Rencontre au Cimetiere , le début d'une offrande [PV Runesansuki ]

En cette belle après midi, ensoleillée mais fraîche, je me décide d’aller dans l’un de me endroits de prédilection le cimetière…Je me promène d’allée en allée en regardant les différents noms sur les tombes (quelques sourires me vinrent quand je découvris certains noms de mes anciennes proies).

Un son me vint à mes oreilles, un enterrement, des pleures. Peut être des proies faciles , triste, désemparer, je me dirige doucement vers cet endroit.

Je repère une jeune femme en larme vêtue de noir, gant noire, cheveux rose/violet, yeux  violet en larme. Je me renseigne c’est la veuve, se prénommant Runesansuki (appelé Rune par ses ami(e)s).

Rune a l’air perdue, triste, une proie facile. Je l’a vois partir à l’écart du groupe se promenée seule dans les allées. Je m’éclipse d’un coup et me met devant une  tombe d’un inconnu en la regardant.

Rune passe derrière moi s’arrête, me regarde et repart. Je me retourne et lui dit

-   « Bonjour Madame, vue votre état je vous présente mes condoléances »

   Je claque la porte de chez moi et sans prendre le temps de la fermer à clé je pars en courant en direction de mon parc. Je suis énervée à cause du coup de fil que je viens d'avoir de mon père. En effet, celui-ci me demandait de devenir sous directrice à son entreprise.

  * Non mais c'est pas possible ça! De quoi il se mele ce vieux crouton? Il disparait de ma vie et revient d'un coup pour me donner des ordres et me retirer ma libre vie? Mais il est dingue! Croit-il vraiment qu'il va réussir à me faire partir d'ici? Lui, père n'ayant jamais été présent, m'ordonner de le rejoindre pour travailler avec lui? Il peut toujours rêver, à ça oui!*

   Je me dirigeais vers mon banc face au lac, quand je vois un amas noir au loin. Je décide alors de me rapprocher pour comprendre ce qui se passe. Tous sont vêtus de noir et je comprends alors, à mon plus grand désarrois qu'il s'agit d'un enterrement... Étant, par pur hasard, habillé d'une jupe courte noire, et d'un débardeur très décolleté noir, je décide de m'incruster à la cérémonie et de les suivre, n'ayant rien de prévu en particulier. Toutes ces émotions autour de moi m'attriste et en particulier la veuve, qui se trouve lors de l'enterrement, juste à coté de moi. Je la prends dans mes bras pour l'aider à sécher ses larmes. Mais à mon tour, très sensible, je me mets à pleurer. Je ne connais certe pas cette homme, mais la vie est injuste. Vu la jeunesse de la veuve, je présume que lui aussi était jeune, pas loin des 35 ans. Je lis alors la date de naissance sur la pierre tombale, " 15 octobre 1969", effectivement... pas vieux du tout, l'âge de mon "père".
   Ne supportant plus toute cette émotion, je décide de m'écarter et de prendre l'air un petit peu le long des allées du cimetière. Je sèche mes larmes et avance droit vers un inconnu. Mais arrivé à lui le regarde, étonné de voir un individu aussi étrange ici. Je me demande s'il fait parti du groupe étant donné qu'il ne nous a pas quitté des yeux mais qu'il est resté à l'écart. Je l'ai entendu demander des renseignements sur la jeune veuve, mais je fais mine de rien et je reprends ma route l'ignorant.  Mais au moment de partir, l'individu se retourne vers moi et me présente ses condoléances. Je me retourne vers lui alors avec un léger sourire de remerciement:

   << Bonjour... Non non, ce n'est pas à moi qu'il faut présenter les condoléances, mais merci bien. Je ne suis que de passage dans ce lieu si sinistre...>>

   Je commence à reprendre ma route avant d'être à nouveau arrêtée.

Aux paroles de Zanzibar, la jeune femme se retourna vers son interlocuteur, avec un léger sourire aux lèvres, et répondît à celui-ci

  << Bonjour... Non non, ce n'est pas à moi qu'il faut présenter les condoléances, mais merci bien. Je ne suis que de passage dans ce lieu si sinistre...>>

Un peu intrigué par cette phrase, Zanzibar ne peut pas s’empêcher de demande de plus amples explications à cette jeune femme pour quelle raison elle se trouvait au cimetière avec le cortège. Celle-ci lui expliqua qu’elle passait dans le coin et vit que des personnes étaient en deuil, et étant vêtue de noir, elle avait décidé de se joindre à leur tristesse et d’accompagne la jeune veuve. Etant également sensible elle se mit à pleurer pendant la cérémonie et décida de quitter les lieux, d’où sa rencontre avec Zanzibar.

