Soupires ponctués par des gémissements, des frissons parcourant sa peau, j’ai beau avoir l’apparence de son frère, son corps reste un corps. Mes doigts s’enduisent peu à peu de la cyprine s’écoulant de son intimité, j’entreprends donc d’accentuer mes caresses, mes deux doigts libres pénètrent avec douceur son sexe, et commence des petits allers et venus, à chaque fois un plus profonds, jusqu’à ce que, de l’extrémité des mes doigts, je stimule sa paroi interne.
Quoi qu’il arrive, à partir de maintenant, elle ne verra plus jamais son frère de la même manière, le pur amour fraternel qui les lie, est entrain d’être entaché. Je ne prête aucune attention à ses remarques, et de mon autre main, je viens tirer un peu sur son string d’une manière très érotique. Elle a relâché le haut qu’elle tenait pour venir essayer de me repousser en vain avec ses bras frêles. Je peux maintenant me délecter de la vision de sa superbe poitrine, mais je ne compte pas m’arrêter à ça.
Ca fait des années que je rêve de faire ça…
Je retire doucement mes mains de son corps, laissant l’intimité d’Adelheid trempée. Je vois une leur d’espoir dans ses yeux, ce qui me fait sourire. Elle pensait vraiment que j’allais m’arrêter là ? Elle peut entendre le –zip- de ma braguette, ce qui fait tout de suite partir cette lueur. Je baisse les barrières de tissu couvrant mon membre, et je dois dire que ce Theodor est plutôt bien proportionné de ce côté-là. En tout cas, pour avoir eu un aperçu, avec mes doigts, du sexe de la jeune norvégienne, je dois dire que celui de son grand frère était parfait pour le sien : Assez grand pour emplir comme il se doit son intimité, mais pas assez pour lui faire mal. Et ce n’est pas plus mal, je ne cherche pas forcément à violenter mes victimes, ce qui m’importe c’est de briser la pureté de l’amour qu’elle porte pour l’un de leur proche.
J’approche ma verge chaude et dressée contre ses fesses, et je la passe doucement sur cette croupe, venant jouer avec l’élastique de son string. J’enlace Adelheid de mes bras finement musclé, d’une part pour continuer de la maitriser, et d’autre part pour venir refermer mes mains sur sa poitrine. J’empoigne d’une manière possessive ses seins, mes pouces venant appuyer contre ses tétons, et je me mets à jouer avec ces globes de chaires doux et fermes. Et alors que je veux faire descendre mon membre le long de ses fesses, je sens ses cuisses se refermer, alors qu’elle me supplie d’arrêter. Je lui souris via le miroir, et fait coulissé ma verge brulante de désir, dans l’espace triangulaire, laissée entre ses cuisses. Ainsi, mon sexe est pris en étau, à la fois par les jambes, et l’intimité humide de la jeune femme. Je commence de lents allers et venus dans cet orifice temporaire, le haut de ma verge frottant contre son sexe, et le reste caressant le haut de ses cuisses.
Je sens sa résistance faiblir, et ses jambes s’écarter un peu plus sous les traitements infligés par mes mains sur sa poitrine, et par mon sexe sur le sien. Je viens embrasser sa nuque langoureusement, puis après avoir initié un début du suçon, je remonte mes lèvres pour souffler quelques mots à son oreille.
Tu vois… Tu en as autant envie que moi…
Je resserre l’étreinte de mes mains sur sa poitrine, puis après avoir fait jouer mon gland contre l’ouverture de son sexe, je la pénètre lentement mais avec force. Je soupire de plaisir au fur et à mesure que je sens mon membre être comprimé par l’intimité étroite d’Adelheid, jusqu’à ce qu’il le soit entièrement, et que je commence un mouvement de bassin endiablé.