Les promenades ne sont jamais sans danger ... [pv]

Après 3 heures de cour de violon intensif, organisé par l'un des plus grands établissements de la ville en échange d'un peu d'argent. Krory n'aimait pas travailler mais le besoin d'argent passait avant tout enfin presque... Cela avait aussi des points positifs, grâce à celle-ci Krory pouvait trouver de nouvelle proie a dévergonder. Mais cette fois- ci ce fut un échec.

Il décida donc de faire un petit tour pour se changer les idées dû a son insuccès.
Un Insuccès lié du faite qu'il n'y avait aucune femme présente lors de ce cour....
Après ce cour, Krory alla  arpenter  les rues de la ville à la recherche d'un passe temps ou d'une activité pour lui changer les idées mais  une certaine monotonie c'était installé en lui . Le bitume , les bars , les boites de nuit , toujours la même chose , toujours les même personnes ..

Il changea donc son itinéraire et passa cette fois-ci vers l'extérieur de la ville, un endroit qu'il n'avait peu visité. A mis chemin, l'homme passa devant un portique en métal  très intrigant  avec un petit panneau où il était inscrit " Parc public " Juste en dessous on apercevait un petit message gravé dans le fers

" Quand la routine deviens présente , rien ne vaux un petit tour , Dans le bois sans aucun détours"

Un message très mystérieux qui intrigua le jeune homme. Il ouvra le portique qui laissa place à un petit sentier  sombre  qui s'enfonçait dans la noirceur du bois .
Krory remis en place l'étui de son violon qui avait glissé. De suite commença à prendre le petit sentier....

     

J'accélérais le pas, la cible fit de même. Une cible qui n'avait rien à avoir avec les habituelles. Cette fois il ne s'agissait ni d'un vampire, ni d'un monstre d'une quelconque espèce. Non, ce n'était rien d'autre qu'un enfant. Un enfant qui s'était enfuit de chez lui et allait savoir comment, j'avais croisé ses parents sur ma route qui m'avaient demandés mon aide. Fait que je n'ai pu refuser bien évidemment.  Et cela faisait maintenant plusieurs minutes que la course-poursuite avait débuté, commençant dans les rues du centre ville de Nexus pour se diriger vers les bas-fonds ou de nombreuses ruelles sombres pouvaient faire office de cachettes.  Le bruit de ses pas résonnaient sur les pavés délavés des ruelles, il n'était qu'à quelques mètres de moi. Le voyons bifurquer à un tournant, je fis de même avant de me retrouver dans un lieu différent du présent.

Les pavés avaient laissé leurs places à de l'herbe, les bâtiments étaient devenus des arbres feuillus, une légère brise soufflée en cette nuit étoilée. Je ne mis pas longtemps à comprendre ce qui venait de se passer. Je venais simplement d'arriver sur le plan Terre, comme il fut le cas à l'époque avant cet «  incident ».  Je poussais un soupir, passant une main sur le collier de métal entravant mon cou. Bon, on ne pouvait pas dire que je n'avais pas de chance. Je poussais un second soupir et commença à marcher.  Tout me laissait penser que j'étais arrivée dans ce fameux sous-bois qui est aussi composé d'un parc. Si c'est le cas, il ne me sera pas bien difficile de trouver la sortie.  Tout en marchant, je me mis à réfléchir sur le comment revenir sur Terra. Cela n'allait pas être facile du tout.

Je n'avais rien à craindre, mes attributs canins étant déjà dissimulés, je n'avais pas besoin de m'assurer que ce soit le cas. Un souvenir nostalgique me parvint ou plutôt plusieurs souvenirs, en ces lieux, les rencontres avaient été nombreuses. Je parvins à trouver le sentier qui bordait la forêt au bout d'un certain moment. Humant légèrement l'air pour trouver la sortie, je prie la direction de droite de laquelle émanait le fort parfum de la circulation et de la civilisation. Une odeur bien nauséabonde il en va de soi. Je portais mes mains derrière mon dos, les croisant tout en marchant d'un pas calme. Je finis par froncer légèrement les sourcils en apercevant au loin une ombre qui se mouvait.  Qui pouvait bien se balader dans ces bois en une heure si tardive ?

je marchais doucement observant les beautés de la nature, me vidant les pensés et oubliant cet rare échec. Cela devais être le troisième échec en un mois sachant que je n'avais réalisé que peu de défaite, mais bon cela pouvais arriver et je n'allais pas déprimer pour sa. 

