Mach avait donc décidé de tenir compagnie à Lisbeth ce soir, et les voilà dans un bar, qui était loin d’être comme les autres. Bien entendu, le jeune homme avait bien comprit ce qu’il se passait dans les alcôves, et les allusions de sa compagne étaient loin de le dissimuler. Mais, cela ne le fit pas changer d’expression, tout comme il ne donna aucun signe extérieur qui permettrait à sa partenaire de voir qu’il comptait profiter du moment pour s’amuser avec elle, comme si l’idée ne lui traversait pas l’esprit, alors qu’il continuait la conversation, assit aux côtés de la sublime femme, dont beaucoup envierait sa place actuelle à ses côtés.
Et bien entendu, ses pensées étaient tout autres, puisque l’idée avait bien germée en lui. Mais, contrairement à certains, il ne foncerait pas, n ne forcerait pas, sur Lisbeth pour avoir sa dose de plaisir. Et cela bien que l’une de ses questions sembla amuser la jeune femme, vu le sourire qu’elle lui lança en lui répondant. Dans ce domaine, elle serait d’ailleurs la première à faire le premier geste, qui ne fut autre qu’une main posée sur la cuisse de son compagnon, et se mit à le caresser. Celle-ci ne tarda pas à monter sur l’entrejambe de Mach, qui ne put refreiner un frisson, non de peur, mais plutôt de plaisir, alors que sa compagne craignit visiblement sa réaction. Mais, d’une main, il alla doucement soulever le menton de celle-ci pour relever son joli visage, et qu’elle croise son regard, alors qu’elle prenait la parole à nouveau.
- En effet, mais je suppose que celles-ci étaient moins gênant avec une compagne féminine.
Dit-il calmement, alors que sa main glissa sur la joue de Lisbeth, son pouce caressant celle-ci. Sa future amante avait d’ailleurs elle aussi commencer ses propres caresses sur le membre du jeune homme, qui ne pouvait donc s’empêcher de durcir sous l’excitation et le plaisir qu’on lui fournissait. Mach ne cherchait d’ailleurs même pas à résister. Mais, avant qu’il ne puisse réellement entreprendre quelque chose il vit la jeune femme se glisser entre ses jambes, prenant une position à genoux, alors que sa main sur le sexe de Mach vint libérer ce dernier de son carcan de tissu de manière très lente, comme pour profiter de chaque instant, et faire durer le plaisir qu’il allait recevoir, et aussi bientôt partager, le plus longtemps possible.
Mais, quand elle commence à s’occuper de son sexe directement, Mach ne put s’empêcher de laisser entendre un faible gémissement suite au premier coup de langue de son amante. Mais, ce fut loin d’être le dernier, et après un bref mouvement de tête en arrière pour montrer avec peut être un peu d’excès dans le geste, le bien que lui procurait Lisbeth, celle-ci prit grand soin du membre du soldat, n’oubliant aucune partie de ce dernier, que se soit avec les léchouilles, les succions lorsqu’elle englobait le sexe dans sa bouche chaude et humide, ou même avec sa main, lorsque sa bouche venait s’occuper de ses bourses. Son regard se posa sur elle, et quand ses mouvements éloignaient son visage de son corps à lui, Mach pouvait voir brièvement l’intimité de la demoiselle, malgré la tenue, qui était remontée toute seule pour permettre cette position de Lisbeth.
-…hmm….En tout cas, je vois que je ne dois pas être le premier à qui tu offres une fellation….hmm…s’est très bon ce que tu me fais….
Dit-il le souffle court, puisque la jeune femme lui faisait beaucoup de bien, si bien qu’il n’aurait plus l’occasion, ou l’envie d’arrêter cela maintenant. D’ailleurs, ce n’était pas ce que Lisbeth souhaitait, puisqu’elle finit par donner une petite pause au jeune homme, puisque seule la main de la demoiselle s’occupa de son pénis, alors qu’elle prenait la parole tout en regardant Mach. Il se montra tout de même surprit lorsqu’elle se considéra comme l’esclave de son maître, avant d’y demander d’être le premier et recommencer sa fellation. Celle-ci fut différente, surtout qu’elle vint quérir une de ses mains pour la poser à l’arrière de sa tête, comme si elle voulait qu’il lui impose un rythme, et celui-ci fut assez lent pour le moment, et était en fait presque celui que la jeune femme faisait elle-même.
- Mienne ? Je dirai que s’est plutôt l’inverse actuellement, s’est moi qui suit tout à toi !
Dit-il avec un peu d’humour, clairement perceptible dans la voix. Mais, il était vrai qu’il ne pouvait pas faire grand-chose dans sa position, et se contenta d’amener la seconde main dans la chevelure de Lisbeth, qu’il caressa en même temps qu’il fit accélérer un peu plus, et en allant un peu plus profondément dans la bouche de son amante à chaque va et viens. Mais, ses gestes et regards montraient clairement qu’il faisait attention de ne pas faire quelque chose qui pourrait faire mal, ou étouffer sa compagne, retranscrit par des ralentissements de temps à autres pour lui permettre de respirer un peu tout de même.
Bien sur, il montrait son propre plaisir avec sa respiration, et parfois sa voix quand le mouvement des lèvres et de la langue de Lisbeth sur son membre étaient plus intenses. Puis, l’une des ses mains glissa de la tête vers le dos de la jeune femme dans une lente et douce caresse, comme s’il découvrait chaque recoin de cette partie du corps, malgré le tissu encore présent. Dans un lent mouvement, et un peu à contre cœur, il fit sortir son sexe de la bouche de sa compagne pour dans des gestes doux lui faire comprendre de se redresser. Ainsi, il la fit remonter jusqu’à ce que leurs visages soient à la même hauteur et que Mach viennent s’emparer des lèvres de la belle demoiselle. Il ne se priva d’ailleurs pas de faire glisser sa langue à l’intérieur de la bouche de son amante pour entamer un lent ballet avec celle de sa compagne.
Il l’enlaça alors de ses bras, collant son corps au sien, alors qu’il revenait s’appuyer contre le dossier du canapé. Ses bras dans le dos de Lisbeth vinrent alors caresser se dernier de ses mains, avant que celle-ci n’aillent découvrir les fermes douces et moelleuses de sa compagne. Il les caressa, et malaxa avec une grande tendresse, alors qu’il ne tarda pas à mettre fin au baiser.
- Il serait injuste que je sois le seul à recevoir du plaisir tu ne trouve s pas ?
Dit-il avec un sourire, alors que ses mains parcouraient ses fesses, son dos, et le haut de ses cuisses dans ses caresses. Sa bouche revint quérir les lèvres et la langue de Lisbeth dans un long baiser avec une vitesse de jeux de langues bien plus rapide cette fois. Notons aussi que son sexe en érection frottait aussi sur l’avant des cuisses, se glissant parfois entre selon les mouvements que faisait les frottements des deux corps l’un sur l’autre.