Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Entretien avec un vampire… [PV]

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Adelheid Friedrich

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Re : Entretien avec un vampire… [PV]

Réponse 15 vendredi 27 août 2010, 18:37:14

   Pourquoi n'était-elle pas partie en courant, voir même en hurlant ? Parce qu'elle ne savait pas. Non, elle était trop aveugle pour comprendre toute cette manigance. La peur au ventre, elle se sentait presque désolée de laisser le Duc seul, mais elle continuait faiblement sa route vers la sortie de la pièce. Frig baissa ses yeux, fixant le sol. Jamais elle n'aurait dut venir ici... La voilà maintenant embarrassée comme il n'y a pas, sans oublié le fait qu'elle vient sûrement de vexer un inconnu, bien qu'ils ne se reverraient sans doute jamais. Il n'empêche que cela la tracassait. Vraiment. Sauf que...

   Sans qu'elle ne s'en rende vraiment compte, son hôte se trouvait déjà devant elle, l'empêchant de fuir du manoir. Quelque chose n'allait pas, mais vraiment pas. C'était impossible que l'on puisse se déplacer à cette vitesse, non ? Quoique... La jeune femme se posait vraiment des questions. Bien qu'elle ait vu beaucoup de choses plus ou moins étranges dans sa vie, il fallait avouer que l'expérience qu'elle vivait en ce moment était plutôt... insolite. Insolite n'est pas le mot qui conviendrait. Nous dirons ici surnaturelle. Oui, surnaturelle. Quelque chose dans cette scène s'élevait du commun des humains et la scandinave savait qu'il serait trop tard pour elle lorsqu'elle découvrirait ce quelque chose. Cette fois-ci, elle recula tout doucement, examinant le Duc Seffer Aelias, cherchant à lire quelles émotions peignaient son visage en cet instant si crucial. Impossible à définir sur le moment. Tout était encore confus dans sa tête... Maintenant il chercha à s'emparer d'elle pour pouvoir la ramener sur le canapé où ils se trouvaient précédemment. Adelheid posa une main sur celle qui se trouvait sur sa taille avec l'infime espoir de forcer le Duc à l'enlever. Cela fut un échec, car en effet, elle se retrouva au même endroit qu'il y a quelques instants. De nouveau assise au fond de ce canapé, il était hors de question de tenter de fuir à nouveau.

   La norvégienne s'assit le plus au fond qu'elle pouvait, bien que toute tentative de fuite était vaine. Son regard se plongea dans celui de son hôte, non sans cacher sa peur et sa gêne. Sans parler de la seconde où elle aperçut ces deux crocs brillant presque d'une lueur malsaine. C'était un mauvais rêve. C'était un mauvais rêve ! Non. C'était bel et bien réel. Adelheid faisait vraiment face à une de ces créatures nocturnes voleuse de vie, amadouant les jeunes femmes desquelles elles puisent leur force. Les paroles de Seffer se voyaient doublées d'une seconde signification légèrement plus indécente que la première. À priori, ce soir elle serait l'invitée d'honneur à ce macabre banquet.

   Oh que non, la scandinave ne se débattrait pas, ni ne crierait. À moins de vouloir finir comme cette Mary Jane Kelly... De toute façon, la peur la tétanisait et ce n'est pas en restant crispée de la sorte sur le canapé qu'elle arriverait à feinter ! Sa poitrine se soulevait et s'abaissait, allant de paire à sa respiration visiblement troublée par la peur. Plus rien n'empêchait le Duc de se jeter sur sa proie si ce n'est son sens de la noblesse. Cependant, il l'abandonna plutôt vite, donc finalement, plus rien ne leur servait de barrières... Rien du tout. Frig affirma donc les propos du vampire en hochant affirmativement la tête, persuadée que la docilité lui servira à garder sa vie saine et sauve.


- Je... Je ne fuirais pas.

   Affirma-t-elle d'une petite voix calme, dissimulant tant bien que mal ses émotions. Étrangement elle comptait bien respecter ses dires, ce qui était sûrement (et encore) dut à la peur. Toujours crispée dans le canapé, elle ne quittait pas le regard de son hôte se faisant de plus en plus inquiétant au fur et à mesure que la soirée avançait.
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Den gamle vandreren går mens høsten er blodig rød, evig og evig




Seffer Aelias

Créature

Re : Entretien avec un vampire… [PV]

Réponse 16 lundi 01 novembre 2010, 16:56:12

[ HJ : Désolé vraiment pour le retard de ma réponse...]

- Je... Je ne fuirais pas.