Après avoir marché environ 10 minute, je me retrouva éloigné de tous perdant mes repères de cause de l'obscurité et du silence qui régnais en maitre  dans ce sous-bois , un silence apaisant mais à vrai dire légèrement terrifiant. J'analysais autour de moi la végétation et les animaux, des arbres  et quelques arbustes.  Un ou deux oiseaux nocturne et je crois même une chauve-souris . Tout d'un coup je me pris d'un sentiment nostalgique une envie de jouer du violon .
Je trouva un morceau de cime sur le sols. Je m'assis dessus, sortis mon violon et me le mis sur mon épaule.
Je réfléchis à la mélodie que j'allais jouer, ne voyant personne je décida de jouer  la tirade mélodieuse, une mélodie que j'aimais particulièrement jouer quand il n'y avais pas trop de monde dû à son effet ravageur on va dire ...

Je commença donc à en jouer , les premières notes commencèrent à s'élever et à raisonner dans la foret , le sons raisonna sur les arbres plus particulièrement sur les feuilles ce qui donna un effet de résonance pas du tout désagréable . je me sentis libre et me renferma sur moi oubliant l'extérieur et les alentours ne se préoccupant plus du danger . 
Je me mis à fermer mes yeux  et a oublier ma vie.

Je continuais à avancer sur le chemin tortueux, l’ombre s’approchant également. Sa démarche était hasardeuse et chancelante.  Continuant ma route mais restant sur mes gardes,  j’arrivais à  la hauteur de l’inconnu. Ce n’était rien d’autres qu’un ivrogne qui avait juste eu une descente un peu trop facile comme à son habitude. La démarche, le parfum d’alcool et les habits tâchés de substance gastrique résumaient bien l’état dans lequel cet homme se trouvait. Ma décision fut vite prise, je préférais continuer sans lui adresser la moindre parole. On ne sait jamais ce qui peut arriver avec des hommes dans un tel état.

Au bout de plusieurs minutes de marche, je décidais de faire une halte. M’adossant contre le tronc d’un vieil chêne robuste, j’écoutais les sons de la forêt. Le hululement des chouettes, les petits mouvements dans l’herbe, le hurlement des loups…Tout cela constituaient la musique nocturne du sous-bois. Une musique naturelle et inimitable. Pourtant, un autre son parvint à mes oreilles. Un son mélodieux, un son que je n’avais encore jamais entendu.

Fermant les yeux pour me laisser bercer par la mélodie portée par les vents, un sourire commençait à s’afficher sur mon visage. Je revoyais tous les bons moments que j’avais connu dans le passé oubliant tous ce qui n’avait été que crainte et peur. Un sentiment de bonheur et de joie intense. Je finis par m’éloigner du tronc de l’arbre, cherchant à savoir d’où pouvait provenir un tel son et quel en était son origine.

Je marchais ainsi en écoutant les sons mélodieux, un instrument cela devait être un instrument. Mais par qui était il joué ? Je finis par entrevoir un jeune humain jouant du violon dans ce bois sombre. C’était donc lui l’origine de cette mélodie ? Je ne parvenais pas à la distinguer mais je préférais fermer à demi les yeux pour mieux écouter la mélodie jouée.

J'étais en transe entouré par la musique du violon . Cette mélodie m'apaisais beaucoup . A la fin de la partition je rangeas  mon violon  dans son étui et le posa par terre .
j'avais envi de me posais 10 à 20 minutes pour me  mêler à la nature et ressentir  les bienfaits de mère nature . Ici l'air était pur et non polluer. Je pris une fleur sur le sol et la sentis , merveilleux. Le sens de l'odorat est l'un des plus merveilleux sens, juste après le toucher bien sûr...

Après un repos de 10 minutes je me leva et repris ma route , j'entendis plus loin sur le sentier un petit brui, un souffle, une respiration se dégageais. Très curieux je décida d'aller voir .Je me trouvas nez à nez avec une femme, une jolie femme avec de belles formes et deux seins bien rebondi , je ne pu m'empêcher de les regarder en espérant qu'elle ne le voit pas ...       

La musique était vraiment des plus agréables à écouter. Une mélodie qui vous envoyé dans un autre monde vous faisant oublier tout vos soucis, ne gardant que les purs instants de bonheurs dans votre vie. Malheureusement la mélodie prie fin au bout d'un moment. Un soupir s'échappa de mes lèvres, un soupir de frustration. Pourtant, je restais là, écoutant encore les murmures de la nuit, la longue veste noire que je portait flottait doucement sous la brise légère. Je ne faisais pas attention aux autres sons, mal m'en pris. Quand je rouvris les yeux, je pu apercevoir un humain situé à quelques pas m'observant.

