Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Le piège de l'amour [Pv : Miya Diablo] --- Terminé ---

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Ryuga

Humain(e)

Ryuga avait passé un après midi de rêve, le shopping avec Miya était loin de la première idée qu’il se faisait sur cette pratique ! En effet la séance d’essayage de nuisettes très sexy et ce qui en suivit l’avait définitivement fait aimer les magasins…
Ils arrivaient maintenant devant l’immeuble où le policier louait un appartement, c’était un bâtiment plutôt moderne, chic sans être luxueux, mais assez richement meublé pour plaire à une amatrice des belles choses comme Miya. Ryuga faisait partie des personnes qui avait de l’argent, mais qui n’était pas de nature à le montrer. Son salaire d’inspecteur était confortable, ce n’était pas un gros dépensier,  et depuis qu’il était avec la demi-déesse, il fumait et buvait beaucoup moins.
Ils entrèrent dans l’immeuble, puis prirent l’ascenseur jusqu’au troisième étage. Ryuga regardait Miya avec un petit sourire joueur, en imaginant les choses qui pouvaient se produire si par "inadvertance", son coude venait pousser le bouton d’arrêt d’urgence. Mais ils avaient déjà plusieurs choses de prévues au programme, et le policier se contenta de garder cette idée dans un coin de son esprit. Il y avait une atmosphère vraiment féline dans ce si petit espace, malgré l’immobilisme et le silence de ces deux êtres, on avait l’impression qu’au moindre geste de l’un, l’autre se jetterait sur lui.
L’ascenseur s’ouvrit et Ryuga en sortit pour guider Miya vers la porte où le numéro 327 était gravé, il l’ouvrit et laissa la demi-déesse entrer en première. Par pure galanterie ? Ou pour en profiter pour placer sa main sur les fesses fermes de la chanteuse ? Disons les deux !



-   Alors … Petite visite des lieux ? Lui dit-il avec un doux sourire, qu’il arborait si facilement depuis qu’il était avec elle.

L’inspecteur déposa les sacs de vêtements de Miya près de la table basse du salon, et prit sa main pour l’entrainer vers les autres pièces. Son cœur battait étrangement vite, et cela venait certainement du fait, qu’elle était la première femme qui pénétrait en ces lieux. C’était une règle qu’il s’était fixé : Ne jamais ramener les "filles d’un soir" à son appartement. Officiellement pour éviter des ennuis, officieusement, pour réserver ce privilège à une femme qui compte réellement pour lui. Et c’était le cas avec Miya, il avait confiance en elle, et c’est pourquoi il la laissait entrer dans l’intimité de sa vie de tous les jours.
Sur un meuble du salon, quelques cadres étaient posés, des photos de famille, dont un portrait de son père en uniforme. Mais Ryuga ne s’attarda pas dans cette pièce, et se dirigea dans le couloir, pour lui présenter les suivantes. Son appartement n’était pas très grand, plutôt douillet, il disposait de 5 pièces. La principale, composée du salon et de la cuisine, sa chambre, les toilettes, la salle de bain, et une dernière, avec vue sur les illuminations de la ville, qui lui servait de bureau. Il s’arrêta dans cette pièce et se tourna vers elle en lui souriant.


-   Qu’en penses-tu ? Lui demanda-t-il en venant joindre ses mains dans le bas de son dos, pour mieux plonger son regard dans les yeux de la femme qu’il aime.

Rien… Il ne voulait que rien ne vienne gâcher ces instants avec elle. C’était elle… Il le savait maintenant… La femme que tout homme rêve de rencontrer, celle pour qui bat son cœur désormais. Il était peut être trop sentimental, mais jusque là il ne l’avait pas été assez, et il avait envie de croire en elle, de croire en leur histoire. Au delà de l’attirance physique, il se sentait bien avec elle, ils parlaient, ils riaient, se chamaillaient parfois, mais les réconciliations étaient toujours très "chaleureuses". Ryuga ne se voilait plus la face, il était tombé dans un piège qu’on appelle l’Amour.
« Modifié: vendredi 04 juin 2010, 16:23:32 par Ryuga »

Miya Diablo

Dieu

Re : Le piège de l'amour ? [Pv : Miya Diablo]

Réponse 1 lundi 18 janvier 2010, 23:48:50

Et Ryuga n'avait pas été le seul a avoir été plus que satisfait de cette après midi. Rien que de repenser à ce qui s'était passé dans cette cabine lui donna des frissons... Le sourire joueur, qu'elle reconnaissait à présent si facilement, et qui dansait de plus en plus souvent sur les lèvres de son tendre amant, indiqua à la demi déesse que Ryuga imaginait sans doute réitérer l'épisode de la cabine dans l'ascenseur qui les menait chez lui. Pourtant, il ne fit pas le moindre geste, malgré le regard qu'elle lui lançait et qui lui disait : "je t'attends", avec un sourire identique au sien qui avait aussi beaucoup de mal à quitter ses lèvres depuis deux semaines.

"Chez lui". Ces deux derniers mots résonnèrent un moment dans son esprit, comme si elle cherchait à les y graver. C'était la première fois qu'ils trouvaient enfin le temps d'y venir, et Miya ne douta pas un instant que c'était là un privilège qu'il n'avait pas du offrir à beaucoup de femmes... Son orgueil lui souffla qu'elle était peut-être même la première à pénétrer son antre, et ses lèvres s'étirèrent en un léger sourire victorieux.

Alors … Petite visite des lieux ?

Miya tendit une main qu'il saisit délicatement après avoir posé ses sacs, et elle le suivit, le cœur battant la chamade. Elle était prête à le suivre n'importe où, et parfois, la force de ses propres sentiments l'effrayait un peu et lui faisait tourner la tête. Pourtant, au lieu de se braquer et de fuir comme elle l'avait fait par le passé, Miya s'abandonnait totalement à lui. "Corps et âme", lui avait-elle dit. Et elle n'était pas prête de revenir sur sa parole : la magnifique demi-déesse, parfaite de corps, avait éprouvé un besoin presque maladif de lui plaire, et c'était bien la première fois que ça lui était arrivé ! Ajoutez à cela un amour pour lui qu'elle avait parfois du mal à contrôler...

Oh oui, elle était sûre que si elle devait passer l'éternité avec quelqu'un, c'était forcément avec Ryuga. Et personne d'autre. Et une fois dans le bureau, tandis qu'il la prit dans ses bras, et qu'ils se noyaient chacun dans les yeux de l'autre, Miya sourit, d'abord désespérément amoureuse.

- Je pense que je suis follement amoureuse de toi... murmura-t-elle avant de l'embrasser, doucement.

Et ce qu'elle aimait ces lèvres ! Miya en prit doucement possession, les caressa du bout de la langue pour qu'elle puisse aller chercher sa jumelle, dans un nouveau ballet lent rempli de passion. La demi déesse se colla davantage à son amant, et elle interrompit leur baiser pour murmurer :

- Et maintenant... Je repense à ma misérable chambre... (Où on a quand même passé des moments mémorables ! ) Et qu'il n'y a pas de raison qu'on n'inaugure pas chacune des pièces de ton appartement... (Elle sauta pour passer ses jambes autour de la taille de Ryuga et sourit) Qu'en penses-tu, toi ? On boit d'abord un café, où on commence les choses sérieuses et je me change ?

Et son sourire amoureux se transforma légèrement pour devenir plus aguicheur, elle se mordit sensuellement la lèvre inférieure et rit doucement avant de l'embrasser à nouveau.

- Je suis complètement dingue de toi, inspecteur de mon cœur !

