Visite sur Terre (pv Aya)

Lucian déambulait dans la rue en regardant tout autour de lui, il était enfin sur Terre. Il avait l'impression que cela faisait une éternité qu'il n'était pas venu, il était assez heureux d'être là.
Il marchait sans but précis, Il adorait la Terre, les femmes y étaient moins farouche que dans son pays d'origine il suffisait de voir leur tenues pour s'en rendre compte.
Il croisa un groupe de lycéenne, il aimait beaucoup ces uniformes qui montraient leur jambes, les jeunes filles lui sourirent c'est vrai qu'il était assez beau, il avait eu la chance d'hériter de la beauté de sa mère.
Comme à son habitude il était habillé tout de noir et portait des lunettes de soleil.
Bientôt il arriva dans un quartier différent, les maisons étaient délabrées, certaines abandonnées, il repéra les lieux en pensant que cela pourrait lui être utile par la suite.
Bon maintenant qu'il avait trouvé des coins tranquilles ou amené ces proies il ne lui manquait plus qu'une chose : la proie.
Il regarda autour de lui à la recherche d'une jeune femme seule avec qui s'amuser.

Aya savait que certains quartiers étaient mal famé, c'est ces quartiers là qu'elle cherchait les jours de grosses déprimes, comme aujourd'hui, elle voulait trouver un homme, ou une femme, assez different de la moyenne que kui offrait les quartiers de classe moyenne. Quoi de mieux qu'une zone ou vivent les pires crapules, motards et violeurs de la ville? Franchement, en matiere de différence elle passait du coq a l'âne.
Elle marchait paisiblement, comme chaque fois que notre sublime succube est déprimé, elle portait une robe blanche, tombant a mi cuisse, et s'attachant a son cou par un lacet. Elle ne portait qu'un sous vetement, comme toujours, d'un blanc encore immaculé et marchait telle un ange a la chevelure bleu arrosant son dos et son buste.
Spectacle magnifique qui attirait l'oeil, mais oeil il n'y avait pas. Elle en eut vite marre et se mis a chercher une pile a désir. Un homme, visiblement sur de lui et avec une furieuse envie de se taper une pauvre créature sans défence. Pour une fois, elle pourait voler sans cramer son haut, le dos nue était parfait pour qu'elle fasse sortir ses ailes.
Un instant apres son décolage, le jeune viril senti un coup de vent, il avait une jeune femme derriere lui qui se faisait paisiblement les ongles.

Lucian continuait de flâner tranquillement à la recherche de sa nouvelle proie quand il sentit un courant d'air derrière lui, il se retourna près à se défendre contre une éventuelle attaque, mais ce qu'il vit était tout autre chose.
Derrière lui se tenait une jeune femme magnifique, elle était belle, très belle, trop belle. Lucian enleva ses lunettes de soleil pour mieux la regarder dévoilant ainsi ses magnifiques yeux bleu.
Comment était elle arrivé là il n'y avait personne derrière lui il en était sur et cette beauté... elle ne pouvait pas être humaine.
Cependant humaine ou pas laisser passer une occasion pareil serais de la folie.
Il eut un sourire pervers et s'approcha de la jeune femme.

"Bonjour ma belle, que fait une aussi jolie fille dans un endroit pareil ?"

Aya pris un faux air surpris, elle regarda son interlocuteur et le dévisagea, il était plutot mignon, mais bon, au point où elle en est, il aurait put etre borgne et bossu qu'elle l'aurait chevauché quand meme. Enfin, passons les détails, il avait une tenue noire, et des lunettes de soleils, tres pratique dans les rue sombres. Aya le toisa sans la moindre retenu ni gene, elle n'avait rien a faire de ce qu'il pouvait ressentir, elle cherchait a le jauger, mais pas a aller de suite vers lui.
Apres tout, si on teste pas les manieres de drague de son compagnon, on peut pas savoir si une fois au lit il ment ou si il est sincere. Meme si il resterais le coup d'un soir de déprime, il fallait qu'elle voit de quoi il était capable.

