Faire les poubelles c'est dangereux. [Lust & Darllyne]

Darlyne se leva se matin sous un pont adjacent au lycée de Seikusu, c'était d'ailleurs la sonnerie des débuts de cours qui servit de réveil-matin. Aussi elle prit ses  maigres affaires et partit à la recherche de son repas du midi, en effet Darlyne ne mangeait jamais le matin, car la plupart des sans domicile comme elle sont plus actif le matin que le soir.

C'est un autre mode de vie qui se défend.

La demoiselle se faufile aisément dans la foule qui la fuyait par l'odeur des loques qu'elle portait, une robe avec plein de trous et des bandages pour masquer autant que possible son intimité et sa poitrine. Même s'il n'y avait pas grand chose à cacher pour cette dernière qui était petite.

Elle finit par truover le chemin d'une grotte qui est un vrai labyrinthe, sauf pour l'humaine qui connaissait le chemin par coeur, débouchant sur une nappe phréatique où elle trouva un savon et du shampoing, les deux ayant été volés.

Elle prit son temps pour laver son corps et ses affaires, puis une fois ceci sec, elle se dirige vers le centre commerciale. Mais le garde surveillant les lieux n'accepta pas que Darlyne passe, craignant qu'elle ne vol, chose qu'elle allait faire pour manger.

Elle resta devant le cente commerciale et attendit la fermeture, elle avait fait du coup une diette pendant la journée et son ventre grogna, torturant la demoiselle pour avoir quelque chose dans l'estomac, peut importait quoi, même quelque chose d'indigeste ou qui n'a pas pour but d'être mangé.

Aussi la demoiselle monta sur une gouttière, sa blessant la plante des pied sur les raccords métallique qui coupait la peau sous le poids du  corps, une fois sur le toit le plus bas, elle arracha un câble électrique, non sans devoir finir les raccord en utilisant ses dents, laissant un horrible goût de gaine et de cuivres, sans compter les châtaignes qu'elle se prenait de temps à autre.

Une fois cela fait, elle accrocha un bout et fit pendre le reste à travers un velux ouvert, elle descendit, mais se trouva à bien deux mètre du vide, aussi elle lâcha prise, se réceptionna et une horrible douleur parcouru sa jambe gauche, du fait de sa faible alimentation son corps s'en trouvait faible, hors Darlyne avait jouée avec le feu et maintenant elle c'était brulée.

Elle marcha donc, en boitant, vers les poubelles, cherchant quelque chose à manger, elle fit ceux du supermarché, mais elle vit que les produits étaient imbibé de javel, encore une chose qu'elle déteste, pourquoi empoisonner une nourriture qui n'avait pas été vendue et qui serait mieux dans le ventre d'une personne, plutôt que détruit par un produit chimique. Elle changea donc d'endroit, allant vers les traiteurs, là il n'y avait rien, Darlyne vit ensuite un poubelle qui était assez bien remplit de nourriture vers le fond, aussi elle mit la mains à la pâte pour retirer ce qui ne rentrerait pas dans sa bouche ou serais trop dangereux à manger, bien sur n'importe qu'elle nourriture n'entrait dans aucun de ses critère, c'était de la nourriture cela peu importait sa date de consommation.

Elle finit par avoir ce qu'elle cherchait et fit un inventaire rapide pour savoir si cela risquait d'attirer d'autre rapace ou non. Elle trouva donc une bouteille d'eau encore pleine, un sandwich crudité avec un peu de moisissure et d'insecte, une pomme complètement pourrie.  Pour la plupart des gens manger cela serait répugnant, voir même impossible, pour Darlyne il s'agissait avant tout de survivre. Elle prit la nourriture et s'installa près d'un banc, puis elle se mit à fractionner sa part en huit, quatre qui servirait de paiement pour être tranquille, deux pour demain, un pour le cas où les autres journées soient mauvaises et la part d'aujourd'hui.

La vision du temple de Lust en ruine, souillé par d'hideuses créatures et envahit par la végétation avait alarmé la déesse sur l'état de son culte. Il lui fallait des fidèles, de quoi repartir du bon pied et avec un pouvoir aussi grand que le sien donner envie aux gens de la rejoindre serait un jeu d'enfant.

Elle avait repérée une jeune fille qui était si misérable que la cruelle déesse s'était presque fendu les côtes en riant de son sort. La pauvre s'était faite recalée à l'entrée d'un supermarché, puis elle s'était blessée en allant faire ses poubelles. Cette pauvre chose sera un bon début se dit alors la déesse, comme elle aimait à le dire la tristesse est un excellent moteur pour faire avancer les gens dans notre sens. Et cette pauvre créature était l'incarnation même de la plus profonde des détresses.

C'était décidé, elle en ferait une de ses adeptes, son petit chien-chien dévoué corps et âme. Lust prit alors l'apparence d'une copie conforme de Darlyne, a une différence près, cette Darlyne était bien portante, bien habillée et souriante. Habillée d'une jolie robe d'été blanche.