Ryuga

Humain(e)

Re : Le piège de l'amour ? [Pv : Miya Diablo]

Réponse 2 jeudi 21 janvier 2010, 16:22:58

Quand Miya sauta au cou de Ryuga, et qu’elle passa ses jambes autour de sa taille, celui-ci en profita pour la soutenir en agrippant les fesses galbées de la demi-déesse. Il lui rendait son baiser avec autant d’amour, qu’elle lui avait offert, venant caresser sa langue doucement avec la sienne. Elle lui demanda s’il voulait passer aux choses sérieuses tout de suite, en arborant un sourire qui faisait craquer à chaque fois le policier. Et comme si cela ne suffisait pas, elle l’embrassa à nouveau, avant de déclarer une nouvelle fois sa flamme pour lui.

-   Je suis complètement dingue de toi, inspecteur de mon cœur !

Les lèvres de Ryuga, commencèrent à glisser le long de la joue gauche de Miya, par des baisers si délicats, qu’ils effleuraient juste sa divine peau. Puis il entreprit la descente de son cou avec sensualité, plaquant ses lèvres, pour laisser le bout de sa langue suivre la jugulaire de la chanteuse. Enfin il commença à embrasser langoureusement son cou, pinçant sa peau entre ses lèvres pour ponctuer ses baisers et articuler quelques mots.

-   J’ai tellement hâte… Commença-t-il en embrassant sa peau. De passer à la deuxième séance d’essayage… Souffla-t-il en l’embrassant une nouvelle fois. Que je vais nous préparer un café, pendant que toi tu commences à regarder tes nouveaux achats… Finit-il en redressant sa tête pour repartir à l’assaut de la bouche de sa demi-déesse.

Après une nouvelle danse de leurs langues dont il ne se lassait pas, il relâcha doucement la pression de ses mains sur la croupe de Miya, pour lui permettre de retoucher le sol. Ryuga replongea son regard dans le sien, puis posa une main sur le côté gauche de son cou, pour caresser sa joue avec son pouce et sa nuque du bout des doigts, comme il adorait et avait prit l’habitude de faire. Il ferma les yeux pour venir déposer un baiser sur son front, et malgré le magnétisme entre le corps, il s’écarta avec un doux sourire pour aller se rendre dans la cuisine et préparer un café, dont ils auront sans doute bien besoin…

Miya Diablo

Dieu

Re : Le piège de l'amour ? [Pv : Miya Diablo]

Réponse 3 lundi 25 janvier 2010, 22:56:11

Miya suivit pourtant Ryuga jusqu'au salon, où il avait laissé les sacs de leur folle journée. Et s'il partit vers la cuisine, elle resta dans l'immense salon et posa les sacs de vêtements sur la table basse, afin d'y choisir quelle serait la première tenue qu'elle mettrait, pour le seul plaisir de son tendre amant... Et opta pour le tout premier ensemble qu'elle avait trouvé, et s'apprêtait à repartir vers le bureau quand... une idée lui traversa l'esprit. Par-dessus son épaule, elle observa Ryuga, occupé à préparer le café, dos à elle. La demi déesse retira rapidement ses chaussures et ses soquettes, et posa une partie de la lingerie sur le meuble juste sous l'écran télé, lança e soutien-gorge sur le canapé... Et elle commença à chantonner pour attirer l'attention de Ryuga. Et pas n'importe quoi... Après les premières célèbres notes de "You can leave you hat on", Miya déboutonna un à un, face à son homme, les boutons de sa chemise, sans cesser de fredonner, laissant son corps onduler en rythme avec une fluidité à faire pâlir de jalousie Shakira.

Ses mains descendaient lentement le long de son ventre, dévoilant à chaque nouveau bouton défait un peu plus sa peau nue, dépourvue de tout autre tissu... Une fois sa chemise déboutonnée, Miya ne l'enleva pas tout de suite, ses mains continuant à glisser pour défaire les attaches de son pantalon. Un léger sourire dansa sur ses lèvres tandis que d'un habile coup de hanche, elle fit un tour presque complet sur elle-même, s'arrêta pour que Ryuga la voit de profile, et avec une lenteur exquise, commença à se baisser, jambes tendues, cambrure vertigineuse, ses seins un peu plus dévoilés, et ses mains glissant le long de ses cuisses entrainent doucement son jean jusqu'aux genoux. Dans un mouvement toujours fluide, sans cesser de danser une seconde ni de chantonner, Miya s'assit sur le bord du meuble. Sa première jambe remonte le long de la seconde, dans un geste sensuel, pour la dénuder entièrement, et toujours en rythme, la demi déesse tend brusquement la jambe gauche toujours vêtue pour la débarrasser du jean qui partit s'écraser contre le canapé. Roulement d'épaules, la demi déesse ne quitte toujours pas des yeux son amant envouté. Son corps ondule à nouveau sensuellement, toujours au rythme de la musique qu'elle fredonne.

La pointe de son pied gauche se pose sur la table basse du salon, et Miya se penche pour commencer à enfiler le premier bas blanc, les plis de la chemise dévoilant un peu plus sa poitrine toujours couverte. Ses doigts effleurent ses longues jambes, couvrant petit à petit sa peau jusqu'à mi-cuisse. Elle croise les jambes, la droite sur la gauche à présent repliée sur le meuble... Miya, avec sa souplesse que Ryuga a tant appris à aimer ces derniers jours, laisse son pied nu remonter le long de l'enceinte murale, tout en enfilant le second bas... Un striptease pour s'habiller, une grande première, même pour la demi déesse ! Ses mains redescendent le long de son corps, le bout de ses doigts froissant la chemise blanche sans pour autant dévoiler son buste. Miya se tourne lentement sur le ventre, l'ongle de l'index entre ses dents, un grand sourire étirant ses lèvres. Ses pieds battent lentement l'air, toujours au rythme de la musique, de même que ses fesses qui continuent à onduler légèrement. La demi déesse se rassoit, amène ses pieds à droite pour, discrètement, prendre du bout des pieds le porte-jarretelle qu'elle laisse sur ses chevilles. Elle glisse à terre, rejoint à quatre pattes la table du salon sur laquelle elle monte, à genoux. Elle continue de faire onduler son corps en chantant à voix basse, ses mains caressant son corps, et Miya s'amuse même parfois à dévoiler un peu plus sa poitrine, pour mieux la dissimuler de nouveau à la vue de son amant hypnotisé. Elle remonte le porte-jarretelle jusqu'à sa destination, et d'un salto d'une lenteur contrôlée, la chanteuse se remet debout, un pied sur le canapé, et attache le premier bas... Puis le second. Elle cesse un instant de chantonner, mais n'arrête pas de danser, le temps de demander, le sourire aux lèvres :

- Le spectacle te plait ?

Ryuga

Humain(e)

Re : Le piège de l'amour ? [Pv : Miya Diablo]

Réponse 4 mardi 26 janvier 2010, 23:45:04

Ryuga, dans la cuisine, s’occupait tranquillement de préparer le café pour lui et Miya, alors qu’il pensait celle-ci entrain de sortir les achats de la journée dans la chambre. Mais alors qu’il venait tout juste de lancer la cafetière, la douce voix de la demi-déesse parvint à ses oreilles. Ce timbre si mélodieux qu’il pourrait le reconnaitre entre milles… A cet instant il ferma les yeux et des images de leur toute première rencontre lui parvinrent… La première fois qu’il a entendu sa voix, qu’il à croisé son regard, qu’il à touché sa peau… Ils pouvaient presque ressentir ces moments tellement ils avaient été, malgré lui, graver dans son esprit. Après ce bref moment de flottement, il se retourna vers son amante et ses yeux d’un noir profond s’ouvrir sur son corps divin qui ondulait avec grâce.

