Visite sur Terre (pv Aya)

Il  ne restait plus qu'une culotte blanche a Aya, maintenant, il n'y avait plus rien, ce rustre l'avait brulé, elle fit mine de prendre peur et se recroquevillat dans le coin de la piece avant de se faire trainer par le bras sans douceur et jeter au millieu du plancher poussiereu, elle s'écorcha les bras, laissant paraitre dans son regard de la fureur, elle avait horreur qu'on la blesse, qu'il continue sur sa lancé et il comprendra ce que le mot dominatrice veut vraiment dire.
Pour l'heure, elle restait soumise, fermant les yeux sous les attouchements de son violeur, la succube gemit comme pour lui dire qu'il ne lui faisait aucun bien avant de lacher un cri de surprise quand ses doigts la penetrerent, elle se senti mouiller abondament, il était allait directement, sans prendre le temps de chauffer la jeune femme, elle trouvait ca terriblement plus excitant, l'ambiance d'n viol, l'absence de douceur, l'envie primere qu'un homme satisfait sans demander son avis a sa femme.

Haaa, non, pas ici, pas par terre, je vous obéirez, mais pas ici, je ferais tout, tout ce que vous voudrez....

elle était supliante, non pas qu'elle n'aimait pas, mais un lit, aussi pourri soit il est toujours plus confortable que le sol, mais elle ne pouvait pas encore lui reveler qui elle était, si elle le faisait, il n'y aurait plus rien d'un viol et ca ne serait plus drole, ni pour lui et encore moins pour elle

Il sentait la mouille d'Aya lui couler sur les doigts, elle protestait mais son corps lui en demandait encore et il allait lui en donner. Mais pour le moment ses pleurnicheries l'énervait, il avait deux solutions soit il la frappait pour la faire taire ou bien...
Il attrappa Aya et la releva il la prit sur son épaule et monta à l'étage, dans une des pièces un vieux matelas était appuyé contre un mur il le mit par terre et jetta la jeune femme dessus.

"Madame est-elle satisfaite ?"

Son ton était ironique, mais elle avait raison se serais plus confortable. Il se débarassa de ses vêtements et se retrouva nu devant Aya qui pu admirer son corps musclé ainsi que son sexe déjà dressé. Il se placa debout devant elle et l'attrapa par les cheveux pour la mettre à genoux, puis il approcha son sexe de son visage.

"Va y montre moi comment tu te sers de ta bouche"

Il aura mis le temps a comprendre que baiser sur le sol et baiser dans un lit c'est pas du tout la meme histoire. Il attrapa la succube sans ménagement et la posa sur son dos. Il aurait put etre plus doux, mais vue qu'il ne savait pas tenir ses promesses de ne rien faire de mal aux femmes qui ne se débatent pas. Quel beau parleur, en plus il jouait les déménageurs en la portant sur son épaule comme on porte un colis. Ce petit détail poussa Aya au bord de la déconcertation, elle était a deux doigts de faire cesser ce jeu et de lui briser les os un a un. Enfin arrivé dans une chambre, la blondasse australienne étala au sol un vieux matela qui sera l'office du viol avant de jeter son colis dessus et de lui demander si elle était satifaite.

Oui...oui...maitre...je suis heureuse ...

Elle jouait son jeu, il voulait la dominer, il la dominerait, elle l'appelerait maitre pour qu'il comprenne. Pendant qu'elle lui exprimait ses remerciement qiui étaient sincere eux, elle ne voulait pas se ruiner le dous et les genoux, il se déshabilla et lui tira les cheveux pour appuyer son membre contre sa joue avant de lui demander ce qu'elle savait faire avec sa bouche. Aya tourna la tete, elle jouait, elle voulait qu'il la force, qu'il l'oblige par la violence a le sucer, elle se délectait de ce qu'il allait lui faire, voyant déja son gland suinter, il pouvait la prendre sans avoir besoin de cette attention, c'était simplement pour son bon plaisir qu'il faisait ca.

(blondasse australienne tu abuse )

Quand Lucian avait dit à Aya qu'il ne lui ferais pas de mal il entendait par là qu'il ne la fapperait pas, pas qu'il serait doux et tendre avec elle. Elle tourna la tête refusant de le sucer ce qu'il n'appréciat pas, le fait qu'elle l'apelle maitre ne lui fit pas beaucoup d'effet il était habitué qu'on l'apelle comme cela là ou il vivait.