Soudainement, les misérables portions de survie de la jeune fille avaient disparues et juste devant elle venait d'apparaitre un épais morceau d'une viande appétissante, nappée de sauce dans une belle assiette et le tout enfermé dans une cage dont les barreaux étaient trop fins pour qu'on y passe la main.

Soudain la déesse fit son apparition derrière la cage, comme le reflet fantasmé de la petite mendiante. Elle souriait étrangement, le genre de sourire que l'on fait lorsque l'on attend quelque chose de quelqu'un. Elle s'approcha de la petite clocharde et tout en la toisant de son regard le plus mauvais elle lui tint à peut près ce discours :

"Tu la veut n'est ce pas? Tu veux cette assiette, tu veux cette apparence que j'ai prise, mais tu sais que tu n'auras jamais ni l'un, ni l'autre. Bonne nouvelle pour toi, je suis disposée à te les offrir, mais tu dois savoir que tout a un prix."

Lust s'avança alors pour prendre le visage de la jeune fille dans ses mains, puis l'enlacer tendrement en lui murmurant à l'oreille :

"Je te donnerais tout ce que tu désire, absolument tout, mais en obtenant ma protection tu perdras ta liberté. Je veux que tu devienne ma fidèle servante, dévouée corps et âme à ma personne. A cette unique condition j'exhausserais tout tes désirs, même les plus inavouables et je sais que tu es le genre de personne à désirer beaucoup de choses."

Satisfaite de sa petite mise en scène, Lust se recula de quelques pas, affichant un sourire bienveillant à la jeune fille. Elle sentait que cette rencontre allait vite devenir intéressante pour elle comme pour sa future esclave. Elle conclu alors par cette question :

"Alors que préfère tu? Retourner fouiner dans ta poubelle ou entrer dans ma cage? Prend bien le temps de réfléchir, je ne suis pas pressée mais je ne te donnerais qu'une seule et unique chance. Elle ne se reproduira jamais dans ta misérable existence donc soit sure d'être prête à donner de ta personne pour améliorer ta condition."

La pauvre Darlyne ne pouvais rien y faire, qu'est-ce qu'une simple humaine face à une déesse qui maîtrise de la magie ... rien, rien de plus qu'une fourmis qui s'aventure par mégarde sur le territoire des humains.

Elle vit sa maigre nourriture si durement chercher disparaitre, même la bouteille d'eau vint à ne plus exister, la laissant de nouveau sans rien, le ventre tiraillant davantage le corps de la demoiselle pour avoir quelque chose, n'importe quoi dans le ventre, même des clous de fer ou que sais-je d'autre.

Elle vit son double et ne bougea plus, se posant dans sa tête la question suivante :

* Suis-je de nouveau folle ?*

Mais le fait de pouvoir raisonner  de manière concrète détruisait en lui même cette question. Elle eut presque un haut le coeur en voyant une nourriture riche dans une cage, elle se mit à détourner les yeux pour ne pas se torturer davantage.

La pauvre humaine se demanda quand on allait la laisser tranquille, elle n'a fait aucun mal hormis celui d'observer le monde l'entourant et répondre à certaine question. Elle trembla quand Lust prit son visage et l'enlaça, elle avait entendue la demande de la demoiselle et c'était en partie cela qui avait engendrée les tremblements de la petite.

- Vous ...

Et oui Darlyne vouvoie toujours quand elle parle, même si c'est rare.

- Soit la liberté et mourir, soit la servitude et la vie.

Darlyne détourna l'espace d'un moment le regard, voir ce fille en si bonne état et dans un situation sociale qui semblait bonne. Cette vision était insupportable, c'est limite si elle n'en avait aps des nausée, d'où le détournement du regard pour pouvoir réfléchir calmement.

Le ventre devint douloureux, elle posa sa main gauche dessus en le massant pour tenter de faire disparaitre la douleur. Elle pesa le pour et le contre, estimant avec ses connaissances quel serait son avenir, mais la balance était en équilibrée.

- Dans les deux cas je suis perdante. Je veux vivre, mais pas au bout d'une chaine.

La douleur au ventre s'accentua un peu et elle se jeta sur la cage avec la ferme intention de l'embarquer et courir aussi loin que sa jambe blessée pourrait la porter.

Lust n'eut même pas à bouger le petit doigt, irritée par le manque évident de reconnaissance de la jeune fille envers sa proposition. Des chaînes sortirent du sol, s'enroulèrent autour des membres de la jeune fille jusqu'à ce qu'elle soit totalement incapable de se débattre.

La copie de la jeune clocharde se dissipa tandis que la déesse réapparaissait sous sa véritable forme, une jeune femme aux beaux cheveux rouges. Elle se posa tranquillement sur la jeune fille au sol, comme l'on se pose sur une vulgaire chaise et lui agrippa les cheveux pour relever sa tête vers la cage qui n'avait pas bougée. D'autres cages identiques apparurent, l'agréable odeur qui en émanait était une horrible torture pour un ventre affamé.

