Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Une accusation grotesque [ Pv ]

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William Dolan

E.S.P.er

Re : Une accusation grotesque [ Pv ]

Réponse 15 jeudi 18 février 2010, 19:30:20

          Il y avait de la résignation dans les yeux de l’avocat. Dorénavant c’était fini, il ne pouvait plus lui résister et ce pour deux raisons : Non seulement parce qu’il n’en avait aucune envie et que de doute façon repousser une femme qui se donne est un comportement de mufle. Il est évident que si William ne la désirait pas il aurait trouvé une façon de l’éconduire. Mais là ce n’était pas du tout le cas.

          William ferma les yeux lorsqu’elle passa une main sur sa joue ; pour la même raison qu’il avait fermé les yeux lorsqu’elle l’avait embrassée : Apprécier pleinement la marque de tendresse d’un ange. Il rouvrit ensuite les yeux au fond desquels brulait un désir insatiable. Ses mains se posèrent sur les hanches de la jeune fille et il la repoussa doucement contre son bureau pour lui couper toute retraite. L’homme de loi appliqua sa bouche sur celle de sa cliente, franchissant le sanctuaire de ses lèvres. Il s’abandonna alors dans son étreinte, dans l’échange intime qu’il entretenait avec cette créature sacrée et immaculée.
          Lorsqu’il parvint enfin à trouver la volonté de s’arracher à la caresse de sa langue, William recula son visage pour avoir une vision panoramique de sa belle.

          -J’avais prévu un peu plus d’une demi-heure pour notre entrevue mais j’ai bien peur de devoir vous annoncer que nous allons dépasser la limite prévue, lui annonça-t-il de son habituel voix détachée.

          Seul son sourire amusé venait démentir le sérieux de sa voix. Et il l’embrassa de nouveau.

Kina Mara

Humain(e)

Re : Une accusation grotesque [ Pv ]

Réponse 16 jeudi 18 février 2010, 20:29:17

La jeune femme accueillit avec un sourire cette réplique. Il avait un beau sourire, il fallait l’avouer, et surtout dans cette situation. Elle fit glisser ses deux mains dans le dos de l’avocat, une façon à elle de le tenir contre lui et de le sentir contre elle. Elle ne pouvait plus détacher ses yeux de lui, et sa bouche encore moins ! C’était un délice de le sentir ainsi la tenir, la toucher, et sa peau frissonnait chaque fois que leurs peaux s’effleuraient. Elle ne voulait pas se jeter sur lui, elle le savait, mais comptait bien savourer royalement chaque instants qu’ils passeraient ensemble. Aussitôt, elle lui rendit un baiser savoureux, un peu plus violent, et ne se décida à quitter ses lèvres que pour venir poser sa bouche dans son cou, y déposant des tendres baisers.

-   Ce n’est pas pour me déplaire
, lui chuchota t’elle à l’oreille avec un ton charmeur.

Elle se rapprocha vivement de lui, collant sa poitrine contre le torse de William, tandis qu’elle se hissait doucement sur le bureau, se détachant de lui pour l'attirer à nouveau tout contre elle. Il fallait dire qu’il était tout de même un peu plus grand qu’elle, et qu’ainsi, elle pouvait sans problème se retrouver au même niveau que lui. Ses jambes vinrent frôler celle de l’homme, tandis qu’elle ne se décidait pas à quitter son cou.



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William Dolan

E.S.P.er

Re : Une accusation grotesque [ Pv ]

Réponse 17 jeudi 18 février 2010, 23:27:02

          Cette femme était parfaite. Elle s’était hissée elle-même sur son bureau, devançant les projets de maitre Dolan. D’un geste désinvolte il balaya les affaires qui étaient sur son plan de travail pour que la dame soit à son aise.  Certaines tombèrent avec fracas sur le sol mais l’avocat n’en avait cure. Toute son attention était dirigée sur la femme dont les caresses expertes lui faisaient bouillir les sangs. Mais William retenait ses ardeurs, gardant à l’esprit que les femmes n’aimaient pas la précipitation. Et puis, ce n’est pas comme s’il avait un rendez-vous.
          Il étouffa un rire en plongeant dans le cou de sa partenaire. Son corps épousait parfaitement celui de l’avocat. Il était temps de commencer.