La bouche de Ryuga s’entrouvrit pour émettre un son, mais rien ne sortit, alors que son regard suivait chacun des mouvements sensuels de la femme qu’il aimait. Cette dernière déboutonnait lentement sa chemise avec un regard plus qu’aguicheur, en fredonnant cette chanson mythique qui en disait long sur la suite de la danse. Chaque parcelle de sa peau qu’elle dévoilait faisait briller d’avantage les yeux de l’inspecteur, tout était pesé, suggéré, à la perfection, et faisait monter le désir en lui. Ce qu’il ressentait allait même au-delà du simple désir, il l’aimait tellement que son sœur battait de plus en plus vite, et qu’il dû se mordre la lèvre inférieur pour réprimer son envie de sauter sur elle. Mais nan… Il n’allait pas gâcher ce moment, il voulait profiter du spectacle que lui offrait Miya, et il devait reconnaître qu’elle l’exécutait à la perfection.
Ainsi le jean de la demi-déesse avait quitté ses jambes, pour laisser place aux bas du premier jeu de lingerie qu’elle lui avait présenté au magasin. Ryuga les reconnu tout de suite, et se demandait à cet instant comment il allait pouvoir tenir le temps qu’elle essaye les autres ensembles. Son regard jonglait entre la poitrine généreuse de Miya, qui se faisait désirer comme jamais sous le mince tissu de sa chemise, et le visage de celle-ci, qui entre regard séducteur et petite pose aguichante contribuait à augmenter le désir de l’inspecteur. Tout comme les bas, le porte-jarretelle rejoignit le corps de la chanteuse, comme s’il avait été confectionné dessus, et après avoir relié les deux pièces, elle arrêta de fredonner, tout en continuant ses gestes maitrisés.


-   Le spectacle te plait ?

Comment pouvait-il en être autrement ? Bien des hommes, qui venaient voir Miya chanter chaque soir, avait essayé d’obtenir le retrait de la robe de la belle chanteuse contre quelques billets de plus, et rêveraient d’être à la place de Ryuga en ce moment. Il afficha un doux sourire à son amante, en laissant son regard brillant quitter ses formes pour se replonger dans l’azur du sien.

-   J’en ai rarement vue d’aussi beau… Lui répondit-il d’une voix douce.

Il se dirigea vers elle en jouant avec son regard, le fuyant par instants pour s’égarer sur ses seins, dont la demi-déesse s’amusait à dévoiler puis cacher la naissance. Il prit place sur le canapé, et ne fit pas attention, tant il était envouté par sa dance, au soutient gorge que Miya avait lancé plutôt et qui se trouvait maintenant entre ses cuisses. Il mordilla à nouveau sa lèvre inférieure, pour retrouver l’air craquant qu’il a, quand il essaye de réprimer son envie pour la femme qu’il aime.


-   Je t’aime… Lui souffla-t-il d’un regard amoureux, en attendant la suite avec impatience.

Miya Diablo

Dieu

Re : Le piège de l'amour ? [Pv : Miya Diablo]

Réponse 5 jeudi 28 janvier 2010, 00:37:01

Miya sourit de voir son homme hypnotisé par sa danse. Une fois qu'il se fut assis sur le canapé, le corps de la demi déesse se remit à onduler, à genoux sur la table basse en face de Ryuga. Elle ne le quittait pas des yeux, et elle ne fredonnait plus que quelques notes ; la musique était sans doute bien assez présente dans leurs esprits pour qu'elle n'ait plus à chanter "You can leave your hat on". Ses mains glissaient aussi sur son corps, et comme elle savait à quel point sa poitrine pouvait plaire à son amant, elle s'amusait avec un plaisir sadique à froisser le tissu de sa chemise, sans jamais dévoiler davantage que la naissance de ses seins.

Puis les mains de Miya vinrent se poser sur les genoux de Ryuga. Elle avança lentement, roulant des épaules, la chanson était à présent un murmure... Ses lèvres approchèrent celles de Ryuga, les frôlant à peine, tandis que ses mains glissaient le long de ses cuisses, puis sur son torse, avant de s'arrêter sur ses épaules, pour descendre le long de ses bras. Ses hanches continuaient de bouger, lentement, son souffle chaud s'écrasait contre le visage de son homme, ses genoux enserraient les jambes de l'inspecteur. Miya finit par saisir les mains de Ryuga et les guida le long de ses jambes, les arrêta sur ses cuisses là où elles étaient dénudées. Sans se départir de son sourire aguicheur, Miya se pencha à nouveau, comme pour l'embrasser, surtout pour le rendre fou, et tandis que Ryuga entrouvrait la bouche pour accueillir la sienne, elle saisit entre ses dents sa lèvre inférieure et la mordilla légèrement avant de séparer leurs visages.

Elle reprit la chanson dans un murmure, et ses doigts commençaient déjà à desserrer la cravate de Ryuga, prétexte pour ses mains de revenir caresser son torse, suivre du bout des doigts les boutons de la chemise de son amant. Elle commence à reculer, ses pieds retrouvent la table basse, sa poitrine vient caresser son torse, puis ses cuisses. Ses mains descendent aussi, et Miya lève un sourcil appréciateur en caressant la bosse qui tend le pantalon de Ryuga, et du bout des doigts, elle vient récupérer son soutien gorge, et finit par se redresser complètement, à nouveau à genoux sur la table basse.

Après quelques ondulations de hanches, Miya finit par tourner le dos à Ryuga, sans pour autant le quitter des yeux, le regardant par dessus son épaule. Ses cheveux ébourriffés, son sourire enjôleur, ses yeux brillants tant elle est fière de l'effet qu'elle produit sur cet homme-là, le seul qu'elle désire, le seul à qui elle veut tant plaire... Elle agraffe habilement le soutien gorge dans son dos, le remonte pour recouvrir sa poitrine du tissu... Lentement, la chemise commence à glisser le long de ses bras, et Miya pousse même le vice à croiser les bras sur son ventre, pour que son haut déboutonné ne dévoile pas encore tout à fait sa poitrine si parfaite. Miya finit par se lever, avec cette grâce féline si caractéristique, et lentement, le chemise finit par tomber, froissée, à ses pieds, et elle enfile lentement les bretelles de son soutien gorge.

La demi déesse fait volte-face, un grand sourire plaqué sur les lèvres. Elle prend une pose à nouveau terriblement sexy et demande à travers les mèches de sa crinière qui lui retombent devant les yeux :

- Que penses-tu de cet ensemble de lingerie, mon tendre amour ?

