La servante d'Ashnard et son ennemi

Quand Bleiz repris conscience il vis qu'il était dos au sol et que Denna se tenais au dessus de lui, le menaçant de son propre couteaux à la gorge

Il analysa la situation à la vitesse de l'éclair. Il était clairement sur la corde raide. Un simple mouvement et sa gorge était à vif et il ne lui faudrait pas longtemps pour ce vider totalement de son sang. Ce n'était pas la 1ere fois que Bleiz se retrouvais dans une situation apparemment sans issue. Et il la prit comme il le faisait à chaque fois. Avec humour

Et bien ma chère voilà une illustration parfaite de l'expression "retournement de situation"

Il devait avouer que même avec un couteau sous la gorge, avoir un tel corps au dessus de lui empéchais son érection de partir.

Je voudrais tout d'abord m'excuser. Pas de ce que nous venons de faire bien sur mais je m'excuse d'avoir une fraction de seconde oublié que vous étiez capable de tout. J'espère que votre fierté n'en souffre pas ?

Il repris un regard malicieux et continua

Si c'est le cas, dites vous que de mon coté, ma fierté en a aussi prit un coup de ne pas avoir été capable de donner suffisamment de plaisir à une femme pour qu'elle en oublis de s'échapper. Je vous assure que je peux mieux faire

   Denna avait opté pour un air neutre. Il n'y avait aucune trace de triomphe ou de colère sur son visage. A califourchon sur Bleiz, elle affermit un peu plus sa prise sur le couteau et le pressa contre sa gorge. Puis, une fois que la situation était totalement sous contrôle, elle se pencha sur le visage de son amant et s'arrêta à une distance où leurs nez se frôlaient.

   -Ma fierté? Demanda-t-elle dans un murmure. Une femme comme moi ne s'embarrasse pas de telles choses, Bleiz. Vous vous demandez peut-être pourquoi vous êtes toujours en vie? Hé bien, voyez ça comme un caprice.

   Sur ces mots, elle retira délicatement la lame de son cou et avec des gestes lents, la posa juste à côté d'eux. Ses yeux noisettes ne transmettaient toujours aucun sentiment. Une main sur le torse de l'homme, l'autre partit en quête de l'objet de son plaisir. Lorsqu'elle l'eut trouvée, elle le guida en elle et poussa un petit soupir de contentement. Denna s'affala ensuite sur le corps musclé et commença à faire onduler son bassin.

Non seulement Denna ne l'avait pas tué, mais elle reprenait les choses en main. Elle était au dessus de lui, l'utilisant pour son plaisir. Ce qui ne déplut pas du tout à Bleiz.

Eh bien! Voilà un caprice qui n'est pas pour me déplaire. Dois-je en conclure, sans vouloir être présomptueux, que vous appréciez ce que je vous ai fait ?

Sans attendre la réponse il accompagna ses ondulation du bassin avec le sien, afin d'intensifier la pénétration et son plaisir. Sa main droite s'approcha de sa hanche et lui caressa les fesses tandis que sa main gauche remonta le long de son corps afin de lui caresser la joue d'un geste tendre.

   -La ferme, siffla-t-elle en posant sa main gantée de cuir rouge sur la bouche de son amant.
   
   L'homme pouvait sans doute sentir le goût cuivré du sang sur l'uniforme de la Mord-Sith. Ce goût restait en permanence, malgré le fait que Denna le nettoyait régulièrement. Douce ironie qui prouve qu'il y certaine chose qu'on ne peut laver, ni oublier.
   Denna redouble d'effort dans ses lentes oscillations du bassin. Le plaisir qui l'avait assaillit comme une brève décharge, un peu plutôt, revenait lentement, sans s'annoncer. Il s'immisçait dans le corps de la jeune fille sous la forme d'une fièvre délirante qui lui fit vite oublier les efforts qu'elle faisait pour paraitre douce.

   Lorsque la grande blonde retira sa main de sa bouche, ce fut pour assaillir ses lèvres de baisers mordants. En effet, dans la furie de son plaisir, elle ne se privait pas du plaisir de faire un peu mal à son petit chien... Oh? Petit chien? Sans doute un lapsus regrettable.

Quand elle lui couvrit la bouche de sa main, Bleiz eus le gout désagréable du sang qui lui vint. Il l'oublia très vite en sentant la délicieuse sensation de son bassin. Elle savait diriger et Bleiz ne doutait pas un seul instant que la plupart du temps c'était elle qui prenait les commandes. Il allait lui laisser le contrôle un bref instant.

Quand elle retira sa main ce fut pour l'embrasser avec violence en mordant ses lèvres ce qui ne manquait pas d'exciter Bleiz. la main de Bleiz qui était sur le visage de la belle passa derrière sa tête et la colla contre lui pour que ce soit lui qui l'embrasse. Son autre main passa sur ses fesses et les caressa avec douceur tandis que son bassin continuais à onduler.

La main passa ensuite devant et il recommença à caresser le clitoris de la belle pour décupler son plaisir.