          Il posa ses mains sur les hanches de la jeune fille et remonta, trompant aisément la vigilance de ses vêtements. Ses mains glissèrent sous le tissu gardien de sa pudeur et rencontrèrent enfin la peau douce et fragile. La courbure de ses flancs, la chute des reins, les lentes oscillations de sa poitrine. Une de ses mains s’attarda sur le nombril de la belle. Elle en caressait l’écrin mais ce n'était qu'une mise en bouche. Une simple diversion pour laisser le temps à sa jumelle d’explorer le buste de la dame. Celle-ci fut stoppée dans sa progression par du tissu. De la dentelle. Un soutien-gorge.
          D’aucun le considèrerait comme un obstacle ridicule mais pour un gentleman c’était un vrai cas de conscience. Oh et puis, la peste soit des tabous hérités d’une éducation désuète. Dolan chercha à tâtons l’agrafe du dernier rempart entre lui et la poitrine tant désiré. Il la tritura.

          -Vous permettez ? demanda-t-il d’une voix profonde et sensuelle alors que l’agrafe cédait sous ses doigts.

          Le soutien-gorge se détendit d’un coup. William souriait. Le triomphe peint sur ses lèvres. Sans autres formes de procès il déboutonna le chemisier découvrant les seins de la nymphe qu’il avait tant convoité. Sa main glisse, louvoie pianissimo vers les mamelons. Son index, le majeur, l’annulaire et l’auriculaire aussi, toute la troupe joue, agace, pianote et capte les frémissements de la poitrine sans défense livrée à l’homme de loi sans scrupules.

Kina Mara

Humain(e)

Re : Une accusation grotesque [ Pv ]

Réponse 18 vendredi 19 février 2010, 10:01:24

Cet homme était un dieu. Il était tendre mais passionné, précautionneux ...
 Kina n’avait de cesse de garder le sourire sur les lèvres, lèvres qui devenaient dépendantes de celles de l’avocat. Etait-ce leur goût, leur chaleur ? Elle l’ignorait, mais ne vint pas chercher complication. Si son corps réclamait, elle obéissait. Elle fut cependant – agréablement - surprise de sentir ses mains chaudes contre la fine peau de son buste, et eut un léger soupir. Les mains de William étaient délicieuses, et parcouraient avec précaution et douceur les moindres recoins de son corps. Comme si elle était une œuvre d’art, fragile. La comparaison la fit sourire, tandis qu’au fur et à mesure des caresses, les baisers qu’elle adressait à cet homme se faisait de plus en plus chaudes.


-   Vous avez ma permission, répondit-elle avec une voix amusée.

Immédiatement, elle laissa à ses mains le droit de venir, elles aussi, se glisser sous la chemise de l’avocat, savourant sa peau avec une certaine jubilation. Ses mains fines remontaient le long de son buste, retirant un à un les boutons de la chemise en question. Puis elle l’entoura de ses jambes, avec une certaine douceur, appréciant la présence de l’homme contre elle. Elle sentait, délicatement monter en elle une certaine chaleur, une envie, succulente et exquise, qui faisait chauffer son épiderme.


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William Dolan

E.S.P.er

Re : Une accusation grotesque [ Pv ]

Réponse 19 vendredi 19 février 2010, 11:31:43

          Il sentie ses jambes l’enserrer, un carcan qu’il acceptait avec joie. Sa main glissa sur la jambe de la jeune fille comme un ébéniste qui chercherait des défauts sur le meuble qu’il a lui-même créé. Bien sur, il n’y en avait pas. William la dévorait du regard, la détaillant de bas en haut. Sa chevelure semblable à un voile nuptiale qui descendait sur son visage, son nez finement dessiné, ses lèvres délicieuses et humides qui brillaient d’une douce féérie sous la lueur de l’aube.