Heuu....je ne m'appelle pas 'ma belle', et je suis perdue, voila tout

Mais bien sur, et comme par magie, elle apparait juste derriere un homme en train de se chercher une compagne pour assouvir ses désirs purements masculins.....La chance! La succube se leva, laissant le vent leger faire voleter sa robe, découvrant par moment les bordures de dentelles de sa culotte. Elle rougissait en le regardant, non par comédie, mais parce qu'il la maté sans retenue. Un tableau plus qu'excitant pour notre jeune femme

Lucian regarda autour de lui il n'y avait personne mais on ne savait jamais et il ne savait pas le genre de réaction qu'aurait la jeune fille. Il décida donc de mettre son masque de gentil garçon. Cependant quand elle s'écarta du mur et que le vent souleva sa robe il ne put s'empêcher de la mater sans retenue.
Elle lui avait dit qu'elle était perdu et il n'en cru pas un mot, la jeune fille paraissait très calme or une fille perdu dans un quartier comme celui là serais tout sauf calme mais si elle voulait jouer à ça pourquoi la contrarier.

"Et puis-je savoir qu'elle est ton nom belle inconnue ? Si tu veut je peut t'aider à retrouver ton chemin ?"

Il lui fit un grand sourire innocent genre je-suis-un-gentil-garçon-qui-veut-juste-rendre-service-tu-n'a-pas-à-te-méfier
en réalité il pensait déjà à la façon dont il allait l'attirer dans une des maisons abandonnée qu'il avait repérée

Aya voyait clairement qu'il cachait son jeu, elle adorait ca, un homme maucvais qui se faisait passer pour un gentil et qui ne se genait pas pour mater ses cuisses et un peut plus haut sous le nez de l'interessé. Lorsqu'il demanda son nom, elle voulut jouer un peut plus longtemps, elle conaissait le quartier, elle savait qu'il y avait une maison depuis longtemps abandonné juste derriere elle, c'est pour cela qu'elle avait atterit juste a cet endroit.

Je me nomme Aya, et je....je ne sais meme pas où je suis exactement, j'ai jamais vue ce quartier avant, je me demande comment je fais pour me paumer comme ca tout le temps, heureusement que personne ne m'attend.

Elle avait usé de ruse, une ruse perfide qui lui vaudrait assurément toute l'attention de sa proie, il croyait chasser alors qu'en fait c'est lui qui se fait traquer. Si elle pouvait mentir sur ses intentions en prendant un air innocent et en faisant des avances déguisé, lui ne pouvait pas mentir a une succube, ses désirs trop forts le trahissait, il avait envie de la prendre dans une des maisons qui tombait lentement en ruine. En y repensant, cet endroit ressemble fortement a la zone des bas fonds de Nexus....Passons, il mentait bien, pour une humaine elle serait vite tombé sous le charme de ce visage angelique et de l'azur de ses yeux. Aya elle laissa le vent porter quelques meches de cheveux bleux en meme temps que sa robe, non elle a pas fait expres de ce mettre en plein courant d'air, il pouvait a nouveau entrapercevoir sa lingerie. Qu'allait il faire? Ceder au j'ai personne qui m'attend chez moi et je vous laisse me mater dans broncher ou menera t il un petit manege grotesque mais amusant pour la conduire dans son lit de gré?

Lucian regarda un moment Aya sans rien dire, elle mentait il en était sur, mais pour le moment il ne savait pas encore ce qu'elle lui voulait.
Le vent souleva de nouveau sa robe, dévoilant ses sous vêtements et un léger sourire en coin apparu sur le visage du jeune homme, une jeune fille "normale" aurait retenue sa robe mais elle elle la laissait voler sachant très bien qu'il pourrait voir en dessous.
Lucian n'était pas du genre patient, il ne l'avait jamais été il décida donc de mettre les choses au clair tout de suite, il n'avait pas envie de perdre son temps.
Il s'approcha de la jeune femme la fixant dans les yeux, son visage avait perdu  son masque de gentil garçon, il la poussa contre un mur avant de placer les bras de chaque coté de sa tête. Il se pencha vers elle laissant seulement quelques centimètres entre leur visage et murmura

"menteuse, tu n'a jamais été perdue qu'es-ce que tu me veut ?"

Aya ne comptait pas du tout se laisser faire, il ne l'aurait pas de cette maniere, elle mentait, et bien en plus. Il la plaqua contre le mur en tombant les masques, le succube lacha un cri de fausse peur en détournant le regard de son agresseur. Elle n'avait pas peur, mais elle en donnait l'impression, voulant flatter l'égo de son agresseur. Elle joua le jeu jusqu'au bout.

Je suis perdu, je ne sais meme pas comment je suis arriver ici....vous me faites mal...arretez ca!!