Ryuga

Humain(e)

Re : Le piège de l'amour ? [Pv : Miya Diablo]

Réponse 6 samedi 30 janvier 2010, 19:19:08

Ryuga n’était pas du genre à laisser quelqu'un se jouer de lui, mais là c’était tout autre chose, il laissait Miya s’amuser de son désir pour elle, de sa frustration de ne voir qu’en partie ses formes si désirables. S’il fallait une preuve qu’elle était à moitié déesse, l’inspecteur pensait l’avoir devant ses yeux, tant cette danse l’envoutait.
Il continua de la suivre du regard, alors qu’elle posa ses mains sur ses genoux et commença à s’avancer contre lui telle une panthère. Il y aurait pu avoir un incendie ou Aphrodite en personne dans la pièce, qu’il n’y aurait pas prêté attention une seule seconde. Ils étaient dans leur bulle, et n’agissait que l’un pour l’autre. Les lèvres de Miya s’approchèrent de celle de Ryuga, et se frôlèrent avec une rare intensité, comme si un seul centimètre de plus déclencherait un baiser fougueux. Puis il sentit les mains de sa chanteuse dévaler son corps pour saisir les siennes, et les faire longer ses jambes jusqu’à ses cuisses entre ses bas et son porte-jarretelles. Il en profita pour caresser doucement sa peau soyeuse, remontant par moments vers ses fesses si magnifiquement bombées, pour s’en emparer avec possessivité. Puis la demi-déesse se pencha contre lui, laissant une très belle vue sur son décolleté, avant d’avancer ses lèvres vers celle du policier.
Ryuga était sur le point de l’embrasser, lorsque Miya détourna sa bouche pour mordiller juste sa lèvre inférieure, puis elle recula son visage, ne faisant qu’accumuler d’avantage la frustration si cruellement plaisante qu’elle lui faisait endurer. A cet instant l’inspecteur resserra l’étreinte de ses mains sur ses cuisses, en signe de fausse protestation, tout en lui affichant un sourire charmeur dont il avait le secret. La chanteuse entreprit de desserrer doucement sa cravate, puis commença à descendre ses mains le long de son corps, dans une sensualité qui le fit frémir. Puis il rougit un peu en croisant le regard de Miya qui jaugeait la bosse qu’avait maintenant formé son membre dans son pantalon, mais il n’y avait pas de quoi rougir, quel homme réagirait autrement devant un tel spectacle ? Et c’est alors qu’il s’aperçut que le soutient gorge de cet ensemble était entre ses cuisses, trop tard pour le voler, la demi-déesse s’en empara et se redressa. Après de lents mouvements de hanches, elle tourna le dos au policier pour enfiler le soutient gorge toujours avec cet air aguicheur qui le faisait fondre. Puis après avoir fait tomber la chemise le long de ses bras, Miya se retourna vers lui, et prit une pose très évocatrice.

-   Que penses-tu de cet ensemble de lingerie, mon tendre amour ?

Il lui allait parfaitement bien, peut être un peu juste au niveau de la poitrine, mais ça ne faisait que la mettre plus en valeur, d’autant que le tissu était légèrement transparent laissant discerner les perles roses qui y trônaient. Ryuga secoua un peu la tête, en souriant, comme si ce qu’il voyait n’était pas croyable.

-   Je crois que c’est un très… très bon choix… Répondit-il d’une voix suave. Voyons ce que ça donne au touché… Ajouta-t-il en la tirant doucement contre lui.

Les genoux de Miya se posèrent de chaque côté des cuisses de Ryuga, la laissant s’asseoir à cheval sur lui. Les lèvres de l’inspecteur vinrent réceptionner les siennes, pour les guider dans une danse aussi intense que pouvait être la frustration qu’il avait emmagasinée. Sa langue vint lécher doucement la lèvre supérieure de la chanteuse, avant d’aller rencontrer sa jumelle et la caresser avec douceur. Leur étreinte était entrecoupée de petits gémissements de désir et d’impatience, Ryuga ne se souvenait pas avoir eu autant envie d’une femme jusqu’à ce jour. Il écarta légèrement ses lèvres pour souffler, puis après un petit sourire que Miya devait commencer à connaître, il déposa de doux baiser sur sa joue gauche, tout en la dévalant lentement, et il glissa sa bouche le long de sa jugulaire en y faisant jouer l’extrémité de sa langue. Ses larges et chaudes mains remontèrent lentement le long de ses flancs, lui laissant le temps d’apprécier la peau douce de la demi-déesse en rétractant ses doigts sur sa peau par instants. Puis enfin il rencontre la base de sa poitrine généreuse, compressé dans son écrin de tissu. Tout en commençant à l’embrasser langoureusement dans le cou, il caresse ses seins à travers le soutient gorge, ses pouces venant légèrement appuyer au niveau des tétons de la belle demi-déesse. Puis Ryuga écarte doucement son visage, pour recroiser le regard de Miya avec un doux sourire, et descend sa main droite pour venir jouer avec le ruban au centre de son soutient gorge.

-   Je l’adore… Murmura-t-il d'un souffle chaud.

Miya Diablo

Dieu

Re : Le piège de l'amour [Pv : Miya Diablo]

Réponse 7 lundi 01 février 2010, 22:20:28

Miya s'était laissée aller aux baisers de Ryuga avec une passion qui lui donnait le vertige, même les yeux fermés. Leurs respirations étaient déjà saccadée, et le plaisir de retrouver la chaleur des mains de son amant sur son corps faisait gémir la demi-déesse. Elle s'abandonne toute à lui - corps et âme, lui avait-elle promis - et il prend un malin plaisir à être avec elle si doux, si patient... Miya croit devenir dingue.

- Je l’adore...
- Je remarque... murmure-t-elle à son tour.

Elle l'oblige à s'allonger sur le canapé, à force de baisers, et reste au-dessus de lui. Elle le regarde droit dans les yeux, avec un air terriblement sérieux malgré ses yeux pétillant de malice :

- Tu l'aimes tellement que tu ne l'as pas encore enlevé...

Miya se cambre pour que sa poitrine épouse le torse de son amant et elle l'embrasse avec fougue. Elle fait couler le noeud de sa cravate pour la lui enlever, et ses longs doigts s'affairent tout de suite après à défaire les boutons de la chemise de Ryuga, un à un, avec un certain empressement, mais sans écarter une seule seconde les pans de la chemise. Leurs lèvres se séparent tandis qu'elle fait, une fois de plus, onduler son corps pour descendre au rythme de la course de ses mains sur le torse de son amant. Miya ouvre à peine le bas de la chemise pour déposer ses lèvres chaudes sur son torse, ses doigts agrippent les pans de tissu et avec une exquise douceur, la demi déesse commence une lente ascension, dévoilant à chaque fois un peu plus la peau brûlante de ses abdos dont elle suit la ligne du bout de la langue. Lorsqu'elle arrive au premier téton, elle ne se prive pas pour le frôler à peine du bout des lèvres, sa langue tourne autour, sans jamais le toucher... Miya force Ryuga à lever les bras pour pouvoir lui retirer sa chemise ; ses lèvres étaient parties à l'assaut du second téton, et elle le mordille légèrement à ce moment-là. Quelques baisers dans le cou histoire de lui faire croire qu'elle va à nouveau l'embrasser... Seul un souffle chaud effleure les lèvres de Ryuga avant que la demi déesse ne se redresse et enfile la chemise qu'elle vient de lui enlever :

- On va le prendre ce café, avant qu'il ne refroidisse ?

Elle affiche un immense sourire...

Ryuga

Humain(e)

Re : Le piège de l'amour [Pv : Miya Diablo]

Réponse 8 mardi 02 février 2010, 15:22:51

Ryuga ne pouvait que se laisser allonger par Miya sur le canapé, sous la douceur et la sensualité de ses baisers. Il glissa son regard tout le long de son corps, les yeux brillants de désir, puis revint le plonger dans celui de sa belle demi-déesse.

-   Tu l'aimes tellement que tu ne l'as pas encore enlevé...

L’inspecteur lui sourit avec un regard joueur, puis frissonna en sentant sa poitrine se poser délicatement contre son torse. Toujours avec la grâce qui la caractérisait, elle lui dénoua le nœud de sa cravate puis la retira, pour commencer à défaire un à un les boutons de sa chemise, en descendant contre son corps. Le souffle de Ryuga était coupé de petits soupires de plaisir, au contact de la bouche puis de la langue de Miya, qui commençait à remonter le long de son torse au fur et à mesure qu’elle le dévoilait. Puis lorsqu’elle l’aida à retirer sa chemise, elle profita pour mordiller son téton droit, lui arrachant un gémissement mêlant surprise et excitation. La chanteuse remonta pour déposer à nouveaux ses lèvres dans son cou, puis juste avant que leurs lèvres ne se rejoignent, elle se redressa complètement, ne laissant que son souffle chaud à la bouche du policier. Elle enfila la chemise qu’il avait sur lui, bien trop grande pour elle, ce qui lui donnait un côté d’autant plus sexy.

