Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Adelheid Friedrich

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1, 2, 3, Summertime! [pv: Franz Nielsen]

jeudi 17 juin 2010, 17:09:22

   C'est l'été. Et l'été au Japon, il fait lourd. Il fait humide. Et il fait CHAUD. Cette impression d'étouffement est insupportable, bien que l'humidité fasse partie intégrante du climat norvégien. Mais en aucun cas la chaleur en fait partie, même si en été le thermomètre peut atteindre les 30°C à tout casser, et peut redescendre à 5°C en quelques heures facilement suite à une petite perturbation.

   L'air se réchauffant, la garde robe de la jeune norvégienne commençait à se restreindre petit à petit. Son premier été au Japon risquait d'être bien difficile... Jamais elle n'aurait pensé que la température accompagnée de l'humidité régionale pouvait rendre l'air aussi pesant, hélas pour elle. Ses plus fines chemises étaient déjà trop chaudes pour l'époque, que réservent le moi de juillet et d'août? Frig n'avait pas le choix. Elle devait remplir ses placards de vêtements saisonnaux, et faute d'attendre, une petite virée au centre commercial s'imposait.

   La motivation n'étant pas de partie, Frig pensa que son frère serait un peu plus chaud qu'elle pour une petite virée en ville. Cela ne fait pas de mal d'être accompagné par quelqu'un qu'on apprécie, et qui surtout, pourrait nous donner un point de vue masculin. S'emparant du téléphone d'une main et composant le numéro du cellulaire fraternel, Adelheid n'eut qu'une réponse vague au sujet de sa venue. « Oui, non, peut-être ». Cela laissait penser que le frangin viendrait, ou bien peut-être pas, à cause de son habituelle humeur changeante. Elle aurait la surprise sur place.

   Pour la petite virée, Frig opta pour des vêtements simples. Un mini-short noir à bretelles ainsi qu'une chemise blanche à manches courtes. À sa grande habitude, et l'été n'y changeait rien, elle portait toujours des portes-jarretelles qui se trouvaient à l'air libre à cause de la petite taille du short. Elles soutenaient des bas noirs rayés verticalement, laissant paraître une toute petite partie de ses jambes pâle comme la neige. Et tout ceci accompagnés d'une paire de Doc Martens noires 10 trous dans les pieds. Un coup de khôl autours de ses yeux noirs d'encre, de rouge sur les lèvres, et la voilà enfin prête. Ce n'était pas une tenue très pratique pour une journée shopping mais qu'importe, Theodor ne sera que seul juge et il connaissait très bien sa sœur à ce sujet.

   Une vingtaine de minutes suffirent à la jeune nordique pour se rendre à pied au centre commercial, moins rempli que d'habitude. Le beau temps faisait fuir les citoyens de la triste Seikusu vers des bords plus marins et plus distrayant, comme la plage et la montagne. Frig s'arrêta sur un banc, pas très loin de l'entrée, afin de voir les personnes arrivant dans le bâtiment où la chaleur n'était qu'emplifiée par ce toit vitreux faisant un effet de serre. L'air recyclée permettait à la jeune femme de respirer un air à peu près frais. Son exotisme attirait le regard des asiatiques du coin, c'était rare de voir une personne aussi pâle dans ce genre de pays. Mais elle s'en fichait vraiment. Pour l'instant, elle était attentive aux flux de personnes rentrant et sortant afin de voir si son frère avait décidé de venir... ou pas.
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Franz Nielsen

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Re : 1, 2, 3, Summertime! [pv: Franz Nielsen]

Réponse 1 jeudi 17 juin 2010, 18:15:56

L’été au Japon est un mélange entre la lourdeur de l’humidité, et la chaleur du soleil. Enfin ça n’a pas que des inconvénients, les jeunes femmes quittent leurs vêtements larges pour des tissus fins, offrant leurs courbes à la vue des yeux malicieux des passants.
Aujourd’hui mon terrain de chasse est le centre commercial, j’ai pris la forme d’un homme de la sécurité, et je peux ainsi aller et venir comme bon me semble. Le souci c’est qu’aujourd’hui, le centre commercial ne fait pas recette, il y a peu de monde, en tout cas peu de jeunes femmes. Et alors que je me décide à partir d’ici pour rejoindre un lieu mieux fréquenté, comme la plage, mon regard se pose sur une jeune femme typée scandinave, assise sur un banc. Ce charme exotique est tout particulièrement attirant, sans compter sa tenu vestimentaire, invitant le regard à s’attarder sur ses formes.

Finalement je crois que je vais rester un peu plus longtemps ici, j’use de mon pouvoir pour sonder l’esprit de cette jeune femme. Hmm… Adelheid Friedrich, voyons voir de qui pourrais-je prendre la forme. Tiens… Elle a un frère très protecteur, dont elle est proche. Theodor… Un sourire étire mes lèvres, l’amour fraternel, si beau, si innocent. Quel plaisir ce va être de le détruire.

Je m’écarte afin de m’isoler dans un coin de la galerie marchande, je me concentre sur le frère de cette jeune femme, et les traits de mon corps d’homme de sécurité fondent, pour prendre peu à peu ceux de Theodor. Mon corps perd de son envergure, ma peau blanchit, mon œil droit se teinte de noir alors que le gauche disparait sous une balafre, elle-même dissimulé sous une cache œil élégant. Enfin mes cheveux poussent jusqu’à mis longueur, et s’éclaircirent d’une blondeur presque blanche. Un pantalon noir se forme sur mes jambes, et une chemise blanche simple, mais qui reste élégante vient couvrir le haut de mon corps.

Une fois la transformation finit, je réajuste mes vêtements, et me dirige vers la jeune femme. Ce que j’aime cette sensation de force, d’avoir la confiance d’une personne en un instant, et de pouvoir en disposer… En abuser.

Bonjour petite sœur. Dis-je d’une voix calme, presque froide, comme le faisait cet homme dont j’avais l’apparence.

