Non ! Pas taper! Moi gentil!

EH MERDE!

Bleiz se dit qu'il faudrait vraiment qu'il arrête de s'endormir dans ce parc. ça lui arrivait au moins une fois par semaine et comme les restaurants fermaient il mourrait toujours de faim. Le parc était plongé dans l'obscurité ce qui ne l'effrayait pas outre mesure étant donné qu'il avait survécu dans les terres sauvages de terra.

Il était arrivé plus tôt dans la journée afin de s'entrainer au parc comme il le faisait presque tout les jours. Une fois son entrainement terminés, il s'était isolé dans les bois afin de se reposer un moment. Mais ce moment avait été finalement plusieurs heures vus qu'il s'était à nouveau endormi comme un gland.

Il remballa ses affaires et rangea son arme dans son fourreau. Il ce mit à marcher afin de regagner le parc puis de rentrer à son hotêl.

Au contraire de Bleiz, Miya n'avait pas son quota de sommeil. Comment réussir à dormir alors qu'elle ignorait totalement tout de la situation de l'homme de sa vie ? Non, Miya avait beaucoup de mal à dormir. L'effet des antidépresseurs et autres somnifères étaient généralement neutralisés au bout d'une heure maximum par l'organisme de l'immortelle. Et cette nuit, comme toutes les autres nuits depuis quelques semaines, la jeune femme avait décidé de se lever, et de sortir.

Elle laissait ses pieds choisirent leur chemin, et c'était souvent au parc qu'elle finissait... Au moins, en pleine nuit, il n'y avait personne pour la déranger. Miya éprouvait le besoin de se dépenser, de se sentir épuisée, de pousser son corps jusqu'au bout de ses limites. Remplacer une douleur par une autre. Essayer d'oublier que son cœur qui cognait si fort n'avait aucune raison de le faire. Alors l'immortelle restait dans le parc, et jouait avec le danger, s'imposa un entraînement sévère pour retrouver tous ses réflexes d'antan d'acrobate. Oh bien sûr, quand elle devait tomber, elle ne se retenait pas. Sentir sa cheville se briser, son bassin de fêler, ou voir l'os de l'avant bras lui sortir du coude était un spectacle macabre qui arrivait à la distraire quelques secondes, et oublier la douleur qui lui broyait le cœur.

Et ce soir, Miya regardait justement la plaie de sa paume, fraichement traversée par une branche, se refermer, avec un calme effrayant, lorsqu'elle entendit des pas. L'acrobate bondit sur ses pieds, sa main saignait encore, mais peu lui importait. Elle détestait être dérangée. Les pas étaient à présent trop proches pour qu'elle puisse se cacher à temps sans être vue. Quelques coups de talons et de sa main valide pour vérifier qu'elle avait bien ses dagues fraichement acquises. Bien, elle était parée à riposter contre toute attaque, son regard sombre rivé vers la provenance de l'intrus.

- C'est un peu tard et risqué, de se balader à cette heure-ci.

Bleiz arriva à la lisiere du bois et entra dans le parc quand il entendit un mouvement rapide. Comme quelqu'un qui bonsissait sur ses pieds. Il se dirigea lentement mais surement vers la source de se bruit et entendit des bruis sourds et répétés du talon et de la main sans qu'il puisse comprendre pourquoi. Avant qu'il puisse parfaitement distinguer la forme de la personne qu'il avait en face de lui il entendis

"- C'est un peu tard et risqué, de se balader à cette heure-ci."

La voix était féminine. Il approcha plus prêt et la vis.
Belle n'était pas le mot qui pouvais la désigner. Elle était magnifique. Que ce soit du corps ou du visage, Bleiz avait en face de lui un chez d'œuvre du corps féminin. Ses formes sculpturales, ses longs cheveux bruns, son visage à la foix terrible et triste, tout lui donnais envi.

Je pourrai en dire autant pour vous mademoiselle. Il est fort risquer pour une femme de se promenenr seul dans ce parc la nuit.

Il la détailla à nouveau de haut en bas.

Surtout une femme aussi belle que vous.