-   On va le prendre ce café, avant qu'il ne refroidisse ?

Elle venait de laisser son homme complètement fou de désir, et croyait s’en tirer ainsi ?

-   On le réchauffera… Dit-il d’une voix suave, en rendant son sourire à Miya.

Ryuga n’allait pas la laisser s’échapper, tout son être la désirait, et leur jeu l’avait fait atteindre le paroxysme de son désir, il n’avait jamais autant eut envie de quelqu'un, que d’elle en ce moment. Il se redressa contre sa demi-déesse, en plongea avec ardeur sa bouche sur son cou, apposant la langue sur sa peau, avant de la pincer vivement entre ses lèvres comme s’il voulait la manger. Ses gestes étaient moins maitrisés que d’habitude, le désir était tel, que ses caresses, sans être brusques était bien plus fortes. Ses mains vinrent se plaquer fermement contre sa croupe divine, la pressant d’une étreinte chaude et possessive dont lui seul avait le secret. L’inspecteur continuait ses baisers fiévreux sur le cou de sa chanteuse, jusqu’à ce qu’il capture entre ses lèvre la première bretelle de son soutient gorge, qu’il commença à faire glisser lentement, alors que ses mains continuaient à caresser avec fermeté ses fesses, malmenant quelque peu son porte jarretelle.

Une fois la bretelle tombé le long de son bras, il redressa son visage pour plonger son regard dans celui de Miya, puis vient poser ses lèvres contre les siennes pour partager le baiser passionné et emplit d’amour, qu’ils désiraient depuis un petit moment. Ryuga y mit fin, en entrainant se demi-déesse contre le canapé, ses larges mains descendirent chaudement vers ses cuisses, pour la laisser allongée confortablement sur le dos. Toujours comme s’il voulait la dévorer, sa bouche dévala sa peau, en ponctuant ses baisers d’un doux pincement de lèvres. Il entreprit la descente de son sein gauche, qui, sans le soutient de la bretelle, laissait voir la naissance de son téton. C’était justement ce dernier qu’il visait… Et alors que ses mains pressée contre sa peau, caressaient ses cuisses dans un doux vas et vient, il agrippa de sa bouche l’écrin de tissu qui emprisonnait son sein, laissant sa lèvre supérieur effleurer sa perle rose. Ryuga leva un instant son regard pour mieux apprécier la réaction de Miya, puis fit glisser très lentement le côté gauche de son soutient gorge. Il n’en fallut pas beaucoup pour libérer le sein généreux de la chanteuse dans un petit rebond, vraiment très sexy.


-   Mhm... <3 Miya...

Il cassa d’un coup la lenteur de ses gestes pour venir capturer vivement entre ses lèvres le téton fraichement dévoilé, apposant délicatement sa langue chaude dessus, avant d’en faire le tour de l’extrémité de cette même langue. Il voulait la rendre aussi folle de désir, qu’il l’était, il voulait prendre son temps, lui offrir quelque chose qui dépasse ce qu’elle a put connaître, parce que c’était sa femme, parce qu’il l’aimait.

Il monta sa main droite le long de son corps pour enserrer la base de son sein nu, tout en continuant d’embrasser avec fièvre  la perle rose qui y trônait, la suçotant par moment, la pinçant entre ses lèvres. Puis avant de se séparer de lui, il mordilla tendrement son téton, puis remonta au niveau du visage de Miya, tout en laissant sa large main se substitué aux caresses de sa langue. Ryuga regardait la femme qu’il aimait, dans les yeux, en soufflant chaudement contre ses lèvres. Leurs ébats semblaient être plus forts à chaque fois, celui-ci était bien partie pour ne pas échapper à cette règle. Quand l’amour et le désir se joignent, l’expression « faire l’amour » prend tout son sens.

Miya Diablo

Dieu

Re : Le piège de l'amour [Pv : Miya Diablo]

Réponse 9 dimanche 07 février 2010, 23:09:41

Et Miya, comme à chaque fois, se laissa guider par son tendre amant, enivrée à la moindre de ses caresses, répondant à chacun de ses baisers avec une fougue à peine retenue. Ses mains dansaient sur le corps de Ryuga, et ses cuisses se resserraient autour de  sa taille. Elle aurait pu le laisser continuer, car il fallait bien avouer que son amant était extraordinaire... Pourtant, ce n'est pas vraiment ce qu'elle voulait, ni ce qu'elle avait prévu. Elle posa une de ses mains sur sa joue, l'embrassa lentement, et se redressa à nouveau, s'assis à califourchon sur ses genoux. Miya regarda son amant droit dans les yeux, avec ce sourire en coin, et entre chacun des baisers qu'elle déposa autour de ses lèvres, elle murmura :

- Voilà un peu plus de deux semaines que tu me fais... *elle roule les yeux* divinement bien l'amour, jour après jour, et je trouve que je suis radine en compliments... Aujourd'hui, je voulais te rendre suffisamment fou de désir pour que tu n'ais même pas envie de te soucier de mon plaisir... (ses lèvres glissent le long de sa joue, pour s'arrêter près de son oreille) ... Mais il semblerait que j'ai encore du chemin à parcourir, et des tas de choses à apprendre...

Durant son petit discours, ses mains n'étaient pas restées inactives. Peut-être qu'à l'image des caresses de Ryuga, ses doigts qui couraient sur son corps tremblaient un peu, et allaient plus vite que d'habitude, trahissant son propre désir... Et puis elle avait fini par défaire son pantalon, et tandis qu'elle murmurait ses dernières paroles à l'oreille de son amant, Miya caressa lentement, du bout des ongles, le sexe enfin libre de son compagnon. Sa bouche, parfois le bout de sa langue, suivait la ligne de sa mâchoire, descendit sur sa gorge, remonta le long d'une clavicule, l'épaule, pour venir caresser de son souffle brulant sa deuxième oreille, et Miya sussurra, alors que ses mains avaient mis en contact leurs deux sexes :

- ... et il va falloir que tu me serves de professeur, forcément...

Elle bougea légèrement le bassin, toujours avec une lenteur exquise, gémit un peu ; sa langue suivit le lobe de son oreille, gourmande, et lentement, guida le sexe de Ryuga jusqu'à l'entrée de son intimité, sans cesser de le caresser du pouce. Miya plongea son regard brillant dans les yeux de son amant et murmura :

- Demande-moi ce que tu veux, mon tendre amour...

Ryuga

Humain(e)

Re : Le piège de l'amour [Pv : Miya Diablo]

Réponse 10 lundi 15 février 2010, 20:51:11

Miya avait cherché à rendre Ryuga fou de désir, dans le but qu’il lui fasse l’amour sur ce canapé, sans se soucier de son plaisir. Il y à peine quelques mois, il ne se serait même pas posé la question, et aurait prit de cette manière ce corps si désirable, mais depuis qu’il était avec elle, il n’agissait pas que pour son plaisir physique, mais par amour. Ce n’est que lorsque Miya lui fit la remarque, qu’il prit conscience de cela.