Il n'allait probablement pas lacher l'affaire, mais elle se devait de garder son masque, elle ne voulait pas le faire fuir en brisant son piege comme une brindille séché. Aya aimait prendre son temps, se faire plaisir. c'était son passe temps a elle. Mais, il ne semblait pas mordre a l'appat de la jeune femme perdu qui n'est attendu par personne, cette vieille ruse avait souvent marché par le passé, les hommes sont tous les memes, une belle femme, un lieux lugubre et savoir que personne ne se souciera d'une disparition de quelques heures et le tour est joué.

Je vous en pris...ne me faites pas de mal

Elle jouait bien la comédie, des larmes perlaient a ses yeux, elle ressemblait vraiment a une fille errorisé par son agresseur, c'était bien ficelé tout ca, mais quand est ce qu'il tenterait quelque chose de plus oser qu'une poussette sur un mur?

Lucian eut un rire mauvais si elle croyait que quelques larmes allait l'arrêter, elle lui dit qu'il lui faisait mal, cela l'amusa

"je pourrais te faire beaucoup plus mal que ça, arrête de pleurer j'ai horreur de ça"

Il ressera l'étreinte autour de ses poignets, son ton était sec autoritaire, n'importe qu'elle humaine serais morte de peur, on voyait qu'il avait l'habitude de se genre de situation, elle ne voulait pas qu'il lui fasse mal, elle semblait avoir peur, cela ne faisait que l'exciter d'avantage.

"Mais je ne veut pas te faire de mal ma jolie, ce serais dommage d'abimer un si beau corps, je ne te veut que du bien, mais maintenant si tu ne te laisse pas faire je risque de perdre patience"

Il colla son corps contre le sien, il sentait sa poitrine ferme à travers le fin tissus de la robe, il lui attrappa les deux poignets dans la même main de façon à se dégager. Sa main libre vint glisser sur la cuisse d'Aya avant de passer sous sa robe et de se glisser dans sa culotte

Aya poussa un cri de frayeur ettoufé lorsqu'il lui dit qu'il pourrait lui faire plus mal, elle n'avait pas la moindre douleur a ses poignets, son étreinte faible colle les caresses du vents ne l'effraya pas une seconde, mais mla credibilité de son personnage était en jeu, elle se laissa faire, laissant un gémissement de dégout s'echaper lorsqu'il passa la main sur sa cuisse avant de remonter, elle écarta tout de meme pour qu'il puisse mieux entrer. Il arriva finalement en terre promise, elle gemit lentement, elle prenait son pied en jouant a la soumise, comment se comporterait il lorsqu'il découvrirait que celle qui ire les ficelles depuis le début c'est elle?

Haaa....Je....je vous laisserez faire....ne me faites...rien...je vous promet de ne pas fuir...

Encore heureux, elle se donne un mal de chien pour se trouver un mec potable, elle va pas fuir, ses mains au dessus de sa tete montre sa magnifique poitrine et la seule attache derriere sa nuque l'empechant de se retrouvé presque nue. Elle le savait, le prochain mouvement de Lucian serait de la penetrer de ses doigts avant de faire tomber sa robe, elle en était terriblement excité. Pour l'instant elle se contentait de gémir et de baisser les yeux, comme une femme qui se résigne a se faire violer dans un coin sombre de la rue, sans aucune échapatoire.

Lucian ne répondit pas mais il avait remarqué qu'elle avait légèrement écarté les cuisses à l'approche de sa main, il ne montra pas qu'il l'avait remarqué et cela accentua son désir, apparement la demoiselle voulait jouer. Très bien ils allaient jouer.
Il continua de caresser sous sa culotte mais sans faire entrer ses doigts en elle, il ne touchait pas ses seins ne regardant même pas sa poitrine.
Finallement il enleva sa main et se decolla d'elle. La tenant toujours par la main il l'entraina vers une maison vide.

"J'aime être tranquille quand je m'occupe d'une fille, là on ne nous genera pas"

Une fois à l'intérieur il la poussa au sol, c'est maintenant que le jeu allait commençer.

Aya senti une hésitation, elle n'aurait pas due écarter legerement les cuisses, mais apres tout, meme si c'est un viol, une femme a le droit de se faire plaisir quand elle s'avoue vaincue? Enfin, si il l'avait percé a jour, il allait pas ere decue. Il continua a la tripoter, sans toucher a sa poitrine, laissant sa main dans sa culotte, la caresser sans douceur, lui arrachant de petits gémissements contenus, elle jouait les effarouché et ne pouvait avouer prendre son pied, aucune femme dans sa situation l'aurait fait, mais toutes auraient pris du plaisir a se faire caresser, meme brutalement, la perle et les levres.

