Mortal Kamping

Il existe à la périférie de tokyo et au plus profond d'une foret une maison abbandonné et en ruine.

Elle appartenait autrefois à un vieux professeur en possétion d'un artefact diabolique et faisant des experience imonde dans la cave de sa maison sur des victimes humaines. Il arriva un jour qu'une experience du savant fou échappa à son contrôle et le tue. Sa maison est maintenant hanté par les anciène créatures du savant folle furieuse et ayant un grand appétis de chair humaine. Malheureusement ce n'est pas cela le pire.

L'artefact appartenait autrefois à une secte satanique qui veut absolument récuperer leur bien avant la nouvelle lune pour invoquer un démon. Outre cela l'artefact est une objet effroyablement puissant et as corrompus une vaste zone de la foret qui fut autrefois un champs de bataille entre deux clans de samurai. Qui plus est l'artéfact à attiré Mean un tueur psychopathe maudit qui sous l'influence de son masque est attiré comme une papillon vers la maison.

Entre temps un minibus était en train d'entrer dans la foret. Ce dernier était remplis de gens qui avaient l'intention de faire la fête non loin de la maison en ruine. Alcool et drogue à gogo dans la soute de leur bus. Qui aurait cru qu'ils allaient entrer dans un véritable cauchemard sanglant.

WARNER BROS présente :

MORTAL KAMPING

"Quand rien n'est plus terrible que de mourir de terreur avant de périr"

Premier prix du Festival d'Avoriaz

Starring :

- Zoé : la bimbo à gros seins
- Perry : capitaine de l'équipe de football - le beau gosse
- Katia : la pouffe à gros seins
- Bobby : le quaterback de l'équipe de football - gros et amateur de bières
- Jimmy : fait partie de l'équipe de football - beau gosse mais moins que Perry
- Sophie : la pétasse à gros seins
- Danny : le Noir de service (ben oui, ils ont des quota à respecter)
- Peter : le binoclard-intello-geek - Frère de Katia (qui le tolère)

oOo

Le van roulait doucement dans le chemin forestier. A son bord, une "bande de jeunes qui s'éclatent". le programme : faire la teuf dans les bois, se saouler la gueule, se shooter à la coke et baiser comme des castors.

La nuit commençait à tomber petit à petit quand le conducteur du véhicule (Perry) se gara à côté de la vieille maison en ruines.

Perry : voila on y est !
Katia : putain ça à a l'air sinistre comme endroit
Peter : je parie que ça doit être bourré d'araignées
Bobby : oooooh ! Le petit Peter a peuuuur !!
Zoé : za a l'air exzellent comme endroit pour z'amuzer !
Danny : trop de la balle mec, ton plan !
Sophie : je parie que cette vieille bicoque doit être habitée par des squatteurs !
Perry : négatif, y'a personne dans cet endroit.
Katia : ouais ben n'empêche, je trouve pas ce lieu rassurant...
Jimmy : vous en faites pas les filles, si jamais il y a un monstre, je ferai de mon corps viril un rempart pour vous protéger !

Ils descendirent du véhicule et se dirigèrent vers le perron. La porte s'ouvrit avec un grincement sinistre et ils pénétrèrent dans le vestibule poussiéreux. Cela sentait le moisi, l'humidité et une odeur indéfinissable que les jeunes gens ne parvenaient pas à identifier.

Ils allèrent dans le vaste salon dont les murs étaient couverts de tableaux aux couleurs défraichies, le papier peint s'était décollé des murs et la cheminée était couverte de poussière. Des sofas éventrés mais encore confortables se trouvaient au centre de la pièce.

Perry : c'est là qu'on va s'installer. Bobby, t'as apporté les provisions ?
Bobby : ouais (il pose sur le sol les deux grosses bonbonnes de bière ainsi qu'un sac de poudre blanche)
Danny : Yo mec, je trouve que ça caille un peu ici ! Je vais dehors chercher du bois pour faire un bon feu !
Jimmy : riche idée man !
Perry : la nuit est tombée et les festivités peuvent commencer !!

Tandis que ses potes commençaient à déballer leurs affaires, Danny était sorti de la maison et se dirigeait vers la lisière de la forêt pour ramasser quelques branches mortes...

Alors que tout les jeune débalaient leurs affaires et que Danny allas trouver du bois, dans le lac voisin non loin d'un ponton l'eau se mis à bouilloner. Quelques instant plus tard une main massive s'agripa au ponton vermoulus et un corps couvert de vase et de boue ne tarda pas à suivre.