Adelheid Friedrich

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Re : 1, 2, 3, Summertime! [pv: Franz Nielsen]

Réponse 2 jeudi 17 juin 2010, 18:49:14

   Il était long. Ou alors Théo avait décidé de ne pas venir, au final... Quelle tête de mule, celui-là. C'était à ça que Frig pensait. Quel lâcheur, aussi. Franchement...

   C'est juste en pensant à son non-venue qu'il arriva, avec sa même démarche assurée et son aura froide qui repoussait facilement les femelles cherchant à lui faire des avances. Le visage de la jeune femme s'illumina, et, d'un bond, se leva pour se diriger vers son frère. Elle passa ses bras derrière la nuque de Theodor et le serra contre elle tout en le récompensant d'un bisou sur la joue pour le féliciter de sa venue. C'était leur manière de se dire bonjour, une gentille étreinte entre frère et sœur. Leur lien de parenté était vraiment flagrant. La même couleur de peau, la même couleur de cheveux, ainsi que la même couleur d'yeux. Frig relâcha son étreinte et recula d'un pas.


- J'ai fini par penser que tu ne viendrais pas, au final... ça faisait longtemps que nous ne nous étions pas vu, ça me fait vraiment plaisir de te voir.

   Rien ne valait plus cher à ses yeux que sont frère. C'était son confident, son meilleur ami. Une personne avec qui elle peut boire et fumer sans reproches, une personne avec qui elle peut rouler à 150 km/h sur l'autoroute juste pour s'amuser, une personne qui doit malheureusement s'absenter souvent à cause de son « travail »...

   Frig prit son frangin par le bras et l'entraina dans la galerie principale du centre commercial. Ils défilèrent devant beaucoup de boutiques, mais rien qu'à la vue de leur vitrine, la jeune femme savait oui ou non si elle trouverait quelque chose qu'il l'intéresse à l'intérieur. Beaucoup de boutiques ne l'intéressèrent pas vraiment, mais ce n'était pas de sa faute.

   Elle marchait aux côtés de son frère, regardant tantôt à gauche tantôt à droite afin de repérer quelque chose qui l'intéressait. Son regard s'arrêta sur un petit magasin de fringues proposant un large choix de modèles qui pouvaient potentiellement l'intéresser.


- On pourrait s'arrêter ici, non...?

   Demanda la demoiselle d'une voix presque suppliante, comme si son frère pouvait lui refuser quelque chose... Elle lui lança un regard innocent, l'air de dire « Je te promets que je ne serais pas difficile! ».
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Re : 1, 2, 3, Summertime! [pv: Franz Nielsen]

Réponse 3 jeudi 17 juin 2010, 19:35:58

Je vois un sourire s’afficher sur le visage d’Adelheid quand j’arrive près d’elle, elle se redresse et m’étreint, avant de déposer un baiser sur ma joue. J’ai tout le loisir de mieux observer ses formes, d’humer son odeur… Hmm je sens que je vais bien m’amuser à faire en sorte que son frère devienne un monstre à ses yeux. Enfin, en attendant, je joue le jeu du frère protecteur, et j’agirais le moment venu.
Elle me prend le bras et m’entraine dans la galerie marchande, puis s’arrête devant un magasin de vêtements qui semblait l’intéresser. Elle me demande si on peut s’y rendre, avec un air tendre, et un regard suppliant. Ca ne me gênais pas du tout d’entrer dans cette boutique au contraire… Mais j’agis comme son frère le ferait. Je fais semblant de ne pas être trop intéressé, avant de céder en croisant le regard d’Adelheid.

Bon… D’accord allons y. Je suppose que tu veux t’acheter un maillot de bain pour cet été ? Et des tenues plus légères ?


Je sais qu’à la vue de son teint, l’exposition au soleil doit se faire dans de rare cas, mais un maillot de bain sert aussi pour aller à la piscine, à l’abri du soleil. Et je dois dire que j’ai une idée derrière la tête…

Par contre, je te préviens ! JE choisis ton maillot de bain, je ne veux pas que tu prennes quelques chose de trop voyeur ! Dis-je avec un air faussement autoritaire. Je vais t’en choisir quelques uns, je te rejoins à la cabine d’essayage.

Je me rends dans les rayons pour maillot de bain, et je prends au hasard, deux une pièce, très sages, mais toujours avec un petit quelque chose en plus, un motif, ou une coupe plus original, qui faisait qu’ils étaient élégants. Puis, je prends le temps de sélectionner un maillot de bain deux pièces, le plus sexy que je peux trouver. (image)
C’est un ensemble noir, le haut est classique si ce n’est qu’il est taillé volontairement petit pour que la poitrine déborde du tissu, et le bas, n’est ni plus ni moins qu’un string. Il va sans dire qu’Adelheid risque d’être surprise par ce troisième choix, reste à savoir comment elle va réagir. Peut être va-t-elle prendre ça pour une blague, et jouer le jeu en le revêtant, ou alors peut être vas t’elle tout simplement penser que je me suis trompé, et me rendre le maillot de bain, auquel cas je trouverai bien quelque chose d’autre.
Je souris intérieurement, pour ne pas afficher cette lueur perverse sur mon visage, je dois rester calme et plutôt distant comme l’est Theodor. Je me dirige vers la cabine d’essayage choisis par la jeune femme, où elle est déjà entrain d’essayer des vêtements.

Tiens voilà, je t’ai choisis quelques ensembles.

Je glisse ma main dans l’ouverture du rideau pour lui tendre les maillots de bains, et j’ai déjà une folle envie de poser mon regard dans cette cabine, et surtout sur les formes d'Adelheid. Mais patience, c’est pour bientôt…

Adelheid Friedrich

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Re : 1, 2, 3, Summertime! [pv: Franz Nielsen]

Réponse 4 jeudi 17 juin 2010, 20:40:00

   Les deux frangins entrèrent donc dans l'échoppe. Théo se chargea de trouver des articles pour sa sœur qui quant à elle, rejoint une cabine d'essayage avec ses articles en attendant le choix de son frère. Elle tira le rideau afin que personne ne puisse l'apercevoir, car même si elle n'était pas de nature très pudique, tout le monde n'avait pas besoin de la voir à moitié nue.