Il fini par se lasser de ce plaisir trop peut jouissif pour les hommes, il la traina dans la maison derriere elle et la jetta au sol. Aya se leva a moité, serrant ses cuisses et les rapabants un peut, elle écarta sa meche bleu de son visage en souflant dessus. Il l'avait jetter au sol et allait la violer, elle prenait l'attitude craintice et résigné. Maintenant allair commencer le jeu

Cette fille intriguait Lucian, quelque chose clochait mais il n'arrivait pas à mettre la main dessus et celà l'énervait. L'attitude d'Aya ne lui parassait pas claire, elle ne s'était pas défendu, n'avait pas essayé de le repousser ou de s'enfuir. Il resta debout devant elle à la regarder pendant un moment. Bien sur il la voulait mais il voulait surtout savoir à qui ou à quoi il avait affaire. Il la regarda sans gêne s'attardant sur ses courbes, il sentait le désir monter en lui c'était d'aileurs déjà visible au niveau de son pantalon, mais avant... une boule de feu sortit de nul part fonça sur la jeune femme toujours au sol, la température de la pièce était immédiatement monter de quelques degrés preuve que le feu était réel

Aya restait comme une bete apeuré, les genoux contre sa poitrine, elle mettait encore plus cette derniere en valeur de la sorte. La succube se fit toiser, il admirait ses courbes et commencait a vouloir jouer avec elle, a la bonne heure, elle n'atend que ca, qu'il vienne et qu'il la prenne. Mais un truc clochait, il l'avait presque violé dans la rue mais ici, a l'abris des regards, il ne la touchait meme pas. Son orgueil l'avait elle rendu moins désirable? Elle ne le savait pas, elle se contenta de se recroqueviller comme une créature chétive, elle avait un visage reflettant la peur, la crainte et surtout la soumission. Il ne comprenait pas pourquoi elle n'avait pas fui, en lui montrant se visage, peut etre qu'il arriverait a la conclusion qu'elle était trop soumise pour oser deshobeir a un homme.
C'est alors qu'une boule enflamé tomba, Aya l'évita sans grand mal, mais c'était peut etre un peut beaucoup ce genre de reflexe pour une humaine chetive.

C'est....c'est...quoi ca...la...la maison est hanté...

Elle minaudé une frayeur incroyable, mais elle avait parfaitement compris, il n'était pas humain, elle savait que c'était un habitant de Terra et qu'il avait pour terrain de chasse la terre, probablement un homme frustré de sa petite virilité qui preferait violer les femmes plutot que de les conquerir, elle esperait se tromper, mais juste sur la taille de la virilité. Un crochet dépassant d'une table mal concue servit alors son plan machiavélique, elle se releva rapidement en déchirant la totalité de sa robe dans son dos, elle tomba au sol alors qu'Aya partiatt se cacher dans un coin, faisant bien attention aa laisser des meches sur sa poitrine, en signe de pseudo pudeur

En lui envoyant du feu il voulait voir sa réaction, une humaine aurait hurlé elle, elle l'avait évitée sans peine. Elle se releva trop près de la table et un vieux crochet lui déchira sa robe. Elle se retrouva alors en culotte devant lui et alla se réfugier dans un coin de la pièce. Soit cette fille était une humaine malchanceuse avec de super réflexe soit elle était autre chose. Tout dans son attitude semblait être calculé.
Mais peu importe, puisqu'elle était à moitié nue autant finir le travail, Lucian fixa la culotte de Aya qui prit feu tombant sur le sol mais sans blesser la jeune femme. Le tissus s'était consumé mais sa peau n'avait même pas ressentie de chaleur. Il s'approcha d'elle l'attrapa par le bras et la ramena au centre de la pièce.
Il la forca à s'allonger et se mit sur elle encore habillé, il poussa ses cheveux pour voir sa magnifique poitrine qu'il se mit à caresser et à malaxer sans douceur, il n'était pas là pour son plaisir à elle mais pour le sien. Il la mintenait au sol et se pencha prenant un de ses seins dans sa bouche l'aspirant, laissant sa langue jouer avec la pointe, qu'il sentait durcir. Il leva les yeux vers elle et lacha son sein pour aller l'embrasser, il se décalla pour avoir un meilleur accès à son corps et descendit sa main vers son sexe qu'il se remit à caresser, entrant deux de ses doigts en elle.