Un paquet de cigarettes apparut alors devant la déesse qui en sortit une du paquet pour la fumer paisiblement tandis que l'humaine restait dans cette position. Une fois celle-ci presque entièrement consumée, Lust écrasa sa clope encore incandescente sur la fesse gauche de la jeune fille.

"Hum ... Je crois que tu n'as pas très bien compris deux ou trois choses ma petite. Tu es déjà mon esclave depuis que tu es née, je suis la déesse des vices, parmi ces vices se trouve l'envie. L'envie ne t'as-t-elle pas toujours torturée? Tu n'as jamais enviée cette fille qui passait devant toi sans te regarder, elle était jolie, bien portante, sa mère lui tenait la main avec bienveillance et cédait à ses caprices de gamine. Cet homme en train de déguster son repas à la terrasse d'un restaurant tandis que tu crevais de faim dans la ruelle d'en face, impatiente d'aller manger ses restes dans la poubelle ... Soit un peu honnête avec toi même veux tu, tu es déjà mon esclave d'une façon bien désagréable et tu ne veux pas améliorer ta situation? Je met cette mauvaise décision sur le compte de ton ignorance et je vais oublier ta réponse en te reposant la question. Libre et presque morte ou bien vivante, heureuse, mais avec une laisse autour du cou ?"

Lust savourait ce moment, elle aimait rabaisser les gens et cette fois c'était d'une façon assez cruelle et humiliante. Elle ne se lassait pas de tourmenter cette petite et ne s'arrêterait probablement pas quelque soit sa réponse. Elle prit alors une nouvelle cigarette et recommença à fumer en ignorant la jeune fille. Une fois cette nouvelle clope consumée, elle mit le mégot incandescent juste sous le nez de la petite.

"Alors cette réponse? Je considère que tu as eu suffisamment de temps pour réfléchir. De toute façon si ce n'est pas toi, une autre aura la chance de devenir ma servante. Quand je pense qu'un déchet dans ton genre ose refuser l'offre d'une déesse, l'élite parmi les créatures de ce monde qui te propose une place à ses côtés ... Des gens seraient prêts à tuer pour prendre ta place tu sais?"

En cas de réponse négative, Lust avait prévue de détruire l'humaine, lentement et dans d'atroces souffrances ou pire, la laisser vivre en aggravant son quotidien, en le rendant encore plus misérable. En cas de réponse positive elle avait par contre prévue de l'habituer en douceur à sa nouvelle vie, de l'habituer tranquillement à la servir.

Darlyne finit donc par terre entouré de chaine, retenant un gémissement de douleur, car une des chaines enlaçait sa cheville, accentuant la douleur. Mais cela était aussi bénéfique, car elle ne pensait plus à son ventre et ce dernier semblait s'être tut un moment, elle put sentir Lust s'assoir sur son dos, estimant son poids au passage.

Puis elle sentit tellement de mets tous plus fin et délicat les uns que les autres, qu'elle en avait des nausées, proche à l'état de vomir, mais fort heureusement son vente était vide depuis peu et donc elle n'aurait aucune crainte de régurgiter quelque chose.

Elle laissa échapper un petit cri étouffé quand la cigarette marqua la fesse ciblé par Lust.

Puis vint l'explication de la déesse, mettant en avant un vérité qui déplaisait à Darlyne, car cela faisait mal de se faire dicter sa conduite et que cela soit vrai en plus. Vint ensuite le problème épineux que tout humain doit faire au bout d'un moment, la vie ou la liberté, ces deux choses était  toujours sujet à un débat intérieur, on peut vivre, mais sans liberté on ne vaut pas mieux qu'un objet, on peut être libre, mais vivre est lui aussi une chose importante. Elle ne savait pas quoi faire, sans compter qu'elle commençait à craindre que Lust sous une illusionniste très doué, en effet Darlyne ne croyait pas une seule seconde à l'histoire de la déesse et encore moins à la magie.

Darly,e frémit en sentant le bout de cigarette près de son nez, elle réfléchit aussi vite que possible, tentant de trouver un échappatoire à cette situation.

* Ce n'est pas moi qui est folle, c'est elle. Il faut que je sorte de là et vite avant qu'elle est des idées pire que ma mère.*

"Pire que ma mère" Ce bout de phrase eut le don de faire perler une goutte de sueur sur le front de l'humaine, qui vit son rythme cardiaque augmenté, elle devait fuir cette femme tout en restant en vie, elle ne savait pas si elle était armée, aussi elle laissa son instinct de survie prendre le dessus pour agir avec fourberie.

- Si vous me promettez que vous ne me ferrez aucun mal je vous suis.

Darlyne mentait très mal, même un gosse aurait fait mieux, cela risquait fort bien d'irriter davantage la déesse, car formulé de cette manière on aurait put aisément croire que l'humaine se moquait de Lust

Lust écrasa le mégot sous le nez de la clocharde avant de le jeter un peu plus loin, puis elle lâcha les cheveux de la jeune fille, laissant enfin son cou se reposer. La voix de la déesse se fit un peu plus douce, sa main effleura le visage de la petite avec une certaine douceur. Elle se leva et fit disparaitre les chaînes, faisant disparaitre toutes les cages à l'exception de la première qui s'ouvrit.