   Frig commença à se déshabiller, en commençant par les chaussures. D'un coup de main elle baissa les bretelles de son short puis déboutonna un à un les boutons de sa chemise d'un doigté habile, avant de la laisser glisser sur ses bras, dévoilant son buste d'albâtre. La jeune femme la plia soigneusement et la posa sur un petit banc qui se trouvait dans la spacieuse cabine d'essayage. Vint au tour du short. Le bouton et la fermeture défaits, le short glissa le long de ses jambes, puis subit le même sort que la chemise, renié sur le banc.

   C'est ce moment que choisit Theodor pour glisser son bras dans la cabine avec quelques pièces de maillots de bain. Frig sursauta et les attrapa.


- Tusen takk, je ne serais pas longue!

   Adelheid sonda les trois maillots de bain qu'elle avait en main. Les deux premiers étaient tout à fait corrects, destinés à la protection de son corps contre le soleil et le regard des hommes. Hors, le dernier était un choix plutôt... surprenant. Jamais elle n'aurait pensé que son frère eut idée de lui amener un ensemble qui lui paraissait trop petit, sans parler du string. Mais Theodor était bel et bien un homme, et la jeune norvégienne était quasiment certaine que son frère avait juste besoin de se rincer l'œil quelques minutes. Oui, juste de se rincer l'œil... C'est pour lui faire plaisir qu'elle lui fera le grand honneur de revêtir cette tenue « judicieusement » choisit pour cet été.

   La jeune femme dégrafa son soutien-gorge et rien que le fait d'enlever son sous-vêtement lui donna un frisson, sûrement à cause de la climatisation au niveau des cabines. Les porte-jarretelles ainsi que les bas disparurent sur le banc et le shorty ne tarda pas à faire de même. Après une rapide réflexion, Adelheid choisit l'un des maillots de bain, celui qu'elle préféra, qu'elle enfila en toute hâte.

   Elle n'avait pas l'habitude d'habits aussi moulant. D'habitude elle portait quelques corsets ou bustiers constricteur qui donnait une autre perception de ses formes pleinement développées. Frig se regarda dans la glace, et son regard se fixa sur sa poitrine. Même si c'est la sienne, jamais la jeune femme n'aurait pensé qu'elle était aussi développée, même si ses seins n'étaient pas d'une taille énorme non plus.


- Voilààààà!

   Frig ouvrit le rideau, se dévoilant pleinement à son frère, un sourire innocent aux lèvres. Sa pâleur était presque intensifiée par les néons du magasin, qu'on eut dit une apparition spectrale. Elle attira quelques coups d'œil furtifs d'autre client, mais la jeune femme n'attendait que le verdict de son frère.
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Franz Nielsen

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Re : 1, 2, 3, Summertime! [pv: Franz Nielsen]

Réponse 5 vendredi 18 juin 2010, 00:19:58

J’attends derrière ce mince rideau me séparant d’Adelheid, devinant presque ses mouvements au son des tissus glissant sur sa peau. Je n’entends pas de réaction particulière après lui avoir donné les 3 maillots de bain, apparemment elle compte tous les essayer. Un peu plus tard, le rideau s’ouvrit sur le corps de la belle jeune femme, couvert par un des maillots une pièce.
Eh bien je crois que cette fois-ci j’ai vraiment bien choisit ma proie… Ce maillot bien que simple, mettait déjà en valeur des formes genreuses. Je pris quelques instants avant de pouvoir dire quelque chose, mes yeux glissant sur ces courbes, dont il me tardait de les voir parer de l’ensemble sexy que j’avais choisis.

Il est pas mal du tout celui-ci… Dis-je d’une voix calme, et d’un regard neutre, comme un frère le ferait avec sa sœur. Voyons ce que donne l’autre…

Je referme le rideau… Mais pas totalement. Je garde une mince ouverture me permettant de voir l’intérieur de la cabine du coin de l’œil. Malheureusement pour moi, Adelheid se tourne, mais quand le maillot de bain glisse sur son corps, elle m’offre quand même une magnifique vue sur sa peau laiteuse, de son dos jusqu’à ses fesses magnifiquement proportionnées, ni trop petites, ni trop grosses. Elle se penche pour prendre le second maillot de bain une pièce, et à cet instant je n’ai qu’une envie, venir poser mes mains sur cette croupe, pour la prendre contre la paroi de la cabine. Mais pas encore, je m’écarte un peu du rideau, pour ne pas qu’elle puisse voir mon œil voyeur. Puis elle l’ouvre un peu après, dévoilant le second de maillot de bain une pièce sur son corps.

Cette fois il moule encore plus les formes de la jeune femme, sur sa poitrine notamment, on dirait une deuxième peau, on peut même discerner les tétons de la charmante Norvégienne. J’incline la tête dans une petite moue, qui est caractéristique de Théodore, puis m’adresse à ma « petite sœur ».

Je crois que j’ai dû me tromper, j’ai dû prendre une taille en dessous…

Je laisse mes yeux profiter du spectacle que m’offre Adelheid malgré elle, puis j’avance dans la cabine, sans le moindre geste suspicieux. Au contraire je joue le grand frère attentionné, et soucieux du bien être de sa sœur.

Il ne te serre pas trop ? Tu n’as pas trop mal ?

Et je profite de la gentillesse de mes paroles, pour poser mes mains sur sa taille, et je tire un peu sur son maillot avec un regard innocent. Je presse le tissu contre son entrejambe à plusieurs reprises, mais toujours avec cet air innocent qui ne peut laisser penser que je fais ça volontairement. Puis, je retire mes mains du corps de la jeune femme, et m’écarte doucement pour sortir de la cabine.