Poussant un grognement Mean émergea de l'eau et huma l'air. Pour lui l'environement était nouveau d'habitude il ne quittait rarement ses égouts qui était son domaine mais là quelque chose l'avait fait sortir de sa tanière et c'était son masque qui le voulait. Il était donc sortis de sa tanière et avait marcher longuement avant de débarquer dans cette forèt.

Quand il arriva enfin il pus sentir l'aura maléfique que cette foret cachait mais aussi quelque chose d'autre. Cela sentait la chair fraiche.

Il se mis alors à avancer droit devant lui et cacher dans les buisson il ne tarda pas à trouver une proie. Un grand black en train de ramasser du bois et en couper avec une hachette.

Danny avait fait une grande réserve de bois pour le feu et s'apprétait à retourner dans la maison quand il entendit une branche qui craque. Il regardat autour de lui mais ne vit rien dans les bois. Curieusement il se sentis toutefois épier et n'aimait pas cela.

Danny jeta autour de lui des regards inquiets : la nuit était totale et enveloppait la forêt de son sombre manteau... La forme torturée des arbres centenaires laissaient suggérer une sombre menace, imprécise et tout à coup Danny se sentit moins rassuré, comme si le bois allait se refermer sur lui...

Un coup de tonnerre brisa le silence, faisant sursauter le rappeur et bientôt une pluie battante tomba sur le sol tandis que des éclairs zébraient le ciel...

Danny : Yo, faut que je me magne !

oOo

Perry : putain c'est trop bon !

Accroupie sur le sol, Sophie était en train de tailler une pipe au capitaine de l'équipe de foot. Ils avaient entamé les hostilités, en attendant que Danny revienne : Bobby, Zoé, Jimmy et Peter se sifflaient une grosse choppe de bière tandis que Sophie s'était tout de suite fait un rail de coke, devenant ainsi complètement défoncée et maintenant elle allait gober autre chose...

Danny se remis en marche alors que la pluie se mis à tomber dru. Ce fut en bougonnant qu'il se dépêcha de rentrer mais dans sa précipitation il s'acrocha sur une branche et laissa tomber son chargement de bois. Maugréant il ramassat le bois quand un craquement attira son attention.

Il se retourna à nouveau et il eu la surprise de se retrouver face à une silhouette massive. Un éclair brilla dans le ciel et montra partiellement Mean à Danny ruissellant d'eau et de crasse. Avant que Danny ai eu le temp de crier ou de faire un geste les mains de Mean aussi gros que des battoir le saisit par le cou Mean s'empressa d'étrangler Danny comme un poulet.

Le black se mis à gigoter la bave au lèvre et ses pieds quittant le sol. Au bout de trentre secconde un craquement de branche brisé se fit entendre quand sa nuque se brisa. Danny devins mou dans les mains de Mean qui jeta le cadavre contre un arbre.

Avisant la hachette Mean s'en saisit et la passat à sa ceinture.

Bien entendu Peter supportait mal l'alcool et courait vers les toilettes (ou du moins ce qui en restait) pour aller vomir les 3 chopes de bière, bousculant au passage Katia qui était partie faire pipi. Elle revint dans le salon où la fiesta continuait.

Katia : euh, il est toujours pas revenu Danny ? Ca fait une heure qu'il est parti chercher du bois pour le feu...
Jimmy : il est peut être en train de se faire bouffer par un ours !
Katia : très drôle... Sérieux, faudrait peut être partir à sa recherche.
Bobby : bonne idée ! Vas-y toi !
Sophie (ayant fini de piper Perry) : t'es chié toi ! C'est aux mecs de faire ça !
Bobby : eh oh les filles, vous avez voulu la parité, alors assumez !
Zoé : rhooo l'autre, quelle zexizte !

Entretemps, Peter était revenu : il était pâle comme un linge.

Jimmy : ça va mieux ?
Peter : disons que j'ai tout évacué mais ça devrait aller maintenant...
Bobby : tu devrais aller prendre l'air. Et puis au passage tu en profiteras pour aller chercher Danny qui est toujours pas revenu.
Peter : mais il pleut à torrents là !
Perry : eh bien prends le parapluie qui se trouve dans le van.

Peu rassuré, Peter sortit dehors et se dirigea vers le van...