-   Ca ne vient pas de toi… Je suis vraiment fou de désir. Il marqua un temps d’arrêt, l’appréhension d’avoir déçu la femme qu’il aime lui faisant baisser les yeux. Puis il remonta son regard vers le sien, avec le sourire craquant dont il avait le secret.  Il n’y a qu’à te regarder… Tu es magnifique.

Peut être avait-il essayé de trop bien faire durant ces derniers jours, il avait cherché par-dessus tout à satisfaire Miya, parce qu’il voulait être à la hauteur de l’amour qu’elle lui portait. La chanteuse put sentir le cœur de l’inspecteur battre fort, quand elle commença à passer ses mains sur son corps pour atteindre son pantalon. Et alors qu’elle murmurait tendrement à son oreille, Ryuga sentit son membre dressé d’envie, être libéré de sa prison de tissu, puis caressé avec légèreté par les ongles de la demi-déesse. Il sentit son sexe se poser délicatement contre le sien, et il frissonna alors que leurs regards ne s’étaient quittés à aucun moment.

-   Demande-moi ce que tu veux, mon tendre amour...

-   La seule chose que je veux dans ce monde, c’est toi…

Ryuga vint prendre appui de ses mains sur les fesses de Miya, et tout en pressant dessus pour la faire descendre sur son membre, il se cambra pour venir plonger ses lèvres sur son sein libre. Il n’avait pas l’intention de libérer l’autre, premièrement parce que ça donnait à sa demi-déesse un air négligé qu’il trouvait vraiment excitant, et deuxièmement, parce qu’il voulait lui laisser ce nouveau soutient gorge qui la mettait si bien en valeur. Ses lèvres s’étaient à peine poser sur son téton, qu’il souffla longuement en réprimant un gémissement de plaisir en sentant le sexe de Miya englober lentement sa verge dure de désir. Il leva un instant des yeux mi-clos vers elle, trahissant tout l’amour et tout le désir qu’il éprouvait. Puis il pinça délicatement son téton entre ses lèvres, en commençant à accompagner les mouvements de bassin qu’effectuait la chanteuse.

-   Miya… Souffla-t-il. Que c’est bon d’être en toi. Puis il arriva à sourire, malgré la décharge de plaisir qu'envoyait chaque descente du sexe de Miya sur le sien. Je me sens chez moi...

Miya Diablo

Dieu

Re : Le piège de l'amour [Pv : Miya Diablo]

Réponse 11 lundi 22 février 2010, 22:42:06

Miya ne relève pas lorsque Ryuga la dit magnifique. Hors de question de briser ce moment, cette ambiance, parce qu'elle refuse d'être juste belle à ses yeux ; n'importe qui peut lui faire ce compliment, et généralement, elle y a souvent droit au bar... et Ryuga n'est pas n'importe qui... Elle a cette envie depuis quelque temps de lui plaire, à lui et à personne d'autre, même si ce n'est devenu obsessionnel que depuis qu'ils sont "officiellement" ensemble. Elle le laisse prendre délicatement possession de ses fesses, et son coeur s'emballe à mesure qu'il la fait descendre, s'empalant avec une douceur et une lenteur exquises, un long râle de plaisir s'envole de sa gorge. Lorsque Ryuga prend possession de son sein entre ses lèvres, elle ne peut s'empêcher de plaquer une main derrière sa tête, comme pour le dissuader de s'en séparer une seconde. La demi déesse commence à faire onduler son bassin, chacun de ses mouvements ponctués par une pression sur sa croupe des larges mains de son amant. Le plaisir, sans doute aussi la frustration accumulée, lui fait accélérer le mouvement. Ses doigts se referment dans la chevelure de son amant, et Miya bascule la tête en arrière, se cambre davantage pour sentir toujours plue la peau brulante de son amant contre la sienne. La chemise de Ryuga commence à glisser de son épaule droite, dans un frisson, dévoilant un peu plus sa peau nue, sa poitrine si désirable, son sein couvert , sur lequel se pose une large paume.

Miya baisse les yeux vers Ryuga tandis qu'elle se sent défaillir de plaisir. La main agrippée dans ses cheveux le tire en arrière, leurs souffles chauds et saccadés en rythme, comme toujours, et la demi déesse fond sur ces lèvres si dériables après un "je t'aime... Bon sang, ce que je t'aime !" des plus fougueux. Elle accélère encore un peu le mouvement, jusqu'à la délivrance qui se fait dans un cri malgré leurs lèvres encore collées. Miya s'immobilise enfin, garde son front contre celui de Ryuga, les yeux fermés le temps de reprendre leurs souffles, tremblante de plaisir. Elle se demande même comment elle arrive à tenir encore sur ses genoux. La demi déesse vient frôler à nouveau les lèvres de son inspecteur avec un sourire, et elle lui demande dans un murmure :

- Ca a été ?

Ryuga

Humain(e)

Re : Le piège de l'amour [Pv : Miya Diablo]

Réponse 12 mardi 09 mars 2010, 00:36:55

Une fois de plus, leurs corps se mariaient l’un à l’autre dans une danse voluptueuse et intense. Les yeux de Ryuga, ne se détachaient de ceux de Miya, que sous l’exquise contrainte de son intimité, qui lorsqu’elle revenait englober son membre, provoquait sur tout son corps une vague de plaisir l’obligeant à refermer ses paupières. Son souffle chaud frappait sa peau, et ses mains lui offraient une étreinte toujours plus ferme, alors que la belle chanteuse accentuait la cadence de ses mouvements.
Les minutes défilèrent, les amenant irrémédiablement vers un orgasme, dont Ryuga s’étonnait à chaque fois de l’intensité. Ses lèvres se déposèrent sur son cou, puis remontèrent le long de sa jugulaire, entre des vagues de plaisir toujours plus forte. Puis juste au moment où ses lèvres se posèrent sur celle de Miya, son membre emprisonné dans l’étreinte jouissive de son sexe, libéra sa chaude semence dans plusieurs flots de spermes, ponctués de râles de plaisir. Les yeux mi-clos, le souffle saccadé, l’inspecteur remontait lentement ses bras sur le dos de la demi-déesse pour l’enlacer plus fort contre lui.
Ryuga soufflait doucement sur les lèvres de Miya, son front contre le sien, alors qu’il sentait sa semence couler dans son intimité. Il déposa de doux baisers sur sa joue, en glissant sa bouche vers son oreille pour murmurer quelques mots, avant de pincer entre ses lèvres le lobe.


Je t’aime…  C’est si…

L’inspecteur semblait ne plus trouver les mots, alors pour finir sa phrase, il prit délicatement la main de Miya, et l’amena contre son torse pour la poser au niveau de son cœur. Elle pouvait à cet instant, sentir le cœur de Ryuga battre fort, battre pour elle. C’était la fin de sa réponse.

************

Les deux tourtereaux avaient passé une bonne heure sur ce canapé, à discuter tout simplement, si bien qu’ils n’avaient pas vue l’heure passer. Ils s’étaient plongés dans le regard de l’autre, attentif à la moindre de ses paroles, un sourire amoureux répondant à un autre. Du coup, la soirée ne s’était pas passée exactement comme prévu, mais Ryuga, n’en était pas frustré, au contraire, il en avait apprécié chaque moment, et ne l’échangerai pour rien au monde.

Ne pas regretter d’avoir passé une nuit à discuter plutôt qu’a faire l’amour… C’est grave docteur ?...