"Je t'avais dit que je serais gentil tant que tu obéirait et là tu n'est pas obéissante"

Il avait dit celà très bas, il attrapa son visage et la forca à lever la tête, il utilisa sa seconde main pour lui boucher le nez, l'obligeant à ouvrir la bouche pour respirer, il lui maintient la bouche ouverte de force et enfonça son membre à l'intérieur. Il posa ses mains de chaque coté de sa tête et commença à faire des va et vient dans sa bouche comme il l'aurait fait dans son sexe

(quoi tu veux que je lui brise la virilité a ton australienne en rut?)

Elle arrivait au point qu'elle désirait, voir ce qu'il allaot lui faire si elle refusait deceder a sa demande de plaisir solitaire. La réponse ne se fit pas attendre, Lucian attrapa la tete de la succube en lui pincant le nez, il aurait put rester longtemps comme ca, mais elle acceda a sa demende en ouvrant gentiment la bouche, faisant mine d'avoir besoin d souffle. Il maintegni de force les machoires de la jeune femme ouvretes pour pouvoir y faire entrer sa virilité. Enfin!

Elle se laissa faire docilement, il lui placa les mains de par et d'autre de sa tete et commenca a lui baiser la bouche, Aya ne pouvait pas nier apprecier. Bien au contraire, alors qu'il faisait les va et viens a sa guise, laissant parfois son sexe au plus profond de la gorge chaude de la succube, elle se touchait l'intimité et s'excitait grandement, l'autre main prenait appuie sur la cuisse de Lucian, avant d'aller derriere lui et de lui caresser tendrement la fesse. A cette félation elle alliait la langue qui s'enroulait autour du membre de son violeur, apres tout, il la baisait pour son plaisir? Autant lui en offrir. Elle lui raclaiit le sexe de ses levres a chaque passage, laissant un bruit assourdissant de sucion alors que sa langue lui cahatouillait la veine principale. Elle pouvait le tuer de plaisir rien qu'avec une féllation. Qu'il ne joue pas trop avec elle, ca pourrait tres mal finir pour lui, heureusement pour la blondasse, la magnifique Aya était dans un etl état de manque qu'elle ne le ferait pas

Lucian ne connaissait pas les succubes il en avait entendu parler mais ça s'arretais là, il fut donc un peu décontenancé par la réaction d'Aya, il se doutait que tout cela ne lui déplaisait pas mais quand elle descendit sa main vers son intimité et qu'elle commença à se toucher il fut surprit. Il lacha la tête de la jeune femme qui continua à le sucer il se demanda même si elle s'en était rendu compte. La bouche et la langue d'Aya lui procurait un plaisir infinie mais il n'aimait pas se sentir impuissant face aux caresses d'une femme. Il lui reprit la tête et sortit son sexe de sa bouche.

"tu te débrouille pas trop mal même si doit dire que j'ai connu mieu"

Il s'agenouilla face à elle et prit la main qu'elle avait entre ses cuisses il porta ses doigt couvert de mouille jusqu'a sa bouche et les lécha doucement. Il relacha la main de la jeune femme et lui caressa doucement le visage il s'approcha d'elle et l'embrassa doucement, tendrement. Il la fit s'allonger sur le dos et descendit sa main sur son sein qu'il caressa très doucement, puis sa main glissa sur son ventre avant d'atteindre son sexe, ses doigts glissait dans la fente humide d'Aya effleurant son clitoris.

Lucian prenait son pied, mais la voir se toucher lui fit écarquiller les yeux et laissa un sourire satisfait sur les levres de la succube qui se faisaient toujours, assez violemment, baiser. Enfin, il ne la baisa plus longtemps, il lacha sa prise sur la tete d'Aya, lui laissant son rythme pour lui faire du bien, elle n'en avait rien a faire qu'il veuille la violer, pour l'instant elle s'excitait, et sucer alegrement le membre de son partenaire en entendant ses soupirs d'aise l'aidaient fortement. Le violeur, du moins ce qu'il croit etre, retira la bouche de sa victime de son membre dur et recouvert de salive avant de lui dire que c'était pas trop mal....Qu'il ment mal...il était rouge de plaisir et sa voix puait le désir, il ne pouvait pas lui mentir, c'est ca de vouloir coucher avec n'importe qui, on se retrouve avec une personne qui sait lire les désir, les siens étaient extasé par son traitement.

