Le Graal et l'araignée (PV Schwardix)

C'était une nuit comme les autres, Alphard ne supportait pas le monde du jours, trop bruyante et pathétique, sans compter que la nuit ce terminait souvent par le même constat, elle voulait se faire avoir par une personne, rencontrer enfin une personne qui saurait se montrer digne de survivre. Elle ne supportait pas de devoir tourner en rond dans la ville pour trouver enfin une personne digne de ces poings.

Elle tomba sur quelque maître en art martiaux, mais ils furent défait en un clin d'oeil, ils étaient si faibles et osait se prétendre être des maîtres dans leurs arts. Les chanceux avaient juste eut leur bras de cassé, car elle avait entendu dire qu'il y avait une ombre meurtrière dans le coins, l'odeur du sang confirma ces dire.

il y avait bien quelqu'un dans le coins qui avait tué beaucoup de fois, une odeur de mort que l'on ne peut pas nettoyer, tels une marque que l'on met sur l'âme elle même. Elle laissa son instinct la guider, pour savoir si se meurtrier était où non un adversaire de taille.

Cela la conduisit vers le centre commercial, cela tombait bien, elle avait faim et soif. Elle se faufila à travers les bouche d'aérations et entra dans le centre lui mêem, elle fracassa deux distributeur pour manger un hamburger réchauffer au micro-onde de la cafèt et un soda au citron.

Alphard se posa sur une table et attendit tous simplement que la personne la sente et passe à l'attaque, bien sur elle se laissera blesser, qu'est-ce qu'une blessure quand on peut jauger la force de son adversaire, sans compter que ces taillades dans son dos étaient guéris en majorité.

HS- Désolée si c'est court.^^'-HS

- C'est pas grave, moi je m'en fiche de la longueur ^^ -

Schwardix avait finie sa journée dans sa petite boutique. Il n'y eut personne de la journée, malheureusement... Elle due se contenter d'insectes comme repas, aujourd'hui, à son plus grand désarroi... Les humains sont tellement désagréables quand ils s'y mettent. Toute la journée, la terranide n'entendit que des enfants pleurer, des adolescentes piailler à chaque bel homme passer, et des bonnes femmes en train de raconter leur petite vie insignifiante. Ces vermines sont bien plus calmes face à ses crocs noirs emplies de venin... Voilà comment calmer l'humain normal: le confronter à une mort. Le choix de la mort est très important. Il arrivait à la Meister des Mordes de capturer des humains dans ses toiles, de les mordre, et de voir combien de temps ils allaient survivre, s'il ne sont pas soignés. La mort lente, c'est quand elle a besoin de s'amuser. Il y a aussi la mort rapide, qui constitue à dépecer son adversaire et à le manger. Rapide, simple, efficace. Sauf quand la victime a le temps de hurler.

Madame Tarantula ferma boutique, et décida de s'amuser dans le centre commerciale. Elle prit sa forme de mygalomorphe de cm de longueur et se mit à ramper dans le centre commercial, effrayant quelques passants au passage. Mais il ne fallait pas trop se faire voir, il faut rester dans les coins sombres. Passant par les conduits d'aération, et arriva vers la cafétéria où se trouvait une humaine, seule. Une proie potentielle? Oh oui! Meister des Mordes a besoin de jouer! Mais elle a l'air assez résistante... elle ne va pas mourir qu'avec du poison, ça c'est sûr, mais comment son organisme va réagir? La mygale sortit du conduit et se glissa vers la table, avant de grimper le long du pied cette table pour ramper à l'envers de la table. Ici, elle était hors de vue. Pour le moment...

On pouvait le dire officiellement, Alphard s'ennuyait, elle s'ennuya tellement qu'elle jouait avec ces mitaines en soupirant, ce monde ci lui paraissait si ... fatiguant. Non pas qu'elle souhaite se battre sans arrêt, mais elle voulait tomber sur quelque chose qui surprenne, qui est nouveau.

- Putain, je vais attendre encore longtemps ? J'espère que le mec qui a cet odeur n'est pas patient, car sinon je vais lui démonter sa race.

Elle se leva, laissant à l'araignée le plaisir de voir que sous sa longue veste noir, touchant presque terre, elle était assez peut vêtue et donc laissait une grande superficie de sa peau exposée à tout attaque.

La demoiselle donna un coup de poing sur un distributeur, donnant une soupe de tomate chaude. Elle  reprit place sur sa chaise et se mit sur les deux pied arrière, en sirotant la soupe, les pied retenant le déséquilibre et étant plaqué sous la table, ratant de peu d'écrabouiller une patte de Schwardix, mais lui offrant une passerelle direct pour se hisser sur la demoiselle qui ne se doutait pas de la proximité de l'adversaire.

- Pff . Je vais encore poireauter pour rien, ce monde est si chiant, moi qui rêvait de trouver enfin des adversaires interessant. Bon j'attends encore une heure et après je me casse.