Plus tard, en plein milieu de la nuit, alors que le café avait refroidit depuis longtemps, et que Miya s’était endormie contre son policier. Ce dernier s’était contenté de la regarder dormir, comme si la simple vue de son visage lui suffisait, et que rien d’autre n’avait d’importance. Il en avait profité pour se poser certaines questions, auxquelles il se devait de répondre maintenant. Voilà un petit moment qu’ils sont ensemble, en tout cas, une éternité comparée à ses anciennes aventures, ses sentiments sont de plus en plus claires, et s’affichent comme une évidence désormais. Il l’aime, il avait finit par l'accepter, son cœur appartenait à quelqu'un. Et c’est cette nuit, qu’il prit la décision définitive d’offrir une bague à Miya, quelque chose qu’elle pourrait porter toujours sur elle, comme s’il l’accompagnait où qu’elle soit. Et d’autres idées lui vinrent… Faire un peu de place dans ses placards ? Un double de ses clés ?... Mais c’était sans doute trop tôt, et il ne voulait pas brûler les étapes, ce qui pourrait risquer de gâcher cette relation qui le rendait si heureux.

Après avoir faire le point sur tout ça, Ryuga prit le corps nu de son amante dans ses bras, et se dirigea dans leur chambre. Il la déposa tout aussi doucement sur le lit, veillant à ne pas interrompre son  sommeil. Puis, après avoir laissé son regard glisser une dernière fois sur les courbes si parfaites de Miya, il déposa un tendre baiser sur son front, puis se coucha près d’elle. Une fois la couverture douce et épaisse ramenée sur leurs corps, il n'eut aucun mal à trouver le sommeil. Dans la vie d'un inspecteur de police ayant à faire à des crimes sordides, parvenir à trouver le sommeil sans problèmes est rare. Et pour cela, il peut remercier la présence de Miya contre lui.

« Modifié: mercredi 10 mars 2010, 22:32:49 par Ryuga »

Miya Diablo

Dieu

Re : Le piège de l'amour [Pv : Miya Diablo]

Réponse 13 vendredi 12 mars 2010, 00:32:07

Ils avaient passé ensemble une journée magique. Dans les bras l'un de l'autre, à discuter de tout, de rien, de lui, d'elle, et surtout d'eux. Pour la première fois de toute sa vie, Miya se sentait entièrement en confiance avec Ryuga. Et surtout, détendue comme jamais. Et cela l'effraya, même si elle essayait de ne pas le montrer.

Par le passé, quand quelque chose ne lui plaisait pas, elle fuyait. Que ça ait été les gitans qui la torturaient, ou quand on lui imposait un numéro au cirque avec des chevaux. Oh oui, Miya était légèrement capricieuse... Et elle avait peur de l'énormité de ses sentiments pour Ryuga, peur de sa dépendance envers lui. Pourtant, si elle oubliait qu'elle luttait pour ne pas fuir - sans doute parce que, justement, elle ne pouvait plus se passer de lui... - elle pouvait se rendre compte à quel point elle aimait ça, de se sentir aimée pareillement en retour. Il y avait un moment dans la journée où elle s'était enfermée quelques minutes aux toilettes, parce que tandis qu'elle continuait sa réflexion intérieure, elle avait eu un étrange malaise en se rendant compte d'une autre chose.

Même Jhun ne l'avait jamais autant aimée ni protégée.

Et cela dévastait la demi déesse. Parce qu'elle a toujours idéalisé son jumeau, qu'elle l'a toujours aimé - et qu'elle l'aime toujours - et il semblait impossible à Miya que quelqu'un puisse être aussi protecteur et adorable que son frère. Pourtant, lorsqu'elle rejoignit son amant sur le canapé, toujours torse nu parce qu'elle avait gardé sa chemise sur elle, et qu'elle avait croisé ce regard si amoureux... Ah, il pouvait aller se rhabiller, le Jhun ! Il voyait en elle la demi-déesse gitane, puis sa soeur jumelle qu'il devait protéger envers et contre tout. Ryuga ne voyait que la femme en elle, et l'aimait pour ça. A compter de ce jour-là, Miya ne chercherait plus à lutter contre l'instinct qui lui avait hurlé de fuir ; parce qu'il n'était même plus question qu'elle quitte ces bras-là. Elle s'y endormit, même, en plein milieu de la nuit, alors qu'il lui parlait.

Miya se réveilla le lendemain matin, juste avant son amant. Emmitoufflée dans la couette épaisse, dans les bras l'un de l'autre, elle le regarde dormir. La demi déesse n'ose même pas bouger ni respirer. C'est qu'elle est loin d'être matinale, et que la matin, elle a beaucoup de mal à se réveiller... De ce fait, c'était généralement Ryuga qui était réveillé le premier. Elle n'allait pas se priver du spectacle exceptionnel de le voir dormir, peut-être avec un visage trop sérieux... Mais ô combien craquant. Miya bougea lentement pour approcher son visage du sien, coller leurs fronts. Elle ferma les yeux quelques secondes. Le souvenir de son frère la rendit un instant nostalgique... Pourtant, elle était assez réaliste pour se rendre compte que si son jumeau avait encore été en vie, jamais elle n'aurait connu cette si merveilleuse histoire d'amour.

"Et rien que pour ça, reste où tu es, Jhun."

Miya rouvrit les yeux, surprise de sa propre pensée. Il y a quelques semaines, elle aurait été prête à se saigner pour faire revenir son frère de l'au-delà. Elle sourit tandis que Ryuga ouvrait les yeux, légèrement surpris de la voir déjà réveillée. Elle a un léger soupir, embrasse son amant et murmure :

- Si tu savais à quel point je t'aime, mon amour...

Et elle le lui prouva.

Puis elle quitta l'apprtement de Ryuga. En bas de l'immeuble, ils s'étreignent longtemps, s'embrassent, avant de se séparer, chacun vers le lieu de son travail. La journée, comme à chaque fois, lui parait longue, terriblement longue. Elle se languit de son amant, de ses bras, son odeur... Miya ne cesse de travailler, dans l'espoir que le temps passe plus vite. Le soir arrive, enfin, et pourtant...

Ryuga n'apparait pas. Si la demi déesse essaye de ne rien montrer, elle est terriblement inquiète. Et s'il lui était arrivé quelque chose ? Il reste un agent de terrain... Il a déjà été blessé... Miya panique. Son second tour de chant à peine terminé, la jeune femme monte dans sa chambre, enfile un jean sous sa courte de robe de chant, une longue veste, et sors par sa fenêtre, court dans la nuit. Ses escarpins à talons aiguille ne sont pas les meilleures chaussures de course, mais l'inquiétude qu'elle éprouve de ne pas l'avoir vu ce soir lui donne des ailes. Et c'est là qu'elle se rend compte à quel point elle est en train de changer pour Ryuga ; depuis quand elle ne se met pas en colère dans une telle situation ?

Elle arrive au pied de l'immeuble, ne voit pas la moindre lumière. Miya inspire profondément, essaye de ne pas trop paniquer, de ne pas imaginer le pire. Elle attend l'ascenseur pour se calmer, mais commence à s'énerver face à sa lenteur. Une fois immobilisé, la chanteuse se précipite au-dehors, jusqu'à la porte de l'appartement où la veille, elle a passé une journée si merveilleuse. Elle frappe doucement d'abord, puis un peu plus fort.

Et à son soulagement, la porte s'ouvre. Toute la tension accumulée depuis le début de la soirée disparait, laisse un instant la demi déesse tremblante. Miya fait un pas en avant, son sac tombe au sol. On pourrait croire qu'elle va se jeter à son cou, l'embrasser, et pleurer, lui dire des mots d'amour, glisser un petit "je me suis inquiétée".