Peter allas chercher un parapluit mais en arrivant au van il vit bienvite que quelque chose clochait.

Les quatre pneux du véhicule avait été crevés ou plutôt lacérés à coups de hachette. Il vis aussi des empreites de pas boueuse se diriger droit vers la grande maison pour mieux disparaitre dans le gravier.

Entre temps Mean avait ateind la maison par derrière. A la maniière d'un gorille il escalada le mur pour ensuite atteindre le premier étage ou il brisa une vitre.

Son intrusion ne fut pas vraiment discrète car quelques personnes dans la maison entendirent du bruit provenant du premier étage de la maison.

Bobby entendit, entre deux grondements de tonnerre, le bruit du verre brisé venir d'en haut et aussitôt il jeta un regard inquiet à ses compagnons :

Bobby : c'était quoi ça ?
Perry : quoi donc ?
Bobby : j'ai entendu le bruit du verre que l'on brise.
Jimmy : t'as dû rêver, j'ai rien entendu.
Bobby : puisque je vous dis que j'ai entendu !
Sophie : t'excites pas, ce doit être le vent voila tout.
Perry : c'est bon on s'en cogne !

Entretemps, Peter revint complètement bouleversé, annonçant aux autres que quelqu'un avait crevé les pneus du van.

Perry : putain de merde !
Bobby : on est pas seuls ici apparemment
Jimmy : eh mec, je pensais qu'il y avait personne ici ?!
Perry : moi aussi. Peut être un vagabond.
Sophie : ou un criminel en fuite...
Katia : j'ai peur !
Jimmy : écoutez, j'ai un flingue, je vais voir ce qui se passe en haut. Si un type nous cherche des noises, il trouvera à qui parler !
Peter : euh, t'es sûr que c'est une bonne idée ?...
Jimmy : t'en as une meilleure le binoclard ?!
Peter : euh non...
Jimmy : bon alors c'est décidé (il sort de sa veste un 9 mm), je monte !
Perry : fais gaffe quand même mec !
Bobby : tu veux pas que je vienne avec toi ?
Jimmy : je peux me démerder tout seul mais merci Bob.

Et le jeune homme monta les escaliers, un flingue dans une main, une torche dans l'autre et les nerfs à fleur de peau...

oOo

Et Zoé au fait ? Zoé avait trouvé l'escalier menant à la cave et n'avait pu résister à l'envie de la visiter. Armée d'une lampe torche, elle promenait le faisceau lumineux sur le sous-sol dont les dimensions étaient à peu près celles de la maison. Elle n'avait pas entendu le bruit de verre brisé et continuait tranquillement son exploration, espérant trouver quelque chose d'intéressant...

Jimmy monta à l'étage le flingue à la main et le trouillomètre à zéro. L'étage était quand même assez vaste et avec les meuble recouvert de tissut pour empècher la poussière de se poser dessus n'importe qui pouvait se cacher.

Jimmy arriva finalement à l'endroit ou la fenêtre avait été brisé et vis de grosse empreintes boueuse et humide sur le tapis. Cette fois il en était certain il y avait quelqu'un dans la maison. En suivant les empreinte il vis que celle ci s'arrêtait face à une armoire. Le flingue en main il ordonna si y avait quelqu'un dans l'armoire de sortir. N'obtenant aucune réponse il tendit la main pour ouvrir l'armoire.

C'est à ce moment là que Mean frappa. Au dessus de la tête de Jimmy il y avait une trappe menant au grenier. Mean s'y était dissimuler et attendait que quelqu'un vienne.

Sa main énorme se saisit de Jimmy par les cheveux. Ce dernier poussa un hurlement et tira par réflexe brisant un mirroir avant de disparaitre dans le grenier ou Mean le décapita avec la hachette. Ce fut long et assez douloureux. Au bout de cinq coup la tête de Jimmy se daigna enfin de se séparer de son corps.

Une fois son forfait effectuer, Mean resortis de la maison par une lucarne en trainant le cadavre et le jeta ensuite sur le Minivan. L'impact du cadavre décapité de Jimmy fit explosé les vitre du véhicule hors d'usage et mis en route son alarme.

oOo

Pendent ce temps Zoé visita la cave et se rendit compte que celle ci était en fait remplis de materiel médical assez ancien. L'ancien propriétaire devait être un savant ou un médecin.

Elle arriva face à une grosse porte de fer. Un trousseau de clefs était accroché à un crochet au mur. Soudainement elle entendit l'alarme du minivan l'interompant dans ses réflexions.