Un léger grognement, presque inaudible. Tout ce que je pouvais voir, c'est que ce dernier avait les yeux braqués sur ma poitrine. Super encore un pervers, comme si j'en avais pas connu suffisamment.  Je croisais les bras, l'observant. Était-ce lui qui venait de jouer cette mélodie ? Mon intention se porta sur le violon présent à ses côtés. Mes suggestions étaient confirmées. Moi qui pensait ne croisait personne, je m'étais lourdement trompée. Un autre soupir mais cette fois, un soupir résumant que je ne savais que dire. Je levais mon regard, l'observant à nouveau. Cet homme avait quelque chose d'étrange et ...d'effrayant.

« La mélodie que j'ai ouïe est une de vos créations ? »

C'était une question complétement futile mais au lieu de rester à se regarder sans rien dire, mieux valait lançait une conversation pour détendre un peu l'atmosphère. Je passais à côté de lui en marchant afin de prendre appuie contre un tronc d'arbre, croisant les bras. De toute façon à part parler, je n'avais pas grand chose à faire en ce moment. Débutant quelques mouvements d'échauffement avec mes doigts, je mis une de mes  main dans l'une de mes poches, par la suite, sortant une petite balle. Je fis passer cette dernière de l'index à mon auriculaire, tout comme me l'avait enseigné une humaine dénommée Cathleen. Un bon moyen pour se détendre. Je restais concentrée sur mon interlocuteur, ne faisant presque plus attention à la balle qui allait d'un point à un autre sur ma main.

« Au fait...Je me nomme Shad et vous ? Quel est votre nom ? »

Se présenter était une des choses les plus importantes lors d'une rencontre. Une rencontre sans nom n'est pas vraiment recommandée. Et vu que j'étais la première à poser cette question il était évident que je devais donner mon nom en premier lieu. Chose qui avait été faite. Il ne restait plus qu'à ce qui me donne le sien.

Je vu qu'elle me remarqua l'observé , je  bougea de suite le regard dans ses yeux . Et je tomba rapidement sous le charme , On dit que les yeux sont les portes de l'âme .... Je remarqua un côté bestiale dans le sien ,  pas pour me déplaire au contraire Intrigué, je me frotta rapidement le front et souri nerveusement  .
Juste à cet instant cette mystérieuse demoiselle lança la conversation , je fus ravi de lui répondre à sa première question qui être plus ou moins flatteur pour ma pars.

" Oui , c'est  moi qui l'ais écrite , quand le tourment m'envahis ou que la solitude vienne a me prendre j'écris et des fois mes écris donnes se genre de mélodies , ces différentes symphonies  ..."

Je la regarda se poser sur un arbre et prendre une balle pour la titiller , je me demandais si je la stressai ou que je l'effrayais . Par la suite moi aussi je me posa contre un arbre pas loin d'elle et je l'entendit me parler. je répondu quelque minutes après sa question d'un air d'étendu.

"Enchanté Shad , je me présente krory  mais tu peux me nommer Kro je préfère "

Je lui souri pour lui monter que je n'allais pas lui faire de mal ou pire encore. Je la regarda une dernière fois de la tête au pied pour bien cerner la personne. Je ne fus pas insensible par la tenus qu'elle avait , sa lui donnait un air de chasseuse.
Je repris de suite la conversation

" Mais que viens faire ici une si joli dame dans un bois assez lugubre , certes apaisant mais ou des zigotos assez louche arpente ces sentiers ? "

Je pris l'initiative de m'approcher d'elle pour mieux la discerner dans l'obscurité

La balle continuait à se mouvoir entre mes doigts tandis que j'écoutais ses réponses.  Ainsi, il s'appelait Krory, singulier comme nomination. Enfin, les présentations étaient faites, ce qui signifiait qu'on avait plus besoin d'en faire mention. De plus, il était bel et bien l'auteur de la musique que j'avais entendu, je devais admettre qu'il avait du talent.  Je stoppais mon mouvement lors de sa question.

