pour chaque chose et là elle revêtait l'apparence d'une jeune fille seule, mignonne et vulnérable, soit la cible favorite des pervers. Cette forme lui avait déjà valu quelques rencontres mémorables et c'était dans le but d'attirer quelqu'un qui deviendrait mémorable qu'elle se transformait ainsi. Elle ne savait pas encore qu'elle allait rencontrer quelqu'un de très particulier, d'ailleurs elle brouillait volontairement son omniscience pour ne pas savoir ce qui l'attendait, ça rajoutait au côté excitant de la chose. Elle sentait néanmoins les regards sur elle, elle savait qu'elle allait finir par attirer un détraqué ou un violeur en série, c'était obligé.

Elle portait l'uniforme d'une école réputée pour ses filles faciles, normal car Lust y avait passée quelques temps et avait bien prit soin d'initier tout le monde là bas aux plaisirs de la chair. Elle avait de beaux cheveux d'un blond assez sombre, presque gris coupés mi long et un regard bleu qui respirait la faiblesse d'esprit et la soumission. Une poitrine fort généreuse et une silhouette fine et frêle. Bref, une cible parfaite.

Elle prenait soin de rester seule et elle vit une femme commencer à la suivre, peut être avait elle trouvé son agresseur, il suffisait maintenant de trouver la mise en scène parfaite pour passer du bon temps. Elle fit mine de ne pas l'avoir remarquée et continua sa route pour sortir du centre commercial et se dirigea vers la zone industrielle de la ville car à cette heure plus personne ne s'y trouvait. Elle fit semblant de remarquer la jeune femme bien plus tard, dans la rue, elle commença à se retourner fréquemment pour bien montrer à son agresseur qu'elle l'avait vu, pour l'exciter. Dans la même optique elle commença à accélérer, s'enfonçant dans un dédale de ruelles.

Elle fit mine de s'y perdre et simula un accident, faisant mine de s'être tordue la cheville, incapable de continuer à avancer alors que la nuit commençait à tomber et que la femme n'était plus qu'à quelques mètres d'elle. Elle lança donc d'une voix naïve et peu rassurée :

"B-bonjour madame, V-vous voulez quelque chose?"

Pitoyable je sais, c'était bien le but.

La prisonnière vit très vite le manège de sa proie, c'était d'une telle banalité, qu'elle ne prit pas la peine de la poursuivre longtemps, elle savait que ce genre de fille arrivait à la fin par se bloquer elle-même comme si elle cherchait vraiment à se faire violer.

Comme quoi certaine chose ne différenciait pas selon les plans, par contre tartare du être obligée de la suivre, car elle ne connaissait pas Seikusu et elle entendu le bruit d'une chute dans une rue, sans doute sa proie qui s'est fait mal en voulant fuir, ce qui fit la fit pousser une expiration assez sec, montrant sa frustration, à quoi cela sert de suivre une proie et de ne pas la blesser de A à Z, aussi elle ne se laissa pas la futur victime tranquille.

Elle attendit dix seconde et entra dans la ruelle, d'un pas rapide, comme une personne classique le ferrait pour venir en aide à une personne en difficulté et elle put admirer le visage de sa proie, mais au lieu de laisser son sourire carnassier apparaitre, elle fit mine d'être inquiète.

Une fois le contact visuel fait, la proie était fichu, elle allait passer à la casserole. Mais avant tous Tartare allait s'amuser un peu pour apprendre à cette jeune lycéenne que sortir le jour en tenue scolaire loin de son lycée était dangereux.

- Bonjour, je suis la fille d'un des patrons d'une des bâtiments de cette zone, j'allais continuer, quand j'ai entendu du bruit. Vous allez bien ?

La prisonnière tendit sa main pour l'aider à se relever et attendit que la victime soit debout pour que ses mains plongent vers son cou avec une rapidité inhumaine et la plaque conter le mur, ses jambes battant dans le vide, le sol étant à quelques centimètre, plus la victime est bas plus douloureux est la prise, car la proie se voit plus vite envahir par le désespoir et de se fait s'asphyxie plus rapidement en gigotant.