          William adorait la voir sourire. C’était si agréable de constater en direct l’effet de sa tendresse. Mais il dut s’arracher à cette contemplation car l’ouvrage l’attendait et il ne pouvait pas abuser de la patience de la jeune femme. A l’aide de sa langue, il trace un sillon vertical entre la gorge et la poitrine parfaite de la jeune fille. Il saisit un téton entre ses dents, désolé de ne pas pouvoir s’occuper des deux à la fois, il s’active sur l’un. Il mordille le mamelon durcit, puis s’en excuse dans une pluie de coups de langue curatifs sur l’endroit meurtrie. Pour assoupir la jalousie du sein délaissé, William posa sa main dessus. Il enserrait avec peine le fruit mûr de sa dulcinée. Ses doigts commencèrent à s’activer en une caresse délicate, la main d’un expert appréciant une fine porcelaine.

          Sans crier gare, il revint à l’assaut des lèvres de la jeune fille. Les portes avaient eu le temps de se refermer depuis son départ, mais il les força en insérant sa langue insidieuse. Délicatement, il la repoussa, gagnant du terrain. Si bien qu’il força son amante à se coucher sur le bureau en bois de noyer. Fort de sa victoire, il fit descendre le tailleur le long de ses cuisses et reste quelques instants en admiration.

          William posa sa bouche sur la culotte qui perlait et voilait à peine son excitation. Il avait envie de faire monter le désir en elle. Aussi, il fit preuve de patience, commençant à lécher tout autour de la fleur, l’intérieur de ses cuisses, cette partie où la peau est si fine et tellement sensible. Le juriste retira doucement sa culotte. Il s’amusait à être infiniment lent. Il jouait tout autour de son sexe, avant d’aller écarter ses lèvres de sa langue. Son rythme était accordé au rythme de sa respiration. L’odeur de son sexe, son corps qui se tendait comme un arc et son intimité ouverte, béante. William n’allait pas résister très longtemps à l’appelle de la luxure.
« Modifié: vendredi 19 février 2010, 16:41:18 par William Dolan »

Kina Mara

Humain(e)

Re : Une accusation grotesque [ Pv ]

Réponse 20 vendredi 19 février 2010, 13:44:53

C’était si agréable. Il n’y avait pas d’autres termes pour définir ce moment. Il y avait comme une immense bulle autour d’elle, il n’y avait qu’eux et personne d’autre. Quand il commença à embrasser et s’occuper ainsi de sa poitrine, elle sentit une fièvre où se mêlait désir et plaisir s’emparer d’elle. Elle entoura la tête de l’avocat entre ses bras, l’enserrant, mêlant ses doigts dans ses cheveux, sentant son souffle devenir brûlant et son cœur battre la chamade. Elle se laissa tomber sur le bureau dégagé plus tôt de tout ce qu’il portait, doucement. La lenteur dont il usait était extraordinairement excitante.

Quand il posa ses lèvres sur sa fleur, elle sentit ses cuisses se tendre doucement, au fur et à mesure, et son cœur s’accélérer au rythme de ses caresses. Il y avait là tout un rythme, qui fit soupirer, presque gémir délicieusement la jeune femme, tandis que sa main venait toucher la chevelure de l’homme, avec délicatesse.
Tout son être était en ébullition, et son sang bouillonnait à l’intérieur d’elle. Elle sentait monter en elle une envie flagrante, presque violente, et avait hâte de l'embrasser à nouveau. Ses lèvres lui manquaient, et elle sentait encore sur ses seins la présence de sa bouche.



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William Dolan

E.S.P.er

Re : Une accusation grotesque [ Pv ]

Réponse 21 vendredi 19 février 2010, 18:48:50

          Il fallait maintenant apporter une conclusion à l’affaire. Mais la belle était-elle prête ? Il fallait s’en assurer car William n’était qu’un jouet esclave des désirs de sa déesse. Elle pouvait le briser d’un mot ou en faire le plus heureux des hommes. Peu importe qu’il contrôle la situation. Peu importe qu’il ait l’ascendant sur elle. Dans leur monde ; dans la bulle où ils n’y avaient qu’eux, la femme était reine. Déesse du plaisir, seule préoccupation de son loyal sujet : William Dolan, qui faisait appelle à tout son art pour la contenter.