"Mange donc, ta réponse n'est pas vraiment celle que j'attendais mais quelle sorte de déesse serais-je si je laissais mes adeptes mourir de faim sous mes yeux ? J'espère que dans un futur proche j'entendrais de ta bouche un vœu de servitude plus convaincant, mais je pense qu'il est inutile de brusquer les choses."

La déesse prit alors un air plus grave, plus préoccupé et un brin nostalgique.

"Tu sais, j'ai été visiter mon temple il y a peu. Après mille ans d'absence, tout mes adeptes étaient morts et mon culte avait été oublié. En tant qu'humaine tu ne dois pas comprendre, mais pour nous les dieux le fait que notre culte se porte bien est important. C'est pourquoi tu as une certaine importance à mes yeux, tu es peut être la première de la future génération de croyants à me servir. Peut être même une future prêtresse vas savoir, c'est pourquoi je serais particulièrement sévère envers toi, je veux que tu sois parfaite dans ton futur rôle. Un jour tu seras digne d'être l'une de mes filles, mais pour l'instant en bonne mère mon devoir est de t'éduquer."

Lust regardait l'humaine manger, pensive, si ça se trouve elle était tellement occuper à se goinfrer quelle ne l'avait pas écoutée. Elle ne pu retenir un petit rire à cette pensée, un sourire sincère traversant son visage pour la première fois depuis longtemps. Elle pensa ensuite qu'elle aurait pu l'asservir en utilisant ses auras pour manipuler la jeune fille, mais rien ne valait une véritable dévotion. La déesse reprit alors son discours une fois que la jeune fille eut finit son repas.

"J'espère qu'un jour tu me serviras avec conviction ma belle, en attendant ... Je me dois de prendre soin de toi et de t'éduquer comme il se doit. Paresse, colère, envie, gourmandise, avarice, orgueil et luxure, tu dois devenir une experte de ces 7 vices avant d'être digne de me servir, le plus compliqué sera l'orgueil je pense, vu ton amour propre. Enfin bref, pour marquer le coup je t'accorde un souhait, n'importe lequel pourvu qu'il n'aille pas contre mes intérêts."

Lust s'était dit qu'un peu de douceur ne pouvait que jouer en sa faveur. Elle avait beau aimer dominer, elle devait prendre soin des siens si elle voulait restaurer son culte et le voir perdurer. Cela n'arriverait qu'avec une entière dévotion de ses fidèles.

Darlyne sentit les chaines lâcher prise et disparaitre on ne sait où, mais au moins elle était libre et c'est la vision de la cage ouverte qui focalisa ses sens. Elle n'eut même pas à entendre la phrase de Lust, qu'elle était déjà sur l'assiette, seulement au lieu de s'empiffrer comme un ogre, elle mangea doucement, car quand on a faim, il ne faut pas ingurgité la nourriture d'une seul coups, sinon cela risque de partir dans l'autre sens .

Elle entendit chacun des commentaires de la déesse, mais pour l'humaine il était hors de question de la servir, il fallait d'abord amadouer cette femme et profiter d'une diversion pour aller se cacher quelque part, les seules lieux étant le poste de soin, la cafétéria et les toilettes.

En entendant les remarques sur son temple et son culte, Darlyne en vain à la conclusion que cette femme devait vraiment être atteinte pour se prétendre déesse, surtout qu'il n'a jamais existé de déesse pour les sept péchés capitaux.

elle entendit la demoiselle dire qu'elle ferra un jours une bonne prêtresse, une réponse naquit dans son esprit.

*C'est ça rêve toujours.*

Darlyne l'avait toujours dans l'os de s'être fait bruler un bout de mégot sous le nez, mais ne laissa place ni à la colère, ni à la peur. L'humaine pensait que si elle arrivait à rester le plus neutre possible, elle aurait toute ses chances de pouvoir fuir les lieux en un seul morceau, puis une idée germa dans sa tête en constatant que l'assiette était très résistante.

- Un voeu ? Hmmm ... J'aimerais ...

Elle s'avança comme pour murmurer son voeu à l'oreille de la déesse et une fois à portée fracassa l'assiette contre le haut du crâne de Lust, puis, n'attendant pas le résultat, elle tenta de partir en courant vers les toilettes qui étaient plus proche.

Celle-là Lust ne l'avait pas vue venir ... Elle s'était faites avoir en beauté, bien que l'assiette n'avait pas fait grand dégât, elle avait tout de même eut mal et l'attitude insolente de sa proie était intolérable. La douceur dont la déesse avait fait preuve envers l'humaine s'était brutalement dissipée lorsque l'assiette avait heurté sa tête. Elle avait voulu la blesser et cela avait mis Lust en colère et les colères de la divinité étaient généralement mémorables.

