Le sale boulot [Assiah]

Pendant les vacances, quelles qu'elles soient, Nava n'avait plus son travail d'homme à tout faire au lycée. Dommage. Cela constituait son unique source de revenu, et malgré son train de vie plus que modeste (sans être indigent pour autant) ce travail était vital, en plus, il l'aimait bien. Il s'entendait parfaitement avec la plupart des gens avec qui il devait "traiter", il se montrait affable et on le lui rendait bien.

Donc, durant ces vacances, il avait fini par trouver un job d'intérim' au centre commercial, à salaire équivalent. Cependant, un je-ne-sais-quoi, les collègues? les supérieurs? les clients? ne lui plaisait pas, il se sentait méprisé et moqué. En résumé, une belle journée de travail ingrat commencait...


-Arf...

J'avais réussi à avoir de l'argent de la part d'une vieille dame à qui j'avais rendu service. Ayant découvert ma vraie nature elle m'a donné une forte somme afin que je puisse "me fondre dans la masse" comme elle disait.
J'arrive alors dans le centre commercial et regarde le vendeur qui a l'air de s'ennuyer.

-Euh...Bonjour...Pourriez-vous m'aider à trouver des vêtements ?

Il faut que j'adopte la culture humaine après tout. J'espère que cet humain saura m'aider.

Il s'apprêtait à peine à commencer son travail de la journée, se dirigeait vers l'arrière boutique afin d'aller prendre le matériel pour laver le sol du magasin qu'une jeune fille l'apostrophait gentiment.

Elle cherchait des vêtements, elle l'avait bizarrement pris pour un vendeur. Deux options se présentèrent à lui: soit jouer le jeu, de toutes façons, il n'aimait pas ce job et à cette heure le centre commercial était vide et aucun vendeur n'aurait prêter attention à son absence, ou bien, faire comme si de rien n'était et continuer à balayer son reflet inlassablement sur le carrelage.

Le choix était vite fait.

-Oui, vous cherchez quoi comme vêtements?

Je lui souris doucement et me défini dans ma tête ce dont j'aurai besoin.

-Et bien...Je voudrais, des chaussures, des robes, des collants et...

Je rougis doucement avant de révéler la dernière chose.

-De la lingerie. Je viens d'arriver et je m'installe à peine.

Je souris au vendeur et commence à regarder un peu les rayons. Que va-t-il me proposer ? Un monsieur arrive et dit au jeune homme.

-Hey ! On t'attend en arrière salle toi !

Ah j'ai horreur de ça. Contrariée j'observe l'homme.

-Vous ne  voyez pas qu'il est entrain de m'aider ?!
-Euh excusez-moi mademoiselle.

Je souris au jeune homme. 

-Alors que voyez-vous ?

Aujourd'hui, cela devait être karmique, c'était son jour de chance: en effet, une belle demoiselle lui demandait de l'aider à choisir de la lingerie, il ne s'était pas fait enguirlander pour avoir délaissé son travail grâce au coup de gueule de cette même divine créature. Bref, dans ces cas-là, la philosophie à adopter c'est "tant que je gagne, je joue".

Alors il allait en profiter au maximum.

De la lingerie, dites-vous, ça tombe bien, à cette heure, vous aurez tout le loisir d'essayer les modèles qui vous plaisent car la boutique et ses cabines son désertes. En plus, elle est en réduction. Je vous prie de me suivre.

Le sourire en coin, il songeait déjà aux minutes de délice que provoquerait la vue de ce corps dans pareilles tenues...

De la lingerie, dites-vous, ça tombe bien, à cette heure, vous aurez tout le loisir d'essayer les modèles qui vous plaisent car la boutique et ses cabines son désertes. En plus, elle est en réduction. Je vous prie de me suivre.

Je lui fais confiance il est vendeur. Je vais vers la cabine et lui sourit.

-Je fais du 95D et du 38 en taille. Je vous fais confiance pour me trouver de beaux modèles.

Je retire ma veste et attends patiemment la venue du gentil vendeur.

La jeune fille avait à peine prononcé ses mensurations que Nava eut du mal à réprimer son étonnement et sa gêne. En effet, elle parassait bien proportionnée, mais il n'y avait guère porté plus d'attention qu'à l'accoutumée. Ses mots ramenèrent la réalité comme une tape dans le dos d'un ami: brusque mais agréable.

-D...D'accord je vais vous chercher ça de suite.

Il arpenta quelques minutes à peine les rayons, à la recherche des ensembles les plus affriolants, les plus provocants et sexy. Inconsciemment, il avait envie de la voir porter ces choses. Soutiens assez fins, dentelle finement ciselée comme de l'orfèvrerie...