Miya saisit une première dague et la lança vers le visage de Bleiz. Heureusement, elle l'avait lancée avec sa main encore blessée, et la lame se planta derrière l'homme. Celle qui avait toujours tout fait pour qu'on l'admire et qu'on la complimente, était à présent malade qu'on lui dise à quel point elle était belle. Bien sûr qu'elle le savait. Mais ces idiots qui l'admiraient avaient tous l'air de la prendre pour une greluche. Jeu auquel elle pouvait parfaitement se soumettre. Miya prit d'ailleurs une pose idiote, appuyée sur une jambe, un bras sur le côté (déjà sur le manche d'une nouvelle dague, en fait... ) et sa main encore blessée au niveau du visage, un index sur la joue, les yeux tournés vers le ciel.

- Zut, quelle idiote. Je n'avais même pas remarqué tout ça, dites donc. Heureusement que vous êtes là.

Pour s'entraîner, Miya avait seulement vêtu un pantalon de toile assez sombre et un débardeur qui cachait seulement sa poitrine devant. Elle redevint sérieuse, quoique toujours en colère. Le trou dans sa main finissait de se refermer, et elle l'essuya sur son pantalon, prit une nouvelle dague.

- Et alors ? Je risque quoi ? Toi ?

Dernier mot prononcé avec une certaine moquerie dans la voix. Le pauvre Bleiz n'arrivait pas particulièrement au bon moment s'il avait espéré s'attirer les faveurs de la demi-déesse. Si Miya n'avait pas été si déprimée, sans doute aurait-elle rit, et se serait-elle davantage moquée de lui. Elle leva seulement un sourcil et joua habilement avec sa dague.

- Ecoute, va faire joujou ailleurs. Je ne suis pas d'humeur.

Dés qu'il vit la dague il se prépara à l'esquiver. Mais au moment ou elle la lança il vit qu'elle ne le toucherai pas et ne pris pas la peine de bouger. Cette fille n'était pas ordinaire. Peut-être venait-elle de Terra. En tout cas désormais Bleiz se méfiait d'elle et la considérai comme un danger.

Son ton était railleur. Le type de fille méprisante des autres. Vus sa musculature légere, elle devait etre très douée au combat pour se permettre une telle arrogance. Elle ris à l'idée qu'il puisse etre une menace, et lui demanda de "faire joujou ailleurs"

Parce que tu crois que moi je suis d'humeur à supporter la petite colère d'une peste dans ton genre ? Ma grande si je t'avais voulu du mal, t'aurais même pas eus le temps de sortir tes ptits joujou que tu serais déjà à porté de celui-là

Il sorti son arme. Une courte épée seulement longue comme son bras, à un seul tranchant.

C'est vrai que t'as l'air de pas mal assurer avec tes dagues mais moi...

d'un mouvement il passa sa lame dérriere lui et arracha la dague plantée dérriere lui. Il la fit voltiger dans les airs puis d'un mouvement sec, la relança dans la direction de cette damoiselle au charme acide.

...J'ai affronté des gros méchants.

Miya rattrapa sa dague au vol. Oh, bien sûr, cette imbécile s'était coupée. Mais elle ne faisait pas attention, la plaie se refermait déjà. Sans regarder sa lame, elle la lança pour reprendre le manche en main. Elle une peste ? Cela faisait longtemps que rire la démangeait à ce point.

- Ecoute, gamin. Je n'en ai pas seulement l'air. J'assure avec mes dagues. Si tu veux rentrer entier chez toi pour aller pleurer dans les jupes de ta mère, je te conseille de passer ton chemin. Ton épée en carton ne me fais pas peur.

Et elle s'autorisa un sourire. Parce que Miya espérait qu'il s'énervait. Parce que si cette épée ne tranchait pas, elle était suffisamment plate pour faire des dégâts à un humain normal. Et sans doute assez mal à la demi déesse ; ça lui changerait des branches ou de ses dagues qu'elle s'enfonçait parfois dans la poitrine. Un poignard dans chaque main, Miya changea de position, prête à attaquer ou à parer l'éventuel assaut de Bleiz.

- Alors. Je t'attends, monsieur "j'ai affronté de gros méchants".

"P.S: mon épée est tranchante mais d'un seul coté donc ^^ et elle est dans un très belle acier"

Elle attrappa sa dague comme il l'avait pensée. Voilà qui promettait d'être intéressant. Une belle femme et bonne combattante de plus, Il avait bien fait de s'endormir aujourd'hui.