          Les doigts, qui formaient un entrelacs dans ses cheveux, sortirent William de sa torpeur. Il mit fin à son apnée transcendantale et se redressa de toute sa hauteur. Le spectacle était grandiose. Sa dame était là, allongée sur le bureau. Livrée aux divers outrages que William inventait au fur et à mesure de leurs ébats. Sa respiration saccadée, son chemisier ouvert descendu sur ses bras d’albâtre. Les preuves des agissements profanes de l’avocat étaient visibles sur les traits candides de la jeune femme. Cependant, il était loin d’en avoir fini avec elle. Il se pencha sur elle et glissa une main derrière sa nuque, quand à l’autre, elle était libre d’explorer le corps de la belle dans ses moindres recoins. William n’y faisait même plus attention. Il la redressa et la serra contre lui. Il sentait le corps de cet ange contre le sien. Il croqua le fruit suspendu à ses lèvres. Avec bestialité puis comme si la bête se calmait, il lui donna le plus tendre des baisers. Mais ce n’était encore qu’une diversion car ses doigts se présentaient aux portes de l’intimité de la jeune fille.

          Sa bouche avait déjà réalisé le plus gros de l’ouvrage. Il s’agissait maintenant de faire les finitions. Comme un serpent rentrant dans sa tanière les doigts de Dolan s’immiscèrent dans l’intimité humide de la jeune fille. Le suc capiteux de la belle accueillît cette intrusion. Une marque de bienvenu qui encourageât William à poursuivre son exploration. Il escalade l’étroit conduit de chair aussi loin que possible, titillant chaque aspérité qui se tend sous ses attouchements. Il masse les parois qui se referment autour de ses doigts. Il se laisse guider par les soupirs de sa belle qui agit comme un métronome, donnant le rythme à une symphonie déchainée.

          Mais pour William Dolan ce n’était qu’un échantillon. Une façon de présenter la suite des évènements à sa cliente. Mais pour cela, il fallait qu’elle le demande. Juste quelques mots et l’attente serait fini. Un râle, un murmure, peu importe.

          -Que veux-tu que je fasse maintenant ? Dis-le-moi.

          La voix de William était presque suppliante. Mais il lui fallait son aval pour continuer. Sa déesse allait le libérer de l’excitation qui le tourmentait depuis trop longtemps. Par pitié…

Kina Mara

Humain(e)

Re : Une accusation grotesque [ Pv ]

Réponse 22 vendredi 19 février 2010, 19:07:44

Il fallait dire que là, il la surprenait de manière grandiose. Et encore, le mot était faible. Sous les agissements de l’avocat, la belle laissait s’échapper des soupirs, qu’elle essayait d’étouffer en l’embrassant. Son corps brûlant se collait contre le sien, et ses bras entrelaçaient son cou. Elle savoura délicieusement, prise dans la spirale d’un autre monde, tandis que ses baisers se faisaient violents. Elle décida alors d’offrir à cet homme si tendre et exquis une récompense. Aussitôt, sa bouche retourna se loger dans son cou, y déposant baisers délicieux, coups de langues brefs et morsures délicates, tandis qu’une de ses mains, peu timide, se glissa le long de son buste pour venir ouvrir avec délicatesse le pantalon de l’avocat. Alors, sans crainte, elle posa ses doigts malicieux sur le membre de William, et lui offrit quelques caresses.
Sa bouche remonta vers son oreille.


-   C’est toi que je veux,
murmura t’elle d’une voix sensuelle, tandis que ses caresses devenaient vives et emportées.

La vérité. Elle le voulait, en elle et contre elle. Son excitation avait atteint un grade très élevé. Elle l’embrassa à nouveau dans le cou, plus passionnément, ne cessant pas ses caresses au niveau de son sexe.


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William Dolan

E.S.P.er

Re : Une accusation grotesque [ Pv ]

Réponse 23 vendredi 19 février 2010, 22:19:34

          L’acte un de ce théâtre où se mêlaient passion et plaisir était presque arrivé à son terme. Les acteurs cessèrent de jouer et se préparaient pour la suite. Les spectateurs, eux, étaient dans l’expectative. Lors de cet acte sa langue et ses doigts avaient joués leur rôle et il en aura encore besoin mais ils ne seront plus les protagonistes. Un nouvel acteur inconnu du publique allait débiter son monologue. Un artiste qui était introduit par les caresses de Kina.