Zanzibar se présenta et lui tendit un mouchoir pour essuyer ses larmes :

« Prenez ceci votre maquillage va couler sur votre jolie visage »

Il commença à déshabiller du regard de sa nouvelle proie (il est clair que celle-ci finira soit à ses pieds ou sois vider de son sang pensa t il). Il l’a complimenta sur sa tenue, et lui demanda :

« Pas trop froid avec une jupe si courte ? » [petit sourire au coin qui laissa apparaitre ses deux canines]

L’après midi allait arrivé à sa fin et Zanzibar propose à son vis-à-vis de venir avec lui dans un café

«  Puis je vous propose de m’accompagner prendre un café quelque part ? afin de faire plus amples connaissances »

   L'inconnu vient de m'arrêter pour demander de plus amples explications. Je lui explique alors mon récit, et pourquoi je suis venue dans ce cimetière et lui se présente à son tour. Je comprends alors qu'il ne fait pas parti de ce cortège et qu'il n'est là qu'en tant que promenade, un peu comme moi enfin de compte, ce qui me fait sourire un peu malgré mes larmes coulant encore.

   *Cet étrange individu ce nomme Zanzibar... Quel nom bizarre... particulier, mais bon cela colle bien avec l'étrangeté qui découle de lui. Il est tout blanc, et son physique, je dois l'avouer m'effraye un petit peu...*

   <<Prenez ceci, votre maquillage va couler sur jolie visage >>

    *... Mais très galant malgré tout. Peut-être est-il sympa dans le fond, serait-ce une nouvelle proie? Je verrai bien par la suite.*

   Je prends alors le mouchoir si gentiment proposé et je m'essuies les larmes en prenant soin de mon maquillage, accompagné d'un sourire de remerciement. Pendant ce temps, je le vois qui me regarde longuement avant de me complimenter sur ma tenue. Je me mets alors à rougir  bêtement et regarde mes pieds, toute gênée. Il me demande alors si je n'ai pas froid avec ma jupe. Mais il m'adresse un sourire qui me fait froid dans le dos. Ses canines sont ressortir, et je recommence à nouveau à avoir une mauvaise sensation.

   << Eh bien non, j'ai l'habitude. Et puis il fait bon dehors, il y a un soleil radieux. Bref, il se fait tard, je pense que je devrais rentrer.>>

   Mais je n'ai pas le temps de commencer à partir qu'il me propose de boire un café en sa compagnie.
   
   * Je n'ai d'autre choix que d'accepter. Je ne peux pas me permettre de le mettre en colère, peut-être que si je décide de rester un petit peu plus longtemps avec lui décidera t-il de me laisser tranquil après... Mais de toute façon je n'ai pas le choix, au péril de ma vie. En espérant que je ne passe pas de prédateur à proie...*

   << Eh bien oui, pourquoi pas, dis-je avec un sourire forcé. Je vous suis >>

Elle accepta de suivre Zanzibar prendre un verre avec lui , il a eu peur à un refus car au début elle parlait de rentrer chez elle vu l’heure. Il pensa une qui aime joue avec les hommes vu sa tenue de petite allumeuse mais sait elle qu’elle est la proie aujourd’hui

Ils sortirent du cimetière et zanzibar tourna dans une petite ruelle et entra dans un petit bar lugubre glauque ou les portes des toilettes à la turques sont cassées et visible de la salle des toiles d’araignées partout (une ambiance qu’affectionne Zanzibar). Tout en marchant il sent la jeune femme se méfié et la peur s’installer surtout à la vue de ses canines.

Il ouvrit la porte du bar :

« Après toi entre ! »

Il reluqua ce petit cul passée devant lui , ils prirent place, à une table.


Une question vint à l’esprit de Zanzibar :

« Rune , pourquoi t’avoir forcé à sourire, quand tu as accepté de me suivre ici »

 Le serveur arriva salua Zanzibar. Puis regarda la jeune femme et demanda :

« Que prenez vous tous les deux ? »

Zanzibar se retourna vers Rune, et lui demanda :
 
« que prends tu ? »

   Je suis Zanzibar, restant derrière lui, inquiète. Puis arrivés au bar, je commence à rentrer et m'arrête net au premier pas, ayant encore plus peur qu'avant. En effet, cet endroit donne la chair de poule. Rien avoir avec le bois dans la nuit, sombre, non. Ici c'est lugubre, tout droit sorti d'un conte. Tout est sale, cassé, et m'effraye. Je commence sincèrement à avoir les chocottes, à me poser des questions quant à mon avenir.
   