Elle lui envoya une insulte qui ne le toucha même pas. Il n'allait pas perdre son calme pour si peu. Il se mit sa lame devant son visage en signe de salut et lui fit un clin d'oeil.

Je pourrai avoir une déesse ou un démon en face de moi que je ne reculerai pas. Combattre un adversaire doué c'est trop amusant.

Tu attends ? Et bien il me déplairait de faire attendre une si charmante demoiselle.

Il se mit en garde et chargea. Voyont comment cette beautée allait se débrouiller.

(HJ : je sais, je me référai à l'image, en fait... Des grosses n'épées comme ça, c'est bien des fois pour trancher, mais un coup du plat, ça fait mal aussi ^^ stout ^^ )

Une déesse ? Qu'il était amusant. Miya n'était qu'à moitié divine, mais qu'importe ? Il reconnaissait, déjà, qu'elle était douée. Au moins, il n'était pas idiot, pas complètement, du moins. Son maigre sourire disparut. Il voulait s'amuser ? Il n'était pas le seul. Hélas, ils ne devaient pas avoir la même notion de l'amusement. Il était si facile, quand on avait un corps aussi parfait que celui de Miya, de déstabiliser ces farouches combattants. La demi déesse n'attendit pas longtemps pour que Bleiz charge. Elle aurait bien le temps de s'amuser à le titiller un peu. Une fois qu'il fut assez près, Miya sauta en l'air et atterrit d'une main (la dague de sa main gauche s'est plantée au sol) sur le bout de l'épée, profita de l'élan de son adversaire pour lui mettre un coup de pied dans la figure.

- Allons allons. Tu n'as pas honte d'arriver comme un bœuf sur une frêle jeune femme telle que moi ?

Il la vit à une vitesse incroyable, sauter en l'air pour attérir d'une main sur sa lame. Dans le même mouvement elle lui envoya un coup de pied dans la figure, tout en ce moquant de lui.

Elle ne vit pas tout de suite que la main qui ne tenais pas la lame avait ammorti le coup de pied. La résistance de Bleiz avait fait le reste. Il leva les yeux vers elle et dit dans un sourire.

Vous n'êtes pas frêles. Et rien ne prouve que vous soyez jeune ou que vous soyez une femme

Dans le même mouvement il lui attrapa le pied et assoupli son poignet pour que sa prise sur son épée soit fragilisée. D'un mouvement du bras et du bassin il la projeta sur le sol, puis pointa sa lame vers sa gorge.

Il ne la mettait pas à sa merci car il savait que sa dague la sortirai de la. Il voulait juste lui faire comprendre qu'avec lui ce n'était pas gagné

Nul besoin de sa dague. Elle aurait pu, bien sûr. Non, Miya se contenta de rouler sur le côté et se releva d'un agile coup de rein. Si rien ne paraissait sur son visage, et pourtant, Bleiz venait de la piquer à vif. Pas une femme ? Pas jeune ? Certes, elle avait quelques siècles : était-ce une raison de l'insulter de la sorte ? Miya fronça les sourcils, et glissa la dague qu'elle avait encore dans sa main sous son débardeur.

- Allons allons. Serais-tu aveugle ? (Elle coupa son débardeur entre ses seins, le laissa glisser le long de ses bras, à présent seulement vêtue de son soutien gorge comme haut.) Tu crois sincèrement qu'une poitrine aussi parfaite appartiendrait à un travelo ?

Ce que les hommes pouvaient être manipulables à souhait. Dévoilez un peu vos atouts, et ils ramperaient presque à vos pieds ! Orgueilleuse ? A 100%. Miya avait confiance en son corps, même s'il était à présent un peu trop maigre... Oh certes, couper son débardeur révélait à présent qu'elle avait deux autres dagues dans le dos, mais sur le coup, peu lui importait. La demi déesse fonça vers Bleiz, bifurqua au dernier moment pour lui entailler légèrement le poignet qui tenait l'épée et récupérer la dague qu'elle avait planté au sol ; pas question de les gaspiller. Et une fois derrière Bleiz, elle fit volte-face.