Il arriva enfin à la cabine.

-Tenez, je pense que ça vous ira à merveille.

Il avait de la peine à cacher son impatience...

Je le vois s'enfoncer dans les rayons et revenir un peu après avec un tas de dessous.

Je ferme le rideau en le remerciant et commence à essayer un ensemble en dentelle blanche, guépière bas et string. Je souris, c'est joli la lingerie fine. Je me regarde en détail sans voir que j'ai mal fermé le rideau.

Je lui avais ramené tout un beau petit de lingerie, pas spécialement cher, pas spécialement cheap, vraiment sympathique. Inconsciemment, j'avais dû lui donner ce qui m'aurait plu de voir sur une femme, un condensé de mes fantasmes, lesquels j'aurais voulu réaliser à tout prix.


-Voilà, voilà, m'étonnerait que vous ne trouviez pas votre bonheur là d'dans, m'elle.

Elle paraissait satisfaite; tant mieux, car, même si cela ne m'avait pris beaucoup de temps à rassembler et à choisir, j'y avais mis du coeur.

Alors qu'elle prenait les vêtements, elle commenca derechef à les essayer, le rideau pas tout à fait fermer. Sans le vouloir, je me suis laissé au jeu: je la regardais se défaire de ses habits, dévoiler ses formes attrayantes et pleines de charme. C'était un plaisir sans nom.

Alors qu'elle essayait une nuisette qui laissait peu de place à l'imagination et string noir, sans le savoir pourquoi, je rentrai dans la cabine.

-Moi à votre place, je vérifierais directement si ils sont confortables même serrés; on sait jamais, que vous preniez ou perdiez quelques kilos...

Il se mit alors à maniier la ficelle de son string, la rehausser, écarter ses fesses...

-Vous voyez, est-ce toujours aussi souple?

Je continuais mes essayages quand tout d'un coup le jeune vendeur entre dans la cabine d'essayage et commence à me parler tout en me palpant. Je suis tellement surprise et rouge que je ne peux plus bouger.

-Moi à votre place, je vérifierais directement si ils sont confortables même serrés; on sait jamais, que vous preniez ou perdiez quelques kilos...

Je le sens faire frotter la ficelle entre mes deux fesses et je pousse un petit gémissement de surprise alors que je commence à sentir ma cyprine couler le long de mes jambes.

-Vous voyez, est-ce toujours aussi souple?

Les seins collés contre le miroir du fond de la cabine. Je le regarde rouge de désir t de honte et gémis doucement.

-Owmh...Pourquoi vous faites ça ?

-Bah, vous n'allez tout de même pas acheter des articles fragiles ou mal facturés!

Il fallait en effet faire des tests plus poussés. Alors qu'elle se collait contre le miroir, l'autre partie de son corps vers moi, je décidai d'approfondir les choses.

Je lui mis une claque sur la fesse droite et la palpa.

-Vous voyez, le string tient bien.

Après tout, il doit savoir ce qu'il fait...Je lui souris toujours aussi rouge.

-Ow...Euh si vous le dites...Je dois essayer quel modèle maintenant ?

Après tout je vais me laisser guider c'est bien mieux. J'observe une combinaison de dentelle noire et rougit en m'imaginant dedans...Ow...Il m'a surtout ramené des dessous de séduction...Ow la la ! Mais je commence à penser qu'il va me sauter dessus...

-Hmmm? Ah, quel habit essayer? Oh, on a tout le temps, enlevez déjà ce que vous portez, et essayez ça.

A peine avait-il fini sa phrase qu'il dégaina son sexe en érection de sa braguette, tenu fermement de sa main gauche, il lorgnait virilement en direction de la fille.

-Je suppose que vous savez quoi faire.

Je le vois sortir son sexe et rougit. Je n'avais pas tord.

-Alors vous me voulez ? Mais...je vous en prie..Pas ici...

Dans un lieu public...Oh mon dieu...Je me déshabille et continue mes essayages préférant tenter de l'ignorer. Pourvu que je ne frustre pas et qu'il puisse attendre... J'enfile un string rouge qui a une ouverture au niveau du sexe. J'enfile le soutien gorge assorti et vois mes tétons hors de deux ouvertures pratiquées dans le soutien gorge. Ow non je sens qu'il a pris toujours pire...

-Mmmh, apparemment, il faut te rafraîchir la mémoire...

Elle venait de se changer qu'il prit sa tête par les cheveux et la dirigea vers sa verge turgescente, gonflée par l'envie et le refus.

-Allez, fais connaissance.