De la chaire humaine! Qui à l'air bien délicieuse, d'ailleurs. Schwardix se demandait vraiment quel goût elle avait. Une humaine bien formée, athlétique, en très bonne santé... C'était rare d'en trouver, maintenant les femmes et les adolescentes sont soit trop maigres, ce qui ne laisse plus beaucoup à manger, soit trop rondes, ce qui était trop gras. La Meister des Mordes est très difficile, et il lui faut de la viande de choix. C'est la Meister ici, d'abord.

L'araignée attendait le bon moment avant d'attaquer. La demoiselle se leva quelques minutes et revint se rassoir. Elle ne semblait plus déterminée à se lever. Le bon moment allait venir. Il fallait se montrer patient, même si elle manqua de se faire écraser... Le risque du métier. Le chemin étant libre, elle se décida. La mygale rampa pour rejoindre la jambe de la jeune fille pour remonter le long de sa cuisse. Il était évident que sa présence n'allait pas passer inaperçu, il fallait agir rapidement et efficacement. Ses crocs se plantèrent dans la chaire tendre de sa victime, lui paralysant la cuisse, et laissant répandre son venin dans son corps. Dans combien de temps sa respiration commencera à lui faire défaut? Les minutes étaient comptées. L'araignée fit des allés-retours sur cette portion de jambe, cherchant le bon moment pour fausser compagnie à son encas. S'il le fallait, elle prendrait forme humaine pour en venir à ses fins.

Alphard, ayant les pieds nue, sentit bien évidement la bestiole remonter sur sa jambe, elle aimait mes araignée et toute les animaux qui donnait des frissons de peu à tout être humain normalement constitué, tant qu'elle se tenait tranquille, la demoiselle ne ferrait rien, seulement la créature ne put retenir ces mandibules et la morsure ne s'accompagna d'aucun cris, mais le demoiselle prit la mygale, de tels sorte à pas être encore mordu et dit.

- Fallait pas faire ça saleté d'insecte.

Elle balança l'arachnide sans ménagement dans un coin sombre. Elle tenta de se relever et constata que sa cuisse était devenue incontrôlable, c'est comme-ci on avait couler du béton dessus et su'il avait durci.

- Putain, fallait qu'elle soit venimeuse en plus. Les bestiole de nos jours, aucune gratitude, c'est comme les humains. Fait chier.

Alphard resta calme et fit ces mouvements pour garder un rythme cardiaque très bas, c'était un moyen radical pour ralentir la progression de quelconque venin, elle fracassa une porte et se trouva à l'infirmerie, elle dégota un livre sur les araignée et trouva l'image de la bestiole, puis constata que sa constitution serait suffisante pour résister au venin, il fallait juste trouver un endroit en attendant que le venin se dissipe, sans compter qu'il était marqué qu'elle allait avoir une hausse de la température et des douleurs musculaires.

- Je la chope je l'écrase.

Elle regarda u plan et décida de se planquer dans une tapisserie, elle brisa le cadenas et entra, prit une couverture et se mit dans une coin, cherchant avant tous à contrôler son rythme cardiaque et surtout la hausse de la température.

Évidemment, même quand on est une araignée, ça fait mal de se faire projeter contre un mur. Et Schwardix sentit la douleur. Mais c'est résistant, une araignée, il ne faut pas croire. La mygale est l'une des prédatrices les plus efficaces du monde animale, faisant preuve d'une très grande stratégie pour traquer ses potentielles proies. La kumo regarda les déplacements de son gibier jusqu'à ce qu'elle aille s'enfermer. Son poison avait très bien agit, c'était une bonne chose, la jeune fille allait être une victime plus facile. Sauf qu'elle était enfermée. Et comment une araignée ouvre une porte? Eh redevenant humain, crétin. Dans ce coin sombre, Schwardix repris sa forme humaine, et se dirigea lentement vers la porte. Elle hésita quelques secondes, mais se décida à poser sa main sur la poignée et à la tourner. Elle remarqua le verrou cassé, et se dit que cette humaine n'aurait peut-être pas du faire ça, après tout...

Un filet de lumière envahit la pièce, mais la kumo était hors de vue, cachée derrière la porte. D'ici elle se changea en mygalomorphea et s'infiltra dans la pièce avec autant de discrétion qu'un éléphant rentrant dans une voiture, rejoignant au plus vite un coin sombre en espérant que la jeune fille ne l'aie pas aperçu, trop occupée avec sa blessure. L'araignée escalada le mur pour grimper jusqu'au plafond, observant la situation de son gibier.

La jeune fille était sous une couverture. Elle faisait tout pour contrôler le venin en elle, ce qui allait être un problème. Il fallait trouver une alternative, arriver sous forme humaine, ou rester sous forme arachnéenne? Schwardix hésitait. Mais comme la victime était blessée, rester sous forme de mygale paraissait plus raisonnable. L'araignée commença à tisser une toile dans le coin de la pièce, juste au dessus de sa proie. Cela prit quand même quelques minutes, mais c'était nécessaire pour descendre vers la jeune fille en toute discrétion. Ainsi, elle plongea doucement vers Alphard grâce à une toile.