- Et on ne t'a jamais appris à ne pas parler de l'âge d'une femme ? C'est généralement un sujet qui fâche. Beaucoup. Je n'ai quand même pas l'air SI vieille que ça !

Elle coupa de sa dague son débardeur et se retrouva en soutient gorge devant lui. Serte sa poitrine était forte appétissante mais Bleiz était concentré sur le combat et ne se laissa pas déstabiliser.

Elle fonça vers lui et sorti de sa ligne d'attaque pour lui entailler le poignet. Bleiz ramena très vite son épée vers lui et elle ne toucha que le pommeau de la lame. Elle se retrouva dos à lui et se retourna visiblement énervée par la remarque sur son age.

Tout d'abord chere demoiselle, Je ne mettais pas en doute votre féminité, mais votre humanité. Car vos mouvements et votre technique sont trop parfait pour que vous soyez une simple humaine. De plus, si votre humanité n'est pas réel, qui me dit que votre jeunesse ne l'est pas autant. Que les choses soit bien clair, votre beautée est indéniable. Mais je vous soupçonne d'être plus âgée que vous le paraissez

Etant à une distance sur, il se permis un bref coup d'oeil vers sa poitrine.

Ah oui au fait. Si vous vouliez me déstabiliser avec cette tenue appétissante, je suis au regret de vous dire que ça ne marche pas. Mais si vous y tenez vraiment...

Il fonça alors vers elle et sans lui laisser le temps de réagir, enchaina trois mouvements de lame avant de ce dégager d'un bond loin vers elle.

Elle se retourna et voulus avancer vers lui, mais au premier pas elle s'aperçut que son pantalon avait été découpé et qu'elle se retrouvais en sous-vetements devant son adversaire

...autant y aller à fond.

Bleiz avait le don de soulever les sujets qui fâchaient Miya. D'abord son âge ; ce n'est pas parce que l'on est immortelle qu'on n'est pas sensible à ce genre de chose. Et maintenant, son humanité ? Elle croisa les bras et lança un regard noir à Bleiz :

- Dis donc, toi. Que les choses soient bien claires. Je suis parfaitement humaine et... Quoi, tu vas me faire croire que tu trimballes ton joujou depuis ta naissance ? Alors oui, ma technique est parfaite, parce que je me suis entraînée.

Elle lui lança ses deux dagues au visage, et il les esquiva parfaitement ; bien sûr, elle s'y attendait, et elle n'avait même pas espéré une seule seconde le blesser ainsi. Elle saisit aussitôt les deux dagues qui étaient coincées dans pantalon.

- Et je te le répète : on ne parle pas de son âge à une jeune femme telle que moi. Si tu me crois si âgée... Tu n'as pas peur que mamie te mette une raclée ?

Et puis, malgré ses belles paroles, Bleiz restait un homme... Miya capta son coup d'oeil vers sa poitrine et ne put empêcher ses lèvres de frémir. Idiote et vaniteuse ! Elle réagit trop tard quand il fonça sur elle, et si elle cru éviter les deux premiers coups de lame, le troisième lui entailla la cuisse. Elle perdit légèrement l'équilibre, et son pantalon de toile tomba en miettes, la plaie se referma, laissant à peine une trainée de sang sur la jambe de la demi déesse. Miya resta bête et cligna plusieurs fois des yeux. Comment devait-elle réagir ? Elle cédait généralement à la colère ; mais elle avait envie de rire. Dur choix...

Pourtant elle sourit. Les quatre dagues accrochées autour de ses bottes de cuir brillaient, découvertes. Il voulait jouer à ça ? Très bien. Miya courut vers Bleiz et au moment où il levait son épée, elle s'arrêta net, tapa fort du pied pour détacher les deux dagues de sa botte. Les poignards qu'elle avait en main finirent plantées dans le sol et elle s'appuya dessus pour faire un salto et amener se jambes autour du cou de Bleiz. Les dagues qui venaient de quitter sa botte, elle les saisit au vol et d'un coup de rein, se redressa et tourna. Miya se retrouva perchée sur les épaules de son adversaire, ses longues jambes félines autour de son cou, et une dague de chaque oeil. Elle se pencha légèrement, appuyant sa poitrine sur la tête de Bleiz :

- Et maintenant, tu vas dire que je suis lourde ? Un mot sur mon poids, et je te crève les yeux.