Bon je pense que celui-là on peut le laisser de côté, tu vas étouffer. Dis-je en affichant un mince sourire.

Je referme le rideau, sachant pertinemment que quand il va se rouvrir, cela risque d’être beaucoup plus intéressant… Je tourne un instant la tête et je vois homme bedonnant d’une quarantaine d’années, son regard fixé sur le rideau et le rouge aux joues. Visiblement il n’avait dû rien loupé de ce qui venait de se passer.

Adelheid Friedrich

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Re : 1, 2, 3, Summertime! [pv: Franz Nielsen]

Réponse 6 vendredi 18 juin 2010, 11:41:30

   Frig se dirigea de nouveau dans la cabine d'essayage afin d'essayer le second choix de son frère. Se défaisant du mince tissu étanche, elle eut comme qui dirait l'impression de se faire observée. La jeune femme jeta un coup d'œil furtif derrière elle. Oh, ce n'était rien, juste Théo... Ce n'était pas très grave! Une fois le second maillot de bain en place, Frig se sentait à l'étroit. Mais elle laissa son frangin en juger.

   Elle ouvrit le rideau et s'exposa ainsi au regard fraternel, qui de même, jugea l'étroitesse du maillot de bain. Sous le regard des autres clients, Adelheid se laissa faire innocemment par Théo, qui n'attendit pas de se faire prier pour constater la petitesse de l'habit. Il laissait glisser ses mains partout sur son corps, mais la jeune norvégienne n'osa pas protester, après tout, c'était son frère... Il a toujours eu d'étranges manières, mais ce n'est que son frère, rien de plus. Elle le connaissait bien, du moins elle pense bien le connaître... Les joues légèrement rosée, Adelheid lui répondit:


- En effet, il est vraiment... petit. Je sais que je ne suis pas très grande, mais quand même...

   La jeune femme ferma le rideau avec un petit rire.

   C'était maintenant le tour de l'essayage du troisième maillot de bain. Frig se sépara de second et commença par enfiler le bas du bikini. Les string, c'étaient quelque chose auquel elle n'avait pas vraiment l'habitude, ayant une préférence pour les shorty qui étaient un peu plus habillés. Mais bon, c'était un petit caprice qu'elle pouvait bien concéder à son frère... Le haut de bikini se mit rapidement en place, mais malgré l'agilité de ses doigts, Adelheid n'arrivait pas à l'attacher. Les deux mains dans le dos afin de ne pas se retrouver la poitrine à nue, elle appela Théo pour avoir un peu d'aide.


- Tu peux venir, s'il-te-plait? J'ai un petit soucis...

   Une fois que Theodor rentra dans la cabine, la demoiselle rajouta avec un sourire:

- Mais qu'avais-tu derrière la tête pour me faire essayer un truc pareil, franchement!
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Re : 1, 2, 3, Summertime! [pv: Franz Nielsen]

Réponse 7 vendredi 18 juin 2010, 13:02:55

Quand j’entends ma « petite sœur » m’appeler à l’aide, je ne me fais pas prier pour pousser un bref instant le rideau et entrer dans la cabine. Elle vient d’enfiler le dernier ensemble, et je dois dire que le spectacle qu’elle m’offre est des plus excitants. Et en plus d’avoir la vue de dos, elle est face au miroir de la cabine, et m’offre la vue de face. Mais comme le « grand frère attentionné », que je suis, je la regarde dans les yeux via la glace et m’approche un peu plus d’elle.
Elle me demande ce que j’avais derrière la tête pour lui faire essayer quelque chose comme ça, et cette fois je laisse le visage normalement fermé de Théodor, afficher un sourire pervers. C’est temps de transformer le frère protecteur en monstre… Je profite du fait qu’Adelheid ait les mains prises avec le haut de son bikini, pour prendre possession de sa croupe avec mes mains. Si elle veut repousser mes gestes, c’est la vue de sa poitrine qu’elle m’offrirait. Je masse ses petites fesses nues et parfaitement rebondies, alors que je viens mordiller le haut de son oreille avant de murmurer chaudement :

Je sais que tu aimes m’allumer petite sœur… Je sais ce que tu veux…


Je porte ma main droite jusqu’à son ventre, la pressant contre son corps, puis-je la fais descendre doucement. Mes doigts atteignent son entrejambe et viennent caresser une première fois son intimité à travers le tissu, avant de s’engouffrer sous le string, pour commencer à explorer le sexe de la Norvégienne. Deux doigts appuie sur les côtés de sa vulve dans un vas et viens doux, alors que deux autres effleurent l’intérieur en attendant le moment propice pour y entrer. Mon pouce reste plus haut, et vient s’appuyer délicatement au niveau du clitoris d’Adelheid, puis d’un petit mouvement circulaire, il stimule cette zone si sensible de l’anatomie féminine.
Avec toutes les femmes que j’ai eu l’occasion d’avoir comme victime, je commence à avoir beaucoup d’expérience dans le plaisir féminin, même si cela est différent suivant les femmes, je reste à l’écoute des premiers gémissements de ma « petite sœur », pour déterminer les caresses les plus efficaces sur son corps. Je pince entre mes lèvres le lobe de son oreille, puis murmure à nouveau d'une voix suave :

Ca t’excite de rendre fou de désir ton grand frère pas vrai ?... Surtout ne gémit pas trop fort… Tu ne voudrais pas nous attirer des ennuis ?...


Cruel dilemme pour la jeune femme… Se débattre, crier, et risquer de condamner son frère à la prison, ou se laisser abuser par cet homme en qui elle a normalement toute confiance. Le genre de situation qui m'exalte intérieurement.