Tartare avait enfin son sourire carnassier, elle n'allait pas attendre longtemps, la mort de la petite en prenait déjà assez, elle n'allait pas s'amuser à chaque fois de jouer une comédie, surtout qu'elle était excité de gouter à la chair et aux sangs du humaine de la Terre.

Elle attendit que le cerveaux de Lust manque d'air, un dieux ne peut pas mourir d'asphyxie, mais tomber dans les pommes n'est pas impossible, même pour une divinité. une fois le corps de la déesse vide de tout mouvement, elle usa de la polymorphie pour faire pousser ses propres cheveux à leurs longueurs habituels et les passa au-dessus des tuyaux, pour attacher la demoiselle et la suspendre dans le vide pieds et poings liés.

Puis elle administra deux baffes pour que sa victime se réveille, la pauvre pouvait gigoter comme un diable, jamais ses cheveux ne cèderais sous la force et user d'un pouvoir face à Tartare se révèlerait plus que dangereux, car une fois énervé elle avait tendance à raccourcir la torture et cela la rendait folle de rage de ne pas pouvoir profiter d'une proie.

Aussi elle arracha quelques cheveux pour en faire un scalpel, qui luisait dans la ruelle qui était quelque peu sombre, renforçant le visage maléfique de Tartare.

- Alors ma belle réveillé ? (rire)

D'un geste rapide un petite entaille se fit sur la joue gauche de Lust, la langue de tartare s'allongea pour aller récupérer le précieux liquide vermeille.

- Il me semble que oui.

La folle au scalpel se mit à faire quelque geste rapide, réduisant la tenue d'écolière à néant, la mettant en petite tenue, sous le joug d'un vent frais qui passait par là, Lust était à elle et personne n'ira lui prendre son petit plaisir.

- Comme tu es ma première victime de la journée je te laisse le choix, soit nous commençons par les choses plaisante, soit par une petite dissection sans anesthésie.

Son sourire s'agrandit, quant à ses paupière elles se plissèrent légèrement signalant que peut importait les choix fiat pas Lust c'était tartare qui allait choisir et dans sa tête elle allait faire les deux.

Un léger ricanement lui échappa.

Lust savait que la meilleure façon d'exciter un prédateur était de lui proposer une proie vulnérable mais, remuante. Ainsi elle criait, elle se débattait dans un jeu d'acteur assez bluffant, normal vu son habitude de la chose. Soudain lorsque le scalpel la menaça, elle se fit beaucoup plus coopérative, son teint devint très pâle et son ton respectueux et craintif. Elle essayait de se mettre en valeur pour que son agresseur trouve dommage de la tuer ainsi et dit :

"Je ferais tout ce que vous voudrez, mais ne me tuez pas s'il vous plait ... J-je ... Je ferais n'importe quoi pour vous mais rangez ce scalpel je vous en prie ..."

Puis vinrent les larmes, je jouais la petite émotive trouillarde à la perfection, je regardais le scalpel d'un air apeuré très crédible et je tremblais de tout mes membres. Puis je lui ait montré l'aspect horrible de mon personnage :

"Écoutez, je sais ce que vous êtes, vous être un monstre qui viole et tue les jeunes filles non? Laissez moi en vie s'il vous plait, j-je je vous emmènerait chez moi, vous pourrez vous défouler sur ma mère et mes deux sœurs, je deviendrais votre esclave, tout ce que vous voudrez."

Lust avait envie de s'amuser et de voir jusqu'où cette rencontre pouvait aller, plus elle irait loin plus ce serait marrant pour elles deux, bien que d'un autre côté se faire charcuter à coup de scalpel ne soit pas son fantasme préféré ... Elle se mis à se tortiller devant son agresseur, l'aguichant du regard pour qu'elle épargne sa vie :

"Ce serait dommage de me tuer non? Je ne pourrais plus vous servir maîtresse ..."

J'espérais juste qu'on aurait le temps de s'amuser un peu avant qu'elle ne se mette à jouer du scalpel.