La déesse prit sa forme de combat, sa forme de dragonne rouge, une peau si épaisse que même le tir d'un char à bout portant ne lui ferait pas le moindre bleu. Elle démolirait le supermarché si il le fallait mais elle la retrouverait et lui ferait payer cet affront. L'autre avantage de cette forme, c'est que son odorat, sa vision et son ouïe étaient largement plus développés, un corps invulnérable et taillé pour la chasse.

A peine ses ailes avaient-t-elles commencées à bouger que les poubelles avaient été balayées sous la puissance du souffle ainsi produit. Lust avait traversée la pièce en un clin d'œil pour s'écraser contre le mur des toilettes qui avait cédé sous le choc. Tout un pan du mur avait volé en éclats, la déesse sentait l'odeur de sa proie tout près. Elle se retourna balayant toute la pièce avec son immense queue, fissurant les murs avant de se rendre compte que la petite effrontée s'était réfugiée dans les toilettes des hommes.

D'un coup de poing elle envoya voler la porte des wc à travers la pièce, quelque peu calmée d'avoir défoncer les toilettes d'à côté elle patienta un peu avant de poursuivre. La pièce semblait vide, mais son odorat lui disait que la jeune fille était là, elle réduisit un peu sa taille pour retrouver une taille à l'échelle humaine et commença à ouvrir les cabines une à une. Elle les ouvrit toute, jusqu'à arriver à la dernière quelle n'ouvrit pas de suite.

Elle poussa alors un cri digne de celui d'un T-Rex dans Jurassic Park et arracha la porte avant de plaquer la petite garce contre le mur derrière elle. Puis d'une voix irréelle, envoutante mais toutefois sur le ton de la colère elle annonça la sentence de sa victime :

"Alors comme ça tu voulais réellement me mettre en colère? Bravo, c'est réussi, mais à ta place je me ferais toute petite."

La déesse fixait froidement la petite chose qui avait osé la frapper, ses yeux jaunes se baladait lentement sur tout son corps. Elle finit par poursuivre :

"Je vais m'approprier ton corps en premier, l'esprit suivra bien assez tôt, j'en profiterais pour te dresser un peu."

Lust empoigna les cheveux de la clocharde et la traina derrière elle jusqu'au lavabo avant de la jeter à terre et de détruire le tuyau d'arrivée d'eau. Ainsi brisé il déversait énormément d'eau et la déesse dirigea le jet vers la jeune fille.

"Premièrement un peu de nettoyage"

La dragonne lava son jouet, en profitant pour lui ôter ses vêtements, puis une fois celui-ci bien propre elle l'attrapa de nouveau par les cheveux. Entre les cuisses de la dragonne une verge venait de remplacer son intimité, longue d'une trentaine de cm et large d'environ 4-5 cm, une bonne taille en somme. Elle dirigea la tête de sa victime vers ce nouveau membre et lui ordonna sur un ton qui n'autorisait aucun refus :

"Une bonne chienne doit savoir lécher sa maîtresse pour lui montrer son affection ... Applique toi ou je te le mettrais autre part."

Laissant parler sa peur, elle préféra aller se cacher dans les toilettes des hommes, où les cabines sont plus nombreuses. Cela avait au moins eu le mérite de laisser un temps de sursis à l'humaine, qui se demandait ce qui pouvait créer un boucan pareille, elle entendit le mur se faire démolir, elle ferma à clef sa cabine et se mit le plus loin possible. Comme elle le faisait toujours quand sa mère biologique la cherchait et qu'elle avait un coup dans le nez.

Seulement cela ne suffit pas et elle poussa un cris de peur en voyant un espèce de dragon lui faire faire. Elle se la ferma une fois collée violemment contre le mur où un petit cris de douleur se fit entendre. Elle avait mal, mais il ne fallait pas qu'elle pleure ou qu'elle fasse de remarque, son corps tremblait de peur, elle n'avait jamais autant tremblé depuis qu'elle avait quitté sa mère biologique.

Une fois lâché, elle se mit la main à la gorge, constatant que cette chose avait une poigne qui était mauvais pour l'humaine qui ne pourrait pas résister longtemps à une telle puissance.

Elle se débattit de toute ses force à la séance de lavage, ayant perdue, elle mit ses bras de tels sorte à cacher au mieux sa poitrine et son intimité. Mais ce ne fut pas le pire.

Darlyne comprit très vite qu'elle avait affaire à un mâle et bon dieu elle savait que les hommes sont intraitables et violents.

Elle ne savait pas quoi faire de se membre devant sa bouche, se remémorant une séance de sa mère qui était presque similaire sauf que la chose entrant dans sa bouche était plus gros, elle se rappela la douleur qu'elle avait eut, et aussi l'impression désagréable de l'asphyxie.