Adelheid Friedrich

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Re : 1, 2, 3, Summertime! [pv: Franz Nielsen]

Réponse 8 vendredi 18 juin 2010, 14:07:45

    À la vue de ce sourire inhabituel chez Theodor, Frig défaillit. Il n'était pas dans son état normal, c'était évident. Quelque chose clochait grave chez lui et la situation qui s'offrait à eux la déplaisait vraiment. Il s'empara de ses fesses de ses grandes mains au toucher insistant et c'est à cet instant que la jeune femme se demanda qu'est-ce qu'elle devait faire. Était-ce une mauvaise plaisanterie? Ou était-ce du aux effets secondaires de drogues addictives? Elle n'en savait pas grand chose. Il était différent de d'habitude et cela l'effrayait.

   Au son de ses chaudes paroles, un frisson de peur parcouru le corps de la jeune norvégienne. Plus cette main inconnue descendait sur son bas-ventre, plus elle se sentait mal, sur le plan psychique. Frig ne devait pas le laisser faire, car même si Théo n'était pas repoussant, loin de là, c'était quand même son frère. Son cher et tendre frère...

   Les doigts de la copie conforme du fraternel s'infiltrèrent au niveau de son intimité et de manière judicieuse vinrent jouer avec son anatomie à des points sensibles. Frig voulait lui dire d'arrêter, que ce n'était pas raisonnable, ici, et avec elle, mais les mots lui restaient en travers de la gorge. Hélas pour elle son corps appréciait ce supplice qui ne faisait que commencer. Son sexe s'humidifiait avec les tendres va-et-viens de Théo qui continuait à s'occuper de sa petite sœur. Son bas-ventre commençait à se chauffer et un liquide chaud s'échappait d'elle, humidifiant par la même occasion les doigts fraternels chargés de lui donner du plaisir.


- N-nei... du tar feil, stoppe det! Behage...

   Les paroles salaces du frangin lui donnèrent presque envie de pleurer. Elle ne voulait pas que cela se passe dans ses conditions, il était presque en train d'abuser d'elle. Non, il commençait tout juste d'abuser d'elle. Les larmes aux yeux, elle tentait bien que mal d'avaler ses gémissements dont elle avait honte mais dont elle ne pouvait rien faire contre.

- Arrête, ce... ce n'est pas... ce n'est pas bien...

   Arriva-t-elle enfin à dire entre deux soupirs, la respiration saccadée. D'une main Frig retint le haut de son maillot de bain et posa sa main droite sur le torse de son frère et tenta de le repousser. Mais la constitution et la force du grand blond était contre elle, d'une seule main elle n'y arriverait pas. Tant pis, elle lâcha le haut du maillot de bain et elle tenta tant bien que mal de séparer son frère d'elle, les deux mains sur sur torse. Malheureusement pour elle, il est trop grand et trop fort pour elle. Mais si elle essayait en vain d'appeler de l'aide, elle se trouverait dans une situation vraiment embarrassante pour elle et pour son frère, qui violait toujours ses chairs de ses doigts.
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Re : 1, 2, 3, Summertime! [pv: Franz Nielsen]

Réponse 9 vendredi 18 juin 2010, 20:03:07

Soupires ponctués par des gémissements, des frissons parcourant sa peau, j’ai beau avoir l’apparence de son frère, son corps reste un corps. Mes doigts s’enduisent peu à peu de la cyprine s’écoulant de son intimité, j’entreprends donc d’accentuer mes caresses, mes deux doigts libres pénètrent avec douceur son sexe, et commence des petits allers et venus, à chaque fois un plus profonds, jusqu’à ce que, de l’extrémité des mes doigts, je stimule sa paroi interne.
Quoi qu’il arrive, à partir de maintenant, elle ne verra plus jamais son frère de la même manière, le pur amour fraternel qui les lie, est entrain d’être entaché. Je ne prête aucune attention à ses remarques, et de mon autre main, je viens tirer un peu sur son string d’une manière très érotique. Elle a relâché le haut qu’elle tenait pour venir essayer de me repousser en vain avec ses bras frêles. Je peux maintenant me délecter de la vision de sa superbe poitrine, mais je ne compte pas m’arrêter à ça.

Ca fait des années que je rêve de faire ça…


Je retire doucement mes mains de son corps, laissant l’intimité d’Adelheid trempée. Je vois une leur d’espoir dans ses yeux, ce qui me fait sourire. Elle pensait vraiment que j’allais m’arrêter là ? Elle peut entendre le –zip- de ma braguette, ce qui fait tout de suite partir cette lueur. Je baisse les barrières de tissu couvrant mon membre, et je dois dire que ce Theodor est plutôt bien proportionné de ce côté-là. En tout cas, pour avoir eu un aperçu, avec mes doigts, du sexe de la jeune norvégienne, je dois dire que celui de son grand frère était parfait pour le sien : Assez grand pour emplir comme il se doit son intimité, mais pas assez pour lui faire mal. Et ce n’est pas plus mal, je ne cherche pas forcément à violenter mes victimes, ce qui m’importe c’est de briser la pureté de l’amour qu’elle porte pour l’un de leur proche.

J’approche ma verge chaude et dressée contre ses fesses, et je la passe doucement sur cette croupe, venant jouer avec l’élastique de son string. J’enlace Adelheid de mes bras finement musclé, d’une part pour continuer de la maitriser, et d’autre part pour venir refermer mes mains sur sa poitrine. J’empoigne d’une manière possessive ses seins, mes pouces venant appuyer contre ses tétons, et je me mets à jouer avec ces globes de chaires doux et fermes. Et alors que je veux faire descendre mon membre le long de ses fesses, je sens ses cuisses se refermer, alors qu’elle me supplie d’arrêter. Je lui souris via le miroir, et fait coulissé ma verge brulante de désir, dans l’espace triangulaire, laissée entre ses cuisses. Ainsi, mon sexe est pris en étau, à la fois par les jambes, et l’intimité humide de la jeune femme. Je commence de lents allers et venus dans cet orifice temporaire, le haut de ma verge frottant contre son sexe, et le reste caressant le haut de ses cuisses.
Je sens sa résistance faiblir, et ses jambes s’écarter un peu plus sous les traitements infligés par mes mains sur sa poitrine, et par mon sexe sur le sien. Je viens embrasser sa nuque langoureusement, puis après avoir initié un début du suçon, je remonte mes lèvres pour souffler quelques mots à son oreille.