          La belle s’affairait toujours, avec assurance et efficacité. William sentit les doigts habiles, autant que résolus, qui tricotent et défont ces obstacles qui bientôt n’en sont plus. Le pantalon de l’avocat tombe… Les cieux ne sont pas loin quand vient ce soulagement qu’on ressent lorsqu’une main amie vous vient en aide. Le sang affluait dans le bas-ventre de William, répondant positivement à ces encouragements. Le membre durcit immédiatement entre les doigts de la jeune fille.

          Il était temps de lui faire profiter du fruit de son labeur. William se glissa entre les jambes de la demoiselle et posa les deux mains sur ses fesses qu’il pétrit avec une passion contrôlée. Dans un grognement il soulève la belle et manque de tomber lorsque son pied se prend dans son pantalon. Il rétablit l’équilibre puis emmène son trophée vers la baie vitrée qui offrait une vue panoramique sur la ville, bien que ce détail ne fasse pas parti des considérations de William. Mais au 48 e étage le couple libertin était à l’abri des voyeurs. Il se délesta d’une partie du poids de sa dulcinée en l’appuyant contre la vitre, puis il s’introduit doucement en elle. Comme un enfant en manque d’affection, il se blottit dans les seins de son amante et ferma les yeux. Sourd au monde extérieur, il n’y avait plus que lui, le va-et-vient et la femme qu’il portait. Au début le rythme était lent et mélodieux puis il accéléra crescendo. Sous l’effort, sa respiration s’accéléra, libérant des nuages de chaleur torride sur la poitrine de sa dame. Malgré la furie qui le prenait, il avait encore conscience de ce qui l’entourait. Il connaissait le nom de sa belle : « Kina ». Il l’avait dit à voix haute. C’était agréable. Et il recommença…

Kina Mara

Humain(e)

Re : Une accusation grotesque [ Pv ]

Réponse 24 vendredi 19 février 2010, 22:25:38

La jeune femme en avait une envie folle, et ce que fit l’avocat l’excita d’autant plus. Elle se laissa porter, brûlante de désir, et quand elle le sentit entrer en elle, elle ne pu retenir son plaisir, et laissa un doux gémissement s’échapper d’entre ses lèvres. Elle captura entre ses bras le visage de William, niché entre ses seins, pour que ses doigts viennent se perdre dans sa chevelure, tandis qu’elle sentait venir en elle, par un rythme agréable, son membre. Ah, elle ne pouvait retenir ses soupirs et gémissements, et ne cherchait pas à être discrète.
Ce qu’ils étaient en train de faire, elle le voulait depuis longtemps, et comptait bien en profiter un maximum. Ainsi, elle se laissa aller, son corps chauffant et remuant, se arquant parfois, sous les coups de l’homme, tandis qu’elle sentait le plaisir à l’état pur monter en elle. C’était un délice, vraiment, aucun autre mot ne pouvait définir cela.

En entendant son nom, elle n’eut pas de réponse immédiate, se contentant d’agripper le dos de l’avocat au point de le griffer légèrement. Oh, cela montait en elle, un plaisir troublant qui jouait aux montagnes russes ! Elle eut un autre soupir, et continuait de remuer au rythme des va-et-vient, forts et excitants au possible.

« Modifié: dimanche 14 mars 2010, 14:38:44 par Kina Mara »


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William Dolan

E.S.P.er

Re : Une accusation grotesque [ Pv ]

Réponse 25 dimanche 21 février 2010, 21:16:32

William sentit des ongles s’enfoncer dans son dos. La douleur n’était rien face au plaisir sauvage que cette sanction lui procurait. Il fit comme si de rien était mais se vengea tout de même sur un téton imprudent qui passait par là. Il le prit en bouche et aspira, maltraitant le bijou mammaire. Le verdict du juriste était sans appel. Il la sentie s’arquer entre ses bras. Trop tard. Justice était rendue et la malheureuse condamnée n’avait pas fini de purger sa peine.