« Pourquoi suis-je ici hem.. »

La question partait d'un bon fond, mais je ne pouvais pas lui dire réellement comment ma présence en ces lieux avait aboutie. Serrant légèrement la boule sphérique entre mes doigts, je réfléchissais à un moyen de m'extraire d'une suite de questions qui pourraient être bien ennuyeuse. Je finis par ranger la balle dans l'une de mes poches, touchant en même temps les munitions présentent à l'intérieur. Soupirant un coup, je tentais une réponse fictive :

« Disons que j'avais envie de prendre l'air en cette après-midi et que je me suis assoupie dans la forêt, je me suis réveillé il n'y a que quelques minutes à peine... »

Certes je venais de dire un mensonge mais il valait mieux cela que de lui dire que logiquement j'aurais dû être dans les bas-fond dans une ville nommée Nexus. Je ne le connaissais pas encore, mieux valait ne pas tout dévoiler à la volée. Cela m'avait été fatale à une époque, c'est pourquoi je préférais ne pas commettre la même erreur à nouveau.

«  Pourriez vous jouer un autre air à nouveau ? »

Sa musique m'avait apaisée et je désirais écouter à nouveau l'une de ses symphonies.  De toute façon, il devait bien connaître d'autres mélodies. Au pire s'il refuserait je ne m'en offusquerais nullement, c'était son choix après tout, sa réponse. Je passais doucement mes mains en croix dans mon dos, frôlant légèrement la chaîne présente à ma taille dans un tintement, une jambe repliée contre l'arbre me permettait de garder un certains équilibre.

Je la regardais, toujours  dans les yeux qui d'ailleurs m’inspiraient un grand mystère. Je vus que ma question  l'avait mis mal alaise.  Je crus qu'elle hésita a ma réponde, qu'elle ne voulait pas me le dire. Mais bon ce n'était pas vital pour la suite de la conversation c'était juste une forme de politesse pour  la mettre en confiance  envers moi.

Elle rangea sa balle dans la poche et  laissa sa main dans celle-ci. Au premier abord  je me suis dis qu'elle avait une arme ou quelque chose comme sa.... ridicule, cette pensé me fis rire. Elle me répondu qu'elle c'était endormi et qu'elle venait de se réveiller, cela est vrai que se poser ici  est au risque de s'endormir. D'un coup je venais de me rendre compte d'une incohérence  dans son discours, elle venait de se réveiller il y a quelque minute a peine et elle était déjà debout lors de ma rencontre avec elle, ainsi que des vêtements presque nickelle  alors que le sol était poussiéreux. Je soupçonnai le mensonge mais bon chacun a ses secret puis je venais de la rencontré, c'était compréhensible

De suite elle me demanda de rejouer une mélodie, une nouvelle fan, je souris à cette idée.
Elle se posa contre le mur et mis les mains dans son dos. Je me plaçai en face d'elle pour qu'elle ait une vision globale sur de moi. Je pris mon étui et en sortis mon violon.
Je réfléchi a la mélodie que j'allais interpréter devant la demoiselle.
Je me dis qu'utiliser une symphonie  magique ne servais a rien. Je n'avais pas pour but premier de la séduire.

" Oui avec joie, je vais te jouer une mélodie que j'ai connus par le biais d'une amis "
(Mélodie =>  http://www.youtube.com/watch?v=XM-WXMPkhV0 )

Je mis le violon en place, menton sur la mentonnière. Je commençai bouger l’archet. Les premiers sons se dégagèrent. Cette musique   m’envahi et je parti en transe, mes doigts bougeant seul sur le manche avec une grande fluidité.
Un bien être m’envahi de nouveau, la musique était comme une drogue pour moi, dès que je jouer je ne pouvais plus m'arrêter mais voulant découvrir plus sur la jeune femme la curiosité passa avant l'envi de jouer.
Après avoir joué je posai le violon dans l'étui le laissant ouvert, pour le reprendre si la demoiselle en redemanda ou si je devais m'en servir ...
Je repris la discussion pour éviter un vide s'installe

" Et sinon, que faite vous dans la vie ? Puis-je vous tutoyer? Je n'aime vraiment pas vouvoyer les personnes ..."

Il accepta ma requête, j'avais eu un doute au début en lui posant cette question. Mais un artiste n'est il pas heureux lorsqu'on lui demande de jouer une de ses création ? La mélodie s'éleva doucement dans les airs avant de gagner en intensité. Je fermais les yeux, écoutant, me laissant porter par le flux de sons rythmés. Il ne fallait pas grand chose pour se sentir apaisée. La mélodie qu'il jouait mettait du baume au cœur, le réchauffant, faisant oublier les soucis que je côtoyaient en ce moment même. Lorsqu'il eu fini de jouer son morceau, je rouvris doucement les yeux, le regardant.