Tu vois… Tu en as autant envie que moi…

Je resserre l’étreinte de mes mains sur sa poitrine, puis après avoir fait jouer mon gland contre l’ouverture de son sexe, je la pénètre lentement mais avec force. Je soupire de plaisir au fur et à mesure que je sens mon membre être comprimé par l’intimité étroite d’Adelheid, jusqu’à ce qu’il le soit entièrement, et que je commence un mouvement de bassin endiablé.

Adelheid Friedrich

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Re : 1, 2, 3, Summertime! [pv: Franz Nielsen]

Réponse 10 vendredi 18 juin 2010, 23:48:42

   Toute résistance est inutile.

   Deux doigts s'insinuèrent en elle, intensifiant l'excitation de la jeune femme ainsi que le dégoût qu'elle éprouvait pour cette scène au caractère inceste. Même si cela procurait du plaisir à son corps, Frig n'en éprouvait pas vraiment, mentalement. Des larmes coulaient sur son visage aux joues pourpres de gêne face à cette impuissance. Elle put croiser le regard lubrique de son frère qui devait se réjouir du fait que sa sœur lui offre une agréable vue sur sa poitrine contre son gré. Jamais elle ne pourrait être plus humiliée, et rien que le fait de prendre du plaisir aux doigtés de Theodor en elle était vraiment très humiliant.

   Haletant toujours plus, la machination s'arrêta. Adelheid poussa un soupir de soulage mêlé à un soupir d'excitation. Elle était bien trop naïve: cela ne faisait que commencer.

   La jeune norvégienne se retrouva face au miroir froid, miroir duquel elle pouvait observer la scène. Emprisonnée dans une étreinte fraternelle, elle sentit le sexe de son frère contre ses fesses, à la merci de celui-ci.


- S'il-te-plait... non...

   Murmura-t-elle en vain.

- Je t'en prie...!

   Afin d'empêcher Théo de la pénétrer, elle serra les cuisses comme elle put, tandis que celui-ci attaquait ses seins de manière captative. Sous de tels attouchements, ses tétons ne pouvaient que se dresser sous l'effet de l'excitation. Ce traitement était agréablement indécent, laissant échapper quelques doux soupirs langoureux de la bouche de la norvégienne qui vinrent embuer la glace. Frig n'en pouvait plus, l'excitation était à son comble et son corps voulait qu'il la prenne là, et maintenant, bien que ce ne soit pas le lieu approprié.

   La cyprine continuait de couler de son sexe, l'humidifiant encore plus. Face aux caresses du de la verge de son partenaire sur son intimité, ses cuisses cédèrent à cette approche et s'écartèrent peu à peu, laissant la voie libre à Theodor. Adelheid se crispa au contact de celui-ci sur son cou, endroit sensible chez elle. Mais elle devait se détendre, afin de ne pas rendre la future pénétration douloureuse.

   Toujours enfermée dans cet étau, la verge gonflée de désir de Theodor violait ses parois vaginales tout en poussant un soupir de plaisir. Une fois que sa verge commença un mouvement de va-et-vient, la jeune femme ne put retenir un gémissement un peu plus fort que les précédents. Elle se cambra sous ses assauts infernaux, ravalant ses sanglots de honte et ses gémissements de plaisirs, de peur de gâter l'égo du soi-disant frangin. Malgré son corps qui cherchait toujours à recevoir plus de plaisir, Frig continua de se débattre de l'emprise de son frère sur elle. Elle se retrouvait à jamais profondément humiliée par cette scène. Le choc de son bassin contre le sien, le mouvement de sa poitrine à chaque choc, leurs soupirs langoureux... Frig vivait la scène au ralenti, comme un doux cauchemar. Les mouvements se firent de plus en plus infernaux et cela semblait ne plus en finir.


- P-pourquoi... p-pourquoi fais-tu ça...?

   Fini-t-elle par dire, la voix tremblante.
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Franz Nielsen

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Re : 1, 2, 3, Summertime! [pv: Franz Nielsen]

Réponse 11 samedi 19 juin 2010, 17:28:07

J’augmente progressivement la cadence des mes mouvements, lançant de véritable coups de reins, contre le bassin d’Adelheid. Ma verge dure et chaude frotte à merveille contre ses parois, avant que mon gland ne vienne frapper au fond de son sexe. Je descends ma main droite le long de son ventre, et tout en continuant de prendre ma « petite sœur » contre le mur, je commence à caresser son clitoris du bout des doigts.

Pour.. MH !... quoi je fais ça ?! Ca fait des années que je te protège ! J’ai bien droit de prendre un peu de plaisir nan ?! MHM ! C’est la moindre de choses !


Les minutes défilèrent sous cette cadence, mes muscles se crispent de plus en plus, mes derniers mouvements de bassin sont un peu plus lents, mais beaucoup plus fort que les précédents. Puis je viens plaquer le plus profondément possible mon sexe dans le sien, ma main gauche resserre son étreinte sur le sein d’Adelheid, et ma droite appuie un peu plus de ses doigts contre son clitoris. Je sens son vagin se contracter contre ma verge brulante, alors que je libère de longs jets de sperme, un râle de plaisir s’extirpe de ma gorge à chacun d’eux. N’étant pas humain, la quantité de semence que je libère à chaque éjaculation est beaucoup plus importante qu’un homme normal, d’ailleurs la composition du sperme est aussi différente, ce qui lui donne un goût beaucoup plus doux que peux être l’amertume de ceux des humains.
Mes muscles se détendent doucement, et je relâche la pression de mes mains sur le corps de la jeune norvégienne. Elle s’écroule au sol, ma semence débordant de son intimité, alors que je reprends doucement mon souffle.
Je laisse mon visage reprendre un air doux, innocent, puis je pose ma main sur la joue d’Adelheid, pour amener son regard à croiser le mien. Si mon air est innocent, ce que je vais l’inviter à faire l’est beaucoup moins. S’il elle put croire un instant avoir retrouvé son frère après l’avoir fait jouir, elle allait être déçue. J’amène son visage doucement au niveau de ma verge encore à moitié dressée, et couverte de nos semences.