   * Putain... dans quoi je me suis fourrée bordel! Non non non! il faut que je me calme! il faut que je me calme... Mais je ne peux pas m'enfuir, ça ne sert à rien. Mais qu'est ce que je vais faire...*
   
   Je commence à trembler, et des larmes coulent à nouveaux. Je sais que Zanzibar avait découvert depuis le début ma peur. Nous deux savions depuis pratiquement le début que je suis devenue sa proie. Je reprends enfin mes esprits et m'aventure dans ce lieu macabre, les frissons dans le dos.

   « Rune , pourquoi t’avoir forcé à sourire, quand tu as accepté de me suivre ici »

   Je le regarde dans les yeux, toujours tremblante, et recroqueviller sur moi même mais aucun mot n'ose sortir de ma bouche. Heureusement, le serveur vient à notre table. Cela me permet alors de changer de discussion, du moins pour un court temps.
   
   << J'aimerai un bon jus d'orange accompagné d'une grande dose de liqueur de litchi svp.>>

   Je regarde à nouveau Zanzibar, et j'attends que le serveur part pour lui répondre.

  << Je ne sais pas ce que vous voulez de moi... mais j'ai bien compris que je suis devenu votre proie, tout comme ça ne sert à rien de m'enfuir. Vous n'êtes pas humain, il serait même très facile pour vous de me rattraper... Sourire ou pleurer, qu'importe.>>

Zanzibar commanda un café au garçon. Rune répondit à la question de celui-ci une fois le serveur parti et qu’elle se est un peu calmé ses larmes qui coulent et ternissent ce jeune visage si jolie.

  << Je ne sais pas ce que vous voulez de moi... mais j'ai bien compris que je suis devenu votre proie, tout comme ça ne sert à rien de m'enfuir. Vous n'êtes pas humain, il serait même très facile pour vous de me rattraper... Sourire ou pleurer, qu'importe.>>

Zanzibar confirme qu’il ne lui servirait à rien de s’enfuir il aurait vite fait de la rattraper. Il est vrai qu’il se déplace assez rapidement mais il lui précisa ceci :

« Tu sais pas besoin d’être Vampire pour qu’un homme en pantalon botte courre plus vite qu’un femme en jupe et petite chaussure. » Accompagnant ces dires à un sourire qui relaisse apparaitre ses canines.

Il se lève et vint s’installer sur la banquette face à coté de Rune. Le serveur arriva et donna chaque boisson à la personne concernée. Rune porta son verre à sa bouche et zanzibar commença à lui caresser sa cuisse dénudée du bout de ses ongles

« Ne bouge pas, ne renverse pas une goutte sinon tu ne seras plus ma proie sexuelle mais ma proie d’un Vampire assoiffée de sang ».

Il reprit son geste et remonta le long de sa cuisse s’arrêtant au début de la jupe, l ne passa pas dessous.

« Ce que j’attends de toi que tu sois à mes pieds et que tu me serves et que tu sois la pour moi, désormais tu as le choix tu es la pour mon plaisir ou pour me servir de repas »

   J'ai horriblement peur... Mes mains tremblent... Le serveur nous apporte la boisson, et je prends mon verre pour boire une gorgée, essayant de me calmer un peu. Je sens son souffle contre mon épaule, et son regard pervers me contempler. Il commence petit à petit à me caresser la cuisse pendant quelques secondes pour commencer, les secondes les plus longues de ma vie. Mes jambes aussi tremblent, encore plus depuis qu'il pose ses ongles contre elles, les enfonçant à moitié dans la chair.

   « Ne bouge pas, ne renverse pas une goutte sinon tu ne seras plus ma proie sexuelle mais ma proie d’un Vampire assoiffée de sang ».

   Ses ongles longe ma cuisse et remonte petit à petit. Malgré son interdiction, je ressers mes jambes, ne souhaitant pas qu'il monte plus haut. Il me fait peut, et malgré que j'aime le sexe, sa noirceur m'horrifie plus que jamais, me glaçant les membres jusqu'à l'os.