Non. Une fois la tension évacuée, la colère fait surface. Elle avance pour être juste assez proche de lui. Et sa main prend un tel élan que lorsqu'elle vient claquer sur la joue de Ryuga, il en fait un pas un arrière. Et elle a le culot d'avoir les larmes aux yeux et de lui dire :

- Imbécile ! Tu aurais pu me dire que tu viendrais pas !

Et non, Miya n'est toujours pas douée pour extérioriser certains sentiments comme l'inquiétude...

Ryuga

Humain(e)

Re : Le piège de l'amour [Pv : Miya Diablo]

Réponse 14 vendredi 12 mars 2010, 17:53:20

Lorsque Ryuga ouvrit les lentement les yeux pour sortir de la torpeur de son sommeil, à son grand étonnement, ce sont ceux de Miya qui les accueillirent. Généralement, il était toujours réveillé en premier, la demi-déesse n’était pas très matinal, et c’était toujours lui qui avait le droit au visage endormie de son amante. C’était un moment qu’il appréciait particulièrement, elle était si craquante, comme une petite fille ne voulant pas aller à l’école. Mais il ne fut vraiment pas déçu du réveil que lui offrit Miya ce matin là, et ne voulait plus imaginer un seul autre réveil sans elle à ses côtés.

Puis plus tard, ils se quittèrent en bas de l’immeuble, un peu nostalgique de la journée qu’ils avaient passé ensemble, mais Ryuga avait une idée dernière la tête. Il comptait bien aller acheter une bague pour elle, et pourquoi pas, lui organiser un bon petit diner à son appartement, rien que tous les deux. Il sourit déjà à cette idée, il avait quelques recette de cuisines « spécial couple », qu’il tenait de sa mère, il les avait bien sûr adaptées à sa façon, et il pouvait s’enorgueillir de les réussir à chaque fois.

Plus tard dans la matinée, le policier arriva dans la galerie marchande où se situait la fameuse bijouterie qu’il avait vue hier avec Miya. Il pénétra à l’intérieur, puis commença à marcher en glissant son regard sur les articles plus étincelants les uns que les autres. Comment choisir la bague qui pourrait convenir ? Celle dont sa demi-déesse pourrait s’attacher, à la fois discrète, et représentative de son amour.
Après quelques minutes, aucune n’avait trouvé grâce aux yeux de l’inspecteur, il préférait repartir sans rien, plutôt que de ne pas choisir la bague idéale. La vendeuse présente dans la boutique semblait avoir perçut l’indécision de Ryuga, et après l’avoir regardé de plus près, elle se souvint l’avoir déjà vue près de la bijouterie. Oui, elle reconnaissait ces yeux noirs si troublant, et cette carrure rassurante, il était venu avec une femme qui avait acheté en toute discrétion un anneau. Venait-il d’avoir la même idée que sa compagne ? Rien que d’y pensée, cette vendeuse qui croyait encore aux contes de fées, en avait le sourire aux lèvres. Mais le problème c’est que la bague choisit par Miya n’était plus sur le comptoir, le modèle de présentation était dans l’arrière boutique. En effet la politique de la maison était de présenter un modèle seulement, lorsqu’on en a un en stock. Alors que l’inspecteur s’apprêtait à partir, la jeune vendeuse l’interpella.


-   Monsieur ? Je peux peut être vous aider ?

Ryuga se retourna vers elle avec un petit sourire, un peu désolé de repartir sans rien, mais il n’avait pas eu de coups de cœur pour les articles qui étaient devant lui.

-   Je… regardais les bagues mais, je ne suis pas encore vraiment décidé.

-   Quel genre de bague vous recherchez ?

-   Eh bien, plutôt discrète, mais élégante à la fois.

La vendeuse lui sourit, elle ne pouvait décidément pas le laisser partir, sachant qu’il y avait une bague qui pourrait lui plaire à coup sûr. Le souci, c’est que le nouvel exemplaire de l’anneau ne devrait être reçu que ce soir là, mais bon elle pourrait toujours en recommander un tout de suite après.

-   Oh, mais vous n’avez pas vue tous nos modèles. Attendez un instant.

Elle alla dans l’arrière boutique, et prit le modèle de présentation de l’anneau, ainsi que deux autres bagues plus voyantes, afin de ne pas faire paraître cela trop étrange.

-   Nous avons également ceux-ci.

Elle lui présenta les 3 bagues, et Ryuga eut directement le coup de foudre, pour l’une d’elles.

-   Celui-là. Puis-je le voir ?


La vendeuse sourit, c’était celui que Miya avait choisit également, à cet instant elle aurait donné n’importe quoi pour voir leur tête lorsqu’ils s’offriront exactement le même anneau. Elle lui tendit la bague, et l’inspecteur s’en saisit, pour la regarder sous toutes ces coutures.

-   Elle est parfaite. Je la prends.

Quelques minutes plus tard, il sortit de la boutique, il avait acheté cette bague, mais ne pourra venir la prendre que le soir. Ce qui voulait dire, qu’entre ça, et la préparation de son diner, il ne pourrait pas aller voir le tour de chant de Miya. Il avait un petit pincement au cœur, parce qu’il n’en avait loupé aucun depuis qu’il était avec elle, mais c’était pour la bonne cause, et s’il voulait laisser la surprise à sa demi-déesse, il ne devait rien lui dire.

*********

Le soir venu, le diner de Ryuga était bientôt prêt, et une délicieuse odeur embaumait la cuisine, au menu : Poulet au miel et au gingembre avec du riz, ainsi qu’un fondant au chocolat qu’il avait spécialement acheté chez un pâtissier. L’inspecteur était allé chercher la bague en rentrant du travail, et avait fait les quelques courses qui lui manquait pour préparer son repas, il n’avait pu assister au tour de chant de Miya, et nul doute que celle-ci ce soit fait du souci pour lui, et qu’elle lui en veuille, mais sans ça, la surprise n’aurait pas été complète. Il avait quitté son costume de travail, même s’il était très bien taillé pour lui, pour quelque chose de plus détendu, un jean noir de grande marque, mettant discrètement en valeur son postérieur musclé, et une chemise blanche, dont il avait retroussé les manches. Ryuga venait juste de finir une belle table, et d’y allumer quelques bougies, lorsqu’il entendit frapper à la porte. Il se doutait que ce devait être Miya, et il était pressé de la retrouver. L’inspecteur ouvrit donc la porte, et afficha un doux sourire à la femme qu’il aimait. La demi-déesse fit un pas en avant, en laissant tomber son sac par terre, et alors qu’il pensait qu’elle allait se réfugier dans ses bras, la main de celle-ci vint claquer contre sa joue, assez fortement, pour le faire reculer sous le choc.

-   Imbécile ! Tu aurais pu me dire que tu viendrais pas !


Ryuga s’attendait à tout sauf à ça, il s’était déjà fâché avec Miya, pour des sujets plus ou moins importants, c’est normal pour un couple, mais jamais au point que la chanteuse en vienne aux mains. Il put à cet instant se rendre compte, à quel point elle tenait à lui, à quel point elle avait eu peur qu’il lui soit arrivé quelque chose. Le pire c’est qu’il ne lui en voulait même pas pour ce geste, au contraire, il regrettait de lui avoir fait peur. Après un léger clignement de l’œil, dû à la rougeur de sa joue, son regard noir vint croiser le bleu de celui de Miya.

-   Je suis désolé de t’avoir fait peur mon amour. Mais… Si je t’avais prévenu…


Il marqua un temps d’arrêt pour s’écarter légèrement, afin que Miya puisse voir la table au fond du salon, juste éclairée par les lueurs dansantes de quelques bougies.


-   J’aurais gâché la surprise. Dit-il en afficha un tendre sourire, malgré sa joue qui le chauffait encore un peu.


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