C'est alors qu'il lui retira les doigts la masturbant, un regard noir lui fut décoché mais il se rattrapa en sucant sa mouille avec délice, il avait changé, il n'était plus violent, il était doux, avait il compris qu'il jouait avec sa vie? Ou silmplement qu'il n'avait pas a etre violent avec les femmes pour avoir ce qu'il veut? Enfin, il la caressa avec douceur et tendresse, l'embrassant et la couchant. Pour coller a son personnage, il dut la contenir un peut, Aya se débatait avec une force de mouche pour ne pas se faire coucher, comme une fille qui sait que c'est innévitable et qui lutte avec ses derniere force avant de gémir sous ses caresses en rougissant de honte

Non....je vous en prie....j'ai....j'ai fait ce que vous vouliez maitre....pitié, pas ici

En gros elle l'encourageait a y aller, sans la moindre hésitation, la prendre sans se soucier des consequence, et surtout elle lui souffla la suite qu'il devait faire, avec un délice notable qu'elle cachait derriere une voix suppliante

Non n'entrez pas par derriere pitié......je vous ai sucé....ne me prenez pas comme une bete

Elle jouait avec lui il en était maintenant sur mais cela lui plaisait, il n'avait pas de don mais il savait reconnaitre une fille qui avait vraiment envie, cependant il continua le jeu.

"Oui tu as très bien obéi c'est pour ça que je t'offre un peu de douceur"

Il continua de lui caresser le sexe recouvrant ses doigts de mouille quand elle le supplia de ne pas entré par derrière il fit glisser ses doigts entre ses fesses et caressa doucement son anus avant de rentrer deux doigts à l'intérieur

"tu veut dire que je ne doit pas aller là ?"

Il fit glisser ses doigts en elle la caressant doucement, il descendit le visage vers la poitrine d'Aya et prit une de ses pointe dans la bouche, il commenca à l'aspirer doucement et joua avec sa langue pour la faire durcir

Il voulait exciter Aya? Alors qu'est ce qu'il attendait pour la violer? Elle cria legerement lorsque ses doigts entrerent dans son anus, un cri qu'elle voulait de peur, de surprise et de douleur mais qui n'était que délice, plaisir et enve de sodomie bestiale. Il jouait aux préliminaires, un pietre violeur...Mais elle avait le coup, il devenait violent si on refusait ses demandes, c'est donc ce qu'elle fit, elle retira les doigts de son anus et écarta sa bouche de ses seins déja dur de plaisir avant de reculer un peut sur le lit, recroquevillé, la croupe bien en vue

Non.....je vous en supplie....arretez.....je ne veux pas....je veux pas ca pour ma premiere fois....

Et voila comment le convaincre de zapper les préliminaires et de la violer dans la saconde, en plus, sa position était bonne, elle était roulée en boule pour se protéger, mais dans cette position, elle était plus que facilement sodomisable, c'est ce qu'elle attendait impatiemment, qu'il la prenne sauvagement, qu'il essaye de montrer que c'est lui le grand chef. Une vrais sadique qui en plus est maso. Elle attendait son viol avec impatience, qu'il la prenne comme un animal, sans ménagement, peut etre qu'il aurait un cadeau si il se débrouillait bien...

Lucian soupira et leva les yeux au ciel.

"Tu me supplie de ne pas te faire de mal et quand je suis doux tu te débat encore"

Il tourna ses yeux vers elle et son regard s'attarda sur sa croupe. Il se leva et s'approcha d'elle, l'attrapant par les cheveux il la força à ce mettre à 4 pattes, il placa une de ses mains sur sa nuque pour l'empécher de se relever et lui maintenait la tête en contact avec le matelas.
Il se placa à genoux derrière elle et  frotta son glan contre son sexe il la prendrait peut etre par la plus tard. Puis il se mit face à son anus et la pénétra d'un coup entièrement, il commença immédiatement à la prendre sans douceur. Elle l'avait énervé, il la prenait sauvagement usant de grand coup de rein il faisait glisser toute la longueur de son sexe en elle.

Aya s'attendais pas vraiment a ca, elle se retint de lui briser le poignet quand il la pris par les cheveux, ca faisait un mal de chien! Elle se laissa mettre a quatre pattes en grognant sous la douleur et esquissant un leger sourire quand il se présenta devant son orifice. Elle frissona de plaisir quand elle senti le sexe de son "maitre" sur son intimité, c'était si bon. Mais elle continua a frémir quand il la pénétra violement avec son membre, déchirant son anneau de velour, c'était si bon, si violent....il aimait la prendre sauvagement, elle aussi aimait sentir son anus se faire violer de la sorte.