La peur…Un sentiment bien humain, un sentiment que même l’aristocrate vampire connaissait…ou du moins, un sentiment qu’il avait jadis connu. Un lointain souvenir, un souvenir oublié refaisait maintenant surface. C’était dans l’Angleterre victorienne, dans une petite ville industrielle du Kent, un soir d’hiver où la lune était pleine. Seffer se souvenait encore très bien de cette soirée, de sa transformation…où pourchassé par une veuve noire, par une comtesse vampire, il s’était refugié dans un cimetière…mauvaise idée bien sur. La peur, elle avait été à son paroxysme cette soirée là…Et il avait fini par se faire attraper par une prédatrice affamée, mordu, des crocs dans la gorge et laissé ensuite pour mort sur un tombeau…Ah ! Quel souvenir ! Le premier souvenir d’une longue histoire, celle de la relation entre Seffer et l’ancienne comtesse du clan Aelias, Catherine Irina d’Aelias…Le vampire sourit. Certes, c’était un mauvais souvenir mais il avait finit par lui régler son compte à la comtesse et avait maintenant pris sa place…Dans un sens, c’était elle qui avait appris la perversité, le sadisme à Seffer, c’était elle qui lui avait appris à jouer avec sa proie…comme il le faisait maintenant avec l’innocente norvégienne.

Cette dernière était tétanisée par la peur, la respiration était rapide et saccadée, la poitrine se relevait et s’abaissait frénétiquement, Adelheid était prise de tremblement et était aussi crispée au plus profond du confortable et moelleux canapé…Elle avait décidé de ne plus fuir, elle avait décidé de jouer la docilité…Il était clair qu’elle tenter de jouer la docilité, de jouer la petite esclave, de ne pas fuir, d’obéir…le tout pour garder la vie sauve. Une bonne idée en soit…Toute fuite était vaine, Aelias n’étant pas un être humain, ses qualités, ses dons et ses capacités physiques améliorés, lui permettraient rapidement de prendre le dessus. Et d’un coup de poing ou simplement d’une morsure dans la gorge de l’innocente, il prendrait sa vie…Décidément, cette humaine attirait au plus haut point le noble. Qu’allait-il donc pouvoir faire d’elle ? Il aurait bien put prendre sa gorgée de sang tout de suite…mais cela ne serait pas convenable. Le seigneur et chef du clan vampire des Aelias avait une certaine réputation…De tous les vampires de son clan, il était surement le plus pervers et le plus débauché. Le suceur de sang prenait un certain plaisir à s’amuser avec ses proies et affectionnaient particulièrement les plaisirs charnels, consentis ou non. Il avait une préférence pour la défloration de religieuse et pour l’humiliation d’esclaves terranides…Il allait jusqu'à s’abaisser à violer des terranides, espèces inférieurs. C’est, en quelque sorte, cette perversité extrême qui faisait de lui le chef du clan…Un bon chef doit être le meilleur dans tous les domaines. Et, ce soir, il avait bien l’intention de profiter de cette si ravissante nordique. En plus, pour une fois, il aurait autre chose qu’une nipponne…


Sage décision…se contenta t’il de dire.

Il se resservit un verre de vin et l’avala d’une traite.

- Je n’aurais pas eut envie de vous faire du mal, très chère amie…et comme je l’ai dit auparavant, je désire vous connaitre un peu plus…

Il marqua une pause.

- Inutile, je pense de vous resservir un autre verre de vin…je crois que vous devinez aisément ce qui va se passer ensuite.

Le duc plongea sa main dans une des poches de son pantalon, il en sortit hâtivement une montre gousset et regarda rapidement l’heure…la soirée avançait rapidement. Bien entendu, le vampire ne pouvait pas attendre, un seul rayon de l’astre solaire le transformerait en poussière. Mais il avait encore assez de temps, plusieurs heures pour profiter, pour s’amuser avec sa proie, son hôte, se nourrir d’une rasade de nectar sanguin et retourner ensuite, à toute hâte, dans son cercueil moelleux et confortable. Il déboutonna alors sa chemise et se débarrassa de ce morceau de tissu inutile, dévoilant alors un torse assez musclé, couleur ivoire, parcouru de plusieurs cicatrices au niveau des côtes et dans le dos…Maintenant, les desseins du vampire était assez claire. Une jeune et si jolie femme qu’Adelheid Friedrich ne pouvait maintenant que comprendre ce qui l’attendait…et l’utilité du canapé dans cette pièce. Seffer, d’un geste de la main, désigna le haut de vêtement de la nordique. D’une voix calme et posée, il ajouta :

- Vous devriez vous mettre à l’aise, comme moi…

Il marqua une pause et ajouta :

- Et m’éviter ainsi d’arracher votre jolie tenue.