Au bout d'un moment, les jeunes gens qui se trouvaient au rez-de-chaussée entendirent le hurlement de Jimmy et un coup de feu. Puis ce fut le silence. Ils se regardèrent angoissés, se demandant ce qu'il avait pu advenir de leur compagnon.

Perry : il faut que...

Il n'eut pas le temps d'achever sa phrase qu'un bruit de vitre brisé et de tôle froissée se fit entendre tandis que l'alarme du van fit retentir sa sonnerie stridente au beau milieu de la nuit.

Le coeur fou, Perry et Bobby sortirent de la maison. Dehors, la pluie avait fini de tomber et le vent chassait les derniers nuages d'orage, dévoilant une belle nuit étoilée et une magnifique pleine lune brillante. Mais les deux garçons n'eurent guère le loisir de s'attarder sur ce spectacle majestueux, car un autre, macabre celui là, s'offrait à eux : sur le toit défoncé du véhicule, un corps sans tête gisait ; le pare brise, éclaté en mille morceaux et le capot avant étaient couverts de sang et des petits ruisseaux écarlates s'échappant de la gorge tranchée coulaient le long de la carrosserie pour aller tomber goutte à goutte sur l'herbe verte...

Perry : oh mon Dieu ! dit-il, le premier instant de stupeur passé.
Bobby : c'est... c'est Jimmy : ce sont ses vêtements !

Les deux garçons regardaient sans mot dire le cadavre de celui qui à peine dix minutes encore vivait et respirait. Ils n'entendaient plus l'alarme qui au bout d'un moment se tut.

Bobby : il faut qu'on se tire d'ici ! dit-il au bout d'un moment. Il doit y avoir un malade planqué dans cette vieille bicoque !
Perry : moi je veux faire la peau à ce salaud qui a buté Jimmy et qui a certainement tué Danny aussi !
Bobby : je ne sais pas... on devrait peut être appeler la police... hasarda-t-il. Le problème est que j'ai laissé mon portable à la maison.
Perry : c'est bon j'ai le mien. Rentre dans la maison et dit aux autres qu'on se casse ! Moi je passe un coup de fil aux flics !

oOo

Pendant ce temps là au sous-sol.

Wow, clazze la déco ! dit Zoé avec satisfaction en jetant un oeil aux outils chirurgicaux, à la table d'opération, aux bocaux remplis de produits divers. Elle prit un des scalpels, qui était un peu rouillé et le reposa. Elle ouvrit un des flacons et passa son nez au-dessus : sentant une puissante odeur d'acide, elle le reboucha aussitôt.

Balayant sa lampe-torche, elle vit au fond de la cave une grosse porte en acier et à côté un trousseau de clé. La porte était fermée. Brûlant de curiosité, elle s'empara du passe-partout et commençait à chercher la clé adéquate quand elle entendit venir d'en haut le hurlement de Jimmy suivi de peu par le coup de feu.

Qu'est ze qui ze passe en haut ?!

Comme elle se dirigeait vers l'escalier, elle entendit l'alarme stridente du van...

Bobby rentra à la maison tandis que Perry téléphona mais le réseau ne passat pas. Quois de plud normal dans un coin aussi perdu. Il était en train de pester quand il vis une forme imence tomber face à lui. Perry lachat son téléphone surpris en voyant Mean le dominer de toute sa taille armé d'un pique feu de cheminé qu'il avait pris dans la maison.

Perry eu juste le temps de hurler quand le pique feu lui transpersa le crâne de part en part et le cloua à la porte d'entrée.

Entre temps Bobby qui était à quelque mètre de la porte entendit le hurlement et vit la pointe du pique feu ensanglanté et maculé de cervelle traverser la porte.

Son forfait terminer Mean fit le tour de la maison et entra par la cuisine ou il pris une nouvelle arme parmis la baterie d'ustencile.

Bobby se retourna, entendant le cri de Perry puis quelque chose se planter profondément dans la porte d'entrée. Les jambes flageolantes, il s'en approcha avec prudence et se risqua à jeter un oeil au dehors...

Il vit un corps étendu sur le sol puis le pique-feu fiché sur le bois, ensanglanté et couvert d'une substance blanchâtre... Il revint comme un fou sur ses pas, le visage blême, retrouvant Katia, Sophie, Peter et Zoé, qui était remontée de la cave.