Si tu me nettoyais avec tes belles lèvres petite sœur ? Et je te promet que tout ça ne se reproduira plus, on en parlera même plus…

C’était une promesse très simple à tenir, vu que son vrai frère n’aura aucune idée de ce qui s’est passé aujourd’hui. Et même si après ça, elle se décide finalement à appeler à l’aide, il me sera très simple de changer de forme et de m’éclipser comme si de rien était. Mais j’espère qu’elle n’en fera rien, après tout elle à l’air d’avoir prit du plaisir à être prise ainsi par son grand frère. Peut être que je pourrais encore m’amuser un peu avec elle à l’avenir...

Adelheid Friedrich

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Re : 1, 2, 3, Summertime! [pv: Franz Nielsen]

Réponse 12 dimanche 20 juin 2010, 13:16:04

   Toujours aussi lentement, les minutes passèrent et Frig ne pouvait presque plus tenir sous le rythme infernal des assauts de son frère. Cependant, elle éprouvait du plaisir à ces violents va-et-viens en elle et la seule torture qu'elle subissait était purement mentale. Elle ferma les yeux, et oublia quelques temps qui était son partenaire. Elle se forçait d'oublier cet « insignifiant détail » bien que cela soit difficile, en soi. Mais cela la réconfortait un peu, d'oublier que cette personne qui était en train de lui faire arracher des gémissements indécents dans une cabine d'essayage était... son frère.

   L'excitation étant à son apogée, Adelheid sentit ses muscles se contracter et une vague de chaleur l'envahir, lui arrachant un dernier cri de plaisir indiscret, tandis que des flots de semence inondait son sexe. Sonnée par ce violent orgasme, la jeune femme se laissa tomber, encore tremblante. Une main s'empara de son visage, et elle put apercevoir le regard tendre de Théo. Frig eut un mince sourire, qui s'éclipsa bien vite. Était-ce déjà fini? Bien sûr que non...

   Face-à-face avec le sexe couvert de fluides de son partenaire, Frig crut d'abord que c'était une mauvaise plaisanterie. Mais hélas pour elle, cela n'en était pas une. Si elle refusait, Theodor la forcerait, de toute façon... Elle n'avait rien à perdre.

   La demoiselle saisit la verge encore droite de son frère et après quelques mouvements le long de son sexe qui humidifièrent ses doigts, elle le porta à sa petite bouche. Tout en continuant ses mouvements, elle porta sa langue sur le gland qu'elle nettoya d'un coup de langue avant de se retirer quelques secondes.  La verge toujours en main, elle la lécha tendrement du haut vers le bas à plusieurs reprises, suivant sa veine de son piercing lingual, afin de le faire languir un peu. Après tout ce qu'il venait de lui faire subir, elle avait bien le droit, non? L'embrassant à sa base, elle reproduit le même chemin une dernière fois avec ses lèvres jusqu'au gland qu'elle commença à le faire pénétrer buccalement. La jeune norvégienne prenait son temps. Elle usa de son bout de métal sur sa langue pour commencer à « nettoyer » le sexe de son partenaire. Sentant dans ses doigts sa verge durcir, elle continua la pénétration buccale dans l'étroitesse de sa bouche, imbibant ainsi de salive le pénis de son partenaire. Frig commença un lent mouvement d'allé et venu avec sa bouche ainsi qu'avec sa main droite, l'autre se cramponnant à la hanche de son frère. Le piercing procurait quelque chose de plus à cette fellation et Adelheid le savait. Usant de sa langue elle intensifia quelque peu les mouvements, essayant de mettre le sexe de Theodor le plus profond qu'elle pouvait dans son étroite cavité buccale.
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Franz Nielsen

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Re : 1, 2, 3, Summertime! [pv: Franz Nielsen]

Réponse 13 dimanche 20 juin 2010, 14:39:47

Incroyable… C’est le seul mot qui me vient à l’esprit, lorsqu’Adelheid saisit ma verge, et entame une fellation experte. Sous la surprise je ne peux réprimer quelques gémissements, sa langue passe avec dextérité sur toute la longueur de mon membre, et le métal froid qui contraste avec la chaleur de sa bouche vient caresser admirablement ma peau tendue. Elle prend son temps, stimulant d’abord la moindre parcelle de mon sexe, avant de le prendre lentement entre ses lèvres, et d’initier un mouvement de vas et viens intense.

Elle me cramponne la hanche pour mieux maitriser mes mouvements, et moi-même je suis obligé de prendre appui aux parois de la cabine, je dois avouer être en ce moment, totalement sous le contrôle de cette jeune norvégienne. Et en plus de ce retournement de situation, je cherche à comprendre, comment peut elle être aussi douce, aussi tendre après ce que je viens de lui faire subir ? Je sens encore l’amour qu’elle porte à son frère, alors que je voulais briser ce lien…

Je l’ai fait souffrir… Comme moi j’ai souffert durant toute ma jeunesse… Pourquoi n’est elle pas en colère, pourquoi ne veut elle pas se venger, comme moi je le fais depuis toutes ces années ?... Je ferai fausse route ?... La vengeance ne serait-elle pas le seul moyen de faire payer la haine dont j’ai été la victime… Et si l’amour qui lie Adelheid à son frère est assez fort et beau pour surmonter une épreuve comme celle-ci, dois-je vraiment chercher à le briser ?... Ou à plutôt à le défendre… Depuis des années je cherche à faire souffrir ces humains, parce que je pensais que rien de bon ne ressortais de ces êtres. Leur amour, soit disant éternel, la plus belle chose dont ils disposent, j’ai jusque là, réussit à le briser à chaque fois. Je suis troublé… Complètement troublé par cette jeune femme, qui chamboule à la fois mon esprit et tout mon être sous ses divines caresses buccales.