   
  << Ce que j’attends de toi que tu sois à mes pieds et que tu me serves et que tu sois la pour moi, désormais tu as le choix tu es la pour mon plaisir ou pour me servir de repas >>

  Je prends mon courage à deux mains et je lui crache à la figure.

   << Je ne souhaite qu'une chose, que vous me laissiez tranquille! J'ai certes peur de la mort, mais je ne m'en rendrai pas esclave pour autant! La liberté est la seule chose dans ce monde d'attrayant, si vous me la retirée, je n'ai plus de raison de vivre!   >>

Runesansuki cracha à la figure de Zanzibar dés que celui-ci lui parla d’être à ses pieds et celle-ci lui signala quelle ne sera jamais son esclave car adore la liberté et y tient énormément. Zanzibar ayant les mains sur ses cuisses resserra ses mains avec ses ongles plantés dans la chaire de sa victime au niveau de la cuisse, l’autre main saisie la chevelure rousse et lui dit à haute voix :

« Tu n’aurais jamais dû faire ceci petite garce ! »

Se leva de la chaise, et la traina par les cheveux vers les toilettes des hommes, lui plaqua le visage face au miroir lui dégagea le cou de sa chevelure et lui lécha le cou a grand coup de langue. Lui agrippa un sein et le malaxa fortement en tirant sur la pointe de celui-ci

« Tu es à moi que ça te plaise ou non ! Est compris ? »

Il releva le débardeur noir et sortit de sa poche un petit couteau et coupa le soutient gorge de Rune se qui libéra la poitrine de celle-ci, et continua de lui passe sa langue sur le cou et la nuque tout en s’occupant de sa poitrine. Sa main parcours de temps en temps les hanches, et de temps en temps effectue un passage discret entre ses jambes et le petit cul de celle-ci.

   J'ai certes osée lui cracher au visage, mais je savais pertinemment que cela allait me retomber dessus, encore plus violemment. Il m'enfonce alors fermement ses ongles dans ma chair et la douleur est t-elle que je n'ai pu m'empêcher de verser des larmes, néanmoins je n'ai pas crier ayant peur de ce qu'il pourrait faire de moi par la suite. Je tremble et essaye de toutes mes forces de l'éloigner de moi, mais rien à faire, il est trop puissant pour moi. Je ne peux pas lutter contre lui, même pas le faire bouger ne serait-ce qu'un tout petit peu.
   De colère il m'emporte avec lui jusqu'aux toilettes des hommes. Oups... je crains qu'isoler de la foule j'ai encore plus à craindre de lui que précédemment.... Il me plaque violemment le visage contre le miroir tandis qu'il profite de moi, ou plutôt de mon corps... Il commence par me lécher le cou et s'occupe ensuite de ma poitrine. J'essaye de me débattre le plus possible, connaissant la suite des événements mais encore une fois, tous ces efforts sont en vain...

   << Tu es à moi que ça te plaise ou non ! Est compris ? >>
   
   Je tiens à peine sur mes jambes que mes jambes trembles de toute part.

   << Non... Je ne vous appartiens pas! >>

  J'ai certes très peur, je tremble, je pleure, mais rien n'y fais, je suis libre et jamais, JAMAIS! je n'accepterai appartenir à quelqu'un! Ou du moins, pas de force... Je commence à m'épuiser de toutes mes forces et tente de lutter contre lui, désespérément...
   A l'aide d'un couteau, il me déshabille la poitrine pour en profiter pleinement sans être gêné par le soutient gorge. Il recommence alors à nouveau à la malaxer tandis qu'il continue à me faire sentir sa langue rugueuse dans mon cou et son autre main parcourir mon corps... y compris mon entre jambe.... Là s'en était de trop! Il se permet de me blesser, ma jambe saigne encore suite à ses implantations d'ongles dans ma chair, de me tirer par les cheveux jusque dans les toilettes, de me voler ma liberté, mon intimité, et maintenant... De commencer à m'exciter... Bien que cela soit à contre coeur, je commence à rougir à ses caresses, je n'en veux pas, mais mon corps réclame... Cela faisait un petit moment que je n'ai pas saisit de proie... Maintenant que j'en suis moi même une... Mon corps ne réclame que tendresse... Mes muscles se décontractent alors de plus en plus et ma résistance diminue. Mon cerveau demande à ce que je m'enfuis au plus vite, mais mon coeur et mon corps en demande encore plus...