Bobby : faut qu'on se tire d'ici vite fait ! Il y a un malade mental, un serial-killer
Katia : où sont Perry et Jimmy ?
Bobby : ils sont morts, leurs cadavres sont à la porte d'entrée !
Sophie : NOOOOOOOOOON !!!!
Zoé : z'est quoi zette hiztoire de zerial-killer ?!
Peter : putain, on va tous crever !
Sophie (au bord de l'hystérie) : c'est pas possiiiiiiiiible !!
Katia : je veux les voir, je veux les voir, je veux les voir...
Bobby : fermez vos gueules ! Faut qu'on se barre par derrière ! Si ça tombe le tueur nous attend devant, bien planqué, prêt à nous massacrer !

Et Bobby, entrainant Sophie qui pleurait comme une Madelaine, suivi par les autres, se dirigèrent vers l'arrière de la maison, c'est à dire vers la cuisine... Leurs visages étaient blêmes et la peur leur nouait les entrailles. Chacun sentit confusément que cette nuit serait peut être la dernière...

Ils laissaient derrière eux leurs sacs de couchage, la bière et la drogue. Zoé tenait toujours serrée dans sa main le trousseau de clé.

Le groupe se diririgère vers la cuisine mais au moment ou il l'atteingnirent la porte explosa dans un fraquas de bois et de verre. Bobby et Sophie qui se trouvaient trop prés furent projeter en arrière Bobby fut blessé à l'épaule par un éclat de verre provenant de la porte vitré. Sophie s'assoma par contre sur un meuble de la maison.

Mean se montra sur toute son horreur. Couvert de sang de boue et de vase et tennant un imposant hachoir. Le masque maudit se mis à réagir en voyant les fille et réveillant la libido de l'horrible boucher qui se mis à bander comme un anne et se mis pousser un horrible rugissement son masque se transformant en une énorme machoire avec une double rangée de dents garnis de crocs.

Bobby était une proie facile il pouvait être tuer en un seul coup de hachoir mais sa libido sexuelle l'influençant il se dirigea droit sur sophie pour la violer.

Alors qu'ils allaient attendre la porte de la cuisine, cette dernière s'ouvrit - ou plutôt explosa - dans un fracas de fin du monde. Bobby et Sophie furent projetés par la violence du choc, cette dernière allant se cogner contre un meuble et tomba assommée.

Dans l'embrasure se tenait un homme - mais méritait-il le nom d'homme ? - d'une taille immense et à la musculature puissante, hypertrophiée même ; il était torse nu, ne portant qu'une espèce de pantalon trop petit pour lui et à moitié déchiré. Sa peau était couturée de cicatrices, couverte de boue et de sang mais ce qui était le plus effrayant était le masque qu'il portait sur la tête et derrière lequel on pouvait deviner deux yeux flambants de haine et de folie. Il tenait à la main un hachoir.

Quand il vit Sophie inerte sur le sol, à ses pieds, une grosse bosse déforma son pantalon et son masque se transforma en une bouche horrible garnie de crocs non moins horribles. La vision d'horreur était telle que Zoé, Peter et Katia s'enfuirent dans l'autre sens, vers l'entrée principale, sans demander leur reste, l'esprit tellement en proie à une terreur animale qu'ils n'avaient plus qu'une seule idée en tête : FUIR !

Bobby gisait sur le sol et essaya de se relever tant bien que mal, son épaule ayant été blessée par un éclat de verre ; quand il vit le monstre baisser son froc, exhibant sa virilité monstrueuse, il ne comprit que trop bien son intention : il voulait violer Sophie.

Courageusement, il se remit sur pied et se jeta sur Mean...

Mean avait baisser sa braguette pour montrer sa virilité monstrueuse mais à ce moment la il ressentis une douleur aigue dans le dos. Bobby c'était jeter sur lui et lui avait planter un éclat de verre dans le dos.

Braillant de douleur Mean fit volte face et se saisit de Bobby par le cou et le souleva sans effort malgré son poid pour mieux le balancer ensuite sans effort à travers la piece comme une poupée de chiffon. Bobby s'écrasat sur une table avec une grande violence et demeura inerte tandis que Mean porta à nouveau son attention sur Sophie qui gémis au sol.

Sans aucun état d'ame Mean arrachat sa jupe et sa cullote. Sophie se réveilla en hurlant quand Mean enfonça son dart dans son anus et la besogna comme une bête en rut.