Bouche bée devant les « miracles » qui se produisaient devant lui, Jack ne pouvait détourner son regard de ces deux créatures mi-femmes, mi-monstres. Une fascination certaine s’exerçait sur sa personne, une envie forte le tiraillait. Et, malgré lui, le spectacle qui s’offrait devant ses yeux lui plaisait, ces deux voluptueuses se caressant à outrance, s’échaudant avec délice, lentement, doucement pour faire monter la température, oui, mais pas trop vite. Ses prunelles noires s’étaient animées d’une vigueur certaine et pourtant elles se détournèrent de ces demoiselles avec honte et pudeur. Sa poitrine battait à tout rompre, son torse se soulevant dans une cadence folle alors que son membre débutait son processus de croissance. Une pression légère infime du succube sur son membre eut pour effet de le faire grossir et se dresser vigoureusement afin de défier les lois de la pesanteur. Ses joues étaient rouge, son souffle court, il les observait à la dérobée et n’aurait pu se soustraire ni à l’une, ni à l’autre…
Qu’il le voulait ou non, il ne pourrait s’échapper de cet incroyable duo. Mais voilà que l’une des plantureuses vint lui conter quelques indiscrétions et confidences. Les mots qu’elle prononça s’évadèrent bien vite de sa mémoire, les propos se retrouvant remplacés par les images encore toutes fraiches dont il avait été le témoin. Devait-il s’épouvanter, s’émerveille ?! Sa bouche était liée, tout comme son corps, il était tout bonnement incapable de mettre de l’ordre dans ses idées !
Un tourbillon de pensées contradictoires l’assaillait : la honte, le plaisir, la souffrance…
Et bientôt, le lycéen fut complètement nu comme un ver dans sa tenue d’Adam. Il avait l’un de ses corps presque androgynes et pourtant nul doute qu’il était un mâle comme le prouvait son importante virilité qui ne se fit pas prier pour être libérer de l’entrave du tissu. Avachi, son corps offert, en position de faiblesse… La silhouette athlétique s’étalait sur le tatami, des courbes ciselées qui dessinaient ses muscles avec élégance, un teint de marbre qui avait commençait à rougir sous les regards de ces femmes qui l’évaluaient…
« Que….Hmmmm… ! »
Il ne put retenir un râle de plaisir alors que la succube s’était fait la proie de sa virilité, ce gémissement était sorti si élégamment qu’il se mordit la lèvre inférieure pour se taire et déclara…
« Que…vous n’avez pas le droit…arrêtez ! »