Elle ne voulait pas revivre ça et au lieu d'obéir, elle n'avait pas envie de devenir une de ses femme au service d'un maître, elle y perdrait sa faible parcelle d'humanité. Aussi elle fit mine de vouloir lécher le membre, elle passa de trois coups de langue, non sans montrer son dégoût de la chose et d'un coups elle mordit le membre à pleine dent, décidant qu'elle allait faire saigner à mort se truc et s'enfuir, encore et toujours.

La peau d'un dragon avait beau être épaisse, une morsure à cet endroit ne faisait jamais du bien quelque soit l'espèce. Lust avait d'abord poussé un cri de douleur qui s'était vite transformé en un cri de fureur.

Elle était revenue à sa forme originelle de jolie rousse et tout à coup son corps se couvrit de tatouages blancs. L'aura de la paresse, qui provoque une irrésistible envie de dormir, paralyse et empêche de réfléchir correctement. La jeune fille qui n'avait aucune chance d'y résister s'effondra de fatigue à à peine quelques mètres de Lust. La déesse posa son pied sur le haut du dos de l'humaine, l'écrasant comme l'on écrase un insecte.

"Maintenant je suis vraiment en colère ..."

Pour une fois sa phrase fut rapide et explicite, Darlyne allait morfler comme elle n'avait jamais morfler.

"J'avais prévu de souiller ton corps avec ton accord, je ne voulais pas user de mes pouvoirs pour te manipuler. Mais après ce que tu as fais une punition s'impose ..."

La tatouage changea alors de couleur pour devenir rose, l'aura de la luxure qui provoque une excitation incontrôlable et supprime toute inhibition. Elle poussa la jeune fille du pied pour quelle se retrouve sur le dos avant que des chaînes ne jaillissent du sol pour l'entraver, pieds et bras écartés.

Elle fit également apparaitre une sorte de bâillon un peu particulier, une sangle en cuir sur laquelle il y avait un grand anneau en métal dont le but était de maintenir la mâchoire ouverte pour y glisser toute sorte de choses sans risque de morsure. Elle l'installa par la suite de force dans la bouche de la jeune femme.

La déesse se retransforma en dragonne sous ses yeux et fit repousser son énorme membre avec une lueur sadique dans le regard. Elle empoigna fermement les hanches de sa victime avant de se glisser contre elle, poitrine contre poitrine, verge contre intimité.

La longue langue du reptile s'enfonça dans la gorge de la petite, jouant avec sa langue et explorant sa bouche en détail. Tandis qu'en un  puissant coup de rein le sexe de la dragonne venait de pénétrer violemment son intimité.

S'en suivirent de puissants vas et viens qui sous les effets de l'aura de la luxure arrachait des cris de jouissance incontrôlables à la petite clocharde. Après plusieurs minutes de ce traitement, les coups de boutoirs se firent plus lents, plus amples et plus violents avant qu'un bon litre de sperme chaud n'envahisse son intérieur.

Lust retira alors sa langue de la bouche de la jeune fille avant de lui défaire le bâillon.

"Tu vois, ce n'était pas si terrible, retient juste que j'obtiens toujours ce que je veux."

[Désolée de ma longue absence. ]

Darlyne eut d'un coup l'impression que sa tête tournait, comme si elle était restée trop longtemps sous une soleil de plomb sans boire ou se rafraichir La jeune femme tenta quand même de résister et elle y parvint mieux qu'un humain classique, preuve que sa vie l'avait entrainé à résister, survivre.

Mais les pouvoirs divins ne peuvent être surpassé par un simple mortel. Elle retenu un gémissement de douleur quand le pied de Lust l'écrasa sans la moindre pitié.

Puis après la douleur et la fatigue vint la sensation que son corps se réchauffait, vint à se moment de la peur, la peur de ce qui allait arriver, des idées qui surgissaient dans sa tête et qui n'était pas elle, pas la Darlyne normale.

C'est alors qu'elle sentit une douleur, des choses froides enlaçaient ses membre pour les écarter, son rythme cardiaque augmenta sous l'effet de la peur de ce qui allait se passer, elle savait ce qui allait arriver et c'est justement ça qui l'effrayait.

Elle se défendit  autant qu'elle le pouvait pour éviter de recevoir le bâillon spéciale dans la bouche, Darlyne avait déjà eut affaire à cet objet.

Darlyne se battait conte elle même pour ne pas succomber à des pulsions qui n'étaient pas sienne, elle manqua de s'étouffer quand la langue de Lust fit son exploration, quand à son corps il se braqua lors de la pénétration, Darlyne poussa un premier cris, ce n'était pas du plaisir mais de la souffrance.

L'aura fit son office, Darlyne poussa ensuite des cris de plaisir, mais sa tête était envahit par un plaisir qui n'était pas voulut et une légère douleur, sans compter qu'elle sentait son intimité un peu saigner suite à la première pénétration.

Mais le pire pour la demoiselle se fut quand elle eut la sensation de se faire remplir le ventre comme un vulgaire réservoir, rappelant son passé quand sa mère utilisait un tuyaux et la forçait à boire jusqu'à son ventre soit tendu au maximum pour ensuite le vider.