Et là pour la première fois, je ne vais pas agir dans le but de casser le sentiment qui à permit à ma « petite sœur » de surmonter cette épreuve. Je dois m’avouer vaincu dans cette bataille. Je pose délicatement ma main sur la joue d’Adelheid, et la fait doucement stoppé le vas et vient de ses lèvres, avant qu’elle ne me fasse défaillir. Je la regarde avec tendresse cette fois ci, loin de la lueur perverse qui animait mon regard jusqu’à lors. Je prends le temps de reprendre mon souffle, alors que ma verge maintenant totalement dure, tressaute par moment, encore toute sensible du traitement que lui a infligé la Norvégienne.

Frig…

Je souffle son surnom, et je me penche pour venir prendre appui de mes mains sur sa taille, et je la remonte contre moi. Mes lèvres viennent se poser contre les siennes, pour les emmener dans plusieurs baisers langoureux, l'extrémité de ma langue venant caresser la sienne, jouant avec la froideur de son piercing. Je descends doucement ma main droite sur son entrejambe, pour m’assurer que l’intimité d’Adelheid est encore prête à me recevoir, mes doigts venant réveiller délicatement les zones érogènes légèrement assoupis de la jeune femme. Après m’en être assuré, mes mains possessives descendent prendre appuis sur les fesses de ma « petite sœur », et je la soulève contre moi, l’invitant à enserrer ma taille avec ses jambes. De mes lèvres s’échappe un souffle chaud qui caresse l’épiderme laiteux de la scandinave, alors que je les fais descendre le long de son cou, ponctuant mon voyage d’un pincement sur sa peau, auquel vient se joindre ma langue, dans un début de suçon. Et puis lentement, je fais descendre son corps, jusqu’à ce que  son sexe vienne se poser sur la chaleur de mon gland, et englobe peu à peu la totalité de ma verge. Un gémissement vient mettre fin à mon suçon, je viens chercher à nouveau ses lèvres, cette fois je peux plonger mon regard dans le sien, alors que mon bassin commence à s’animer pour faire aller et venir mon membre entre les parois étroites de son sexe humide.
Mes gestes sont beaucoup plus doux, beaucoup plus tendres, je crois que cette jeune femme m’a touchée…

Adelheid Friedrich

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Re : 1, 2, 3, Summertime! [pv: Franz Nielsen]

Réponse 14 lundi 21 juin 2010, 14:40:50

   S'il y a quelque chose typiquement humain que Frig n'a jamais compris dans sa vie, c'est la haine. Comment peut-on haïr quelqu'un? Certes, on ne peut pas forcément tout apprécier dans une vie humaine, mais haïr... C'était un véritable mystère pour elle. Bien sûr, elle s'était posée la question à maintes reprises, et elle avait même essayé de se forcer à haïr. Mais cela n'a point marché. Elle ne comprenait pas, et elle s'est dit que jamais elle ne comprendrait. Cependant jamais elle n'a connut la haine envers elle, personne ne l'a haït, et ça elle arrivait à comprendre, car personne ne la connaissait. C'est peut-être ça qui influence sur ses sentiments actuels. Mais pourtant, on vient de prouver le contraire. Son « frère » vient d'abuser d'elle, et pourtant, elle ne peut pas le détester pour ça. Si c'était un inconnu, elle aurait eu peur, mais elle ne l'aurait pas haït pour ça. Mais quand même, c'était son frère, elle aurait du lui en vouloir! Mais non. C'est au delà de ses forces. Même après ça, elle ne voulait pas le perdre, car elle n'avait que lui au monde. S'il n'était plus là, elle n'aurait plus personne à qui s'accrocher. Bien sûr elle n'était pas obligée d'agir ainsi, mais si elle faisait ce que son frère désirait, il serait content, et peut-être qu'il serait moins violent. C'est tout bête, en fait...

   La main de Théo vint se poser sur la joue de Frig et lui fit arrêter ses caresses buccales. Ce regard qu'il lui lança... Allait-il recommencer à la violenter? Avait-elle encore fait quelque chose de mal pour subir un autre traitement aussi rabaissant soit-il? Non. Pour la première fois depuis ces tortures, non. Pourtant, elle n'avait pas d'espoir quant aux événements qui pouvaient se produire. Il l'aida à se relever avant de l'embrasser passionnément à plusieurs reprises, leur langues s'entremellant dans un mouvement langoureux tandis que Theodor vint descendre sa main vers l'intimité de sa sœur afin de la réchauffer un peu. Il la souleva de manière à ce que Frig puisse s'accrocher à lui grâce à ses jambes. Sentant le contact de ses lèvres sur son cou, elle eut un frisson de surprise et d'excitation. Elle ne s'attendait pas à ce qu'il se montre tendre avec elle, après tout ce qui c'était passé.

   Il commença à la pénétrer en toute douceur contrairement à la dernière fois tout en ramenant ses lèvres sur les siennes. Sentant les premiers mouvements du sexe de son partenaire en elle, Adelheid ne put retenir un soupir étouffé par les baisers de son frère. Elle était encore à sa merci, mais pas de la même manière, elle pouvait le lire dans ses yeux. Leurs yeux, noirs comme l'encre, étaient presque insondables, et il était impossible de deviner ce que l'autre ressentait. Tout résidait dans l'amour qu'ils mettaient dans leurs baisers. Les mains sur la nuque de son partenaire, Adelheid ne voulait pour rien au monde qu'il arrête de l'embrasser.

   Les coups de bassins continuaient et arrachaient quelques gémissements significatifs de la bouche de la norvégienne. Elle pouvait sentir la verge dure de son frère qu'elle avait précédemment « nettoyé » de leur précédent ébat contre ses parois, qui, par cette tendresse, donnèrent plus de plaisir à la jeune femme qui mouillait toujours plus. Comme quoi l'amour, ça change tout.
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