« C'était magnifique...Merci »

Je ne savais que dire d'autres pour le remercier de m'avoir accordé quelques minutes de son temps afin de me jouer un air de la composition d'un de ses amis. Je le regardais tandis qu'il rangeait son violon dans son étui, le laissant au préalable ouvert, au cas où il en aurait encore besoin. Pour ma part, je ne voyais pas pourquoi j'allais le harceler à lui demander sans cesse de nouvelle mélodie. Il avait accepté ma première requête, cela me suffisait amplement.

"Et sinon que faites-vous dans la vie ? Puis-je vous tutoyer ? Je n'aime pas vraiment vouvoyer les personnes... »

Je restais pensive quelques instant. Devrais-je lui dire la vérité ? Devrais-je lui dire ce que j'étais et ce que je faisais ? Bien sûr que non, je ne voulais prendre aucun risque.  La question du tutoiement était un autre problème, c'était aussi le cadet de mes problèmes. Ce dernier avait de grandes chances de recevoir une réponse affirmative. Je croisais les  bras, hochant la tête d'un signe positif.

« Vous pouvez me tutoyer si vous le désirez...Je n'aime pas trop utiliser le tutoiement envers des personnes que je ne connais pas. Il s'agit d'une certaine marque de respect si on veut... »

Il ne restait plus qu'à répondre à la question relatant ce que ma vie comportait. Une légère brise souffla, faisant voleter mes mèches bleutées et tinter légèrement le bout de la chaîne qui se terminait à ma taille en guise de ceinture. Bon, mieux valait lui dire la vérité, ou du moins, une forme de vérité, libre à lui de penser ce qu'il voulait.

« J'effectue des contrats à durée déterminée d'une nuit la plus part de temps avec mon partenaire.... »

Je ne lui avais pas menti. Les contrats que nous recevions étaient conçus pour être clos en l'espace d'une nuit et j'effectuais bel et bien mon travail avec une autre personne. Une personne étant un partenaire  ou du moins, je l'étais plus pour lui qu'il ne l'était pour moi et un partenaire plus sentimental. Je finis par me relever, m'extirpant du tronc d'arbre auquel j'étais adossé.

« J'ai encore des projets à finir, merci pour cette discussion. »

Je repris paisiblement le chemin longeant le sous-bois. Je n'avais peu de temps à consacrer à discuter. S'il voulait continuer, il pourra toujours me rattraper et marcher à mes côtés. Sinon, ce ne sera qu'une rencontre éphémère que je garderai en souvenir et un jour qui sait ? Peut être le rencontrerais-je à nouveau...
Mes projets n'étaient autres que de trouver un moyen de retourner sur Terra. Mais comment retourner quelque part si on ne sait pas comment nous l'avions quittés ?

Krory toujours avec un grand sourire fixait la belle demoiselle ... Elle l'autorisa à la tutoyer signe qu'elle lui accordait  un peu de confiance , puis à ce qu'elle disait elle n'offrait pas ce tutoiement à tout le monde ,cette réponse fut sourire le jeune Homme.
Il Se leva de son arbre et écouta la fin du discours de la Shad

Une réponse très vague, Elle ne voulait donc pas lui dire réellement ce qu'elle faisait mais bon cela suffisait empalement chez l’homme. IL comprit sa réaction, Pour elle c'était un inconnus et elle n'allait pas lui raconter sa vie de suite et peut être même jamais.
De suite la femme parti  en annonçant qu'elle avait des projets en cours et a terminer.

L'homme la regarda partir. Il ferma son étui et  le pris pour le mettre sur son épaule à la va vite .Il se mit à courir pour la rattraper  et lui saisi l'épaule.

" Enfin c'est si urgent que sa ce projets ? Puis si tu le désire je te rejouerais un petite air de violon, tu va adorer "



Puis Mince alors!  Krory vu dans son regard, Qu'elle était mal alaise dans cet endroit, qu'elle devait chercher à s’évader. .et c'est ce qu'elle aurait surement fait.
Krory décida donc d'agir et prendre des mesures pour ne pas se faire délaisser dans la soirée.
Il tira son épaule avec force et la pris dans ces bras, avec force et teneur mais sans lui faire du mal. Il lui dit dans l'oreille


' Ne t'enfuis pas s'il te plait, j'ai besoin de rester avec quelqu'un .... puis je te payerais si tu le désire pour le dérangement '


En lui proposant de l'argent il espérait la convaincre de rester encore un peu avec lui ..