Darlyne pouvait sentir les battements de son coeur se répandre dans tout son corps, elle se mit à gémir de peur en murmurant des "non, pas ça." de manière répétitif, puis d'un coup ce fut le changement radicale.

La demoiselle tendit les chaines, les mains vers sa propre gorge avec des gestes frénétiques, comme si elle voulait s'arracher la peau. La pauvre avait subit un tel choc de part les méthodes de Lust qu'elle en avait fait une crise de folie, la jeune femme bavait de rage, c'était un spectacle que bien des humains détestait voir, celui où l'esprit humain n'a plus sa place ne laissant parler que la bête et celle de Darlyne voulait tuer et se tuer.

Lust éclata littéralement de rire en voyant l'humaine se débattre de toute ses forces, complétement folle, en pleine crise. Elle n'aurait même pas osé rêver la punir autant, c'était réellement inespéré, elle semblait souffrir atrocement de ce traitement qui n'était qu'un prélude à la vraie punition à la base. La demoiselle avait changé d'attitude au moment où Lust avait remplit son intérieur, la déesse voulu donc tester une éventualité à laquelle elle avait pensé.

Lust fit apparaitre un tuyau d'arrosage avec un embout rond conçu pour être introduit quelque part et ne plus pouvoir être retiré sans intervention extérieure. Elle sortit alors son sexe de l'intimité de la clocharde, libérant le sperme coincé à l'intérieur qui se déversa sur l'entre-jambe de sa proie, afin de se relever.

Elle alla brancher le tuyau d'arrosage sur le réseau d'eau chaude et revint peu après pour enfoncer l'embout dans l'anus de la petite. Lust affichait un sourire particulièrement malsain, elle ne voulait plus qu'une chose, détruire cette fille, la faire souffrir jusqu'à ce qu'elle en crève ou que son esprit soit définitivement brisé. Elle tourna le robinet juste assez pour qu'un peu d'eau en sorte, de l'eau brûlante, pour que lentement ses intestins se remplissent.

Tandis que sa proie se faisait remplir le ventre d'une autre façon que ce quelle aurait voulu, Lust se dirigea vers sa tête et lui murmura en riant :

"Tu souffre déjà autant alors que j'ai à peine commencé? Je vais te réduire en miettes, quand j'en aurais finis avec toi tu me supplieras de te tuer et je te forcerais à vivre, à vivre très longtemps avec ça."

La déesse lui remit le bâillon dans la bouche afin de parer à toute morsure et se plaça juste au dessus de sa tête. Elle se mis à quatre pattes avant de glisser son membre encore gluant de sperme dans sa bouche, entièrement. La taille de celui-ci tendait sa gorge au maximum et l'empêchait de respirer correctement sans véritablement l'étouffer. Lust commença alors à aller et venir dans sa gorge, sans une once de tendresse, brutalement, rapidement, baisant littéralement sa gorge.

La folie resta un moment, le temps que Lust fasse les préparatifs de sa prochaine torture, Darlyne avait à se moment une seule envie, tuer la dragonne, sentir son rythme cardiaque s'emballer sous la pression de ses mains sur sa gorge. La jeune femme voulait tuer son bourreau, même si elle devait mourir par la suite.

Mais le seul bémol c'est que la prisonnière c'est Darlyne et non Lust, cela eut le don d'énerver davantage la demoiselle qui voulait faire crever sa tortionnaire, juste pour survivre, rien que survivre.

Quand la verge s'enfonça dans la petite gorge de la jeune fille, la folie du battre en retraite, laissant Darlyne face à la douleur de l'eau bouillante brulant son corps de l'intérieur et aussi la douleur que la verge engendrait à chaque allez et venu, sans compter la sensation de suffoquer, cela entrainant des réactions instinctifs, elle tentait de gigoter au sol pour pouvoir mieux respirer, son ventre ayant de léger spasme au manque d'air et des nausée cause par le ramonage de la voie buccale.

Les chaines se tendirent de nouveau, mais cette fois c'était pour se débattre contre la douleur, l'asphyxie et aussi pour tenter d'évacuer le tuyau de son anus, car son ventre commençait à gonfler, la panique se voyait sur le visage de Darlyne qui pleurait à chaude larme sous la douleur, sa gorge serrant davantage la verge de Lust par sursaut essayant de rejeter l'élément intrusif.

Elle avait l'impression d'avoir affaire à sa mère, le jours où elle a crut y passer, des sueurs froide parcourut le front de la jeune fille, tout comme son corps essayait de chasser la chaleur de l'eau continuant à sa déverser dans son estomac, sous forme de sueur, faisant légèrement briller sa peau sous la lumière des néons, elle tenta d'appeler à l'aide, suppliant pour que la mère aimante qu'elle c'était toujours imaginée, vienne la secourir.