Et si la situation l'amusait, on pouvait sentir dans sa voix qu'elle était très sérieuse.

Il se retrouvais avec les jambes d'une fille autour du coup, ce qui vus la fille n'était pas pour lui déplaire. En revanche les deux dagues plantés sur ces yeux lui plaisaient moins. Il devait gagner du temps afin de pouvoir se sortir de là. Il dit donc le plus calmement du monde.

Vous êtes légères comme une plume. Et je puis vous assurer que je ne dis pas ça parceque j'ai une dague devant chaque oeil.

Il avait trouvé.

Et je dois avouer que vous etes redoutables...Pour une mamie

A l'instant ou ces paroles eurent effet sur elle, d'un mouvement il saisi ses poignets afin qu'elle ne puisse plus les bouger et frappa ses mains l'une contre l'autre. Le choc eus l'effet escompté et elle lâcha ses dagues. Il bascula alors en avant et la plaqua au sol. Il profita du choc pour se dégager de l'étreinte de ses cuisses (malheureusement) et les écarta en les maintenant au sol avec ses genoux afin qu'elle ne l'enserre pas au niveaux de la taille. Il la plaqua au sol par les poignets et dit dans un sourire.

Désolé pour le "mamie" de tout a l'heure mais je n'ai rien trouvé d'autre pour me sortir de là

Au moins il n'était pas assez fou pour la provoquer davantage. Miya eut un sourire, mais déchanta rapidement. "Mamie" ! Non mais il se prenait pour qui, cette espèce de petit merdeux ! A peine la demi déesse eut-elle le temps de grogner qu'il lui cogna les mains pour lui faire lâcher ses dagues. Elle comprit vaguement se qui se passa par la suite, mais pu refaire l'enchaînement dans sa tête une fois au sol. Miya grinça des dents et servit un regard toujours plus noir à son adversaire.

- Mais qui te dit que tu es sorti d'affaire ?

Elle réussit à dégager une de ses jambes, et avant qu'il ne l'entrave à nouveau, ramena sa cuisse tout contre elle, leva le pied pour taper directement dans le menton de Bleiz, une fois assez fort avec le bout de sa botte, puis une seconde fois avec le plat de la semelle pour qu'il lâche prise et qu'elle dégage sa seconde jambe. C'est qu'elle se tordit pour faire une galipette arrière et se dégager complètement qu'elle sentit qu'elle n'avait pas eu le temps de s'entraîner comme elle le voulait ce soir. Pourtant, elle réussit à se dégager, récupérer deux dagues fichées dans le sol, et à s'éloigner en une série de saltos arrière. Elle secoua la tête pour ramener ses cheveux dans son dos et regarda Bleiz dans les yeux :

- OK. Second round.

Et avant qu'il n'ai le temps de reprendre son épée, Miya bondit en avant, les lames de ses dagues le long de ses avants bras, et sauta pour fondre sur sa proie.

Sans qu'il puisse rien y faire elle dégagea sa jamber pour lui envoyer un retentissant coup de pied dans la machoir. Il le vit venir et la serra le plus possible. Il encaissa le premier mais au second il senti qu'il devait lacher et se dégager pour conserver son beau sourire. Une série de salot arriere lui permit a elle de s'éloigner, et a bleiz d'admirer son corps magnifique. Décidément une telle femme devait etre explosive sous les draps.

J'ose espérer belle demoiselle que vous vous amusez autant que moi

Elle lui fonça dessus et sauta dans sa direction. Mais Bleiz avait compris la manœuvre au moment même ou elle avait fléchi les jambes. Il s'approcha pour casser la distance et sauta à son tour pour à nouveau saisir ses mains. La différence de poids fit que se fut elle qui se retrouva à nouveau plaquée au sol. Cette fois Bleiz pesait de tout son corps sur elle et la maintenait afin que plus aucun geste ne lui soit possible.

Écoutez je crois que nous sommes partis sur de mauvaise base alors si nous recommencions à zéro ? Je m'appelle Bleiz et vous

Le contact de son bassin contre le sien, la légereté de sa tenue, fit que bleiz commença à durcir à un certain endroit.

Heu...désolé...la nature ^^'