Conclut t'il, en souriant de plus belle.



Adelheid Friedrich

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Re : Entretien avec un vampire… [PV]

Réponse 17 lundi 01 novembre 2010, 20:09:04

- T'inquiète, y'a pas de mal (: et moi aussi je vais m'excuser pour la réponse en mousse -

   Les yeux toujours fixés sur son hôte, Adelheid ne put que déglutir avec difficulté lorsqu'il énonça une simple réponse, comme quoi son affirmation était fondée. Elle essayait de se détendre, de faire fi de ces crispations dues à la peur, et il fallait avouer qu'elle commençait à se décontracter. Son cœur battait fort, toujours. Mais elle n'y pouvait pas grand chose, malgré sa respiration lente et régulière. Observant chaque geste du vampire, la norvégienne suivait sa main du regard, d'abord vers la table, là où il se resservait à boire, puis vers son visage alors qu'il portait son verre à sa bouche, buvant hâtivement sa boisson. Il reprit enfin la parole. Il ne lui voulait pas de mal, comme il l'avait déjà répéter plusieurs fois au cours de la soirée. Mais cela ne sonnait pas bien. Il ne lui voulait pas du bien, en tout les cas. Il ne devait souhaiter que son propre bien, comme un bon aristocrate ayant visiblement réussi sa vie (de manière plus ou moins nette).

   Ô que oui, elle savait ce qui l'attendait. Frig était parfois un peu niaise et aveugle, mais là, les arrières-pensées du Duc étaient on ne peut plus évidentes. Alors qu'il délaissa sa chemise, dévoilant par ailleurs son torse plutôt bien dessiné il faut l'avouer, Seffer invita la scandinave a faire de même, à « se mettre à l'aise ». Elle comprit bien vite qu'elle allait devoir se dévêtir pour son plaisir personnel mais elle ne se mit vraiment à se rendre compte de sa demande à partir de ses dernières paroles. Les yeux s'écarquillant, fru Friedrich se sentait bien mal à l'aise. Sa robe n'était retenue que par le bustier, et en dessous ce bustier ne se trouvait... rien. En revanche la simple idée que le Duc puisse agir violemment lui donnait de ces sensations de malaises... Si elle ne s'exécutait pas, elle pouvait être quasiment sûre d'avoir à souffrir un peu plus que ce qu'elle devait endurée à la base.

   La norvégienne n'avait pas vraiment le choix. Lentement elle se leva, d'une lenteur affirmant son intention de rester et non de s'enfuir, de toute façon elle ne pouvait pas se déshabiller assise. Ses mains se dirigèrent vers l'arrière de son bustier. Baissant légèrement la tête, quelques mèches de cheveux blonds platine vinrent cacher son visage légèrement empourprée. Bien qu'elle ne soit pas forcément de nature pudique, cela ne lui plaisait pas forcément de se dévêtir en face d'un inconnu. Ses doigts défirent le nœud à l'arrière de son bustier qui visiblement, commençait à glisser le long de ses flancs. Frig desserra légèrement le corset qui libéra un peu plus ses formes puis qui commença à dévoiler deux tatouages en forme d'ouïes de violon dans le bas de son dos. Dans un bruit de tissu sa robe tomba au sol, dévoilant la pâleur de son corps, pouvant presque rivaliser avec celle de Seffer Aelias. La scandinave rougit de plus belle. Pourquoi. Pourquoi fallait-il qu'elle apprécie les sous-vêtements un minimum affriolant ? Voilà qui l'embarrassait en ce moment même. Ses derniers vêtements, sa dernière once de dignité : un shorty noir orné de dentelle et muni de portes-jarretelles, car il est quasiment impensable d'imaginer fru Friedrich sans bas, ceux-ci étant noir ce soir, eux aussi ornés de dentelle. Elle croisa les bras sur sa poitrine et releva la tête vers le Duc qui venait d'assister à ce petit spectacle improvisé. La jeune femme retourna donc s'assoir à sa place près de son hôte tout en gardant ses bras habillés de gants noirs sur elle pour cacher sa poitrine. Il restait encore un dernier obstacle au vampire : cette bande de dentelle attachée autour de son cou.

   Toujours un peu gênée, son regard sombrait sur ses genoux. Bon dieu, qu'avait put penser Seffer en la voyant dévoiler son corps aux formes si agréables à regarder et d'une pâleur quasiment inégalable (humainement parlant) ? Adelheid ne dit rien. Elle avait déjà assez flattée son hôte en obéissant à ses ordres.
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