Haaa...pitié...

Une larme de joie perla sur son visage avec ses cris, on aurait cru qu'elle avait mal, qu'elle haissait ca, mais en fait elle jubilait de plaisir, la douleur lui offrait un bien fou, elle se sentait mouiller de cette maniere, c'était jouissif, elle serrait le matela en laissant couler ses larmes avec abondance, elle ne pleurait pas de douleur mais de joie de se faire sauvagement violer de la sorte. C'était ca le plaisir des succubes.

Elle s'était mise à pleurer dès qu'il avait commencé à la prendre et il s'en fichait royalement tant qu'elle se laissait faire elle pouvait chialer autant qu'elle voulait. Ses coup de reins redoublèrent de force, il voulait l'entendre crier que ce soit de plaisir ou de douleur lui était égal. Il continuait de la prendre le plus sauvagement possible. De temps en temps il sortait complètement son sexe d'elle pour le rentrer entièrement ensuite, il lui lacha la nuque pour qu'elle puisse se redresser et posa une de ses main sur sa poitrine, il prit un des tétons d'Aya déjà durci par l'excitation et le fit rouler entre ses doigts, sa seconde main passa entre les cuisses de la belle et ses doigts virent jouer avec son clitoris. Il comptait bien lui faire aimer se traitement il ne se rendait pas compte que c'était déjà le cas.

Les larmes ne tarirent pas, il fallait rester crédible! Mais les soupir de plaisir mélé a ses cris étaient tout a fait probant, Lucian lui faisait du bien, et pas qu'n peut meme, en lui violent son anneau de velour sa la moindre hésitation. Mais ca ne s'arreta pas la. Elle le senti lui caresser le bout des seins, jouer avec, qu'est ce qu'elle aimait ca....Mais pas maintenant, pour le moment, elle jouait la soumise. Elle voulait qu'il s'amuse un peut lui aussi c'est pour cette raison qu'entre deux cri de plaisir.

Non...pitié....haaa....mmmh

Elle aimait de plus en plus les facons de son violeur, sa maniere d'apporter une pointe de douceyr dans son viol, qu'importe, il était en train de la violer et elle mouillait comme jamais, c'était délicieux, il était en train de la prendre sauvagement, sa muille ruisselait le long de ses cuisses, c'était merveilleux.

Llllh encore...prend moi...

Llllh encore...prend moi...

Lucian eut un léger sourire en coin.

"On dirais que tu aime ça finalement. Très bien je vais t'en donner encore."

Il se cala bien derrière Aya et ses coups de rein redoublèrent d'intensité après tout si elle aimait ça il n'avait aucune raison de se retenir, il la prenait sauvagement de toute la longueur de son membre. Il lacha son sein et remit ses deux mains sur ces fesses qu'il lui forca à serrer de cette facon son sexe avait plus de mal à passé et elle devait le sentir encore plus en tout cas pour lui c'était meilleur comme ça.

Elle aimait ca, la douleur était perfide chez elle, ca lui donnait encore plus envie, mais pas une envie d'etre soumise, une envie de le soummetre. Et elle allait le faire, mais pour l'instant elle profite, elle senti ses mains se cramponer a ses hanches et s'étira comme un chat en posant paisiblement la tete contre ses bras croisé en soupirant legerement, elle aimait cette violence, mais plus au point de le crier. Elle semblait presque s'endormir sous les coups violent qui aurait fait hurler plus d'une femme de douleur, mais bon, elle était maintenant habitué a sa violence, il n'est pas encore au point. Il lui agripa chaque fesse pour la forcer a se resserer, chose qu'elle faisait le plus naturelement du monde, comme marcher ou respiré, c'était un reflexe poue elle...Mais elle ne sentait plus rien, peut etre que notre jeune homme y était allé trop fort. Avec un large sourire elle tourna la tete et regarda son violeur sans peur

Dis moi, ca te tente de subir la meme chose?

Son sourire était pas aguicheur mais carnacier, il allait comprendre sa douleur, sa voix était maintant une voix tout a fait normale, pas effeayé ni apeuré, ni meme surprise, elle parlait comme si c'était un passant dans la rue. Autrement dit, elle poussait son violeur a bout, bientot il cedera et c'est là que ca deviendra vraiment drole, pour l'instant, la queue de la succube chatouille le cou de son violeur dans l'esprit de cette derniere, il n'a qu'un mauvais geste a faire et d'image on passe a réel et sa gorge se retrouve tranché.