Lorsque Lust fut sur le point de se relâcher, elle donna un coup de rein plus puissant que les autres pour déverser un autre litre de sperme dans le fond de sa gorge. Il sortit à une telle vitesse que la gorge ne suffi pas, le gluant liquide remonta, sortant par la bouche et les narines de la pauvre petite chose. Lust retira alors son sexe et essuya le surplus de sperme sur la poitrine de la jeune femme avant de s'asseoir sur son ventre, gonflé par l'eau.

Lust retira le tuyau de l'anus de la jeune femme tout en sautillant sur son ventre pour faire sortir une eau salit par son intérieur. Puis se leva en dirigeant le jet d'eau brûlante vers son intimité, sa poitrine, son visage, tout les endroits sensibles. La déesse riait à s'étouffer, complétement folle, elle adorait torturer cette fille, c'était plus fort qu'elle, ses cris étaient une si douce mélodie à ses oreilles.

Elle claqua ensuite des doigts et les chaines se déplacèrent vers le mur le plus proche, le corps de la clocharde fut hissé face contre mur tandis qu'il finissait de se vider de l'eau. La déesse empoigna sa poitrine et glissa son sexe dans son anus bouillant avant de le besogner comme elle avait besogné sa bouche et son intimité. Elle pinçait ses seins, mordait son cou, parfois lui tirait les cheveux en faisant de brutaux vas et viens qui très vite provoquèrent une coulée de sang le long de ses cuisses. La taille du sexe de Lust augmentait progressivement, déchirant petit à petit l'intérieur des fesses de son jouet.

"Alors tu aimes petite catin? Je ne pense pas, mais ce n'est pas grave moi j'adore."

Elle se rappela alors que la jeune fille avait mal à la cheville et écrasa son pied avec le sien en hurlant près de son oreille.

"Aller ! Cri ! Cri ! Pleure, chiale, crève !"

Le tatouage de Lust changea tout à coup de couleur pour devenir rouge vif, la colère, qui provoque une rage incontrôlable et dans ce cas précis une énorme frustration de ne pas pouvoir se défendre.

Quand la dragonne relâcha enfin sa semence, la demoiselle eut le droit à une mauvaise surprise, en effet pour respirer un minimum elle utilisait le plus possible son nez, de part se fait elle se trouva très vite en apnée, mais ne manqua pas de faillit se noyer par le liquide gluant qui souilla sa gorge et son visage. Une fois le membre étranger retiré, elle toussa pour libérer les voies respiratoire et reprendre de l'air à grande goulée, non sans continuer à tousser de temps à autre.

Elle poussa un léger gémissement quand Lust tira le tuyau sans ménagement, pis elle sentit son ventre vouloir relâcher son contenue, elle tenta bien de résister à cette nouvelle humiliation, mais rien n'y fit, que peut de petit muscle face au poids d'une dragonne, rien.

Le jet d'eau bouillant fit hurler de douleur Darlyne qui s'époumona à tenter de formuler une demande de pitiés, mais elle avait tellement mal qu'elle n'y parvient pas.

Alors qu'elle se fit plaquer contre le mur sa vessie se relâcha aussi, accentuant l'humiliation qu'elle a subit répandant son urine sur le sol.

Une très forte décharge électrique parcourut son corps quand Lust commença sa sodomie. La pauvre enfant avait les yeux grand ouverts sous la douleur, la bouche grande ouverte pour hurler sa douleur, douleur qui ne s'arrangea pas avec les morsures, Darlyne avait trouvée plus effrayant que sa mère, cette dragonne, elle se demanda même si une meute de loup affamé ne serait pas plus doux comparé à ce qu'elle endurait actuellement.

Elle avait des larmes de peurs et de douleur, son corps commença à trembler tout seule, sans que Darlyne ne puisse arrêter les tremblements, ce fut même le contraire, plus elle tentait de les calmer, plus ils étaient visible sur son corps qui était en sueur, on pouvait sentir l'odeur de Darlyne aisément, sans compté le goût de sel que Lust devait sentir à chaque morsure.

Darlyne se sentait ravagée de l'intérieur, chaque va et vient était plus douloureuse que la précédente, elle se sentait écartelé de l'intérieur, accentuant ses cris et ses larmes, elle s'égosilla la voix au moment où Lust fit une très forte pression sur sa cheville foulée.

Elle rageait de ne pas pouvoir se défendre face à cette sale engeance, mais très vite après la rage vint le désespoir, le constat de la triste situation où elle se trouvait et son corps se relâcha complètement, s'en était trop, elle ne pouvait rien faire à part attendre et souffrir ... Non elle ne devait pas penser à ça.

Darlyne repensa à sa raison de vivre, à ce qu'elle cherchait au fond de soit et reprit du poil de la bête, elle ferma sa bouche, le scellant en se mordant la lèvre inférieur, étouffant les cris, pour ne plus aire plaisir à Lust, elle allait se battre jusqu'à en crever, elle savait pertinemment que maintenant c'était soit la mort, soit la servitude à vie sous la forme d'une poupée obéissant à sa maitresse comme une esclave dévouée, mais elle espérait une troisième solution, la survie.