William mettait du cœur à l’ouvrage et l’orgasme était proche. Il sentait les signes précurseurs de la jouissance. Depuis combien de temps étaient-ils plongés dans leurs ébats ? Il avait perdu la notion du temps depuis un bon moment. Cependant, même si son amante lâchait des feulements de plaisir, elle n’avait pas atteint la jouissance ultime pour autant. Un changement de position s’imposait. William la ramena sur le bureau et la déposa à plat ventre tandis que son magnifique fessier était à porté de tous sévices. Il laissa sa verge à l’orée de l’objet de son plaisir, narguant avec cruauté la jeune fille. Puis il s’y enfonça réitérant son va-et-vient harmonique qui le plongeât de nouveau dans un maelstrom de plaisir.

Un agréable orage déferla alors dans le ventre de la belle. L’étroitesse du puits qu’elle le laisse fouiller et les spasmes qu’il sent le long de sa tige le font irrésistiblement approcher du point de non-retour. Sachant qu’il était perdu, il décida de s’abandonner. Il augmenta désespérément le rythme jusqu’à un point où les oscillations de la belle ne pourraient plus le suivre. Les violentes contractions de plaisir qui parcourent son intimité lui donnent le coup de grâce. William se vida longuement en elle, le nez enfoui dans sa nuque, respirant à pleins poumons les multiples senteurs que son corps excité exhale. Il resta arrimé à elle, étourdi pas l’orgasme qui venait de le transpercer.

Kina Mara

Humain(e)

Re : Une accusation grotesque [ Pv ]

Réponse 26 dimanche 14 mars 2010, 14:48:17

( Désolé du retard  :-\  Epreuves )


Un éclair. Ce fut juste un éclair, qui traversa chacun de ses membres. Elle eut un soupir, un doux râle, et un sourire parfait vint se poser sur ses lèvres tandis qu'elle sentait l'avocat ressentir cette même sensation. Elle sentit son visage venir contre sa nuque, et ferma les paupières un moment, savourant cet instant. Tout son corps était brûlant, épuisé, et une sensation des plus agréables venait encore une fois prendre possession d'elle. Elle n'osait pas parler. Elle avait cette impression qu'un mot pouvait venir détruire toute cette attraction délicieuse. Cependant, elle se décida enfin à donner un signe de vie, et plia son bras de manière à caresser la joue de William, ses cheveux, sa peau.

- Tu vas t'en remettre ? demanda t'elle d'un ton amusé et doux.

Elle se sentait elle-même engourdie, et avait l'impression qu'une partie de son être se réveillait doucement. Elle eut un petit soupir.


B E   N A K E D   W H E N   I   G E T    H O M E.


William Dolan

E.S.P.er

Re : Une accusation grotesque [ Pv ]

Réponse 27 dimanche 14 mars 2010, 16:38:46

       L'orage passe...
       William ressentait maintenant cette mélancolie post-amour. Le moment où les hormones retombent à leurs plus bas niveau. Ce qui nous fait replonger dans l'eau froide de la réalité. Tout le monde avait sa façon de le ressentir. Certains pleuraient, d'autres méprisaient leur partenaire. Dolan lui se sentait coupable. Coupable d'avoir profané un ange de ses mains, de sa langue et de son corps. Cependant, ce n'était pas la première fois que l'avocat ressentait ça et il n'était plus un adolescent. Il savait gérer ses émotions.

       Il sentit une main qui venait lui caresser le visage. Puis la question suivit peu après. William avisa qu'il bloquait la jeune femme dans une position qui ne devait pas être des plus confortable. Il se retira et aida Kina à se redresser. Il enfila ensuite quelques affaires histoire d'être plus présentable.

       -J'espère bien que non, lui répondit-il avec sourire charmeur.

       William rassembla les vêtements de Mara qui étaient éparpillés sur son bureau et sur le sol. Il entreprit de l'aider à se rhabiller. Il recouvrit les formes de la belle qu'il avait lui-même mis à nues. Délicatement et avec une lenteur langoureuse, Dolan s'affairait. Il embrassait et caressait les parcelles de peau, comme on dit adieu à un amour d'été, avant de les masquer de vêtements et ne plus jamais les voir. En effet, cette femme ne lui appartenait pas.


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